Sommaire
Comment franchir la barrière hémato-encéphalique avec des nano-structures de graphène?
Différences de conductivité électrique entre divers dérivés du Graphène
Les Points Quantiques de Graphène dans des applications bio-médicales
Revue Scientifique: un nouvel article sur le graphène et les interfaces neuronales
Micro-bulles et nano-bulles de Graphène dans l’injection CoqueVide de Janssen?
Des systèmes de nano-routeurs, au graphène, dénommés “CORONA”!
Des micro-aiguilles de graphène dans des “nano-vaccins” contre le CoqueVide
Des diodes et des transistors dans les injections anti-CoqueVide/19?
Revue Scientifique: un article sur le graphène et la stimulation de cellules cardiaques
Des Nano-Poulpes de Graphène dans les injections CoqueVide?
Les nano-tubes de carbone fonctionnalisés peuvent servir de systèmes d’administration de vaccins
Teslaphorèse des Nanotubes de Carbone / Poulpes de Graphène
Synthèse de micro-bulles aux parois de nano-tubes de carbone
Supra-conductivité du Graphène à double couche avec un angle magique de torsion
Les “nano-bio-senseurs”/ “nano-bio-capteurs” à l’oxyde de graphène
Au sujet de l’oxyde de graphène “magnétique” modifié avec de l’oxyde de fer (Fe304)
Du nitrure de bore hexagonal dans les injections?
Au sujet des Codes Alphanumériques émanant des vaccinés/injectés/graphénisés
Flocons d’oxyde de graphène enrobés d’acide usnique
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Comment franchir la barrière hémato-encéphalique avec des nano-structures de graphène?
C’est l’objet d’une étude récente, publiée en septembre 2021, qui s’intitule “Crossing the blood–brain barrier with graphene nanostructures”. [531] Je vais me contenter de traduire le résumé (car l’étude vaut 55 dollars) à l’intention de tous ceux qui prennent leur rêve, de protéine Spike, pour une réalité. Cela fait des années que les déments psychopathes savent comment franchir la barrière hémato-encéphalique avec des nano-structures de graphène, ou autres nano-particules inférieures à 100 nm – et c’est, exactement, ce qui se passe, présentement, avec la pandémie de morts subites induites par une pandémie de graphène dans les injections CoqueVide de la Mafia Big Pharma.
« Les approches thérapeutiques, dont la finalité est de convoyer des médications vers le système nerveux central, sont entravées par la présence de la barrière hémato-encéphalique; triompher de cette barrière hémato-encéphalique constitue l’objectif clinique dans le traitement des pathologies neurologiques – dont les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. La barrière hémato-encéphalique est une barrière cellulaire, d’une nature hautement imperméable, qui est formée, en prédominance, par une couche continue, et très compactée, de cellules endothéliales; elle agit, tel un portier, afin de restreindre, dans le système nerveux central, la libre diffusion de pathogènes véhiculés par le flux sanguin. Divers systèmes de délivrance des médicaments ont été explorés, durant la dernière décennie, eu égard à leur capacité de franchir cette barrière hémato-encéphalique.
Très récemment, des nano-structures de graphène ont démontré un potentiel considérable de franchissement de cette barrière hémato-encéphalique en raison de leurs caractéristiques exceptionnelles – telles qu’une mobilité électronique élevée, une facilité de synthèse et de fonctionnalisation, tout autant que le contrôle de leur taille et de leur forme ainsi que leur profil de délivrance de médications. Le graphène évolue, en tant que système, non seulement pour détecter des lésions pathologiques, mais, également, en parallèle, pour traiter des désordres neurologiques tout en générant des effets secondaires à minima. Etant donné les développements rapides de plates-formes de vectorisation de médications innovatrices, basées sur le graphène, la présente revue met en exergue le statut et les potentialités du graphène pour franchir la barrière hémato-encéphalique en améliorant, conservant, ou sauvegardant, les dynamiques du cerveau. Pour ce faire, cette étude se focalise, plus particulièrement, sur les capacités du graphène d’altérer le fonctionnement cellulaire neuronal». Traduction et Soulignements de Xochi.
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Différences de conductivité électrique entre divers dérivés du Graphène
De plus, pour ceux qui seraient intéressés par les différences de conductivité électrique entre le graphène, l’oxyde de graphène, l’oxyde de graphène réduit, les nano-tubes de carbone à multiples parois, le graphène au brome… voici un tableau les mettant en exergue. Il est extrait de l’étude ci-dessus mentionnée, de Yuan et al., intitulée “Tactile and Thermal Sensors Built from Carbon–Polymer Nanocomposites—A Critical Review”.
Les Points Quantiques de Graphène dans des applications bio-médicales
Comme je suis en cours de traduire l’un des essais brillants de Mik Andersen, portant sur les points quantiques de carbone que l’on trouve dans les vaccins CoqueVide, je vais présenter quelques études récentes sur des applications bio-médicales impliquant ces points quantiques de carbone – à savoir les points quantiques de graphène, selon une autre appellation.
L’un des points fondamentaux, de toutes ces études, est le fait que les Points Quantiques de Graphène soient capables de traverser la barrière hémato-encéphalique afin d’accéder, librement, au cerveau.
La première étude, publiée en septembre 2021, s’intitule “Graphene Quantum Dots enable digital communication through biological fluids”. [841] En voici le résumé. «Nous présentons ici une méthode de communication au travers de fluides biologiques. Cette approche bio-inspirée n’a pas recours à des ondes électromagnétiques mais, plutôt, utilise l’échange de systèmes chimiques – une méthode connue sous le nom de “Communication Moléculaire”. Dans l’exemple que nous déclinons, ci-après, la communication est accomplie en exploitant les propriétés de fluorescence des points quantiques de carbone qui sont, subséquemment, analysés dans le domaine de la transformation de Fourier. La problématique est étudiée d’un point de vue théorique en solutionnant, numériquement, l’équation différentielle qui gouverne le phénomène. Les résultats théoriques sont exploités afin de développer une plate-forme prototype de “Communication Moléculaire” qui permette la communication de variations de température, induites par une infection, au travers de fluides biologiques vers un receveur qui possède, alors, la mission de libérer un médicament antibiotique.»
La seconde étude, publiée en septembre 2021, s’intitule “Controllable synthesis and enhanced microwave absorption properties of novel lightweight graphene quantum dots/hexagonal boron nitride composites”. [842] Elle porte sur la fabrication de composites ultra-légers, à base de points quantiques de graphène sur du nitrure de bore, permettant de bénéficier d’une synthèse contrôlable et d’une augmentation des propriétés d’absorption des micro-ondes.
En voici le résumé. «Dans cette étude, nous décrivons la préparation, couronnée de succès, de composés de points quantiques de graphène, portés par des nano-plaques de nitrure de bore, au moyen d’une méthode hydro-thermique. C’est la première fois que des points quantiques de graphène ont été utilisés comme absorbant pour des matériaux d’absorption des micro-ondes. Dans cette recherche, la relation entre la concentration de points quantiques de graphène, dans ces composites au nitrure de bore, ainsi que la performance d’absorption de micro-onde, a été étudiée. En tant qu’absorbeur efficace d’ondes, ce composite de points quantiques de graphène, sur du nitrure de bore, possède d’excellentes propriétés d’absorption des micro-ondes. Dans les bandes de fréquence de 2 à 18 GHz, la perte minimale de réflexion de ce composite peut atteindre un niveau aussi bas que -59,9 dB à 2,8 mm. De manière significative, la largeur de bande efficace des valeurs de perte minimale excédant -10 dB est d’environ 35GHz – couvrant, ainsi, la quasi totalité de la bande mesurée. De plus, les nano-plaques de nitrure de bore – de par leur niveau élevé de stabilité, de conductivité thermique et d’hydrophobia – peuvent grandement accroître la performance générale des composites à base de points quantiques de graphène et de nitrure de bore. Finalement, ces composites – de par leur forte capacité d’absorption et de par le spectre large de leur bande de fréquence – constituent un absorbant innovateur et prometteur dans le champ de l’absorption des micro-ondes.»
Pour rappel. La société Jiangsu XFNANO Materials distribue des transistors à effet de champ et il est à noter que cette société Chinoise – qui distribue du graphène à ses quelque 20 000 clients de par le monde – commercialise un certain nombre de produits à base de nitrure de bore hexagonal pour la confection de ces transistors à effet de champ.
Pour rappel, le nitrure de bore constitue le sujet de l’une de mes Nouvelles du 7 septembre – car il est très similaire au graphène de par certaines propriétés. Le nitrure de bore hexagonal, ou graphène blanc, est, également, utilisé dans des applications biologiques et médicales – même si cet usage est moindre que celui du graphène.
La troisième étude, publiée en mai 2020, s’intitule “Unravelling the Potential of Graphene Quantum Dots in Biomedicine and Neuroscience”. [843] Elle porte sur la bio-compatibilité et les propriétés optiques des points quantiques de graphène… et, surtout, de leur capacité de traverser la barrière hémato-encéphalique.
En voici le résumé. « Les points quantiques de graphène sont des nano-particules semi-conductrices qui ont été promues pour diverses applications – dont le champ biomédical – grâce à leurs propriétés optiques uniques. Récemment, les points quantiques de graphène ont attiré l’attention dans le champ de la bio-médecine et de la nano-médecine en raison de leur haute bio-compatibilité et de leur faible cytotoxicité en comparaison des autres points quantiques. Les points quantiques de graphène se caractérisent par les mêmes propriétés optiques que les autres points quantiques et ils ont prouvé leur capacité de traverser la barrière hémato-encéphalique. C’est pour cette raison que les points quantiques de graphène sont maintenant utilisés afin d’approfondir nos connaissances concernant les diagnostics et les thérapeutiques dans le champ de la science neurologique. Leur taille et la chimie de leur surface – qui facilitent la charge de médications chimio-thérapeutiques – en font des systèmes idéaux de convoyage de médications au travers du flux sanguin, au travers de la barrière hémato-encéphalique et jusqu’au cerveau. Des applications théranostiques et des techniques d’imagerie neuronale ont été conçues à partir des points quantiques de graphène – telles que des thérapies photodynamiques et photothermiques pratiquées seules ou conjointement à des chimiothérapies. Nous allons décrire, dans cette étude, les propriétés optiques et la bio-compatibilité des points quantiques de graphène. Nous allons ensuite décrire la capacité des points quantiques de graphène de traverser la barrière hémato-encéphalique et d’accéder au cerveau. Finalement, nous allons prendre en considération les applications des points quantiques de graphène dans la bio-imagerie, dans les thérapies photo-physiques afin de d’élucider leur potentialités dans le domaine de la science neurologique». Traduction et Soulignements de Xochi.
La quatrième étude, publiée en octobre 2021, s’intitule “Facile Synthesis of N-Doped Graphene Quantum Dots as Novel Transfection Agents for mRNA and pDNA”. [847] Elle porte sur le remplacement, dans des médications, ou dans des vaccins, des nano-particules lipides par des points quantiques de graphène dopés à l’azote afin d’accomplir des processus de transfection.
En voici le résumé. «De par l’émergence de la pandémie du Covid19, les sociétés pharmaceutiques multinationales ont développé des vaccins pour le Sars-CoV-2. Certains laboratoires ont adopté les nano-particules lipides, ou bien des vecteurs viraux, afin de délivrer des gènes associés avec la protéine Spike pour la vaccination à l’encontre du Sars-CoV-2. Cette stratégie de vaccination, ayant recours à la transfection de gènes afin d’exprimer des protéines virales, a été appliquée, avec succès, aux vaccins ARNm pour le Covid19 et elle est, également, applicable aux thérapies géniques. Cependant, les agents de transfection conventionnels, telles que les nano-particules lipides, ne sont pas encore suffisants pour satisfaire les normes de stabilité, d’innocuité et d’efficacité requises pour l’application de thérapies géniques. Dans cette étude, nous avons synthétisé des points quantiques de graphène dopés à l’azote pour la transfection de divers gènes, y compris les acides ribonucléiques messagers (ARNm) et les acides désoxyribonucléiques plasmidiques (ADNp). Les points quantiques de graphène dopés à l’azote, chargés positivement, ont réussi à former des complexes électrostatiques, avec des acides ribonucléiques messagers et des acides désoxyribonucléiques plasmidiques chargés négativement: cela a permis de réaliser une transfection et une libération de gènes dans les cellules cibles. L’efficacité de transfection des points quantiques de graphène dopés à l’azote s’avère comparable à celle des nano-particules lipides disponibles commercialement. En raison de leur stabilité remarquable, même à température ambiante, et de leur faible toxicité, les points quantiques de graphène dopés à l’azote sont destinés à devenir des plate-formes universelles de transfection de gènes qui vont surpasser les vecteurs viraux et les nano-particules lipides.
On peut également signaler diverses études, trés récentes, portant sur l’utilisation des points quantiques de graphène pour la création de nano-vaccins. Par exemple:
“Designing inorganic nanomaterials for vaccines and immunotherapies”. Août 2019. [848]
“Novel carbon quantum dots can serve as an excellent adjuvant for the gp85 protein vaccine against avian leukosis virus subgroup J in chickens”. Novembre 2019. [849]
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Revue Scientifique: Amplitudes des capteurs actifs au graphène pour une cartographie à long terme, et sans fil, des larges bandes de fréquences de l’activité cérébrale épicorticale
En prélude de conclusion, il est évident que si de telles recherches sont couronnées de succès dans le cas du cerveau d’un rat – “en libre circulation” – modulé à distance… il en est, strictement, de même dans le cas du cerveau d’un être humain “en libre circulation”. Si ce n’est que sa “libre circulation”, du jour au lendemain, peut alors ne constituer qu’un leurre… si tant est que, pour la plupart des Terriens aujourd’hui, cela ne soit pas déjà le cas – depuis belle lurette.
Afin d’entamer la traduction du résumé d’une étude récente, de janvier 2021, intitulée “Graphene active sensor arrays for long-term and wireless mapping of wide frequency band epicortical brain activity” [26], je suis allé sur la Toile afin d’effectuer une recherche sur l’expression “activité cérébrale épicorticale”.
Cette étude a été réalisée par des scientifiques de l’Institut catalan de nanoscience et de nanotechnologie (ICN2), de l’Institut de microélectronique de Barcelone (CSIC), du CIBER-BBN et de l’ICREA (Espagne), de l’Université Ludwig-Maximilians (Allemagne) et de l’Université de Manchester (Royaume-Uni), en collaboration avec le Multi Channel Systems GmbH (Allemagne) qui est un partenaire de l’organisation Graphene Flagship.
Je suis tombé directement sur un article intitulé “Les capteurs en graphène peuvent-ils lire les ondes neurales de basse fréquence associées à des états cérébraux distincts ?”… et qui est, justement, un article commentant la dite étude. C’est la traduction d’un article publié par le Graphene Flagship, le 2 mars 2021, qui s’intitule “Graphene sensors read low-frequency neural waves associated with distinct brain states”. [28]
N’est-il pas, franchement, étonnant que ces termes “activité cérébrale épicorticale” appellent directement, en première url, une étude sur le graphène?
Voici la traduction du résumé de l’étude. «Les capteurs actifs à base de graphène ont démontré des capacités prometteuses quant à la détection des signaux électrophysiologiques du cerveau. Leurs propriétés fonctionnelles – tout autant que leur flexibilité, leur stabilité et leur biocompatibilité supposées – les ont promus en tant qu’éléments prometteurs pour des interfaces neuronales sensibles de grande amplitude. Cependant, afin de fournir des outils fiables pour les sciences neurologiques et les applications d’ingénieries biomédicales, la maturité de cette technologie doit être, intégralement, étudiée. Dans cette étude, nous évaluons les performances de capteurs de graphène, à 64 canaux, en termes d’homogénéité, de sensibilité et de stabilité en utilisant un appareil sans fil, quasi-commercial, d’enregistrement de numérisation des signaux; nous mettons, également, en exergue la biocompatibilité d’implants permanents épicorticaux en graphène. De plus, afin d’illustrer le potentiel, de cette technologie de détection des signaux corticaux – des bandes de fréquence de infra-lentes à gamma élevées – nous réalisons des preuves de concept d’enregistrements, sans fil et sur le long terme, chez un rongeur libre de ses mouvements. Notre recherche a validé, ainsi, la maturité de la technologie basée sur du graphène qui représente un candidat prometteur pour les interfaces neuronales à larges bandes de fréquences ».
Voici quelques extraits issus de l’article sus-cité, “Les capteurs en graphène peuvent-ils lire les ondes neurales de basse fréquence associées à des états cérébraux distincts?”, dont je conseille la lecture afin de bien comprendre les dangers que représentent toutes les formes de graphène. [27]
«Le consortium a montré que les capteurs à base de graphène permettent d’accéder à une région de basse fréquence insaisissable de l’activité cérébrale. Les méthodes actuelles de détection des ondes cérébrales utilisent des électrodes métalliques, qui sont inefficaces pour mesurer l’activité à très basse fréquence – connue sous le nom de région “infra-lente”. Grâce à la sensibilité du graphène, les scientifiques peuvent désormais recueillir facilement des informations dans cette région et dresser un meilleur tableau de l’activité cérébrale des animaux. Cela pourrait constituer la base de nouveaux types de technologies médicales neurothérapeutiques.
En utilisant une technologie développée par l’ICN2 et l’Institut de microélectronique de Barcelone, dans le cadre des projets européens Graphene Flagship et BrainCom, les scientifiques de Graphene Flagship ont construit un réseau de transistors qui enregistrent et transmettent des informations sur l’activité lorsqu’ils sont implantés dans le cerveau. Le capteur est doté de petits canaux à sa surface : lorsqu’ils entrent en contact avec le tissu cérébral, les signaux électriques présents dans le cerveau provoquent de petits changements de conductivité. Ces changements produisent un signal et sont enregistrés pour créer une “empreinte” de l’activité cérébrale. »
«Pour tester le dispositif, ils l’ont implanté dans le cerveau d’un rat au comportement libre, le surveillant en permanence. Les signaux ont été transmis sans fil à l’aide d’une tête électronique miniaturisée mise au point par le partenaire industriel Multichannel Systems. Les scientifiques ont constaté que les caractéristiques des signaux mesurés pendant différents types d’activité cérébrale, comme les périodes d’activité intense ou le sommeil – les “états cérébraux” – correspondaient très bien aux signaux infralents décodés par l’implant à base de graphène.
Il est très remarquable de constater que nous pouvons identifier et corréler correctement les états cérébraux des animaux avec l’activité infra-lente mesurée”, déclare M. Garrido. La prochaine étape consistera à explorer les applications commerciales. “Nous collaborons déjà avec des entreprises intéressées par cette technologie et nous avons l’intention d’en faire un produit – et, au-delà, de l’introduire dans les cliniques et les hôpitaux”, conclut-il ».
Comme il s’agit d’un domaine extrêmement important – et en relation avec les activités sulfureuses du Graphene Flagship – je vais reproduire ici, ce que j’ai, déjà, rédigé, en août 2021, dans mon essai intitulé “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène”, dans la section “Graphene Flagship Project”.
Graphene Flagship Project
La Commission Européenne a mis en place, en 2013, un programme intitulé “The Graphene Flagship Project”. Ce consortium est constitué d’environ 170 groupes de recherches industriels et académiques. [532] Il est supposé investiguer, également, les effets potentiels de tous les matériaux à base de graphène sur la santé des humains et sur l’intégrité de la Biosphère.
Le Graphene Flagship Project est hybridé avec le Human Brain Project. [897] Cette fusion des démences constitue une préfiguration de ce que les criminels Transhumanistes programment pour les Goyim: une fusion de la biologie et de l’électronique… et surtout, une bonne dose d’oxyde de graphène greffé sur le cerveau – en guise d’Antenne magnétisante, de transmission-réception, branchée sur le Réseau. [555]
Le Graphene Flagship Project est sous l’égide de la Chalmers University of Technology, en Suède, en partenariat étroit avec la Multinationale de la Pharmacratie, AstraZeneca/Syngenta/ChemChina. Ce consortium travaille, très activement, sur le développement de multiples nanoparticules lipides – qui constituent le principal vecteur pour convoyer de l’ARNm au coeur des cellules. Selon le chercheur Michael Munson, d’AstraZeneca: «Nous avons développé un processus automatique afin de tester et de contrôler de grandes quantités de nanoparticules lipides, simultanément, qui, nous l’espérons, vont favoriser le développement de nouvelles médications». [533] [534]
Certains des directeurs du Graphene Flagship Project sont, également, des dirigeants de chez AstraZeneca/Syngenta/ChemChina – mais ce n’est, sûrement, qu’une coïncidence à usage de complotisme!
Voici comment cette nouvelle technologie est explicitée dans un article boursier de juin 2021: «Les technologies fondées sur l’ARNm sont présentement explorées en raison de leur potentiel de favoriser le traitement de maladies chroniques, de diverses manières, telles que d’encoder pour des protéines thérapeutiques et, potentiellement, d’être adaptées à des tissus spécifiques, par exemple afin de remplacer des protéines incorrectes ou de réguler des dysfonctions cellulaires sources de pathologies. Mais il existe différents défis majeurs associés avec cette nouvelle technologie. Tout d’abord, les cellules doivent être “obligées” d’accepter les molécules d’ARNm. L’une des méthodes les plus avancées, pour ce faire, est de comprimer l’ARN dans une gouttelette connue sous le nom de nanoparticule lipide. Les nanoparticules lipides pénètrent dans les cellules au moyen d’un compartiment membranaire, appelé un endosome, qui transporte son contenu vers les lysosomes de la cellule, à savoir les stations de dégradation. Les nanoparticules lipides, contenant l’ARNm, doivent sortir de l’endosome à un moment précis, afin d’accéder au cytoplasme de la cellule où les protéines sont produites, avant que l’endosome n’atteigne la station de dégradation. Sinon l’ARNm sera détruit et ne sera plus fonctionnel. Cette phase vitale est dénommée “évasion endosomale” et son timing correct constitue le facteur le plus décisif pour le succès des thérapeutiques à base d’ARNm.
Cette nouvelle étude [533] décrit une méthode que les chercheurs ont développée afin de contrôler et d’analyser le mouvement des nanoparticules lipides au travers de la cellule en ayant recours à des marqueurs fluorescents détectables. En sus de pouvoir être capable de percevoir si la particule lipide a bien été intégrée par la cellule, et si l’ARNm réceptionné est bien capable de produire la protéine encodée, les chercheurs ont, également, développé un marqueur afin de suivre, en temps réel, quand et où l’évasion endosomale s’est manifesté, et à quelle amplitude. Ce marqueur est constitué d’une version fluorescente de la protéine Galectine-9 que l’on peut voir s’accumuler lorsque l’ARNm sort de l’endosome». [534] Traduction de Xochi.
Se reporter à l’article, de janvier 2019, “Le graphène : pour une meilleure interface cerveau-ordinateur”. [906]
En mai 2021, la Chalmers University of Technology a, également, publié une nouvelle étude intitulée “A Novel Graphene Quantum Dot-Based mRNA Delivery Platform”. [535] Ces chercheurs ont, ainsi, créé un nouveau système de vectorisation de l’ARNm qui est constitué de “points quantiques de graphène” – dénommés également “quantum dots” ou “boites quantiques”. Selon une définition conventionnelle, “les boites quantiques semi-conductrices sont des inclusions nanométriques tridimensionnelles d’un matériau de faible gap dans un autre matériau (la matrice) de gap plus élevé”. Les chercheurs de la Chalmers University ont fonctionnalisé leur nouvelle invention, de points quantiques de graphène, à l’aide de polyéthylèneimine – qui possède, également, des effets toxiques. [536]
Pour mémoire, c’est cette même technologie de points quantiques qui a été récemment inventée pour délivrer des vaccins – et constituer un port-folio vaccinal invisible. [537] [539]. C’est, rappelons-le, Robert Langer, du MIT, le co-fondateur de la société Moderna, qui a collaboré avec son grand ami eugéniste, Bill Gates, pour développer une nouvelle technologie de vaccinations avec tatous lisibles – par la caméra d’un téléphone portable. Une autre de leurs inventions communes est l’insertion, dans le corps humain, d’une puce électronique, contrôlable à distance, libérant des substances contraceptives. [538]
Selon le site Polymedia: « Dès 2014, des chercheurs de l’Université de Warwick (Angleterre) ont développé une méthode pour contrôler la croissance, à l’échelle d’un atome, de cristaux métalliques. Appelée nano-crystallométrie, elle permet la création de nano-objets à fort potentiel en nanoscience. En utilisant une matrice dopée de graphène pour ralentir et piéger des atomes d’osmium (un métal précieux), des chercheurs britanniques de l’Université de Warwick ont réussi à contrôler et à quantifier la croissance de nano-cristaux ». [540] [541]
Question: quelle est la nature des points quantiques, et de leur entourage, constituant l’encre invisible de cette nouvelle invention vaccinale? Les chercheurs du MIT évoquent des nano-cristaux qui perdureraient durant 5 années dans le corps humain – à savoir des points quantiques à base de cuivre. Et de graphène, également? Les points quantiques font 4 nm (nanomètres) de diamètre et sont encapsulés dans des nanoparticules “biocompatibles” de 20 µm de diamètre qui leur permettent de rester en place sous la peau, à la suite de l’injection. [542] Serait-ce, tout simplement, du graphène composant ces nanoparticules “biocompatibles” de 20 µm?
Au printemps 2021, le Graphene Flagship Project a publié une étude intitulée “Graphene sensors read low-frequency neural waves associated with distinct brain states”. Il s’agit d’une étude portant sur l’invention d’un implant biocompatible, basé sur du graphène, qui, en toute sécurité, prétendent-ils, mesure et prédit les états du cerveau. [579]
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Revue Scientifique: un nouvel article sur le graphène et les interfaces neuronales
La revue Frontiers in Neuroscience a publié, le 20 septembre 2021, un nouvel article intitulé “Graphene Nanoplatelets Render Poly(3-Hydroxybutyrate) a Suitable Scaffold to Promote Neuronal Network Development”. [654] Selon les auteurs, ce serait le premier rapport investiguant la fonctionnalité de réseaux neuronaux, sur des composites à base de graphène, au travers de leur activité électro-physiologique.
Le poly (3-hydroxybutyrate), ou P3HB, constitue un matériau biodégradable et renouvelable, qui est produit par des bactéries lors de la fermentation du glucose ou de l’amidon. Ce biopolymère sert, aujourd’hui, principalement, au domaine biomédical. [655]
En voici la traduction du résumé. «Le recours à des bio-matériaux composites, en tant qu’interfaces neuronales écologiques, a été, à ce jour, très peu développé. Des stratégies smart, permettant de cibler des pathologies neuronales, exploitent, présentement, les caractéristiques diverses et complémentaires des matériaux composites afin d’élaborer de futures et meilleures interfaces neuronale. Nous présentons, dans cette étude, un échafaudage à base de polymère qui a été adapté, pour les neurones primaires, en lui intégrant des nano-plaquettes de graphène. Nous avons exploré, plus particulièrement, la croissance, la formation en réseau et la fonctionnalité de neurones primaires sur des supports de polymère – le poly (3-hydroxybutyrate) ou P3HB – fonctionnalisés avec diverses concentrations de nano-plaquettes de graphène.
Après avoir fait croitre des neurones primaires corticaux sur ces supports, durant 14 jours, tous les spécimens se sont avérés bio-compatibles quant à leur croissance physiologique et quant à la maturation du réseau neuronal. Lorsque la fonctionnalité du réseau fut investiguée par des mesures patch-clamp, le P3HB pur induisit des transformations dans la forme d’onde de potentiel d’action ainsi qu’une réduction dans la fréquence des décharges. Cependant, l’ajout de nano-plaquettes de graphène, à la matrice du polymère, restaura les paramètres électro-physiologiques à leurs valeurs physiologiques. Il est intéressant de noter que de faibles concentrations de graphène furent capables de promouvoir une activité de décharge avec un bas niveau de courant injecté. Ces résultats mettent en exergue le fait que les matériaux composites à base de nano-plaquettes de graphène et de P3HB se caractérisent par un fort potentiel pour des interfaces électriques impliquant des neurones primaires afin de cibler, éventuellement, des pathologies du système nerveux central». Traduction et Soulignements de Xochi.
Le graphène, sur film PET (polyéthylène téréphtalate), tel qu’il est présenté sur le schéma suivant, est commercialisé, par exemple, par Bonding Chemical [656] ou ACS Material. [657]
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Micro-bulles et nano-bulles de Graphène dans l’injection CoqueVide de Janssen?
Le 5 octobre, j’ai évoqué les nouvelles découvertes de graphène dans des analyses de sang et de fioles d’injections par la Dr. Zandrée Botha en Afrique du Sud. Toutes ces découvertes sont similaires à celles de nombreux autres chercheurs à l’exception de petites sphères noires – présentant une structure à l’intérieur, principalement hexagonale mais pas automatiquement. J’avais alors émis l’hypothèse de points quantiques de carbone, quant à la nature de ces entités, de par leur consistance agglutinée, subséquemment, dans le sang séché d’un patient.
En quelques jours, les investigations de chercheurs sur la Toile ont permis d’émettre une autre hypothèse très proche, celle de Micro-bulles [86] [93] et de Nano-bulles de Graphène [90] [91] [92].
La taille des micro-bulles de Graphène se situe entre 2 et 100 microns tandis que celle des nano-bulles de Graphène est, théoriquement, en dessous de 200 nm (nanomètres) selon certains et, selon d’autres, de 0,37 nm à quelques microns. Tout, en fait, dépend de l’élément qui y est encapsulé.
Quelle est la fonction de ces bulles de graphène? En Anglais, cela s’appelle “payload” que l’on peut traduire par “charge utile”. Les micro et nano-bulles de graphène sont des vecteurs, des convoyeurs, ce sont des billes creuses enfermant une charge dite utile… à des visées biologiques et médicales, bla bla bla. Dans le cas des vaccins CoqueVide, c’est une “charge utile” sur le plan des milliards d’euros pour la Pharmacratie, surtout, et une très grande “charge inutile” pour les Peuples – pour ne pas dire une très grande “décharge mortuaire” au vu de l’amplitude du génocide vaccinal.
Il existe plusieurs brevets, dont deux datant de 2012, portant sur des micro-bulles de graphène. [87] [88] [89]
Par exemple, selon l’étude intitulée “Dependence of the shape of graphene nanobubbles on trapped substance” [90]: «L’interaction Van der Waals (vdW) entre deux cristaux bi-dimensionels (2D) peut piéger des substances par une haute pression d’une pression d’1 GPa sur des nano-bulles. L’augmentation de l’adhésion entre les deux cristaux accroît d’autant plus la pression et peut induire une transition de phase du matériau piégé. Nous avons découvert que la forme d’une nano-bulle peut dépendre, de manière critique, des propriétés de la dite substance piégée. En l’absence de toute souche résiduelle dans le cristal supérieur 2D, des nano-bulles plates peuvent être formées par de longs hydrocarbones piégés (à savoir de l’hexadécane – C 16 H 34). Pour de plus grandes nano-bulles, avec un diamètre de 260 nm, nos mesures, en microscopie à force atomique, montrent que les nano-bulles emplies d’hydrocarbones (eau) possèdent une forme en symétrie cylindrique (asymétrique) qui s’accorde bien avec nos simulations moléculaires dynamiques. Cette étude pourvoit des éclairages quant aux effets du matériau spécifique et quant à l’interaction Van der Waals sur les détails microscopiques des bulles de graphène». Traduction et Soulignement de Xochi.
Dans l’étude, de 2021, intitulée “Broad Tunability in mechanical properties of closed cellular foams using micro-bubble assembly of Graphene/silica Nanocomposites” [86], j’ai trouvé des photographies de micro-bulles qui ressemblent exactement à ce que la Dr. Zandrée Botha a découvert en Afrique du Sud.
Cette étude, d’ailleurs, montre des photos très précises de diverses micro-bulles, d’une fusion entre du graphène et de la silice, quant à la configuration de leur surface qui, en fait, dépend de leur taille – les plus petites tendant à avoir une surface non lisse en flocons.
Voici maintenant des photographies extraites d’une étude, de 2020, intitulée “Microfluidic Synthesis of Carbon Nanotube-Networked Solid-Shelled Bubbles”. [94]
Il existe une vidéo d’une minute montrant l’interaction extrêmement rapide entre des micro-bulles et des cellules. On reconnaît, de suite, qu’il s’agit des mêmes entités photographiées et filmées par la Dr. Zandrée Botha. Même si le texte de cette vidéo ne précise pas qu’il s’agit de micro-bulles de graphène, c’est, sans doute, le cas car ces particules sont magnétisées et s’auto-assemblent. [95]
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Des systèmes de nano-routeurs, au graphène, dénommés “CORONA”!
Avant tout. Rappelons qu’IBM, au printemps 2021, a annoncé la création de la première puce de 2 nm. IBM affirme, ainsi, avoir pressé 50 milliards de transistors sur une puce de la taille d’un ongle.
« On ne sait pas quand les processeurs 2 nm feront leur apparition dans les appareils grand public, mais annoncer des puces 2 nm et les construire à grande échelle sont des défis différents. IBM prévoit de lancer ses premiers processeurs commerciaux 7 nm cette année dans ses serveurs Power Systems. Bien que les processeurs 2 nm soient probablement dans au moins quelques années à venir sur les ordinateurs portables et les téléphones, il est au moins bon de savoir que des processeurs plus puissants et plus efficaces sont en préparation. » [960]
Rappelons que Neuralink, la société d’Elon Musk, a annoncé, récemment, qu’elle pensait être capable, dès 2022, de commencer à proposer l’implantation de micro-chips dans le cerveau humain. [961]
La puce, nommée N1Link, est un dispositif à 1024 canaux permettant de contrôler des appareils numériques ou de réduire les handicaps de mouvements.
Rappelons qu’IBM et Samsung, à la mi-décembre 2021, ont conjointement annoncé la création d’un nouveau semi-conducteur avec une nouvelle architecture “verticale” des transistors possédant un flux de courant lui aussi “vertical”, ascendant ou descendant. Selon IBM et Samsung, ce nouveau semi-conducteur va permettre de doubler les performances tout en réduisant de 85 % la consommation d’énergie par rapport au procédé FinFET. [962] [963]
Ce nouveau système est dénommé “Vertical Transport Field Effect Transistors”. La finalité est de prolonger la loi de Moore en repoussant les limites de progression des puces.
Quelle coïncidence! Cela ne s’invente pas. Alors que nous sommes en train de prouver qu’il existe des nano-routeurs dans les vaccins/injections CoqueVide commercialisés par Big Pharma – afin de lutter, prétendument, contre un coronavirus inexistant – une équipe de scientifiques Grecs a introduit un système de nano-routeurs, à base de graphène, dénommé “CORONA”.
Il existe, en effet, une étude, de 2015, qui est dénommée “CORONA: A Coordinate and Routing system for Nanonetworks”. [956] Il s’agit de la création d’un système de coordonnées et d’acheminement, à base de graphène, destiné à un nano-réseau.
Il existe, même, une autre étude, de 2020, qui est dénommée “EECORONA: Energy Efficiency Coordinate and Routing System for Nanonetworks”. [959] Il s’agit de la création d’un système de coordonnées et d’acheminement destiné à un nano-réseau – avec un haut niveau d’énergie disponible.
Selon cette étude: «Les progrès en nano-technologies permettent le développement de machines minuscules, composées de nano-éléments, qui sont appelées des nano-machines. Ces nano-machines – composées d’une source d’énergie, d’une mémoire, d’une antenne et d’un module CPU – constituent des noeuds intégralement autonomes qui sont capables d’accomplir de simples opérations et de communiquer sur de courtes distances. Actuellement, des antennes miniaturisées, à base de graphène, sont introduites dans les nano-machines et leur permettent de réaliser des niveaux de haute transmission, sur de courtes distances, lorsqu’elles opèrent dans le spectre d’opérations le plus prometteur, à savoir le spectre des bandes de fréquence Térahertz. De tels réseaux sont promus à un vaste déploiement dans une variétés de domaines tels que la bio-médecine, l’industrie, l’environnement et le secteur militaire…
… Au niveau physique, des études antérieures ont démontré que la communication électromagnétique dans les bandes de fréquence Térahertz (0,1−10 THz) constitue l’approche la plus prometteuse. Le développement d’une antenne, à l’échelle nano, tout en conservant sa fréquence d’opération, dans ce spectre prometteur d’opérations, est, ainsi, proposé en faisant appel à ce nouveau matériau “extraordinaire” appelé graphène. Dans les nano-antennes plasmoniques de carbone, la vitesse de propagation des ondes électromagnétiques peut atteindre deux ordres de magnitude plus basse qu’avec les matériaux conventionnels. De récentes études ont démontré que le spectre de communication d’un unique noeud peut être d’autant plus augmenté par le recours à la fenêtre de 01, à 0,54 THz.» Traduction et Soulignement de Xochi.
Pour rappel, au sujet des nano-antennes plasmoniques de graphène, voir ma traduction de l’essai de blog C0r0n@ 2 Inspect intitulé “Des Nano-Antennes Plasmoniques dans les Vaccins CoqueVide de Pfizer?”. [957]
Cette étude – sur le thème du spectre d’opérations le plus prometteur, à savoir le spectre des bandes de fréquence Térahertz – peut être mise en corrélation avec une étude, de février 2019, qui est intitulée “Experimental Demonstration of Ultrafast THz Modulation in a Graphene-Based Thin Film Absorber through Negative Photoinduced Conductivity”. [958]
Selon cette étude: «Le graphène, le célèbre matériau en 2D composé d’atomes de carbone arrangés en réseaux hexagonaux, se caractérise par des propriétés uniques d’un point de vue thermique, mécanique, électrique et optique; ces propriétés sont dues de la dispersion linéaire de ses fermions de Dirac en 2D qui permettent une modulation très ample. Plus particulièrement, les propriétés optiques du graphène peuvent être modifiées sous l’impact de quelque stimulus. Ces stimuli incluent, parmi d’autres, dopage chimique, modulation thermique, champ externe magnétique ou électrostatique, pompage optique. En raison de ses propriétés optiques reconfigurables, le graphène a été étudié, et utilisé, dans un grand nombre d’applications photoniques et plasmoniques tandis que son importance, en tant qu’élément constituant dans les configurations de méta-surfaces (remplaçant ou accompagnant de fines parties métalliques) a été, antérieurement, démontrée.
La très grande majorité des méta-surfaces à base de graphène couramment existantes, ou sujets d’investigations, sont constituées d’une ou de plusieurs couches de graphène, structurées ou non structurées, combinées avec d’autres matériaux et/ou structures diélectriques et/ou métalliques. En fonction de l’architecture de méta-atomes, dans ces méta-surface, et en fonction des stimuli de contrôle, il peut être réalisé une diversité de fonctionnalités modulables qui couvrent une grande partie du spectre électro-magnétique, des micro-ondes aux visibles. Plus particulièrement, dans le spectre THz, le graphène se caractérise, de manière prédominante, par une réponse de type Drude – qui est due à ses transporteurs, aisément générés et contrôlés – et, par conséquent, il est considéré comme une plate-forme adéquate pour des composants de méta-surface dynamiquement modulables».
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Revue scientifique: une nouvelle étude concernant l’impact des radiations électromagnétiques, dont la 5G, sur le Coque Vide… à savoir sur le graphène dans les vaccins
Cette étude est intitulée “Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G”. Elle a été publiée, le 26 octobre 2021, dans la revue “Journal of Clinical and Translational Research”. [752]
C’est exactement ce qu’affirment les investigateurs de la Quinta Columna, depuis cet été: il existe un impact considérable des radiations électro-magnétiques, dont la 5G, sur ce que les Globalistes dénomment des Variants du CoqueVide (Delta, Beta, Omicron…) – à savoir sur l’empoisonnement de l’organisme par diverses formes de graphène vaccinal.
Selon les médecins et radiologistes auteurs de cette étude: «En traversant les frontières de la biophysique et de la pathophysiologie, nous prouvons que les radiations émises par les communications sans fil peuvent: 1. Induire des transformations morphologiques dans les érythrocites (globules rouges) incluant les échinocytes et les formations de rouleaux susceptibles de contribuer à des hypercoagulations; 2. Léser la microcirculation et réduire les niveaux d’érythrocites et d’hémoglobine en exacerbant l’hypoxie; 3. Amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire; 4. Accroître le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres résultant en lésions organiques et en pathologies vasculaires; 5. Accroître le Ca 2+ intra-cellulaire qui est essentiel pour la pénétration, la duplication et la libération virales en sus de promouvoir les processus pro-inflammatoires; 6. Empirer les arythmies cardiaques et autres pathologies cardiaques». Traduction de Xochi.
Les auteurs de cette étude conseillent, ainsi, aux personnes souffrant de symptômes Covidien – à savoir, souffrant de la présence de graphène dans leur organisme – de réduire, autant que faire se peut, leur exposition à des radiations électromagnétiques émanant d’apparatus de communications sans fil… dont bien évidemment la 5G dont quelque 18 500 antennes sont, présentement, en activité en France – c’est à dire, quasiment la moitié des 40 000 Antennes 5G déployées en Europe de l’Ouest.
Il faut dire, et répéter sans cesse, que depuis l’avènement des Gilets Jaunes, la France est particulièrement gratinée, pour ne pas dire carbonisée, par un déploiement très consiérable d’antennes 5G… alors que l’Espagne n’en a que 7000 et l’Allemagne 8000.
C’est ainsi que la Quinta Columna clame que la carbonisation par la 5G est, extrêmement, amplifiée par la présence de cette forme, non naturelle, de Carbone dans le corps humain: le Graphène… introduit par de nombreuses voies mais, surtout, par la voie vaccinale.
Voici, pour les lecteurs très intéressés par l’influence mutagénique des radiations électromagnétiques, sur l’organisme animal, un spectre d’études scientifiques publiées depuis un quart de siècle. Il en existe de très nombreuses autres:
“Assessment of cytogenetic damage and oxidative stress in personnel occupationally exposed to the pulsed microwave radiation of marine radar equipment”. 2011. [764]
Cette étude met, clairement, en exergue l’impact des radiations micro-ondes sur l’organisme eu égard à la destruction du glutathion, le principal anti-oxydant, et à l’augmentation du taux de malondialdéhyde – un marqueur du stress oxydatif.
“Effects of electromagnetic fields produced by radiotelevision broadcasting stations on the immune system of women”. 2001. [753]
“Immunotropic Effects in Cultured Human Blood Mononuclear Cells Pre‐exposed to Low‐Level 1300 MHz Pulse‐Modulated Microwave Field”. 2003. [754]
“Immunotropic Influence of 900 MHz Microwave GSM Signal on Human Blood Immune Cells Activated in Vitro”. 2009. [755]
“Effects of exposure to electromagnetic radiation at 835 MHz on growth, morphology and secretory characteristics of a mast cell analogue, RBL-2H3”. 1997. [756]
“Effects on protein kinase c and gene expression in a human mast cell line, hmc‐1, following microwave exposure”. 2013. [757]
“Effect on the immune system of mice exposed chronically to 50 Hz amplitude-modulated 2.45 GHz microwaves”. 1996. [758]
“Microwaves and cellular immunity: I. Effect of whole body microwave irradiation on tumor necrosis factor production in mouse cells”. 1999. [759]
“Modification of the activity of murine peritoneal neutrophils upon exposure to millimeter waves at close and far distances from the emitter”. 1996. [760]
“Effect of extremely high frequency electromagnetic radiation of low intensity on parameters of humoral immunity in healthy mice”. 2001. [761]
“Effect of chronic microwave radiation on T cell-mediated immunity in the rabbit”. 1991. [762]
“Effects of pulsed magnetic field chronic exposure on some hematological parameters in mice”. 2006. [763]
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Des micro-aiguilles de graphène dans des “nano-vaccins” contre le CoqueVide
En Septembre 2021, une équipe Chinoise a publié une étude intitulée “Separable Microneedle Patch to Protect and Deliver DNA Nanovaccines Against COVID-19”. Le patch vaccinal qu’ils proposent est constitué de 100 micro-aiguilles “biodégradables”. [666]
Selon la presse Suisse «doté de micro-aiguilles, un patch vaccinal contre le Covid-19 va être testé dès janvier prochain par Unisanté à Lausanne». [665]
Selon l’argumentation des développeurs de nano-vaccins à micro-aiguilles, cette technologie, qui ne nécessite pas une chaine de réfrigération, permettrait de vacciner, les pays pauvres, massivement.
En Octobre 2021, une équipe de scientifiques, d’Australie et des USA, a publié une étude intitulée “Complete protection by a single-dose skin patch–delivered SARS-CoV-2 spike vaccine”. Le patch vaccinal qu’ils proposent est un patch d’1 cm sur 1 cm contenant 5000 projections de 250 microns de longueur. [667]
Le nano-vaccin est projeté, sous la peau, à une vitesse de 18 à 20 mètres/seconde par un applicateur ad hoc.
Pour ces deux études, il n’est pas précisé de quoi sont élaborées ces micro-aiguilles prétendument “biodégradables”. Se pourrait-il qu’elles soient élaborées à partir de graphène? Assurément.
Il existe, ainsi, une étude, publiée en mai 2019, qui est intitulée “Dissolving Graphene/Poly(Acrylic Acid) Microneedles for Potential Transdermal Drug Delivery and Photothermal Therapy”. [668] Les micro-aiguilles, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé de graphène et d’acide polyacrylique – biodégradable dans l’organisme.
Une étude, publiée en avril 2020, intitulée “Microneedle for transdermal drug delivery: current trends and fabrication” [669] fait le point sur les divers types de micro-aiguilles. Il en existe, ainsi, quatre sortes: des micro-aiguilles solides, des micro-aiguilles enrobées, des micro-aiguilles auto-dissolvantes et des micro-aiguilles sous forme d’hydrogel.
Une autre étude, publiée en août 2021, est intitulée “Recent Advances in Microneedle Platforms”. [676] Les micro-aiguilles, proposées par cette étude, sont constituées de divers polymères intégrant tous de l’oxyde de graphène.
Une autre étude, publiée en février 2019, est intitulée “Multifunctional Graphene-Oxide-Reinforced Dissolvable Polymeric Microneedles for Transdermal Drug Delivery”. [675] Les micro-aiguilles, proposées par cette étude, sont constituées de divers polymères intégrant tous de l’oxyde de graphène.
Une autre étude, publiée en février 2019, est intitulée “Reduced Graphene Oxide Nanohybrid-Assembled Microneedles as Mini-Invasive Electrodes for Real-Time Transdermal Biosensing”. [670] Les micro-aiguilles, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé d’oxyde de graphène réduit et de platine.
Une thèse a été publiée, en 2015, qui est intitulée “Chitosan-graphene nanocomposite microneedle arrays for transdermal drug delivery”. [672]
Une autre étude, publiée en décembre 2019, est intitulée “Multifunctional Graphene-Oxide-Reinforced Dissolvable Polymeric Microneedles for Transdermal Drug Delivery”. [671] Les micro-aiguilles, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé d’oxyde de graphène.
Une autre étude, publiée en 2015, est intitulée “Biodegradable and conductive chitosan-graphene quantum dot nanocomposite microneedles for delivery of both small and large molecular weight therapeutics”. [674] Les micro-aiguilles, bio-dégradables, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé de points quantiques de carbone et de chitosan.
Une autre étude, publiée en 2018, est intitulée “Multifunctional chitosan–magnetic graphene quantum dot nanocomposites for the release of therapeutics from detachable and non-detachable biodegradable microneedle arrays” [673] Les micro-aiguilles, bio-dégradables, proposées par cette étude, sont constituées d’un polymère composé de points quantiques de carbone et de chitosan.
Il me semble essentiel de mettre en exergue que ces vaccins en “patch” constituent la nouvelle génération de vaccins génocidaires… d’autant plus que c’est l’eugéniste en chef, Bill Gates, qui l’annonce dans le très récent interview/échange qu’il a réalisé, en début novembre 2021, avec Jeremy Hunt, l’un des psychopathes politiques en charge du U.K. Health Select Committee. A 29’53’’ de la vidéo. [685]
C’est lors de cet interview mémorable que le criminel récidiviste, Bill Gates, concède que les vaccins ARN, en fait, ne fonctionnent pas très bien: ils ne feraient que prévenir des symptômes excessifs et n’empêcheraient en rien la transmission… Ce que confirme le Professeur Robert Malone, l’un des inventeurs des vaccins ARNm, qui cite cet interview de Bill Gates. [686]
Pour rappel. En mai 2021, la Chalmers University of Technology a, également, publié une nouvelle étude intitulée “A Novel Graphene Quantum Dot-Based mRNA Delivery Platform”. [535] Ces chercheurs ont, ainsi, créé un nouveau système de vectorisation de l’ARNm qui est constitué de “points quantiques de graphène” – dénommés également “quantum dots” ou “boites quantiques”. Selon une définition conventionnelle, “les boites quantiques semi-conductrices sont des inclusions nanométriques tridimensionnelles d’un matériau de faible gap dans un autre matériau (la matrice) de gap plus élevé”. Les chercheurs de la Chalmers University ont fonctionnalisé leur nouvelle invention, de points quantiques de graphène, à l’aide de polyéthylèneimine – qui possède, également, des effets toxiques.
Pour mémoire, c’est cette même technologie de points quantiques qui a été récemment inventée pour délivrer des vaccins – et constituer un port-folio vaccinal invisible. [537] [539]. C’est, rappelons-le, Robert Langer, du MIT, le co-fondateur de la société Moderna, qui a collaboré avec son grand ami eugéniste, Bill Gates, pour développer une nouvelle technologie de vaccinations avec tatous lisibles – par la caméra d’un téléphone portable. Une autre de leurs inventions communes est l’insertion, dans le corps humain, d’une puce électronique, contrôlable à distance, libérant des substances contraceptives. [538]
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Des diodes et des transistors dans les injections anti-CoqueVide/19?
Depuis la découverte de l’oxyde de graphène dans les injections “vaccinales” – et dans de nombreux produits de la vie quotidienne – ainsi que depuis la découverte de la magnétisation des injectés, des médecins et des chercheurs ont lancé l’alerte sur la présence de composants électroniques dans ces injections. Et ce, en particulier, en Amérique du sud.
Je vais donc présenter, aujourd’hui, les exposés de Guillermo Iturriaga, un ingénieur électronicien et bio-physicien Chilien, et ce qu’il affirme avoir découvert, dans l’injection d’AstraZeneca. Guillermo Iturriaga a découvert que lorsqu’il secouait, vigoureusement, cette fiole d’injection AstraZeneca, il en détectait un champ électrique. Il y a découvert, également, des semi-conducteurs: des transistors, des capaciteurs, des diodes et des diodes en cascades. [1556] [1557]
Son rapport de 88 pages, récemment publié, est disponible sur le site d’Orwell City ou sur le canal Télégramme de la Quinta Columna. [1559] Il est intitulé “Detection of ferrous/non-ferrous metallic substances in aqueous suspension and measurable side-effects”.
Dans son rapport, Guillermo Iturriaga décline les diverses mesures électriques qu’il a pu constater sur le plan de la résistance, de la capacitance, des champs électriques, etc. Il présente, également, énormément de photographies prouvant, chez certains injectés, la présence de magnétisme ou d’hypersensibilité aux fréquences radio.
Selon une partie de ses conclusions: «L’étude de ces échantillons met en exergue une présence hautement probable de composants électroniques et semi-conducteurs à l’échelle micro-métrique/nano-métrique. Le résultat le plus étrange, et le plus perturbant, de tout ce que nous avons pu remarquer dans ces fioles, consiste dans la découverte de champs électriques, jusqu’à une valeur de 50 v/m lorsque la fiole est vigoureusement secouée. Nous ne connaissons aucune autre substance artificielle possédant de telles caractéristiques électroniques qui puisse être, de plus, injectée dans les organisme humains.
… Des individus qui manifestent d’étranges phénomènes magnétiques (post-injection avec Sinovac) ou une hypersensibilité aux fréquences-radio, ont été analysés, sur mode externe et non-invasif, avec des instruments capables de mesurer des matériaux ferreux et non-ferreux et des champs électriques. Des luminescences inhabituelles de pigments sont, également, détectées, à proximité d’éruptions de l’épiderme avec des lumières UV dans le spectre de 365 à 395 nm».
Comme je suis un béotien, et c’est un euphémisme, sur le plan de l’électronique, je suis allé voir ce que recouvraient les termes diodes et transistors. Et je suis tombé sur cet exposé très intéressant de Gérard Desmaretz, sur AgoraVox, “Les semi-conducteurs : diode & transistor”. [1558]
Selon Gérard Desmaretz: «Un circuit intégré peut regrouper plusieurs dizaines de milliers de transistors sur quelques centimètres carrés de silicium. Le circuit monolithique gravé sur une plaquette monocristalline de silicium (matériau le plus courant) peut recevoir des milliers de composants interconnectés, une résistance est un simple couche de semi-conducteur isolée, un condensateur une petite jonction pn en polarisation inverse. La taille de la gravure des microprocesseurs actuels tourne vers 14 nanomètres (10^-9) et un microprocesseur peut contenir un milliard de transistors !»
Cela, afin de mettre en exergue que dans le domaine des nano-technologiques, plus c’est petit, moins cela occupe d’espace… et plus cela devient relativement “invisible” pour le commun des mortels.
D’ailleurs, le graphène est en cours de remplacer le silicium dans les transistors en raison de nombreux facteurs dont une mobilité des porteurs supérieure, un très haut gain de trans-conductance, etc.
Dans mon dossier “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, j’ai brièvement évoqué le fait que depuis le début de la fausse pandémie, ce sont de nombreuses études qui ont vu le jour portant sur l’invention de nano-senseurs à transistors basés sur diverses formes de graphène:
Les deux dernières années de la fausse pandémie ont vu surgir des études (et, également, des applications médicales réelles pour, supposément, tester le CoqueVide/19) portant sur la confection de nano-senseurs à transistors, à effet de champ, à partir de nano-tubes de carbone ou d’oxyde de graphène. [1059] [1060] [1061] [1062]
Des transistors, à effet de champ, à base de graphène, sont proposés dans le catalogue Sigma-Aldrich – qui appartient, aujourd’hui, à la multinationale de la Pharmacratie, Merck, sous les références GRFETS20 et GRFETS10. [1066] Ils sont, également, proposés par Alfa Chemistry. [1560]
La société Jiangsu XFNANO Materials distribue, également, des transistors à effet de champ et il est à noter que cette société Chinoise – qui distribue du graphène à ses quelque 20 000 clients de par le monde – commercialise un certain nombre de produits à base de nitrure de bore hexagonal pour la confection de ces transistors à effet de champ. [1561]
Pour rappel, le nitrure de bore constitue le sujet de l’une de mes Nouvelles du 7 septembre – car il est très similaire au graphène de par certaines propriétés. Le nitrure de bore hexagonal, ou graphène blanc, est, également, utilisé dans des applications biologiques et médicales – même si cet usage est moindre que celui du graphène.
Une étude récente, d’avril 2020, intitulée “Distortion-Free Sensing of Neural Activity Using Graphene Transistors” explique ce que sont les mécanisme de distorsion dans les transistors à effet de champ, à base de graphène, afin de mieux percevoir l’activité neuronale. [1562]
Se reporter, également, à l’article, de janvier 2019, “Le graphène : pour une meilleure interface cerveau-ordinateur”. [906]
Pour rappel. Au printemps 2021, le Graphene Flagship Project a publié un article intitulé “Graphene sensors read low-frequency neural waves associated with distinct brain states”. Il s’agit d’un article portant sur l’invention d’un implant biocompatible, basé sur du graphène, qui, en toute sécurité, mesure et prédit les états du cerveau. [579] Cet article commente une étude publiée dans la revue Nature, le 11 janvier 2021, intitulée “Graphene active sensor arrays for long-term and wireless mapping of wide frequency band epicortical brain activity”.
Le résumé de cette étude est présenté comme suit: «Les senseurs actifs au graphène ont démontré des capacités prometteuses pour la détection des signaux électrophysiologiques dans le cerveau. Leur propriétés fonctionnelles, conjointement avec leur flexibilité tout autant que leur stabilité et leur biocompatibilité avérées, les ont propulsées au rang d’éléments prometteurs pour la confection d’interfaces neuronales sensibles de grande amplitude. Cependant, afin de pourvoir des outils fiables, pour les neurosciences et les applications d’ingénierie biomédicale, la maturité de cette technologie doit être intégralement étudiée. Nous avons ici évalué les performances de senseurs au graphène, à 64 canaux, en termes d’homogénéité, de sensibilité et de stabilité en ayant recours à un casque sans fil, quasi-commercial, et nous avons démontré la biocompatibilité d’implants épicorticaux permanents au graphène. De plus, afin d’illustrer le potentiel de cette technologie de détection des signaux corticaux émanant de bandes de fréquence allant d’extrêmement basses à très hautes, nous avons réalisé une démonstration de faisabilité d’enregistrement, sans fil, sur le long terme, chez un rongeur libre de ses mouvements. Notre recherche démontre la maturité de la technologie fondée sur le graphène qui représente, ainsi, un candidat prometteur pour les interfaces de senseurs neuronaux à larges bandes de fréquences». [1563] Traduction et Soulignements de Xochi.
Cette étude a été réalisée conjointement par divers partenaires du Graphene Flagship Project: Catalan Institute of Nanoscience and Nanotechnology (ICN2), Microelectronics Institute of Barcelona (CSIC), CIBER-BBN et ICREA en Espagne; Université Ludwig-Maximilians en Allemagne; Université de Manchester au Royaume Uni; en collaboration avec la société Multi Channel Systems GmbH, en Allemagne.
Selon l’article du Graphene Flagship Project, il s’agit d’un implant biocompatible, au graphène, qui, en toute sécurité, mesure et prédit les “états cérébraux”. Il peut séjourner de manière permanente dans le cerveau – de par sa grande stabilité.
«Le consortium a démontré que des senseurs, à base de graphène, permettent d’accéder à une région insaisissable de l’activité cérébrale: celle des très basses fréquences. Les méthodes courantes, permettant de détecter les ondes cérébrales, ont recours à des électrodes métalliques qui ne sont pas adaptées à mesurer une activité de très basse fréquence. Grace à la sensibilité du graphène, les scientifiques peuvent maintenant, aisément, collecter des informations émanant de ce spectre de fréquences et dépeindre un meilleur tableau de l’activité cérébrale animale. Ces recherches pourraient former le fondement de nouveaux types de technologie médicale neurothérapeutique…
Les scientifiques du Graphene Flagship ont créé un chip de transistors qui enregistre et qui transmet l’information concernant l’activité cérébrale lorsqu’il est implanté dans le cerveau. Ce senseur possède de petits canaux à sa surface: lorsqu’ils entrent en contact avec les tissus cérébraux, les signaux électriques, au sein du cerveau, induisent de petits changements dans la conductivité. Ces changements génèrent un signal et ils sont enregistrés afin de créer une “empreinte” d’activité cérébrale.»
Selon Jose Garrido (du ICN2 en Espagne): «Dans le cerveau, il existe une corrélation entre les fréquences les plus basses et les plus hautes de l’activité cérébrale de sorte que les plus basses fréquences ont tendance à illustrer ce à quoi ressemblent les plus hautes fréquences. En mesurant l’activité de fréquences extrêmement basses, avec des fréquences inférieures à un dixième d’hertz, nous avons démontré que nous pouvons décoder les “états cérébraux” des organismes animaux.» Traduction et Soulignements de Xochi.
Et si l’on écoute ces déments, ces senseurs à base de graphène non seulement ne génèrent aucune inflammation du cerveau – car ils sont biocompatibles – mais, de plus, ils seraient thérapeutiques dans la mesure où ils permettraient de déceler, avant leur manifestation, des pathologies cérébrales telle que l’épilepsie.
Depuis moult années, les promoteurs du graphène sous toutes ses formes – oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit, nano-tubes de carbone, fullerènes, points quantiques de carbone, etc – pour toutes formes d’applications médicales, vaccinales, cosmétiques, alimentaires, agricoles, etc, n’ont qu’un grand mot à la bouche: “biocompatibilité”. Pourquoi? Parce que le graphène est hautement toxique pour la santé humaine et pour toute la Biosphère.
Et d’autant plus toxique si certains ont raison de mettre en exergue la corrélation très étroite, et génocidaire, entre la présence d’oxyde de graphène, dans les injections, et la présence irradiante d’antennes 5G – munies de logiciels permettant de les activer à telle heure, telle fréquence, telle direction, etc. Répétons une nouvelle fois que l’Europe de l’est n’abrite qu’environ 1500 antennes 5G lorsque l’Europe de l’ouest en abrite environ 40 000 – dont environ 7000 en Allemagne. [1202]
Quant à la France, elle possède, sur son territoire, environ 18 000 antennes 5G opérationnelles. A savoir, 18 300 selon le logiciel d’Ookla et 17 559 selon l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences). Il faut préciser que cette agence, à ce jour, a autorisé 28 821 sites 5G en métropole. [1564]
Quelle est la raison de cette irradiation, extrêmement intense, du Peuple Français, par le biais d’une couverture 5G… que les Autorités PharMacroniennes ont tout fait pour précipiter? Serait-ce la même raison qui pousse la PharMacronie à vouloir vacciner hystériquement, et dictatorialement, la totalité de la population Française?
Et ce cauchemar doit être arrêté au plus vite car le Chine et les USA sont fort bien partis avec la 6G car ils possèdent, respectivement, 40% et 35% des quelque 20 000 brevets 6G déposés en date d’août 2021. La 6G est supposée être dix fois plus rapide que la 5G. [1574]
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Breaking News: L’Armée US présente son nouveau vaccin CoqueVide universel, le SpFN – nommé, ainsi, pour Nano-Particules de Ferritine et de Spike.
Alors que nous sommes depuis des mois à investiguer, analyser et décrire la présence de diverses formes de graphène, dans les injections de la Mafia Pharmacratique, il faut, quasiment, se pincer l’épiderme lorsque l’on apprend que l’Armée US vient, tout juste, de présenter son nouveau vaccin CoqueVide, le SpFN – nommé, ainsi, pour Nano-Particules de Ferritine et de Spike.
Ce vaccin a été développé par des chercheurs du Walter Reed Army Institute of Research, dans le Maryland, aux USA. Il s’agit du vaccin SpFN_1B-06-PL. [975]
Cette nouvelle de l’introduction d’un nouveau vaccin, au parfum de ferritine nano-particulaire, m’a de suite interpelé car dans mes Nouvelles de septembre, j’ai rédigé l’article qui est reproduit ci-dessous avec comme intitulé “Pourquoi les injections induisent-elles du magnétisme – selon le Dr. Andrew Goldsworthy de l’Imperial College de Londres”.
Ce vaccin est d’autant plus interpellant qu’il utilise une protéine en forme de ballon rond, possédant 24 faces, sur lesquelles les militaires ont, prétendûment, accroché des protéines Spike de diverses souches de CoqueVide/19.
Selon certains commentaires, cette entité nano-particulaire de ferritine à 24 faces n’est pas sans rappeler le fullerène de Buckminster – également appelé footballène ou buckminsterfullerène… qui est une molécule sphérique en C60 de la famille des fullerènes.
C’est une information extrêmement importante car comme le précise Mik Andersen: Il convient de mentionner que les fullerènes sont des molécules sphériques de graphène (avec une structure moléculaire de 20 hexagones, de 12 pentagones et d’atomes de carbone dans chacun des coins de l’hexagone). Lorsque les fullerènes se sectionnent, ils génèrent des points quantiques de graphène qui sont des nano-particules, possédant une ou plusieurs couches de graphène, avec une forme de nano-réseau circulaire et ellipsoïde. Cependant, ils peuvent, également, acquérir des formes hexagonales.
Cela permettra aux lecteurs de mieux comprendre le danger représenté par un vaccin universel, anti CoqueVide, qui sera sûrement gavé de graphène, comme tous les autres, en sus d’être fondé sur de la ferritine nano-particulaire – qui, bien évidemment, ne peut pas être fonctionnalisée avec de la protéine spike… car cette dernière n’existe pas. C’est une fabulation.
En effet, ainsi qu’il est beaucoup plus explicité, ci-après, le Dr. Andrew Goldsworthy évoque le fait que «le graphène, tout autant que l’oxyde de graphène, peuvent véhiculer assez d’électricité au travers des membranes cellulaires pour magnétiser des particules supraparamagnétiques avoisinantes, telles que la ferritine et la magnétite, en générant une magnétisation généralisée des individus qui ont reçu le vaccin».
Il existe, même, une étude, de janvier 2021, qui porte sur un mélange de nano-particules de ferritine et de magnétite qui peut reproduire les propriétés magnétiques du cerveau.
Il s’agit selon le Dr. Kayvon Modjarrad, l’un des co-inventeurs de ce nouveau vaccin, d’un vaccin “pan-coronavirus”. Il s’agirait, donc, d’un vaccin polyvalent qui va “immuniser” – quelle que soit la nouvelle définition promue par le néo-pasteurisme, depuis mars 2020 – les vaccinés à l’encontre de toutes les souches et espèces de coronavirus passées, présentes et à venir. D’ailleurs, selon les aveux de Kayvon Modjarrad, “immuniser”, dans son paradigme relooké, signifie conférer une “protection potentiellement durable, efficace et inoffensive”.
C’est, en effet, potentiellement, révolutionnaire de proposer un vaccin, au parfum de ferritine et de spike, à l’encontre de tous les coronavirus inexistants passés, présents et à venir. L’un des adjuvants, officiels, de ce vaccin est Army Liposomal Formulation QS21 (ALFQ).
Les premiers essais avec des primates non humains auraient été satisfaisants et, ainsi, les premiers essais avec des primates humains ont commencé en avril 2021. Le 16 décembre 2021, les premières études pré-cliniques ont été publiées dans la revue Science Translational Medicine: elles prouvent que les primates non humains sont protégés à l’encontre de nombreuses souches de Sars-CoV-2 mais aussi de l’antique Sars-CoV-1.
C’est absolument grotesque car le Sars-CoV-1 n’a jamais existé, pas plus que le Sars-CoV-2.
Selon le Dr. Kayvon Modjarrad, en toute simplicité: «Ce vaccin se détache dans le paysage des vaccins Covid-19. Le déploiement répétitif et structuré, de la protéine spike du coronavirus, sur une nano-particule à multiples facettes pourrait stimuler l’immunité de telle manière à se traduire par une protection considérablement accrue».
L’Armée US a également un second vaccin en réserve qui est dénommé “SARS-CoV-2 Spike Receptor-Binding Domain Ferritin Nanoparticle” (RFN). Il est supposé être aussi efficace que le vaccin SpFN – mais il ne prendrait pour cible qu’une plus petite portion de la protéine spike du coronavirus invisible… bla bla bla.
Les études prétendant soutenir cette nouvelle farce immonde sont:
“A SARS-CoV-2 ferritin nanoparticle vaccine elicits protective immune responses in nonhuman primates”. Du 16 décembre 2021. [976]
“Efficacy and breadth of adjuvanted SARS-CoV-2 receptor-binding domain nanoparticle vaccine in macaques”. D’avril 2021. [977]
“SARS-CoV-2 ferritin nanoparticle vaccine induces robust innate immune activity driving polyfunctional spike-specific T cell responses”. Dans Nature le 13 décembre 2021. [978]
“A SARS-CoV-2 spike ferritin nanoparticle vaccine protects hamsters against Alpha and Beta virus variant challenge”. [979]
“SARS-CoV-2 ferritin nanoparticle vaccines elicit broad SARS coronavirus immunogenicity”. [980]
“SARS-COV-2-Spike-Ferritin-Nanoparticle (SpFN) Vaccine With ALFQ Adjuvant for Prevention of COVID-19 in Healthy Adults”. [981]
Maintenant, pour passer aux choses sérieuses. Qu’en est-il de cette prétendue nano-particule Ferritine-Spike? Je me suis inspiré des explications de la Dr. Liji Thomas [982]
Il s’agit de constructions de nano-particules de Ferritine fonctionnalisées avec de la protéine spike. Toutes ces constructions sont fondées sur une séquence d’amino acides dénommée “Wuhan-Hu-1”, à savoir une séquence virtuelle créée dans un ordinateur Chinois, ainsi que je l’ai mentionné – très souvent.
Vu qu’il est déjà tard, ce soir, et que de plus, ce langage prétendument génétique frise l’obscénité, je vais me contenter de reproduire l’original en anglais. De toutes façons, ce charabia, traduit en Français, ne serait que cela: du charabia.
«Spike-functionalized ferritin constructs were made by fusing spike ectodomain (residues 1-1213) or spikeΔC (residues 1-1143) to the H. pylori ferritin subunit separated by an SGG linker. A structural representation based on the spike trimer cryo-EM structure (PDB 6VXX) and the H. pylori ferritin crystal structure (PDB 3BVE) depicts the 24-subunit particle displaying spike or spikeΔC on the surface. The estimated size of the spike-functionalized ferritin particles based on structural data is ~ 300 Å. The S-GCN4 and SΔC-GCN4 trimer constructs were made by fusing either the full-length spike residues (1-1213) or spikeΔC (1-1137) to a modified GCN4 trimerization domain followed by a hexahistidine tag. A structural representation of the spike trimers based on the cryo-EM structure (PDB 6VXX) is shown with an estimate length of ~ 100 Å. The RBD spans residues 319-541 of the spike protein and is preceded by the native signal peptide (not shown) and followed by a hexahistidine tag. ».
La Narration au sujet du virus constitue le Virus … et il s’agit d’une Narration informatique – dans le cas du CoqueVide 19.
J’invite les lecteurs à écrire à leur député afin de lui demander ce qu’il en est d’une ferritine de bactérie, Helicobacter pylori, fonctionnalisée avec de la protéine spike.
Pourquoi les injections induisent-elles du magnétisme – selon le Dr. Andrew Goldsworthy de l’Imperial College de Londres
Le Dr. Andrew Goldsworthy n’est pas un conspirationniste/complotiste: c’est un professeur retraité de l’Imperial College de Londres [1578] [1582] et un membre du Life Sciences Advisory Group de l’Agence Spatiale Européenne.
Le Dr. Andrew Goldsworthy est l’auteur d’une étude, de 2012, intitulée “The Biological Effects of Weak Electromagnetic Fields. Problems and solutions”. [1580]
Le Dr. Andrew Goldsworthy a présenté, cet été, quelques commentaires afin de tenter d’expliquer ce qui se passe sur le plan de la magnétisation des injectés CoqueVide/19 [1579]:
«Le magnétisme, induit par les vaccins, dépend de la possibilité qu’un composé à base de graphène ait été utilisé comme adjuvant afin d’accroitre le taux d’intégration de l’ARNm. Comment cela peut-il se manifester dans la mesure où ni le graphène, ni l’oxyde de graphène sont magnétiques? Parce que le graphène, tout autant que l’oxyde de graphène, peuvent véhiculer assez d’électricité au travers des membranes cellulaires pour magnétiser des particules supraparamagnétiques avoisinantes, telles que la ferritine et la magnétite, en générant une magnétisation généralisée des individus qui ont reçu le vaccin. Il en est de même du coeur ferrique, d’un électro-aimant, qui se magnétise lorsque l’on fait passer un courant électrique dans la bobine de fil enroulée autour.
Afin de préciser quantitativement cet argument. La conductivité électrique du graphène, sur l’échelle nano, est de deux ordres de grandeur plus élevée que le cuivre. [1581]
Que cela signifie-t-il pour des cellules vivantes? Tout d’abord, le voltage transmembranaire, des cellules vivantes, est de l’ordre de 10 millions de volts par mètre (100 mV au travers d’une membrane de 10 nm). Cela signifie qu’un brin transmembranaire de graphène, ou d’oxyde de graphène, (provenant du vaccin) pourrait véhiculer un énorme courant électrique et être, ainsi, capable de magnétiser des substances supraparamagnétiques à proximité – telles que la ferritine et la magnétite.
Cette réaction pourrait se disséminer, comme un incendie, au travers de la membrane lorsque chaque particule magnétisée magnétise ses voisines, et ainsi de suite, de sorte que l’effet de magnétisation s’accroisse. Eventuellement, cette réaction pourrait se répandre dans l’intégralité de l’organisme au travers du flux sanguin, en commençant par les cellules sanguines – incluant ces globules blancs nécessaires à notre système immunitaire – et en s’étendant, ensuite, aux veines, au coeur, aux poumons pour finir par le cerveau.
Cette réaction, partout où elle se répand, pourrait provoquer une catastrophe sur le plan de la perméabilité cellulaire et induire toutes sortes d’effets biologiques – incluant des crises cardiaques, des formes précoces de la maladie d’Alzheimer et, lorsque les mitochondries sont affectées, de la fatigue chronique.
De plus, les lésions membranaires, affectant nos cellules sensorielles, pourraient les rendre hyperactives et les faire envoyer des signaux erronés vers le cerveau en provoquant des symptomes très similaires à ceux générés par l’hypersensibilité électromagnétique: à savoir, des maux de tête lors de l’utilisation d’un téléphone mobile, des picotements à proximité d’un router Wifi, des vertiges et des nausées pour n’en nommer que quelques-uns.
Le plus grand danger, sans doute, peut se manifester si vous subissez un IRM lorsque l’aimant extrêmement puissant de la machine va tenter de fair sortie ces particules magnétisées hors de votre corps. Dans le cas d’un IRM du cerveau, ou de la moelle épinière, il pourrait en résulter des lésions immédiates et, potentiellement, permanentes.
Afin d’illustrer ce que le Dr. Andrew Goldsworthy évoque quant au fait que «le graphène, tout autant que l’oxyde de graphène, peuvent véhiculer assez d’électricité au travers des membranes cellulaires pour magnétiser des particules supraparamagnétiques avoisinantes, telles que la ferritine et la magnétite, en générant une magnétisation généralisée des individus qui ont reçu le vaccin», je renvoie le lectorat vers une étude, de 2006, intitulée “A mixture of ferritin and magnetite nanoparticles mimics the magnetic properties of human brain tissue”. [1590]
Comme son intitulé l’indique, cette étude porte sur un mélange de nano-particules de ferritine et de magnétite qui peut reproduire les propriétés magnétiques du cerveau.
«Les tissus du cerveau humain contiennent, au moins, quatre composants magnétiques différents. Le signal magnétique dominant émane des tissus fortement diamagnétiques constituant la matrice en laquelle les autres composants sont enchâssés. Le second élément dominant est le fer hémique du sang – qui est presque paramagnétique quant à ses qualités magnétiques. La ferritine constitue le troisième élément, qui est responsable pour le stockage intracellulaire du fer, et est présent dans l’intégralité du cerveau. La ferritine est constituée d’un élément central de ferrihydrite antiferromagnétique (5Fe2O3·9H2O), de 5 à 8 nm de diamètre, entourée d’une enveloppe protéique; elle est supraparamagnétique à température ambiante. Durant la dernière décennie, de la magnétite/maghémite a été découverte dans les tissus cérébraux». Traduction de Xochi.
Dans cette étude, les chercheurs ont utilisé des nano-particules de magnétite de 10 à 20 nm de diamètre ainsi que de la ferritine de rate de cheval de 5 à 8 nm de diamètre.
En parlant de ferritine, une étude a été publiée, en janvier 2021, intitulée “A Single Immunization with Spike-Functionalized Ferritin Vaccines Elicits Neutralizing Antibody Responses against SARS-CoV‑2 in Mice”. Il s’agit d’un vaccin CoqueVide/19, expérimenté sur des souris, qui fonctionnalise la pseudo protéine Spike avec des nano-particules de ferritine auto-assemblantes. [1623]
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Projet Bluetooth Expérience X
Cette étude porte sur l’objectivation de l’existence d’adresses MAC détectables, sur la plage de fréquence Bluetooth, suite aux injections CoqueVide, de la Mafia Big Pharma, et aux prises de tests PCR de prétendue détection du CoqueVide. [704] [706]
Selon l’avant propos proposé par les auteurs:
« Depuis avril 2021 des rumeurs se sont propagées sur les réseaux sociaux concernant l’apparition de signaux de type bluetooth à la suite d’une ou plusieurs injections anti-covid proposées par les compagnies pharmaceutiques – Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna, Johnson and Johnson – de nombreuses vidéos ont circulé qui semblent mettre en évidence l’apparition de phénomènes troublants, à savoir :
Des phénomènes d’aimantation inexpliqués sur différents sites du corps de personnes injectées (qui ont donné lieu à une explosion des publications sur TikTok regroupées autour d’un mouvement communautaire, Le Magnet Challenge).
L’apparition d’adresses MAC Bluetooth en présence de personnes injectées et en l’absence de tout dispositif technologique susceptible d’expliquer ces apparitions.
L’apparition de signaux lors d’un scan effectué sur le corps d’une personne injectée par l’intermédiaire d’appareillage de détection de puce électronique animale utilisées couramment chez les vétérinaires.
Toutes ces rumeurs ont été démenties par les principaux médias et les agences de presse traditionnelles alors même que dans les réseaux alternatifs de nombreuses expérimentations empiriques effectuées par des citoyens ordinaires semblaient démontrer le contraire.».
Voir la suite de cette étude magistrale sur le site de gloria.tv [704]
Cette étude est, également, disponible en Espagnol, en Allemand et en Anglais. [705]
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Revue Scientifique: un article sur le graphène et la stimulation de cellules cardiaques
L’Université de San Diego, en Californie, en 2018, a publié une étude intitulée “Graphene biointerfaces for optical stimulation of cells” [709]. Cette étude porte sur la stimulation “à distance” – en remote control – de cellules cardiaques humaines.
Selon le résumé: «Une stimulation non-envahissante des cellules est essentielle à l’examen et au contrôle précis de leur fonction tant au niveau cellulaire qu’au niveau systémique. Afin de prendre en considération ces contingences, nous présentons une plate-forme de stimulation optique pionnière qui ne requiert pas de modification génétique des cellules mais capitalise, plutôt, sur les propriétés optoélectroniques uniques du graphène – incluant sa capacité de convertir, efficacement, la lumière en électricité. Nous commentons les premières études de stimulation de cardiomyocytes au moyen de bio-interfaces basées sur du graphène dans des configurations dispersives et sur substrat. L’efficacité de la stimulation via des bio-interfaces basées sur du graphène est indépendante des longueurs d’onde de la lumière mais peut être modulée en modifiant l’intensité lumineuse. Nous prouvons qu’une évaluation totalement optique des effets des médications, in vitro, peut être réalisée à partir de bio-interfaces basées sur du graphène. De plus, en ayant recours à des bio-interfaces dispersives basées sur du graphène, in vivo, nous réalisons une modulation optique de l’activité cardiaque d’embryons de poissons-zèbre. Notre découverte va pouvoir dynamiser de nombreuses études médicales fondamentales et translationnelles». Traduction et Soulignements de Xochi.
Ces recherches ont recours à de l’oxyde de graphène réduit pour leur plate-forme optique. Ces chercheurs ont, ainsi, développé une technique qui leur permet d’accélérer ou de ralentir les cellules cardiaques humaines, sur commande, en projetant une lumière sur les cellules et en en modulant l’intensité lumineuse.
Je suis sûr que cette étude ne manquera pas de passionner, et de réveiller, ceux qui émettent des doutes (par ignorance) quant à la capacité du graphène, sous toutes ses formes, de générer des pathologies cardio-vasculaires.
Dans la vidéo suivante, des cellules cardiaques de souris sont activées avec du graphène et des ondes.
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Des micro-sphères d’aérogel d’oxyde de graphène réduit, fonctionnalisées avec du carbure de titane, dans les injections CoqueVide d’Astra-Zeneca?
Lors de son dernier interview, de plus d’une heure, avec Pedro Rosillo (el Archonte) [499], le Professeur Campra a évoqué, à plusieurs reprises, qu’un certain nombre d’objets ne portaient pas, strictement, la signature d’une forme de graphène, en spectroscopie Raman, et que le pic Raman de ces objets – tels que les disque noirs, les nano ou micro-bulles – étaient autour de 1450 cm-1 dont les objets présentés sur les photographies suivantes.
La signature réelle du graphène, en spectroscopie Raman, est aux alentours de 1580 cm-1 et j’invite les lecteurs à consulter l’étude intitulée “Towards Understanding the Raman Spectrum of Graphene Oxide: The Effect of the Chemical Composition” pour plus de précisions quant aux variations du pic Raman de l’oxyde de graphène. [506]
Il existe, également, une étude de 2010, qui a déterminé que les pics Raman pour des nano-rubans de graphène, en mono-couche, ou en multiples couches, se situaient entre 1450 et 1530 cm-1. [507] De même, en février 2020, un chercheur d’Inde demandait pourquoi il avait découvert un pic raman de 1450 cm-1 avec des points quantiques de graphène. [508] De même, un autre chercheur d’Inde se demandait ce que signifiait ce pic précis avec un composé impliquant un échantillon de ferrite. [509] Une étude de 2012 porte, également, sur le pic Raman de 1450 cm-1 concernant un composé de graphène et de phtalocyanine de cuivre. [510]
Alors que j’écumais la littérature scientifique, afin de tenter de percer l’identité de ces entités, j’ai découvert une étude, en phase de pré-publication, pour 2021, qui s’intitule “Hybrid MXene/reduced graphene oxide aerogel microspheres for hydrogen evolution reaction”. [500] Cette étude présente quelques photographies [501] qui mettent en exergue la similarité patente entre les objets non identifiés par le Professeur Campra, dans le vaccin d’Astra-Zeneca, et les composés nano-particulaires étudiés par cette équipe de chercheurs.
Ces objets non identifiés, par le Professeur Campra, portent également une signature Raman de 1450 cm-1.
S’agit-il, en fait, de micro-sphères d’aérogel d’oxyde de graphène réduit, hybridées avec du carbure de titane? [502]
Par contre, cette étude n’étant pas encore publiée, à part le résumé et les photographies principales, elle ne mentionne aucune indication de leur pic en spectroscopie Raman.
Le carbure de titane peut être obtenu, par exemple, en réduisant du dioxyde de titane avec du carbone. Il existe des nano-particules de dioxyde de titane dont la taille moyenne varie entre 10 et 50 nm.
Pourquoi fusionner de l’oxyde de graphène réduit avec du carbure de titane? Parce que, prétendument, le carbure de titane possède des qualités anti-microbiennes mais que, surtout, ses nano-particules sont déjà utilisées pour des applications biologiques – telle que la création de bio-senseurs et, en particulier, en se combinant avec diverses formes de graphène. [525] [526] [527]
Il existe diverses études portant sur la fabrication d’aérogel d’oxyde de graphène réduit hybridé avec du carbure de titane. [503] [504] J’invite les lecteurs anglophones, intéressés par les divers types d’aérogel à base de graphène, à consulter l’étude, de 2017, intitulée “Graphene aerogels: a review”. [505]
Pour tous ceux très intéressés par les aérogels à base d’oxyde de graphène réduit, voici un tableau déclinant leurs diverses capacités d’absorption électro-magnétiques en fonction de leur composition.
Voici, par exemple, des photographies d’aérogel d’oxyde de graphène réduit hybridé avec de l’oxyde de cobalt – qui aurait, prétendument, aussi, des applications biologiques et médicales. [519] Elle sont issues d’une étude intitulée “Graphene Based Aerogels: Fundamentals and Applications as Supercapacitors”. [518] On dirait des petits vermicelles… d’oxyde de graphène et d’oxyde de cobalt.
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Des Nano-Poulpes de Graphène dans les injections CoqueVide?
Dans mes nouvelles du 1er octobre, j’évoquais l’hypothèse de certains chercheurs quant à la présence d’hydres d’eau douce dans les injections CoqueVide afin d’expliquer les formes tentaculaires apparaissant dans ces fioles – ou dans le sang des injectés CoqueVide. Il existe une autre hypothèse proposée par les chercheurs du blog Corona2inspect – en langue Espagnole. [77]
En effet, Dasgupta, et son équipe, en 2013, ont publié une étude intitulée “Growth of carbon octopus-like structures from carbon black in a fluidized bed” [78] qui porte sur la croissance de nano-poulpes de carbone en convertissant du carbone noir, à l’aide de ferrocène et d’acétylène, dans un médium fluidifié. Les nano-poulpes de carbone constituent, ainsi, un type de nano-tubes de carbone – à savoir l’une des formes du graphène – à partir desquels ils se forment. Les nano-tubes de carbones peuvent être à paroi simple ou à parois multiples mais, dans le cas de la formation de poulpes de graphène, il s’agit de nano-tubes de carbone à parois multiples.
Les nano-poulpes de graphène avaient déjà été découverts, en 2006, par une équipe de chercheurs du Laboratoire des Matériaux, Surfaces et Procédés pour la Catalyse, UMR 7515 du CNRS, à Strasbourg, ainsi que rapporté dans leur étude intitulée “About the octopus-like growth mechanism of carbon nanofibers over graphite supported nickel catalyst”. [79] Ils avaient été, également, découverts et nommés ainsi par l’équipe de Debabrata Pradhan en Inde, en 2003, de par leur étude intitulée “Nano-Octopus: A New Form of Branching Carbon Nanofiber” [80] ainsi que par Sharon et Sharon, en Inde, en 2006, dans leur étude intitulée “Carbon Nanomaterials and their Synthesis from Plant‐Derived Precursors”. [81]
Selon Dasgupta, les tentacules des poulpes sont des nano-fibres de carbone qui ne sont pas des structures ordonnées. Les poulpes se forment lorsqu’il se manifeste une rupture d’un nano-tube de carbone à partir de laquelle s’agglomèrent des nano-particules de ferrocène et d’acétylène qui induisent une accumulation de molécules de carbone. La forme du poulpe dépend de la taille du catalyseur. Lorsque le diamètre de la nano-particule ferrique est inférieur à 50 nm, elle catalyse des nano-tubes de carbone à parois multiples. C’est lorsqu’il est supérieur à 50 nm qu’il se manifeste des formations en formes de poulpes. Cela signifie que les poulpes de graphène font intrinsèquement partie de la fabrication des nano-tubes de carbone à parois multiples. Ils se caractérisent, de plus, comme possédant un très fort potentiel de supraconduction.
Les catalyseurs pour la formation de poulpes de graphène peuvent être de différentes natures: du nickel, ou du cuivre/nickel avec du camphre, ou une conjonction de ferrocène et d’acétylène, etc.
Les poulpes de carbone ont été, également, étudiés par Luis Sousa Lobo. Selon Lobo, la géométrie du catalyseur, des nano-tubes de carbone, constitue l’un des facteurs-clés quant à la formation de poulpes de graphène. «La géométrie des nano-particules catalysatrices doit être adéquate dans le cas de formation de nano-tubes à partir de particules métalliques. La surface supérieure d’une nano-particule sphéroïde catalysatrice possède la même orientation de cristallisation que sa base. La taille de cette nano-surface supérieure constitue la base du diamètre du nano-tube croissant à partir du graphène initial plat après avoir tourné de 90° en raison de la formation de 6 pentagones de carbone. La croissance d’un poulpe de carbone constitue une démonstration excellente d’un processus de croissance, et des rôles conjoints de la cinétique et de la géométrie, permettant d’obtenir une voie aisée pour la croissance et la nucléation de nano-tubes de carbone à basses températures». [82] [83]
Il faut déduire de tous ces exposés que non seulement les nano-tubes de carbone, et autres poulpes de graphène, sont excessivement toxiques en soi, pour le corps animal, mais que, de plus, leur croissance nécessite l’apport de nano-particules catalysatrices tout autant toxiques. Le bureau Européen des brevets a, d’ailleurs, présenté, en 2015, une invention de nano-structures de carbone sans le recours à des catalyseurs: «…Sous sa direction, Akira Koshio et Masako Yudasaka ont apporté leur collaboration pour développer une méthode afin de créer des nanotubes de carbone sans particules catalysatrices métalliques, qui sont toxiques pour les humains et qui contaminent également le matériau. Connu sous le nom de méthode plasma, cette méthode consiste à vaporiser des tiges de carbones dans du plasma chaud, ce qui crée des nanotubes de carbone à parois multiples très purs, avec des pointes tranchantes pouvant être utilisés pour la fabrication de systèmes d’affichage. Une production sans métal signifie que les nouvelles structures en carbone peuvent même être utilisées dans le domaine de la biomédecine. » [84]
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Les nano-tubes de carbone fonctionnalisés peuvent servir de systèmes d’administration de vaccins
En parcourant la Toile, je suis tombé sur le site de la société Allemande Hielscher – qui commercialise, des homogénéisateurs à ultrasons pour procédés liquides. Cette page est intitulée “Ultrasons Puissants pour des Nanoparticules Pharmaceutiques”. [599]
Les jets de liquide résultant de la cavitation ultrasonique peuvent atteindre des vitesses allant jusqu’à 1000 km/h.
Voilà, ci-dessous, un extrait de leur article parce qu’il propose une présentation des nano-tubes de carbones fonctionnalisés, à paroi unique ou à multiples parois, et parce que, surtout, il affirme, en toutes lettres, que l’une des fonctions de ces nanotubes de carbone fonctionnalisés est «également de servir de systèmes d’administration de vaccins».
«Comme les nano-matériaux sont définis comme des particules d’une dimension inférieure à 100 nm, cela signifie que la production et le traitement de ces substances nécessitent des efforts plus importants. Pour former et traiter des nanoparticules, les agglomérats doivent être cassés et les forces de liaison doivent être surmontées. La cavitation à ultrasons est une technologie bien connue pour dés-agglomérer et disperser les nano-matériaux. La diversité des nano-matériaux et des formes ouvre de nombreux changements pour la recherche pharmaceutique. Les nanotubes de carbone (NTC) ont un grand volume interne qui permet à plus de molécules de médicament d’être encapsulées, et ils ont des surfaces internes et externes distinctes pour la fonctionnalisation. (Hilder et al., 2008) Par cela, les nano-tubes de carbones sont capables de transporter diverses molécules telles que des agents actifs, de l’ADN, des protéines, des peptides, des ligands de ciblage etc, dans des cellules. Les nanotubes de carbone ont été reconnus comme les nano-matériaux par excellence et ont acquis le statut de l’un des domaines les plus actifs de la nanoscience et de la nanotechnologie.
Le nano-tube de carbone à multiples parois est composé de 2 à 30 couches graphitiques concentriques dont les diamètres sont compris entre 10 et 50 nm et dont la longueur est supérieure à 10 μm. D’autre part, le nano-tube de carbone à paroi unique est beaucoup plus mince, avec un diamètre allant de 1,0 à 1,4 nm. (Srinivasan 2008) Les nanoparticules ainsi que les nanotubes peuvent entrer dans les cellules et peuvent être complètement absorbés par eux. En particulier, les nanotubes de carbone fonctionnalisés (f-CNT) sont connus pour améliorer la solubilité et permettre un ciblage tumoral efficace. De ce fait, les nano-tubes de carbones fonctionnalisés, les nano-tubes de carbones à paroi unique, ou à multiples parois, sont empêchés d’être cytotoxiques (= toxiques pour les cellules) et d’altérer la fonction du système immunitaire. Par exemple, les nano-tubes de carbones à paroi unique de haute pureté peuvent être produits de manière sono-chimique. Les nano-tubes de carbones à paroi unique de haute pureté peuvent être obtenus dans une solution liquide en soniquant la poudre de silice pendant 20 minutes à température ambiante et pression ambiante. (Srinivasan 2005).
Les nano-tubes de carbone fonctionnalisés (f-CNT) peuvent également servir de systèmes d’administration de vaccins. Le concept de base est de lier l’antigène aux nanotubes de carbone tout en conservant sa conformation, induisant ainsi une réponse d’anticorps avec la bonne spécificité.»
Cet article pourvoit des informations très intéressantes, également, au sujet de la fonctionnalisation ultrasonique des nanoparticules – polymères, liposomes, dendrimères, nanotubes de carbone, points quantiques, etc – de la formation de liposomes ultrasoniques, etc.
On y apprend, par exemple, que les nano-tubes de carbone se font “fragmenter”, dans l’organisme humain, par ultrasons.
« Fonctionnalisation par ultrasons des SWCNT par PL-PEG. Zeineldin et al. (2009) ont démontré que la dispersion de nanotubes de carbone à paroi unique (SWNT) par ultra-sonication avec du phospholipide-polyéthylèneglycol (PL-PEG) le fragmente, interférant ainsi avec sa capacité à bloquer l’absorption non spécifique par les cellules. Cependant, le PL-PEG non fragmenté favorise l’absorption cellulaire spécifique des nanotubes de carbone à paroi unique ciblés vers deux classes distinctes de récepteurs exprimées par les cellules cancéreuses. Le traitement par ultrasons en présence de PL-PEG est une méthode courante utilisée pour disperser ou fonctionnaliser les nanotubes de carbone et l’intégrité du PEG est importante pour favoriser l’absorption cellulaire spécifique de nanotubes fonctionnalisés par ligand. Puisque la fragmentation est une conséquence probable de l’ultra-sonication, une technique couramment utilisée pour disperser les SWNT, cela peut être une préoccupation pour certaines applications telles que l’administration de médicaments».
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Teslaphorèse des Nano-tubes de Carbone / Poulpes de Graphène
Pour faire suite à ma présentation, dans mes Nouvelles du 12 octobre, des découvertes du médecin Polonais, Franc Zalewski, dans les injections de Pfizer, j’invite les lecteurs à consulter un essai très documenté concernant la Teslaphorèse des nanotubes de carbone qui a été publié, par Guy Boulianne, sur son blog. [131] En effet, ainsi que je l’ai expliqué, dans mes Nouvelles du 7 octobre, ce sont des nano-poulpes de graphène que divers chercheurs ont découverts dans leurs analyses des fioles d’injections CoqueVide.
Pour rappel. Non seulement les nano-tubes de carbone, et autres poulpes de graphène, sont excessivement toxiques en soi, pour le corps animal, mais que, de plus, leur croissance nécessite l’apport de nano-particules catalysatrices tout autant toxiques. Le bureau Européen des brevets a, d’ailleurs, présenté, en 2015, une invention de nano-structures de carbone sans le recours à des catalyseurs: «…Sous sa direction, Akira Koshio et Masako Yudasaka ont apporté leur collaboration pour développer une méthode afin de créer des nanotubes de carbone sans particules catalysatrices métalliques, qui sont toxiques pour les humains et qui contaminent également le matériau. Connu sous le nom de méthode plasma, cette méthode consiste à vaporiser des tiges de carbones dans du plasma chaud, ce qui crée des nanotubes de carbone à parois multiples très purs, avec des pointes tranchantes pouvant être utilisés pour la fabrication de systèmes d’affichage. Une production sans métal signifie que les nouvelles structures en carbone peuvent même être utilisées dans le domaine de la biomédecine. » [84]
Selon l’article de Guy Boulianne, la Teslaphorèse des nanotubes de carbone «a été prouvée par des scientifiques de l’Université Rice qui ont découvert que le fort champ de force émis par une bobine de Tesla provoque l’auto-assemblage des nanotubes de carbone en longs fils, un phénomène qu’ils appellent “Teslaphorèse”. Cette expérience a été publiée dans le magazine ACS Nano, [130] le 26 avril 2016. Il est évident que depuis ce temps, cette technologie a du bien progresser… Le système fonctionne en faisant osciller à distance des charges positives et négatives dans chaque nanotube, les obligeant à s’enchaîner en longs fils. La bobine Tesla spécialement conçue par Cherukuri génère même un effet de faisceau tracteur lorsque les fils de nanotubes sont tirés vers la bobine sur de longues distances.» [131]
Voir quelques vidéos sur la Teslaphorèse des nanotubes de carbone. [132] [133] [134]
Selon Paul Cherukuri, de l’Université Rice: «Avec la Teslaphorèse, nous avons la capacité d’augmenter massivement les champs de force pour déplacer la matière à distance… C’est une chose tellement étonnante de voir ces nanotubes prendre vie et se coudre en fils de l’autre côté de la pièce… ».
Voici une partie de la traduction de l’étude, de 2016, intitulée “Teslaphorèse des nanotubes de carbone”, réalisée par Guy Boulianne.
«Introduction. Des champs de force électrique non uniformes sont utilisés pour contrôler l’orientation, l’emplacement et l’assemblage d’une variété de matériaux à l’échelle nanométrique (par exemple, les nanotubes de carbone, le graphène, les points quantiques semi-conducteurs) pour l’intégration de leurs propriétés uniques dans les appareils électroniques. La force générée sur les matières particulaires dans un champ électrique à gradient est un phénomène pondéromoteur connu sous le nom de diélectrophorèse, dans lequel les particules neutres se polarisent et migrent vers ou à partir des régions à forte densité de champ électrique. Les champs de force électrique variant dans l’espace sont traditionnellement créés en fabriquant deux électrodes étroitement espacées (μm–mm) avec des géométries de forme appropriée, ce qui entraîne une force diélectrophorétique (DEP) hautement localisée. L’amplitude de la force DEP générée dans ces systèmes est proportionnelle au gradient du carré du champ électrique (FDEP ∝ ∇E2) et doit être suffisamment forte pour surmonter le mouvement brownien. Bien que de nombreux systèmes DEP aient été développés pour manipuler la matière à l’échelle nanométrique au sein de ces systèmes de type condensateur fabriqués par lithographie bien définis, ces dispositifs sont intrinsèquement limités à l’assemblage de volumes à petite échelle (μL-mL) et de surfaces (μm2-cm2) en raison de les restrictions physiques imposées par les deux électrodes, qui inhibent leur utilisation pour la nanofabrication évolutive de matériaux et de dispositifs.
Nous avons découvert que les limitations physiques de la diélectrophorèse conventionnelle pouvaient être surmontées en utilisant l’énergie radiofréquence (RF) en champ proche (≪ λ) transmise par une bobine de Tesla. Bien que Nikola Tesla ait initialement prévu que son appareil homonyme fournisse de l’énergie électrique sans fil dans le monde entier, la bobine de Tesla s’est avérée peu pratique pour la transmission de puissance radiative dans le champ lointain (≫ λ), reléguant la machine à une relique de la fin du XIXe siècle. dont le seul but aujourd’hui est de créer des éclairs artificiels dans les musées des sciences. Néanmoins, la région de champ proche non radiative d’un émetteur à bobine de Tesla contient une énergie RF de haute intensité et ce champ électrique à fort gradient qui s’étend dans l’espace libre à partir de l’antenne de la bobine de Tesla peut être exploité pour diriger l’auto-assemblage de particules à l’échelle nanométrique et macroscopique sur une longue distance. Étant donné que la région de champ proche d’une bobine de Tesla s’étend à des dizaines de mètres de l’émetteur, nous avons découvert que la bobine de Tesla est remarquablement capable de déplacer, de diriger et d’assembler des particules à l’échelle nanométrique et macroscopique.
Le mouvement dirigé et l’auto-assemblage de matière à distance en utilisant l’énergie de champ proche de la bobine de Tesla est un phénomène que nous appelons Teslaphorèse. Nous avons choisi d’utiliser des nanotubes de carbone à paroi simple (CNT) pour cette étude initiale en raison de leur polarisabilité élevée, de leur anisotropie et de la facilité relative d’étudier le comportement électrocinétique des poudres en vrac et des nanotubes individualisés en suspension. Lorsqu’une petite masse de poudre de CNT est placée dans le champ proche de la bobine de Tesla, l’auto-assemblage explosif et la croissance d’un fil CNT individuel se produisent en quelques secondes. Si, au contraire, les NTC sont dispersés en solution, de nombreux fils de nanotubes commencent à s’auto-assembler rapidement et à se combiner en un ou plusieurs réseaux parallèles plus grands. En outre, bien que la Teslaphorèse présente l’avantage distinct d’un auto-assemblage dirigé sans restriction, nous avons également constaté que l’énergie en champ proche de la bobine Tesla alimente et auto-assemble sans fil les circuits de nanotubes et auto-assemble à distance des réseaux parallèles de nanotubes individuels à partir du bas. en haut.
Conclusion. Bien que notre étude de l’assemblage de TEP se soit concentrée uniquement sur les nanotubes de carbone, nous avons réalisé des expériences exploratoires avec plusieurs autres matériaux et observé leur assemblage dirigé et évolutif. De plus, notre fréquence de transmission de 2 MHz a été choisie parce que les nanotubes et leurs réseaux sont relativement insensibles aux changements dans cette gamme de fréquences, mais les travaux futurs exploreront la dépendance en fréquence des assemblages dirigés par TEP. La capacité intrigante de la force TEP à assembler et paralléliser des semi-conducteurs individuels sur une surface en masse sans aucun gabarit chimique ou lithographie pourrait conduire à son application pour la fabrication évolutive de nanotubes parallèles à haute densité dans des processeurs informatiques ou éventuellement un assemblage ascendant de conducteurs des fibres de nanotubes aussi longues que le champ proche du système (des dizaines de mètres). De plus, notre système TEP à antenne unique se généralise facilement à plusieurs bobines Tesla comme moyen de créer des champs et des structures plus complexes, permettant ainsi un contrôle directionnel encore plus fin sur les constructions souhaitées. Par conséquent, le système et la méthodologie TEP deviendront des outils importants dans la nanofabrication évolutive, et la capacité d’interconnecter, de réparer et d’alimenter des éléments de circuit uniquement en utilisant l’énergie de champ proche de la bobine Tesla offre des perspectives encore plus grandes pour l’utilisation de l’assembleur TEP. au-delà de celle de la diélectrophorèse conventionnelle.» [130] Traduction par Guy Boulianne.
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Synthèse de micro-bulles aux parois de nano-tubes de carbone
Il m’a semblé important de traduire le résumé de cette étude publiée, en Corée du sud, en janvier 2020, d’autant plus que cette étude est accompagnée de photographies très explicites – eu égard à l’objet de notre quête, à savoir la dénonciation de la graphénisation de tous les secteurs de la vie quotidienne – qui sont, strictement, similaires à celles réalisées par divers investigateurs découvrant du graphène sous différentes formes, dans les injections CoqueVide. Cette étude Coréenne est intitulée “Microfluidic Synthesis of Carbon Nanotube-Networked Solid-Shelled Bubbles” [592] [593].
En effet, il est patent que la photographie extraite de cette étude représente le même “objet” que, par exemple, ceux filmés dans la vidéo Allemande d’une fiole de Pfizer – présentée dans mes Nouvelles du 27 novembre. [574]
«Les nano-tubes de carbone ont attiré une attention considérable en raison de leur haute conductivité électrique et de leurs propriétés mécaniques étonnantes. C’est ainsi que de nombreuses tentatives ont été effectuées afin de configurer des nano-tubes de carbone en structures diverses pour un recours dans un spectre étendu d’applications. Cependant, le fort rapport d’allongement, des nano-tubes de carbone, ainsi que la déformabilité qui en résulte, ont empêché la fabrication de structures sophistiquées fondées sur des nano-tubes de carbone – et ce, en particulier, dans le cas des architectures cellulaires en 3D. Afin de dépasser cette limitation, nous présentons une méthode innovatrice permettant de fabriquer un réseau cellulaire tridimensionnel, à base de nano-tubes de carbone, à partir de l’assemblage de micro-bulles, aux parois de nano-tubes de carbone, synthétisées sur un mode micro-fluide.
Nous avons, ainsi, réussi à produire des micro-bulles, aux parois de nano-tubes de carbone, sphériques et stables, et possédant une excellente uniformité de taille et de forme en contrôlant, de manière précise, les dimensions des micro-bulles en modulant les variables de micro-fluidité. Nous avons, également, développé une compréhension essentielle de la stabilité des micro-bulles qui nous a permis de supprimer la déformation induite par le rétrécissement. Les micro-bulles ainsi synthétisées, aux parois de nano-tubes de carbone, furent assemblées en une structure 3D compacte. Il fut, ensuite, appliqué un traitement de réduction thermique afin d’induire une liaison interfaciale ainsi qu’une transformation en une structure de réseau cellulaire fermé. En conclusion, cette recherche propose une nouvelle stratégie d’assemblage des nano-matériaux en 1D constituant les composés de base d’architectures cellulaires, en 3D, fermées et bien régulées, se caractérisant par une amélioration de leurs propriétés structurelles ou physiques». Traduction par Xochi.
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Supra-conductivité du Graphène à double couche
avec un angle magique de torsion
Une nouvelle étude a été publiée, dans la revue Nature, le 20 octobre 2021, qui est intitulée “Evidence for unconventional superconductivity in twisted bilayer graphene”. [196] Le propos de cette étude est de mettre en exergue que l’émergence de supra-conductivité, dans le graphène à double couche avec un angle magique de torsion, a soulevé la possibilité que son mécanisme de couplage puisse être totalement distinct de celui des supra-conducteurs conventionnels – tel qu’il est décrit par la théorie BCS, de Bardeen-Cooper-Schrieffer, en 1957.
Ce type de graphène est dénommé, officiellement, en Anglais, “magic-angle twisted bilayer graphene” et il est à noter l’emploi de l’adjectif “magique”. Il s’agit de deux monocouches de graphène déposées l’une sur l’autre dont l’angle de torsion est d’environ 1,1°.
La supra-conductivité du graphène à double couche, avec un angle magique de torsion, fut la grande découverte de l’année 2018 – telle qu’elle est annoncée dans les articles de Nature publiés en mars 2018: “Unconventional superconductivity in magic-angle graphene superlattices” [197] et “Correlated insulator behaviour at half-filling in magic-angle graphene superlattices” [199].
De plus, une nouvelle étude a été publiée, dans la revue Nature, le 1er septembre 2021, qui est intitulée “Superconductivity in rhombohedral trilayer graphene”. Cette étude porte sur l’observation, “surprenante”, de la supra-conductivité du graphène à trois couches en empilement rhomboédrique. [198] Surprenante… car cette supra-conductivité n’existerait pas chez le graphène hexagonal à trois couches.
Se référer à un article de Jean-Michel Muyl “Des physiciens du MIT découvrent que le graphène tricouche « Angle magique » peut être un supraconducteur rare et résistant aux aimants”. [200]
Il faut préciser que ces expérimentations de graphène bi-couche ou tri-couche, avec un angle magique d’environ 1,1°, ont été réalisées à des températures extrêmement basses (près de 0 degrés Kelvin). Nonobstant, elles signalent la possibilité qu’en combinant le graphène avec d’autres éléments supraconducteurs, il pourrait devenir supra-conducteur à température ambiante.
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Les “nano-bio-senseurs”/ “nano-bio-capteurs” à l’oxyde de graphène
J’ai évoqué, à de nombreuses reprises, dans mes derniers essais et dossiers, que le graphène entre dans la composition de ce qui est appelé des “bio-senseurs” – qui sont, en fait, très souvent, des “nano-bio-senseurs”.
C’est la société Profusa – en partenariat avec la Silicon Valley et le Ministère de la Défense US – qui, en mars 2018, déclarait, en titre, sans ambages: «Les senseurs corporels injectables conviant votre chimie personnelle, vers votre téléphone mobile, sont proches de la réalité». [523] Profusa précisait, plus avant, «que ces bio-senseurs minuscules font un avec le corps physique… et transmettent des données vers votre téléphone, et vers le Cloud, pour une utilisation personnelle et médicale».
Les bio-senseurs de Profusa ressemblent à des petits vers de 3 mm de longueur et de 500 microns de diamètre. L’article de Defense One, du Ministère US de la défense, déclare que: «Le senseur possède deux parties. L’un est un filament d’hydrogel de 3 mm de longueur constitué d’un matériau dont le réseau de chaines de polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et dans d’autres implants. Inséré sous la peau avec une seringue, le filament inclut une molécule spécifiquement conçue qui envoie un signal fluorescent en dehors du corps lorsque le corps commence à lutter contre une infection. L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de lumière au travers de la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer vers le docteur, vers un site internet, etc. C’est tel un laboratoire d’analyses sanguines sur la peau qui recueille les réactions du corps vis à vis d’une maladie avant la présence d’autres symptomes, telle que la toux». Il va sans dire que l’hydrogel de Profusa est un hydrogel à base de graphène.
Sur ce même thème, j’invite les lecteurs à consulter l’article de Lilane Held-Khawam intitulé “A quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? A l’Internet des corps (IoB)”. [155]
Dans cet article, Liliane Held-Khawam propose, entre autres, la traduction, en Français, d’une vidéo sur “l’Internet des Corps”.
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Au sujet de l’oxyde de graphène “magnétique” modifié avec de l’oxyde de fer (Fe304)
Dans le dossier “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, j’ai évoqué que parmi les produits, à base de graphène, distribués commercialement par Jiangsu XFNANO Materials, se trouve une poudre d’oxyde de graphène “magnétique” modifié avec de l’oxyde de fer (Fe304) [851] – accompagnée d’un avertissement, à savoir d’opérer avec prudence en relation avec le virus et le coronavirus CoqueVide/19.
Ce produit est présenté avec les fonctions suivantes: «Composé d’oxyde de graphène, chargé de nano-particules magnétiques de Fe304, l’oxyde de graphène magnétique possède de nombreuses qualités incluant la capacité de réaction magnétique, des propriétés catalytiques (qui peuvent être utilisées pour la séparation magnétique de molécules), une catalyse biologique enzymatique simulée, la pollution environnementale, la construction de matériaux composés polymères dopés, la construction de nano-vecteurs de médications, le développement de senseurs et de méthodes de détection biologiques, etc». Traduction et Soulignements de Xochi.
Un composé d’oxyde de graphène réduit, chargé de nano-particules magnétiques de Fe304, est, également, commercialisé par Merk. [1480]
Il existe, en fait, une étude très récente, publiée en mai 2021, qui est intitulée “Preparation of rGO@Fe3O4 nanocomposite and its application to enhance the thermal conductivity of epoxy resin”. [1470]
«Les nano-particules magnétiques sont composées de nano-particules d’alliages, ou de métaux de transition, enchâssées dans des vecteurs non-métalliques. Elles possèdent les doubles caractéristiques de particules magnétiques et de nano-matériaux. Le fait de charger des nano-particules magnétiques, sur la surface du graphène, afin de préparer des matériaux composites, non seulement profite des propriétés intéressantes du graphène mais confère, également, la pleine expression des avantages de nano-matériaux magnétiques – tels qu’un super-paramagnétisme, une haute activité catalytique ainsi qu’une bonne bio-compatibilité. Il en découle que ces matériaux peuvent avoir des applications pour de nombreux usages. Cakmak et al. ont synthétisé des nano-composés ternaires rGO–Fe3O4–TiO2 et les ont dispersés dans de l’éthylène glycol afin de préparer des nano-fluides. [1471] Il a été découvert que les nano-fluides composés d’éthylène glycol, et de rGO–Fe3O4–TiO2, possèdent une conductivité thermique stable, à des températures différentes, et peuvent être utilisées pour des applications de transfert de chaleur». Traduction et Soulignements de Xochi.
Il existe une pléthore d’études, depuis une dizaine d’années, sur les nano-particules d’oxyde de graphène réduit fusionnées avec de l’oxyde de fer, ou magnétite (rGO–Fe3O4) pour des applications bio-médicales, pour des processus de décontamination, pour du stockage d’énergie, etc. [1472] [1473] [1474] [1475]
Par exemple, une étude de 2017, intitulée “Application of Fe3O4/RGO Nanocomposite as a Sorbent of Pesticides”, porte sur la décontamination de raisins secs contaminés avec les pesticides suivants: diazinon, chlorpyrifos, ethion, perméthrine, cyperméthrine, fenvalérate. [1476]
Par exemple, une étude de 2017, intitulée “Chitosan overlaid Fe3O4/rGO nanocomposite for targeted drug delivery, imaging, and biomedical applications” porte sur l’utilisation de nano-particules de rGO–Fe3O4–TiO2, fonctionnalisées avec du chitosan, pour des applications bio-médicales (transfert de médications), pour la cosmétique et pour les industries alimentaires. [1477]
Par exemple, une étude de 2019, intitulée “Multifunctional graphene oxide/iron oxide nanoparticles for magnetic targeted drug delivery dual magnetic resonance/fluorescence imaging and cancer sensing” porte sur le transfert de médication et de vaccins tout en affirmant que ces nano-particules sont moins toxiques que les nano-particules d’oxyde de graphène.
Une étude, de 2020, intitulée “Efficacy and Molecular Effects of a Reduced Graphene Oxide/Fe3O4 Nanocomposite in Photothermal Therapy Against Cancer” a mis en lumière que les nano-particules de rGO@Fe3O4 peuvent accroître la température cellulaire de 18°C – en seulement cinq minutes. [1479]
Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode “écologique” de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait de Withania coagulans – une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde – qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités anti-oxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde. [1496]
Il existe, également, des nano-vecteurs de remèdes, ou vaccins, composés de points quantiques de carbone fusionnés avec des nano-particules composées de magnétite et de silice (Fe3O4@SiO2). [1478]
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Revue Scientifique. Au sujet de quelques études scientifiques récentes promouvant l’oxyde de graphène dans les vaccins, médications, vêtements, etc, pour la lutte anti-CoqueVide
Lorsque je rédigeai mon très long dossier intitulé “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, j’évoquai brièvement quelques études qui prétendaient utiliser l’oxyde de graphène, dans des bio-senseurs, afin de pouvoir mieux localiser le virus invisible du CoqueVide – qui, au jour d’aujourd’hui, n’a jamais été, réellement, découvert, mis à nu, isolé, purifié, caractérisé et photographié.
Voici, donc, une brève présentation de quelques études récentes, ou très récentes, qui promeuvent le recours à l’oxyde de graphène dans des vaccins, ou dans des médications, afin, prétendument, de lutter contre le Sars-CoV-2.
Tous les biologistes, journalistes, investigateurs, chercheurs de vérité – qui sont obsédés par l’élusive protéine Spike – sont priés d’accrocher leurs ceintures… car l’atterrissage risque d’être mouvementé.
Toutes ces études, bien évidemment, se situent dans le cadre de la mythologie pernicieuse de la protéine Spike du coronavirus invisible.
La première étude a été publiée le 16 août 2021 et elle est intitulée “Large-Sized Graphene Oxide Nanosheets Increase DC–T-Cell Synaptic Contact and the Efficacy of DC Vaccines against SARS-CoV-2”. [651] A savoir que des plaques d’oxyde de graphène de large taille accroissent le contact synaptique cellule dendritique/lymphocytes T tout autant que l’efficacité des vaccins de cellules dendritiques.
L’objectif de cette étude Chinoise est l’analyse des interactions entre l’oxyde de graphène et les cellules dendritiques en fonction de la taille de ces nano-particules. Le but ultime est la création de vaccins de cellules dendritiques améliorés avec de très grosses nano-particules d’oxyde de graphène – à savoir >1 µm.
Dans cette étude, le terme vaccin est mentionné 53 fois… pour dire qu’il s’agit bien de l’élaboration de vaccins à base de nano-particules d’oxyde de graphène. Est-ce bien clair?
«Dans cette étude, nous avons investigué, de façon extensive, les effets de l’oxyde de graphène sur les propriétés fonctionnelles et biologiques des cellules dendritiques en nous focalisant sur la formation synaptique des cellules dendritiques/lymphocytes T. Nous avons, plus particulièrement, testé, systématiquement, l’efficacité protectrice d’un vaccin de cellules dendritiques fonctionnalisé avec de l’oxyde de graphène à l’encontre du Sars-CoV-2 nouvellement émergé.»
La taille des nano-particules d’oxyde de graphène, dans cette étude, variait entre 500 nm et environ 1 micron.
La seconde étude a été publiée le 14 mai 2021 et elle est intitulée “Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS‐CoV‐2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity”. [646]
Cette étude évoque, sans ambages, le recours à l’oxyde de graphène, dans les médications, ou dans les vaccins, afin d’éliminer le coronavirus.
En voici la traduction du résumé. «Les nano-technologies peuvent offrir un certain nombre d’options à l’encontre de la pathologie Covid/19 en agissant, à la fois, sur les cellules-hôtes, de façon intra-cellulaire ou extra-cellulaire. Le but de cette étude présente est d’explorer l’oxyde de graphène, le nano-matériau en 2D le plus étudié pour des applications bio-médicales, en tant que nano-plateforme permettant d’interagir avec le Sars-CoV-2. Des analyses des points d’arrimage moléculaire ont été réalisées concernant des plaques d’oxyde de graphène en interaction avec trois structures: la spike virale du SARS‐CoV‐2 (état ouvert 6VYB ou fermé 6VXX), ACE2 (1R42) et le complexe spike lié à l’ACE2 (6M0J). Lorsque l’on compare les affinités de liaisons, et les types de liaisons impliquées, l’oxyde de graphène interagit plus fortement avec la spike ou l’ACE2 en comparaison de la 6M0J. Des expérimentations d’infection utilisant les particules virales de quatre différents clades (tels que classifiés par la Global Initiative on Sharing all Influenza Data (GISAID) ont été réalisées pour des propos de validation. Des plaques d’oxyde de graphène, de grade biologique, à l’échelle nano (de quelques centaines de nano-mètres en dimension latérale) sont capables de réduire, de manière conséquente, les copies de trois différents clades viraux. Ces données ont démontré que les plaques d’oxyde de graphène possèdent la capacité d’interagir avec les composants de surface du Sars-CoV-2 et de perturber l’infectivité même en présence de n’importe quelle mutation de la spike virale. Les nano-plaques d’oxyde de graphène sont, ainsi, proposées pour de futures exploration en tant que nano-plateforme pour le développement de stratégies anti-virales à l’encontre du Covid/19». Traduction et Soulignements de Xochi.
La troisième étude a été publiée en Septembre 2021 et elle est intitulée “Antiviral performance of graphene-based materials with emphasis on COVID-19: A review”. [647]
En voici la traduction du résumé. «En partant du principe qu’il n’existe aucun traitement définitif à l’encontre de la récente crise virale, car article pourvoit une revue des nano-matériaux possédant une activité anti-virale qui se focalise, plus particulièrement, sur le graphène et ses dérivés – incluant l’oxyde de graphène, l’oxyde de graphène réduit et les points quantiques de carbone. Les interactions potentielles entre les surfaces de tels nano-matériaux, et les coronavirus, sont explicitées. Les mécanismes anti-viraux des nano-matériaux à base de graphène peuvent être corrélés à des événements tels que l’inactivation du virus et/ou du récepteur cellulaire hôte, du captage électrostatique ou de la destruction physico-chimique des espèces virales. Ces effets peuvent être amplifiés par la fonctionnalisation, et/ou la décoration de formes de carbone, avec des espèces qui augmentant les interactions graphène/virus. La fabrication à large échelle, et à faible coût, des nano-matériaux à base de graphène possédant des capacités anti-virales augmentées constitue, ainsi, une direction de recherches intéressante à explorer». Traduction et Soulignements de Xochi.
Dans cet article, le terme “nano-vaccin” est, strictement, évoqué. Il s’agit bien de nano-vaccin à base de graphène, n’est-ce pas?
Parmi une pléthore d’informations excessivement pertinentes eu égard à notre quête, j’ai relevé, dans cet article, le paragraphe suivant: «Un autre point méritant de l’attention est le fait que les nano-matériaux, à base de graphène, peuvent être chargés avec des matériaux magnétiques et, donc, peuvent, ainsi, générer des bénéfices supplémentaires corrélés avec les capacités magnétiques obtenues. Par exemple, Deokar et al. ont produit des nano-particules magnétiques chargées sur de l’oxyde de graphène réduit. A la suite d’une irradiation du composé avec de la lumière proche de l’infra-rouge, le matériau nano-composé pouvait réellement capturer et détruire, photothermiquement, le virus de l’herpès (HSV-1) avec une efficacité d’environ 99,99% – à savoir supérieure à celle des nano-particules magnétiques seules. L’excellente performance du nano-matériau à base de graphène fut attribuée à son efficacité dans la capture du virus, à une ample étendue de surface et à d’excellentes propriétés photothermiques du graphène combinées avec les interactions électrostatiques entre les nano-particules magnétiques et les particules virales». Traduction et Soulignements de Xochi.
A signaler une étude d’avril 2020 intitulée “A molecular docking study repurposes FDA approved iron oxide nanoparticles to treat and control COVID-19 infection” qui évoque l’utilisation de nano-particules d’oxyde de fer pour traiter le CoqueVide. [648]
La quatrième étude a été publiée le 14 octobre 2021 et elle est intitulée “Lethal Interactions of SARS-CoV-2 with Graphene Oxide: Implications for COVID-19 Treatment”. [649]
En voici la traduction d’une partie du résumé. «Lors de cette étude, une investigation, en profondeur, a été réalisée afin de comprendre le processus d’inactivation du Sars-CoV-2 par l’oxyde de graphène. Nous avons focalisé la recherche sur l’influence des nano-plaques d’oxyde de graphène sur trois souches de Sars-CoV-2, Wuhan, B.1.1.7 (Royaume Uni) et P.1 (Brésil)…. De plus, comme l’effet de contamination de surface peut s’avérer sévère dans la propagation du Sars-CoV-2, le développement de surfaces protectrices, ou de revêtements protecteurs, à base de nano-plaques d’oxyde de graphène, pourrait jour un rôle important dans le contrôle de la propagation du virus, au travers de l’utilisation de fibres non tissées, de filtres, etc, à base d’oxyde de graphène». Traduction et Soulignements de Xochi.
La cinquième étude a été publiée en juin 2021 et elle est intitulée “Graphene nanoplatelet and graphene oxide functionalization of face mask materials inhibits infectivity of trapped SARS-CoV-2”. [650] Cette étude porte sur la fabrication de textiles – dont des masques faciaux – de filtres à air, de filtres à eau et autres équipements de protection à base de graphène et d’oxyde de graphène.
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Du nitrure de bore hexagonal dans les injections?
Dans la rubrique nano-particules métalliques dans les vaccins. J’ai découvert, hier, l’existence du nitrure de bore hexagonal [1356]… qui est fort réputé pour posséder des propriétés physiques similaires au graphène.
C’est, d’ailleurs, pour cela que le nitrure de bore hexagonal est, parfois, appelé, graphène blanc.
Le nitrure de bore existe, également, sous d’autres formes: rhomboédrique, cubique en forme de diamant et en structure de wurzite. Cependant, sa forme la plus stable, à température ambiante, est hexagonale.
En effet, le nitrure de bore hexagonal est, extrêmement, similaire au graphène dans la mesure où ces deux matériaux sont constitués de réseaux hexagonaux d’atomes. Dans le cas du graphène, ces atomes sont des atomes de carbone tandis que dans le cas du nitrure de bore hexagonal, ce sont trois atomes de bore et trois atomes d’azote qui constituent son hexagone.
La structure hexagonale du nitrure de bore se caractérise par des liaisons covalentes robustes dont l’espacement est similaire à celui du graphène. Sa formation en couche a été exploitée afin de réaliser différents types de nano-structures: nano-tubes de nitrure de bore, nano-couches, nano-aiguilles et autres nano-particules possédant diverses configurations.
Comme les liaisons carbone-carbone sont les plus robustes, dans la Nature, le graphène s’avère un peu plus robuste que le nitrure de bore hexagonal. En effet, le graphène se caractérise par une pression de 130 gigapascals et par 1,0 térapascal pour l’élasticité tandis que le nitrure de bore hexagonal se caractérise par une pression de 100 gigapascals et par 0,8 térapascal pour l’élasticité. Par contre, sur le plan de la résistance aux craquements, le nitrure de bore hexagonal s’avère 10 fois plus résistant que le graphène – selon une étude publiée en juin 2021 “Intrinsic toughening and stable crack propagation in hexagonal boron nitride”. [1356] [1357]
Selon cette étude, le nitrure de bore hexagonal constitue, déjà, un matériau extrêmement important pour l’électronique flexible en 2D – et pour d’autres applications – en raison de sa résistance à la chaleur, de sa stabilité chimique et de ses propriétés diélectriques. Cela permet de l’utiliser comme base de support et comme couche d’isolation entre des composants électroniques.
Selon Jun Lou, l’auteur de cette étude à l’Université Rice, de Houston, au Texas, en sus des applications pour des textiles électroniques, par exemple, l’électronique flexible en 2D peut être utilisée pour des applications plus exotiques – tels que des implants et tatous électroniques greffés, directement, sur le cerveau.
Le nitrure de bore hexagonal est également utilisé dans des applications biologiques et médicales – même si cet usage est moindre que celui du graphène.
En fait, il existe une pléthore de recherches sur des dispersions de nano-particules de nitrure de bore, dans des solutions aqueuses, et autres aérogels, pour des applications bio-médicales depuis au moins 2008. [1362] [1363] [1364] [1365]
Ainsi, une étude a été publiée, en 2015, avec comme intitulé “Polyethyleneimine-functionalized boron nitride nanospheres as efficient carriers for enhancing the immunostimulatory effect of CpG oligodeoxynucleotides”, qui porte sur la fonctionnalisation de nano-particules de nitrure de bore hexagonal, avec du polyéthylèneimine, afin d’accroitre l’impact des oligodéoxynucléotides – qui sont des adjuvants pour les vaccins. [1366]
Ainsi, une étude a été publiée, en 2015, avec comme intitulé “Hexagonal boron nitride nanoplates as emerging biological nanovectors and their potential applications in biomedicine”, qui porte sur des solutions aqueuses à base de nitrure de bore hexagonal en tant que plates-formes médicales, excellentes, pour les interactions nanoparticulaires-biomoléculaires – en particulier pour la conception de vaccins à base de nano-particules. [1367]
Ainsi, une étude a été publiée, en 2015, avec comme intitulé “Evaluation of Boron’s Adjuvant Activity in Inactive Bacterin Vaccines Using the Mice Model” qui porte sur l’utilisation de nitrure de bore hexagonal en tant qu’adjuvant dans les vaccins. [1368]
Ainsi, une étude a été publiée, en 2018, avec comme intitulé “Boron nitride nanomaterials: Biocompatibility and bio-applications” [1358] par des chercheurs de l’Université de Chalmers. Cette université est, d’ailleurs, le siège du Graphene Flagship Project et est en partenariat étroit avec la Multinationale de la Pharmacratie, AstraZeneca. Ces chercheurs ont étudié la bio-compatibilité de nano-particules de nitrure de bore hexagonal pour des applications médicales: transport de médications et de vaccins, bio-senseurs et stimulation cellulaire.
La responsable de cette étude, Alessandra Merlo, a réalisé sa thèse sur les bio-senseurs à base de graphène dans les applications bio-médicales. Le second chercheur, de cette étude, V. R. S. S. Mokkapati, a travaillé sur des membranes au graphène destinées à l’hyperfiltration des fluides corporels. Les deux autres auteurs, Santosh Pandit et Ivan Mijakovic, sont, également, deux experts dans le champ des applications bio-médicales à base de graphène.
Selon ces chercheurs de l’Université de Chalmers, le nitrure de bore hexagonal est, chimiquement, beaucoup plus stable que les nano-matériaux à base de graphène et, par conséquent, sa dispersabilité dans des solutions aqueuses n’en est que plus efficace. Il est pour l’instant beaucoup moins utilisé que les nano-structures à base de carbone, dans les applications bios-médicales, mais, selon ces chercheurs, il pourrait, progressivement, les supplanter dans la mesure où la problématique de la toxicité, des nano-matériaux à base de graphène, n’est pas totalement résolue. Et c’est un euphémisme!
Le nitrure de bore est commercialisé, pour des applications bio-médicales, par Jiangsu Xfnano Materials Tech Co, en Chine – la même entreprise qui commercialise une gamme très étendue de produits à base de graphène et une pléthore d’autres nano-particules. [1360] Jiangsu Xfnano distribue, par exemple,des nano-particules de nitrure de bore en solutions aqueuses,“de qualité médicale” – à savoir permettant de confectionner des sérums physiologiques et des bases de vaccins.[1361]
Il est intéressant de noter que l’introduction de fluor, dans un réseau bi-dimensionnel de nitrure de bore hexagonal, modifie sa structure électronique. [1369] [1370] D’isolant électrique, le nitrure de bore hexagonal se transforme, alors, en semi-conducteur.
Selon Pulickel Ajayan de l’Université Rice, de Houston, l’introduction de fluor modifie, également, les propriétés magnétiques du nitrure de bore hexagonal – en raison de l’impact des atomes de fluor sur le spin des atomes d’azote. C’est une information importante dans la mesure où la Mafia Industrielle a contaminé, le corps humain, et toute la Biosphère avec du fluor – dont les eaux, distribuées au robinet, sont gavées.
Il faut, également, mentionner que la mode étant au graphène, il existe un certain nombre de recherches portant sur des technologies fusionnant le graphène hexagonal avec le nitrure de bore hexagonal.
“Boron nitride substrates for high-quality graphene electronics” [1371]; “Boron Nitride is a Promising Path to Practical Graphene Devices” [1373]; “Graphene, hexagonal boron nitride, and their heterostructures: properties and applications” [1374]; “Graphene and boron nitride make a semiconductor junction” [1379]; “Graphene + Boron Nitride = Semiconductor” [1380]; “Graphene-Boron Nitride Composite: A Material with Advanced Functionalities” [1375]; “Graphene on boron-nitride: Moiré pattern in the van der Waals energy” [1376]; “Enhanced thermal conductivity of functionalized-graphene/boron nitride flexible laminated composite adhesive via a facile latex approach” [1377]; “Boron nitride assists in protecting graphene in order to achieve next-gen electronics” (août 2021) [1378]; “The stability of graphene and boron nitride for III-nitride epitaxy and post-growth exfoliation” (2021) [1372].
La très récente étude, intitulée “Boron nitride assists in protecting graphene in order to achieve next-gen electronics”, publiée en août 2021, est très enthousiaste quant à la capacité de protéger le graphène avec du nitrure de bore: «La technique, telle que déclinée, consiste à utiliser une monocouche de nitrure de bore hexagonal – un isolant bi-dimensionnel – comme un niveau de protection au-dessus du graphène. La monocouche de nitrure de bore hexagonal est assez fine d’épaisseur pour ne pas avoir d’impact, autre que négligeable, sur la qualité de la diélectrique, mais assez épaisse, cependant, pour protéger le graphène du plasma d’oxygène utilisé dans la technique de déposition par plasma. De plus, le plasma crée des sites de nucléation, sur la monocouche de nitrure de bore hexagonal – ce qui permet la croissance rapide de films diélectrique de haute qualité.» [1386]
Aujourd’hui, où trouve-t-on du nano-nitrure de bore dans la vie quotidienne – en dehors des secteurs de l’industrie lourde et électronique? Par exemple, le nitrure de bore, se retrouve, présentement, dans des cosmétiques – sous la forme de nano-tubes. Cependant, aux USA, par exemple, les nano-particules de nitrure de bore ne sont pas considérées comme nano-particulaires dans les formulations cosmétiques.
Alerte: certains produits, comme les fards à paupières, peuvent en contenir 25%. Tout comme l’oxyde de graphène, le nitrure de bore est toxique.
Aux USA, il semblerait que le nano-nitrure de bore soit présent dans 28 produits cosmétiques et dans 23 formulations de cosmétiques – dont un certain nombre de produits anti-vieillissement et anti-rides distribués par la multinationale Pharmacratique Merk. [1387]
Le nitrure de bore est-il toxique? A n’en pas douter, selon de très nombreuses études… malgré que quelques études tentent de prouver que ce matériau possède des qualités bactéricides, bla bla bla.
Il n’existe aucune restriction en Europe quant à la présence de nano-particules de nitrure de bore dans les cosmétiques. [1390]
Une étude, de 2018, s’intitule “In vivo toxicity evaluation of boron nitride nanosheets in Bombyx mori silkworm model” [1382] et porte sur l’impact de nano-couches de nitrure de bore sur des gènes du midgut du vers à soie, Bombyx mori – induisant, potentiellement, des dysfonctionnements.
Une étude, de 2017, s’intitule “Toxicity evaluation of boron nitride nanospheres and water-soluble boron nitride in Caenorhabditis elegans”. [1383] Elle porte sur les seuils de tolérance de ce petit ver, d’un millimètre environ, à l’encontre des nano-sphères de nitrure de bore.
Une étude, de 2019, s’intitule “Nanotoxicity of Boron Nitride Nanosheet to Bacterial Membranes”. [1384] Elle porte sur les capacités anti-bactériennes de nano-couches de nitrure de bore. Question: ses capacités anti-bactériennes, peut-il les appliquer à l’intérieur du corps humain et vis à vis de quelles classes de bactéries… car le corps possède autant de bactéries que de cellules – en sus des virus qui nous composent à 85%.
Une étude, de 2017, s’intitule: “Acute in vitro and in vivo toxicity of a commercial grade boron nitride nanotube mixture”. Elle porte sur l’extrême toxicité des mélanges de nano-tubes de nitrure de bore “de qualité commerciale”. [1385]
L’étude, de 2015, intitulée “In Vivo Biodistribution and Toxicity of Highly Soluble PEG-Coated Boron Nitride in Mice” a mis en exergue que les nano-particules de nitrure de bore, enrobées de polyéthylène glycol (PEG), se concentrent avant tout dans le foie, dans les poumons, dans la rate et dans le cerveau – tout comme les nano-particules d’oxyde de graphène. D’ailleurs, l’une des photographies présentées, de nano-particule de nitrure de bore, semble très proche des photographies d’oxyde de graphène. [1391]
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Au sujet des Codes Alphanumériques émanant des vaccinés/injectés/graphénisés
Cela fait plusieurs mois que des journalistes, des investigateurs, des médecins, des ingénieurs électroniciens ont dénoncé la présence de nano-routeurs, ou autres micro-chips, à l’intérieur des fioles des injections CoqueVide de Big Pharma, émettant des codes alphanumériques. Qu’en est-il réellement?
Le 18 septembre 2021, dans mes Nouvelles de septembre, j’ai rédigé un article intitulé “Des diodes et des transistors dans les injections anti-CoqueVide/19?”.
Cet article est, bien évidemment, a mettre en corrélation avec les dossiers que j’ai présentés, très récemment, dans les Nouvelles de novembre, au sujet des nano-routeurs découverts dans les fioles d’injections et dans l’organisme des injectés.
Pour rappel. Guillermo Iturriaga, un ingénieur électronicien et bio-physicien Chilien, a découvert que lorsqu’il secouait, vigoureusement, cette fiole d’injection AstraZeneca, il en détectait un champ électrique. Il y a découvert, également, des semi-conducteurs: des transistors, des capaciteurs, des diodes et des diodes en cascades. [1556]
Son rapport de 88 pages est disponible sur le site d’Orwell City ou sur le canal Télégramme de la Quinta Columna. [1559] Il est intitulé “Detection of ferrous/non-ferrous metallic substances in aqueous suspension and measurable side-effects”
Dans son rapport, Guillermo Iturriaga décline les diverses mesures électriques qu’il a pu constater sur le plan de la résistance, de la capacitance, des champs électriques, etc. Il présente, également, énormément de photographies prouvant, chez certains injectés, la présence de magnétisme ou d’hypersensibilité aux fréquences radio
Selon une partie de ses conclusions: «L’étude de ces échantillons met en exergue une présence hautement probable de composants électroniques et semi-conducteurs à l’échelle micro-métrique/nano-métrique. Le résultat le plus étrange, et le plus perturbant, de tout ce que nous avons pu remarquer dans ces fioles, consiste dans la découverte de champs électriques, jusqu’à une valeur de 50 v/m lorsque la fiole est vigoureusement secouée. Nous ne connaissons aucune autre substance artificielle possédant de telles caractéristiques électroniques qui puisse être, de plus, injectée dans les organisme humains
… Des individus qui manifestent d’étranges phénomènes magnétiques (post-injection avec Sinovac) ou une hypersensibilité aux fréquences-radio, ont été analysés, sur mode externe et non-invasif, avec des instruments capables de mesurer des matériaux ferreux et non-ferreux et des champs électriques. Des luminescences inhabituelles de pigments sont, également, détectées, à proximité d’éruptions de l’épiderme avec des lumières UV dans le spectre de 365 à 395 nm».
Selon Gérard Desmaretz: «Un circuit intégré peut regrouper plusieurs dizaines de milliers de transistors sur quelques centimètres carrés de silicium. Le circuit monolithique gravé sur une plaquette monocristalline de silicium (matériau le plus courant) peut recevoir des milliers de composants interconnectés, une résistance est un simple couche de semi-conducteur isolée, un condensateur une petite jonction pn en polarisation inverse. La taille de la gravure des microprocesseurs actuels tourne vers 14 nanomètres (10^-9) et un microprocesseur peut contenir un milliard de transistors !» “Les semi-conducteurs : diode & transistor”. [1558]
Je renvoie les lecteurs intéressés vers la seconde partie de mon article “Des diodes et des transistors dans les injections anti-CoqueVide/19? qui évoque la pléthore d’études (et, également, d’applications médicales réelles pour, supposément, tester le CoqueVide/19) portant sur la confection de nano-senseurs à transistors, à effet de champ, à partir de nano-tubes de carbone ou d’oxyde de graphène. [1059] [1060] [1061]
Des transistors, à effet de champ, à base de graphène, sont proposés dans le catalogue Sigma-Aldrich – qui appartient, aujourd’hui, à la multinationale de la Pharmacratie, Merck, sous les références GRFETS20 et GRFETS10. [1066] Ils sont, également, proposés par Alfa Chemistry. La société Jiangsu XFNANO Materials distribue, également, des transistors à effet de champ et il est à noter que cette société Chinoise – qui distribue du graphène à ses quelque 20 000 clients de par le monde – commercialise un certain nombre de produits à base de nitrure de bore hexagonal pour la confection de ces transistors à effet de champ. Pour rappel, le nitrure de bore constitue le sujet de l’une de mes Nouvelles du 7 septembre – car il est très similaire au graphène de par certaines propriétés. Le nitrure de bore hexagonal, ou graphène blanc, est, également, utilisé dans des applications biologiques et médicales – même si cet usage est moindre que celui du graphène.
Confirmant les découvertes Guillermo Iturriaga, le Dr. Luis de Benito [630] a systématiquement vérifié, en juillet août 2021, les codes alphanumériques émanant des vaccinés/injectés/graphénisés qui se présentaient à son cabinet médical. [628] Sur les 137 patients qu’il a reçus, durant le laps de temps de son enquête, 112 ont affirmé qu’ils étaient vaccinés CoqueVide. Sur ces 112 patients vaccinés, un code alphanumérique apparut, sur son téléphone portable, pour 96 d’entre eux – à savoir pour 86% des vaccinés.
Le Dr. Luis de Benito précise, de plus, qu’aucun patient non-vacciné CoqueVide n’émettait un code alphanumérique. De plus, il explique avoir pris toutes les précautions, dans le voisinage immédiat, afin qu’aucune autre adresse MAC ne puisse intervenir en perturbant son enquête.
Un collègue investigateur m’ayant mentionné que certains lots d’injections CoqueVide contiennent des placebos – sans graphène – et qu’il serait donc étonnant d’avoir une telle proportion de 86% des vaccinés dotés d’une adresse MAC… je lui répondis que les statistiques, aux USA, prouvent que certains lots toxiques sont distribués plus spécifiquement dans certaines régions du territoire. Il est donc très probable que le Dr. Luis de Benito exerce, lui-même, dans une région ciblée – eu égard à la graphénisation des injections CoqueVide.
Ainsi, l’Echelle de Jacob, le 18 novembre, a mis en ligne une vidéo de Maître Brusa expliquant qu’il a fait confirmer la présence de codes alphanumériques Bluetooth chez les vaccinés par un huissier. [629]
De plus, l’Echelle de Jacob, le 21 novembre, a présenté un article intitulé “Code alphanumérique et vaccination”. [631] Cet article, en sus d’évoquer les codes alphanumériques Bluetooth apparaissant chez les vaccinés émet l’hypothèse selon laquelle des micro-puces seraient intégrées non pas dans les injections… mais dans les seringues. Cela afin d’expliquer que comme les fioles contiennent plusieurs doses de vaccin, il serait beaucoup plus confortable, pour les psychopathes criminels, d’orchestrer leur intégration de micro-puces dans l’organisme des injectés par le biais des seringues plutôt que par celui du contenue des fioles.
Selon cette hypothèse, le graphène présent dans les injections – en sus d’opérer un segment de dépopulation mondiale – servirait à activer, alimenter, les micro-puces.
«Les flacons servant à la vaccination contiennent, la plupart du temps, plusieurs doses, il n’est donc pas possible de diluer les puces dans le liquide vaccinal, il y aurait risque d’en aspirer plusieurs en même temps ou pas du tout. Lors de l’aspiration du liquide vaccinal, la puce située a l’intérieur de la seringue ou de l’aiguille, se dilue dans le liquide et est ensuite injectée avec le produit, dans le muscle. Tant que la micro-puce reste dans la seringue, elle est inactive, mais dès son contact avec le liquide injectable, il se produit une activation radioélectrique de la puce».
L’article de l’Echelle de Jacob de préciser ensuite que: «Les antennes 5G ont la capacité de balayer une zone, tel un radar, et d’identifier simultanément les propriétaires des GSM présents dans leurs champs. Cette capacité reliée aux informations renvoyées par la détection de votre puce, permettra, en fonction de contraintes qui vous seront imposées (interdiction de se rendre dans tel endroit, de circuler en voiture, d’entrer dans un hôpital ou un supermarché…), de vous localiser avec certitude et précision, et de déclencher une alerte, avec mise de votre identification numérique en liste noire. Vos comptes en banque, votre permis de conduire, votre carte vitale pourront être immédiatement désactivées et les forces de l’ordre prévenues pour intervention. »
Lors d’un entretien récent, le Dr. Luis de Benito a commenté les échanges qu’il a eus avec des électroniciens sur la prétendue impossibilité que des directions MAC soient émises par l’organisme des injectés. [632]
Le Dr. Luis de Benito a, également, évoqué une autre hypothèse pour expliquer l’émergence de ces directions MAC différentes pour 5 individus, par exemple, partageant de la même fiole de vaccin CoqueVide. Ce ne serait pas, selon lui, une micro-puce insérée dans la seringue mais bien plutôt un process résultant de l’interaction entre le matériau présent dans les fioles et les cellules vers lesquelles il a été acheminé par le flux sanguin.
De toutes façons, l’étude de cette problématique, des directions MAC générées par certains vaccinés/injectés/graphénisés, doit être, impérativement, envisagée dans le cadre de la présence authentifiée de nano-particules, et surtout de graphène, dans ces injections CoqueVide.
De plus, il paraît plus qu’évident qu’une telle étude ne puisse faire l’économie de l’analyse minutieuse, tout autant par des biologistes que par des électroniciens, des découvertes du Professeur Pablo Campra et de ses photographies afférentes. Voir le récent Rapport Campra. [600]
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Flocons d’oxyde de graphène enrobés d’acide usnique
Dans la rubrique “graphénisation de la vie quotidienne”, des chercheurs de l’Université Chalmers, en Suède, ont publié une nouvelle étude intitulée “Sustained release of usnic acid from graphene coatings ensures long term antibiofilm protection”, durant l’été 2021. [221]
Pour mémoire, la mafia transhumanoïde du Graphene Flagship Project est sous l’égide de l’Université Chalmers en partenariat étroit avec la Multinationale de la Pharmacratie, AstraZeneca. Ce consortium travaille, très activement, sur le développement de multiples nanoparticules lipides – qui constituent le principal vecteur pour convoyer, prétendument, de l’ARNm au coeur des cellules.
Cette étude porte sur la vectorisation d’acide usnique, dans l’organisme, au moyen de flocons d’oxyde de graphène.
L’acide usnique est un benzofurane naturel, de formule C 18 H 16 O 7, qui a été identifié dans de nombreux genres de lichens, notamment les genres Usnea, Evernia, etc, de la Famille des Parmeliaceae ainsi que le genre Cladonia de la Famille des Cladoniaceae. L’acide usnique est particulièrement thérapeutique à l’encontre de certains cancers (poumons, sein, vulve, etc). Il possède, également, une activité anti-bactérienne, anti-parasitaire, analgésique, anti-oxydante, anti-mitotique, etc.