Bedrocan BV en Hollande.

 

Avant-Propos. Avec ce premier essai rédigé sur Bedrocan BV, et ceux qui vont suivre, mon intention déclarée, et transparente, est de tenter de décrypter les intentions déclarées, et non transparentes – et donc de mettre en exergue leurs actions transparentes et leurs intentions non déclarées – des acteurs majeurs du cannabis industriel, standardisé, concentré, sécurisé, médicinal, pharmaceutique, chimérisé… et, très souvent, hautement pesticidé et irradié.

ce que réalisent dans d’autres secteurs, des médecines dites alternatives, – pour en louer les bienfaits ou en débusquer les gigantesques arnaques –  les très excellents Jean-Daniel Metzger de Thérapeutiques Alternatives et Jacques Valentin de Gestion Santé

J’ai souhaité commencer par une fiche technique sur Bedrocan BV, notre très proche voisin, considéré comme le leader, sur la place Européenne, des bourgeons floraux de cannabis médicinal et pharmaceutique. J’ai tiré sur un fil et toute la pelote s’est dévidée – et je n’imaginais pas à quel point elle était mitée… si l’on se place sur le plan de l’éthique et, sans doute même, sur le plan de la prospérité financière.

et j’ose espérer que ce court essai puisse contribuer à la dyna-miter encore un peu plus

la chasse aux prédateurs de la Pharmacocratie est ouverte

 

La société Bedrocan BV

La société Bedrocan BV s’avère être un cas d’école fascinant à investiguer car, avec cette société commerciale, toutes les questions les plus essentielles – eu égard à la vaste offensive prévalante de cannabiopiratage – peuvent aisément être posées.

La société Bedrocan BV, en Hollande, produit du cannabis dit “médicinal” sous contrat du Ministère de la Santé du pays – depuis 2003. Ce cannabis est disponible dans les pharmacies Hollandaises (sur prescription) et Bedrocan BV précise que c’est le Ministère de la Santé qui commercialise ce cannabis vers d’autres pays d’Europe (tels que l’Italie, l’Allemagne, la Finlande et la Tchéquie), vers le Canada et vers des chercheurs “autorisés” de par le monde.

Bedrocan BV se vante d’être la seule société commerciale, au monde, vendant des “bourgeons floraux entiers de cannabis médicinal standardisé”. En fait, toute sa communication commerciale est fondée sur cette affirmation. Et c’est même son logo, “Pionniers du cannabis médicinal standardisé”.

 

La gigantesque arnaque du “cannabis médicinal standardisé”

Bedrocan BV est, effectivement, le seul au monde à vendre des “bourgeons floraux entiers de cannabis médicinal standardisé” tout simplement parce que ce sont eux qui ont inventé ce concept – cet argument commercial, pourrait-on dire. Cela n’est pas sans rappeler la gigantesque arnaque, toujours en cours, de deux énormes laboratoires d’huiles essentielles non bios (qui d’ailleurs s’attaquent mutuellement devant les tribunaux) aux USA – doTerra et Young Living – qui ont créé, ex nihilo, un concept de “therapeutic grade essencial oils”, à savoir “des huiles essentielles de qualité thérapeutique” dont il n’existe aucune définition légale, pratique ou scientifique – ce qui fait s’étouffer de rage les aromathérapeutes dignes de ce nom.

Bedrocan BV précise sur son site que « nous nous efforçons de combler le vide entre les besoins des patients et les standards de la médecine moderne… Nous croyons que le cannabis végétal peut, et doit, respecter tous les règlements existant dans la médecine. En attendant (sic), Bedrocan produit du cannabis de qualité médicinale pour un certain nombre de gouvernements internationaux qui le rendent disponible sous des conditions d’accès spécial en tant que médicament non approuvé ». [1]

c’est une traduction littérale afin de ne pas trahir le fond de leur pensée

qui s’avère, déjà, être un puits sans fond

Les termes “médical, médecine, médicinal” reviennent quasiment à chaque ligne de leur argumentation commerciale, ad nauseam. On ne sait pas non plus ce que Bedrocan BV entend par le respect des standards de la médecine moderne, en ce qui concerne la production de cannabis végétal.

personnellement, quand on me parle des standards de la médecine moderne, je me sauve en courant, l’éloge de la Fuite – ainsi que le préconisait Henri Laborit

tout jeune, j’avais lu Némésis Médicale d’Ivan Illich – qui déjà à l’époque, en 1975, dénonçait les maladies iatrogéniques – et je me suis empressé, subséquemment, de ne jamais gaver mes enfants d’antibiotiques et de ne jamais les vacciner.

Bedrocan BV évoque, également, le concept de “cannabis de qualité pharmaceutique”, un concept tout aussi nébuleux que le premier.

 

Les origines fumeuses de Bedrocan BV… ou comment passer

du persil standardisé à un contrat de production de cannabis pour le gouvernement

L’histoire des origines de Bedrocan BV semble, d’ailleurs, tout autant nimbée de nébulosité! Ils se sont, disent-ils, « spécialisés dans la culture “indoor” de produits dans des conditions artificielles standardisées depuis 1984 » (sic).

quels produits peut-on cultiver dans des conditions artificielles standardisées? des fraises?

Ensuite, grâce à leurs expertises accumulées, disent-ils, ils ont commencé à cultiver “expérimentalement du cannabis médicinal” vers la fin des années 1990…

en fait, sans doute, ils ne se rappellent plus bien si c’est 1996 ou bien encore 1999, on pourrait peut-être leur conseiller de la sativa plutôt que de l’indica: cela endort moins le cerveau

et comme tout se passait bien, ils ont demandé un agrément au Ministère de la Santé  de Hollande qui leur a accordé diligemment en 2002 et, ce même ministère, dès 2003, les a « contactés pour produire et fournir du cannabis médicinal pour les pharmacies Hollandaises et pour l’export ». [2]

c’est un vrai conte de fée!

ou un canular total car, entre 1996/1999 et 2002,

auraient-ils alors cultivé du cannabis médicinal “indoor” sans agrément ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette histoire est très rocambolesque et il semblerait que Bedrocan BV n’ait pas été pionnier que dans le cannabis médicinal standardisé! On en rirait si l’on n’était pas conscient du fait qu’un certain nombre de rafles, soudaines et suspectes, ont été effectuées par les Forces de l’Ordre Hollandaises, depuis 1997 – se soldant par des incarcérations. Tout cela pue la corruption généralisée et le manque de transparence – mais c’est un autre dossier et nous y reviendrons lors d’un prochain épisode.

Cependant, en attendant ce prochain dossier, il est assez instructif d’aller ausculter le Facebook de Bedrocan BV. [29] Le dernier commentaire, datant du 17 octobre 2014, de leur dernier post, présente un site internet dénommé Marijuana. Ce site propose à la vente, sur une grande partie de la planète, différentes variétés de cannabis vendu de l’once (28 grammes) à la livre (450 grammes). La livre est commercialisée entre 2300 et 2600 dollars, selon les variétés. [36] On trouve même, également en vente en ligne, des remèdes tels que le “Xanax” (une benzodiazépine anxiolytique prescrite pour soulager les troubles de l’anxiété et les attaques de panique) et du “Viga Plus”, pour booster la sexualité des hommes en mal d’érection. Le Xanax est-il proposé en complément de variétés de cannabis trop fort en THC pour des consommateurs non avertis? On n’arrête, franchement, pas le progrès.

De deux choses l’une. Ou Bedrocan BV est une entreprise Hollandaise philanthropique, (ce qui, à ce point de notre exposé, ne paraît pas très plausible), qui permet à n’importe quel concurrent et distributeur (légal?) de cannabis de faire sa publicité en plein milieu de leur Facebook. On se demande bien, alors, pourquoi d’autres entreprises de cannabis ne se sont pas empressées de publier leur publicité également sur le dit Facebook – puisque Bedrocan se dit très visible en Europe en se présentant comme le leader du marché.

Ou ce site “Marijuana” n’est qu’une facade de Bedrocan vendant du cannabis non médical, non pharmaceutique, non standardisé, etc, à tout un chacun qui voudrait bien leur acheter par correspondance! Sur toute la planète. En toute sécurité puisqu’ils expliquent, avec une pléthore de détails, leurs techniques infaillibles permettant de passer leurs colis aux douanes – sans soucis – “au nez” des chiens et des mouchards électroniques. Le conseil qui sauve, aussi, selon eux: ne jamais signer pour la réception d’un colis postal contenant du cannabis – ce serait une preuve indubitable que vous l’avez commandé. [37]  [Pour toutes les informations – ici présentées – susceptibles d’être rapidement effacées de la sphère virtuelle, je fais des copies d’écran.]

 

Cannabis de qualité médicinale, de qualité pharmaceutique

et autres rayons gamma

Bedrocan BV propose, à la vente standardisée, 6 variétés de cannabis (Bedrocan, Bedrobinol, Bediol, etc) dont une est réservée pour le Canada. [3] Et quels en sont les standards standardisés? Rien de plus que ce que les producteurs de cannabis ont fait valoir depuis des dizaines d’années: à savoir des pourcentages de THC et de CBD – agrémentés d’adverbes tels que “moins de” ou “autour de” avec, exceptionnellement pour la variété Bedica, une “haute” teneur en myrcène, un terpène, sans plus de précisions.

Pour plus d’informations, Bedrocan BV invite à consulter le site internet du “Ministère”. J’ai donc cliqué sur le lien et je suis tombé sur un site internet qui listait seulement quatre variétés de cannabis! J’y ai, également, trouvé une réponse quant à l’identification de ce qui est présenté comme “produits” dans le passage suscité. Le “Ministère” précise que Bedrocan BV s’est spécialisé, dès 1990, dans les herbes culinaires “standardisées” (sic) et surtout le Persil. Et de par leurs “expertises cumulées” – dans le persil notamment – « cultivant, initialement, du cannabis pour la production de semences, Bedrocan fut contacté par le Ministère de la Santé de Hollande, en 2003, dans le but de produire du cannabis à usage médical. Afin d’obtenir le contrat du Gouvernement, Bedrocan dut cultiver la même souche de cannabis trois fois afin de démontrer que la qualité et la puissance étaient consistantes ». [4]

un autre conte de fée: comment passer du persil standardisé sous serre

en transitant par le commerce (illégal?) de semences de cannabis –

(une information occultée sur le site internet de Bedrocan BV qui mentait effrontément en parlant de culture expérimentale de cannabis médicinal)

pour en arriver à une production de cannabis médicinal tout autant standardisé

à la requête du Ministère de la Santé???

Et la version d’Arte est encore plus hallucinante: les deux beaux-frères auraient fait faillite dans l’endive avant de se reclasser dans le cannabis!!! [39]

Ce qui est fascinant, dans tous ces développements, c’est que le Ministère de la Santé – ou ses devantures – et Bedrocan ne se soucient pas même d’accorder leurs violons quant à la plausibilité de ce non-enchaînement de circonstances exceptionnelles,

pourrait-on imaginer le Ministère de la Santé en France

venir contacter Kokopelli, grand spécialiste de tomates devant l’Eternelle,

pour lui demander de se lancer dans la production de cannabis médicinal?

ou quant aux informations détaillées de leurs standards, ce qui donne bien la mesure de leur respect pour les patients ou pour le petit peuple – celui qui n’a pas de connexions.

Cette histoire se complique d’autant plus que, lorsque Bedrocan BV invite à consulter le site internet du Ministère – à savoir “Office of Medicinal Cannabis of the Dutch Ministry of Health” – Google renvoie directement sur la “Dutch Association for Legal Cannabis and its Constituents as Medicine”, une association sans but lucratif créée en 2008, qui présente des informations “approuvées par le Ministère”. Il faut donc chercher, encore un peu, pour trouver une page présentant “The Office of Medicinal Cannabis” dont le lien renvoie enfin à un “Cannabis Bureau du Ministère”, en néerlandais. [5]

En bref, une opacité totale et j’ai réalisé des copies d’écran…

La “Dutch Association for Legal Cannabis blabla…” présente sa définition du cannabis médicinal comme suit: « Le cannabis est appelé médicinal quand il est utilisé pour traiter une condition médicale et quand il est de qualité pharmaceutique ».

Et plus loin: «… Cependant, la définition de cannabis médicinal va encore plus loin que cela. Le cannabis dans les Pharmacies Hollandaises est de qualité “médicinale”, ce qui signifie qu’il respecte les normes pharmaceutiques ». [7] Sont-ce, réellement, des définitions approuvées par le Gouvernement Hollandais? Ou les Autorités scientifiques?

le cannabis est médicinal parce que de qualité pharmaceutique

et le cannabis, dans les pharmacies, y est vendu parce que de qualité médicinale

Et ce n’est pas fini: « Il existe de nombreux symptômes et conditions médicales pour lesquels la médecine moderne n’a pas (encore) développé un traitement acceptable. Il n’est donc pas surprenant que des patients, dans de telles situations, recherchent des formes de traitements alternatifs et complémentaires, incluant l’auto-médication. Il en résulte que certains patients ont déjà commencé à utiliser le cannabis depuis longtemps, afin de traiter leur condition. Il faut bien comprendre que tous les effets thérapeutiques affirmés du cannabis ne peuvent pas encore être validés par des études scientifiques. Cependant, pour certaines conditions sérieuses, il semble exister suffisamment de données scientifiques pour justifier l’utilisation de cannabis de qualité médicinale par des patients homologués ». [6] Le texte est intégralement traduit et je n’ai omis aucun passage. Du pur verbiage. Il faut bien préciser que tout ce galimatias est écrit sous l’expertise scientifique d’un conseil d’administration composé d’un criminologiste, d’un pharmacien et d’un chercheur en pharmacie. A qui profite le crime?

Combien d’années d’études? Sont-ce ces idiots utiles qui pontifient lors des congrès internationaux sur les Cannabinoïdes?

Tout le reste de leur site est à l’avenant. Et qu’ont-ils à dire sur les standards authentiques, à savoir les standards de non-empoisonnement de leur cannabis médicinal par des pesticides et des métaux lourds? Il y est clairement affirmé que « la culture des plantes de cannabis est effectuée selon les normes pharmaceutiques pour la production des remèdes à base de plantes, ce qui inclue les règlements de Bonne Pratique Agricole (Good Agricultural Practice) ». [7] Il y a même un lien que je me suis empressé de cliquer… et qui conduit directement sur une page quasiment en construction chez Wikipedia!!!

Wikipedia, l’organe de prédilection des Autorités

pour une désinformation standardisée…

Quant à la page “qualité” chez Bedrocan Hollande…

j’ai failli tomber en pâmoison le nez sur mon clavier : l’investigation de la Bio-Piratée, c’était coton… et mortellement ennuyeux

l’investigation du Cannabiopiratage, c’est une oeuvre de précision, de traque et d’intuition, excessivement exaltante 

elle nous enseigne que:

– le cannabis possède différents “types” comme les tomates … ou différentes “variétés” comme les tulipes.

– le cannabis est constitué  de centaines de composants chimiques.

– chaque variété de cannabis possède un profil standardisé d’Ingrédients Actifs Pharmaceutiques.

– les trois cannabinoïdes standardisés, par Bedrocan, sont le THC, le CBD et le CBN… mais il n’est plus jamais question de CBN, ensuite, dans les descriptions variétales.

– le cannabis est la seule plante au monde possédant des cannabinoïdes.

Mais alors, le β-caryophyllène, un terpène, que l’on retrouve aussi en abondance dans les huiles essentielles du giroflier, du poivre noir, du romarin, du houblon, de l’origan, de la cannelle et … du cannabis.

Ce serait alors un faux cannabinoïde tant bien même il agit comme un cannabinoïde?

Un oiseau qui agit comme un perroquet, qui possède les plumes d’un perroquet et qui cause comme un perroquet… ne serait-il donc pas un perroquet?

Un individu qui ment comme un politicien, qui est corrompu comme un politicien, qui initie des guerres libératrices criminelles en lançant des bombes  à l’uranium appauvri, sur les civils, comme un politicien… ne serait-il pas, quand même, un politicien?

 

De l’anti-blatte dans les concentrés de cannabis de l’Industrie

Mais quid, réellement, de la contamination? Le site internet des idiots utiles de l’association/tampon Hollandaise continue la litanie de ses couplets lénifiants. Les pesticides doivent être absents; les métaux lourds ne doivent pas dépasser les normes officielles; les bactéries et les moisissures ne doivent pas dépasser les normes officielles; les teneurs en THC, CBD et CBN doivent se situer “entre” les niveaux spécifiés, donc standardisés; enfin, le degré d’hygrométrie ne doit pas dépasser les 10%.

De toutes façons, brave gens, dormez sur vos deux oreilles car l’Industrie Pharmaceutique veille sur vous: tous les “bourgeons floraux entiers de cannabis médicinal standardisé”, cultivés par Bedrocan BV, sont stérilisés aux rayons gamma (Isotron BV) et le lien renvoie chez la société Synergy Health: Applied Sterilisation Technologies (AST). Le cannabis médicinal de Bedrocan BV est ensuite distribué commercialement, dans les pharmacies, par la société Fagron BV, une filiale de Certa S.A, elle-même une filiale de Omega Pharma N.V, elle-même une filiale de Omega Pharma Invest NV, elle-même une filiale de Perrigo Public Limited Company, basée à Dublin.

Le PDG, et co-fondateur, de Bedrocan BV est Tjalling Erkelens. Lors d’une conférence donnée au Parlement du Royaume-Uni, en janvier 2012, [9], il a eu l’audace de prétendre que le cannabis “illégal” était farci de résidus de pesticides, de fongicides et d’autres substances dangereuses (tel que du verre broyé).

J’ai un bon pote qui produit de la pot dans les montagnes de Californie depuis 35 ans et strictement en bio: il s’étoufferait de rage d’entendre de telles insanités

Tjalling Erkelens évoque, peut-être, le cannabis infiltré aux USA par les Cartels Mexicains…

sous quelle protection bancaire?

mais qu’il balaye donc devant sa porte car, malheureusement pour lui, et pour son business prétendument exemplaire, les nouvelles ne sont pas bonnes. Et elles proviennent de NORML (National Organization for the Reform of Marijuana Laws), l’une des principales organisations aux USA dont la mission, ou prétendue telle, est de favoriser la légalisation du cannabis – sous tous aspects.

« Tout comme pour d’autres industries légales, certains dans l’industrie du cannabis ont usé de leur influence grandissante pour retarder ou pour affaiblir des règlements potentiels, dont la finalité est de protéger les consommateurs, et ils ont préconisé des protections moins draconiennes ». [10]

L’Oreganian (un journal de l’Oregon) a publié en juillet 2015 les résultats d’une analyse qu’il a commissionnée auprès d’un laboratoire privé: les 10 concentrés ou extraits de cannabis contenaient quasiment tous des pesticides, au nombre de 14, dont une demi-douzaine classifiés potentiellement cancérigènes par le gouvernement fédéral. [11] Ce qui n’est pas peu dire, venant du gouvernement.

les extraits ou concentrés que l’Industrie Pharmaceutique appelle pudiquement  des phytocannabinoïdes, des cannabinoïdes extraits de plantes – du Grec phyto, pour plante –

une sémantique différente cependant de phytopharmaceutiques – devenu quasiment un substantif – qui sont des pesticides pour protéger les plantes…

pourquoi l’Industrie ne parle-t-elle donc pas d’homopharmaceutiques??? pour leurs médicaments vendus en pharmacie… afin de protéger l’Humanité: leurs fongicides, leurs anti-dépresseurs, leurs anti-parasitaires… leurs antibiotiques… de anti/biotiques = contre la Vie

Quant à un autre périodique, OregonLive [12], il rapporte qu’il a commissionné ses propres analyses auprès d’un autre laboratoire. Et c’est une catastrophe pour les concentrés de cannabis de l’Industrie – et surtout pour les patients – qui sont au-delà des normes “autorisées”…

les normes “autorisées” des pesticides ou de la radioactivité… dès 1963, le conseiller scientifique du Président John Kennedy l’avait informé qu’il n’existe pas de différences entre un produit issu d’un champ pesticidé  et un produit issu d’une centrale nucléaire déchets radioactifs dans l’air, dans l’eau, dans le sol,  produits alimentaires pesticidés … même syndrome

et que l’on ne nous parle pas de “doses minimales”, de “doses tolérables”, de “teneurs maximales” ou de “seuils critiques”. Ce sont des concepts issus des cerveaux ravagés des scientifiques, à la solde du complexe Militaro-industriel, complexe dénoncé par le même, sus-cité, qui en mourut : le signal précisant, à ceux qui voulaient l’entendre, que l’on ne badine pas avec eux…

Plus précisément, les analyses des deux laboratoires, portant sur les 10 extraits de cannabis analysés, mettent en exergue que 8 concentrés de cannabis contenaient l’intégralité des 14 pesticides – dont un insecticide pour décimer les blattes et un autre tellement dangereux que son usage domestique a été interdit par le Gouvernement Fédéral, depuis 10 années. Et dont, je me répète, une demi-douzaine classifiés potentiellement cancérigènes par le gouvernement fédéral. Un seul des 14 pesticides est autorisé par les cahiers de charge de l’Agriculture Biologique,

les “cahiers de charge” de l’Agriculture Biologique…  qui au gré des influences de la méga-industrie sont devenus des “cahiers de décharges”

L’extrait de cannabis le plus pesticidé était un produit de Dab Society, le Dutch Treat – sans rapport avec le Pays du même nom – qui fut retiré, très rapidement, de la vente aux dispensaires.

peut-être un clin d’oeil du cosmos à Tjalling Erkelens, le PDG menteur et arrogant de Bedrocan BV – qui lui, peut-être, l’aurait recyclé vers l’Uruguay?

 

L’Amérique Latine, un remake de la Belle aux Barils Dormants?

Le 18 décembre 2014, un accord de partage de dividendes a été signé entre Bedrocan BV en Hollande et Bedrocan Canada pour la production et la commercialisation, en Amérique du sud, des produits créés sous brevets par Bedrocan BV, en Hollande.

En 2007, lorsque j’ai qualifié les carburants végétaux de nécro-carburants, dans “La Tyrannie des Nécro-Carburants: mettez du sang dans votre moteur”, je qualifiai l’Amérique latine de “Belle aux barils dormants”, rebondissant sur les déclarations intempestives des banquiers [8] convaincus, à juste titre, qu’ils s’allaient s’engraisser avec les nécro-fuels…

le syndrome est récurrent  même si la nature de “l’huile” diffère dans les barils

D’ailleurs, toujours sur le Facebook de Bedrocan BV, il y est présenté une “Medicinal Cannabis Masterclass” dont le lien ne mène nulle part. Cette annonce est reprise, “sur une page de pétition”, [32] par le site Change. org (une organisation tout aussi crapuleuse que l’ONG militariste Avaaz) [30] dont le lien ne mène nulle part, également. Il s’agissait, vraisemblablement d’un stage scientifique/touristique de 6 jours, du 16 au 22 novembre 2014 et en Hollande, animé par Arno Hazekamp, un biochimiste responsable de la recherche chez Bedrocan BV, qui en anima plusieurs, de ce type, dans le passé. On ne perçoit pas du tout quel lien puisse exister entre une pétition lancée par Change. org (une organisation basée à San Francisco, employant plus de 100 salariés et mettant en ligne plus de 500 nouvelles pétitions tous les jours) pour interdire, en Italie, l’alcool dans les endroits publics et légaliser le cannabis, d’une part, et un stage de 6 jours organisé par Bedrocan BV sur le cannabis médical, d’autre part. 

Arno Hazekamp a passé un doctorat dont le sujet était d’analyser les obstacles concrets qui se tiennent entre le cannabis et son développement au service de la médecine moderne. Ce qui veut tout dire. Arno Hazekamp vient juste de publier un petit opuscule de 84 pages sur le cannabis médical – en espagnol. [35] Une indication très nette que Bedrocan BV lorgne, en Amérique Latine, sur la Belle aux Barils dormants – pour ses barils d’huile de cannabis! Arno Hazekamp, d’ailleurs, ne fait pas l’unanimité, dans le milieu, quant à ses techniques d’extraction d’huile de cannabis, car il se fait quasiment traiter de guignol par Rick Simpson sur Facebook. [31] Rick Simpson est le grand guide et promoteur de l’huile de cannabis aux USA. [33] [34]

Tjalling Erkelens, son patron s’est encore distingué, récemment, en se moquant ouvertement du Président de l’Uruguay qui venait d’y légaliser le cannabis et de promettre que le gramme n’y dépasserait pas un dollar: « c’est fondamentalement impossible, à mon avis. Je ne peux pas imaginer que cela arrive ». Et de préciser que « un individu pourrait s’en sortir en cultivant et en vendant de la mariejeanne pour 1 dollar le gramme, dans son jardin, s’il se contentait de lancer des graines en l’air, de hacher menu les plantes, de les sécher et de les vendre sur le pas de sa porte ».  [13]

Le comble du mépris et de l’intoxication. Tjalling Erkelens est-il jamais sorti de ses serres standardisées? Tjalling Erkelens veut-il prétendre qu’un paysan Uruguayen ne s’en sortirait que difficilement en vendant – au détail et sur le pas de sa porte – 1 kilo de cannabis à 1000 dollars le kilo?

au mois de juillet 2015, en Oregon, sur le marché de demi-gros et garanti bio – non pas par Oregon Tilth mais sur l’honneur – cela existe encore chez les paysans – 

on trouvait du cannabis à 900 dollars la livre, donc 2 dollars le gramme

Tjalling Erkelens a-t-il le cerveau à ce point enfumé qu’il en oublie que l’on peut produire beaucoup de cannabis sur une plante bien choyée? Et les paysans, de tous temps,

du moins avant la première guerre mondiale

dont l’un des objectifs fut de génocider les paysans Allemands et Français 

et avant le Plan Marshall, de 1947, dont l’objectif fut de cancériser l’agriculture Française

ont su choyer leurs plantes cultivées  parce que c’était leur art, leur survie. Combien de cannabis peut-on produire sur une plante – à trois mètres de haut et beaucoup plus, cela frise l’arbuste – bien choyée? 1 bon kilo, parfois 2 kilos par plante. Dans ce cas, il s’agit de plantes de cannabis de jardin familial. Quant aux producteurs qui en vivent dans notre région, ils peuvent, lorsque la saison de culture est très longue, produire environ 5 kgs sur de belles plantes et jusque 7 kgs sur des plantes exceptionnelles. Y compris de plein champ. Il est vrai que nous vivons dans l’une des “Banana Belt” de l’Oregon (le climat de l’Anjou) au coeur de la production de semences, de plantes médicinales et du cannabis – sous tous aspects de légalité – et nos informations sont de première source.

La vérité, c’est que Tjalling Erkelens a très peur et ils ont tous très peur car c’est un marché de dupes dont les fondations peuvent s’effondrer à tout moment – et d’ailleurs parfois, elles sont déjà en processus d’effritement. La Mafia Pharmaceutique veut standardiser, sécuriser le marché très rapidement et, s’il le faut, aller s’implanter dans les pays du Tiers-Monde…

les pays dits en voie de développement, les pays en voie d’occidentalisation, les pays dits émergents… ils émergent de quoi? de la Barbarie?

et ils y sont déjà – la preuve officielle par l’accord de partage de dividendes signé, en décembre 2014, entre Bedrocan BV en Hollande et Bedrocan Canada pour la production et la commercialisation de cannabis en Amérique du sud. [14] [15] Quant aux preuves non officielles, c’est un autre très gros dossier. Et qui est Bedrocan Canada?

 

Bedrocan BV, dans le tourbillon des filiales

Bedrocan BV, en Hollande, et Bedrocan Canada Inc, au Canada, sont des compagnies-clones. Ce sont des filiales de Bedrocan Cannabis Corp qui fut créé, en février 2012, à Toronto.

Depuis le 31 août 2015, Bedrocan Cannabis Corp est une filiale de Tweed Marijuana Inc, qui, en septembre 2015, s’est renommée Canopy Growth Corporation.

Ce n’est pas le cadre de cet essai de plonger dans des analyses financières détaillées de toutes les filiales de Canopy Growth Corporation. Il suffit, pour l’instant, de dire qu’ils ont tous très peur parce que:

– le marché des patients officialisés ne se développe pas assez vite. Tweed, par exemple, sert 6000 patients Canadiens mais il leur en faut très rapidement 12 000 pour rentrer dans leurs frais.

– ils manquent désespérément de cash: c’est la grosse épine dans le pied – elephant in the room.

– et, ce qui est encore bien pire, les patients perdent patience. En effet, le Ministère de la Santé du Canada s’est vu porté devant les tribunaux eu égard à la nouvelle législation sur le cannabis médical [16] – qui venait de remplacer l’ancienne qui n’était pas au bon goût des Tweed, Bedrocan et Compagnies.

La nouvelle législation Canadienne ne permettait que l’utilisation de bourgeons floraux de cannabis à fumer – cultivés dans les serres standardisées (et pesticidées) des gros acteurs conventionnés. La Cour Suprême, en juin 2015, a jeté la nouvelle législation du Gouvernement Canadien aux orties en la déclarant anticonstitutionnelle. Les patients Canadiens agréés peuvent donc, aujourd’hui, cultiver dans leurs jardins leur propre cannabis bio ou acquérir, dans des dispensaires agréés, des bourgeons floraux, des patisseries, des teintures et des extraits en tous genres – selon leur bon plaisir. Il va sans dire que, Rona Ambrose, la Ministre de la Santé, du Gouvernement Fédéral, s’est quasiment étouffée de rage, à l’annonce de la décision de la Cour Suprême: « Frankly, I’m outraged by the Supreme Court. Let’s remember, there’s only one authority in Canada that has the authority and the expertise to make a drug into a medicine and that’s Health Canada ». [17]

“the authority and the expertise to make a drug into a medicine”

– drug, en anglais = drogue et remède – c’est tellement excellent, comme aveu, que je préfère le laisser en anglais et, de plus, il n’est pas toujours aisé de traduire le verbiage des politiciens dont certains, d’ailleurs, sont à “l’écoute” – dans leurs propres oreilles!

Et comme le chantait John Lennon dont l’assasinat fut le second signal envoyé, en 1980: « everybody is talking and no one says a word »

Les analystes financiers, attitrés, de Canopy Growth Corporation, sont Aaron Salz, Daniel Pearlstein, Khurram Malik de Jacobs Partners et Martin Landry. Et qu’entrevoient ces diplômés de l’expertise financière?

A mon avis, la faillite financière à très court terme, si leurs client ne sont pas renfloués, en trésorerie, une fois de plus, par des industriels richissimes en mal d’adrénaline.

Les rachats “en chaînes” et les concentrations, pas de cannabis mais des forces financières, ne sont pas toujours signe de très grande prospérité

La suite, un peu laborieuse, de cet essai va mettre en lumière les partenaires, filiales, etc, de toute cette foire d’empoigne. Ils sont tous issus du même monde: c’est le monde mafieux de la grande Finance, de l’Industrie Pharmaceutique, de l’Industrie des Communications et, bien entendu, de l’Industrie des Biotechnologies – dont là-aussi certains acteurs sont en train de boire le bouillon.

 

Canopy Growth Corporation

Canopy Growth Corporation possède ainsi Bedrocan Canada (donc Bedrocan BV), Tweed Inc, Tweed Farms Inc et MedCannAccess. Ils opèrent trois sites de production de cannabis au Canada. Ils produisent, actuellement, près de 6 tonnes de cannabis par an sur une surface de près de 6 hectares – de serres standardisées.

Au travers de l’acquisition très récente, en septembre 2015, par Tweed, de MedCannAccess, Canopy Growth Corporation possède maintenant 33% des actions de CannScience Innovations Inc.[18]

Tweed Farms Inc est, également, en partenariat (au 30 septembre 2015) avec DNA Genetics qui crée des variétés de cannabis (fondée en 2004 à Amsterdam et titulaire de 125 trophées). [19]

Canopy Growth Corporation  a contracté un partenariat avec Nutritional High le 22 octobre 2015. [38]

Tweed lance une étude sur la qualité de vie des patients utilisant du cannabis médical (supposément, l’une des plus grandes études mondiales sur les effets thérapeutiques  du cannabis médical). Le responsable de cette étude est Dr. Martin Katzman (Président de Scientific Advisory Board of the Anxiety Disorders Association) qui est, également, conseiller chez Bedrocan. [18]

CannScience Innovations est, elle-même, en partenariat avec Generex Biotechnology Corporation pour l’utilisation de leur technologie RapidMist™ – qui permet de déposer des remèdes avec grande précision dans la cavité buccale sans risque de dépôt dans les poumons.

Voici maintenant quelques informations sur les hommes (aucune femme dans cette équipe de direction) en charge de gérer leur déficit financier sans cesse croissant:

Bruce Linton est le président de Canopy Growth Corporation. Il est également le directeur de la compagnie Martello Technologies. Il était le directeur de computerland.ca, le président de webHancer Corp, il participé à l’établissement de CrossKeys Systems Corporation et a travaillé avec la Banque Mondiale et la Banque de Développement Asiatique, etc, etc

Marc Twain est le président de Bedrocan. Il est aussi le Président de la Canadian Medicinal Cannabis Industry Association (CMCIA). Anciennement Directeur du Business Development for the Canadian Consortium for the Investigation of Cannabinoids (CCIC). Il était également fondateur d’OAM Computer Group et fondateur de lasoo.com, racheté par Yahoo.

Angus Footman est le président de Tweed Farms. Anciennement Président de Prime Communications de novembre 1998 à novembre 2001. Vice-Président de Sentrex Communications Inc.; et Vice Président de Integration Technologies. Tweed vient de recevoir, en septembre 2015, la permission d’étendre leur surface de culture pour arriver, éventuellement, jusque 3 hectares de serres. [20]

Mark Zekulin est the Président de Tweed Inc. Il était auparavant le conseiller de la société internationale Cassidy Levy Kent; le conseiller de Dwight Duncan, ministre des finances de l’Ontario; ainsi que l’un des directeurs du Comité consultatif économique et industriel auprès de l’OCDE. [21]

Les directeurs de Canopy Growth Corporation sont les suivants:

– John Bell. Fondateur de Shred-Tech. Propriétaire de Polymer Technologies. Directeur de ATS Automation (TSX). Président de BSM Wireless (TSX-V). Dans le Conseil de Direction de Strongco Corp et de DelMar Pharmaceuticals.

– Barry Fishman. PDG de Merus Labs International Inc. avec 25 ans de carrière dans le secteur pharmaceutique. Ancien PDG de Teva Canada. Ancien président de Canadian Generic Manufacturers Association. Ancien vice-président de la branche marketing de Eli Lilly.

– Murray Goldman. Ancien président de Bedrocan Canada Inc. Président de Goldman Group. Il est présentement le directeur et l’investisseur de très nombreuses compagnies impliquées dans les secteur pharmaceutique.

– Chris Schnarr. Directeur financier de Delivra Inc. avec 25 ans de carrière dans la finance, la pharmacie, etc.

– Steven Small. PDG de DealNet Capital. Directeur de INFOR Acquisition Corp. Vice-Président de Element Financial Corporation. Anciennement PDG, ou fondateur, ou investisseur de MedcomSoft Inc., de Newcourt Credit Group, de Knightsbridge Human Capital Solution, etc.

Tim Saunders. Anciennement directeur ou conseiller de Black Canvas Consulting et  de Vodafone, Oskar Mobil, Mitel, Zarlink Semiconductor, Plasco Energy Group, etc.

Voici maintenant quelques information sur Generex Biotechnology Corporation, le partenaire de CannScience Innovations – qui est en partie dans l’escarcelle de Canopy Growth Corporation.

Generex Biotechnology Corporation se définit, elle-même, comme une firme leader de développement de remèdes à base de cannabinoïdes. En effet, le cannabis semble être la dernière chance pour des entreprises de biotechnologies qui sont en train de boire la tasse (370 millions de dollars de déficit cumulé pour cette entreprise) de par des promesses mirobolantes (ébola, cancer du sein, cancer de la prostate) non tenues sur l’introduction de vaccins chimériques contre toutes les pathologies modernes induites par cette même Industrie Agro-Pharmaco-Chimique. [22]

Generex Biotechnology Corporation est en actionnariat avec Smoofi, Inc. qui utilisera leur technologie RapidMist™ en échange de la cession d’actions d’une valeur de 10 millions de dollars. Smoofi est une start-up qui n’avait qu’un seul employé en 2014. Son propriétaire est Blue River Partners, une société financière du Texas. [28]

Generex Biotechnology Corporation possède Antigen Express, (Generex Oncology), une autre société de biotechnologies spécialisée dans la fabrication de vaccins chimériques pour traiter des maladies auto-immunes, infectieuses, allergiques et cancéreuses bien spécifiques telles que le cancer du sein, le virus ebola, le cancer de la prostate, le virus du papillome humain et les virus des grippes dites aviaire (H5N1) et porcine (H1N1). [23]

Generex Biotechnology Corporation est en pourparler pour acquérir des actions dans MediTempn, une société Israélienne spécialisée dans l’amélioration du sperme chez les hommes stériles. Elle commercialise le Varicure, un instrument portable permettant de refroidir les testicules. [24] [25]

Generex Biotechnology Corporation est en pourparler pour acquérir des actions dans Alfa Rhythm Ltd., une société Israélienne spécialisée dans la fabrication d’un simulateur électro-biométrique trans-cranial pour traiter les symptômes de la pathologie moderne nommée “Trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité”. [26]

Generex Biotechnology Corporation est en pourparler pour acquérir des actions dans Hema Diagnostic Systems, une société basée en Floride et spécialisée dans des technologies de détection de maladies infectieuses. [27]

C’est la fin de ce premier épisode

On vit une époque formidable

Xochi. Le 19 octobre 2015.