Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté
Chitine et Chitosane dans la production d’électricité
Chitine et Chitosane dans la “Médecine Nano-Particulaire”
Chitine et Chitosane dans les polymères, à base de Graphène, de la “Médecine Nano-Particulaire”
Chitine et Chitosane dans les Hydrogels de la “Médecine Nano-Particulaire”
Hydrogels et Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène… vers Homo chimericus
Toxicité de la Chitine, et du Chitosane, dans l’Organisme Humain
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Avant-Propos
Dans ce présent essai, mon objectif – transparent et déclaré – est d’aborder le thème de la chitine, prétendument “alimentaire”, de sa toxicité dans l’organisme humain ainsi que le thème du chitosane, un dérivé de la chitine, qui est amplement utilisé avec diverses formes de nano-particules métalliques – dont les nano-particules de graphène (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit, nano-tubes de carbone, points quantiques de carbone, etc) – pour des applications dénommées “médicales” sous la forme de polymères, nanogels et autres hydrogels.
L’Alerte est Biologique. L’obsession des Globalistes vaccinalistes, eugénistes et déments, est de transformer chaque être humain en un Homo chimericus doté d’un nouvel organisme chimérique – à base de graphène et de chitine – permettant sa connectivité… avec les contrôleurs. Et qui sont-ils? Qui? QUI?
Je n’ai pas abordé le thème des insectes – dans ce qui est dénommé la “nutrition humaine” – depuis mon dernier essai, intitulé “La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement?” [1], d’octobre 2019, qui fait partie d’une séquence de quatre essais portant sur les insectes chimériques et sur la production méga-industrielle de fausses viandes, de faux oeufs, de faux lait, de faux cuir, etc, à base d’insectes – ou à base “d’agriculture cellulaire”.
Mes trois autres essais sont intitulés: “L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles” [2], “Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?” [3] et “La loi Biodiversité de juillet 2016 : un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture?” [4].
Dans un essai subséquent, je vais aborder, de nouveau, les évolutions du secteur de l’industrialisation de la nutrition par enthomophagie – depuis octobre 2019.
En fait, à l’automne 2021, j’avais commencé un très long dossier portant sur les nombreuses “Pénuries Alimentaires” – naturelles et orchestrées – que je n’ai jamais terminé et publié… à l’exception de mon essai, d’avril 2022, intitulé “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?”. [5]
Aujourd’hui, je souhaite, donc, intensément, reprendre le fil de ce sujet crucial car l’introduction généralisée des insectes, en tous genres, dans l’alimentation humaine (et animale) est en cours d’accélération vertigineuse… suite aux diktats de l’eugéniste Bill Gates et du Forum Economique Mondial – et de son gang de criminels mafieux sous la houlette de l’eugéniste dément Klaus Schwab.
Aldi, la chaîne de supermarchés discount, vient juste d’annoncer qu’elle va se lancer dans la commercialisation des insectes alimentaires… afin de nourrir les pauvres! [102] N’est-ce pas touchant?
Pourquoi une telle accélération de “l’insectisation” de l’alimentation? Pourquoi une telle accélération de “la chitinisation” de l’organisme biologique humain?
Le terme “Chitine” – qui se prononce ki.tin – est dérivé du Grec ancien “χιτών, khitôn” signifiant “tunique”.
Tout d’abord, afin de détruire totalement l’agriculture/élevage qui reste l’un des fondements de la diversité culturelle des Peuples sur toute la planète – à l’exception des quelques Peuples animistes, chasseurs-cueilleurs, qui ont survécu au carnage civilisationnel.
Ensuite, afin d’intoxiquer les Peuples avec un nouveau vecteur de contamination – en sus des biocides, des chimères, des polluants industriels, des déchets radioactifs, des injections appelées vaccins, des substances allopathiques censées soigner, etc, etc, ad nauseam. Ce nouveau vecteur de contamination, en effet, est la chitine des insectes qui constitue un poison pour l’organisme humain – du moins, lorsqu’il s’agit d’accumulations notoires et quotidiennes.
Finalement, afin de constituer un organisme chimérique à base de chitine, en sus du graphène, et à base de chitosan, un dérivé de la chitine, qui sont utilisés, depuis un grand nombre d’années, pour constituer des polymères, nanogels et autres hydrogels – en synergie avec diverses formes de graphène ou autres nano-particules métalliques. Cet organisme chimérique, artificiel et synthétique, sera contrôlable à distance, par internet, grâce aux capacités de connectivité tout autant du graphène que de la chitine des insectes.
La Chitine, et le Graphène, créent, dans l’organisme humain, une tunique, une enveloppe, une coquille, une toile bio-métallico-électronique, emprisonnante et envoutante, qui va connecter le nouvel organisme chimérique avec la “Toile” – par les vecteurs des 4 et 5G. Il s’agit de la fusion, promue par le criminel Klaus Schwab, entre «l’identité physique, numérique et biologique» des humains.
D’ailleurs, Klaus Schwab – cet handicapé de la joie de vivre et représentant de commerce des multinationales du complexe militaro-industriel – n’a jamais précisé quelle différence pourrait bien exister entre une identité physique et une identité biologique… chez l’Humain.
Comment ces psychopathes criminels peuvent-ils parler de “trans-humanisme”… alors que leur vie entière est, strictement, exempte d’éthique, de mutualisme, de partage, d’amour, de tendresse, de joie de vivre, d’enthousiasme – à savoir d’Humanisme?
Et vous, chers lecteurs, confrontés à cette accélération vertigineuse vers Homo chimericus, quelle est votre concept “d’Humanisme”? Et quelle vision avez-vous, donc, de votre “Humanité”?
Au sujet de la Chitine
La chitine (C8H13O5N)n est le deuxième polysaccharide le plus abondant dans la Biosphère après la cellulose. Il en existe trois sources principales – d’un point de vue industriel. [56]
Le marché mondial de la chitine, et du chitosan, est estimé à 4,2 milliards de dollars en 2021, avec un taux de croissance annuel composé d’environ 15%.
Les crustacés. Pour la consommation humaine à travers le monde, ce sont, environ, 10 millions de tonnes de crustacés – dont il existe 40 000 espèces dans la Biosphère – qui sont produites, annuellement, dans les pêcheries, ou les élevages aquatiques. 40% de cette bio-masse commercialisée est considérée comme un déchet: ce sont les exosquelettes dont le contenu en chitine comprend de 15 à 40% – en fonction des espèces de crustacés.
Les champignons. La chitine constitue entre 1% et 41% de la masse de la paroi cellulaire des champignons. Bien que toutes les espèces de champignons ne contiennent pas de chitine, elle est présente dans certains phylums tels que les Basidiomycètes (Basidiomycota), les Ascomycètes (Ascomycota), les Deutéromycètes (Deuteromycota) et les Zygomycètes (Zygomycota).
Le chitosan peut être directement isolé de la paroi cellulaire de certaines espèces de champignons sans avoir recours au clivage des groupes acétyles. Les espèces les plus étudiées, pour la production directe de chitosane, comprennent Absidia spp. (Zygomycètes), Aspergillus niger (Ascomycètes), Mucor rouxii (Zygomycètes), Rhizophus oryzae (Zygomycètes) et Lentinus edodes (Lentin du Chêne. Basidiomycètes). [56] Les Mucoraceae, ou Moisissures blanches, en contiennent également.
En fonction des espèces, on peut trouver de 7% à 41% de chitine dans leurs parois cellulaires. Par exemple, le Portobello, Agaricus brunnescens, contient jusqu’à 8% de chitine dans ses tissus tandis que la Pleurote, Pleurotus ostreatus, en contient jusqu’à 41%. [67]
Les insectes. Les sous-produits riches en chitine constituent une source nouvelle, et durable, de chitine commerciale d’autant plus que ce sont des centaines d’entreprises qui se sont lancées dans l’activité d’élevage, production, de transformation et de commercialisation d’insectes pour l’alimentation animale et humaine.
Selon van Huis (2003), ce sont 1400 espèces d’insectes qui sont réputées comestibles de par le monde. Selon Yhoung-Aree et Viwatpanich (2005), ce sont 164 espèces d’insectes comestibles qui sont récoltées et commercialisés, massivement, en Thaïlande.
Selon l’étude, de 2020, intitulée “The Potential of Insects as Alternative Sources of Chitin: An Overview on the Chemical Method of Extraction from Various Sources” [12], Bombyx eri (le Ver à soie) contient 45% de chitine et de chitosane, Cryptotympana pustulata (une Cigale) en contient 36,6% et Chyrysomya megacephala (la Mouche bleu orientale) en contient 26,2%.
Les cuticules des scarabées contiennent, généralement, entre 15 et 20% de chitine. Une étude récente, de Shin et al., [99] a été menée sur deux coléoptères: le Ténébrion meunier (Tenebrio molitor) et les Scarabées rhinocéros. La teneur en chitine était, respectivement, de 4,60%, 8,40% et 3,90% dans la larve, l’adulte et le super-ver du Ténébrion meunier et, respectivement, de 10,53%, 12,70% et 14,20% dans la larve, la pupe et l’adulte du Scarabée rhinocéros.
Par la suite, le chitosan a été obtenu par désacétylation des extractions de chitine, de tous les phases des deux espèces de coléoptères, et sa teneur, à partir de la chitine, était, respectivement, de 80,00%, 78,33% et 83,33% dans la larve, l’adulte et le super-ver du Ténébrion meunier, et, respectivement, de 83,37%, 83,37% et 75,00% dans la larve, la pupe et l’adulte du Scarabée rhinocéros.
Quant aux autres insectes comestibles produits industriellement, les larves de la Mouche Soldat noire (Hermetia illucens) contiennent 35% de chitine. [57] Les insectes adultes du Grillon domestique (Acheta domesticus) contiennent 7% de chitine. Les larves du Ver à bois géant (Zophobas morio) contiennent de 4 à 6% de chitine. [59]
Selon le Guinness, le record, enregistré, d’intensité animale fut un nuage de 12,5 trillions de criquets de l’espèce Melanoplus spretus – le Criquet des Montagnes Rocheuses. Ce rassemblement de criquets pesait environ 27,5 millions de tonnes – dont quelques millions de tonnes de chitine.
En ce qui concerne les sauterelles et les criquets, selon qu’il s’agisse de mâles ou de femelles, le contenu en chitine est, environ: de 6 à 10% pour l’Oedipode Cévenole (Celes variabilis); de 10 à 12% pour le Dectique verrucivore (Decticus verrucivorus); de 5 à 8% pour Melanogryllus desertus; de 7 à 8% pour Paracyptera labiata. [97]
En fait, selon des approximations, prétendument scientifiques, la bio-synthèse naturelle de chitine, dans la Biosphère, serait de l’ordre de quelque 100 milliards de tonnes – annuellement. [101] En fait, si l’on en croit les mêmes: «Dans la nature, le polysaccharide de chitine est synthétisé enzymatiquement par le transfert d’un glycosyle de N-GlcNAc de l’uridinediphosphate-N-acétyl-D-glucosamine à l’accepteur de chitodextrine». Il semblerait, donc, que les Voies de la Terre Mère peuvent être très élaborées – et intentionnées. [66]
Il existe, également, de la chitine dans les algues, dans les poissons, dans les coraux, dans des amphibiens et dans certains vertébrés. [26]
Découvertes fascinantes de l’entomologiste, et biologiste, Philip Callahan portant sur la Chitine d’Insectes et les Bio-Electroniques Moléculaires
Philip Callahan [50] – un entomologiste génial, des USA, qui a beaucoup travaillé sur le paramagnétisme des sols en tant que facteur de fertilité de l’agriculture [49] – s’est extrêmement intéressé à la chitine en tant que vecteur de communication chez les insectes. En particulier dans son ouvrage, de 1975, “Tuning in to Nature: Solar Energy, Infrared Radiation and the Insect Communication System”, il expose sa théorie selon laquelle les squelettes des insectes sont telles des antennes à guide d’ondes diélectriques revêtues de thermoélectret. Son oeuvre biophysique constitue, entre autres, en une étude des bio-électroniques moléculaires dans le monde des insectes.
Philip Callahan est l’un de mes héros et je possède l’intégralité de ses ouvrages publiés dans ma bibliothèque de plusieurs milliers d’ouvrages. Philip Callahan est l’un des scientifiques les plus authentiques du siècle passé: c’est pour cela qu’il fut méprisé par la secte des néo-darwinistes. L’un de sujets de recherches, de Philip Callahan – qui mettait tous les agronomes de l’agro-chimie dans des états d’hystérie incontrôlables – était de savoir pourquoi les insectes ne détruisaient jamais des plantes en bonne santé et croissant sur des sols sains et non oxydés par la chimie agricole.
Philip Callahan est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages, et autres publications – entre 1965 et 1984. [98]
Philip Callahan avait, déjà, exposé sa théorie dans une étude publiée en 1968 et intitulée “Insect Bioelectronics: A Theoretical and Experimental Study of Insect Spines as Dielectric Tubular Waveguides”/“Bioélectronique des insectes: Une étude théorique et expérimentale des sclérites d’insectes en tant que guides d’ondes tubulaires diélectriques.” [60] C’est une étude très technique et voici les deux premiers paragraphes de sa présentation.
Un nouveau concept du système de communication des insectes est fondé sur les caractéristiques électriques de l’exosquelette de l’insecte et la configuration des différentes sclérites et sensilles qui dépassent de l’exosquelette de l’insecte. La morphologie, et les caractéristiques électriques, des articles et des sensilles des antennes d’insectes indiquent qu’il s’agit de guides d’ondes diélectriques tubulaires agissant comme des antennes pour la détection de certaines fréquences lumineuses et infra-rouges. Afin de tester ces théories, on a recours à diverses radiations infrarouges et visibles et on soumet l’insecte à des longueurs d’onde dans les régions visibles, proches, intermédiaires et lointaines de l’infrarouge.
Des photographies de papillons de nuit, en plein vol, montrent que les antennes des papillons de nuit sont très stables en vol. Les formules permettant de déterminer les modes de résonance des antennes diélectriques ont été appliquées aux dimensions des branches antennaires des papillons de nuit. Les résultats ont invariablement été calculés dans le domaine du visible, de l’infrarouge ou des micro-ondes. L’exosquelette de l’insecte est recouvert d’une couche cireuse qui possède, intrinsèquement, les caractéristiques connues des physiciens sous le nom de propriétés thermoélectriques. La cire d’abeille est l’un des thermoélectrets les plus efficaces. L’exosquelette de l’insecte possède une constante diélectrique comprise entre 2 et 3, la constante diélectrique la plus attendue pour la conception d’un guide d’ondes efficace dans la région visible et infrarouge.
C’est ainsi que Philip Callahan – un officier-radio en communications top-secret durant la Seconde Boucherie Internationale de 1939/1945 – raconta, lors d’un interview en décembre 2000, ce qui l’a amené dans la vie à faire des découvertes essentielles quant aux fondements de l’agriculture saine.
«Nous travaillons encore sur des projets, ce qui signifie qu’à terme, nous serons en mesure de générer des fréquences qui attireront les insectes. Mon intérêt pour le paramagnétisme a commencé par l’étude des lieux sacrés. J’ai visité ces sites dans le monde entier – sites Catholiques, Bouddhistes, Musulmans, et même Aborigènes Australiens. J’ai remarqué que la croissance des plantes était toujours meilleure dans ces lieux – qui semblaient toujours comporter des rochers. Des recherches plus poussées m’ont révélé que ces roches étaient hautement paramagnétiques.
Le fait est que cette force était déjà là. Je ne l’ai pas découverte. Elle est là pour être récoltée. Les archéologues appelleraient cela la “cueillette”. Une bonne agriculture n’est pas synthétique; elle doit impliquer de travailler avec la Nature plutôt qu’avec des poisons synthétiques. Les matériaux paramagnétiques sont là pour être récoltés. Une bonne agriculture est une “cueillette”.
En ce qui concerne mon travail électromagnétique, j’ai étudié les antennes des insectes, car j’avais de l’expérience dans la technologie radio. J’ai passé la guerre en Irlande dans une station radio top secrète. Le système, avec lequel je travaillais, n’était pas un système à semi-conducteurs que vous allumez et qui continue à fonctionner. C’était un système à tubes à vide et il a fonctionné, 24 heures sur 24, pendant deux années afin que les avions de commandement côtiers puissent retrouver leur chemin. Je devais garder ce système opérationnel en permanence. Si je faisais une erreur, cela pouvait entraîner la mort de 300 pilotes. J’étais bloqué dans cette station, mais j’ai beaucoup appris sur la radio. J’ai fini par observer le système d’antennes des insectes et j’ai commencé à faire des expériences.
Une simple expérience à 2 dollars m’a mis sur la bonne voie. J’ai pris un plant de maïs et j’ai utilisé une boîte pour diffuser l’odeur de la plante. À côté de la boîte, j’ai placé un morceau de tissu soyeux (qui était soyeux comme la soie du maïs) et j’ai fait briller une lumière bleue dessus. Sur les 2 000 œufs pondus par la pyrale du maïs, 1 990 ont été pondus sur le morceau de tissu poilu au lieu du plant de maïs.
À partir de cette simple expérience, j’ai compris que l’énergie de la lumière se combinait à l’énergie de l’odeur et en augmentait la puissance bien au-delà de ce que la plante exsudait originellement. Je me suis rendu compte que le parfum était impliqué et qu’il agissait, réellement, comme un oscillateur. C’est une question de bon sens. Si l’odeur est un oscillateur, alors vous commencez à chercher la fréquence. La partie infrarouge du spectre offrait un choix évident.
Le problème, pour faire accepter ces nouveaux concepts, est lié au fait que les entomologistes sont rivés à 100 ans de théorie de l’olfaction – qui ne couvre pas les concepts d’odeur et de fréquence. Avec le paramagnétisme, il suffit d’appliquer une poussière de concassage hautement paramagnétique pour voir les résultats. Les agriculteurs sont des scientifiques pratiques: si cela fonctionne, ils le font. Quant aux recherches portant sur l’infrarouge, il s’agissait de perturber le statu quo, et cela s’avère une tâche beaucoup plus difficile».
Il est noter que cette stratégie agricole, fondée sur le Vivant, est très proche de celle de Fukuoka et, encore plus, de celle de John Jeavons qui préconise non pas de faire croître des plantes agricoles mais, bien plutôt, de faire croître du sol – afin de faire croître des plantes agricoles.
L’oeuvre révolutionnaire de Philip Callahan, portant sur les insectes et sur les rayonnements infrarouges, constitue une étape importante dans la compréhension de la corrélation intime entre, d’une part, la nutrition et, d’autre part, la pression exercée par ce que l’on appelle “les insectes ravageurs” – et qui ne font qu’éliminer des plantes débiles… en particulier, les plantes de l’agriculture chimique et toxique.
Selon James L. Oschman, Ph.D., Nora H. Oschman de la Nature’s Own Research Association [98]: «Les recherches de Callahan ont montré que presque tous les parfums fonctionnent par stimulation de la double liaison C=H. La lumière et les sons de basse fréquence (comme le bourdonnement d’un moustique) peuvent faire vibrer ou “étirer” ces liaisons C=H de telle sorte que les molécules odorantes émettent dans la région infrarouge. Par exemple, les fourmis émettent un son d’environ 5 Hz (ce son est provoqué par le tapotement rapide de leurs antennes sur le sol ou sur les antennes d’autres fourmis). Ce tapotement stimule l’émission de molécules odorantes que les fourmis déposent pour créer des pistes leur permettant de se suivre. Lorsqu’elles se saluent, les fourmis peuvent distinguer les animaux d’une même colonie grâce aux émissions stimulées de la glande de Dufour, qui contient une substance de reconnaissance. Les abeilles, les moustiques, les mouches, les grillons et les criquets émettent chacun des fréquences spécifiques par le battement de leurs ailes. L’histoire de la façon dont ces insectes utilisent ces sons pour stimuler les molécules odorantes dans leur environnement est l’une des histoires les plus fascinantes de l’histoire naturelle, et elle est soigneusement documentée dans les écrits de Callahan. Ses recherches sont un exemple de ce que l’on peut apprendre en combinant l’œil aiguisé d’un naturaliste avec des techniques de mesure biophysique sensibles.
… Callahan a reconnu que la signalisation infrarouge avait de nombreuses applications au-delà de la communication avec les insectes. Le concept de communication bio-électromagnétique fait l’objet d’une attention croissante dans la communauté scientifique. Par exemple, voir l’ouvrage “Bioelectrodynamics and Biocommunication” de Ho, Popp et Warnke et une série d’études sur la “vision” cellulaire infrarouge de Albrecht-Buehler, “Cellular infrared detector appears to be contained in the centrosome. Cell motility and the cytoskeleton”. Au fil des ans, les scientifiques qui ont publié dans Perspectives Frontières ont rédigé un certain nombre d’articles clés sur ce sujet. À titre d’exemple, voir les travaux de Benveniste, C. W. Smith et de Fritz Popp».
Philip Callahan a, en effet, découvert que les plantes émettent un rayonnement infrarouge qui amplifie les molécules odorantes qui sont, alors, détectées par les antennes des insectes. Il a, également, découvert que les plantes en bonne santé (celles de l’agriculture biologique) émettent un signal différent de celui des plantes en mauvaise santé (celles de l’agriculture synthétique). Et comme Mère Nature est très “naturelle” et “organique”, dans ses voies Biosphériques, elle envoie des hordes d’insectes “ravager” les plantes malsaines de l’agriculture toxique – déficientes sur le plan nutritionnel. Cela oblige, ainsi, les agriculteurs toxiques à tenter d’exterminer ces insectes avec forces insecticides.
C’est un cercle vicieux car les insectes arrivent, toujours, à contourner les insecticides – à savoir, à les métaboliser… tout en restant vivants.
Qui plus est, Philip Callahan affirme que – tout comme les antennes des insectes – les racines des plantes constituent des guides d’ondes diélectriques:
«La force paramagnétique constitue la lumière des roches pour les racines. La roche est en fait un émetteur-récepteur qui capte le magnétisme du cosmos et le renvoie aux racines. Si vous prenez une roche paramagnétique et que vous la mettez dans le laboratoire du Dr Fritz-Albert Popp, en Allemagne, et que vous la mesurez avec ses instruments qui comptent les photons un par un, vous constaterez qu’une roche hautement paramagnétique émet 2000 à 4000 photons. Si vous mettez cette roche avec du compost, si vous la traitez de manière organique, elle passe de 2000/4000 photons à 400 000 photons. Maintenant, vous générez une lumière pour les racines. Les racines sont des guides d’ondes, tout comme les antennes des insectes. Lorsque l’on nettoie les racines et que l’on envoie une lumière sur elles, elles vont guider les ondes comme une fibre optique. Le Dr Popp possède un instrument, de 100 000 dollars, pour mesurer la lumière sous forme de photons.
Je peux démontrer le phénomène avec un instrument à 200 dollars appelé sténopé. Il suffit de percer un trou dans le capuchon de l’objectif et de coller une pierre à l’appareil dans l’obscurité totale. En trois semaines, vous pouvez développer un film qui montrera des lumières de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il y a si peu de photons qui se dégagent que vous devez laisser le film pendant trois semaines pour l’obtenir, mais le film est sensible à la lumière et si vous le laissez suffisamment longtemps, vous obtiendrez une image. C’est la preuve irréfutable que la roche paramagnétique génère de la lumière. N’oubliez pas que les racines des plantes sont là pendant trois mois, au minimum, et qu’elles reçoivent donc beaucoup de lumière».
Découvertes fascinantes de l’entomologiste et bio-physicien Russe, Viktor Stepanovich Grebennikov, portant sur les Propriétés anti-Gravitationnelles de certaines Chitines d’Insectes
« Les insectes capturés “là-bas” disparaissent de mes tubes à essais, des boîtes ou autres contenants, et la plupart sans laisser de trace. Une fois un tube s’était écrasé dans ma poche en minuscules morceaux, une autre fois il y avait un trou ovale dans le tube de verre dont les bords avaient du brun comme si c’était de la chitine (voir photo). Je ressentais souvent une sorte de brûlure dans ma poche ou de choc électrique, c’était peut-être au moment de la disparition de mon prisonnier. Il n’y a qu’une seule fois où j’ai trouvé dans le tube à essai un des insectes capturés, mais ce n’était pas un ichneumon adulte avec des anneaux blancs sur ses antennes, mais sa chrysalide, c’est-à-dire à un stade antérieur. Elle était vivante et son ventre remuait quand je la touchais, mais à ma grande consternation, elle est morte une semaine plus tard. Viktor Stepanovich Grebennikov.» [52]
Eu égard à la fonction de la chitine dans la Biosphère, il est, également, intéressant d’évoquer les recherches de feu l’entomologiste Russe, Viktor Stepanovich Grebennikov, (1927-2001), qui vivait à Novossibirsk. Ce savant fut déclaré dément par les scientifiques conventionnels, et dépourvus de la moindre imagination, lorsqu’il affirma avoir inventé une plate-forme anti-gravitationnelle en s’inspirant de certaines caractéristiques physiques de certains insectes, à savoir celles corrélées à la chitine et à la structuration en nid d’abeilles – [52] [53] [54] [55]
– à savoir de formes hexagonales… tout comme les hexagones carbonés du graphène. Quelles coïncidences!
Au cours de l’été 1988, Viktor Stepanovich Grebennikov examina au microscope la microstructure de la surface inférieure de l’enveloppe de l’aile d’un scarabée et s’intéressa à «une composition multidimensionnelle solide, en nid d’abeille, exceptionnellement structurée, extrêmement ordonnée et incomparable, qui semblait avoir été pressée par une machine automatique compliquée».
Viktor Stepanovich Grebennikov est l’auteur d’un ouvrage intitulé “My World” rédigé en 1997. Certains chapitres de son ouvrage sont disponibles, en Français, sur le site de Quanthomme. [100]
Dans de nombreuses sections de cet ouvrage, il décrit les propriétés remarquables des élytres des scarabées et des cétoines. Par exemple, certaines espèces du genre Agrilus, de l’Ordre des Coléoptères, possèdent une structure chaotique en nid d’abeilles sur la face interne des élytres.
Selon une introduction par N. Cherednichenko – un biophysicien de l’Académie Russe de sciences médicales : «C’est en 1988 que Viktor Stepanovich Grebennikov a découvert les effets anti-gravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes. Mais le phénomène le plus impressionnant découvert à cette occasion a été celui de l’invisibilité complète ou partielle ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de gravité compensée. En se basant sur cette découverte, l’auteur a utilisé des principes bioniques pour concevoir et fabriquer une plateforme anti-gravitationnelle destinée à des vols dirigés à la vitesse de 25 km/min. Depuis les années 1991, 1992, il a utilisé cet appareil pour des déplacements rapides. »
Des photographies de Viktor Stepanovich Grebennikov, décollant avec sa plate-forme anti-gravitationnelle, sont disponibles sur les divers sites ayant le courage de proposer ses recherches – en Français et en Anglais. [52] [53] [54] [55]
C’est ainsi que Viktor Stepanovich Grebennikov narra sa découverte: «Au cours de l’été 1988, alors que j’étais en train d’examiner au microscope les enveloppes de chitine d’insectes avec leurs antennes en forme de plumes et la plus fine structure d’ailes de papillons. Mon intérêt se porta sur une microstructure au rythme surprenant d’un détail de gros insecte.
C’était une composition extrêmement bien ordonnée, comme si elle avait été imprimée sur une machine complexe selon des calculs et des plans détaillés spéciaux. Comme je le voyais, la structure spongieuse compliquée n’était manifestement pas nécessaire que ce soit pour la résistance du détail ou sa décoration. Je n’avais jamais observé quoi que ce soit dans la nature, dans la technologie ou dans l’art, qui ressemble à cet ornement microscopique.. Cette structure étant tridimensionnelle, je n’ai pas pu, jusqu’ici, la saisir ni en dessin, ni en photo.
Pourquoi un insecte a besoin de ça ? De plus, à part au moment du vol cette structure au bas du logement de l’aile n’est jamais visible. Etait-ce peut-être la balise d’onde avec « mon » effet de structures à cavité multiples ? Cet été où j’ai eu vraiment de la chance (je n’ai pas pu observer ces insectes, ni auparavant, ni plus tard), il y avait beaucoup d’insectes de cette espèce que je capturais la nuit.
J’ai placé le petit morceau de chitine concave sur la lame du microscope pour pouvoir encore examiner ses cellules aux étranges formes étoilées sous un grossissement supérieur. J’ai à nouveau admiré ce chef d’oeuvre de la nature. J’allais placer sur le premier morceau et à l’envers (sans y avoir vraiment réfléchi) un second morceau possédant la même structure cellulaire étrange. Et alors là ! Le petit morceau s’est dégagé de mes brucelles et est resté suspendu au dessus de l’autre morceau sur la lame du microscope pendant quelques secondes, puis il a fait une rotation vers la droite de quelques degrés, a glissé à droite, a tourné ensuite dans le sens antihoraire, s’est balancé et c’est seulement à ce moment là qu’il est tombé d’un seul coup sur le bureau.
Imaginez un peu ce que j’ai ressenti à ce moment-là ! Quand j’ai repris mes esprits, j’ai lié quelques parties ensemble avec un fil – chose pas facile à faire et que je n’ai pu réussir qu’en les mettant en position verticale. J’obtins alors un bloc de chitine à plusieurs couches et je le plaçai sur le bureau. Même un objet relativement plus gros comme une punaise ne pouvait pas tomber dessus. Quelque chose l’a poussé vers le haut et de côté. C’est quand j’ai fixé la punaise sur le dessus du bloc, observant, des choses tellement impossibles et incroyables (la punaise devenant pendant quelques instants invisible) que j’ai réalisé que ce n’était pas une balise, mais quelque chose d’entièrement différent. Je devins encore plus excité lorsque tous les objets autour de moi devinrent flous et tremblants. Je fis en sorte de reprendre mes esprits, avec grand effort, en deux heures et je continuais à travailler. C’est ainsi que tout a commencé.»
Viktor Stepanovich Grebennikov est le co-auteur, avec le Professeur Russe, V. F. Zolotariov, d’une étude intitulée “Phenomenon of the interaction of many-cavity structures with the living system”. Le dénommé “Effet des Structures en Cavités” est un exemple de l’interaction des ondes de De Broglie avec les systèmes biologiques. Selon le Professeur Zolotariov, le mouvement d’ensemble des électrons dans un corps solide produit des ondes de De Broglie. Les cavités à l’intérieur du corps deviennent des résonateurs pour ces ondes et par conséquent une source d’ondes stationnaires de De Broglie. Le champ est produit par les cavités qui se trouvent disposées selon un certain rythme, dans un espace donné, ce qui renforce la résonance de l’effet (dans ce cas nous voulons dire, non pas rythme dans le temps, mais rythme dans l’espace, de façon similaire, on dit que l’architecture est de la musique figée (gelée).
« Le résultat ? Les énergies d’un caractère différent apparaissent, par exemple à partir d’une disposition de tubes de papier, de nids d’abeilles et ainsi de suite. L’organisme réagit à ces différentes énergies et des changements physiologiques peuvent se produire. » Viktor Stepanovich Grebennikov dans un article publié, en 1984, dans la célèbre et vénérable revue apicole Russe “Pchelovodstvo”.
Il est fort intéressant de souligner cette évocation d’une énergie différente émergeant de par une structure en nid d’abeille car il s’agit, bien entendu, également, de la forme hexagonale du graphène – une forme de Carbone dont, de plus, le numéro atomique est 6.
Voir mon essai “Au sujet du 666, du Carbone, du Graphène et de la Bête”. [96]
Selon l’astrologue US, Michael Heleus, qui développa “l’astrosonique”: «J’ai lu l’histoire de Grebennikov, j’ai vu que ses découvertes pouvaient s’appliquer à diverses situations, y compris le secret des violons de Stradivarius. Comme Navygary l’a découvert, leur bois était trempé dans l’eau de mer jusqu’à ce que la lignine (ndlt : substance organique qui imprègne les fibres du bois et les rend imperméables, inextensibles et rigides) soit pratiquement toute remplacée par de la silice et des sels, le bois devenant comme du cristal. Il était par la suite recouvert d’un vernis contenant de la chitine d’insectes. Je pense que cela émettait une richesse d’harmoniques (jusqu’aux plus élevées) d’ondes de gravité Grebennikov/De Broglie et que le Stradivarius acquérait ainsi la résonance hyperdimensionnelle qui en fait sa renommée».
Quitte à sortir des sentiers battus, j’invite, également, les lecteurs souhaitant s’éduquer – et comprendre ce qui se passe lorsque l’oxyde de graphène détruit le champ électro-magnétique naturel de l’humain – à consulter tous les travaux relatifs aux bio-photons, à savoir les recherches d’une pléthore de scientifiques dont Alexander Gurwitsch et Fritz-Albert Popp [51] – qui, d’ailleurs, collabora avec Philip Callahan.
En conclusion de cette section, j’invite tous ceux, qui seraient enclins à passer leur chemin – de par l’extrême “excentricité” de Viktor Stepanovich Grebennikov qui va jusqu’à évoquer des processus d’invisiblité – à consulter cette étude récente intitulée “Understanding the structural diversity of chitins as a versatile biomaterial”. [126]
«La chitine est l’un des biopolymères les plus abondants, et elle a adopté de nombreuses conformations structurelles différentes en utilisant une combinaison de différents processus naturels comme la biopolymérisation, la cristallisation et l’auto-assemblage hors équilibre. Cela conduit à un certain nombre d’effets physiques remarquables, comme la diffusion et la polarisation complexes de la lumière, ainsi qu’à des propriétés mécaniques uniques. Ce faisant, la chitine utilise un équilibre délicat entre les conformations de chaîne hautement ordonnées dans les nano-fibrilles et les structures désordonnées aléatoires. Dans cet article d’opinion, nous discutons de la hiérarchie structurelle de la chitine, de ses états cristallins et des processus naturels de biosynthèse permettant de créer des structures aussi spécifiques et diversifiées.
Parmi les exemples que nous avons explorés, la question unifiée se pose de la génération de bioarchitectures complètement différentes, comme les nanostructures en forme d’arbre de Noël, les gyroïdes ou les géométries hélicoïdales, à l’aide de processus similaires de croissance dynamique hors équilibre. La compréhension du développement in vivo de ces structures, à partir de l’expression des gènes, des activités enzymatiques et de la matrice chimique employée aux différentes étapes de la biosynthèse, nous permettra de modifier les paradigmes de la conception des matériaux. Il est certain que la complexité de la biologie exige un effort de recherche collaboratif et multidisciplinaire. Pour les technologies avancées du futur, l’utilisation de la chitine sera à l’origine de nombreuses innovations et alternatives utilisant le biomimétisme dans la science des matériaux. » Soulignements de Xochi.
C’est exactement cela: Viktor Stepanovich Grebennikov était un profond visionnaire et un grand expert en bio-mimétisme. Il l’a toujours affirmé: il ne faisait que copier Mère Nature!
Chitine et Chitosane dans la production d’électricité
La chitine, et le chitosane, sont les sujets de nombreuses recherches ayant pour objectif de produire de l’électricité – pour ne pas dire de la “bio-électricité”.
Ainsi, une étude, de 2017, porte sur la production de bio-électricité, à partir d’eaux usées de brasserie, dans une pile à combustible microbienne utilisant une membrane en chitosan/copolymère biodégradable. [62]
Une étude, de 2019, porte sur l’élaboration d’une pile à combustible microbienne alimentée par la biomasse de chitine pour la production d’électricité à l’aide de Bacillus circulans, BBL03, halophile isolé d’une zone de récolte de sel marin. [61]
Une étude, de 2017, porte sur la dégradation de la chitine et sur la production d’électricité, par Aeromonas hydrophila, dans des piles à combustible microbiennes.
Une étude 2019 porte sur l’exploitation de la biomasse de chitine pour la production simultanée d’électricité, de n-acétylglucosamine et de polyhydroxyalcanoates, dans une pile à combustible microbienne, à l’aide de la nouvelle bactérie marine Arenibacter palladensis YHY2. [63]
Une étude, de mars 2021, porte sur la production d’hydrogène “vert” à partir de bio-masse de chitine. [64]
Une étude, de 2021, porte sur la la production d’électricité à partir de déchets de chitine, issus de la transformation de fruits de mer, dans une pile à combustible microbienne utilisant un catalyseur halotolérant Oceanisphaera arctica YHY1. [68]
Chitine et Chitosane dans la “Médecine Nano-Particulaire”
Depuis de nombreuses années, la chitine et le chitosane sont incorporés dans de multiples hydrogels, nanogels, polymères et autres composés nano-particulaires (oxyde de graphène, oxyde de zinc, dioxyde de silice, oxyde de zirconium, dioxyde de titane, nickel, etc).
Il existe un certain nombre d’études portant sur le recours au chitosan pour la vectorisation de remèdes, pour leur activité anti-microbienne, pour la régénération tissulaire – des os, des cartilages, des nerfs, de l’épiderme. [35] [36] [37] [38]
Il existe également, une pléthore d’études (des centaines) portant sur l’utilisation du graphène, sous toutes ses formes, en tant qu’adjuvant de vaccin, ou vecteur thérapeutique, en l’optimisant, stabilisant, ou fonctionnalisant avec du chitosan. [45] [46] [47] [48]
“Chitosan-based Nanoparticles in Mucosal Vaccine Delivery”. [44] Selon le résumé. L’application de nanoparticules dans les formulations de vaccins permet non seulement d’améliorer la stabilité et l’immunogénicité de l’antigène, mais aussi de cibler l’administration et, par conséquent, de libérer plus spécifiquement l’agent d’intérêt. Les nano-particules de chitosan ont une activité immunologique et des propriétés muco-adhésives. Elles ont été utilisées comme système d’administration de vaccins par voie muqueuse pour de nombreux antigènes.
“Augmented Graphene Quantum Dot-Light Irradiation Therapy for Bacteria-Infected Wounds”. [43] Cette étude porte sur la fonctionnalisation de points quantiques de graphène, avec du chitosane, afin de développer, prétendument, des stratégies anti-bactériennes dans le traitement des blessures.
“Graphene oxide containing chitosan scaffolds for cartilage tissue engineering”. [40]
“Graphene-based hybrid nanoparticle of doxorubicin for cancer chemotherapy”. [41]
“Stimuli-responsive graphene-incorporated multifunctional chitosan for drug delivery applications: a review”. [42]
Chitine et Chitosane dans les polymères, à base de Graphène, de la “Médecine Nano-Particulaire”
La chitine, et le chitosane, sont, également, les sujets de nombreuses recherches impliquant la “fonctionnalisation” de composites nano-particulaires à base de graphène.
Le chitosane joue un rôle très important dans les nouveaux films d’emballage alimentaire, les hydrogels et les pansements cicatrisants, etc.
Il existe une étude, de 2018, strictement officielle, intitulée “Chitosan-Functionalized Graphene Oxide as a Potential Immuno-adjuvant” qui annonce carrément la couleur, à savoir noir comme le graphène! [80] Selon le résumé, en effet: «L’application de l’oxyde de graphène comme adjuvant vaccinal potentiel a récemment attiré une attention considérable. Cependant, une fonctionnalisation appropriée de la surface du de l’oxyde de graphène est cruciale pour améliorer sa biocompatibilité et augmenter son activité adjuvante. Dans cette étude, nous avons développé une méthode simple pour préparer de l’oxyde de graphène fonctionnalisé par du chitosan et avons étudié son potentiel en tant que nano-adjuvant».
Une étude, de 2018, est intitulée “Multifunctional chitosan-magnetic graphene quantum dot nanocomposites for the release of therapeutics from detachable and non-detachable biodegradable microneedle arrays”. Elle porte sur la confection de micro-aiguilles, dégradables, confectionnées à partir de nano-composés à base de chitosan et de points quantiques de graphène afin de faciliter le transfert intra-dermal de la Lidocaïne. [73]
Une autre étude similaire, impliquant la lidocaïne, a été publiée en 2018 qui est intitulée “Local anesthetic lidocaine delivery system: chitosan and hyaluronic acid-modified layer-by-layer lipid nanoparticles” [74] qui porte sur la modification de la composition de la lidocaine avec du chitosan et de l’acide hyaluronique afin de faciliter la pénétration de l’épiderme et de prolonger son efficacité.
Une étude, publiée en 2015, est intitulée “Biodegradable and conductive chitosan-graphene quantum dot nanocomposite microneedles for delivery of both small and large molecular weight therapeutics”. Les micro-aiguilles, bio-dégradables, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé de points quantiques de carbone et de chitosan. [77]
Une étude, publiée en 2015, est intitulée “Chitosan-graphene nanocomposite microneedle arrays for transdermal drug delivery”. [78] Les micro-aiguilles, bio-dégradables, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé de chitosan et d’une forme de graphène (points quantiques de carbone, oxyde de graphène, nano-tubes de carbone, etc).
Une étude de 2017, intitulée “Chitosan overlaid Fe3O4/rGO nanocomposite for targeted drug delivery, imaging, and biomedical applications” porte sur l’utilisation de nano-particules de rGO–Fe3O4–TiO2, fonctionnalisées avec du chitosan, pour des applications bio-médicales (transfert de médications), pour la cosmétique et pour les industries alimentaires. [79]
Une étude, de 2020, porte sur la réalisation de ciments acryliques orthopédiques, prétendument anti-bactériens, composés à partir d’oxyde de graphène et de chitosane. [72]
Une étude, de mars 2022, porte sur la production de nano-fibres de carbone, dopées avec de l’azote, à partir de biomasse de chitine. [65]
Une étude, de 2013, porte sur l’élaboration de composites nano-particulaires de chitosane et de nano-tubes de graphène. [69]
Une étude, de 2013, porte sur les caractéristiques d’un nouveau vecteur de médicament hybride composé à partir de nano-tubes de graphène et de chitosane. [70]
Une étude, de 2013, porte sur l’élaboration de composites nano-particulaires à base de nano-tubes de graphène, de chitosane et de nano-particules d’or. [71]
Ainsi que le chercheur Mik Andersen l’a mis en exergue, il existe des recherches impliquant “l’oxyde de graphène avec le chitosan” comme méthode de conservation – ce qui est lié à l’objectif des moyens d’emballage. [76]
Chitine et Chitosane dans les Hydrogels de la “Médecine Nano-Particulaire”
Voici, tout d’abord, un extrait d’une étude de 2017 intitulée “Graphene Improves the Biocompatibility of Polyacrylamide Hydrogels: 3D Polymeric Scaffolds for Neuronal Growth”. [93] Et les chercheurs avouent, en toute franchise, que:
«Les hydrogels sont des matériaux synthétiques largement utilisés afin d’obtenir des constructions tissulaires réalistes car ils ressemblent à des tissus vivants. Dans cette étude, nous avons synthétisé divers hydrogels, contenant divers niveaux de graphène, par une polymérisation radicale d’acrylamide, in situ, dans des dispersion aqueuses de graphène. Les hydrogels furent caractérisés en fonction de la contribution du nano-matériau au réseau polymérique. Nos résultats suggèrent que le graphène n’est pas, simplement, un nano-matériau enchâssé au sein de l’hydrogel mais qu’il représente, plutôt, un élément essentiel de ces réseaux en possédant un rôle spécifique dans l’émergence de ces structures. De plus, un hydrogel hybride – avec une concentration de graphène de, seulement, 0,2 mg mL-1 – est utilisé afin de soutenir la croissance de cellules neuronales cultivées et le développement de l’activité synaptique avec pour objectif d’exploiter des matériaux nouveaux afin de créer l’interface neuronale d’instruments pour le cerveau dans le futur. La conclusion principale, de cette étude, est que le graphène joue un rôle important dans l’amélioration de la bio-compatibilité des hydrogels de polyacrylamide permettant une adhésion neuronale. » Traduction et Soulignements de Xochi.
Il est, par exemple, conseillé d’apprécier, dans toute son horreur, l’expression euphémisante “adhésion neuronale” – à savoir, la marque de Homo chimericus.
Cette solution aqueuse avec une concentration de graphène de 0,2 mg mL-1 n’est pas juste une expérimentation de laboratoire. Elle est commercialisée, dans le monde, par la multinationale Merck [94] – prête à l’emploi neuronal – qui en commercialise de nombreuses autres avec différents taux de graphène. [95]
Une étude, publiée en mars 2020 et intitulée “Recent Advances on Magnetic Sensitive Hydrogels in Tissue Engineering”, annonce la couleur – sans discriminations: «Les hydrogels ont été introduits, dans le secteur bio-médical appliqué, afin de pourvoir un échafaudage modulable pour l’adhésion, la migration et/ou la différentiation cellulaires. De plus, ils pourraient être conçus en tant que plate-forme pour la libération contrôlée de cytokines et de médications dans la manipulation de tissus et dans l’administration de médications… Récemment, un hydrogel magnétiquement réactif, telle une sorte d’hydrogel intelligent, a été introduit dans les applications biomédicales pour améliorer les activités biologiques des cellules, des tissus ou des organes. Ce fait est principalement attribué à sa réactivité magnétique au champ magnétique externe et à l’obtention de structures fonctionnelles pour réguler à distance les propriétés physiques, biochimiques et mécaniques du milieu entourant les cellules, les tissus ou les organes… Les hydrogels magnétiques sont confectionnés à partir de matériaux composés qui se caractérisent par une biocompatabilité, une biodégradibilité et une réactivité magnétique». Traduction et Soulignements de Xochi. [88]
Il s’agit, bel et bien, d’un hydrogel intelligent qui va se greffer sur les cellules neuronales – les graphéniser – afin d’en faire des Antennes émettrices-réceptrices… contrôlables, par les Contrôleurs auto-proclamés, sur mode “remote”… car c’est un mode beaucoup plus confortable, et beaucoup moins risqué, pour leur intégrité physique
Dans le cas de cette étude, ce ne sont pas les nano-particules d’oxyde de graphène qui sont mentionnées mais des nano-particules d’oxyde de fer. Il existe également des études sur des “hydrogels intelligents” contenant des nano-particules de magnétite. [89]
L’université de Nantong, en Chine, a publié, en juillet 2021, dans Nano Letters, le résultat de ses recherches portant sur l’introduction, par voie intra-veineuse, de nano-particules d’oxyde de fer magnétique dans le corps mâle – afin de le stériliser, à savoir afin de prévenir toute possibilité de fertilité reproductive. Ces nano-particules d’oxyde de fer magnétique étaient de diverses tailles et de deux sortes: soit enrobées de polyéthylène glycol, soit enrobées d’acide citrique. La stérilisation la plus complète fut achevée avec des nano-particules d’oxyde de fer magnétique enrobées d’acide citrique et de 100 nm de taille.
Est-ce bien clair que tout cela se situe dans le cadre d’une connexion au réseau 4 ou 5G?
On apprend, dans cette étude, «qu’un hydrogel magnétique composé préparé à partir d’une combinaison de chitosan auto-guérissant/hydrogel d’alginate et de microsphères de gélatine magnétique pourraient être utilisées en tant que plate-forme adéquate dans la manipulation de tissus et dans l’administration de médications». [90]
Qui plus est, afin que l’opération contraceptive soit couronnée de succès, il faut que les nano-particules d’oxyde de fer magnétique soient conviées vers les testicules, par le biais “d’aimants”, et il faut qu’elles soient chauffés à une température de 40°C. Et par quel moyen les nano-particules d’oxyde de fer magnétique sont-elles chauffées… dans les testicules? Par l’application d’un champ magnétique dont le niveau de puissance permet d’induire, chez les souris du moins, une stérilité de deux mois… car les nano-particules d’oxyde de fer magnétique seraient biodégradables.
Il existe un certain nombre d’études portant sur le recours au chitosan comme adjuvant dans les hydrogels – par exemple: [31] [32] [33] [34]
Une étude, de février 2022, intitulée “Chronic wound healing by controlled release of chitosan hydrogels loaded with silver nanoparticles and calendula extract”, porte sur une “thérapie” mélangeant des extraits de Calendula officinalis avec des nano-particules d’argent et un hydrogel à base de chitosan. [75]
Une étude de 2021, porte sur la confection de nano-particules d’oxyde de zinc incorporées dans un hydrogel de chitine afin, prétendument, d’exercer une activité anti-bactérienne et ostéogénique dans le traitement des pathologies parodontales. [28]
Il existe même, pour des applications médicales, des hydrogels – inspirés de la cuticule des insectes – concoctés à partir de nano-fibres de chitine, de gélatine et de quinone. [143]
Hydrogels et Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène… vers Homo chimericus
Je vais reprendre, maintenant, en grande partie, ce que j’ai publié, en août 2021, dans mon chapitre “La Saga des Hydrogels aux Nano-matériaux” de mon essai “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”.
C’est la société Profusa – en partenariat avec la Silicon Valley et le Ministère de la Défense US – qui, en mars 2018, déclarait, en titre, sans ambages: «Les senseurs corporels injectables conviant votre chimie personnelle, vers votre téléphone mobile, sont proches de la réalité». [81] Profusa précisait, plus avant, «que ces bio-senseurs minuscules font un avec le corps physique… et transmettent des données vers votre téléphone, et vers le Cloud, pour une utilisation personnelle et médicale». Les bio-senseurs de Profusa ressemblent à des petits vers de 3 mm de longueur et de 500 microns de diamètre.
On présuppose que l’hydrogel utilisé par Profusa dans ses bio-senseurs est du graphène car il est stipulé que c’est un polymère… sans plus d’explications. En effet, l’article de Defense One déclare que: «Le senseur possède deux parties. L’un est un filament d’hydrogel de 3 mm de longueur constitué d’un matériau dont le réseau de chaines de polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et dans d’autres implants. Inséré sous la peau avec une seringue, le filament inclut une molécule spécifiquement conçue qui envoie un signal fluorescent en dehors du corps lorsque le corps commence à lutter contre une infection. L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de lumière au travers de la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer vers le docteur, vers un site internet, etc. C’est tel un laboratoire d’analyses sanguines sur la peau qui recueille les réactions du corps vis à vis d’une maladie avant la présence d’autres symptomes, telle que la toux».
C’est le Darpa, du Ministère de la Défense US, qui a mis en place, en 2010, un programme de recherches (de 100 millions de dollars) dont l’objectif est de promouvoir la création de vaccins innovateurs. Cette campagne du DARPA se dénomme “Blue Angel”, l’Ange Bleu… Depuis mars 2020, la page a disparu de leur site internet – pour archivage – et n’est plus disponible dans WayBackMachine. Sans commentaires.
Quant à la Multinationale de la Pharmacratie, Merck, au travers de sa filiale Innervia Bioelectronics, elle a signé un partenariat, en juillet 2021, avec la start-up de Barcelone, Inbrain Neuroelectronics – qui est, en partie, financé par de l’argent public.
Inbrain, de son petit nom, a levé 17 millions de dollars en mars 2021. Cette société se présente comme travaillant sur le développement d’une interface intelligente graphène-cerveau, à savoir la création de dispositifs médicaux dédiés au développement d’une interface graphène-cerveau intelligente pour traiter un certain nombre de pathologies.
Quel est le but de ce partenariat? Il est «d’élaborer une nouvelle approche des thérapies bioélectroniques. L’objectif commun est d’utiliser le graphène afin de cibler de multiples pathologies chroniques par le biais de la stimulation neuronale sélective… L’accord, aujourd’hui, avec Innervia Bioelectronics, confère à Merck l’accès à une technologie unique qui accroit l’efficacité énergétique dans les neuro-stimulateurs et qui, par conséquent, pourrait devenir un vecteur efficace pour le traitement digitalisé personnalisé de patients souffrant de maladies sévères et chroniques telles que des pathologies d’inflammations». [82] [83] En bref:
Le graphène constitue un vecteur de stimulation/modulation neuronale sélective, pour le traitement digitalisé personnalisé de patients. Cette neuro-modulation est effectuée par WiFi en utilisant les champs électro-magnétiques
Comme il n’est que peu de temps pour réinventer l’eau tiède – car l’Alerte est Biologique – je vais citer quelques passages d’un texte anonyme, intitulé “Talking Points for Graphene Hydrogel Quantum Dot Application and Mechanisms”, qui a été publié, en mai 2021, sur le site de la journaliste d’investigation, Celeste Solum [84] – et dont certains passages sont des citations et des commentaires afférents à deux études: l’une, qui est citée ci-dessus, est intitulée “Preparation, Properties, and Applications of Graphene-Based Hydrogels” [85] tandis que l’autre est intitulée 3D Graphene Scaffolds for Skeletal Muscle Regeneration: Future Perspectives”. [86] La traduction, en Français, de ce texte est anonyme: “Points de discussion sur l’application et les mécanismes des points quantiques de l’hydrogel de graphène”. [87]
« Tout d’abord, nous devons aborder un sujet qui prête à confusion. L’hydrogel et les points quantiques. Laissez-moi vous expliquer. Le comportement des points quantiques en solution et leur interaction avec d’autres surfaces revêt une grande importance pour les applications biologiques, telles que des écrans optiques, un marquage animal, des colorants anti-contrefaçon et des peintures (essentiellement le brevetage d’un être humain qui possède la marque de son propriétaire), la détection chimique et le marquage fluorescent. Cependant, des points quantiques non modifiés ont tendance à être hydrophobes, ce qui empêche leur utilisation dans des applications stables et durables à base d’eau tels que le corps humain. Une fois solubilisés par encapsulation dans une micelle intérieure hydrophobe ou dans une micelle extérieure hydrophile, les points quantiques peuvent être introduits avec succès dans un milieu aqueux (d’où le milieu gélatineux), dans lequel ils forment un réseau d’hydrogel étendu. Sous cette forme, les points quantiques peuvent être utilisés dans plusieurs applications qui bénéficient de leurs propriétés uniques. C’est ainsi que les points quantiques fonctionnent, main dans la main, que ce soit dans un vaccin ou dans une application sensorielle distincte. Les points quantiques et l’hydrogel peuvent tous deux contenir du graphène. Au fil du temps, la plupart d’entre eux incluront cette substance
… Les personnes qui autorisent l’hydrogel à pénétrer dans leur corps hybrident ce dernier et le transforment en robot biologique. L’hydrogel de remplissage agit comme une colle à l’intérieur de votre corps pour le mettre en réseau avec l’intelligence artificielle, comme une interface informatique réduite à un nœud dans l’Internet des objets… Votre corps devient un polymère vivant, une substance qui a une structure moléculaire constituée principalement ou entièrement d’un grand nombre de matériaux organiques synthétiques utilisés comme plastiques et résines qui finiront par remplacer votre ADN, votre sang, vos cellules, vos tissus et vos organes au fur et à mesure de l’auto-assemblage des nanoparticules d’hydrogel. Considérez cela comme une invasion invisible vous transformant d’un être humain en une entité synthétique…. Cela signifie que l’hydrogel va remplir toutes les fissures et les crevasses de votre corps. Il n’y aura aucune zone cachée ou sûre qu’il n’envahisse pas… Votre corps ne rejettera pas cette invasion car il ne la considère pas comme un ennemi, hostile à votre humanité. Au fur et à mesure qu’il absorbera l’eau de votre corps, vous dépérirez et deviendrez malade jusqu’à ce que, comme un élastique étiré au maximum, vous vous cassiez, physiquement, mentalement et spirituellement… Le graphène possède également des qualités magiques et conductrices qui font de votre corps ou de votre esprit un récepteur pour tout message que les contrôleurs veulent intégrer… Les scientifiques et les chercheurs utilisent le gélateur auto-assemblable pour créer un échafaudage synthétique à l’intérieur de votre corps. Tandis que le gélateur remplace vos parties humaines par des parties artificielles prédisposées à un ordre “collectif” ou fasciste mondial… Lorsque l’hydrogel est absorbé dans le corps, il modifie non seulement le corps humain mais aussi l’interaction avec d’autres formes de vie telles que les bactéries, les virus et les champignons. »
Nous sommes, aujourd’hui, confrontés à une ultime bataille entre les Peuples de l’Humanité, à savoir l’Anthropos, d’une part, et les Xenosh déments et criminels qui sont complètement virosés par un Virus extra-terrestre, d’autre part.
A la lecture de la seconde étude présentée dans ce texte, il est clair que le graphène est le matériau idéal, pour les Transhumanistes, quant à sa capacité de façonner des échafaudages en 3D dans le corps humain: «Au cours de la dernière décennie, le graphène et ses dérivés ont été explorés en tant que nouveaux biomatériaux afin d’élaborer des échafaudages dont la fonction est de réparer les muscles du squelette. Cette étude passe en revue les matériaux 3D à base de graphène, qui sont actuellement utilisés pour générer des structures complexes et qui sont capables non seulement de guider l’alignement et la fusion des cellules mais aussi de stimuler la contraction musculaire grâce à leur conductivité électrique. Le graphène est un allotrope du carbone qui possède en effet des propriétés mécaniques, électriques et de surface uniques et qui a été fonctionnalisé pour interagir avec un large éventail de polymères synthétiques et naturels ressemblant aux tissus natifs des muscles squelettaux. De manière essentielle, le graphène peut stimuler la différenciation des cellules souches et a été étudié pour la régénération des tissus cardiaques, neuronaux, osseux, cutanés, adipeux et cartilagineux. Cela laisse présager de futures recherches sur les implants multifonctionnels en graphène».
Je conseille, ainsi, à tous les lecteurs motivés, la lecture de l’intégralité de ce document. [87] Caveat: il existe quelques approximations, ou erreurs, de traduction mais qui ne semblent pas essentielles. Par exemple, j’ai corrigé une phrase importante qui, en raison d’une simple faute de typo, évoquait un “enfer” (hell) au lieu d’une “enveloppe” (shell):
«Votre corps développe en fait une coquille dure – à l’intérieur et à l’extérieur. Elle est générée par l’additif chitosan de l’hydrogel… En outre, l’hydrogel sème le trouble dans votre cerveau en incorporant une protéine polydopamine qui est un revêtement polyvalent pouvant être utilisé pour recouvrir la surface de presque tous les matériaux d’une couche conforme d’épaisseur réglable».
Pour Rappel. Etymologiquement, le terme “chitine” est dérivé du Grec ancien “χιτών, khitôn” signifiant “tunique”.
La Chitine, et le Graphène, créent, dans l’organisme, une tunique, une enveloppe, une coquille, une toile… connectée à la Toile.
Toujours plus. Il est à noter – mais ce n’est, sûrement, qu’une fâcheuse coïncidence – qu’une étude de 2012, intitulée “Graphene oxide-based supramolecular hydrogels for making nanohybrid systems with Au nanoparticles”, [92] a mis en exergue que l’oxyde de graphène forme un hydrogel très stable en présence d’un faible taux d’acide aminé – à savoir, arginine, tryptophan ou histidine – ou d’un nucléoside – à savoir, adénosine, guanosine ou cytidine.
Il existe, même, une étude de 2019 qui a inventé des nano-particules composites de graphène et de magnétite (enrobées de polyéthylénimine et fonctionnalisées avec de l’acide phytique et des ions de titanium) et qui met en exergue que ce composé nano-particulaire possède la capacité d’extraire des nucléosides – hypoxanthine, adénosine, cytosine, inosine et cytidine – à partir des champignons Chenille (Cordyceps sinensis) et Lentin du Chêne (Lentinus edodes)… et d’échantillons de plasma sanguin.
Est-ce dire que l’hydrogel de graphène présent dans le corps des injectés – va extraire la cytidine du plasma sanguin afin de s’auto-consolider ?
Encore plus. Il existe, même, une étude de 2012 “Graphene oxide-based hydrogels to make metal nanoparticle-containing reduced graphene oxide-based functional hybrid hydrogels” qui indique que «des hydrogels supramoléculaires stables ont été obtenus à partir de l’assemblage d’oxyde de graphène en présence de polyamines dont la tris(aminoéthyl)amine, la spermine et la spermidine.» [118]
Est-ce dire que l’hydrogel de graphène présent dans le corps des injectés – va extraire les polyamines que sont la spermine et la spermidine afin de s’auto-consolider ?
En conclusion de cette section, avec la lecture de ces très nombreuses études scientifiques sur le graphène et sur les hydrogels à base de graphène on découvre, avec stupéfaction, que le mème de la couronne émerge de nouveau… mais pas en lien avec le coronavirus, le virus à couronne du CoqueVide/19 – invisible parce que non existant – mais, bien plutôt, avec l’hydrogel à base de graphène.
En effet, il existe un certain nombre d’études qui décrivent la couronne bio-moléculaire personnalisée entourant les nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain. Il s’agit d’une couronne de protéines qui se forme à l’entour des nano-matériaux lorsqu’ils sont exposés aux fluides biologiques humains (sang, sérum, plasma, fluide cérébro-spinal, fluides intestinaux et gastriques, etc).
Le terme “couronne de protéine” a été introduit, en 2007, par Tommy Cedervall et son équipe dans une étude intitulée “Understanding the nanoparticle-protein corona using methods to quantify exchange rates and affinities of proteins for nanoparticles”.
Elle est, aujourd’hui, dénommée “Couronne bio-moléculaire” et je la nomme – pour ce qu’elle est – une “Couronne Nécro-Moléculaire”.
Je renvoie les lecteurs très intéressés vers mon essai de décembre 2021, intitulé “Le Nom du Graphène Tout Irradiant! : La Spike Moléculaire d’Oxyde de Graphène génère un SMOG dans le cerveau humain et au coeur de son système énergétique”. Aujourd’hui, la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène – car c’est l’une des formes de graphène les plus communément répandues, à priori – constitue une première expression, généralisée, du concept de cyborg. Il s’agit, ainsi, d’une fusion entre d’une part, le biologique et, d’autre part, le graphène magnétisant… injecté directement dans le corps physique de tous les “vaccinés” – et, plus généralement parlant, dans le corps physique de tous les graphénisés.
La Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène est induite par la greffe du graphène sur les cellules. Cette greffe est, également, une “griffe” de par son étymologie “graphos”… qui confère son origine, également, à Graphène.
L’Alerte est Biologique. L’obsession des Globalistes vaccinalistes, eugénistes et déments, est de transformer chaque être humain en un Homo chimericus doté d’un nouvel organisme chimérique – à base de graphène et de chitine – permettant sa connectivité… avec les contrôleurs. Et qui sont-ils? Qui? QUI?
Chitinisation de la vie quotidienne. Chitosane dans les emballages, cosmétiques, vins, produits amaigrissants, … et, même, produits certifiés bios
En fait, le chitosane est omniprésent dans l’agriculture conventionnelle. Selon l’étude, de 2021, intitulée “Chitosan in modern agriculture production” [139]:
«Nous passons ici en revue chaque ingrédient pour l’approvisionnement en chitosane biologique, avec des matières premières propres qui permettent de fabriquer des produits purs, riches et puissants fonctionnant naturellement. Notre étude élabore les progrès et l’utilisation du chitosan pour les engrais industriels à libération contrôlée par des formulations physiques, chimiques et à facettes multiples telles que le super absorbant retenant l’eau, l’acide polyacrylique et les résines. Les propriétés de promotion de la croissance des plantes du chitosan comme régulateur de croissance, résistance aux parasites et aux maladies, régulation de la signalisation, effet sur la déformation nucléaire et l’apoptose. Le chitosan peut améliorer le mécanisme de défense des plantes en stimulant la photochimie et les enzymes liées à la photosynthèse. En outre, la modification électrophysiologique induite par le chitosan peut pratiquement permettre son utilisation comme herbicide. Le chitosan joue un excellent rôle dans l’amélioration de la fertilité des sols et de la croissance des plantes, ainsi qu’en tant que promoteur de la croissance des plantes. Il est conclu, le chitosan peut jouer un rôle clé dans la production agricole moderne et pourrait être une source précieuse favorisant la durabilité de l’écosystème agricole. Les suggestions futures seront basées sur les réalisations actuelles et également sur les lacunes notables. En outre, le chitosan a une énorme contribution à la réduction de la pollution par les engrais, à la gestion des parasites et des pathogènes agricoles dans l’agriculture moderne. »
Ainsi que le chercheur Mik Andersen l’a mis en exergue, il existe des recherches impliquant “l’oxyde de graphène avec le chitosan” comme méthode de conservation – ce qui est lié à l’objectif des moyens d’emballage. [76]
Il convient de préciser que le “chitosan” ou “chitosane” est un composé polysaccharide utilisé dans le contexte agricole pour lutter contre les parasites, les maladies des cultures, combattre les infections fongiques, entre autres. Dans le contexte biomédical, il est utilisé pour ses propriétés antiseptiques (même combiné au graphène ou à l’oxyde de graphène comme dans les cas cités ici), pour la désinfection et la cicatrisation des plaies (Choudhary, P. ; Ramalingam, B. ; Das, S.K. 2020). Dans le contexte des emballages alimentaires, il est utilisé comme surface d’emballage pour son activité antimicrobienne (Grande, C.D. ; Mangadlao, J. ; Fan, J. ; De Leon, A. ; Delgado-Ospina, J. ; Rojas, J.G. ; Advincula, R. 2017), ainsi que dans les hydrogels (Konwar, A. ; Kalita, S. ; Kotoky, J. ; Chowdhury, D. 2016). Pour en revenir aux tests sur les bananes, la recherche de (Wang, H. ; Qian, J. ; Ding, F. 2018) dans laquelle ils travaillent sur le développement d’emballages plastiques biodégradables à base de chitosane et d’oxyde de graphène se démarque, affirmant que «par rapport au chitosane pur, les films de chitosane/oxyde de graphène basés sur la réticulation chimique ont la capacité mécanique et la propriété de barrière à l’oxygène améliorées». Des empilements d’oxyde de graphène et de graphite expansé pourraient également être ajoutés au chitosan pour former des films. La sélectivité et la sécurité ont démontré leur potentiel en tant que films antimicrobiens pour le stockage des aliments. Mik Andersen.
Par exemple, un emballage antibactérien, à base de chitosane, dénommé ChitoPack – qui est collé sur les parois internes des contenants de lait – a été créé au Québec en 2017. [137]
Il convient de préciser, également, que le chitosane est omni-présent dans la production des vins. Pourquoi? Parce qu’il est «Autorisé depuis juillet 2009 par l’OIV et janvier 2011 par l’Union Européenne, le chitosane apparaît comme une solution efficace, facile à mettre en œuvre, pour lutter contre les Brettanomyces.» [118]
En fait, une recherche sur le terme “chitosan”, dans les réglements Européens, décline 326 textes.
En Europe, le chitosane vient d’être autorisé, le 21 mars 2022, dans les produits de “protection des plantes”. [129] Dans le réglement Européen relatif aux produits chimiques autorisés dans les cosmétiques, le chitosane (sous différentes formes) apparaît 48 fois. [130]
Pour les industriels de la cosmétique, la chitine – et son dérivé désacétylé, le chitosane – constituent une classe de nano-particules qui présente un intérêt extraordinaire en raison de leurs propriétés organiques et mécaniques particulières. Voir l’étude, de 2018, intitulée “Cosmetics and Cosmeceutical Applications of Chitin, Chitosan and Their Derivatives” [133].
Sans oublier qu’il est, également, autorisé (par les cahiers de décharges publiques) de l’agriculture dite biologique Européenne – sous forme d’hydrochloride de chitosane. Par exemple, les vignerons bios peuvent, aujourd’hui, utiliser le chitosan dérivé d‘Aspergillus Niger, breveté par KitoZyme, comme un outil efficace de clarification. [127] [135] Il est, également, autorisé dans l’agriculture dite biologique US depuis le 11 décembre 2017. [128]
Selon l’ITAB: Le chitosane peut être intéressant pour faire précipiter le cuivre dans les moûts de vin au profil “thiolé”. Mais le chitine glucane – souvent mélangé dans les produits œnologiques avec le chitosane – n’est pas autorisé. [138]
Sans oublier que l’on trouve le chitosane, dans de nombreux produits amaigrissants – supposément – car il possède la réputation d’être un “piège à graisse”.
Il y aurait, ainsi, toute une investigation à effectuer, par exemple, sur la présence du chitosane, dérivé de la chitine, dans les produits certifiés de l’agriculture biologique.
Pour certains, le réveil va être brutal lorsqu’ils vont s’apercevoir qu’ils se font, non seulement, graphéniser… mais aussi, libéralement, chitiniser.
Aujourd’hui, la question que tout consommateur de produits bios devrait se poser, c’est de savoir pourquoi, aujourd’hui le chitosane est-il autorisé, par la Commission Européenne, dans l’Agriculture Biologique?
Selon l’Itab, le Chitosane serait autorisé depuis 2013 mais je ne retrouve pas de trace d’un document officiel l’autorisant en agriculture biologique à cette date. [140] [141] En effet, sur une autre page de l’Itab, cette autorisation daterait du 21 mars 2022: Règlement d’exécution (UE) 2022/456. [142]
Quelle est donc la raison de cette autorisation? Et surtout de cette autorisation si soudaine? Serait-ce la Chitinisation forcée de tous ceux qui souhaitent manger des produits exempts de toxiques?
En France, par exemple, la société Spn-agrobio commercialise du chitosane comme engrais, comme biocide enrobant les semences, comme biocide enrobant les semences de pomme de terre, comme fongicide lors de la croissance des plantes, comme éliciteur de croissance, etc. [134] Selon sa publicité: «Le chitosan accélère la croissance des plantes et améliore le rendement des cultures. Il sera demain l’engrais naturel et le biopesticide du futur. »
En France, par exemple, la société Planète Agrobio commercialise du chitosane liquide pour les jardiniers. Selon sa publicité: «Le chitosan liquide est un excellent fongicide et bactéricide naturel à pulvériser sur vos plantes et légumes du potager. Utilisable en agriculture biologique.» [136]
Toxicité de la Chitine, et du Chitosane, dans l’Organisme Humain
Depuis de nombreuses années, la chitine a été utilisée comme complément pour les produits nutraceutiques, alimentaires et pharmaceutiques, ainsi que comme échafaudage 3D pour la médecine synthétique, dite “régénérative”, et des applications technologiques – sous ses trois formes: α-chitine, β-chitine et γ-chitine.
Par exemple, la chitine – en particulier l’α-chitine – de l’éponge de mer, Lanthella basta, est utilisée pour confectionner des nano-fibres pour l’ingénierie tissulaire synthétique. [23] Par exemple, la chitine de la seiche – en particulier la β-chitine – est utilisée pour confectionner des nano-fibres pour traiter les blessures. [24] Quant à la γ-chitine, elle est utilisée pour confectionner des micro-fibres.
Quant au chitosane, les industriels se vantent sur le fait qu’il existe plus de 400 applications établies pour le chitosane dans des industries telles que le traitement de l’eau, les textiles, l’agriculture, l’industrie alimentaire, et bien d’autres encore.
Selon le Vidal: «Le chitosane est déconseillé aux femmes enceintes ou qui allaitent, aux enfants et aux personnes allergiques aux crustacés. Le chitosane perturberait l’absorption des vitamines liposolubles A, D, E et K, de certains minéraux comme le zinc, et de substances comme les flavonoïdes. Il pourrait en outre perturber l’absorption de nombreux médicaments.» [132]
Selon d’autres sources médicales, le chitosane bloquerait, également, l’absorption du calcium et du magnésium.
Des études pharmacologiques récentes ont mis en exergue la toxicité de la chitine dans l’organisme humain et en particulier son activité allergisante. [11] [105]
La chitine induit la production de cytokines, le recrutement de leucocytes et l’activation alternative des macrophages. [11]
Voir, également, l’article intitulé “Allergie et Glucosamine attention danger !” [119]
Selon une étude de 2018, la chitine peut être toxique pour les neurones, et son accumulation peut entraîner le développement de la maladie d’Alzheimer ainsi que de la maladie de Gaucher. [21] De même, elle provoque de l’asthme, des réactions immunitaires anormales [26], des pathologies pulmonaires [116].
Selon une étude réalisée avec des rats, la consommation de chitine entraîne des déficiences au niveau des vitamines A et E – ainsi que des convulsions.
En ce qui concerne la toxicité de la Chitine, et du Chitosane, dans l’organisme humain, d’autres études pharmacologiques récentes affirment, au contraire, qu’elles peuvent être utilisés pour la thérapie.
Par exemple, une étude, de 2014, conclut que la chitine, le chitosane, et leurs dérivés, sont considérés comme favorisant diverses activités thérapeutiques – notamment anti-oxydantes, anti-hypertensives, anti-inflammatoires, anti-coagulantes, anti-tumorales, anti-cancérigènes, anti-microbiennes, hypocholestérolémiques, anti-diarrhéiques, anti-Alzheimer [22] et anti-diabétiques. [27]
Par exemple, une étude de 2021, “Chitin and chitosan as tools to combat COVID-19: A triple approach”, prétend que des nano-particules de chitine, ou de chitosane, peuvent contrecarrer le développement du virus, inexistant, du CoqueVide/19. [25]
Sur le même sujet, une étude de 2021 sombre dans la science-fiction la plus délirante en affirmant que le virus, inexistant, du CoqueVide/19 s’introduit dans l’organisme humain par le biais des arthropodes vivants sur l’épiderme humain! «ll semble probable que les interactions, entre les arthropodes et les coronavirus, se fassent par le biais des forces d’attraction moléculaire entre la chitine présente sur l’exosquelette des acariens couramment présents sur la peau humaine et les lipides présents sur l’enveloppe virale du SRAS-CoV-2.» [30]
Par exemple, une étude, de 2020, prétend que la chitine et le chitosane possèdent une activité anti-microbienne à l’encontre de certains fungi et bactéries. [29]
Il est fort possible qu’une utilisation, très ponctuelle – et sous surveillance médicale authentique – de certaines formes de chitine puisse, véritablement, présenter des activités thérapeutiques validées.
Il existe, un brevet, CN100534485C, qui porte sur la confection d’un complexe de la Médecine Traditionnelle Chinoise – comprenant une vingtaine d’espèces médicinales – afin de lutter contre la sénescence, qui est fonctionnalisé avec de la chitine. [120] La question serait de savoir pourquoi l’antique pratique Chinoise ne l’a-t-elle pas chitinisé auparavant?
En effet, par exemple, dans la Médecine Traditionnelle Chinoise, Periostracum cicadae, “Chan Tui”, la mue de la cigale, est utilisée, [13] pour ses propriétés diaphorétiques, anti-convulsives, sédatives, antipyrétiques, anti-allergiques, etc. Elle est corrélée aux méridiens du foie et des poumons. Periostracum cicadae libère la superficie du Vent Chaleur, éteint le Vent interne, rafraîchit le Poumon et le Foie, fait sortir l’éruption, arrête les démangeaisons, assouplit la gorge. [14] De plus, Periostracum cicadae soulage les spasmes dans les convulsions infantiles et dans le tétanos.
Selon un article, très référencé, intitulé “Chantui: Use of Chitin in Chinese Herb Formulas”: « La mue de la cigale est constituée d’environ 50% de chitine et d’environ 50% de protéines ; elle contient de petites quantités de minéraux, d’acides aminés, de lipides et de cire, mais aucune quantité significative de composants actifs connus. La couleur de l’épiderme est conférée par de minuscules quantités de phénols et de quinones qui servent également d’agents de réticulation pour les brins de polysaccharides. Les protéines, dont l’arthropodine, la résiline et la sclérotine, confèrent à la chitine sa forme et son intégrité structurelle – souplesse ou dureté -, cette dernière étant favorisée par les quinones de réticulation et les minéraux (principalement le carbonate de calcium). Lorsque la mue de cigale est intégrée à des préparations de Médecine Traditionnelle Chinoise, la protéine fournit un minuscule composant nutritionnel à ce qui est par ailleurs un polysaccharide essentiellement inerte.» [125]
Les conclusions semblent quelque peu suspectes. Pourquoi adjoindre de la chitine si elle est tant inerte?
Selon des investigations pharmacologiques récentes [18], Chantui protège les neurones dopaminergiques [15]; elle possède des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires [16], anti-cancérigènes [17], anti-convulsives, anti-tumeurs, analgésiques, anti-tussives, expectorantes, anti-asthmatiques [19], anti-pyrétiques.
Periostracum Cicadae est largement utilisé pour le traitement des maladies de la peau telles que l’eczéma, le prurit et les démangeaisons.
Periostracum cicadae contient divers énantiomères de la dopamine [20] ainsi que de la N-acétyldopamine – qui est réputée pour ses activités anti-oxydantes et anti-inflammatoires.
Par exemple, encore, la poudre d’un autre insecte est utilisé dans la Médecine Traditionnelle Chinoise. Il s’agit d’une blatte, dont les femelles sont sans ailes, Eupolyphaga sinensis, qui possède diverses activités médicinales – dont des propriétés anti-tumorales [121], immuno-modulatrices [122], anti-cancérigènes (foie [123], sein [124]), anti-coagulantes, anti-thrombotiques, etc.
Finalement, une autre problématique émerge, sur la plan de la toxicité. Eu égard aux capacités de la chitine, et du chitosane, très promues par l’Industrie Chimique, d’adsorption des métaux lourds, et autres polluants… [103] [104] [106] [107], il semble très avisé de se poser la même question pour l’organisme humain.
En fait, certaines études considèrent les insectes comme des “bio-indicateurs” de l’extrême pollution de la Biosphère par les métaux lourds et autres substances oxydantes et irradiantes. [111]
En ce qui concerne l’épuration des éléments toxique de l’environnement, certaines autres études évoquent, même, les propriétés d’entomo-remédiation des insectes – à l’instar des propriétés de phyto-remédiation das plantes.
En vérité, les insectes alimentaires, ou non, constituent des nécro-accumulateurs de tous les poisons que l’industrie, et l’agriculture chimique, ont rejetés dans la Biosphère.
Et ce d’autant plus, que les insectes domestiques alimentaires, les plus côtés en Bourse, tels que le Ténébrion meunier (Tenebrio molitor) et la Mouche soldat noir, (Hermetia illucens), constituent des accumulateurs certifiés et validés, de divers métaux lourds archi toxiques – tels que le cadmium, le plomb, l’arsenic, le zinc, le cuivre, le nickel, etc. [108] [109] [110] [112] [113] [114] [115] – sans, même, évoquer les néonicotinoïdes. [117]
La chitine, dans le corps humain va-t-elle y favoriser – de par ses propriétés d’adsorption magnétique – l’accumulation de métaux lourds et autres toxiques?
En fait, la chitine, dans le corps humain, va-t-elle y favoriser l’accumulation d’oxyde de graphène et autres dérivés nano-métalliques du graphène?