Nouvelles de 2023 concernant les produits “alimentaires” et “pharmaceutiques” sur modes cellulaires, insectueux, chimériques… ou graphénisés

Deux “Opérations Psychologiques Spéciales”, concomitantes, sont en cours : 

la “Solution Zéro Carbone” et la “Graphénisation Universelle des Peuples”

Avez-vous remarqué que les Globalistes eugénistes veulent nous imposer la Grande Réinitialisation, du dément Klaus Schwab, sur mode “Solution Zéro Carbone” – à l’encontre d’un Réchauffement Climatique Anthropique aussi inexistant que le Sars-CoV-2 – tout en gavant les Peuples de solutions “vaccinales” à base d’oxyde de Graphène, de nano-tubes de Carbone, de points quantiques de Carbone, et autres dérivés du Graphène… à savoir des formes nano-particulaires du Carbone? 

La coupure de journal, ci-jointe, date de 2011. [57]

Qui plus est, les Globalistes eugénistes sont en cours de “Graphéniser”, littéralement, l’entièreté de la vie quotidienne des Peuples: les viandes cellulaires, les viandes animales, les injections, les remèdes, les anesthésiants, les cosmétiques, les serviettes hygiéniques, les amalgames dentaires, les patch anti-douleurs, les pansements, les testeurs corporels, les chaussures, les vêtements, les couvertures pour la nuit, les matelas, les condoms, l’asphalte des routes, le béton et les huisseries des habitations, les membranes de purification des eaux, les ampoules lumineuses, les écouteurs, etc, etc.

La “Solution Zéro Carbone” a pour objectif de détruire le tissu économique et de ruiner  l’intégralité des Peuples… au profit des Banksters. 

La “Graphénisation Universelle des Peuples” a pour objectif de les génocider et de contrôler les survivants par le biais de nano-technologies injectées. 

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USA: Upside Foods et Eat Just obtiennent la première autorisation officielle, de l’USDA, pour la commercialisation de leur viande cellulaire/cultivée

C’est le Ministère de l’Africulture US qui vient d’autoriser les viandes cellulaires d’Upside Foods et d’Eat Just. Eat Just a, déjà, obtenu la première autorisation mondiale pour sa viande cultivée à Singapour en 2020. [54] La FDA a, déjà, autorisé les viandes cellulaires d’Upside Foods et d’Eat Just – respectivement en octobre 2022 et en mars 2023.  

Selon Jennifer Stojkovic, auteur de l’ouvrage The Future of Food is Female et fondatrice du Vegan Women Summit, il s’agit d’une « grande nouvelle ». 

Pas vraiment car les Végan vont se jeter sur ce type de viande cellulaire, et archi-chimérique, alors qu’il leur faudrait s’alimenter avec des produits laitiers et carnés afin d’ingérer trois acides aminés: la cystéine, l’acide glutamique et la glycine… qui constituent les fondements du Glutathion – la première ligne de défense anti-oxydante de l’organisme. Cela est d’autant plus crucial pour tous les végans graphénisés.

« L’approbation de notre label par l’USDA marque un grand pas en avant vers notre objectif de créer un système alimentaire plus humain et plus durable. L’autorisation de l’USDA ouvrira la voie à la production et à la vente commerciales et nous permettra de proposer pour la première fois notre délicieux poulet Upside aux consommateurs. », a déclaré le Dr Uma Valeti, PDG et fondateur d’Upside Foods dans un communiqué.

Plus humain et plus durable Sans plaisanter?

Josh Tetrick, cofondateur et directeur général de Eat Just, « Au lieu d’utiliser toutes ces terres et toute cette eau pour nourrir tous ces animaux qui sont abattus, nous pouvons le faire d’une manière différente».

Selon Jennifer Stojkovic, «De nombreuses autres entreprises de viande cultivée, américaines et étrangères, ont déposé une demande d’agrément auprès de la FDA et d’autres lettres d’agrément sont attendues dans les mois à venir. »

Wildtype est l’une de ces entreprises. Elle est soutenue par la FootPrint Coalition et elle  produit du saumon cellulaire/cultivé de qualité “sushi”.

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“Effondrement du Véganisme et de l’industrie alimentaire afférente” 

Le fabricant de saucisses Heck réduit sa gamme de produits végétaliens – à 2 produits au lieu de 10 – alors que Beyond Meat s’effondre et que Nestlé botte en touche

Selon la BBC. [114] L’entreprise de saucisses Heck réduit sa gamme de produits sans viande, invoquant le manque d’appétit des consommateurs.

L’entreprise, basée dans le Yorkshire, suspend la production de la plupart de ses saucisses et hamburgers végétaliens.

Le cofondateur Jamie Keeble a déclaré que les consommateurs n’étaient “pas encore prêts” à acheter ses produits végétaliens.

L’entreprise ne produira plus que deux variétés à base de plantes – chipolatas et hamburgers – alors qu’elle en proposait 10 à l’origine.

La décision de Heck s’inscrit dans le contexte d’une baisse d’intérêt pour les gammes de produits sans viande dans d’autres entreprises.

Beyond Meat, qui fabrique une gamme de produits à base de plantes comprenant des hamburgers, des saucisses et du poulet, a vu ses ventes s’effondrer l’année dernière, accusant les obstacles rencontrés par les consommateurs en matière de goût, de perception des bienfaits pour la santé et de prix.

Le géant de l’industrie Nestlé a déclaré en mars qu’il cesserait de vendre sa marque végétalienne Garden Gourmet chez les détaillants britanniques, moins de deux ans après sa première apparition dans les rayons.

Les clients des supermarchés ont généralement réduit leur consommation de produits de remplacement de la viande, selon le cabinet d’études NielsenIQ, qui a annoncé une baisse des ventes de 37,3 millions de livres sterling au cours de l’année qui s’est achevée en septembre 2022.

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Au sujet de la production d’Oxyde de Graphène dans les viandes rôties aux charbons de bois

Une étude de 2014, intitulée “Involuntary graphene intake with food and medicine”, [80] prétend que l’oxyde de graphène n’est pas toxique… la preuve par la consommation de  viandes rôties aux charbons de bois depuis des millénaires. 

Selon le résumé. Le graphène se trouve dans la viande grillée carbonisée et dans le charbon végétal, qui est présent dans l’eau de toilette des nourrissons. Le graphène sous forme d’oxyde de graphène (GO) est produit lors de la carbonisation de la surface de la viande sur un barbecue, formant du GO dopé à l’azote provenant de la pyrolyse des protéines dans l’air. L’ingestion involontaire de cette viande cuite tachée de nanocarbone est un délice traditionnel. La présence de graphène et de nanoparticules de carbone dans le charbon végétal, utilisé dans la formulation de marque de l’eau de gripe utilisée comme médicament contre les maux d’estomac chez les nourrissons, réfute fortement la toxicité de ces nanocarbones pour l’homme. L’isolement du graphène et des nanoparticules provenant des deux sources est décrit ici. Ces particules sont caractérisées par analyse élémentaire, spectroscopie Raman, PXRD et par FESEM, TEM et analyse d’images SADP. L’ingestion d’aliments grillés contaminés par du nano-carbone depuis la découverte du feu peut entraîner des mutations qui font évoluer la résistance chez l’homme. Ce travail suggère que le graphène et d’autres nanoparticules de carbone produites par la pyrolyse de bioproduits dans l’air ne sont pas toxiques pour l’homme.

Nonobstant, les auteurs semblent occulter le fait que de multiples études ont mis en exergue le risque d’émergence de cancers suite à l’ingestion d’aliments carbonisés. 

Voir, par exemple, l’étude intitulée “Well-done Meat Intake, Heterocyclic Amine Exposure, and Cancer Risk”. 2010. [86]

Néanmoins, la plupart des études antérieures, en particulier celles qui comportent des évaluations détaillées de la consommation de viande en fonction des méthodes de cuisson et du degré de cuisson de la viande, ont indiqué qu’une consommation élevée de viande bien cuite et/ou une exposition élevée à certains Amines hétérocycliques peuvent être associées au risque de cancer, notamment de cancer du côlon-rectum, du sein, de la prostate, du pancréas, du poumon, de l’estomac et de l’œsophage. Les résultats de ces études sont cohérents avec les données d’expériences in vitro et in vivo et suggèrent que l’exposition aux Amines hétérocycliques par la consommation de viande bien cuite peut augmenter le risque de certains cancers chez l’homme.

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Biodégradation de l’oxyde de graphène par le Ver de farine, ou Ténébrion: Rôle du microbiome intestinal et des enzymes

Sont-ce les mêmes insectes dans les farines “alimentaires” promues par Klaus Schwab au titre du “Grand Remplacement”?

Cette étude, de novembre 2022, est intitulée “Biodegradation of Graphene Oxide by Insects (Tenebrio molitor Larvae): Role of the Gut Microbiome and Enzymes”.  [150]

La biodégradation des matériaux à base de graphène est essentielle pour comprendre leur processus et leur devenir dans l’environnement. La biodégradation et la minéralisation de l’oxyde de graphène par un insecte (le Ver de farine, Tenebrio molitor larvae) ont donc été étudiées. Vingt vers de farine ont pu manger un morceau de film d’oxyde de graphène (1,5 × 1,5 cm) en 15 jours. Le film d’oxyde de graphène ingéré s’est dégradé et les feuilles d’oxyde de graphène résiduelles ont été observées dans les excréments. L’imagerie Raman a confirmé que le GO résiduel (ID/IG, 1,16) était plus défectueux que le film d’oxyde de graphène vierge (ID/IG, 0,95). L’analyse 14C a montré que les feuilles de l’oxyde de graphène étaient partiellement minéralisées en CO2 (0,26%) et assimilées dans les compositions de la biomasse (par exemple, lipides et protéines) (0,36%). Les microbes intestinaux et les enzymes extracellulaires des vers de farine jaunes ont joué un rôle crucial dans la dégradation de l’oxyde de graphène, et les microbes intestinaux prédominants pour la biodégradation de l’oxyde de graphène ont été identifiés comme des bactéries Enterobacteriaceae (par exemple, Escherichia-Shigella sp.). Deux produits de biodégradation appartenant à des composés aromatiques hydroxylés ou carboxylés ont été formés avec l’aide d’électrons et de radicaux hydroxyles dans les intestins des vers de farine. Ces résultats sont utiles pour mieux comprendre le devenir environnemental et biologique des matériaux à base de graphène.

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“Graphénisation des aliments et des emballages”

Impact de l’Oxyde de Graphène sur l’organisme des Grillons domestiques, Acheta domesticus

Etude de septembre 2020 intitulée “Graphene oxide as a new anthropogenic stress factor – multigenerational study at the molecular, cellular, individual and population level of Acheta domesticus”.  [155]

Bien que l’intérêt pour les phénomènes transgénérationnels ne cesse de croître, la toxicité à long terme des nanoparticules est peu connue. Dans cette étude, nous examinons les effets multigénérationnels de l’oxyde de graphène (GO) qui a été administré à Acheta domesticus à de faibles doses (0,2, 2 et 20 μg-g-1 de nourriture) pour trois générations suivantes. Nous avons évalué l’influence des nanoparticules de GO dans de nombreux contextes, en nous basant sur des paramètres représentant différents niveaux d’organisation biologique : activité des enzymes antioxydantes, niveau d’apoptose, dommages à l’ADN, analyse histologique, capacités d’éclosion, masse et longueur corporelles des insectes, ainsi que leur taux de survie. Les résultats ont montré que l’exposition des insectes aux nanoparticules sur une période prolongée provoque des effets intergénérationnels surprenants, basés sur des différences significatives dans le cycle de vie et les processus de reproduction, qui ne sont pas toujours dépendants de la dose. La deuxième génération d’insectes est apparue comme la plus instable parmi les paramètres étudiés, et n’a pas suivi les tendances et les modèles des catégories de la première et de la troisième génération. Une augmentation des dommages à l’ADN a été observée, mais uniquement dans la troisième génération. Cette réduction de la stabilité du génome peut être perçue comme un élément essentiel de l’adaptation, conduisant à une augmentation des variantes génotypiques, qui subissent ensuite une sélection.

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“Graphénisation des aliments et des emballages”

L’intoxication multigénérationnelle à l’oxyde de graphène entraîne des troubles de la reproduction au niveau moléculaire de l’expression de la protéine vitellogénine chez Acheta domesticus

Les activités anthropogéniques peuvent conduire à l’accumulation de la pollution par l’oxyde de graphène (GO) dans l’environnement. Les organismes exposés à une intoxication chronique ou multigénérationnelle à l’oxyde de graphène peuvent présenter des troubles de la reproduction. La vitellogénine (Vg) a été utilisée comme paramètre pour évaluer la fertilité féminine en raison de son importance dans la nutrition de l’embryon. Dans cette étude, nous avons utilisé un organisme modèle prometteur, Acheta domesticus, qui a été intoxiqué par du GO dans la nourriture pendant trois générations. L’objectif de l’étude était d’examiner le processus de synthèse du Vg chez les grillons en fonction de la durée d’exposition, de la concentration de GO et de l’âge des femelles. Les résultats ont révélé que l’intoxication chronique au GO avait des effets néfastes sur le modèle d’expression de la Vg. La première génération d’insectes présentant une faible expression de Vg a été la plus touchée. La deuxième génération d’A. domesticus présentait une forte expression de la Vg. La dernière génération étudiée semblait faire face au stress causé par le GO, et l’expression de la Vg était équilibrée. Nous suggérons que les mécanismes épigénétiques peuvent jouer un rôle dans le transfert d’informations aux générations suivantes sur la manière de réagir au facteur de risque et de maintenir un taux de reproduction élevé. Nous soupçonnons que l’intoxication chronique par GO peut perturber la formation régulière de la structure quaternaire de Vg, ce qui aurait des conséquences sur le développement d’un embryon. [151]

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 La FDA approuve le premier porc chimérique pour l’alimentation humaine

Selon l’université de Washington qui a créé ce premier porc chimérique.   [9]

La WSU a reçu l’autorisation de la Food and Drug Administration des États-Unis de faire entrer des porcs génétiquement modifiés dans la chaîne alimentaire pour la consommation humaine – en l’occurrence, sous la forme de savoureuses saucisses de style allemand.

« Il est important qu’une université crée un précédent en travaillant avec les autorités fédérales de réglementation pour introduire ces animaux dans l’approvisionnement alimentaire », a déclaré Jon Oatley, professeur à l’École des biosciences moléculaires du Collège de médecine vétérinaire de l’Université du Sud-Ouest. « Si nous ne passons pas par ce processus, toutes les recherches que nous menons ne servent à rien, car elles ne seront jamais rendues publiques. »

M. Oatley utilise l’outil d’édition de gènes CRISPR pour améliorer les caractéristiques génétiques du bétail et s’efforce d’obtenir l’approbation de la FDA pour une lignée de porcs génétiquement modifiés. Il a entrepris le processus d’autorisation d’utilisation alimentaire expérimentale pour cinq porcs génétiquement modifiés afin de démontrer que les aliments produits à partir de ces animaux sont propres à la consommation et qu’il est possible pour une institution universitaire d’obtenir ce type d’autorisation de la part de la FDA. L’édition de gènes permet d’apporter à l’ADN d’un organisme des modifications qui pourraient se produire dans la nature ou par sélection, mais qui prendraient beaucoup plus de temps sans un outil tel que CRISPR.

L’autorisation de la FDA est expérimentale et limitée à ces porcs particuliers, mais elle montre que l’édition génétique du bétail pour produire rapidement des caractéristiques souhaitables afin d’améliorer la production alimentaire est une stratégie viable pour aider à nourrir la population croissante de la planète.

Les porcs de deux ans ont été traités au laboratoire de viande de la WSU et le ministère américain de l’agriculture a inspecté la viande comme il le fait pour tous les produits carnés. En collaboration avec le laboratoire de la viande, Blake Foraker, spécialiste de la viande, a transformé une partie du porc en saucisses, qui seront utilisées par les services de restauration pour financer les déplacements des étudiants membres de l’équipe de juges de la viande de la WSU.

À l’origine, les porcs ont été modifiés génétiquement de manière à permettre aux chercheurs de les utiliser pour engendrer une progéniture présentant les caractéristiques d’un autre porc mâle. Connue sous le nom de géniteurs de substitution, cette technologie consiste d’abord à modifier les gènes d’animaux mâles pour les rendre stériles en supprimant un gène appelé NANOS2, qui est spécifique à la fertilité masculine. Ces animaux peuvent ensuite se voir implanter des cellules souches d’un autre mâle qui créent des spermatozoïdes présentant les caractéristiques souhaitées par ce mâle et qui seront transmis à la génération suivante.

Essentiellement une forme high-tech d’élevage sélectif, la technologie des géniteurs de substitution peut considérablement élargir la diffusion d’une génétique précieuse dans le secteur de l’élevage. Elle pourrait non seulement améliorer la qualité de la viande, mais aussi la santé et la résistance du bétail face à des conditions environnementales changeantes, un objectif essentiel pour accroître les sources de protéines dans les pays en développement.

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La nouvelle réglementation Canadienne sur les semences pourrait généraliser la consommation d’aliments chimériques… et la destruction de l’agriculture biologique 

Le Canada vient d’assouplir les directives relatives aux semences chimériques – dites génétiquement modifiées. Cette décision selon la Mafia de l’agro-chimie biotechnologique, pourrait permettre au Canada de planter des cultures plus résistantes à la sécheresse et, un jour, de produire des cerises sans noyau, des brocolis plus sucrés… 

Et des plantes alimentaires résistantes à la graphénisation des milieux agricoles?

Le 3 mai, la ministre de l’agriculture et de l’agroalimentaire, Marie-Claude Bibeau, a annoncé que les directives de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) relatives aux semences autorisaient désormais la culture de certaines plantes modifiées. [18]

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Au sujet de la Graphénisation des produits bios porcins selon les cahiers de “décharges” (industrielles) de l’élevage bio AB

Parlons, aujourd’hui, du porc. Si l’on en juge par le cahier de charges – ou de “décharges”, sous tous aspects… en fonction du paradigme – de l’élevage biologique du porc, par exemple, il y a fort à parier que les produits à base de porc, d’élevage biologique, soient tout autant graphénisés que les autres. 

A cet énorme sujet, je renvoie les lecteurs, plus particulièrement, vers mes essais “Graphénisation de l’alimentation carnée, et protéinée,  par les “vaccins” injectés dans les animaux d’élevage” [34] et “De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales”. [35]

Pourquoi? A cause des vaccins, des “remèdes” allopathiques et des produits anesthésiants utilisés, par exemple, pour la castration des mâles – de par l’interdiction de la castration à vif appliquée depuis début 2022. [23]

J’invite les consommateurs bios, plus particulièrement, à contacter leur magasin local ou leur producteur local, en direct, afin de s’enquérir quant à la liste des “vaccins”, des anesthésiants, des anti-parasitaires et autres substances allopathiques, utilisés par les éleveurs bios dont les produits sont commercialisés. A savoir, utilisés de façon obligatoire (par décret d’Etat) ou volontaire, exceptionnelle, etc…

Selon le cahier de charges de l’élevage biologique du porc: «Les antiparasitaires, les vaccins et les traitements prescrits dans le cadre de plans d’éradication obligatoires ne sont pas comptabilisés dans le nombre maximal des traitements à base de médicaments vétérinaires allopathiques chimiques de synthèse.»

Selon le cahier de charges de l’élevage biologique du porc «L’utilisation d’antiparasitaires allopathiques doit être justifiée par une prescription vétérinaires complétée d’un diagnostic et/ou analyse indiquant la présence de parasites. Nombre de traitements autorisés : Animaux dont le cycle de vie est inférieur à 1 an (porcs à l’engraissement  =>  1 seul traitement durant le cycle de vie. Animaux dont le cycle de vie est supérieur à 1 an (porcs reproducteurs)  => 3 traitements par période de 12 mois.»

De par la fausse terreur orchestrée avec la “grippe aviaire” pandémique – tout autant inexistante que le Sars-CoV-2 – cela signifie que les éleveurs bios vont devoir “vacciner” leurs volailles à l’encontre de la grippe aviaire H5N1… dès que les “vaccins” sont commercialisés – en fin 2023 ou début 2024.

Ou que les éleveurs bios de porcs vont devoir, un jour, lorsque la grippe porcine redevient à la mode génocidaire, “vacciner” leurs animaux avec des “vaccins” qui sont, déjà, commercialisés. 

Quant au recours à des anesthésiants – pour la castration des porcs, par exemple, à  cause des odeurs d’urine – il est très difficilement imaginable que les anesthésiants pour les porcins ne soient pas complètement graphénisés alors qu’ils le sont, quasiment tous, pour les humains. 

Selon l’arrêté du 17 novembre 2021, publié au Journal officiel, la castration des porcs peut être “réalisée soit par castration chirurgicale avec anesthésie et analgésie”, option privilégiée par les professionnels, “soit par immunocastration” (injection d’un vaccin pour arrêter la production de stéroïdes par les testicules). Il devient, donc, interdit de castrer à vif. 

Dans les anesthésiants réservés aux animaux d’élevage, on retrouve, par exemple, la lidocaïne que la Quinta Columna a analysée, à plusieurs reprises: elle est totalement contaminée par de l’oxyde de graphène. 

Quant aux vaccins utilisés, présentement ou très prochainement, pour les porcs, voir, par exemple, mon chapitre intitulé ““Vaccins” à l’ARNm pour la “santé” animale chez Merck”. [36] 

Dès janvier 2019, Merck a annoncé le lancement d’une nouvelle plate-forme vaccinale révolutionnaire, à l’ARN, dénommée “Sequivity” [23]  [25] qui est présentée comme “Le soutien dont vous avez besoin pour faire face aux menaces de maladies porcines en constante évolution.” [7] Selon leur publicité: « Le développement des vaccins traditionnels peut prendre des années. La technologie des particules d’ARN, de SEQUIVITY, permet de développer des vaccins porcins personnalisés sûrs et flexibles en seulement 8 à 12 semaines.»

En octobre 2022, une étude intitulée, “Promising strategy for developing mRNA-based universal influenza virus vaccine for human population, poultry, and pigs– focus on the bigger picture” [55], a même évoqué la possibilité de créer un vaccin mRNA universel destinée aux humains, aux porcs et aux volailles. Tout va bien?

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Impacts environnementaux de la viande cultivée : Une évaluation du cycle de vie du berceau à la porte

Les viandes cultivées sont de 4 à 25 fois plus génératrices de dioxyde de carbone

Il s’agit de l’étude intitulée “Environmental impacts of cultured meat: A cradle-to-gate life cycle assessment”. [27] 

Selon une analyse de Say News. [30]

Actuellement, les produits carnés à base de cellules animales sont produits à petite échelle et à perte économique, mais les entreprises ont l’intention d’industrialiser et d’augmenter la production.

Dans cette étude, les scientifiques ont estimé l’énergie nécessaire aux différentes étapes de la production de viande cultivée en laboratoire, à partir des ingrédients composant le milieu de croissance et de l’énergie nécessaire à l’alimentation des laboratoires, et l’ont comparée à celle de la viande de bœuf. Ils se sont principalement concentrés sur la quantité de composants du milieu de croissance, notamment le glucose, les acides aminés, les vitamines, les facteurs de croissance, les sels et les minéraux. Ils ont constaté que le potentiel de “réchauffement planétaire” de la viande cultivée en laboratoire allait de 246 à 1 508 kg d’équivalent CO2 par kilogramme de viande cultivée en laboratoire.

Ce chiffre est de quatre à vingt-cinq fois supérieur au potentiel de “réchauffement planétaire” moyen annoncé pour la viande de bœuf vendue au détail.

Selon les experts, ce chiffre ne varie pas en fonction des cellules animales cultivées et de la viande créée, qu’il s’agisse de bœuf, de poulet ou d’agneau.

L’équipe précise toutefois que les chercheurs n’ont pas pris en compte l’impact environnemental de l’agrandissement des installations de production de viande à partir de cellules animales, ce qui pourrait accroître encore davantage l’empreinte écologique de l’industrie. L’équipe conclut que l’impact environnemental des technologies émergentes telles que la viande cultivée est un concept nouveau mais “très important”.

« Nos résultats indiquent que la viande à base de cellules animales est susceptible d’être plus gourmande en ressources que la plupart des systèmes de production de viande selon cette analyse », affirment-ils.

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“Agriculture cellulaire” : écarts actuels entre les faits et les affirmations concernant la “viande cellulaire”

Traduction de l’étude intitulée “Cellular agriculture”: current gaps between facts and claims regarding “cell-based meat” et publiée, en avril 2023, dans Animal Frontiers. Les auteurs sont: Paul Wood, Lieven Thorrez, Jean-François Hocquette, Declan Troy, Mohammed Gagaoua.

Implications 

Le nombre d’articles scientifiques relatifs à la “viande cellulaire” a considérablement augmenté, ce qui correspond à l’intérêt actuel de la communauté scientifique et des consommateurs, mais surtout des investisseurs, de l’industrie alimentaire et des organismes de réglementation.

Malgré les milliards de dollars investis dans “l’agriculture cellulaire”, d’importants défis techniques, éthiques, réglementaires et commerciaux se posent pour que ces produits soient largement disponibles sur le marché. En outre, l’adoption généralisée de ces technologies peut exacerber les inégalités entre les individus riches et pauvres et entre les pays à hauts et à faibles revenus.

Les produits de “viande cellulaire” actuels ne sont pas identiques aux produits qu’ils visent à remplacer. Tout d’abord, il existe encore des différences considérables au niveau des propriétés sensorielles, nutritionnelles et texturales, alors que d’importantes étapes génératrices de qualité dans la conversion du muscle en viande conventionnelle sont absentes. Deuxièmement, de nombreux rôles sociétaux de la production animale, au-delà de la nutrition, peuvent être perdus, y compris les services écosystémiques, les avantages des coproduits et les contributions aux moyens de subsistance et à la signification culturelle.

Les procédures de production détaillées ne sont pas disponibles, ce qui empêche de corroborer les nombreuses affirmations relatives aux caractéristiques et à la durabilité des produits.

Les entreprises de “viande cellulaire”, qui affirment que le coût de toutes les technologies finira par diminuer de manière significative, citent souvent la loi de Moore. Cependant, les systèmes biologiques, tels que les “viandes cellulaires”, possèdent des limites naturelles et des mécanismes de rétroaction qui annulent cette loi.

Introduction

S’inscrivant dans une perspective émergente de type Silicon Valley sur l’avenir de l’alimentation, un rapport audacieux, publié en 2019, par le groupe de réflexion RethinkX, affirmait que d’ici 2030, les industries américaines de la viande et des produits laitiers seraient en faillite en raison de la prise de contrôle de leurs marchés traditionnels par “l’agriculture cellulaire” (Tubb et Seba, 2019). Cette affirmation était fondée sur leur vision de la rapidité avec laquelle la fermentation de précision et la technologie de la “viande à base de cellules” seraient développées et mises à l’échelle, de sorte qu’elles pourraient rivaliser, à parité de prix, avec la production animale traditionnelle (Leroy et al., 2023). 

Cependant, les estimations sur les évolutions futures diffèrent considérablement. Par exemple, un rapport de 2018 commandé par le gouvernement flamand prédit que la consommation de “viande propre” pourrait commencer vers 2040 (van Diepen et al., 2018). Il y a dix ans, cependant, on affirmait déjà que la “viande propre” serait disponible sur le marché d’ici 2017 (CE, 2012). Aujourd’hui, il est clair qu’il est difficile de faire des prédictions et qu’il reste de nombreux défis techniques à relever avant que de tels produits puissent être commercialisés. Néanmoins, au cours des dernières années, des milliards de dollars ont été investis dans ces technologies liées à l’agriculture cellulaire (y compris la fermentation de précision et “viande cellulaire”) et des centaines de nouvelles start-ups ont été créées dans le monde entier (Boukid et Gagaoua, 2022). 

La terminologie des produits développés est encore en discussion ; pour des raisons de reconnaissance, nous utiliserons les termes “viande à base de cellules” et “viande cellulaire”, bien que le terme “viande” confère des caractéristiques qui n’ont pas été prouvées, comme nous le verrons. Les raisons de proposer de nouvelles alternatives aux protéines, y compris la “viande cellulaire”, sont diverses et divergentes, mais principalement liées à des préoccupations éthiques concernant le bien-être des animaux et l’impact possible de la production de protéines animales sur l’environnement (Siddiqui et al., 2022). 

Cet article décrit brièvement les défis techniques, réglementaires et de consommation auxquels sont confrontées la fermentation de précision et les “viandes cellulaires” et examine leur potentiel de perturbation des industries de la viande et des produits laitiers, en mettant l’accent sur les “viandes cellulaires” en tant qu’alternative aux protéines d’animaux d’élevage.

Fermentation de précision pour la fabrication de protéines destinées aux industries laitière et de la viande

La fermentation de précision consiste à intégrer la séquence génétique, d’une protéine spécifique, dans une souche de bactérie ou de levure, puis à cultiver cette souche dans des fermenteurs à grande échelle, afin de produire la protéine requise. Cette technologie est utilisée depuis des décennies dans le secteur de la biotechnologie. Elle était auparavant appelée “production de protéines recombinantes” et est utilisée pour de nombreux vaccins et médicaments, tels que l’insuline (Wood et Tavan, 2022).

Dans le secteur alimentaire, la fermentation de précision est utilisée, depuis des décennies, pour produire des enzymes destinées à la fabrication de fromage ou à la fermentation conventionnelle. La chymosine, utilisée dans la fabrication du fromage pour la coagulation du lait, était à l’origine extraite de l’estomac des veaux avant que les fabricants ne passent à une forme recombinante de cette enzyme (exprimée dans une série d’organismes). Récemment, des entreprises ont utilisé cette technologie pour produire des protéines clés pour l’industrie alimentaire. La société US, Impossible Foods, utilise une forme d’hémoglobine obtenue par fermentation de précision pour donner à ses hamburgers à base de plantes l’aspect et l’odeur de la viande rouge lorsqu’ils sont cuits. Autre exemple, The Every Company produit des ovoproduits, sans poulet, grâce à la technologie de la fermentation de précision.

Jusqu’à présent, l’accent a été mis sur les produits laitiers. Environ 60% des entreprises actives, dans le domaine de la fermentation de précision, se concentrent sur la production de protéines laitières clés. Perfect Day a été la première entreprise à commercialiser un produit laitier contenant de la β-lactoglobuline. D’autres entreprises suivent maintenant leur exemple. L’un des objectifs d’entreprises, comme All G Foods et Eden Brew, est de recréer un lait liquide contenant à la fois les protéines de lactosérum et de caséine nécessaires à la formation d’une micelle, afin de conférer à ce produit toutes les fonctionnalités du lait de vache. Ces produits devront encore être additionnés de graisses, de sucres, de minéraux et de vitamines pour se rapprocher du contenu nutritionnel du lait de vache.

L’espace de la fermentation de précision a fait l’objet d’investissements importants et de nombreuses prédictions selon lesquelles cette technologie va perturber les industries traditionnelles de la viande et des produits laitiers ; cependant, de nombreux défis techniques, réglementaires et de consommation doivent être relevés. Le principal défi technique sera le coût des produits, la fermentation de précision étant nettement plus onéreuse. Pour les protéines laitières, une série de souches de levure peut produire des protéines recombinantes à un taux de 10-30 g/l, mais ces protéines doivent ensuite être séparées des cellules de levure et des débris cellulaires à l’aide d’une variété de techniques de traitement en aval qui peuvent représenter jusqu’à 60% du coût de fabrication. La technologie de la fermentation de précision sera également essentielle, pour le secteur “viande cellulaire”, afin de produire les divers facteurs de croissance et peut-être d’autres composés nécessaires à la culture des cellules de mammifères. Pour développer la fermentation de précision, les entreprises utilisent des fermenteurs d’une capacité supérieure à 100 000 litres, ce qui nécessite une ingénierie complexe et des processeurs gourmands en énergie.

Aux États-Unis, le processus réglementaire est relativement simple, avec la possibilité d’utiliser la classification “Generally Recognized As Safe” (généralement reconnu comme sûr). En Europe, en revanche, il sera difficile d’enregistrer les produits de fermentation de précision dans le cadre de la législation actuelle, car les entreprises utilisent des organismes génétiquement modifiés dans le processus de fabrication. Enfin, l’étiquetage des produits de fermentation de précision variera considérablement d’une région à l’autre, ce qui risque d’embrouiller les consommateurs prudents à l’égard des produits génétiquement modifiés. Compte tenu de ces éléments, il est peu probable que la fermentation de précision perturbe l’industrie de l’élevage, mais elle pourrait fournir des produits de grande valeur pour des marchés de niche.

À quel point la “viande cellulaire” se rapproche-t-elle réellement de la viande ?

Les entreprises aspirent à produire de la viande sans utiliser d’animaux (Figure 1). Elles prétendent que ces “viandes cellulaires” seront identiques à la viande provenant d’animaux d’élevage. La viande animale est généralement dérivée du muscle squelettique des animaux abattus, bien que d’autres tissus tels que le foie et les produits du cinquième quartier soient également consommés – dont les quantités dépendent de la région du monde et des cultures alimentaires locales. Nous nous concentrerons, ici, sur la viande dérivée du muscle squelettique. À l’heure actuelle, il reste de nombreux obstacles à franchir pour fabriquer des “viandes cellulaires”, malgré plusieurs décennies de travaux issus principalement des domaines de la médecine régénérative et de la production d’anticorps monoclonaux. 

Ces obstacles ont été résumés dans Thorrez et Vandenburgh (2019) et subsistent encore. Les procédures de production envisagées tendent à simplifier à l’extrême la complexité et la croissance du muscle squelettique. Le muscle squelettique est un tissu composé de plusieurs types de cellules, la plus abondante étant la myofibre. Les autres types de cellules comprennent les cellules du tissu conjonctif (fibroblastes), les cellules adipeuses (adipocytes), les cellules endothéliales et les cellules sanguines. L’accent est, actuellement, mis sur l’expansion des myoblastes, les cellules précurseurs des myofibres. Cependant, on ne sait toujours pas combien de temps les cellules provenant de biopsies peuvent être expansées, car ces cellules primaires subissent une sénescence au cours d’une expansion à long terme. D’autres types de cellules précurseurs (par exemple, les cellules pluripotentes) sont à l’étude, mais la création de ces cellules, ainsi que leur différenciation efficace en myoblastes, nécessite actuellement un recours au génie génétique.

ure 1. Représentation schématique simplifiée de la manière dont la “viande cellulaire” est censée être produite au moyen de “l’agriculture cellulaire” sans élevage d’animaux.

La phase d’expansion est parfois comparée à la fermentation. Cependant, il existe une différence frappante entre les taux de croissance des bactéries et des levures, d’une part, et des cellules animales, d’autre part. Les levures peuvent se multiplier par plus de 1000 en moins d’une journée, alors que cela prend plus de 10 jours pour les cellules animales. L’ajout d’autres types de cellules, d’une manière qui est spatialement similaire au muscle, implique une configuration de co-culture, ce qui ajoute à la complexité. Les myoblastes doivent fusionner pour former des myotubes multinucléés et ces myotubes sont un intermédiaire vers les myofibres, ce qui se produit chez les animaux au cours du développement prénatal. Ces myotubes sont alignés (poussés par des forces unidirectionnelles entre les attaches aux os) et pour créer un alignement similaire pour la “viande cellulaire”, des techniques de fabrication et des matériaux d’échafaudage comestibles doivent être mis au point. 

Après la naissance, les myofibres augmentent en volume et en force de contraction, car l’organisme les utilise activement. Les propriétés des muscles des fœtus et des nouveau-nés (qui sont rarement consommés) sont très différentes de celles des muscles des animaux adultes. La construction des protéines de l’appareil contractile, caractéristiques du muscle squelettique, nécessite une stimulation prolongée du muscle. Cette stimulation n’est pas prise en compte actuellement et nécessitera le développement de bioréacteurs, ce qui augmentera considérablement le temps de production envisagé. Comme il n’existe ni produit ni protocole, la plupart des affirmations relatives à la production de “viande cellulaire” en vue d’améliorer la durabilité (par exemple, l’utilisation de l’énergie ou de l’eau) ne semblent pas scientifiquement fondées ou restent au mieux spéculatives, en particulier en ce qui concerne l’empreinte environnementale (Lynch et Pierrehumbert, 2019 ; Rodríguez Escobar et al., 2021).

Défi de fabrication pour la “viande cellulaire”

Les produits de “viande cellulaire” ne sont pas commercialisés parce que la production industrielle actuelle n’est pas encore économiquement viable en raison des coûts de production élevés et de l’absence de cadre réglementaire. En fait, l’un des plus grands défis auxquels est confrontée l’expansion de la fabrication des “viandes cellulaires” est le coût des marchandises pour ces produits. Ce coût est principalement lié au coût des milieux de culture, à la nécessité de disposer d’installations de haute qualité et au coût d’investissement pour des installations de fabrication sophistiquées. L’industrie biotechnologique utilise des systèmes cellulaires pour la fabrication d’anticorps monoclonaux depuis plusieurs décennies et il s’agit d’une technologie coûteuse. L’utilisation de milieux sans sérum est standard mais plus coûteuse que l’utilisation de sérum, en raison du coût des facteurs de croissance recombinants.

Avec les “viandes cellulaires”, le produit final de la culture cellulaire sera les cellules elles-mêmes, qui peuvent être utilisées comme bouillie cellulaire ou induites à subir une différenciation des fibres musculaires. Une fois cette étape franchie, les cellules seront extrêmement difficiles à manipuler, et cette partie du processus de fabrication n’a pas encore été entièrement décrite. De nombreuses entreprises de “viandes cellulaires” affirment que les coûts seront considérablement réduits grâce à l’utilisation de bioréacteurs à grande échelle (jusqu’à 250 000 litres). Cependant, le seul produit enregistré à ce jour est fabriqué à l’échelle de 5 litres, de sorte que la validation de ces systèmes à l’échelle sera un défi majeur. En outre, l’utilisation d’antibiotiques ne sera pas autorisée et ces fermentations à grande échelle nécessiteront une culture stérile continue d’environ 90 jours. On prétend également que la fabrication de “viandes cellulaires” ne nécessitera pas le niveau de biosécurité utilisé dans l’industrie biopharmaceutique, alors que la plupart de ces exigences de qualité sont motivées par la nécessité de maintenir des systèmes stériles.

Le coût des installations de “viandes cellulaires”, à grande échelle, a été estimé à 600 millions de dollars américains et les coûts d’amortissement de ces installations constitueront un élément majeur du coût final des marchandises. Bien qu’intéressantes, d’autres technologies en cours de développement pour les “viandes cellulaires”, comme les échafaudages cellulaires comestibles et l’impression 3D avec de multiples types de cellules, ne font qu’ajouter au défi de la mise à l’échelle et du coût des produits. Le développement de produits, mélangés avec des matériaux d’origine végétale, permettra de réduire les coûts et de stabiliser la formulation. Certaines entreprises se concentrent sur la culture de cellules adipeuses, dans l’idée qu’il leur suffira d’ajouter 5% de ces cellules à leurs formulations, pour donner au produit l’aspect de la viande.

Les partisans des “viandes cellulaires” utilisent, souvent, le concept de la loi de Moore, selon laquelle le coût de production des nouvelles technologies diminue de manière exponentielle au fil du temps, pour affirmer qu’il en sera de même avec les “viandes cellulaires”. Toutefois, si la loi de Moore a été prédite pour le coût de production de technologies physiques telles que les ordinateurs, et les méthodes omiques à haut débit, elle n’a jamais été appliquée à un système biologique en raison de la complexité des événements et des mécanismes biologiques qui sous-tendent la croissance cellulaire.

Défis nutritionnels pour les “aliments cellulaires”

À l’heure actuelle, malgré les affirmations des entreprises, ces produits ne sont pas prêts à être commercialisés. À notre connaissance, un seul produit alimentaire fabriqué en laboratoire est enregistré (à Singapour) et a été temporairement disponible en quantités très limitées. En outre, les protocoles de production ne sont pas disponibles pour des tests indépendants par des universitaires ou des organismes de réglementation (Figure 2). Par conséquent, toute allégation, relative au contenu nutritionnel, ne peut être vérifiée en tant que telle. En effet, beaucoup de choses restent à déduire sur la base des protocoles disponibles à l’échelle de la recherche, comme l’ont analysé conceptuellement Fraeye et al. (2020). Les propriétés sensorielles de la viande, telles que la texture, la couleur et la saveur, peuvent, peut-être, être ajustées grâce à des techniques d’ingénierie alimentaire pour créer des produits ayant une apparence similaire à celle de la viande. 

Cependant, l’utilisation de ces produits, dans les applications de cuisson en aval, peut être limitée car ces caractéristiques peuvent changer au cours des étapes de transformation ultérieures – telles que le chauffage et l’interaction avec d’autres ingrédients. Il est beaucoup plus difficile de faire des déclarations concernant les caractéristiques nutritionnelles, bien que ces produits puissent convenir aux personnes ayant des réactions négatives aux pois, au soja et au gluten. La viande contient des protéines hautement digestibles avec des acides aminés essentiels, des vitamines et des minéraux (voir ailleurs dans ce numéro spécial). Toutefois, s’il est possible d’ajouter des nutriments aux produits de substitution de la viande, le coût (en termes économiques et de durabilité) de cette opération est inconnu. En outre, le simple fait d’ajouter des composants peut entraîner une bio-disponibilité différente, c’est-à-dire l’étendue et la vitesse à laquelle ils sont absorbés par l’organisme.

Figure 2. Résumé des défis et des questions en suspens concernant l’avenir de la “viande cellulaire”.

Questions de réglementation et de consommation liées à la consommation de “viande cellulaire”

Comme le décrivent Chriki et al. (2022), une question importante concerne la nature juridique des “viandes cellulaires” : s’agit-il vraiment de viande ? Selon l’American Meat Science Association (Boler et Woerner, 2017), le règlement Européen (annexe I du règlement n° 853/2004) et d’autres définitions juridiques (Ong et al., 2020), la viande provient d’une partie (muscles et/ou tissus comestibles) d’un animal consommé comme aliment. Par conséquent, les “viandes cellulaires” ne sont, actuellement, pas considérées comme de la viande, sauf si l’on considère les cellules vivantes comme faisant partie d’un animal (Ong et al., 2020). Pour être considérées comme de la viande, les “viandes cellulaires” doivent provenir d’un animal; il doit être prouvé qu’elles sont propres à la consommation et leur composition; leur valeur nutritionnelle et leur qualité sensorielle doivent être similaires à celles de la viande provenant d’animaux d’élevage – ce qui n’est pas encore le cas (Boler et Woerner, 2017). En outre, considérer les “viandes cellulaires” comme un nouvel aliment (au sens de la législation Européenne) signifie qu’elles doivent être sûres et correctement étiquetées, afin de ne pas induire les consommateurs en erreur.

D’un point de vue biologique, la viande est le produit final de muscles vieillis par un processus de maturation (un processus bien connu des bouchers), tout comme le vin provient du jus de raisin par la vinification. Le processus actuel d’agriculture cellulaire, cependant, produit des fibres/cellules musculaires et non de la viande. Par conséquent, les consommateurs qui savent ce que la viande représente dans leur héritage culinaire et agricole ont tendance à refuser de l’appeler “viande”, contrairement aux activistes végétaliens qui y voient une stratégie bienvenue pour éliminer la viande du système alimentaire et qui, par conséquent, souhaitent lui donner un potentiel de marché maximal en s’emparant de la catégorie “viande” (Gousset et al., 2022).

En outre, divers rôles sociétaux de la production animale, au-delà de la nutrition, peuvent être perdus dans le processus. Il s’agit, notamment, des nombreux services éco-systémiques offerts par le bétail, de la production de co-produits comestibles et non comestibles (par exemple, les peaux, la laine, le fumier, la force de traction, le sérum, le sang et les graisses), des contributions aux moyens de subsistance et de la production d’un sens culturel. Enfin, toujours d’un point de vue sociétal, il a été avancé que la “viande cellulaire” pourrait exacerber les inégalités au niveau mondial, notamment en augmentant les disparités économiques entre les régions (Mahoney, 2022). La technologie risque d’être contrôlée par des multinationales (sur la base de brevets et de barrières technologiques, économiques et juridiques élevées à l’entrée), de conduire à la création d’aliments de luxe et de provoquer une nouvelle expansion des déserts alimentaires (Mahoney, 2022).

Lors des enquêtes sur l’acceptabilité du marché, les réponses sont souvent incohérentes (Gousset et al., 2022). Cela n’est pas totalement inattendu, car les consommateurs sont interrogés sur un produit qui n’existe pas encore, à l’exception de Singapour. En outre, il est possible que la plupart d’entre eux ne sachent pas ce qu’est la “viande cellulaire” et la confondent avec tout autre type de viande artificielle (par exemple, les imitations à base de plantes). La volonté “d’essayer le produit” et la volonté de le “consommer régulièrement” sont, également, souvent confondues. En effet, de nombreux répondants aimeraient goûter le produit une fois par curiosité, ce qui ne signifie pas qu’ils le consommeraient régulièrement pour diverses raisons. Par conséquent, l’acceptabilité des “viandes cellulaires” est, souvent, surestimée parce qu’elle est basée sur la volonté d’essayer et non sur l’intention de consommer régulièrement des “viandes cellulaires”. 

De nombreuses enquêtes confirment que les personnes interrogées qui expriment une forte acceptation ont tendance à être jeunes, urbaines et très instruites, du moins dans certains grands pays, mais pas dans tous, qu’elles possèdent peu de connaissances factuelles sur la production de “viande cellulaire” et qu’elles sont déjà enclines à réduire leur consommation de viande (pour diverses raisons, notamment les préoccupations liées au bien-être des animaux et aux questions environnementales). À l’inverse, les consommateurs plus âgés et moins urbains sont plus réticents et s’inquiètent de l’avenir des campagnes, de l’élevage, des paysages et des pâturages. Ces consommateurs soulignent également le caractère non naturel et peu sain du produit et expriment une plus grande résistance émotionnelle. 

Quoi qu’il en soit, le consentement à payer est globalement faible, puisque la plupart des personnes interrogées (68% en France, 71% au Brésil et 86% en Chine) sont prêtes à payer moins cher pour les “viandes cellulaires” que pour la viande conventionnelle (Ellies-Oury et al., 2022). Tous ces motifs et obstacles peuvent varier d’un pays à l’autre, les obstacles étant plus importants dans les régions où les valeurs traditionnelles sont plus fortes et les motifs plus importants là où les défis liés à la demande alimentaire sont les plus grands, comme en Asie et en Afrique. 

Conclusions

“L’agriculture cellulaire”, y compris la “viande cellulaire” et la fermentation de précision, a été présentée comme une alternative pour la production des futures protéines alimentaires en remplaçant les produits laitiers et la viande sans impliquer d’animaux. Le développement de ces nouvelles technologies, malgré plusieurs préoccupations éthiques, s’accompagne d’une multitude de rapports de recherche, de la création de start-ups, d’investissements massifs et d’une couverture médiatique importante. Il est devenu un sujet brûlant pour les débats de société, souvent associé à des opinions divergentes. Toutefois, à l’heure actuelle, ces nouveaux produits alimentaires ne sont pas disponibles à la consommation, en quantités significatives, et ne font pas non plus l’objet d’une évaluation indépendante sur le plan économique ou scientifique. 

En effet, la multitude de défis techniques liés à l’extensibilité et à la production des prototypes de “viande cellulaire” ne permet pas une évaluation précise et indépendante de leur durabilité, de leur qualité intrinsèque (attributs sensoriels, nutritionnels et technologiques) ou de leur qualité extrinsèque. La perception d’un manque de naturel et l’acceptation culturelle faible ou médiocre par les consommateurs, principalement en raison d’un manque de familiarité et d’incertitudes quant à l’esthétique, sont d’autres obstacles à l’acceptation sociétale. 

Par conséquent, ces produits ne sont bien perçus que par une certaine catégorie de personnes (marché de niche ou groupes de défense des animaux). Les autres inconvénients, de ces produits, sont les données limitées sur les implications à long terme pour la santé humaine (sécurité et santé), l’impact sur l’environnement (bien qu’ils revendiquent une moindre utilisation des sols) et les risques obscurs liés à l’ingénierie cellulaire. Des mesures réglementaires simplifiées et la poursuite de la recherche fondamentale, à l’abri des conflits d’intérêts, sont nécessaires pour stimuler l’innovation en matière de produits, définir les conditions d’un contrôle approprié de ces technologies novatrices et promouvoir ces nouveaux aliments tout en garantissant à la fois la sécurité/acceptabilité des consommateurs et un faible impact sur l’environnement.

Enfin, nous pensons que le besoin de protéines supplémentaires, pour nourrir la population mondiale croissante, continuera à être le principal moteur de l’innovation dans la production de protéines et d’alternatives à la viande. Nous devons toutefois garder à l’esprit que la majeure partie de la croissance démographique se produira dans les pays en développement. Ainsi, les principaux défis à relever dans le développement de ces nouveaux aliments, issus de “l’agriculture cellulaire”, seront leur prix et leur logistique de distribution, ainsi que la manière dont ils s’inscrivent dans un cadre d’équité alimentaire équitable et abordable.

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“Orchestration de la Famine Pandémique”

Viandes cellulaires: Jean-François Hocquette prend la parole dans La France agricole du 23 décembre 2022

L’encart dans lequel l’Académicien s’exprime est titré : “Toute innovation doit pouvoir être expertisée”. [5] 

Jean-François Hocquette est un chercheur reconnu pour ses travaux sur la qualité de la viande bovine après avoir publié plus de 240 articles scientifiques et avoir contribué à plus de 80 conférences plénières dans divers congrès. Il est éditeur de la revue “Viandes et produits carnés” , éditeur associé de plusieurs revues scientifiques et directeur de collection aux éditions “France Agricole”.

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“Orchestration de la Famine Pandémique”

Israël. Au sujet de la production de faux aliments “cellulaires” et “imprimés en 3D” par Steakholder et Wilk Technologies: viande, poisson, lait maternel humain, lait animal, yogourts, miel… 

Avec du Graphène dans les soupes de polymères “biodégradables” et “bio-mimétiques”?

La société Israélienne Steakholder s’appelait, auparavant, MeaTech. MeaTech a été fondé par Sharon Fima qui est un expert mondialement reconnu dans le développement de certains des processus d’impression les plus complexes du marché et qui a fondé, également, la société Nano Dimension. [117]

En octobre 2019, la société Ophectra Real Estate and Investments Ltd Ophectra a abandonné son projet de fusion avec la société Israélienne de cannabis médical, Hi Pharma/Therapin, [119] et a fusionné, plutôt, avec MeaTech. [126]

Le processus de R&D de Steakholder est soutenu par le professeur Tal Dvir, expert dans le domaine de l’impression tissulaire, de l’ingénierie tissulaire et de la médecine régénérative à l’université de Tel Aviv, ainsi que par le professeur Shlomo Magdassi, chef du groupe de recherche sur la science, la technologie et les applications des nano-matériaux à l’institut de chimie de l’université hébraïque de Jérusalem.

Le groupe de recherches du professeur Shlomo Magdassi est spécialisé dans les nano-matériaux, l’impression en 3 et 4D, les hydrogels, le Graphène, les nano-tubes de carbone… [124]

Sharon Fima possède de nombreux brevets [123] portant sur la fabrication de fausse viande, de faux lait… et, même, de faux miel – appelé en anglais “emulated honey”.

Son brevet portant sur la “Manipulation physique des tissus cultivés” [139] présente quelques divers polymères “biodégradables” et “bio-mimétiques” utilisés pour la confection architecturale de fausses viandes: collagène, fibrine, acide hyaluronique, acide polylactique, acide polyglycolique, polycaprolactone, polydioxanone, carbonate de triméthylène, polyéthylèneglycol, alginate, chitosan ou leurs mélanges.

Ce brevet est présenté par la société Israélienne Steak Holder. 

A la lecture du brevet, il est clair que des dérivés de graphène puissent être incorporés dans l’architecture des fausses viandes ou des faux poisson. «Par exemple, l’échafaudage de la culture tissulaire peut être constitué, par exemple, de nanofibres de gélatine réticulées, multicouches, électrofilées, imprimées et fonctionnalisées (par exemple, réticulées) à l’aide des systèmes décrits dans le présent document.» L’expression “par exemple” est très pratique, et très commune, pour évoquer des constituants non nommés – au titre du secret professionnel!! 

A noter, également, selon le brevet, que «la réaction de polymérisation commence lorsque la solution est exposée à la lumière ultra-violette ». Pour mémoire, certains fréquences de  lumière ultra-violette sont réputées activer les nano-particules de dérivés de graphène.

Son brevet portant sur le faux lait est présenté comme suit [118]: L’invention concerne des méthodes, des systèmes et des compositions destinés à la production de lait. Plus précisément, la divulgation concerne des systèmes, des compositions et des méthodes pour la production in vitro de lait à l’aide d’un réseau d’organoïdes mammaires ensemencés sur un échafaudage de canaux résilients à ramifications tertiaires.  

Ce brevet est présenté par la société Israélienne Wilk Technologies International Ltd (anciennement Biomilk Ltd). Wilk Technologies International produit du faux lait maternel humain et du faux lait animal ainsi que de faux yogourts et des faux composants lactés pour l’industrie cosmétique et pharmaceutique. [132]

Son brevet portant sur le faux miel est présenté comme suit [121]: La divulgation concerne des méthodes, des systèmes et des compositions pour produire du miel émulé. Plus précisément, la divulgation concerne des systèmes, des compositions et des méthodes de production semi-continue de miel émulé à l’aide de plates-formes fluidiques sous pression comprenant une pluralité de dispositifs microfluidiques et/ou milifluidiques contenant des opérations d’unités fluidiques capables de convertir le nectar de la plante en miel émulé. 

Ce brevet est présenté par la société Israélienne Bee-Io Honey Technologies Ltd. Selon leur propagande:  Bee-io vise à éliminer la dépendance de l’alimentation humaine à l’égard des abeilles, et de rendre le miel de qualité supérieure accessible partout et à tout moment. De même, le miel produit peut contenir des toxines, des pesticides et des antibiotiques. Bee-io introduit une technologie révolutionnaire de production de miel sans abeilles. Grâce à de nouveaux procédés biologiques en instance de brevet, Bee-io permet de fournir du miel à un prix raisonnable tout au long de l’année, ce qui permet aux abeilles de reprendre leur rôle traditionnel de pollinisatrices.[122]

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“Orchestration de la Famine Pandémique”

Israël: Benyamin Netanyahou visite l’usine pilote de viande cellulaire de Steakholder

Dans cette vidéo, le pdg de Steakholder, Arik Kaufman, commente la production quotidienne de tonnes de fausse viande en 3D à partir de la manipulation de cellules souches mésenchymateuses ainsi que la production de faux poisson. Ces faux aliments cellulaires sont produits à partir d’imprimantes en 3D au moyen d’encres spécifiques. [127]

Il s’agit bien d’une production quotidienne “en tonnes” ainsi que le met en exergue Arik Kaufman dès le début de la présentation.

Voir à ce sujet mon essai intitulé “De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales”. [120]

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“Au sujet de la Démence Terminale de la Science néo-Darwiniste”

Dévoilement, aux Pays-Bas, d’une boulette de viande géante “cultivée” à partir de cellules de moutons fonctionnalisées avec de l’ADN d’éléphant… et de l’ADN de mammouth disparu

Selon Reuters. [45] Une boulette de viande géante fabriquée à partir de chair cultivée avec l’ADN d’un mammouth laineux éteint a été dévoilée mardi au Nemo, un musée des sciences aux Pays-Bas.

La boulette a été créée par l’entreprise australienne Vow, qui a promis qu’il ne s’agissait pas d’un poisson d’avril et qui a déclaré qu’elle voulait faire parler de la viande cultivée, la qualifiant d’alternative plus durable à la vraie viande.

« Nous voulions créer quelque chose de totalement différent de ce que l’on peut trouver aujourd’hui », a déclaré Tim Noakesmith, fondateur de Vow, à Reuters, ajoutant que le choix du mammouth s’explique aussi par le fait que les scientifiques pensent que l’extinction de l’animal a été causée par le changement climatique.

La boulette de viande a été fabriquée à partir de cellules de mouton auxquelles a été inséré un gène de mammouth singulier appelé myoglobine.

« Lorsqu’il s’agit de viande, la myoglobine est responsable de l’arôme, de la couleur et du goût », a expliqué James Ryall, directeur scientifique de Vow.

Comme la séquence d’ADN du mammouth obtenue par Vow présentait quelques lacunes, de l’ADN d’éléphant d’Afrique a été inséré pour la compléter.

« Un peu comme dans le film Jurassic Park », explique M. Ryall, en soulignant que la principale différence est qu’il ne s’agit pas de créer de véritables animaux.

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Les USA et le Royaume-Uni incitent l’Industrie alimentaire à se focaliser sur les fausses viandes cellulaires et les aliments végétaux chimérisés

Fin mars 2023, Joe Biden a signé un rapport intitulé “Bold Goals for U.S. Biotechnology and Biomanufacturing” (Objectifs audacieux pour la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis). Selon ce plan, l’industrie alimentaire doit désormais être dirigée par la biotechnologie et elle doit se focaliser, en priorité, sur les viandes cellulaires cultivées en laboratoire et  sur aliments végétaux issus de substances chimérisées. [76]

Un plan similaire vient d’être proposé, en 2023, au Royaume-Uni, dans le rapport intitulé “Genetic Technology and Precision Breeding Act of 2023”. [77]

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Un député polonais propose une “loi anti-insectes” visant à rendre obligatoire l’étiquetage des aliments contenant des insectes

L’un des partis qui composent le gouvernement conservateur polonais a proposé une “loi anti-insectes” qui exigerait que les produits alimentaires contenant des insectes soient étiquetés avec un avertissement spécial. [152]

Cette proposition s’inscrit dans le cadre d’une récente campagne menée par la coalition au pouvoir et les médias qui lui sont associés, qui affirment que si les partis d’opposition remportent les élections de cette année, ils chercheront à restreindre la consommation traditionnelle de viande et à inciter les Polonais à manger des insectes à la place. L’opposition n’a pas annoncé de tels projets.

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“Graphénisation des aliments et des emballages” 

Films fonctionnels à base de gélatine/poly(alcool vinylique) intégrant des points quantiques de carbone (graphène), dérivés du marc de café, et de l’extrait de pépins de pamplemousse pour des applications d’emballage actif

Les nanoparticules sont des additifs fonctionnels attrayants qui ont un grand potentiel d’application dans le domaine des biomatériaux et de l’emballage alimentaire. Toutefois, ces particules ne sont pas solubles dans l’eau, ce qui limite leur application à grande échelle. Nous rapportons ici une fabrication facile de points quantiques de carbone en utilisant le marc de café usagé comme source de carbone par une méthode hydrothermale. Les points quantiques de carbone ont été ajoutés au film de gélatine/poly(alcool vinylique) (Gel/PVA) et à l’extrait de pépins de pamplemoussepour préparer des films d’emballage multifonctionnels…. Les films ont permis d’améliorer la durée de conservation du porc en réduisant la croissance bactérienne de L. monocytogenes dans la viande de 2 Log CFU/mL par rapport au film d’emballage de contrôle. Les films multifonctionnels Gel/PVA devraient être utilisés pour l’emballage actif des produits carnés. [90]

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“Graphénisation des aliments et des emballages” 

Caractérisation d’un hydrogel de lactosérum renforcé à l’oxyde de graphène en tant qu’absorbant écologique pour les emballages alimentaires

Nouvelle étude d’avril 2023. Faut-il préciser que ces études sont rédigées au profit de l’industrie du graphène?

Selon le résumé. Cet article présente une étude qui caractérise les propriétés d’un hydrogel nano-composite à base de lactosérum et de gélatine renforcé par de l’oxyde de graphène à différentes concentrations au moyen d’analyses spectroscopiques : absorption optique dans la gamme de longueurs d’onde UV-VIS, infrarouge à transformée de Fourier (FT-IR), diffraction des rayons X (XRD) et microscopie électronique à balayage (MEB). La distribution, la taille et la morphologie des particules d’oxyde de graphène sont caractérisées par une analyse laser et la microscopie électronique à transmission (MET). La cinétique de gonflement étudiée dans les travaux précédents des auteurs par les équations mathématiques de Fick et Schott et la relaxométrie RMN 1H, ainsi que l’activité d’inhibition contre la croissance des souches bactériennes de contamination de la viande, complètent l’étude de cet article sur les hydrogels à base de lacto-gélatine réticulés avec de l’oxyde de graphène. [41]

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Refus des viandes artificielles par la jeunesse urbanisée d’Afrique

Il s’agit de l’étude intitulée “Consumer perception of “artificial meat” in the educated young and urban population of Africa”. Avril 2023.  [21]

La population africaine devrait augmenter, en particulier dans les villes, pour atteindre environ 2,5 milliards d’habitants en 2050. Cela entraînera un boom sans précédent de la demande de produits animaux dans les années à venir, qu’il faudra gérer correctement. Depuis quelques années, les acteurs du secteur dans le monde entier vantent les avantages potentiels de la “viande artificielle” en tant que moyen plus durable de produire des protéines animales. La “viande artificielle” est donc sous les feux de la rampe au niveau mondial et cette étude visait à déterminer comment les consommateurs de viande africains des générations à venir la perçoivent, c’est-à-dire les consommateurs urbains, plus éduqués et plus jeunes. Trois enquêtes ont été menées auprès de plus de 12 000 personnes au total. Les personnes interrogées provenaient de 12 pays différents (Cameroun, Congo, République démocratique du Congo, Ghana, Côte d’Ivoire, Kenya, Maroc, Nigeria, Sénégal, Afrique du Sud, Tanzanie et Tunisie). Les personnes interrogées dans le cadre de cette enquête ont préféré le terme “viande artificielle”. Ce terme a donc été utilisé tout au long de l’enquête. La “viande artificielle” s’est avérée assez bien connue dans les pays étudiés, puisque 64% des personnes interrogées avaient déjà entendu parler de la “viande artificielle”. 

Seules 8,9% des personnes interrogées étaient tout à fait disposées à essayer la “viande artificielle” (score de 5 sur une échelle de 1 à 5), principalement des hommes âgés de 31 à 50 ans. 

En outre, 31,2 % étaient tout à fait d’accord pour dire que la “viande artificielle” aurait un impact négatif sur la vie rurale (score de 5 sur une échelle de 1 à 5) et 32,9% n’étaient pas prêts à accepter la “viande artificielle” comme une alternative viable à l’avenir, mais étaient toujours prêts à manger des substituts de viande. Parmi tous les résultats, nous avons observé des différences significatives dans les réponses entre les pays d’origine, l’âge et le niveau d’éducation des répondants, avec des interactions entre ces facteurs pour la volonté d’essayer. Par exemple, les pays les plus riches et les plus instruits qui ont été interrogés avaient tendance à être plus disposés à essayer la “viande artificielle”. Une tendance similaire a été observée pour la volonté de payer, sauf que le sexe n’avait pas d’effet significatif et que l’âge n’avait qu’un faible effet. L’une des principales observations est qu’une grande majorité des personnes interrogées n’est pas disposée à payer davantage pour de la “viande artificielle” que pour de la viande d’animaux d’élevage.

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

“The Ouroboros Steak”… à cultiver chez soi, grâce à des cellules prélevées dans la joue

Le “Steak Ouroboros” n’utilise pas de sérum de veau fœtal dans son sérum nutritif.

Selon Nelllie Friedrich. [31] « Commandé par le Philadelphia Museum of Art, le “Steak Ouroboros” est une sorte de viande cultivée en laboratoire, en réponse aux processus de production alimentaire industrielle. Pourtant, il est difficile d’éliminer la viande de notre alimentation, car elle a une forte résonance culturelle et émotionnelle. La nourriture est probablement la seule chose universelle qui rassemble tout le monde, quelle que soit la culture. Simultanément, les conditions éthiques dans les chaînes alimentaires ont gagné en conscience et en importance à table. Nous voulons savoir d’où vient la nourriture, comment elle a été élevée et si elle a été produite de manière éthique et consensuelle. Cultiver soi-même apporte des réponses à toutes ces questions. Il s’agit d’une méthode de culture transparente, respectueuse des animaux et réservée aux humains, qui permet de cultiver de manière consensuelle à partir de nos cellules. »

Plusieurs prototypes sont actuellement exposés au Design Museum de Londres, dans le cadre du prix du Beazley Designs of the Year. [32] Le projet a été nommé “The Ouroboros Steak[38], en lien avec le symbole égyptien du serpent qui se mord la queue.

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Dr. Ana Mihalcea – La viande des grandes chaînes d’alimentation est pleine de structures comme VAXX ! Australie et États-Unis

Une vidéo de 33 mn en Anglais portant sur les nano-technologies découvertes dans  les viandes. [140]

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Alerte Tatouage:

Les “encres organiques à base de carbone” sont, en fait, des encres au Graphène

Les encres au graphène sont, également, utilisées pour la production cellulaire de substances: à savoir pour l’impression de viandes, poissons, etc, en 3D…

Voir à ce sujet la propagande de Techinstro qui commercialise cette encre au graphène en unités de 25 ml à 100 litres ou plus. [186] 

L’encre au graphène est l’une des meilleures encres conductrices en termes de coût et d’imprimabilité. Elle est également connue sous le nom d’encre organique à base de carbone ou d’encre à base de graphène.

Le graphène utilisé dans la fabrication du produit est composé de 2 à 3 couches, pur à 99,95 % et exempt d’impuretés. Il possède une excellente conductivité, ce qui rend le produit plus conducteur par nature. De nos jours, l’encre conductrice au graphène est préférable à l’encre à l’argent en raison de sa qualité économique et écologique.

Dans cette composition d’encre conductrice, le pourcentage de graphène varie en fonction de l’application et des exigences du client. En général, dans notre encre à base de graphène, le pourcentage de graphène est d’environ 40%, tandis que la taille des particules est inférieure à 3,5 microns. La viscosité est facilement ajustable par l’utilisation d’un liant et d’un solvant, de sorte qu’elle peut être facilement adaptée à la sérigraphie et à l’impression par injection.

L’encre conductrice au graphène est utilisée pour fabriquer des capteurs chimiques et des senseurs biologiques, des supercondensateurs, des emballages intelligents, des commutateurs à membrane, des transistors à couche mince, du papier électronique, des cellules photovoltaïques et d’autres dispositifs imprimés. Elle est également utilisée pour fabriquer des dispositifs électrochimiques, optoélectroniques et de stockage d’énergie (batterie au graphène).

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Analyse de sang frais de viande provenant d’Australie par le Dr David Nixon confirmant les structures d’hydrogel

Mon ami et collègue, le Dr David Nixon, a eu l’amabilité de procéder à un contrôle des viandes en Australie pour confirmer mes conclusions. Voir mes images du bœuf, du porc et des produits laitiers ici. [133]

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Le premier poisson Mérou, en 3D – prêt à cuisiner – vient d’être imprimé par la société Isréalienne Steakholder!!!

Selon leur propagande. [138] « Nous sommes ravis d’annoncer que nous avons réussi à imprimer le premier produit de mérou cultivé prêt à cuire. Dans le cadre du partenariat stratégique entre les deux entreprises, Steakholder Foods a personnalisé ses bio-encres en utilisant les cellules de mérou fournies par Umami Meats.

Steakholder Foods a pour mission de rendre la vraie viande durable, délicieuse et propre. Nous combinons la biologie avancée avec la technologie de pointe de la bio-impression 3D pour produire des morceaux entiers de vraie viande. 

Notre objectif est de transformer la manière dont la viande est achetée et fournie dans le monde. Mais nous ne pouvons pas le faire seuls. C’est pourquoi nous sommes entrés en bourse dès le début et sommes devenus la première entreprise de viande cultivée cotée au Nasdaq.» 

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Espagne. Des bactéries multi-résistantes (aux antibiotiques) trouvées dans 40% des échantillons de viande de supermarché

“Multidrug-resistant bacteria found in 40% of supermarket meat samples” [93] 

Des E. coli multirésistants ont été trouvés dans 40 % des échantillons de viande de supermarché testés dans le cadre d’une étude espagnole. Les souches d’E. coli capables de provoquer des infections graves chez l’homme étaient également très répandues, selon le Congrès européen de microbiologie clinique et des maladies infectieuses de cette année (ECCMID 2023, Copenhague, 15-18 avril).

Pour en savoir plus, les docteurs Azucena Mora Gutiérrez et Vanesa García Menéndez, de l’université de Saint-Jacques-de-Compostelle-Lugo, à Lugo, en Espagne, ainsi que des collègues d’autres centres de recherche, ont conçu une série d’expériences visant à évaluer les niveaux d’entérobactéries pathogènes multirésistantes et extra-intestinales (Klebsiella pneumoniae, E. coli et autres bactéries pouvant causer des infections multirésistantes telles que la septicémie ou les infections des voies urinaires) dans la viande vendue dans les supermarchés espagnols.

Ils ont analysé 100 produits carnés (25 de poulet, de dinde, de bœuf et de porc) choisis au hasard dans les supermarchés d’Oviedo au cours de l’année 2020.

La majorité (73 %) des produits carnés contenaient des niveaux d’E. coli qui se situaient dans les limites de la sécurité alimentaire.

Malgré cela, près de la moitié (49 %) contenaient des E. coli multirésistants et/ou potentiellement pathogènes. Parmi ceux-ci, 82 isolats d’E. coli ont été récupérés et caractérisés. En outre, 12 isolats de K. pneumoniae ont été retrouvés dans 10 des 100 produits à base de viande (7 poulets, 2 dindes et 1 porc).

Quarante des 100 produits carnés contenaient des E. coli multirésistants (56 des 82 E. coli caractérisés). Il s’agissait notamment d’E. coli produisant des bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE), des enzymes qui confèrent une résistance à la plupart des bêta-lactamines, notamment la pénicilline, les céphalosporines et l’aztréonam, une monobactamine.

SUITE: [93]

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“Orchestration de la Famine Pandémique”

Le maire végétalien de New-York, Eric Adams, déclare la guerre à la viande et aux produits laitiers… pour sauver le “Climat”

Eric Adams, l’un des chantres de la religion Covidienne, a annoncé, le 17 avril 2023, une nouvelle initiative visant à réduire considérablement les émissions de la ville liées à l’alimentation d’ici à 2030. Il s’agit, tout simplement, de bannir la viande et les produits laitiers – selon le discours qu’il lit avec grand peine tant il n’en comprend pas la teneur. [98]

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USA. Ana Maria Milhacea présente des structures de graphène dans les viandes de son supermarché local

Article du 2 avril 2023 présenté sur son Substack.

Un de mes collègues, le Dr David Jernigan, traite avec succès des patients blessés par des vaccins dans le Tennessee. Il m’a appelé après que j’ai publié les résultats de la spectroscopie infrarouge et de la conductivité électrique du sang vivant et a confirmé toutes mes conclusions. Il m’a raconté qu’il y a peu de temps, des membres de sa famille avaient mangé de la viande et en étaient tombés gravement malades. Le Dr Jernigan avait mis au point une méthode pour capter la fréquence d’un caillot caoutchouteux vacciné d’une personne décédée et avait développé une méthode scientifique pour détecter cette fréquence. Il a examiné le membre de sa famille malade, qui s’est avéré positif. Il a ensuite vérifié la viande qu’ils avaient mangée et celle-ci avait la même fréquence que le caillot de sang du cadavre. Il s’est ensuite rendu dans son épicerie locale et a vérifié les produits carnés, et les viandes de bœuf biologiques et non biologiques présentaient la même fréquence d’émission. Il m’a demandé d’aller acheter de la viande dans mon épicerie et de faire des analyses de sang vivant sur différents produits pour confirmer ses conclusions.[71] 

Je me suis demandé pourquoi toutes les personnes non vaccinées qui se présentaient à mon cabinet avaient du sang contaminé. J’ai également vu un nombre croissant de personnes souffrant de diarrhée sévère persistante, qui dure depuis des mois, mais qui s’avère négative lors des tests de recherche d’ovules et de parasites ou des cultures de selles pour les bactéries. Je soupçonnais l’excrétion vaccinale, les pulvérisations de chemtrails, les prélèvements nasaux, les masques et la contamination par la biologie synthétique appelée “Covid et Long Covid”. Beaucoup disent que ce que nous voyons dans le sang sont des parasites, mais ce n’est pas le cas. Il s’agit de formes de vie synthétiques auto-assemblées à base d’hydrogel, qui s’apparentent davantage à des microplastiques, mais qui ont été conçues biologiquement.

Ce matin, je me suis rendu dans une épicerie locale et j’ai acheté différentes viandes dont l’emballage contenait du sang visible que j’ai pu analyser. J’étais également curieux de connaître les produits laitiers. Voici mes résultats : [71]

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L’Italie renomme son ministère de l’Agriculture le “Ministère de la Souveraineté Alimentaire” et illégalise les produits alimentaires “cellulaires” avec des amendes de 60 000 euros

Nourritures de laboratoire, viandes impirmées en 3D – c’est à la mode et on dit que c’est beaucoup plus durable que les produits de l’agriculture conventionnelle. Cependant, le gouvernement italien préfère s’appuyer sur la production alimentaire traditionnelle et l’indique clairement en renommant le ministère de l’Agriculture en “Ministère de la Souveraineté Alimentaire”. Le ministre Francesco Lollobrigida a maintenant présenté un projet de loi qui interdirait la fabrication, l’importation et la vente d’aliments dérivés de cultures cellulaires – avec une amende pouvant aller jusqu’à 60 000 euros. [110]

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Au sujet de la culture d’électrodes et de l’auto-assemblage d’un gel conducteur dans les viandes de bœuf, de porc et de poulet… et dans le tofu 

Avec quel objectif?

Selon l’étude Suédoise, récemment évoquée, portant sur la culture d’électrodes dans le cerveau et sur l’auto-assemblage de gels de polymères conducteurs à longue portée, il est bien précisé que ces expérimentations ont été réalisées, également, sur des échantillons alimentaires tels que des viandes de bœuf, de porc et de poulet – et, même, du tofu. [11]

Selon les déclarations du Professeur Tara Spires-Jones, la présidente de la British Neuroscience Association, il ne peut pas s’agir de tofu.  [28]

Quel est l’objectif de cultiver des électrodes dans les viandes qui seront commercialisées? En tant que “bio-senseurs ” – ou  “nécro-senseurs”? Tel qu’il est évoqué dans l’étude  “Conducting polymer-based sensors for food and drug analysis”. 2021. [31] En tant qu’interface entre la viande et quoi – ou qui?

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“Orchestration de la Famine Pandémique”  

USA. Bloomberg attaque de nouveau les fausses viandes eu égard au risque potentiel que les souches cellulaires immortalisées se comportent comme des cancers

Que se passe-t-il car si de tels articles viennent de Bloomberg… c’est qu’ils viennent de plus haut dans la hiérachie des psychopathes. Se pourrait-il que le contrôle de la Chambre des représentants, par les Républicains, soient en cours d’infléchir la tendance woke d’affamer les peuples en les nourrissant avec des insectes ou des faux aliments “cellulaires”?

Rappelons, aujourd’hui, que ce sont 26 états, aux USA, qui sont en cours de voter des lois interdisant les mutilations des jeuens de moins de 18 ans. 

Rappelons, aujourd’hui, que ce sont plusieurs états, aux USA, qui sont en cours d’interdire, légalement, la prescription des injections CoqueVide/19.

La question qui se pose aujourd’hui, officiellement – car je l’ai posée depuis moult années dans mes nombreux dossiers sur le sujet – porte sur la nature, et donc le devenir, de certaines souches cellulaires utilisées pour la confection des aliments dits “cellulaires” (viandes, laits, oeufs, etc). Elle porte, plus précisément, sur le risque que certaines souches cellulaires immortalisées puissent être considérées comme des cancers.   Et c’est Bloomberg de nouveau qui la pose.

Comme ces souches cellulaires éternelles n’ont jamais été utilisées pour de la production alimentaire, certains chercheurs se demandent si certaines ne pourraient pas succomber à la trans-manie prévalente en s’auto-identifiant à des cancers. 

En effet, Bloomberg, après avoir publié un énorme article, à charges, recyclant les fausses viandes dans les oubliettes de l’Histoire, le 19 janvier 2023 – “La fausse viande était censée sauver le monde. Elle est devenue un autre phénomène de mode” [77] – vient de se fendre récemment, le 7 février 2023, d’un second pamphlet, à charges, intitulé “Lab-Grown Meat Has a Bigger Problem Than the Lab / La viande cultivée en laboratoire a un plus gros problème que le laboratoire”. [108]

« Les cellules immortalisées sont un élément de base de la recherche médicale, mais elles sont, techniquement parlant, précancéreuses et peuvent être, dans certains cas, totalement cancéreuses…. [Mais ne vous inquiétez pas : d’éminents chercheurs en cancérologie affirment à Bloomberg Businessweek que, comme ces cellules ne sont pas humaines, il est pratiquement impossible que les personnes qui les consomment contractent un cancer, ou que les cellules précancéreuses ou cancéreuses se reproduisent à l’intérieur des personnes.» 

L’article de Bloomberg est payant mais on en trouve une présentation par Raw Egg Nationalist. [106]

« Les industriels “sont convaincus” que la consommation de ces produits ne présente aucun risque – bien qu’il n’existe aucune donnée concrète – mais il n’est pas difficile de voir, même si l’innocuité des produits est “prouvée”, comment les gens pourraient être rebutés à l’idée de manger une tumeur glorifiée.

Tout porte à croire que les principaux producteurs de ces nouveaux produits – notamment les “trois grands”, Believer Meat, Eat Just et Upside Foods – font de leur mieux pour éviter d’affronter le problème en public. Mais il reste à savoir s’ils pourront continuer à le faire après cette dernière vague de publicité négative très médiatisée.

Cette histoire survient à un moment où l’on a de plus en plus de mal à trouver de nouvelles alternatives aux produits animaux traditionnels, notamment ce que l’on appelle les “viandes végétales”.

Au début du mois, nous avons fait état des problèmes persistants rencontrés par Impossible Foods, qui licencie 20% de ses effectifs, soit près de 140 personnes.

Les viandes d’origine végétale sont passées d’une croissance à deux chiffres à un déclin à deux chiffres l’année dernière, les ventes de substituts de viande réfrigérés ayant chuté de 10,5% pour l’année se terminant le 4 septembre 2022.

En réponse à un autre article de Bloomberg Businessweek, qui qualifiait les viandes à base de plantes de “simple mode”, Impossible a pris la décision audacieuse de publier une pleine page de publicité dans le New York Times pour contrer ces affirmations. Le nouveau PDG d’Impossible, Peter McGuiness, a adopté une position plus conflictuelle, qui consiste notamment à nier les preuves de plus en plus nombreuses que son entreprise, et d’autres comme elle, sont en grande difficulté.

Beyond Meat, en revanche, a à peine réussi à afficher un visage courageux. Les actions de l’entreprise ont chuté de 75 % au cours des trois premiers trimestres de l’année dernière, et son projet pilote phare de collaboration avec McDonald’s, le “McPlant Burger”, a été abandonné par le géant de la restauration rapide.»

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“Orchestration de la Famine Pandémique”  

La Chaîne Lidl a annoncé restreindre ses produits animaux afin de favoriser les aliments “à base de plantes” 

Stephanie Jaczniakowska-McGirr, la directrice de l’engagement des entreprises chez ProVeg – une ONG bidon à la solde, sûrement du gang de Soros – vient de débiter la même propagande pathétique, pour handicapés mentaux, de tous les caniculs-bénis et autres écolo-thermistes: «Lidl a pris une mesure audacieuse et nécessaire pour aider les consommateurs à passer à une alimentation plus végétale. L’agriculture animale est responsable de 20 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et le passage à un régime alimentaire à base de plantes est un moyen efficace de réduire ces émissions…. Nous invitons les autres détaillants à suivre les traces de Lidl et à augmenter activement leur offre de produits à base de plantes afin de soutenir le nombre croissant de personnes suivant des régimes flexibles, végétariens et végétaliens». [111]

Lidl n’a pris aucune mesure audacieuse: l’actionnariat, ou les propriétaires, de cette chaine de supermarchés, prennent leurs ordres directement de la clique des eugénistes de Davos. Et c’est ProVeg qui les conseille….

Dans la vision de ces Banksters affameurs, les aliments “à base de plantes” sont les fausses viandes, le faux lait, les fausses crèmes glacées, etc, ad nauseam. 

L’acheteur en chef de Lidl, Christof Graf, a annoncé la diminution des protéines animales et l’augmentation des protéines végétales lors du plus grand salon agricole d’Allemagne, la Green Week, en janvier 2023. Il a déclaré qu’il n’y avait “pas d’alternative” car “il n’y a pas de deuxième planète”.

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Des scientifiques assemblent de la matière en 3D en utilisant des ondes sonores pour l’impression 3D en ingénierie biomédicale… 

Et pour l’impression 3D de fausse viandes?

Des scientifiques de l’Institut Max Planck pour la recherche médicale et de l’Université de Heidelberg ont créé une nouvelle technologie pour assembler la matière en 3D. Leur concept utilise de multiples hologrammes acoustiques pour générer des champs de pression avec lesquels des particules solides, des billes de gel et même des cellules biologiques peuvent être imprimées. Ces résultats ouvrent la voie à de nouvelles techniques de culture cellulaire en 3D ayant des applications en ingénierie biomédicale. [31]

Sans évoquer de très nombreuses applications dans l’agriculture dite cellulaire – à savoir la culture en cuves métalliques de fausse viande, de faux lait, de faux oeufs… le futur de l’alimentation, avé les insectes, comme dirait le dément Schwab.

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Les “scientifiques” de 3D Bio-Tissues (3DBT) produisent et dégustent le premier steak de viande de faux porc “cultivé”, ou porc “cellulaire”, à 100%

Selon Business-Live. [85] La société 3DBT, basée à Newcastle, estime qu’il s’agit du premier steak de porc 100% cultivé au monde à être produit et dégusté. 

Une société d’ingénierie scientifique de Newcastle affirme avoir fait une percée dans la création de “viande sans cruauté” après avoir produit le tout premier filet de steak fabriqué à partir de viande cultivée.

Les scientifiques de 3D Bio-Tissues (3DBT) – une société d’ingénierie tissulaire dont la propriété intellectuelle est protégée par des brevets et qui produit déjà des cornées humaines pour aider à redonner la vue à des millions de personnes – appartiennent à BSF Enterprise plc, une société d’investissement dont l’objectif est de débloquer la prochaine génération de solutions biotechnologiques. L’équipe de 3DBT, dirigée par le Dr Che Connon, cofondateur et PDG, s’apprête à faire passer le filet de steak à la phase suivante des tests, avec une séance de dégustation organisée à Londres. La firme a fait l’annonce de son steak emblématique à la Bourse de Londres, expliquant que le filet de steak était entièrement fabriqué à partir de cellules de porc et avait la même taille et la même forme qu’un petit filet de viande de porc traditionnelle. Le filet reproduisait également la saveur et la texture du porc.

Le filet a été produit à l’aide du booster cellulaire breveté de 3DBT, City-mixTM, sans sérum et sans animaux, un supplément qui élimine la nécessité de mélanges ou de charges conventionnels, ce qui le rend 100% viande. En conséquence, 3DBT pense qu’il s’agit du premier steak de porc 100% cultivé au monde à être produit et dégusté.

Après des tests techniques et l’examen des domaines de développement, 3DBT a déclaré qu’elle allait aller de l’avant en produisant un produit de démonstration – un filet de porc cultivé à l’échelle réelle qui sera présenté, cuisiné et mangé par un groupe de personnes sélectionnées lors d’un événement public dans la capitale au cours des prochains mois.

L’équipe cherche également à travailler avec des fabricants et des supermarchés pour vendre de la viande cultivée. Elle souhaite également travailler avec des entreprises de mode pour produire du cuir cultivé en utilisant le même processus de modélisation des tissus, mais avec des cellules de peau, en affirmant que leur produit a le potentiel de réduire considérablement l’élevage, en diminuant les gaz à effet de serre, l’eau et l’énergie utilisés dans la production de viande.

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“Effondrement en Cours des Protéines Alternatives” 

Guerres Intestines dans l’Industrie de la Fausse Viande

Motif FoodWorks a annoncé le dépôt de quatre contestations supplémentaires de brevets américains détenus par Impossible Foods.

La contestation de Motif FoodWorks porte sur des fausses viandes contenant des hémoprotéines, des sucres et des composés soufrés.

Selon les communiqués de Motif FoodWorks. [91] Motif FoodWorks a fait valoir que ces ingrédients, qui sont utilisés depuis des décennies, dans les produits alimentaires, pour développer la saveur et le parfum des viandes animales et des fausses viandes, ne sont pas brevetables par Impossible Foods, et approuve donc la décision de l’OEB qui a jugé évidentes les inventions revendiquées par Impossible. 

En mars de cette année, Impossible a intenté un procès à Motif, affirmant que Motif avait violé l’un de ses brevets, le n° 10 863 761, portant sur l’utilisation de l’hème dans les produits carnés à base de plantes. Motif a vigoureusement combattu cette plainte, arguant que les ingrédients qu’Impossible prétend avoir “découverts” existent et sont vendus dans des produits alimentaires courants depuis des décennies et que ces plaintes sont une tentative sans fondement juridique et factuel d’étouffer l’innovation et de limiter le choix des consommateurs pour préserver ses propres profits. Bien que l’office américain des brevets ait refusé d’examiner le brevet en question lors de la première tentative de Motif, la société a l’intention de continuer à le contester auprès de l’office des brevets et le procès parallèle devrait passer devant un jury dans un tribunal du Delaware.

Depuis lors, Impossible a ajouté à son action en justice quatre autres brevets liés à des formulations de viande à base de plantes.  Motif conteste maintenant ces brevets également, en faisant valoir qu’ils n’auraient jamais dû être accordés en premier lieu. Motif a déposé quatre nouvelles requêtes auprès de l’office américain des brevets pour contester la validité de ces brevets.

Les quatre brevets américains d’Impossible Foods que Motif conteste (US11,224,241, US11,013,250, US10,039,306 et US9,943,096) concernent la génération de saveurs et d’arômes dans les produits de remplacement de la viande qui contiennent des protéines d’hème, des sucres et des composés de soufre.

«Depuis notre fondation en 2018, Motif a réinventé la viande d’origine végétale, la rendant plus savoureuse, plus nutritive et durable », a déclaré Leonard. « Impossible est déterminé à stopper cette innovation – nuisant aux consommateurs, à notre industrie et, finalement, à notre planète. Nous continuerons à combattre les actions agressives d’Impossible pour limiter la concurrence par tous les moyens disponibles, y compris via les contestations de brevets que nous annonçons aujourd’hui.»

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“Effondrement en Cours des Protéines Alternatives” 

L’Office des Brevets Européens vient de révoquer un brevet, de fausse viande, d’Impossible Foods… pour cause de léghémoglobine recombinante chimérique?

L’Office des Brevets Européens vient de révoquer un brevet, de fausse viande, d’Impossible Foods… Pour cause de chimère génétique, très sûrement. En effet, les  causes de cette révocation n’ont pas encore été publiées mais il est bien évident que “l’Europe” (on se bouche le nez) n’est pas censée autoriser que des substances chimériques s’introduisent, sournoisement, dans l’alimentation des Européens. N’est-ce pas? [93] 

En mai 2020, ainsi que j’en ai informé ceux qui ont des oreilles pour entendre, dans mon essai intitulé “La Guerre Alimentaire des Transhumanistes Eugénistes pour Affamer les Peuples”: la société de fausse viande, Impossible Foods, utilise de la léghémoglobine recombinante chimérique dans son “Impossible Burger”.

J’avertissais, alors, à l’époque, tous les gentils végans, végétariens et autres bobos, hystériques des fausses viandes, que celle d’Impossible Foods était, résolument, chimérique… à savoir “OGM” selon les termes conventionnels – insensés et “impossibles” à justifier. 

«… Ils devront, également, désélectionner l’entreprise Impossible Foods dont la fausse viande est confectionnée avec une protéine dénommée léghémoglobine – permettant de conférer à cette fake viande une saveur de vraie viande. Impossible Foods a développé, en effet, une souche de levure chimérique contenant un gène de soja afin de produire cette léghémoglobine recombinante. Elle est considérée, par la FDA, aux USA, comme “généralement reconnue comme sans risque” – selon la formule conventionnelle permettant de gaver les populations avec des chimères génétiques alimentaires. »

Dans la Nature, la léghémoglobine a comme fonction de gérer l’accès à l’oxygène dans les nodules spécialisés présents dans les racines de soja, et d’autres légumineuses. Des bactéries symbiotiques, présentes dans ces nodules des Fabacées, ont comme mission de transformer l’azote atmosphérique en ammoniaque qui est subséquemment métabolisé par les plantes pour la production de protéines et d’acides nucléiques.

L’opposition à ce brevet Européen, d’Impossible Foods, a été déposée par un cabinet  Allemand d’avocats – Reiser and Partner Patentwälte mbB. Selon cette opposition, l’invention revendiquée par Impossible Foods n’est pas nouvelle, elle manque d’activité inventive, elle ne décrit pas suffisamment l’invention et elle va au-delà de la demande telle qu’elle a été déposée originellement.

Selon GMWatch, le brevet révoqué par l’OEB ne porte pas sur léghémoglobine de soja. Il s’agit d’un vaste brevet sur des produits alimentaires contenant des complexes de fer, tels que des protéines contenant de l’hème, associés à des molécules précurseurs d’arômes. Impossible Foods a déclaré, à Food Navigator USA, que ses plans pour lancer sa gamme complète de produits dans l’Union Européenne n’ont pas changé. 

Son “produit” sur mode “faux sang”, sans le parfum, à base de léghémoglobine recombinante chimérique de soja, serait, actuellement, en cours d’évaluation par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) en vue de son utilisation dans l’Union Européenne. Tous aux Abris!!!

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Enorme article sur Bloomberg recyclant les fausses viandes dans les oubliettes de l’Histoire

Cet article est intitulé “Fake Meat Was Supposed to Save the World. It Became Just Another Fad”: La fausse viande était censée sauver le monde. Elle est devenue un autre phénomène de mode.  [77] 

Beyond Meat et Impossible Foods voulaient bouleverser l’industrie mondiale de la viande, qui pèse un billion de dollars. Mais la viande à base de plantes s’avère être un flop.

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Viande artificielle: pour le WEF, le recours aux “biotech” afin de nourrir la population mondiale est “urgent”

Article chez France-Soir. [53] Pour le Forum économique mondial (WEF), le monde est “loin” de pouvoir satisfaire la demande alimentaire grâce à des solutions durables. Les États-Unis et l’Asie ont une légère avance, mais l’Europe est “encore à quelques années” de proposer suffisamment d’alternatives soutenables à ses citoyens, comme des aliments à base d’insectes, une viande à base de plantes ou développée grâce à des cellules animales dans des laboratoires, ou du lait généré à partir de cellules mammaires. Dans un article publié le 17 janvier 2023, le WEF promeut la biotechnologie comme “solution pour réduire le réchauffement climatique” et “prévenir une crise alimentaire”. Encore faut-il “augmenter les investissements” dans ces technologies… et convaincre les plus réticents, industriels comme consommateurs.

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“Orchestration de la Famine Pandémique”

L’entreprise Impossible Foods, spécialisée dans les fausses viandes, lance sa 3ème vague de licenciements

Selon Bloomberg et la presse. [13] Impossible Foods licencie 20 % de ses effectifs. 

La marque de viande végétale prévoit de supprimer 20 % de ses employés, a rapporté Bloomberg lundi, citant une source anonyme. Au moment des licenciements, Impossible employait environ 700 personnes. Les licenciements ont fait partie des bouleversements survenus l’année dernière chez Impossible. Plusieurs cadres ont quitté la société, et le fondateur et ancien PDG Pat Brown est en congé d’Impossible jusqu’au printemps. Brown a quitté son poste de PDG en avril. 

La croissance des ventes de viande d’origine végétale s’est stabilisée au cours des derniers mois, ce qui a amené les analystes à s’interroger sur l’avenir de cette catégorie. Impossible a publié une pleine page de publicité dans le New York Times au début du mois pour contrer l’affirmation d’un article de Bloomberg Businessweek selon laquelle la viande végétale n’est «qu’une autre mode». [14]

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“Orchestration de la Famine Pandémique” 

Bravo! Près de 1 000 scientifiques signent la déclaration de Dublin en faveur de l’alimentation carnée et de l’élevage de bétail 

L’édition spéciale de la revue Animal Frontiers publiée à la mi-avril est accompagnée de la déclaration de Dublin, dont l’objectif est de « donner la parole aux nombreux scientifiques du monde entier qui mènent des recherches diligentes, honnêtes et fructueuses dans les différentes disciplines afin de parvenir à une vision équilibrée de l’avenir de l’agriculture animale ».  [56] 

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