Los Cantos de Xochi. Orchestration de la Famine Pandémique. Chapitre 5

Graphénisation de l’alimentation carnée, et protéinée, 

par les “vaccins” injectés dans les animaux d’élevage

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Sommaire

Déclaration d’intentions

“Vaccins à l’ARNm”: un nom de code pour des “Vaccins” nano-métallisés et, surtout, nano-graphénisés?

Nano-Particules Dendrimères Biodégradables dans les nouveaux “Vaccins” à l’ARNm

Nouveaux “Vaccins” à l’ARNm sur mode Dendrimères: avec ou sans Graphène?

“Vaccins” à l’ARNm pour la “santé” animale chez Bayer

“Vaccins” à l’ARNm pour la “santé” animale chez Merck

Graphène et Chitosane dans les “vaccins” destinés aux volailles

Graphène dans les “vaccins” destinés aux Poissons

Graphène dans les “vaccins” destinés au bétail

Graphène dans les “vaccins” destinés aux animaux de zoo

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Nous sommes au coeur de l’Orchestration de la Famine Pandémique

Déclaration d’intentions

Actuellement, en France, et dans tant d’autres pays, en attendant des hypothétiques  et miraculeux “vaccins à l’ARN” anti-grippaux, les éleveurs continuent d’euthanasier des dizaines de millions de volailles… afin qu’elles ne puissent pas mourir infectées par la grippe. Tout va bien? Quand le monde des agriculteurs va-t-il se révolter, une bonne fois pour toutes?

Christiane Lambert, de la FNSEA – le principal syndicat mafieux des agriculteurs –  a déclaré, récemment, que le “Vaccin à l’ARNm”  destiné à protéger les volailles, prétendument, contre la grippe aviaire, serait prêt en juin 2023 – alors que le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, l’avait annoncé pour l’automne 2023. [30] En fait, le “Vaccin” de Ceva santé animale, le leader de la santé animale en France, est en test jusqu’au printemps 2023 et, comme il requiert 9 mois de production industrielle, il ne sera, donc, commercialisé qu’en 2024. Le second laboratoire, l’Allemand Boehringer pourra-t-il précipiter ses recherches à une “vitesse de la science” plus rapide que la “vitesse de la science” de Ceva santé animale? 

Je me suis, déjà, largement, exprimé, à ce propos, dans mon essai intitulé “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les  Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?” – qui constitue le premier chapitre de ma séquence “Orchestration de la Famine Pandémique”. [44]

Au sujet de la grippe aviaire et pour le Devoir de Mémoire eu égard au guide Mouammar Kadhafi, assassiné par le nain Hongrois et la clique Clinton en 2011. Kadhafi déclara, en septembre 2009, devant l’assemblée générale de l’Organisation pour le Nivellement Universel – qu’il accusa de brasser du vent –  que les virus n’existent que pour la vente de vaccins par les multinationales de la pharmacie. Mouammar Kadhafi, un grand rêveur, en appela, même, alors, à la gratuité totale des remèdes. Le guide Mouammar Kadhafi savait, pertinemment, que les virus pathogènes n’existent que dans la propagande débridée des vaccinalistes génocideurs. [45]

A l’époque, il se moqua, même, de la grippe aviaire en prophétisant dans le futur l’émergence d’une grippe des poissons! Et nous y sommes car, aujourd’hui, les poissons sont vaccinés à l’encontre d’une foultitude de pathologies diverses et variées… tandis que les volailles, en attente d’un vaccin à l’ARN, sont euthanasiées, par dizaines de millions, afin de ne pas se retrouver infectées, et grippées, par une chute d’excrément d’oies sauvages, contaminées, volant au-dessus de leur aire de captivité. 

Aujourd’hui, mon objectif, transparent et déclaré, pour ce cinquième chapitre de ma séquence “Orchestration de la Famine Pandémique”, est de mettre en exergue l’orchestration, par les Globalistes eugénistes, d’un nouveau vecteur de graphénisation des populations. Il s’agit du vecteur des “vaccins” dont sont injectés, en permanence, les animaux d’élevage tout au long de leur vie – très souvent concentrationnaire. 

En octobre 2022, une étude intitulée, “Promising strategy for developing mRNA-based universal influenza virus vaccine for human population, poultry, and pigs– focus on the bigger picture” [55], a même évoqué la possibilité de créer un vaccin mRNA universel destinée aux humains, aux porcs et aux volailles. Tout va bien?

Faut-il préciser que si du graphène se retrouve dans la chaine alimentaire – dans les viandes, dans les oeufs, dans le lait, etc – en raison des campagnes de “vaccination” des animaux d’élevage, c’est parce que ces animaux sont graphénisés de leur vivant? Tout comme les animaux humains le sont – à leur insu.

Ainsi que le résume une étude récente, publiée en décembre 2022: [53] « L’utilisation de la nanotechnologie en médecine vétérinaire (nanomédecine vétérinaire) en est encore à ses débuts. Il est urgent de poursuivre les recherches sur la pharmacocinétique ou la toxicocinétique des nano-médecines chez divers animaux d’élevage, sur les réactions allergiques et toxiques dues à l’hétérogénéité des matériaux et de leurs formes, formules et doses, sur les espèces animales et sur d’autres questions inconnues. »

Et, ce du moins, tant qu’il y aura de l’élevage car, si les Peuples ne réinitialisent pas, très rapidement, les Hommes de Davos – le gang du Forum Economique Mondial qui a, même, placé un chapelet de ses poupées Barbie en position d’autorités – cela va très mal se passer pour l’avenir de leur agriculture-élevage… et pour leur souveraineté alimentaire.

La Grande Réinitialisation, ou la Grande Narration, de Klaus Schwab n’est qu’un variant très viral, et extrêmement pathogène, du syndrome de Tikun Olam – dont certains sont fortement contaminés…. depuis belle lurette.

Dans leur immense théâtre de Davos, les Globalistes ne font que radoter leurs sempiternelles menaces démentes à l’encontre des Peuples qui, d’ailleurs, prennent de plus en plus conscience de la nature vicieuse, pathologique, eugéniste, inhumaine – et même extra-terrestre, comme le souligne John Kerry – de cette entité auto-proclamée à la guidance du Monde.  

Aujourd’hui, cette secte mortifère, que constitue le Forum Economique Mondial, git en pleine décrépitude – témoin, par exemple, la démission de la junkie, Jacinda Ardern, en charge de la Nouvelle-Zélande… après en avoir fait une décharge d’un point de vue social. Je serais, même, enclin à imaginer que les Banksters, qui ne font pas dans la dentelle émotionnelle, pourraient considérer, discrètement, de faire péter quelques disjoncteurs… d’autant plus que l’énorme scandale de FTX, et de Sam le banquier frit, plane, sournoisement, dans l’atmosphère, purulente, de certains psychopathes affiliés au Forum Economique Mondial.

“Vaccins à l’ARNm”: un nom de code pour des “Vaccins” nano-métallisés et, surtout, nano-graphénisés?

Aujourd’hui, l’obsession vaccinale repose sur l’ARNm: point de salut vaccinal sans ce messager nucléique. D’ailleurs, l’obsession médicale, pour ne pas employer le terme “thérapeutique”, s’en remet  énormément, également, à l’ARNm… et aux prétendues thérapies “géniques”.

Avec les “Vaccins à l’ARNm”, toutes les surprises sont possibles. Il suffit, pour s’en convaincre, d’écouter le criminel Albert Bourla – le PDG de Pfizer depuis 2019 – tenter d’écouler, par voix orale, une soupe insipide, inarticulée et incohérente de boniments, et de propagande, prétendument scientifiques. Et, même, concéder publiquement, à la télévision, qu’il est évident que Pfizer ne crée pas ses vaccins à partir d’un virus CoqueVide/19 réel et existant – mais juste à partir d’un pseudo-virus, d’un virus synthétique, à savoir à partir de séquences génétiques issues d’un ordinateur. [51]  [52]

Même Fakypedia, pour dire, n’a pas réussi à découvrir une photographie conférant un semblant minimum d’intelligence [50] à cet individu qui fut placé à la tête de Pfizer en même temps que le Forum Economique de Davos, en janvier 2019, orchestra, très secrètement, la fausse pandémie à venir en fin d’année. Se référer à la tête réjouie de Stéphane Bancel, le patron de ModeRNA qui y assista. 

En fait, deux des pires criminels en charge du génocide vaccinal Covidien des Nations, des Goyims, sont des vétérinaires. Antony Fauci est un vétérinaire qui s’est recyclé dans l’eugénisme d’Etat (Sida, CoqueVide, etc) pendant plus de quatre décennies tandis qu’Albert Bourla est un vétérinaire qui a rejoint Pfizer, en 1993, et qui s’est spécialisé dans la biotechnologie de la reproduction animale – à savoir dans la création de chimères animales, au sens propre, car non naturelles.

Même les laitues en sont concernées… et menacées? [26] En effet, le 16 septembre 2021, l’Université de Californie Riverside publiait un article présentant ses recherches récentes portant sur la création d’un “vaccin” ARNm vectorisé par des plantes comestibles et cultivées – en l’occurrence des laitues et des épinards… afin de lutter, prétendument, contre le CoqueVide/19 invisible. Selon Juan Pablo Giraldo, en charge de cette recherche, «Idéalement, une seule plante pourrait produire suffisamment de vaccin ARNm pour une personne».

Juan Pablo Giraldo est l’auteur de très nombreuses publications: c’est un expert en nano-particules, en nano-structures, en nano-technologies, en nano-bioniques – dans le domaine du végétal. Par exemple, en avril 2020, il a publié une étude intitulée “Targeted delivery of nanomaterials with chemical cargoes in plants enabled by a biorecognition motif”. [29] 

Cela ne s’invente pas: il s’agit de forcer des plantes a assimiler des charges chimiques en les déguisant avec des nanos-tubes de carbone – par exemple.

En sus d’être un spécialiste de l’ARN, Juan Pablo Giraldo a, également, publié quelques études sur les dérivés de la famille du graphène: “Targeted Carbon Nanostructures for Chemical and Gene Delivery to Plant Chloroplasts” [28], “Sulfolipid density dictates the extent of carbon nano-dot interaction with chloroplast membranes” [22] et “Polymethacrylamide and Carbon Composites that Grow, Strengthen, and Self‐Repair using Ambient Carbon Dioxide Fixation” [27].

Est-ce une coïncidence? Absolument pas. Dans l’une de ces études, Juan Pablo Giraldo déclare que: « Nous avons développé des nano-matériaux ciblés à base de carbone comme outils pour l’administration précise de produits chimiques (points quantiques de graphène) et des plateformes d’administration de gènes (nano-tubes de carbone à paroi simple) aux chloroplastes, des organites clés impliqués dans les efforts visant à améliorer la photosynthèse des plantes, l’assimilation des nutriments et l’administration de produits agrochimiques »

Dans cet exemple précis – à savoir, la création d’un “vaccin” ARNm vectorisé par des laitues et des épinards – il s’avère très clair que le chercheur en charge de cette création vaccinale est un spécialiste du graphène qui utilise des points quantiques de graphène, ou des nano-tubes de carbone, afin de vectoriser des charges diverses et variées. Même si aucun des articles rédigés par la grande presse ne mentionne ces dérivés du graphène utilisés, par Juan Pablo Giraldo, comme vecteurs – ils le sont, néanmoins.  

En conclusion, il semble très raisonnable de proposer que le terme “Vaccin à l’ARNm” soit un terme généraliste, et globaliste, codé afin de désigner des vaccins nano-particulaires métallisés… et surtout des vaccins nano-graphénisés –  et nano-graphénisant. 

Et je vais le prouver tout au cours de cet essai – qui est quelque peu technique, il est vrai. Nonobstant, aujourd’hui, il est essentiel de s’éduquer si l’on ne veut pas consommer, directement ou indirectement, des laitues/vaccins gavées de polymères à base de nano-tubes de carbone ou, plus simplement, de la viande (ou des oeufs, ou du lait) provenant d’élevages totalement vaccinés/injectés aux dérivés de graphène – afin de les protéger, prétendument, contre un nombre incroyable de pathologies dument inventées… En fait, à l’encontre d’un nombre sans cesse croissant de pathologies. Pourquoi? Parce que la Mafia de la Pharmacratie a pour intention de ratisser très large… en centaines de milliards de dollars – sur mode Vaccins” à l’ARNm.

Nano-Particules Dendrimères Biodégradables dans les nouveaux “Vaccins” à l’ARNm

Le 12 janvier 2023, Tiba Biotech – une nouvelle start-up créée en 2016 par le MIT – signait un partenariat avec le CEPI [15] afin d’évaluer la technologie de la plateforme de vaccins à ARN de nouvelle génération pour lutter contre la “maladie X”. Pour mémoire, le CEPI est la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une organisation parrainée et financée par le Forum Economique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. En bref, un contrat de partenariat entre mafieux. 

Pour rappel. Le développement du vaccin “nCoV 2019” a été annoncé au Forum Economique Mondial de Davos, du 21/24 janvier 2020, une semaine avant le lancement officiel, par l’OMS, d’une urgence de santé publique mondiale, le 30 janvier 2020, alors que le nombre de cas confirmés – par PCR invalides – dans le monde (hors Chine) était de 150 (dont 6 aux États-Unis).

Le 18 janvier 2023, à Davos, l’animatrice de CNBC, Rebecca Quick, a félicité le PDG de Moderna pour avoir développé le vaccin Covid… avant que le virus n’existe aux États-Unis. [31] Au cours du débat, l’animatrice de CNBC Rebecca Quick a révélé que, lors d’une réunion du WEF, du 21/24 janvier 2020, Stéphane Bancel lui a dit que Moderna travaillait déjà sur un vaccin “Covid/19”… Tout va bien?

L’expression “Covid/19” fut officiellement introduite au monde, le 11 février 2020, par le clown de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Tout va bien?

Selon leur présentation: «Tiba Biotech est une société biopharmaceutique de stade préclinique qui développe des vaccins et des traitements ARN de nouvelle génération basés sur une nouvelle plateforme d’administration de nano-particules dendrimères initialement développée au Massachusetts Institute of Technology et au Whitehead Institute for Biomedical Research. La plateforme d’administration de nanoparticules de Tiba Biotech, RNABL™, peut permettre en toute sécurité de grandes charges utiles vaccinales et thérapeutiques, avec des exigences de chaîne du froid assouplies et une sécurité supérieure par rapport aux technologies ARN existantes, afin de fournir une protection contre de multiples maladies humaines et animales. »

Une sécurité supérieure? Existerait-il des problèmes de sécurité avec les injections à ARN développée “à la Vitesse de la Science”?

En septembre 2022, Tiba Biotech a signé un partenariat avec l’état de New South Wales, en Australie, afin de développer des vaccins ARNm – en processus très accélérés [20] – de nouvelle génération, contre de nouvelles maladies animales émergentes qui menacent le secteur de l’élevage et la sécurité alimentaire de l’Australie – dont un vaccin ARNm contre la fièvre aphteuse [16] [17] 

En juin 2022, Tiba Biotech a signé un partenariat avec la Cummings School of Veterinary Medicine of Tufts University, afin de développer un vaccin multi-antigène, à ARNm qui protège, prétendument, contre l’encéphalomyélite de Powassan – vectorisée par les mêmes espèces de tiques qui transmettent la Maladie de Lyme. [18]

Selon leur propagande, le monde a besoin d’une meilleure vectorisation de l’ARN car, aujourd’hui, la plupart des médicaments, à base d’ARN, reposent sur une technologie vieille de plusieurs décennies – les nano-particules lipidiques (LNP) – pour permettre leur administration dans le corps humain. «Les nano-particules lipidiques sont de délicates coquilles nanométriques constituées d’amino-lipides chargés positivement qui encapsulent l’ARN chargé négativement. Cependant, des études ont montré que ces composants de nano-particules lipidiques peuvent entraîner une toxicité et une inflammation indésirables et limitant les doses. Il s’agit également d’un espace de brevets très contesté où un petit nombre d’innovateurs précoces sont en mesure d’exiger des droits de licence élevés qui refroidissent les nouvelles applications. Tiba a développé un portefeuille de brevets délivrés et de demandes de brevets à travers le monde, allant des nouvelles chimies de dendrimères à la conception d’acides nucléiques»

En bref, Tiba Biotech affirme être dans la capacité d’introduire une nouvelle classe de nano-particules biodégradables entièrement synthétiques [35] qui surmonteraient les limites – et la toxicité – des nano-particules lipidiques. 

Avec ou sans Graphène?

Nouveaux “Vaccins” à l’ARNm sur mode Dendrimères: avec ou sans Graphène?

Au vu du fait que les Autorités et les Globalistes n’ont de cesse que de graphéniser les populations, il est tentant de postuler, de nouveau, l’hypothèse selon laquelle le terme “Vaccin à l’ARNm fonctionnalisé avec des nano-particules dendrimères” soit un terme généraliste codé afin de désigner des vaccins nano-particulaires métalliques… et surtout des vaccins nano-graphénisés. 

Voir, en Français, l’article du CINaM intitulé “Au CINaM, de nombreux chimistes s’intéressent à la synthèse de molécules appelées dendrimères, ainsi qu’à leurs propriétés et leurs applications biologiques en vue d’en faire les médicaments du futur”. [54]

En effet, la littérature scientifique, de ces dernières années, ne manque pas d’études portant sur la synergie entre les dérivés de graphène et les dendrimères – à savoir sur la réalisation de chimères graphène/dendrimères… pour des applications médicales.  

En fait, déjà, dès 2013, une étude intitulée, “Colloidal drug delivery systems in vaccine delivery”, déclare que: «Les vecteurs colloïdaux – liposomes, niosomes, microsphères, protéosomes, virosomes et particules de type viral (VLP), cochléates d’antigène, dendrimères et nano-tubes de carbone – ont été largement explorés pour l’administration des vaccins. »[37]

En fait, dès 2006, une étude intitulée, “Functional polymeric nanoparticles: an efficient and promising tool for active delivery of bioactives”, déclare que: «Divers types de nanosystèmes fonctionnels, tels que les nano-tubes de carbone, les points quantiques, les micelles polymères, les dendrimères, les nano-particules métalliques et les liposomes, sont largement explorés. Cependant, la forte accumulation tissulaire des nanoparticules non biodégradables a entraîné des problèmes de toxicité et en a fait des systèmes thérapeutiques et diagnostiques peu populaires. La toxicité et la sécurité des nano-particules non biodégradables font l’objet de recherches futures.» Il s’agit d’administrations: l’administration de médicaments, l’administration par voie orale, l’administration de gènes, l’administration de vaccins et l’administration intracellulaire… par le biais de nano-particules polymériques. [40]

Voici quelques autres études, par exemple, dont certaines évoquent, ouvertement, la création de chimères graphène/dendrimères destinées à l’administration de vaccins : 

“Recent Advances in Nanotechnology for the Treatment of Melanoma”. 2021. La nano-technologie offre de nombreux avantages qui pourraient améliorer l’espérance de vie des patients atteints de mélanome avec des effets indésirables très faibles. Cette revue vise à examiner les dernières avancées en matière de nano-technologie en tant que stratégie innovante pour le traitement du mélanome. En particulier, l’utilisation de différents types de nano-particules, comme les vésicules, les polymères, les métaux, les nano-tubes de carbone, les dendrimères, les lipides solides, les micro-aiguilles, et leur combinaison avec des immunothérapies et des vaccins seront discutées. [38]

“Active targeted drug delivery for microbes using nano-carriers”. 2015. Cette étude généraliste porte sur les quatre types principaux de nano-vecteurs… pour les vaccines et autres “thérapies” dites géniques: les dendrimères, les nano-tubes de carbone, les liposomes et les nano-particules. [39]

“Pharmaceutical nanotechnology: from the bench to the market”. Janvier 2022. [12] 

La nano-technologie est considérée comme un domaine nouveau et en pleine émergence dans le secteur pharmaceutique et médical. Les nanoparticules, en tant que systèmes d’administration de médicaments, présentent plusieurs avantages, notamment une meilleure efficacité et une réduction des effets indésirables.

Différents types de nano-systèmes ont été fabriqués, notamment des nano-tubes de carbone, des nano-particules paramagnétiques, des dendrimères, des nano-émulsions, etc. Les propriétés physicochimiques des matériaux de départ et la méthode de préparation choisie jouent un rôle important dans la détermination de la forme et des caractéristiques des nanoparticules développées. La dispersion de polymères préformés, la coacervation, la polymérisation, le séchage par nano-pulvérisation et la technologie des fluides supercritiques sont parmi les techniques les plus utilisées pour la préparation des nanocarriers. La taille des particules, la charge de surface, l’hydrophobie de la surface et la libération du médicament sont les principaux facteurs qui affectent la stabilité physique des nanoparticules et les performances biologiques du médicament incorporé. Dans la pratique clinique, de nombreux nano-médicaments ont été utilisés pour des applications diagnostiques et thérapeutiques et font l’objet d’essais cliniques pour diverses indications. Les nano-particules sont utilisées pour le traitement des maladies rénales, de la tuberculose, des affections cutanées, de la maladie d’Alzheimer, de différents types de cancer ainsi que pour la préparation de vaccins COVID-19.

“Graphene-dendritic polymer hybrids: synthesis, properties, and applications”. 2019. Certains des candidats prometteurs, pour une fonctionnalisation efficace et contrôlable des dérivés du graphène, sont les dendrimères, et les polymères hyperbranchés, en raison de leur haute densité de fractions fonctionnelles accordables et de leur capacité à interagir avec les bio-systèmes. Dans cet article, nous avons passé en revue les avancées récentes dans la conception d’hybrides graphène-polymères dendritiques et leurs applications, ainsi que les défis à relever dans ce domaine. [32]

“Simple preparation of maltose-functionalized dendrimer/graphene quantum dots as a pH-sensitive biocompatible carrier for targeted delivery of doxorubicin”. 2020. Il s’agit de la création de chimères avec des dendrimères et des points quantiques de graphène – pour vectoriser de la doxorubicine. [33]

“Graphene-dendrimer nanostars for targeted macrophage overexpression of metalloproteinase 9 and hepatic fibrosis precision therapy.” 2018. Il s’agit de la création de chimères avec des dendrimères et des nano-étoiles de graphène – pour vectoriser des remèdes. [34]

“Dendrimer functionalized carbon quantum dot for selective detection of breast cancer and gene therapy”. 2019. Il s’agit de la synthèse verte, de points quantiques de graphène, à partir de pelures de citrons. Les points quantiques de graphène sont, ensuite, fonctionnalisés avec des dendrimères pour une transfection ciblée de gènes dans le cas de cancers du sein. [36]

Il exista un atelier virtuel organisé, en mars 2021, par le CNRS de Toulouse, qui est intitulé “Oxyde de graphène et Nano-tubes de carbone fonctionnalisés par des dendrons et dendrimères phosphorés pour des applications en oncologie”. [19] Il fut suivi par une thèse du même nom, sous la tutelle d’Anne-Marie Caminade, soutenue en mars 2022. [24]

“Vaccins” à l’ARNm pour la “santé” animale chez Bayer

Les recherches sur de l’ARN injecté dans les animaux ne datent pas d’hier. En 2008, par exemple, une étude fut publiée intitulée “MicroRNA: Mechanism of gene regulation and application to livestock”. [21]

En mai 2016, BioNTech annonça son partenariat avec Bayer afin de développer de nouveaux vaccins et traitements innovants, à base d’ARNm, pour des applications en santé animale. [4]

BioNTech, fin décembre 2022, a annoncé la sortie d’un nouveau “Vaccin à l’ARNm” permettant de se protéger à l’encontre de la malaria. [46] Précision: ce sont les humains qui sont vaccinés – et non pas les moustiques. 

Cette campagne vaccinale anti-paludique est l’occasion, pour BioNTech, de présenter son nouveau concept de “BioNTainer” – à savoir des modules de production de vaccins qui pourront se disséminer dans toute l’Afrique. Les premiers sont prévus, pour fin décembre 2022, au Rwanda. [47]

En novembre 2021, au sommet du World Health Summit – qui accueillit 6000 personnes de 120 pays – Stefan Oelrich, le président de la division Bayer Pharmaceuticals de Bayer, déclara que: «En définitive, les vaccins à ARNm sont un exemple de ce que la thérapie cellulaire et génique peut apporter. J’aime toujours dire : si nous avions fait un sondage il y a deux ans dans le public – “seriez-vous prêt à prendre une thérapie génique ou cellulaire et à l’injecter dans votre corps ?” – nous aurions probablement eu un taux de refus de 95 %. Je pense que cette pandémie a ouvert les yeux de beaucoup de gens sur l’innovation.» [5]

Bayer a tenté de minimiser les dégâts de cette déclaration intempestive en déclarant qu’il s’agissait d’un lapsus quant à l’évocation d’une thérapie génique. Bayer n’a pas osé commenter sur le reste des déclarations de Stefan Oelrich. [6]

Il va sans dire que le terme “thérapie” doit être entendu dans le sens de “sauver la planète” – sur mode pleurnicheries du Forum Economique “Mondial” – en éliminant une partie des populations par le vecteur de campagnes “vaccinales” génocidaires. 

Il s’agit d’une “thérapie” cellulaire et génique dans la mesure où les nano-particules, et en particulier celles de la famille du graphène, constituent des vecteurs de mutation cellulaire – ou de mort cellulaire pour les injectés qui ne survivent pas. 

C’est, d’ailleurs, le même Stefan Oelrich qui, lors du même sommet – d’inepties et de corruptions médicales et sanitaires – mentionna la mission de Bayer Pharmaceutical, ainsi que d’autres institutions et personnalités de premier plan, dans la promotion de la contraception dans les pays en voie de développement. Il déclara, même, très clairement: «Nous devons également nous concentrer sur ce qui est socialement responsable en dehors de l’Europe et y assurer une action durable. Nous nous sommes engagés, l’année dernière, à donner, à cent millions de femmes supplémentaires, l’accès à la contraception dans le monde. Nous avons investi 400 millions de dollars, cette année, dans de nouvelles usines destinées à produire des contraceptifs, à longue durée d’action, pour les femmes des pays à revenu faible ou intermédiaire… Avec Bill et Melinda Gates, nous travaillons en étroite collaboration sur des initiatives de planning familial.»

Stefan Oelrich évoqua, dans son discours de novembre 2021, la “Bio Révolution” – une nouvelle fadaise promue par le Cabinet McKinsey… expert en toutes corruptions. Cette organisation mafieuse titre, en effet, sur son site “The Bio Revolution: Innovations transforming economies, societies, and our lives”. [12] 

Selon sa définition: «La “Révolution Biologique” est une confluence des progrès de la science biologique et du développement accéléré de l’informatique, de l’automatisation et de l’intelligence artificielle [qui] alimente une nouvelle vague d’innovation. Cette Révolution Biologique pourrait avoir un impact considérable sur les économies et nos vies, de la santé à l’agriculture en passant par les biens de consommation, l’énergie et les matériaux. »

“Vaccins” à l’ARNm pour la “santé” animale chez Merck

Dès janvier 2019, Merck a annoncé le lancement d’une nouvelle plate-forme vaccinale révolutionnaire, à l’ARN, dénommée “Sequivity” [23]  [25] qui est présentée comme “Le soutien dont vous avez besoin pour faire face aux menaces de maladies porcines en constante évolution.” [7] 

Selon leur introduction: «Combattez les maladies porcines actuelles et futures avec SEQUIVITY de Merck Animal Health. Plateforme révolutionnaire de vaccins porcins, SEQUIVITY exploite la technologie des particules d’ARN pour créer des vaccins sur ordonnance personnalisés contre les souches du virus de la grippe A chez le porc, le circovirus porcin (PCV), le rotavirus et bien d’autres encore. Elle s’appuie sur un tableau de bord sophistiqué contenant des données et des informations complètes, pour vous aider à rester au top. »

Selon leur publicité: « Le développement des vaccins traditionnels peut prendre des années. La technologie des particules d’ARN, de SEQUIVITY, permet de développer des vaccins porcins personnalisés sûrs et flexibles en seulement 8 à 12 semaines.»

Cette nouvelle plate-forme vaccinale révolutionnaire, à l’ARN, génère une séquence synthétique qui ne nécessite pas de manipuler l’ADN/ARN d’un agent pathogène. Sa flexibilité lui permet de construire des vaccins à partir de plusieurs agents pathogènes porcins et/ou souches A.

Il en est de même pour le CoqueVide/19 qui n’existe pas – si ce n’est sous forme de séquences génétiques virtuelles.

Pour rappel. C’est Merck qui, en novembre 2015, a racheté Harris Vaccines, Inc – une société privée qui développe, fabrique et vend des vaccins pour les animaux d’élevage et de compagnie. [9]

C’est cette firme Harris Vaccines qui commercialise, depuis quelques années, un vaccin pour porc, à “l’ARNm”, anti-grippal (H3N2 cluster IV), en deux doses, [30] ainsi qu’une vaccin anti-grippe, à “l’ARNm”, pour les volailles. [42] 

Pour ces deux injections, la firme Harris Vaccines donne les précautions, très explicites, suivantes [49]: «Ne pas vacciner dans les 21 jours précédant l’abattage. Congeler à -80°C pour une conservation à long terme. Utiliser dans les 7 jours si le produit est conservé à 4°C. Utiliser tout le contenu lors de la première ouverture/perforation. En cas de réactions anaphylactiques, administrer de l’épinéphrine»

Comme nous avons pu le constater, avec toutes les autres injections anti-CoqueVide, de la Mafia Pharmacratique, les extrêmes basses températures de conservation – sous prétexte de protéger l’ARN fragile – sont requises afin que le graphène ne commence pas à floculer sous l’effet de la chaleur ambiante.

Question: que se passe-t-il si la viande est vendue dès la vaccination? Des paysans Espagnols ont, par exemple, mis en ligne une vidéo d’un poulet, prêt à la vente, dont le corps continuait de pulser sous l’effet d’une énergie inconnue. Serait-ce celle de l’oxyde de graphène activé par une source d’énergie proche?

Nous apprenons, d’ailleurs, du communiqué de Merck, en date du 12 novembre 2015, que: « Ce système pionnier s’adapte rapidement aux nouveaux défis liés aux maladies et a joué un rôle déterminant dans la production du premier vaccin autorisé sous conditions pour aider à contrôler le virus de la diarrhée épidémique porcine, un virus mortel qui a tué plus de huit millions de porcelets depuis son apparition soudaine aux États-Unis en 2013. En septembre 2015, Harris Vaccines a reçu une autorisation conditionnelle pour un vaccin contre la grippe aviaire de sous-type H5 eurasien et a ensuite obtenu un contrat du service d’inspection sanitaire des animaux et des plantes du ministère de l’Agriculture des États-Unis (USDA/APHIS) pour produire le vaccin ».

Est-il bien clair que Merck déclare, en toute transparence, qu’une autorisation d’urgence et conditionnelle, par l’USDA, leur a permis d’introduire, commercialement, des “vaccins” dénommés “à l’ARN”, dès 2014/2015, à l’encontre, prétendument, du virus de la diarrhée épidémique porcine. Un premier “vaccin à l’ARN”, anti-diarrhéique, fut, officiellement, approuvé en juin 2014 [8] et un second “vaccin à l’ARN”, anti-grippal, fut autorisé en septembre 2015. 

Graphène et Chitosane dans les “vaccins” destinés aux volailles

Une étude récente, de décembre 2021, intitulée “Enhancement of antiviral activity of egg yolk antibodies against Chinese sacbrood virus”, porte sur l’amélioration de l’activité antivirale des anticorps de jaune d’œuf contre le virus chinois du couvain sacciforme grâce à la vaccination de la volaille avec des injection à base de graphène et de chitosane[164]

Selon le résumé. Le virus chinois du couvain sacciforme constitue une menace sérieuse pour l’apiculture en Chine. Bien que plusieurs approches aient été tentées pour contrôler l’infection par le virus chinois du couvain sacciforme, leurs applications ont été grandement limitées dans l’élevage pratique des abeilles mellifères en raison de leur faible efficacité. Les anticorps de jaune d’œuf (EYA) ont montré une protection prometteuse des abeilles contre l’infection par le virus chinois du couvain sacciforme. Cette étude a été menée pour produire des anticorps de jaune d’œuf à titre élevé et améliorer leur effet antiviral. Parmi les trois groupes de vaccination, le titre d’AVE du groupe oxyde de graphène-chitosan était le plus élevé (1,591 ± 0,145), celui du groupe Freund était modeste (1,195 ± 0,040) et celui du groupe huile blanche était le plus faible (1,058 ± 0,056). Après trois injections de chaque vaccin chez les poules, l’AEM a été produite au niveau le plus élevé pendant une période de 14 jours. Après l’application de l’EYA pendant plus de deux ans dans un élevage réel d’abeilles, les tests de prévention et de traitement ont montré que l’EYA conférait une protection de 98,9 à 100% contre l’infection par le virus chinois du couvain sacciforme. La mortalité du groupe témoin a atteint une fourchette de 91,2 à 100 %. Cette étude a démontré que les EYA à titre élevé ont été préparés avec succès avec une activité anti-virus chinois du couvain sacciforme significative et que ces anticorps peuvent être utilisés pour le traitement du virus chinois du couvain sacciforme afin de répondre aux besoins pratiques de l’apiculture. 

Il existe, également, une étude de 2019, intitulée “Novel carbon quantum dots can serve as an excellent adjuvant for the gp85 protein vaccine against avian leukosis virus subgroup J in chickens”. Il s’agit d’un vaccin, à base de points quantiques de graphène, à l’encontre, prétendument, du virus de la leucose sarcomateuse aviaire. [172]

Graphène dans les “vaccins” destinés aux Poissons

Vu que les vaccins à l’ARN – un nom de code pour les dérivés de graphène – sont déjà commercialisés à destination des volailles [141] et des bovins, je suis parti en quête de ces nano-particules dans les “vaccins” destinés aux poissons. 

Faut-il préciser que l’industrie des “vaccins” pour les poissons existe depuis une cinquantaine d’années?

Faut-il préciser que les “vaccins”, à base d’ADN, pour les poissons existent depuis, au moins, 2005? Voir l’étude “DNA vaccines for aquacultured fish”. [146]

Faut-il préciser que les nano-particules sont, déjà, abondamment, utilisées dans les “vaccins” pour poissons. Par exemple, PLGA. [154]

Et j’ai trouvé une douzaine d’études qui, effectivement, portent sur l’inclusion de dérivés de graphène dans les vaccins destinés aux poissons. 

“Optimization of immunization procedure for SWCNTs-based subunit vaccine with mannose modification against spring viraemia of carp virus in common carp”. Optimisation de la procédure d’immunisation pour un vaccin sous-unité à base de nano-tubes de carbone à simples parois avec modification du mannose contre la virémie printanière du virus de la carpe chez la carpe commune. 2021.  [60]

“The immunoprotective effect of whole-cell lysed inactivated vaccine with SWCNT as a carrier against Aeromonas hydrophila infection in grass carp”.   Effet immunoprotecteur du vaccin inactivé lysé à cellules entières avec nano-tubes de carbone à simples parois comme vecteur contre l’infection par Aeromonas hydrophila chez la carpe herbivore. [63]

“Recent Advances in Application of Nanoparticles in Fish Vaccine Delivery”. 2017. [155] 

Il existe un besoin constant de développer des vaccins et des systèmes d’administration efficaces pour prévenir et contrôler les maladies infectieuses émergentes et réémergentes en aquaculture. Il existe d’innombrables maladies infectieuses pour lesquelles le développement de vaccins efficaces s’est avéré difficile. Cet échec est principalement dû à l’incapacité de concevoir des vaccins suscitant des réponses immunitaires appropriées. L’utilisation de nanoparticules a fourni une formidable opportunité de concevoir des systèmes d’administration de vaccins qui sont efficaces dans l’administration ciblée, fournissant une stabilité aux antigènes, et agissant comme des adjuvants efficaces. De nombreuses nanoparticules sont capables de pénétrer dans les cellules présentatrices d’antigènes par différentes voies et d’induire des réponses immunitaires appropriées à l’antigène. 

Un certain nombre de nanoparticules différentes sont utilisées pour l’administration de vaccins aux poissons, notamment des polymères biodégradables, des nano-liposomes, des nano-tubes de carbone, du phosphate de calcium et des complexes immunostimulants (ISCOM), parmi lesquels le PLGA, poly(acide lactique-co-glycolique), et le chitosan sont les formes de nanoparticules les plus étudiées à ce jour. L’utilisation et l’application d’autres formes de nanoparticules doivent donc être explorées. Cette revue donne un aperçu de l’utilisation de différents systèmes de nanoparticules pour l’administration de vaccins pour poissons et compare le potentiel de ces systèmes d’administration pour le développement de nouveaux vaccins contre différents agents pathogènes des poissons.

Il est bien précisé, en 2017, que ces nano-particules, par exemple de graphène, sont déjà utilisées pour l’administration de vaccins aux poissons.

“Immune efficacy of carbon nanotubes recombinant subunit vaccine against largemouth bass ulcerative syndrome virus”. 2020. Cette étude porte sur l’efficacité immunitaire d’un vaccin recombinant à base de nano-tubes de carbone contre le virus du syndrome ulcératif de l’Archigan à grande bouche (Micropterus salmoides). [151]

Selon leurs conclusions. Nos résultats démontrent que les nano-tubes de carbone, à paroi unique, peuvent être utilisés comme une nouvelle méthode d’immunisation contre les ulcères.

“Carbon nanotube-based DNA vaccine against koi herpesvirus given by intramuscular injection”. 2019.  Cette étude porte sur l’efficacité d’un vaccin à base de nano-tubes de carbone et d’ADN contre un virus d’herpès chez la Carpe commune. [158]

“Carbon nanotubes-loaded subunit vaccine can increase protective immunity against rhabdovirus infections of largemouth bass (Micropterus Salmoides)”. 2020. Cette étude porte sur le recours à des nano-tubes de carbone, à paroi unique, pour prétendument vacciner contre un prétendu rhabdovirus chez l’Archigan à grande bouche (Micropterus Salmoides). [152]

“Application of Carbon Nanotubes in the Advancement of Fish Vaccine”. 2022. [159]

Récemment, des systèmes de nano-transporteurs ont été mis au point pour améliorer l’administration et l’efficacité des vaccins. Les nanoparticules peuvent être facilement transformées pour avoir des caractéristiques chimiques et physiques spécifiques. De même, les nano-tubes de carbone constituent une nouvelle alternative et un outil efficace pour le transport et la translocation des molécules thérapeutiques. Comme les nano-tubes de carbone fonctionnalisés ne sont pas immunogènes, ont une faible toxicité et sont hautement biocompatibles, ils présentent un énorme potentiel en nanomédecine et en nano-biotechnologie. L’administration de médicaments à base de nano-tubes de carbone est prometteuse pour une plus grande efficacité et des effets secondaires moindres, ce qui permet d’obtenir une plus grande efficacité des médicaments. Les nano-tubes de carbone sont utilisés comme vecteurs de vaccins pour protéger les poissons d’élevage contre les agents pathogènes. Ce chapitre du livre fait la lumière sur les nano-tubes de carbone en tant que nouvel outil potentiel de transport de vaccins contre diverses maladies bactériennes et virales chez les poissons. L’importance des nano-tubes de carbone pour améliorer l’aquaculture durable est également soulignée dans ce chapitre.

“Single-walled carbon nanotubes as delivery vehicles enhance the immunoprotective effect of an immersion DNA vaccine against infectious spleen and kidney necrosis virus in mandarin fish”. 2020. C’est un vaccin à base de nano-tubes de carbone et d’ADN destiné à lutter, prétendument, contre une nécrose chez la Perche Chinoise (Siniperca chuatsi). [142]

“Advances and Perspectives in the Use of Carbon Nanotubes in Vaccine Development”. 2021. [157] 

Les progrès de la nano-biotechnologie ont permis l’utilisation des nanotechnologies par le biais des nano-vaccins. Les nano-vaccins sont des outils puissants pour renforcer l’immunogénicité d’un antigène spécifique et présentent des avantages par rapport à d’autres approches adjuvantes, avec des caractéristiques telles qu’une stabilité accrue, une libération prolongée, une immunotoxicité réduite et une sélectivité immunogène. Nous présentons les progrès récents des nano-tubes de carbone pour induire soit un effet porteur en tant que nano-plateforme, soit un effet immunostimulateur. Plusieurs études sur les nano-vaccins à base de nano-tubes de carbone ont révélé qu’en raison de la capacité des nano-tubes de carbone  à transporter des molécules immunogènes, ils peuvent agir comme des vaccins non classiques, une qualité que ne possèdent pas les vaccins aux formulations traditionnelles. Par conséquent, l’adaptation et la modification des propriétés physicochimiques des nano-tubes de carbone en vue de leur utilisation dans des vaccins peuvent également améliorer leur efficacité à induire une réponse immunitaire basée sur les lymphocytes T. En conséquence, l’objectif de cette étude est de renouveler et d’éveiller l’intérêt et les connaissances sur l’utilisation sûre des nano-tubes de carbone comme adjuvants et supports dans les vaccins.

“Single-walled carbon nanotubes as delivery vehicles enhance the immunoprotective effect of a DNA vaccine against spring viremia of carp virus in common carp”. 2017.  [153] C’est un vaccin à base de nano-tubes de carbone, à simple paroi, à l’encontre, prétendument d’un virus chez la carpe.

“Functionalized Multi-Wall Carbon Nanotubes Enhance Transfection and Expression Efficiency of Plasmid DNA in Fish Cells.” 2015. Selon leurs conclusions: Tous ces résultats ont indiqué que les complexes à base de nano-tubes de carbone, NH₃⁺,à simple paroi, pourraient convenir au développement d’un vaccin ADN pour le contrôle de l’infection virale dans l’industrie aquacole. [156] 

“Applications of carbon nanotubes and polymeric micro‐/nanoparticles in fish vaccine delivery: progress and future perspectives”. 2021. [147]

Voici une vidéo récente portant sur la seule unité Espagnole de “vaccination”, à savoir d’injections de poisons. [129]

“Optimizing the immunization procedure of single-walled carbon nanotubes based vaccine against grass carp reovirus for grass carp”. C’est un vaccin à base de nano-tubes de carbone, à simple paroi, à l’encontre, prétendument d’un virus chez la carpe. [162]

“Single-walled carbon nanotubes as candidate recombinant subunit vaccine carrier for immunization of grass carp against grass carp reovirus”. C’est un vaccin à base de nano-tubes de carbone, à simple paroi, à l’encontre, prétendument d’un virus chez la carpe. [166]

Il existe, bien sûr, également, des vaccins pour poissons élaborés à partir d’autres nano-particules, par exemple la Silice. “Caractérisation et évaluation d’un vaccin oral via un nano-vecteur, de silice mésoporeuse, pour l’administration de protéines immunogènes de surface contre l’infection à Streptococcus agalactiae chez le Tilapia du Nil”. Etude d’avril 2023. [53] 

Il est donc urgent de développer des vaccins oraux économiques et applicables pour le développement durable de l’aquaculture du tilapia du Nil. Dans cette étude, des nanoparticules de silice mésoporeuse ont été fabriquées à l’aide de la technologie de synthèse sol-gel, et les antigènes de la protéine immunogène de surface ont été chargés dans les nanoparticules de silice mésoporeuse pour développer un nanovaccin MSNs-Sip@HP55… Dans l’ensemble, le nano-vaccin a présenté un taux élevé d’utilisation de l’antigène et a été facilement administré par voie orale via l’alimentation, ce qui pourrait protéger le tilapia du Nil contre les défis posés par Streptococcus agalactiae dans les élevages à grande échelle. Le vaccin oral basé sur des porteurs, à base de nanoparticules de silice mésoporeuse, est une stratégie potentiellement prometteuse pour le développement de vaccins pour les poissons.

Graphène dans les “vaccins” destinés au bétail

Il existe quelques études portant sur cette problématique précise.

“Immune response and biochemistry of calves immunized with rMSP1a ( Anaplasma marginale) using carbon nanotubes as carrier molecules”. 2018. Cette étude porte sur la vaccination de veaux, à l’encontre de la bactérie Anaplasma marginale, au moyen de vaccins concoctés avec des nano-tubes de carbone à multiples parois. [148]

“Efficient delivery of DNA into bovine preimplantation embryos by multiwall carbon nanotubes”. 2016.  [160]  Selon le résumé:

La zone pellucide est une barrière protectrice des cellules embryonnaires contre les substances chimiques, physiques ou biologiques. De ce fait, les méthodes de transfection habituelles ne sont pas efficaces pour les ovocytes et les embryons de mammifères, car elles sont exclusivement destinées aux cellules somatiques. Les nano-tubes de carbone sont apparus comme une nouvelle méthode d’administration de gènes, et ils peuvent être une alternative pour la transfection des embryons, malgré que leur capacité à traverser la zone pellucide, et à moduler le transfert de gènes, est inconnue. Nos données confirment que les nano-tubes de carbone multi-parois peuvent traverser la zone pellucide et délivrer de l’ADNp dans des embryons bovins fécondés in vitro. Le taux de dégénérescence et l’expression des gènes associés à la viabilité cellulaire n’ont pas été affectés chez les embryons exposés aux nano-tubes de carbone multi-parois Ces embryons présentaient toutefois un nombre de cellules inférieur et un indice de cellules apoptotiques supérieur, mais cela n’a pas nui au développement embryonnaire. Cette étude montre l’utilité potentielle des nano-tubes de carbone multi-parois pour le développement d’une nouvelle méthode d’administration d’ADN aux embryons bovins. 

“Balanced Th1/Th2 immune response induced by MSP1a functional motif coupled to multiwalled carbon nanotubes as anti-anaplasmosis vaccine in murine model”. 2019. Il s’agit, de nouveau, d’un vaccin pour le bétail à l’encontre d’Anaplasma, qui a recours à des nano-tubes de carbone multi-parois. [167]

“Evaluation of humoral and cellular immune response of BALB/c mice immunized with a recombinant fragment of MSP1a from Anaplasma marginale using carbon nanotubes as a carrier molecule”. 2014. Il s’agit, de nouveau, d’un vaccin pour le bétail à l’encontre d’Anaplasma, qui a recours à des nano-tubes de carbone multi-parois. [168]

Faut-il préciser, par exemple, que les nano-tubes de carbone peuvent pénétrer dans l’organisme des volailles par d’autres voies que celles de la vaccination. Par exemple, selon cette étude, de 2019, intitulée “Carbon nanotubes significantly enhance the biological activity of CpG ODN in chickens”, [163] les nano-tubes de carbones sont mélangés avec des Oligodéoxynucléotides synthétiques non méthylés de cytidine-phosphate-guanosine afin, prétendument de stimuler l’activité immunitaire des volailles. 

“IgY against enterotoxigenic Escherichia coli administered by hydrogel-carbon nanotubes composites to prevent neonatal diarrhoea in experimentally challenged piglets”. 2016. Il s’agit d’un vaccin à l’encontre, prétendument, d’Escherichia coli chez les porcs nouveau-nés, qui est concocté à partir d’un hydrogel composé de chitosan et de nano-tubes de carbone. [170]

Précisons qu’en Australie, en octobre 2022, un message Télégram déclara qu’une éleveuse venait de perdre 35 de ses 200 vaches à la suite d’une vaccination ARNm. [42] Les fact-checkers se précipitèrent, alors, pour affirmer que ce n’était pas possible de par l’absence de commercialisation officielle de vaccines ARNm destinés au bétail.  S’agissait-il, donc, d’un autre type de vaccination, graphénisée, pouvant provoquer un tel massacre? 

Belle Carter, sur vaccinedeath.com, se fit, également, l’écho de cette problématique. [41]

Graphène dans les “vaccins” destinés aux animaux de zoo

J’ai déjà signalé les décès, post-vaccinaux, de plusieurs animaux de zoo qui sont décédés à la suite de leurs injections CoqueVide/19. Ces injections sont, bien évidemment, tout autant graphénisées que celles qui sont destinées aux animaux humains – qui, d’ailleurs, eux aussi, ont été confinés dans des zoos, ou des camps de concentration, durant les épisodes les plus dictatoriaux de la fausse pandémie. 

Il est à noter dès février 2021, des campagnes de vaccination des furets avaient été organisées avec, prétendument, des versions allégées des injections anti-CoqueVide de Pfizer et Moderna. Allégées en quoi… vu que l’ARNm en est, très souvent, absent? Allégées en oxyde de graphène? 

En fait, de nombreux animaux de zoo sont, officiellement, décédés du CoqueVide/19 alors qu’en fait ils ont trépassé suite à leur vaccination graphénisée. Par exemple, trois léopards des neiges sont décédés du CoqueVide/19 dans un zoo de l’Illinois aux USA. [11]

Il en est de même d’un lion, dans un zoo en Afrique, qui a été vacciné contre le CoqueVide dans le cadre d’un programme de vaccination qui concernait la plupart des animaux des zoos, des parcs naturels et des réserves. [13]  La mort subite, “en spirale”, de ce lion vacciné a été filmée. [10]

Il existe de très nombreuses vidéos, sur la Toile, montrant des personnes (vaccinées CoqueVide) qui meurent subitement après que leurs corps ait fait une ronde en l’air. A savoir, un mouvement circulaire quasi complet de leur corps – tel un mouvement de danse terminale. La spirale de la mort a été observée chez des humains mourant soudainement, mais son apparition chez les animaux est un phénomène nouveau.

En 2011, la société Zoetis (ex-Pfizer), basée dans le New Jersey aux USA, a expédié 27 000 doses, de son vaccin expérimental, à près de 70 zoos du pays pour 100 espèces de mammifères. [14] [110] Ce sont, ainsi, de très nombreuses espèces animales qui ont été vaccinées à l’encontre de la pandémie inexistante: gorilles, tigres, hippopotames, hyènes, lions, etc. 

Le 22 juin 2022, Kimani, le jeune gorille – du zoo de Calgary au Canada – est décédé de son cancer du foie. [1] 66 animaux, de ce zoo, avaient reçu leur première dose d’injection CoqueVide, en début avril 2022 – dont deux gorilles, un léopard, un tigre, etc… [2]

En mai 2022, c’est le gorille femelle, Martha, qui est décédée de mort subite, par coïncidence – à la suite de son injection CoqueVide/19. [3]

En novembre 2022, une étude a proposé un “vaccin ARNm” pour juguler la célèbre pathologie, la Rage. “An mRNA-based rabies vaccine induces strong protective immune responses in mice and dogs”. [43]

De même que pour tous les autres animaux d’élevage, les vaccins destinés aux animaux de zoo seront – et sont déjà – des “vaccins à l’ARNm”… le nec plus ultra de la Vaccinade.

Cette étude, de février 2022, l’énonce on ne peut plus clairement. “mRNA Vaccine Development for Emerging Animal and Zoonotic Diseases”. [49] 

« Dans la prévention et le traitement des maladies infectieuses, les vaccins à ARNm sont très prometteurs en raison de leur faible risque de mutagenèse insertionnelle, de leur forte puissance, de leurs cycles de développement accélérés et de leur potentiel de fabrication à faible coût. Ces dernières années, plusieurs vaccins à ARNm ont fait l’objet d’essais cliniques et se sont révélés prometteurs en tant que solutions pour combattre les maladies infectieuses émergentes et réémergentes telles que la rage, le Zika et la grippe. Récemment, l’application réussie de vaccins à ARNm contre le COVID-19 a permis de valider davantage la plateforme et a ouvert les portes au potentiel des vaccins à ARNm dans la prévention des maladies infectieuses, notamment dans le domaine vétérinaire. Dans cette revue, nous décrivons notre compréhension actuelle des vaccins à ARNm et les technologies utilisées pour le développement des vaccins à ARNm. Nous donnons également un aperçu des vaccins à ARNm développés pour les maladies infectieuses animales et discutons des orientations et des défis pour les applications futures de cette plateforme vaccinale prometteuse dans le domaine vétérinaire ».

De la part de ces “scientifiques”, il s’agit, purement et simplement, de propagande et de complicité dans des crimes à l’encontre des Peuples. 

D’ailleurs, contrairement à l’une des insanités proférées par ces auteurs, ce n’est pas un virus qui tua la moitié des 433 millions de porcs en Chine, en 2019: c’est une campagne d’extermination impulsée par le Parti Bolchévique Chinois afin que les porcs ne meurent pas, prétendument, contaminés. 

En effet, en Chine, les consignes furent de détruire tous les porcs dans un rayon de trois kilomètres… dès la moindre suspicion d’un cas de Grippe Porcine Africaine. A savoir, une PsyOps orchestrée par l’Etat Chinois afin d’éliminer des millions de petits éleveurs.

En effet, à cette époque, encore, 40% de la production de porcs provenait de petites fermes d’élevage (à savoir moins de 500 porcs) qui étaient, ainsi, au nombre de 2,6 millions. Le nombre de porcs abattus en Chine est, annuellement, de 700 millions générant plus d’une cinquantaine de millions de tonnes de viande.