Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 09

 

Neuvième Partie

La Guerre Alimentaire des Transhumanistes Eugénistes

pour Affamer les Peuples

Avant-Propos

Introduction

1. L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles

2. Les Agricultures Mondiales Assignées à Résidence au Prétexte d’une Pandémie Coronavirulente Inexistante

3. Destruction de l’Agriculture/Elevage, aux USA, au Prétexte d’une Pandémie Coronavirulente Inexistante

4. Faillite de l’Agriculture Mondiale due au Grand Minimum Solaire de 2019 à 2055

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Avant-Propos

En toute transparence: mes Cantos, et autres essais, sont intentionnés, et enragés, de dénonciations des diverses mutations, guises, grimaces, masques et mascarades du Sionisme et du Néo-Sionisme génocidaires: le Judaïsme, le Christianisme, l’Islamisme, le Rédemptionisme, le Marxisme, le Messianisme, le Néo-Darwinisme, le Communisme, l’Evolutionnisme, le Socialisme, le Libéralisme, l’Impérialisme, le Bellicisme, le Communautarisme, le Bolchévisme, le Djihadisme, le Féminisme, le Freudisme, l’Ecologisme, l’ONGisme, le Réchauffisme, le Véganisme, le Démocratisme, le LGBTisme, le Mondialisme, le Vaccinalisme, l’Eugénisme, le Chimérisme, le Pandémisme, l’Universalisme – et, bien sûr, le Transhumanisme qui constitue l’objectif fondamental de tous les génocideurs.

Ce n’est pas la récente loi anti-haine en ligne – d’Avia/Sion, une députée dégénérée et mordante – [320] [322] [324] qui m’empêchera de revendiquer ma haine incommensurable en ligne de mire de tous ces génocideurs et psychopathes criminels. Cette loi sur la “cyberhaine” [321] a même été votée par un député décédé [323] – afin de donner un exemple croustillant de dissonance cognitive dans la lutte contre les fake-news!! L’érection de cette nouvelle loi d’Avia – en guise de bâillonnement social ultime du Peuple Français – constitue, véritablement, l’Aviagra politique de tous les obsédés du contrôle social, les pervers du Mal social, les biophobes et autres handicapés de la Joie de Vivre. A savoir, le Viagra juridique des adversaires de la liberté d’expression, et de transmission, de tous ceux qui choisissent de pratiquer l’arrogation – la capacité de remettre en question toutes les Autorités.

Les Autorités mentent, perpétuellement, afin de survivre dans leur réalité en 3D – Division, Duplicité et Domination. Nonobstant, la quête de la Liberté est contagieuse et “virale”. Cette aspiration à la Liberté est en phase de miner, et de contaminer, les fondements vermoulus de leur Empire – en cours d’écroulement sous le poids fatal de ses propres mensonges.

Sous prétexte de lutter contre un virus invisible, et une pandémie inexistante, les ennemis de la Vie – qui sont bien visibles et, même, nommables – ont lancé la dernière offensive de leur guerre à l’encontre de toutes les Nations, à l’encontre de tous les Peuples et Ethnos de la Planète Terre. En sus de leurs armes coutumières – à savoir la peur, la violence, la répression policière et la Terreur d’Etat – ces biophobes ont mis en place un nouvel arsenal de mesure coercitives, dictatoriales, et déshumanisantes, afin d’orchestrer leur opération psychologique spéciale, la pandémie du CoYid/19, qu’ils ont concoctée depuis moult années. Leur nouvelle artillerie a pour mission de détruire l’Humain, tant sur le plan psychologique qu’existentiel, par le confinement, l’isolement, la quarantaine, la distanciation sociale, les gestes barrière, la dissonance cognitive, la destruction du tissu économique, la surveillance digitalisée, la délation, l’imposition de la monnaie virtuelle, les test ineptes [325], la technologie 5G, les masques et, surtout, la vaccination universelle traçable et digitalisante – qui constitue leur objectif terminal et létal.

Après des années de diversion populaire sur le thème du Voile Islamique, les psychopathes, et autres experts en manipulations sociales, tentent d’imposer le Masque, en France, à toute la population. Ces masques sont, non seulement, socialement bâillonnants mais excessivement dangereux, pour la santé humaine, car ils induisent des risques avérés d’hypoxie (une réduction de l’oxygénation du sang) ou d’hypercapnie (une élévation du C02 sanguin) [270] [257] [258] [285] – sans évoquer le fait indubitable qu’ils n’offrent strictement aucune protection contre des virus pathogènes… qui, d’ailleurs, n’existent pas. Les hystériques du Réchauffement Climatique Anthropique™, obsédés par un minuscule 0,04% de C02 dans l’atmosphère, sont en liesse car les Autorités tentent d’obliger les humains à régurgiter leur propre dioxyde de carbone – par l’obligation du port de ces masques de pacotille.

Le 21 mai 2020, the New England Journal of Medecine – qui constitue, entre autres, la voix d’Anthony Fauci, le Czar du CoYid/19 aux USA – a publié un article intitulé “Universal Masking in Hospitals in the Covid-19 Era” dans lequel il est, clairement, affirmé que les masques n’offrent, strictement, aucune protection dans l’espace public – à savoir à l’extérieur des hôpitaux. [319]

La Mascarade des Masques, déshumanisants et délétères, a constitué l’un des éléments privilégiés de la campagne pandémique de lobotomisation orchestrée, en France, par la Macronie déliquescente. Il n’est que de se reporter, à ce sujet, aux multiples déclarations débiles, mensongères et contradictoires, proférées par les Sibeth Ndiaye, Castaner, Macron, Véran, Salomon, et autres experts en Mal social, afin de prendre conscience que l’activation de la dissonance cognitive constitue, authentiquement, l’un des piliers de la zombification, de la victimisation et de l’auto-flagellation des Peuples. [259] [260] [261]

C’est la narration au sujet du virus qui constitue le virus. A l’approche de l’été, nous en sommes, encore, à la guerre des narrations tant bien même la narration pandémique officielle des Autorités – colportée par tous les médias corrompus – commence à s’effilocher, de toutes parts, au fil du réveil des Peuples – du moins ceux qui réaniment, tout simplement, leur bon sens commun face à la destruction programmée de tout le tissu économique et social.

Les Autorités, avec le soutien de l’Eglise de la Virologie Pathogénique, tentent, ainsi, d’imposer leur nouvelle religion coronavirale avec ses croyants (et ses non-croyants), ses experts ecclésiastiques en nécrologie chimérique, ses prédictions eschatologiques, ses dogmes, ses péchés de désobéissance, ses excommunications, ses châtiments – et son paradis vaccinal pour ceux et celles qui souhaiteraient recouvrer leurs illusions d’être libres.

En Italie, la députée Sara Cunial a déclaré que l’Italie avait été soumise à une « Sainte Inquisition de la fausse science » et elle s’est opposée au confinement inutile et à la vaccination obligatoire à l’encontre du CoqueVide/19. Elle a demandé au Parlement Italien d’inculper Bill Gates pour crimes contre l’humanité afin de procéder à son arrestation… en invoquant le Code de Nuremberg. [286]

Aujourd’hui, il est aisé d’imaginer que cette fausse pandémie ne constitue que leur premier joker dans cette phase terminale de guerre ultime à la Vie. Leur prochain joker sera-t-il, vers la fin de l’année 2020, l’imposition d’une vaccination universelle agrémentée d’une puce électronique… ou vont-ils récidiver, durant l’été, avec une nouvelle opération psychologique spéciale impliquant une plus forte amplitude de terreur? Vont-ils, par exemple, rejouer la même carte que lors de la destruction des sept tours du World Trade Center, à New-York, en septembre 2001? [283]

Les psychopathes criminels du complexe militaro-industriel, les eugénistes, et autres Banksters, sont là depuis fort longtemps – depuis des siècles et, même, depuis des millénaires. Ils ne vont pas partir de bon coeur car ils sont obsédés par le contrôle, le pouvoir, les richesses, les guerres, les destructions… et par le plaisir de persécuter et de martyriser d’autres êtres humains – afin de les empêcher de vivre en Paix. Qu’allons nous faire? N’est-il pas plus que temps de danser sur eux? Car l’Alerte est Biologique.

Parallèlement à la présente guerre des narrations, il est une autre guerre, tout autant sournoise, que les Eugénistes, et les Transhumanistes, ont lancée à l’encontre de tous les Peuples. C’est une guerre alimentaire et elle constitue le sujet de ce présent essai – qui est très long et qui renvoie à plus de 320 liens. Cette guerre alimentaire est orchestrée sous divers modes, en fonction des régions, des nations et même des continents – sur les court et moyen termes.

En France, il a fallu attendre le 1er avril 2020 pour que la Macronie déliquescente condescende à autoriser la vente des semences (et des plants de jardin) – en tant qu’éléments de première nécessité. [266] De même, les jardins ouvriers, partagés et communautaires, ont été interdits d’accès durant le confinement ignominieux tout autant que les jardins familiaux non attenant au domicile. Pourquoi? Parce que la destruction des jardins familiaux fait partie du grand plan globaliste de destruction des autonomies alimentaires et d’affamement des Peuples. L’interdiction de vente de semences (et des plants de jardin) a, également, été promulguée dans certains états des USA tel que le Michigan ou le Vermont. [267] [268]

L’interdiction scandaleuse des marchés paysans, ouverts et de proximité, par le gouvernement Français, le 24 mars 2020, participe de la même logique de destruction de l’autonomie alimentaire. La raison en est-elle que les légumes frais directement issus, au jour le jour, des champs des paysans locaux, seraient beaucoup plus dangereux, pour la santé publique, que les supermarchés dans lesquels les légumes ont été manipulés en moyenne 6 fois – du champ à l’étalage? Sans même évoquer leur exposition, pendant des jours, aux multiples contacts des clients éventuels qui ne peuvent s’empêcher de les toucher, de les tousser, de les respirer… Sans commentaires.

Sur le court terme, le confinement, induit par la fausse pandémie, leur a permis de totalement déstructurer les circuits de production, de récolte et de distribution des produits de l’agriculture et de l’élevage – afin de générer des pénuries alimentaires artificielles. Sur le moyen terme, ils ont commencé à programmer, et activer, la production industrielle de protéines d’insectes, la promotion de la production industrielle de protéines cellulaires et la destruction concomitante de l’agriculture et de l’élevage traditionnels ou industriels – dont les modes de fonctionnement non bios constituent, authentiquement, il est vrai, une catastrophe pour la Biosphère et la santé humaine.

Leur guerre alimentaire va être confortée, et exacerbée, par l’émergence du nouveau Grand Minimum Solaire – qui est déjà en cours et annoncé de 2019 à 2055 – concomitant d’un intense Refroidissement Atmosphérique… alors même que des milliers d’ONGs, financées par les Eugénistes, promeuvent l’arnaque du Réchauffement Climatique Anthropique™ en empêchant, ainsi, les Peuples de se préparer aux vagues de grands froids qui vont affaiblir ou ruiner les capacités de production agricole dans le monde entier.

Ces préparations impliqueraient, bien évidemment, de retourner très rapidement vers des pratiques bios dans l’agriculture, dans l’élevage, et dans le jardinage, afin de reconstruire l’humus des sols agricoles (pour une meilleure résilience) et vers des semences de variétés jardinières ou agricoles traditionnelles – à savoir non hybrides, non chimériques, en pollinisation ouverte et se caractérisant par une vaste amplitude génétique.

A propos de Grand Minimum Solaire, n’est-il pas hautement suspect que, présentement, plus de 120 des plus grands télescopes de la planète soient à l’arrêt en raison de la fausse pandémie? La fermeture de ces énormes télescopes va profondément altérer les capacités d’observations astronomiques pour de nombreux mois à venir. [295]

Aujourd’hui, la Food Foundation du Royaume Uni annonce que ce sont près de 7 millions de Britanniques qui souffrent de la faim. Combien de millions de personnes ont faim en France, en Italie, aux USA, en Suisse… et partout ailleurs sur la planète?

Aujourd’hui, en France, un certain nombre d’organisations militent pour l’établissement d’une “Sécurité Sociale Alimentaire”… au titre de la transition écologique et sociale. Elles évoquent le “droit à l’alimentation” car ce serait, “en temps normal”, 5,5 millions de personnes qui bénéficient d’une aide alimentaire. A la sortie du confinement, ce serait 20% des Français qui souffrent d’insécurité alimentaire. Qui paierait, donc, pour cette “Sécurité Sociale Alimentaire”? [265] Le Peuple, une fois de plus, ou tous les voyous criminels qui vont rafler la mise après avoir détruit, encore plus, l’intégralité du système économique Français?

Aujourd’hui, des émeutes de la faim éclatent au Liban, au Chili, au Niger, en Afrique du sud, au Vénézuela… Aux USA, les banques de nourriture ne peuvent plus maintenir le rythme effréné d’une paupérisation et d’une insécurité alimentaires galopantes.

Sur le plan mondial, les guignols de l’ONU, l’Organisation pour le Nivellement Universel, versent quelques larmes de crocodile pour alerter la “communauté internationale” quant à l’émergence d’une “pandémie de la faim” qui pourrait décimer 300 000 personnes par jour… si le confinement perdure…

… en sus des 25 à 30 000 personnes qui meurent de faim, quotidiennement, dans l’anonymat le plus total, alors que ce sont 2000 milliards de dollars qui sont dépensés, annuellement, au titre de la vente d’armements dans le monde. Et alors que durant la seule période de confinement – et de destruction de millions de petits négoces – les milliardaires US (Jeff Bezos, Warren Buffett, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Larry Ellison…) ont accumulé 434 milliards de dollars en plus de leur fortune d’avant le confinement. [277]

Ainsi que Jean Ziegler (rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation des populations du Conseil des Droits de l’ONU de 2000 à 2008) l’écrivit: «Tout enfant qui meurt actuellement de faim est, en réalité, assassiné». De plus, aujourd’hui, ce sont près d’1 milliard d’êtres humains qui n’ont pas accès à l’eau potable. Par conséquent, selon les statistiques officielles, en date du 15 mai 2020, ce sont près de deux millions de personnes qui sont mortes, dans le monde, depuis le début de cette année 2020, en raison d’un manque d’accès à l’eau. [298]

Pendant ce temps, Tedros Adhanom GhebreJésus, le guignol en chef de l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire – et l’un des hommes de paille de Bill Gates – déclare que le 20 mai 2020 fut une journée mémorable dans l’épopée pandémique coronavirale puisque ce sont 106 000 personnes qui auraient été “testées positives” en une seule journée.

Selon les déclarations officielles du président de Tanzanie, même les papayes et les jacquiers du pays, envoyés sous de faux noms au laboratoire spécialisé des pitres de l’OMS, “testaient positifs”…[297] Tout va bien? Les lecteurs intéressés par le thème de la haute corruption dans les revues médicales spécialisées, telles que The Lancet et le New England Journal of Medicine, sont invités à lire le récent article du Docteur Pascal Sacré “COVID-19: le côté obscur de la science révélé”. [299]

Dans ce présent essai sur la Guerre Alimentaire, je vais tout d’abord évoquer ce que les Transhumanistes appellent “l’agriculture cellulaire” – qui constitue l’un des déguisements privilégiés de leur eugénisme alimentaire. L’Alerte est d’autant plus gravissime, quant à la destruction programmée de l’agriculture et de l’élevage, que les Transhumanistes ont décidé que, d’ici 2040, ce seraient 60% de la viande animale qui serait remplacée par les fausses viandes, en cuves stériles, à base de plantes ou à base de cultures cellulaires aux levures chimériques… afin de reverdir la Planète Terre et de sauver le Climat.

L’un des principaux promoteurs et financeurs de cette “agriculture cellulaire” n’est autre que l’eugéniste Bill Gates, le vaccinateur dément et l’un des grands cerveaux de l’orchestration de la fausse pandémie coronavirale au parfum de CoYid/19. C’est le même eugéniste Bill Gates qui finance la dissémination d’insectes chimériques, l’agriculture chimique et chimérique dans les pays pauvres [269], de multiples programmes de vaccination, de multiples organisations de promotion des vaccinations, de multiples campagnes de vaccinations stérilisantes, l’Agenda ID/2020 de puçage vaccinal de toute l’humanité, des nuées de satellites de surveillance, [273] de nouvelles technologies de vaccinations par le biais de tatous ou par le biais de la reprogrammation génétique humaine avec des vaccins mARN, etc, etc, ad nauseam.

Robert Langer, du MIT, est le co-fondateur du laboratoire Moderna – financé par la Fondation Bill Gates [264] [300] et le Ministère de la Défense US. C’est Moderna qui est la société Pharmacratique la plus médiatisée de par l’introduction, dès l’automne 2020, de son nouveau vaccin anti CoqueVide/19, le mRNA-1273 – une création d’un Israélien dénommé Tall Zacks qui travaillait auparavant avec GlaxoSmithKline. [270] C’est ce même Robert Langer qui a collaboré avec son grand ami Bill Gates pour développer, en Afrique, une nouvelle technologie de vaccinations avec tatous lisibles – par la caméra d’un téléphone portable. Une autre de leurs inventions communes est l’insertion, dans le corps humain, d’une puce électronique, contrôlable à distance, libérant des substances contraceptives. [263]

Les lecteurs intéressés par l’opération vaccinale “Warp Speed”, aux USA, dont le responsable est le Dr Moncef Slaoui, sont invités à lire l’excellent récent article de William Engdahl. Moncef Slaoui est un ancien de GSK et le développeur de l’un des vaccins les plus génocidaires au monde, le Cervarix. Moncef Slaoui, un collaborateur de Bill Gates, a fait partie du conseil d’administration de Moderna et il détient toujours 10 millions de dollars de stock options dans ce laboratoire. [278]

N’est-il pas plus que temps de dénoncer le GatesGate? D’ailleurs, la presse corrompue – chargée d’oppresser le peuple – ne manque pas de lui apporter son soutien indéfectible. Le 18 avril, le journal Capital titrait “Bill Gates, première cible des complotistes” [281] tandis que le 15 mai, le journal L’Orient-le Jour titrait “Bill Gates, «poupée vaudou» des complotistes sur internet” [282].

Quelques jours plus tard, le journal l’ImMonde – lui-même financé à hauteur de millions d’euros par Bill Gates [280] – se missionnait pour prendre la défense de ce grand philanthrope vaccinateur, Transhumaniste et Eugéniste, dans un article intitulé “Coronavirus : comment le milliardaire américain Bill Gates cristallise la haine des complotistes”. [279]

Comment l’Eugéniste Bill Gates cristallise-t-il la haine des complotistes? Tout simplement en jouant à la “poupée vaudou” avec l’intégralité des Peuples de la Planète – en les criblant, en les transperçant, en les dardant de vaccins génocideurs.

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Sommaire

Introduction

1. L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles

* L’Agriculture cellulaire chimérique… et contre-Nature: une définition toute en simulations

* L’Agriculture cellulaire chimérique: en quête de bio-masse “naturelle”… permettant de produire de la bio-masse synthétisée… afin de produire des aliments cellulaires.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: au secours de la Planète et du Climat.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: le Grand Remplacement comme solution finale pour l’élimination de tous les présumés, et prétendus, virus pathogènes qui seraient colportés par les animaux d’élevage.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: les acteurs simulateurs.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: les investisseurs.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: une incubation agressive orchestrée par Bill Gates et autres organisations eugénistes.

* L’Agriculture cellulaire chimérique: une communication médiatique toute en simulations.

2. Les Agricultures Mondiales Assignées à Résidence au Prétexte d’une Pandémie Coronavirulente Inexistante

* Le confinement coronaviral tue en affamant les populations.

* Confinement des travailleurs migrants saisonniers dans leur “sud” natal.

* Des exportations de céréales sous haute surveillance.

* Une “Grippe Porcine Africaine” orchestrée pour annihiler des millions de petits éleveurs?

* En raison du confinement coronaviral, les prix des denrées alimentaires sont déconfinés.

3. Destruction de l’Agriculture/Elevage, aux USA, au Prétexte d’une Pandémie Coronavirulente Inexistante

* Destruction programmée de l’agriculture/élevage aux USA

* Destruction Pandémique des chaines de production de viande aux USA

* Destruction Pandémique des récoltes agricoles aux USA

4. Faillite de l’Agriculture Mondiale due au Grand Minimum Solaire de 2019 à 2055

* Les périodes de Grand Minimum Solaire peuvent perdurer durant des dizaines d’années.

* Dévastation des récoltes agricoles par des nuées de trillions de sauterelles

* Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires?

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Introduction

Durant l’automne de l’an passé, le 11 octobre de l’An 01 des Gilets Jaunes, je publiai le premier épisode de ma séquence “2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires” que j’intitulai “La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs: un Prétexte pour le Grand Remplacement?” [16] Son objectif était de lancer l’alerte quant à la destruction programmée de l’agriculture afin de la remplacer, progressivement, entre autres innovations chimériques et simulatrices, par des “aliments” produits dans des méga-usines à insectes.

Les Muses m’avaient, alors, soufflé aux oreilles que les insectes n’étaient pas les seuls à être assujettis, prochainement, à des camps de concentration protéique… et c’est ainsi que ma plume s’épancha à égrener le chapelet d’ignominies que la Macronie déliquescente réservait, quelques mois plus tard, au Mouvement des Gilets Jaunes et à tout le reste du Peuple Français… sans oublier les 650 drones que le sinistre Castaner vient, juste, de commander [17] pour mieux espionner le camp de concentration, à ciel fermé, en lequel la France s’est métamorphosée afin de mieux confiner son bétail humain. Voici, donc, ce que j’annonçais, sur mode prophétique, sans omettre, même, le demi-million de contraventions infligées au Peuple Français par la flicaille de Castaner – pour raisons de rupture de confinement et pour irrespect des mesures ignominieuses dénommées “distanciations sociales” et “gestes barrières”.

Ces concentrés protéiques sont destinés à la consommation humaine de masse – et donc des masses populaires, les Sans-Dents de plus en plus pauvres. Ils sont également destinés à l’alimentation des animaux – bovins, porcs, poissons et autres crevettes – produits dans d’autres méga-champs de concentration afin de nourrir (à savoir, empoisonner à petit feu) les animaux entassés dans les mégapoles –

à savoir les futurs camps de concentration de l’Etat Français dotés de toutes les technologies “smart” : 5 G omniprésente, surveillance, reconnaissance faciale, fichiers généralisés, robots-cops… et autres contredanses si trop de dissidences!

En effet, au vu de l’orchestration très concertée et hyper-accélérée – en l’espace de quelques semaines – de leur dictature mondiale concentrationnaire, confinante, vaccinaliste et digitale, il est clair que les Autorités criminelles et psychopathiques avaient déjà projeté, depuis de très nombreuses années, leur opération psychologique spéciale d’amplitude planétaire: une fausse pandémie véhiculée par un virus fantôme dénommé le CoqueVide/19 – CoYid/2019 ou Covid/1984.

Dès le mois de mars 2018, j’avais même batifolé sur les thèmes de la coque vide, du coq Gaulois châtré, de la dictature vaccinale universelle, des lignes blanches que les gallinacés sont invitées à ne pas transgresser au prétexte de la distanciation sociale… dans mon Canto “Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale!”. [72]

Je l’ai, même, dénommé le “CouilleVide/19”… de par la veulerie abjecte d’une grande partie du peuple subjuguée par les “experts” en manipulation sociale – qui se réfèrent à d’autres “experts” scientifiques qui ne sont que des crapules abjectes corrompues par la Pharmacratie – et les Banksters globalistes et eugénistes.

Avez-vous remarqué que, le 13 avril 2020, lors de sa dernière allocution présidentielle, visant à conférer une nouvelle allocation résidentielle, le Maqueron des Elus – un Manu Militari sous franchise des Banksters – a affirmé, très ouvertement, que le virus était “invisible”? Les serpillères politiques, et autres Guignols de l’Intox, adeptes de la dissonance cognitive perverse, sont, en effet, très enclins à interdire aux Peuples de percevoir… ce qui n’existe point!

Avez-vous remarqué que les tortionnaires de la Macronie font royalement fi des consignes inhumaines et dictatoriales qu’ils imposent à leurs concitoyens – tel Castaner dégustant des huitres, le 16 mai 2020, [318] sans masques et sans distanciation sociale – sur la plage de Veules-les-Roses. L’huitre symbolise la beauté, l’érotisme et la libido. Qu’attend, donc, le Peuple Français pour se dépouiller de sa veulerie et pour sortir de sa coquille afin de déployer ses perles révolutionnaires?

Dans cet essai, de 2019, sur “La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs” – qui, en fait, constituait le troisième article que je consacrais à ce thème depuis juillet 2016 [73] [74] – j’annonçais que l’Industrie avait déjà commencé à investir dans une toute nouvelle révolution agricole: les fausses viandes de l’Agriculture Cellulaire Chimérique promues par un nouveau concept très innovateur – sinon innova/tueur – le Néomnivorisme. Voici donc, en première partie de ce présent essai, sur “La Guerre Alimentaire des Transhumanistes Eugénistes pour Affamer les Peuples”, le dossier sur les fausses viandes cellulaires que je souhaitais rédiger afin de compléter mon exposé sur les fausses viandes à base d’insectes.

Le 20 mai 2020, la Commission Européenne a annoncé sa nouvelle “Farm to Fork (F2F) Strategy”, à savoir sa nouvelle stratégie de la Ferme à la Table – pour sauver la Planète et le Climat. Ce nouveau programme va se focaliser sur «l’accroissement de la disponibilité et de la production de protéines alternatives telles que les substituts de viande et les protéines produites à partir d’insectes, de plantes, de micro-organismes et d’organismes marins». [305] L’une des clauses prévues de cette nouvelle stratégie, dans le cadre du New Green Deal, à savoir celle de «stopper la stimulation de production et de consommation de viande», a été supprimée de la version finale… En attendant une nouvelle version encore plus contraignante ou un lobbying plus agressif de la part de l’ONG “International Platform of Insects for Food and Feed” ou de la part de l’ONG “Compassion in World Farming EU” dont la directrice, Olga Kikou, pleurnichait quant au fait que des éléments ambitieux de ce programme avaient été supprimés à la dernière minute. [306]

Depuis quelques années, seuls cinq pays Européens (Belgique, Norvège, Finlande, Royaume-Uni et Danemark) ont permis la vente de nourriture à base d’insectes. Cependant, dans les semaines à venir, l’AESA – l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments – est sur le point de donner son autorisation pour la commercialisation de ce type d’aliments dans tous les pays Européens. [75] Faut-il préciser que l’AESA est une structure mafieuse totalement à la solde de l’Industrie Agro-Pharma, et des multinationales nécro-technologiques? Sa mission est, en effet, de promouvoir et de sécuriser, légalement, l’insécurité et l’empoisonnement alimentaires des Peuples d’Europa.

L’un des objectifs de ce Grand Remplacement est de produire, en Europe, pour la nourriture des animaux d’élevage Européens, de 3 à 5 millions de tonnes de protéines d’insectes d’ici 2035. [294] Cette nouvelle stratégie annonce également vouloir diminuer la production de soja sur des terres déforestées. Ce n’est manifestement qu’un voeu pieux… car une grande partie des fausses viandes, à base de plantes est, bien évidemment, basée sur le soja universel. L’abandon de la viande, selon les technocrates corrompus de la Commission Européenne, serait, également, pour diminuer l’impact des pathologies humaines mortelles. Sans commentaires… car cela dépasse le cadre de ce dossier succinct.

Le 20 mai 2020, également, la toute nouvelle ONG, “Upcycled Food Association”, créait un nouveau front regroupant les industriels de l’alimentation, des ONGs “humanitaires” (telle que l’eugéniste WWF) et des universités (Harvard, Drexel, etc), afin de définir le tout nouveau concept de “upcycled food” – à savoir de “nourriture surcyclée”! Non, cela n’a rien à voir avec la nouvelle révolution de la bicyclette promue par la Macronie déliquescente, et très élimée, pour amuser les foules en sortie de confinement suicidaire. La définition officielle est comme suit: «Les aliments surcyclés utilisent des ingrédients qui, autrement, n’auraient pas été introduits dans la chaine alimentaire; qui sont produits, et rendus accessibles, au travers de chaines d’approvisionnement vérifiables; et qui génèrent un impact positif sur l’environnement.» [311] [312] Au prétexte, très louable, de limiter le gaspillage de nourriture au monde. En 2019, l’ONG Future Market Insights publia un rapport stipulant que la “nourriture surcyclée” représentait un chiffre d’affaire de 46 milliards de dollars. C’est dans cette optique que l’industriel Tyson Foods avait proposé un nouveau produit dénommé Yappah composé de croustillants de protéine surcyclée. [313]

Avec ou sans nuage de lait de cafard dans votre café du matin? [314] La café latte fait, ainsi, place au café blatte… afin de sauver le Climat de la Fournaise!

Alexander Holst, l’un des obligés de Bill Gates et le directeur de l’ONG “Good Food Institute Europe” s’exprima dans un état de béatitude extatique: «les protéines alternatives, telles que la viande végétale ou la viande cellulaire, jouent un rôle essentiel dans la transition de l’Europe vers un système de production plus soutenable, plus sain et plus juste» et il ajouta que ces fake viandes représentent «une opportunité commerciale majeure pour l’Europe d’orchestrer un rétablissement authentiquement vert de la récession du Covid/19». Sic.

What the Fake is Going on?

En décembre 2019, Kirsten Dunlop, la présidente de l’organisation technocratique dénommée “European Institute of Innovation and Technology Climate Knowledge and Innovation Community” [249] (tous aux abris!) a prédit que les protéines à base d’insectes seraient bientôt hissées au rang de “super-aliment” – au même titre que la quinoa et le kale, à savoir le chou frisé – dans le cadre d’une agriculture décarbonée qui va sauver le Climat… et qui va participer à la nécessité impérieuse de “re/sauvager” l’Europe (sic). [248]

En parlant de “re/sauvager” l’Europe, la première urgence ne serait-elle pas de débarrasser notre continent de la pandémie génocidaire de tous les cultes religieux pernicieux, issus du virus monothéiste extra-terrestre, qui ont persécuté et martyrisé les Peuples Païens et Animistes d’Europa – depuis près de deux millénaires?

1. L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles

L’Agriculture cellulaire chimérique… et contre-Nature: une définition toute en simulations.

Selon les définitions promues par ses chiméristes, “l’agriculture cellulaire” se distingue de l’agriculture traditionnelle de par le fait qu’elle opère sur le plan cellulaire et non pas sur le plan organique.

Dès le début, il s’avère peu aisé de ne pas sombrer dans un piège sémantique car “agriculture” signifie “culture des champs” – du Latin “cultus”, “colere”, etc – au moyen d’une technologie fondée sur un soc de charrue ou “couteau” – du Latin “cultellus”, “culter”, etc. Ces deux termes, agri/culture et couteau, sont ainsi très proches quant à leur racine Proto-Indo-Européenne, à savoir “kwel”. L’association de termes “agriculture cellulaire” constitue, ainsi, une aberration flagrante… un oxymore promouvant des aliments mort-vivants – des aliments zombie pour une zombification accélérée des populations.

Cela signifie que l’agriculture/élevage traditionnelle fonctionne avec des êtres vivants – des organismes composés d’organes tels que des animaux, des plantes, des champignons – tandis que “l’agriculture cellulaire” est fondée sur la “culture” de cellules en cuves. Ces cuves sont, également, dénommées des “cultivateurs”, des “bio-réacteurs”, des “bio-fermenteurs”…

Il est a remarquer que le terme “cultivateur” autrefois utilisé pour qualifier des paysans, des agriculteurs, des fermiers est, aujourd’hui, utilisé, dans l’agriculture cellulaire et chimérique, pour désigner des cuves stériles, hygiéniques et irréprochables, selon les chiméristes, d’un point de vue sanitaire… Tout autant irréprochables que les vaccins de l’eugéniste Bill Gates et de la Pharmacratie génocidaire? Je renvoie les lecteurs intéressés, par cet autre aspect de l’eugénisme criminel, à mon essai “Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire”. [191]

La dénomination “agriculture cellulaire” a été proposée, en 2015, par Isha Datar, le directeur de l’organisation US, New Harvest. Selon la propagande de ces lobbyistes chiméristes, il existe deux formes d’agriculture cellulaire selon qu’elle ait recours à des tissus ou à des fermentations. La première forme est qualifiée d’agriculture cellulaire tissulaire. Elle produit, par exemple, de la viande au travers d’un processus d’ingénierie tissulaire. Cette viande est alors libellée de diverses façons: “viande cellulaire”, “viande cultivée”, “viande in vitro”, “viande synthétique”, “viande artificielle”, “viande de laboratoire” ou, encore, “viande propre”. Elle est même qualifiée de “viande en 3D”… ce qui explique que des start-ups dans le secteur de la viande cellulaire s’allient avec des entreprises dans le secteur de l’impression en 3D.

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “new green deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?

Cette agriculture cellulaire a pour objectif d’extraire des cellules, à partir d’animaux vivants ou récemment décédés, et d’en contrôler la prolifération et la différenciation cellulaires dans le but de produire de la masse cellulaire – par exemple du muscle ou du gras.

Quelles cellules sont extraites? Des cellules souches embryonnaires, des cellules souches totipotentes, des cellules souches pluripotentes, des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription), des cellules souches adultes, des cellules souches multipotentes, des cellules souches satellites.

La seconde forme est qualifiée d’agriculture cellulaire par fermentation. Elle produit, par exemple, des substances dérivées d’animaux, tels que du lait, du cuir ou du blanc d’oeuf à partir de technologies de fermentation impliquant de l’ADN recombinant.

Elle produit, également, des cannabinoïdes afin de mettre la production de dérivés de cannabis totalement sous le joug de la Pharmacratie.

Elle produit même de l’Artémisinine à partir de levures chimériques afin, surtout, de ne pas laisser aux Peuples la gestion directe de leur santé en cultivant eux-mêmes l’Artemisia annua dans leurs jardins familiaux. [237] A ce sujet, rappelons que l’Association militante Kokopelli a distribué, en 2019, plus de 100 000 sachets gratuits de semences de cette plante miraculeuse – pour le traitement, et la prévention, de la Malaria et d’une pléthore d’autres pathologies. [238] Je renvoie les lecteurs vers mes diverses monographies sur cette Plante Médicinale Maitresse. [239] [240] [241]

Cette agriculture cellulaire par fermentation implique, donc, le recours à des levures chimériques, des algues chimériques ou des bactéries chimériques – à savoir modifiées génétiquement – qui, lorsque fermentées dans des sucres, produisent des molécules organiques qui sont, ensuite, processées afin d’élaborer les produits sus-dits – afin de les “bio-fabriquer” selon le terme anglais utilisé par les chiméristes.

L’agriculture cellulaire a pu faire, ces dernières années, des avancées fulgurantes car la technologie sur laquelle elle se fonde, tant sur le plan des processus chimériques que des substrats de culture ou des fermenteurs, a été développée et améliorée, depuis quelques dizaines d’années, par la Mafia Pharmacratique pour la confection de remèdes, de vaccins et autres anti-corps.

La fake viande confinée en cuves stériles… Bon appétit!

L’Agriculture cellulaire chimérique: en quête de bio-masse “naturelle”… permettant de produire de la bio-masse synthétisée… afin de produire des aliments cellulaires.

La question essentielle que puisse se poser tout individu décent, ayant autre chose que des petits pois dans le cerveau: peut-on produire de la bio-masse alimentaire ex nihilo? En effet, l’agriculture cellulaire gît-elle, donc, dans le même syndrome hallucinatoire que les Big Bangistes – les propagateurs du Big Bang – qui affirment que l’Univers est né, spontanément, il y a quelque 14 milliards d’années et des poussières cosmiques… si l’on veut bien leur accorder un premier petit miracle comique, à savoir que le Tout puisse émerger du Rien.

Selon la communication hystérique de l’entreprise Française Gourmey, par exemple, qui produit du foie gras cellulaire, ses “cultivateurs”, à savoir ses cuves de fermentation, constituent, carrément, des “Paradis pour cellules”. Gourmey produit du fake foie gras confectionné à partir de cellules de vrais canards qui sont, ainsi, gavées en “cuves paradisiaques” – les cellules, pas les canards.

On peut supposer que l’expression “Paradis pour cellules” fait référence aux racines étymologiques du terme “Paradis” issu du Grec “Parádeisos”, lui-même issu de l’Avestique “Paiṛidaēza” qui est corrélé au Persan “Pardêz”. Tous ces termes signifient, avant tout, “enclos”, “espace clos” et “enclos pour animaux” – et par extension “jardin”. C’est ainsi que sous les diktats confinants de l’immonde Macronie, toute la France s’est transformée, instantanément, en un immense enclos, en une immense prison… pour les troupeaux humain: un paradis pour Goyims tellement anesthésiés par les médias de la propagande officielle qu’ils en “cuvent” leur peur distillée, inexorablement, par les écrans de télé/fission neuronale.

Cette entreprise chimériste Française déclare ainsi: «Nous plaçons ces cellules dans notre cultivateur où elles profitent de conditions idéales. Température parfaite, nutriments basiques et naturels et de l’espace pour se développer. Les cellules se multiplient naturellement et nous récoltons… du vrai foie gras de canard».

A noter, dans ce court paragraphe, les quelques adjectifs et adverbes, que je mets en gras, dont la mission anesthésiante est de commercialiser du fake, de la simulation: à savoir de l’alimentation chimérique, synthétique et hyper-industrielle – produite en cuves paradisiaques! La suite de cet essai va mettre en exergue ô combien peu naturels sont les composants de la soupe dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques!

Comment sont nourries les cellules de canard, chez Gourmey? Quasiment comme des canards selon ce qu’il en est dit sur leur site de propagande: «Nous donnons aux cellules les nutriments les plus basiques dont elles ont besoin. Les mêmes que l’on retrouve dans l’alimentation naturelle du canard lorsqu’il mange de l’avoine, du maïs ou de l’herbe. Il s’agit de protéines, de lipides ou encore de vitamines. Bien sûr, aucun produit potentiellement toxique pour la consommation n’entrera dans notre procédé de fabrication ! ».

L’expression “potentiellement toxique” n’est-elle pas admirable de dissonance cognitive? A l’image du CoqueVide/19 dont la “toxicité potentielle” a été échafaudée par des crapules prophétisant des dizaines, ou même des centaines, de millions de morts – les mêmes crapules et “experts scientifiques” qui avaient annoncé la fausse pandémie de 2009/2010 qui généra des milliards de dollars de vaccins pour la Pharmacratie.

L’une de ces crapules criminelles est le Professeur Neil Ferguson, au Royaume-Uni – l’un des hommes de paille de l’eugéniste Bill Gates, le grand ami de Jeffrey Epstein. Ce charlatan est l’instigateur du confinement inconditionnel et des mesures strictes de distanciation sociale pour la planète entière. [79] Neil Ferguson a démissionné, le 5 mai 2020, de son poste de directeur du conseil scientifique britannique pour les situations d’urgence, suite au scandale provoqué par la révélation de visites “illégales”, car irrespectueuses du confinement, de sa maîtresse à son domicile Londonien. [109]

C’est le même Neil Ferguson qui, lors de l’épisode de fièvre aphteuse au Royaume-Uni en 2001, exigea que 6,5 millions de têtes de bétail soient euthanasiées sans aucune raison valable; qui, lors de l’épisode de “maladie de la vache folle”, pronostiqua la mort de 150 000 Britanniques (il y en eut 157); qui, lors de l’épisode de grippe aviaire de 2005, déclara que 200 millions de personnes allaient mourir de par le monde (il y en eut 455); qui, lors de l’épisode de grippe porcine de 2009, pronostiqua la mort de 65 000 Britanniques (il y en eut 283) et encouragea le gouvernement UK à propulser le vaccin toxique, Pandemrix, de GlaxoSmithKline qui détruisit le cerveau de milliers de personnes, principalement des enfants.

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation?

Voici un exemple, issu de la pharmacie cellulaire chimérique, permettant de mieux illustrer les abominations de notre fin de civilisation. La production cellulaire de thrombopoïétine – une hormone humaine normalement synthétisée par le foie et les reins – est élaborée dans des cuves contenant des cultures en suspension de cellules chimériques (recombinantes) d’ovaires du Hamster de Chine (Cricetulus griseus). Ces cellules sont nourries avec des hydrolysats provenant de levures, de riz, de soja ou de gluten de blé ainsi que le met en exergue cette étude, de 2004, intitulée “Yeast hydrolysate as a low-cost additive to serum-free medium for the production of human thrombopoietin in suspension cultures of Chinese hamster ovary cells”. [40]

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments.

Grosso modo, afin de proliférer en cuves, les cellules mammaliennes ont besoin, comme plats de résistance, de glucose et de glutamine ainsi que d’acides aminés et de lipides. Et pour les hors d’oeuvre et desserts, il leur faut une belle diversité de métaux, de sels minéraux, d’hormones, de protéines de diverses classes, de polyamines, de vitamines, de cytokines et de facteurs de croissance…

Les hydrates de carbone communément utilisés sont avant tout le glucose, mais aussi, dans une moindre mesure, le galactose ainsi que le fructose et le maltose. Quant aux lipides, le cholestérol est particulièrement important car il facilite la signalisation cellulaire et le transfert intracellulaire. En ce qui concerne les métaux, ce sont surtout le fer, le cuivre, le zinc et le sélénium qui sont indispensables. Pour ce qui est des sels inorganiques, ce sont le calcium, le magnésium, le potassium et le sodium. Pour ce qui est des polyamines, ce sont la spermidine, la spermine et la putrescine. Pour ce qui est des protéines porteuses, ce sont l’albumine, la transferrine et la lactoferrine. La culture de cellules in vitro bénéficie, également, de l’apport de ces autres protéines que sont la fibronectine et la laminine. Enfin, il ne faut pas oublier les hormones (glucagon et insuline, par exemple) et les facteurs de croissance (épidermique, nerveuse, du fibroplaste, dérivé des plaquettes, etc).

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire: le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

D’ailleurs, tous aux abris: son altesse psychotique du Réchauffement Climatique Anthropique™, au dioxyde de carbone, Greta Thunberg, vient de remonter sur scène pour implorer le monde de lutter, conjointement, à l’encontre de la fausse pandémie de l’inexistant CoqueVide/19 et à l’encontre de la fausse alerte d’un réchauffement climatique tout autant inexistant. [51] Dernièrement – car l’été arrive – certains journalistes à la botte, et nourris à la botte de foin avarié, n’hésitent pas même à déclarer que le Réchauffement Climatique™ est l’un des facteurs aggravants de la fausse pandémie de CoqueVide/19…

A cet effet, les cyanobactéries constituent une source de nourriture potentielle – car elles contiennent jusqu’à 70% de protéines. On leur ajoute, alors, des vitamines et, surtout, des “vecteurs de croissance animale”, à savoir des bactéries chimériques (génétiquement modifiées) de l’espèce Escherichia coli.

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour leur culture: nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [39]

Ces cyanobactéries peuvent être cultivées dans des réservoirs à ciel ouvert et elles sont “alimentées” avec de l’azote de synthèse ou avec des eaux riches en nutriments, par exemple les eaux dites “usées” dénommées également “effluents liquides” – un doux euphémisme pour décrire des eaux polluées.

Ne serait-ce pas l’occasion rêvée, pour les Autorités et la Mafia agro-alimentaire, de se parer vertueusement de respectabilité écologique en “recyclant”, au coeur des cuves de nourrissement des cyanobactéries – qui elles-mêmes nourrissent les cellules de fausse viande – toutes les eaux usées, les boues d’épandage et, bien sur, tous les lisiers provenant de l’élevage industriel… du moins tant qu’il existera des cochons et des bovins élevés pour la viande dans la mesure où l’objectif de la viande cellulaire est, justement, de les éliminer, à jamais, de la chaine alimentaire.

Quant au lisier humain, si les transhumanistes de l’agriculture cellulaire veulent l’utiliser pour leurs cuves de nourrissement des cyanobactéries, ils vont devoir entrer en compétition avec les promoteurs de l’agriculture toxique… En effet, en Australie, les fertilisant peuvent coûter entre 200 et 1500 dollars la tonne (tourteau de luzerne, fumier de poule, etc) et les agronomes locaux ont “découvert” qu’ils pouvaient recycler le lisier humain en plein champ (après un traitement industriel) afin d’obtenir jusqu’à 65% d’accroissement de productivité pour le blé, par exemple. Outre l’aspect fertilisant direct du lisier humain, les agronomes ont “découvert” que cet apport permettait d’assouplir, à une profondeur de 30/40 cm, les sols très argileux de l’Australie. [159]

En France, la compétition quant à l’usage privilégié des boues d’épandage, et autres lisiers, sera moins féroce, pour les éleveurs de cyanobactéries, car il paraitrait, même, que les Hautes Autorités Sanitaires Françaises (tous aux abris!!) commencent à débuter à suspecter que l’on pourrait en arriver, tranquillement, à concevoir que, selon le titre de l’ImMonde, “Les épandages agricoles sont à l’origine de pollution aux particules fines dont des études montrent qu’elles aggravent la mortalité du Covid-19”. [203]

Les cellules en cuves peuvent être alimentées, également, par les peptides et les acides aminés obtenus par hydrolyse de soja; ou par les glucoses extraits de l’amidon de maïs.

Le glucose de maïs s’obtient à partir d’amidon de maïs processé à l’aide de quelques substances industrielles: de la chaux, de l’acide sulfurique, du chlore, de l’hydroxyde de sodium (soude caustique) et des enzymes (α-amylase et glucoamylase).

Il fut un temps, récent, où la moitié du maïs cultivé – aux USA, par exemple – était utilisé pour l’élaboration de nécro-carburants. Voir mon article de 2007: “Mettez du sang dans votre moteur! La tragédie des nécro-carburants”. [192] De par le confinement généralisé, planétaire et dictatorial, de par la destruction programmée de l’économie mondiale – et pour d’autres raisons géo-politiques – les cours du pétrole se sont effondrés en 2020… ce qui provoque une faillite de tout le secteur des nécro-carburants à base de maïs. Ce secteur, archi-subventionné, était déjà très mal en point, auparavant, de par son coût extrêmement élevé.

On peut, ainsi, imaginer qu’une partie de la production du maïs (qui survivra aux épisodes de gelées, de neiges et d’inondations du présent Grand Minimum Solaire) va être, expressément, redirigée pour la production de glucose au service de l’agriculture cellulaire chimérique en cuves. Ainsi, ce maïs, au lieu de se retrouver dans des réservoirs d’automobiles, va se retrouver dans des réservoirs à viande cellulaire.

Les mycoprotéines constituent, également, une autre source de choix pour l’agriculture cellulaire. Dans les années 1970, la compagnie Anglaise RHM, Rank Hovis McDougall, étudia les capacités de milliers d’espèces de champignons à croître dans des cuves de glucose. Après 15 années de recherches et un partenariat avec Imperial Chemical Industries – et après un milliard de livres sterling d’investissements – une autorisation de mise sur le marché fut conférée par le gouvernement UK, en 1984, à la nouvelle entreprise Marlow Foods.

Durant la même période, RHM et Imperial Chemical Industries collaboraient à la production d’un produit protéiné (à 72%), dénommé Pruteen™, dans un bio-fermenteur de 80 mètres de hauteur et d’une capacité de 1500 tonnes. Pruteen était confectionné à partir d’un micro-organisme aérobique, la bactérie Methylophilus methylotrophus, croissant dans du méthanol.

Ainsi, depuis 1985, de la viande végétarienne – sous la marque Quorn™ – est produite à partir de mycoprotéines, à savoir des protéines fermentées, en cuves, à base de champignons filamenteux de l’espèce Fusarium venenatum – un champignon découvert, en 1967, sur de l’ergot de seigle. Les produits Quorn sont distribués, au Royaume Uni, par la chaine de supermarchés Sainsbury, une filiale de la multinationale Monde Nissin des Philippines.

Aujourd’hui, le champignon filamenteux Fusarium venenatum est cultivé, dans une usine du nord de l’Angleterre, par des bio-réacteurs de 40 mètres de hauteur qui produisent 60 tonnes de mycoprotéines, quotidiennement. Le processus de fermentation dure un mois jusqu’au point où l’accumulation de mutants filamenteux, courts et hyper-ramifiés, risque d’impacter la qualité du produit. A sa sortie du fermenteur, le bouillon fongique est processé par de la chaleur afin de réduire le contenu en ARN. Il est ensuite centrifugé afin d’éliminer la partie liquide et de ne conserver qu’une sorte de pâte qui est alors mélangée avec des arômes et une protéine (généralement du blanc d’oeuf), afin d’aligner et de croiser les hyphes. La pâte obtenue est chauffée de nouveau, refroidie et congelée afin de lui donner l’apparence d’une viande fibreuse telle que celle d’un muscle.

C’est du sirop de glucose pur qui est utilisé comme principale source de carbone pour la croissance de ce champignon à mycoprotéines, le Fusarium venenatum. En sus de glucose pur, ce champignon est alimenté avec des sels purifiés, de l’ammoniaque et des vitamines B (Biotine et Choline). Pour produire 1 kg de mycoprotéine, il faut environ 2 kgs de blé (dans le cas de la production de Quorn en Angleterre) ainsi que 2000 litres d’eau.

Les lecteurs anglophones passionnés par le sujet de l’alimentation à base de champignons, de bactéries et autres micro-organismes sont invités à consulter l’étude très précise du chercheur Suédois, Tomas Linder, qui est intitulée “Making the case for edible microorganisms as an integral part of a more sustainable and resilient food production system”. [52]

Quelle est la provenance de ce sirop de glucose? C’est, bien évidemment, l’agriculture en plein champ qui produit du blé, du maïs, de la betterave à sucre ou de la canne à sucre. Les propagandistes de cette viande de champignon vantent le fait qu’1 kg de mycoprotéine contient beaucoup plus de protéines que les 2 kgs de blé utilisés pour son élaboration – grâce au processus de fermentation. Mais à quel prix technologique?

D’ailleurs, certains propagandistes des mycoprotéines évoquent la possibilité de nourrir directement le champignon Fusarium venenatum avec une soupe comprenant de l’acide acétique, de l’ammoniaque ainsi que des sels minéraux et des oligo-éléments. Les plus lobotomisés d’entre eux – ceux qui sont convaincus que le dioxyde de carbone est un poison violent réchauffant l’atmosphère – évoquent même, la possibilité de synthétiser chimiquement de l’acide acétique, à partir de dioxyde de carbone, afin de produire de la viande de mycoprotéines. Et ce afin de dissocier la production d’une telle viande fongique des processus de photosynthèse et du recours à des terres arables.

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [53] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine favorise la croissance des cellules requérant un haut niveau d’énergie et elle synthétise de grandes quantités de protéines et d’acides nucléiques. C’est, ainsi, une source d’énergie alternative pour induire une prolifération rapide de cellules – et surtout celles qui ne métabolisent pas le glucose de manière assez performante.

La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten.

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [41] Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années?

Si d’aucuns prétendent que l’agriculture cellulaire est tout ce qu’il y a de plus naturel, il n’est que de consulter les brevets déposés, par exemple, par Memphis Meat, l’une des entreprises très financées par Bill Gates, pour prendre conscience que tout ce système ne fonctionne que grâce à de la chimérisation, à savoir grâce à des modifications et manipulations génétiques – parfois dénommées “transgéniques”. [42] [43] En effet, l’un des problèmes rencontrés dans les cuves de cultures cellulaires industrielles est la production d’ammoniaque générée par la respiration cellulaire qui s’avère toxique lorsqu’elle n’est pas contrôlée. L’un des brevets de Memphis Meat concerne donc la sur-expression de la glutamine synthétase, une enzyme transformant l’ammoniaque en glutamine. Mais tout cela reste de la haute voltige car, comme un gène peut contrôler l’expression de plusieurs protéines, la sur-expression de la glutamine synthétase peut altérer l’expression d’autres protéines.

Par conséquent, si tant est qu’un public de bobos, et autres babas cools d’obédience Thunbergiste, préfère, pour sauver le Climat, consommer de la fausse viande “non OGM”, ils devront désélectionner Memphis Meat, de leur panier de provisions, car leur fake viande est résolument chimérique.

Memphis Meats a déposé d’autres brevets impliquant, strictement et exclusivement, des techniques de chimérisation [44] [45] et il en est de même pour l’entreprise Wild Type qui produit du saumon cellulaire ainsi que du foie gras cellulaire. Le brevet de Wild Type présente un processus dont l’objectif est de modifier génétiquement une cellule afin d’en exprimer un gène intéressant (par exemple pour empêcher la différenciation et favoriser la prolifération) et, subséquemment, d’éliminer ce gène de la cellule – afin de pouvoir présenter, commercialement, le faux poisson ou le faux foie gras comme non OGM. [46] Les processus de chimérisation utilisés par Memphis Meats ou Wild Type incluent le recours aux antibiotiques doxycycline et tétracycline.

Wild Type a, également, identifié le glucomannane provenant de l’espèce Amorphophallus konjac, de l’Asie du sud-est, comme un matériau prometteur d’échafaudage comestible de ses chairs cellulaires.

Ils devront, également, désélectionner l’entreprise Impossible Foods dont la fausse viande est confectionnée avec une protéine dénommée léghémoglobine – permettant de conférer à cette fake viande une saveur de vraie viande. Impossible Foods a développé, en effet, une souche de levure chimérique contenant un gène de soja afin de produire cette léghémoglobine recombinante. Elle est considérée, par la FDA, aux USA, comme “généralement reconnue comme sans risque” – selon la formule conventionnelle permettant de gaver les populations avec des chimères génétiques alimentaires.

Dans la Nature, la léghémoglobine a comme fonction de gérer l’accès à l’oxygène dans les nodules spécialisés présents dans les racines de soja, et d’autres légumineuses. Des bactéries symbiotiques, présentes dans ces nodules des Fabacées, ont comme mission de transformer l’azote atmosphérique en ammoniaque qui est subséquemment métabolisé par les plantes pour la production de protéines et d’acides nucléiques.

Ils devront, également, désélectionner l’entreprise Perfect Day qui utilise des levures chimériques, alimentées par du glucose, afin de produire des protéines de lait, telles que de la caséine et du petit lait, et donc des produits laitiers, sans substances animales. L’un des directeurs de Perfect Day précise que «Nous ne sommes pas là pour détruire l’industrie laitière. De nombreuses autres start-ups ont de tels objectifs plus militaristes».

Il est très clair qu’il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des vaccins de la Pharmacratie génocidaire.

Par conséquent, il est patent que c’est la même Mafia Agro-Pharma qui contrôle les chimères génétiques constituant l’un des fondements permettant de concocter des fausses viandes et autres faux produits laitiers. Et selon les aveux de certains protagonistes dans ce secteur, leurs objectifs sont authentiquement “militaristes” – à savoir qu’ils intentionnent, très sincèrement, de détruire l’agriculture traditionnelle.

Une étude, de 2015, intitulée “Anticipatory Life Cycle Analysis of In Vitro Biomass Cultivation for Cultured Meat Production in the United States” présente une liste des ingrédients basiques devant être inclus dans le médium de culture de la viande cellulaire. [47]

Au risque d’être impitoyablement exhaustif et extrêmement précis, la voici, dans toute sa simplicité complexe – afin de mettre en exergue que l’agriculture cellulaire n’est pas à la portée de tout jardinier amateur ou, même, de tout paysan chevronné. La liste suivante comprend plus d’une soixantaine d’intrants, dénommés “compléments alimentaires”. Bon Appétit et bonne Chance! Avec la fausse viande cellulaire, nous ne sommes pas au pays des Bisounours.

Acides aminés: Alanine, hydrochlorure d’Arginine, Asparagine, acide Aspartique, Cystine, acide Glutamique, Glutamine, hydrochlorure d’Histidine, Isoleucine, Leucine, hydrochlorure de Lysine, Méthionine, Phénylalanine, Proline, Sérine, Thréonine, Tryptophan, sel de disodium de Tyrosine, Valine.

Vitamines: Adénine, Biotin, chlorure de Choline, Pantothénate de Calcium, acide folique, Inositol, Niacinamide, hydrochlorure de Pyridoxal, Riboflavine, hydrochlorure de Thiamine, Vitamine B12.

Sels inorganiques: Ammonium métavanadate, chlorure de Calcium, chlorure de Cuivre, sulfate de Cuivre, citrate de Fer, nitrate de Fer, sulfate ferrique, sulfate de Manganèse, sulfate de Magnésium, acide Molybdique, chlorure de Nickel, chlorure de Potassium, nitrate de Potassium, bicarbonate de Soude, chlorure de Sodium, métasilicate de Sodium, phosphate dibasique de Sodium, sélénite de Sodium, chlorure stannique, sulfate de Zinc heptahydraté.

Autres intrants: Albumine, Dexaméthasone, Dextrose, Ethanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide Linoléique, Phosphatidylcholine, rouge de Phénol, Putrescine, Pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), Insuline humaine recombinante, Pyruvate de Sodium, acide Thioctique, Thymidine, Transferrine.

Il est hautement probable que les présentes, et futures, législations Européennes, ou Internationales, ne requièrent pas, des industriels de la viande cellulaire, qu’ils énumèrent la liste impressionnante des intrants “industriels” composant leur medium de croissance.

D’ailleurs, s’il en est de ces intrants industriels comme des antibiotiques et autres remèdes de l’allopathie, ils proviennent tous, quasiment, de Chine. Ceux qui prônent une production locale de viande cellulaire industrielle, au sein des mégapoles, sont des menteurs hypocrites, pollueurs et toxiques.

Le 22 mai 2020, deux jours après que la Commission Européenne ait publié sa nouvelle stratégie dictatoriale, de la Ferme à la Table, la Food and Drug Administration (FDA), aux USA, a annoncé une nouvelle mesure réglementaire permettant de modifier “temporairement” la liste des ingrédients, d’un produit alimentaire, sans en référer sur l’étiquetage – au prétexte de perturbations dans les systèmes de distribution en raison du CoYid/19! Et à condition, bien évidemment, que cela ne dépasse pas 2% du contenu total… ce qui conviendra fort bien aux vendeurs de fake viande afin de cacher aux yeux du public toutes les abominations synthétiques ou chimériques qu’ils y incluent – ou même non végan, par exemple, le sérum animal. [307] Un mois avant, le Ministère de l’Agriculture des USA (USDA) avait promulgué un décret permettant, “temporairement”, aux industriels de l’alimentation de ne pas noter, sur l’étiquetage, la provenance géographique de leurs ingrédients – au prétexte de perturbations occasionnées par le Coyid/19 dans l’acheminement des denrées alimentaires! [309]

A propos d’étiquetage, certains états des USA ont commencé à contre-attaquer à l’encontre des mansuétudes de la FDA vis à vis de la mafia industrielle qui se cache derrière les fake viande. Dans l’état d’Oklahoma, par exemple, un décret a été promulgué, l’an passé, interdisant aux industriels de la fake viande de libeller leurs produits en tant que “viande”. [308] Les états du Montana, du Dakota du sud, de l’Arkansas, du Mississippi, du Missouri en ont fait de même – à savoir les états dont l’économie est fondée, en partie, sur l’élevage intensif.

D’autant plus que ces industriels vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas divulguer la liste des substances “suspectes” que leur médium de culture pourrait receler. En effet, certains industriels de l’agriculture cellulaire, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet.

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [48] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [49]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

Les esprits curieux sont invités à consulter le blog de Tommaso Lucchesi qui présente un article très circonstancié, d’octobre 2019, sur les possibilités de remplacement, pour l’industrie agricole cellulaire, des sérums et extraits de foetus animaux: “Primer: FBS in cell-based meat R&D”. [54] Cet article surfe sur une étude publiée en 2010 et intitulée “Serum-free Cell Culture: The Serum-free Media Interactive Online Database”. [55]

On y apprend que la quantité de Sérum Foetal Bovin produite, de par le monde, n’est pas, franchement, connue mais qu’elle est estimée à 500 000 litres annuellement – provenant de plus d’un million de foetus bovins.

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [137] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains…

Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [142] [143]

J’invite, ainsi, les lecteurs anglophones souhaitant prolonger mes investigations, eu égard à la nature strictement bactérienne de la pandémie dénommée “Grippe Espagnole”, de 1918/1920, à consulter les essais publiés par Kevin Barry – le président de l’organisation anti-vaccinale, First Freedoms – sous le titre “Did a Vaccine Experiment on US Soldiers Cause the Spanish Flu?” [139] [140] Et à consulter, de même, l’étude publiée par Floor Haalboom, intitulée “Spanish flu and army horses: what historians and biologists can learn from a history of animals with flu during the 1918–1919 influenza pandemic”, commentant les travaux et hypothèses d’Emile Bemelmans (1878–1935), en Hollande, quant à l’étrange similarité entre les symptomes de la “grippe” chez les humains et une pathologie infectieuse de la poitrine chez les chevaux. [141]

«J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918. Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.» Doctoresse Eleanor McBean dans son ouvrage de 1977 “Swine flu Exposed”. [138]

Pour en conclure avec cette longue section sur l’agriculture cellulaire, précisons que les divagations et élucubrations “nutritionnelles”, des eugénistes et des transhumanistes, n’ont, comme l’affirment certains, que le ciel pour limite. Les deux eugénistes forcenés, Bill Gates et Al Gore, viennent, au travers de leurs fonds d’investissements, respectivement Breakthrough Energy Ventures et Generation Investment Management, de financer, à hauteur de 80 millions de dollars, la société Nature’s Fynd (anciennement Sustainable Bioproducts). Parmi les investisseurs se trouvent les multinationales Danone et Archer Daniels Midland Company (ADM). En 2018, Nature’s Fynd avait déjà levé 33 millions de dollars d’investissements.

L’objectif de cette entreprise de l’agriculture cellulaire est d’élaborer, par des processus de fermentation, des protéines permettant de confectionner des boissons, des fausses viandes ou des faux produits laitiers, à base d’un micro-organisme fongique découvert, par des chercheurs de la NASA, dans les sources géothermales du méga-volcan du Yellowstone, aux USA. L’équipe dirigeante vient d’accueillir, dans ses cadres, Tony Vernon, l’ancien directeur du groupe alimentaire Kraft Foods/Mondelēz International et ancien administrateur de WhiteWave Foods – une société très impliquée dans les laits végétaux (Silk et So Delicious) et qui fut rachetée par la multinationale Danone en 2017. [189] [190]

La production des mycoprotéines volcaniques “vegan”, de Nature’s Fynd, a débuté fin mars 2020, à Chicago, avec en perspective une centaine d’employés d’ici la fin de l’année. Le micro-organisme découvert contient les 9 acides aminés essentiels ainsi que des fibres, du calcium et des vitamines. Ce micro-organisme fongique extrêmophile a été dénommé Fusarium str. yellowstonensis.

Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, les mycoprotéines volcaniques, de Nature’s Fynd, sont nourries, également, avec du glucose, sur des plateaux disposés dans des chambres de fermentation. Selon les prétentions de son fondateur, Thomas Jonas, son installation de 3500 mètres carrés, à Chicago, peut produire autant de burgers que 8000 hectares de pâturages à bovins destinés à la viande – mais avec seulement 1% de la terre, 1% des “émissions de gaz de serre” et 10% de l’eau. Cela voudrait dire que 80 hectares de production de maïs, pour le glucose, seraient suffisants pour produire la même quantité de protéines qu’environ 8000 bovins. Et cela reste à prouver… car Thomas Jonas est très prudent de ne pas s’aventurer à présenter les vrais chiffres de sa production de burgers volcaniques aux fusariums fermentés. Thomas Jonas préfère présenter des simulations…

L’Agriculture cellulaire chimérique: au secours de la Planète et du Climat.

La propagande présentée, sur son blog, [20] par l’entreprise Hollandaise Mosa Meat, reflète, typiquement, les messages “écologiques” promus par toutes les entreprises engagées dans l’agriculture cellulaire. Il s’agit de protéger l’environnement, et le climat, en prétendant que cette viande cellulaire produit 96% en moins de gaz de serre et utilise 99% en moins de terre et 96% en moins d’eau que la viande d’élevage. Il s’agit, ensuite, de protéger la santé humaine car la viande cellulaire est produite dans un environnement considéré comme sain à partir d’ingrédients dits naturels – à savoir exempts de la contamination chimique et bactérienne que l’on trouve dans la viande conventionnelle. Il s’agit, enfin, de sauver des milliards d’animaux qui n’auront pas à faire l’expérience des usines d’élevage, de la souffrance et du massacre.

En 2018, Beyond Meat a commissionné le Center for Sustainable Systems de l’Université du Michigan a établir une comparaison entre la production d’un burger sans viande et de la viande de boeuf. Selon ce rapport, la fausse viande des Beyond Burgers de Beyond Meat nécessiterait 46% en moins d’énergie, 99% moins d’eau et 93% moins de terre et elle produirait 90% de moins “d’émissions de gaz de serre”. [31]

Selon un rapport du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95% moins de terre; elle produirait de 74 à 87% de moins “d’émissions de gaz de serre”; elle générerait 94% en moins de pollution des nutriments.

Les propagandistes de l’agriculture cellulaire ont fait appel à de multiples laboratoires, universités et autres centres de recherches pour pondre de multiples rapports prouvant que tous leurs produits cellulaires sont extrêmement plus écologiques que les produits réels de l’agriculture et de l’élevage.

Rappelons que la Fondation Bill Gates constitue l’une des principales sources de financements de toutes ces études grotesques.

Il faudrait quasiment rédiger un article entier pour déconstruire et invalider les arguments débiles, et fallacieux, présentés par toutes ces études dont l’objectif est, strictement, la destruction de l’élevage et de l’agriculture – sur toute la planète.

Leur premier argument, asséné dans de multiples études, articles et revues, concerne le fait que l’élevage et l’agriculture contribueraient, grandement, au dérèglement du climat – à savoir au Réchauffement Climatique Anthropique™ – de par leurs “émissions de gaz de serre”. C’est totalement faux… d’autant plus que la planète est en cours d’entrer dans une période de refroidissement global dû à un Grand Minimum Solaire.

De plus, si l’on se réfère aux données du Ministère de l’Environnement des USA (EPA) quant à la production de ces “émissions de gaz de serre”, l’agriculture et l’élevage seraient responsables de 9%, seulement, de ces émissions alors que les transports seraient crédités de 29%, la production d’électricité de 28%, l’industrie de 22% et le secteur résidentiel et commercial de 12%.

Aux USA, par exemple, entre les années 1909 et 2015, le nombre de véhicules est passé de 312 000 à 264 millions – à savoir ,une augmentation d’environ 27 000%. Durant le même laps de temps, le nombre de bovins, pour le lait et la viande, a diminué de 58%.

Leur second argument quant à l’extrême dangerosité de l’élevage et de l’agriculture (antibiotiques, contaminations bactériennes, pollutions par les engrais chimiques et les milliers de biocides, boues d’épandage, etc) fait, bien évidemment, référence à l’agriculture/élevage toxiques de Big Pharma. Les industriels et propagandistes de l’agriculture cellulaire semblent avoir oublié que l’agriculture dite biologique, à savoir saine, existe encore et qu’elle a même existé, de tous temps, avant l’introduction de l’agriculture chimique dès 1842 – par Justus Liebig-Möser.

C’est en 1844 que Liebig/Möser – Justus, de son petit nom, et cela ne s’invente pas, du point de vue des Tzaddik! – publia son “Précis de Chimie” qui signa l’arrêt de mort de l’agriculture naturelle, dite biologique. Ce fut le lancement de la Secte Néo-Sioniste sous toutes nuances Industrielles Agro-Pharmaco-Chimiques et ce fut dramatique pour le monde entier, et cela l’est encore, ainsi que pour l’intégralité de le Biosphère Vivante qui en est très impactée.

Leur troisième argument selon lequel les produits animaux (viandes, produits laitiers, etc) seraient intrinsèquement nocifs pour la santé humaine de tous les Peuples de la planète – quelle que soit leur constitution génétique et quel que soit le biotope dont ils ont émané – sont tellement ridicules…

… que nous allons laisser ces fieffés menteurs, du haut de leur nécro-fermenteurs, de 40 ou de 80 mètres de hauteur, discourir pompeusement pour mieux lobotomiser tous ceux et toutes celles dont les circuits neuronaux ont, déjà, été fortement avariés par une vie entière de fast-food, d’antibiotiques à gogo, de vaccins génocidaires et de publicités insensées déversées, quotidiennement, par les télé/fissions, et autres vecteurs d’intoxication, du complexe-militaro-industriel – et de leurs Valets d’Etat.

Leur quatrième argument quant à la cruauté de tuer des animaux, afin de consommer leur viande, pue l’hypocrisie abjecte dans un monde où 30 000 personnes, surtout des enfants, meurent de faim tous les jours; où 5000 personnes, surtout des enfants, meurent de malaria tous les jours; ou des guerres de libération massacrent des populations entières, au quotidien, afin que la France, et quelques autres pays Occidentaux, vendent des trillions de dollars d’armements pour faire vivre leur économie nationale, à savoir pour engraisser les multinationales du complexe-militaro-industriel.

A propos, qui, aujourd’hui, dénonce le fait que la France soit le second ou troisième vendeur d’armements au monde – en fonction des campagnes de génocides programmées par l’Organisation pour le Nivellement Universel? Qui, aujourd’hui, dénonce le fait que 15% des salariés de France travaillent pour l’Industrie des armements et pour le complexe militariste? Voir l’article “Pandémie de la dépense militaire” sur le site d’EAR qui précise que «Chaque minute environ 4 millions de dollars sont dépensés dans le monde à des fins militaires. C’est ce qu’indiquent les dernières estimations du SIPRI : en 2019 la dépense militaire mondiale a presque atteint les 2000 milliards de dollars, le plus haut niveau depuis 1988, en net d’inflation… Parmi les pays européens de l’OTAN, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni sont en tête avec environ 50 milliards chacun». [233]

Patrick O. Brown, le fondateur d’Impossible Foods, a récemment déclaré: «Impossible Foods a craqué le code moléculaire de la viande en commençant par le boeuf haché qui est intrinsèque au marché Américain. Aujourd’hui, nous allons accélérer l’expansion de notre gamme de produits afin d’y intégrer encore plus des nourritures favorites au monde. Nous n’arrêterons pas tant que nous n’aurons pas éliminé le besoin pour des animaux dans la chaine alimentaire et tant que le système d’alimentation globale ne sera pas devenu soutenable». Et Laura Kliman, l’une de ses expertes en chimères génétiques, d’ajouter: «Tout un chacun va pouvoir apprécier Impossible Pork sans faire de compromis avec la saveur, avec l’éthique et avec la Terre». Patrick O. Brown s’est fixé la date de 2035 «pour remplacer globalement le recours aux animaux en tant que technologie de production de nourriture». Et d’ajouter: «Et c’est sans équivoque la mission la plus importante au monde. Point à la ligne».

Le concept d’alimentation durable, et respectueuse de la Terre, de Patrick O. Brown, est fondée sur de la levure chimérique afin de produire de la léghémoglobine recombinante permettant de conférer à sa fake viande un vrai goût de viande. Qui va arrêter ces déments dans leur destruction systématique, inexorable et programmée, de l’agriculture et de l’élevage? Car ces déments sont déchainés et brassent beaucoup d’argent de par les largesses des Bill Gates, Al Gore et autres globalistes et banksters…

Cette offensive de destruction de la viande aux USA n’est que la continuation de la destruction intégrale et gratuite, par les colonisateurs Européens, de la principale source de protéines des Peuples Amérindiens en Amérique du nord, à savoir les bisons – dont l’existence était indissociable de la bonne santé des prairies Américaines. [292]

En 2018, l’Organisation pour le Nivellement Universel, l’ONU, attribua son prix “Champions of the Earth Award”, dans le secteur Science et Innovation, aux entreprises Impossible Foods et Beyond Meat.

Impossible Foods est innovant… au point de proposer ses burgers écologiques, Impossible Burger et Beyond Burger, sauveurs de climat, à la saveur de glyphosate – un herbicide rendu célèbre par le gang Monsanto. En effet, l’organisation US, Moms Across America, a dénoncé, en 2019, la présence intempestive de glyphosate dans les burgers écologiques de cette entreprise de nécro-technologie. Impossible Foods a réagi, par presse, en traitant cette organisation de complotiste fondamentaliste anti-science, anti-OGM, anti-vaccins, etc. [291] Business as usual.

A propos, quelle est, donc, la composition écologique des Impossible Burgers? En voilà une: eau, concentré de protéine de soja chimérique, huile de coco, huile de tournesol, arômes naturels, protéine de pomme de terre, méthylcellulose, extrait de levure chimérique, dextrose fermentée, léghémoglobine de soja chimérique, sel, isolat de protéine de soja chimérique, tocophéroles, gluconate de zinc, thiamine hydrochloride, vitamine C, niacine, pyridoxine hydrochloride, riboflavine, vitamine B12.

Prenons l’exemple du Royaume-Uni. Dans ce pays, le sort des agriculteurs est dans la main d’experts auto-proclamés, tel que le Professeur Sir Ian Boyd – un ancien conseiller scientifique environnemental du gouvernement – qui préconise que la moitié du territoire agricole du pays soit transformée en bois, et en espaces verts, afin de restaurer la vie sauvage et de “sauver le Climat”. Ce professeur, en plein confinement dictatorial, a l’audace de louer, hypocritement, les bénéfices que les séjours dans la Nature confère à la santé humaine… alors même que les Autorités criminelles empêchent les citoyens d’aller dans les forêts, dans les parcs et sur les plages – pour cause de contagion coronavirale extraordinaire et mortelle!

Selon Sir Ian Boyd, le recyclage au vert de la moitié du territoire agricole, du Royaume-Uni, permettrait, dans un premier temps, de réduire l’élevage de moutons et de bovins de 90% tandis que les éleveurs seraient rémunérés pour planter des arbres – afin de fixer du carbone – plutôt que pour vendre des animaux destinés à la viande ou autres produits tels que le lait. Vu que les terres agricoles, dans ce pays, occupent 70% de l’espace national, le recyclage vert de la moitié de ces terres redonneraient une jeunesse “sauvage” au tiers du territoire. [183]

Cet expert préconise, donc, de mettre en place des “fermes verticales” afin d’économiser de l’espace et l’on présume que ces unités verticales accueilleraient des milliards d’insectes ou bien, alors, des “bio-fermenteurs”, de viande cellulaire, de 50 à 100 mètres de hauteur – qui permettraient d’agrémenter le paysage à l’image des tours de refroidissement des centrales d’énergie nucléaire.

En mai 2019, l’organisation Rewilding Britain [184] (vraisemblablement un pseudopode du gang de Soros) a émis les mêmes propositions visant à supprimer les subventions agricoles aux paysans afin de les recycler vers la création d’espaces verts pour emmener le pays vers une “neutralité carbone”, d’ici 2050 – pour “sauver le Climat”. Cette organisation a tenté, en 2019, de promouvoir un énorme projet de recyclage “naturel”, dans le Pays de Galles, qui aurait éliminé toutes les activités paysannes sur environ 38 400 hectares – mais les agriculteurs ne s’en sont pas laissés conter. [185]

Prenons l’exemple de la Nouvelle-Zélande. En Octobre 2019, le gouvernement de ce pays a donné cinq années aux agriculteurs pour réduire leurs émissions de dioxyde de carbone et de méthane afin d’atteindre le niveau carbone-zéro, sur le plan national, d’ici 2050. Le premier ministre de ce pays a comparé cette lutte “écologique”, à l’encontre du CO2, à la lutte des générations antérieures à l’encontre de l’énergie nucléaire. [32] Sans commentaires.

Une entreprise de pêche d’algues de Nouvelle-Zélande semble avoir trouvé une solution pour réduire l’inclination fondamentale des bovins à émettre des pets méthaniers. En effet, lorsque les bovins sont nourris avec une algue, Asparagosis taxiformis, leurs émissions méthanières sont réduites de 90%. Cette algue, que l’on trouve au large de la Nouvelle-Zélande, de la Tasmanie et de l’Australie méridionale, doit composer au moins 2% du régime alimentaire des bovins afin d’être méthanicide.

Le challenge, aujourd’hui, pour atteindre le niveau carbone-zéro, en Nouvelle-Zélande, est d’imaginer comment fournir de telles quantités d’algues en permanence, aux troupeaux de bovins sans épuiser les ressources marines… Les technocrates en charge de la Rédemption du Climat vont-ils, donc, concevoir de gigantesque fermes d’aquaculture d’Asparagosis taxiformis? Et comment vont-ils, ensuite, nourrir ces algues méthanicides afin qu’elles prolifèrent? Peut-être avec de la fake-viande cellulaire importée de Californie? Ou avec des mycoprotéines à base de fusarium?

Les agriculteurs de Nouvelle-Zélande refusant d’obtempérer se verront punis de lourdes amendes financières. En réaction à cette nouvelle politique gouvernementale, des éleveurs ont affirmé qu’il leur était difficile de planter des arbres (des “puits de carbone”) sur leurs prairies à vaches et que l’unique moyen de satisfaire les diktats gouvernementaux était de réduire la production agricole, du pays, de moitié. Rappelons que 55% du boeuf exporté, de Nouvelle-Zélande, l’est vers la Chine – qui tente d’opérer, présentement, une razzia sur tout ce qui est protéine de viande sur la planète.

En Nouvelle-Zélande, il existe même un ministère du “changement climatique”. Son ministre s’est dit très interpellé par les dizaines de milliers d’enfants, et d’adolescents, en grève d’école, pour protester contre le Réchauffement Anthropique™, durant le printemps 2019. Ces grèves scolaires étaient fomentées par les ONGs climatiques, financées par le gang de Soros, ainsi que par l’activiste hystérique Greta Thunberg financée par le gang Al Gore/Clinton/Soros.

C’est ainsi que vers la mi-mai 2020, le gouvernement de ce pays a introduit un nouveau programme, dans toutes les écoles, afin d’encourager les enfants et les adolescents à cesser de consommer de la viande et des produits laitiers – au nom du “Changement Climatique”. Les produits agricoles de Nouvelle Zélande constituent 60% de ses exportations annuelles. [230]

L’Agriculture cellulaire chimérique: le Grand Remplacement comme solution finale pour l’élimination de tous les présumés, et prétendus, virus pathogènes qui seraient colportés par les animaux d’élevage.

Ainsi que je l’ai mis en exergue dans mon essai intitulé “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019”, [137] selon le virologue Jeffery K. Taubenberger, toutes les pandémies grippales humaines récentes seraient issues de mutations de la “pandémie virale”, de type H1N1, de 1918-1920: à savoir la souche de Grippe Asiatique H2N2 (1957-1958), la souche de la Grippe de Hong-Kong H3N2 (1968-1969), la fausse pandémie de Grippe Porcine H1N1 (2009-2010), etc, ad nauseam.

Jeffery K. Taubenberger a été financé par la Fondation Bill Gates et le DARPA (du Ministère de la Défense US) pour reconstruire, génomiquement, la souche du virus de la “Grippe Espagnole” – qui était une pneumonie bactérienne… Son étude est intitulée “Reconstruction of the 1918 Influenza Virus: Unexpected Rewards from the Past”. [221]

La grande supercherie de Jeffery K. Taubenberger constitue à prétendre, encore et toujours, que l’origine de la “Grippe Espagnole” se trouve dans une méchante souche de grippe aviaire qui, par malchance, a justement agressé des milliers de soldats, au Kansas, qui venaient, juste, de se porter volontaires pour être les cobayes d’une expérimentation vaccinale à l’encontre de la méningite bactérienne.

Ou était-ce alors une grippe aviaire qui aurait méchamment agressé un troupeau de porcs au préalable – car les souches de “grippes aviaires” ne sont pas réputées sauter sur les humains aussi facilement. C’est effectivement une fâcheuse coïncidence que la seule mutation, aux USA, de cette souche H1N1, se soit développée justement dans la région de Fort Riley, au Kansas, où étaient cantonnés des milliers de soldats fraichement vaccinés… et sur le départ vers l’Europe afin de participer à la Première Grande Boucherie Internationale (la Seconde Boucherie Franco-Allemande suivant la première de 1870/1871).

Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser de suite? Ce n’est, sans doute, pas pour rien que le patronyme “Taubenberger” signifie le berger des pigeons…!

Selon cette histoire à dormir debout, cette souche H1N1 humaine fut ensuite transmise aux porcs, vers 1918, qui l’ont gardée, bien au chaud et très précieusement, pendant 90 ans, sous la forme d’une souche virale porcine différenciée – à savoir différenciée de la souche humaine H1N1 virale pandémique primitive de 1918.

Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque pseudo-scientifique, [221] c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes, ont pour objectif final, et exclusif, de développer une vaccination anti-grippale universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de grippes passées, présentes et à venir.

Et ces souches seraient nombreuses si l’on en croit les alertes permanentes concernant les élevages industriels de par le monde. Ainsi, en début février 2020, la Chine sonnait l’alarme car elle venait d’abattre 17 828 volailles atteintes de la souche grippale H5N1 – en précisant néanmoins qu’aucun cas humain de contagion, par ce virus de grippe aviaire, n’avait été rapporté aux Autorités.

Selon les contes de fée, pour adultes infantilisés, de l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, la grippe aviaire A, de souche H5N1, aurait exterminé 6 personnes de Hong Kong, en 1997, et 134 autres personnes, dans l’Asie du sud-est (Chine, Cambodge, Vietnam et Laos) entre 2003 et 2014. Globalement, cette souche H5N1 aurait, également, exterminé 455 personnes entre 2003 et 2020. Quant à la souche de grippe aviaire H5N6, elle aurait occasionné 7 décès en Chine, depuis 2014. Quant à la souche de grippe aviaire H7N4, un seul cas aurait été mentionné en Chine, en février 2018. La souche H7N9 fut beaucoup plus efficace puisqu’elle suscita 1568 “cas confirmés en laboratoires” – selon la formule consacrée par les virologues. En ce qui concerne la souche H9N2, seulement 31 “cas confirmés en laboratoires” ont été rapportés en Chine depuis 2015. [223]

En bref, ce ne furent que des débuts de pandémie avortée… Les grippes aviaires ne sont, en effet, que difficilement transmissibles aux animaux humains et il faudrait que l’Evolution aveugle et aléatoire, sous mode Néo-Darwiniste, déploie encore quelques efforts, aveugles et aléatoires, pour que l’OMS, et la Mafia Pharmacratique, puissent en tirer des fortunes vaccinales.

Si tant est, d’ailleurs, que ces grippes aviaires aient, authentiquement, une existence dans le Réel de la Biosphère Gaïenne – à savoir, une existence prouvable en dehors des laboratoires des virologues qui sont enclins à prendre leurs hallucinations microscopiques pour des réalités virales.

D’ailleurs, comme les Globalistes, les Banksters, et autres Tzaddik, n’arrivaient pas à susciter de fausses pandémies à partir des virus grippaux fantomatiques… ils nous ont sorti, de leur chapeau de prestidigitation médiatique, un virus à couronne, le CoYid/19, dont la mission est de ruiner l’Humanité, de l’incarcérer et de la vacciner. Qu’allez-vous faire?

Au Chili, en 2016, certains élevages de dindons furent attaqués par une souche de grippe aviaire H7N6. [222] En Hollande, en décembre 2017, 16 000 canards furent euthanasiés suite à un accès de grippe aviaire H5N6. En décembre 2019, c’est la souche H5N3 qui sema la panique dans le Suffolk et 28 000 volailles furent euthanasiées.

En France, la souche H5N1 avait fait des ravages dans les élevages de volailles durant l’hiver 2015-2016 tandis que la souche H5N8 avait décimé les élevages français, durant l’hiver 2016-2017 – semant le chaos dans la filière du foie gras. En début 2020, les éleveurs Français recommençaient à paniquer car la souche H5N8 sévissait, depuis plusieurs mois déjà, en Slovaquie, en Hongrie, en Roumanie, en Pologne, en Roumanie, en Ukraine, au Danemark, en Allemagne, etc. [224]

En janvier 2020, 40 000 dindons et oies furent exterminés par la souche H5N8 dans des villages Polonais à la frontière de l’Ukraine et du Bélarus. Durant la même période, à l’ouest du pays, 65 000 volailles furent exterminées pour cause de la même souche.

A cette date, les Autorités Européennes se montraient rassurantes en précisant bien que la transmission des virus aviaires vers les humains est rare mais, cependant, possible… et que toute personne souffrant de difficultés respiratoires est invitée à visiter son médecin habituel, bla bla bla.

Aux USA, en 2015, la souche de grippe aviaire H5N2 avait annihilé une cinquantaine de millions de poules et de dindons dans les élevages du MidWest. En 2017, dans le Tennessee, la souche de grippe aviaire H7N9 avait décimé un élevage de 73 500 volailles. En avril 2020, le Ministère de l’Agriculture US confirma que la souche de grippe aviaire H7N3 sévissait dans un élevage de dindons en Caroline du sud: 1583 dindons avaient déjà succombé et les 32 577 autres furent euthanasiés. [225]

Selon les canons de l’Eglise de la Virologie Pathogénique, il existerait quatre types de virus grippaux A, B, C et D. Les grippes du groupe A (aviaires, porcines et autres zoonotiques) se définiraient en fonction de la combinaison des protéines de surface dont il existerait deux types: l’Hémagglutinine (H) et la Neuraminidase (N). De plus, il existerait, selon cette Eglise, 18 sous-types d’hémagglutinine – H1 à H18 – et 11 sous-types de neuraminidase – N1 à N11.

Je me souviens d’un tableau très illuminant que je découvris, il y a un quart de siècle, et ce fut peut-être dans l’ouvrage fort passionnant de l’agronome Canadien dissident, Raoul Robinson, “Return to Resistance”, publié en 1995, qui évoquait la problématique des résistances horizontales, ou polygéniques, et des résistances verticales, ou monogéniques. Ce tableau mettait en exergue deux courbes exponentielles et strictement parallèles. La première courbe déclinait l’usage exponentiel des produits de synthèse de l’agriculture toxique: fertilisants synthétiques, pesticides, fongicides, herbicides, raticides et toute la gamme des biocides – depuis un demi-siècle. La seconde courbe déclinait l’émergence exponentielle de nouvelles pathologies impactant le monde végétal agricole – depuis le même demi-siècle. Ce tableau mettait, ainsi, en lumière que l’émergence de multiples nouvelles pathologies végétales était induite par la mise, sur le marché, de multiples nouvelles combinaisons de molécules toxiques pour l’agriculture – dont la mission était d’éradiquer les dites “pathologies végétales”.

Lorsque l’on prend conscience que le monde animal domestique est la proie (prétendument) d’une pléthore de sous-types de grippes A aviaires, bovines, humaines et porcines – de type HxNx – il est relativement aisé d’imaginer que ce présumé harcèlement viral pourrait être la conséquence, pure et simple, de dizaines d’années, au moins, de campagnes de vaccinations intensives et de médications allopathiques dénommées antibiotiques, antivirales… Pour le grand plaisir de la Mafia Pharmacratique. Car de combien de vaccins un porc d’élevage est-il gratifié durant les six mois de son engraissement pour en arriver à 140 kilos? Se rappelle-t-on l’étude publiée dans la Revue Nature, publiée en 2013, intitulée “Flu vaccine backfires in pigs”? Elle mettait en exergue, par exemple, que le vaccin prétendument destiné à immuniser contre la souche de grippe A H1N2 rendait les porcs très susceptibles à la souche de grippe A H1N1. [229]

Si l’on se réfère aux fondamentaux de la Nouvelle Médecine Allemande – de Ryke Hamer et de Stephan Lanka – les virus pathogènes n’existent pas. Ils n’ont jamais été isolés ni photographiés. Ils n’ont jamais évolué n’en déplaise aux hallucinés, et autres eugénistes, de la Secte Néo-Darwiniste. Circulez… il n’y a rien à voir. Au fait, dans la Nature non domestiquée, existe-t-il des pandémies qui déciment, inexorablement, des hordes de sangliers ou d’oiseaux aquatiques? Comment l’Eglise de la Virologie Pathogénique peut-elle expliquer la non existence de pandémies chez les animaux sauvages prétendument porteurs naturels de toutes les souches de grippes qui sont accusées de semer la misère dans les élevages industriels (non-bios) modernes?

Lynn Margulis, la grande génie de la biologie moderne – et la conceptrice de l’endosymbiogenèse mutualiste – ne croyait pas plus à l’existence du virus du VIH/Sida qu’à la profession de foi des promoteurs du Tikun Olam.

Kary Mullis, l’inventeur même de la Réaction en Chaine par Polymérase (PCR) – qui constitue la base des “tests” bidons permettant de déterminer si un individu est “positif” ou “négatif” eu égard à un coronavirus fantôme – ne croyait pas, non plus, à l’existence du virus du VIH/Sida. Kary Mullis avait toujours affirmé, d’ailleurs, que la Réaction en Chaine par Polymérase ne doit, surtout, pas être utilisée pour des diagnostics médicaux. Les passionnés de vérité sont invités à étudier l’excellent article “Was the COVID-19 test meant to detect a virus?” de Celia Farber. [228]

Kary Mullis (1944-2019) n’avait pas sa langue dans la poche car il considérait Anthony Fauci (le Tsar du Coronavirus des USA) et Robert Gallo (le prétendu co-découvreur du Sida) comme des “ass-holes”. C’est une expression que je n’utilise jamais car j’estime que la noblesse intrinsèque (car Gaïenne) du “trou du cul” ne sied pas, du tout, à la qualification de misérables crapules criminelles et psychopathiques. Kary Mullis s’est désincarné trop tôt car il se serait déchaîné à l’encontre de tous les voyous qui ont orchestré cette terrifiante “psyops” – cette opération psychologique spéciale dont l’objectif est de terroriser tous les Peuples de la Planète.

Pour en revenir aux déclarations pompeuses, aux professions de foi, et aux prétentions des promoteurs de l’agriculture cellulaire, le grand avantage de se débarrasser de l’intégralité des animaux d’élevage, sur la planète, serait, selon eux, d’éliminer, tout d’abord, l’immense réservoir de porteurs animaux de (prétendus) virus pathogènes – pour une meilleure santé humaine – et d’éliminer, ainsi, le recours aux médications allopathiques, antibiotiques, antiviraux et autres vaccinations qui constituent le lot quotidien de l’élevage industriel (non bio). Par opposition, leurs produits cellulaires stériles (viande, lait, oeufs…) seraient, totalement, exempts de ces produits toxiques – pour une meilleure santé humaine – selon leur publicités, bien entendu…

N’est ce pas “touchant”?… si l’on peut, encore, se permettre cette expression familière en pleine période de “distanciation sociale” exacerbée et hautement anti-constitutionnelle. On se demande bien, d’ailleurs, à quoi servent toutes ces “constitutions” car il semblerait que d’aucuns, en position de contrôle dictatorial, s’en torchent, allègrement, le barbecul!

Cependant, à bas les Masques!! Tout cela n’est que de la propagande mensongère visant à enfariner les burgers cellulaires d’une aura de respectabilité écologique, et sanitaire, alors même que les antibiotiques, ainsi que les antimitotiques, sont libéralement utilisés dans les soupes cellulaires des nécro-réacteurs à fake viande.

En effet, selon l’étude récente, publiée en 2018, et intitulée “Bringing cultured meat to market: Technical, socio-political, and regulatory challenges in cellular agriculture”, ces substances toxiques – à savoir, les antibiotiques et les antimitotiques – sont introduites, dans les cuves de l’agriculture cellulaire, pour lutter contre les “infections”. [50] Par exemple, la gentamicine, la pénicilline et la streptomycine intégrées avec la glutamine commercialisée par la multinationale Pharmacratique Merck.

De quelles “infections” s’agit-il, donc? D’infections cellulaires? Les cultures cellulaires, confinées en cuves, peuvent-elles développer des pathologies d’ordre somatique? A savoir des pathologies induites par une contamination émanant de bactéries, de champignons, de parasites – ou encore de virus fantômes et invisibles… qui sont, sans nul doute, les plus dangereux… car comme le disait le Guignol de service (à la solde des Banksters) «nous sommes en guerre contre un virus invisible».

Les cultures cellulaires, confinées en cuves, pourraient-elles, même, développer des pathologies d’ordre psychique? Si l’on se réfère à tous les travaux réalisés sur la “mémoire cellulaire”, se pourrait-il que des cellules confinées dans une prison de cuve métallique – et coupées de toute vie organique – puissent souffrir de neurasthénie, de schizophrénie, d’angoisses existentielles, d’inclinations à la désincarnation sur mode Hara Kiri…? N’est-il pas cruel, sur le plan de la bio-éthique, d’exclure des cellules de leur contexte biologique incarné afin de les faire croître, et multiplier, alors qu’elles sont mutilées de toute fonction authentiquement organique? Que font, donc, les associations auto-qualifiées d’anti-spécistes?

Comment, ainsi, éviter qu’elles ne contractent le Blues de la Cellule Confinée? Les bio-éthiciens de la viande cellulaire vont-ils devoir recourir à des musiques douces afin d’apaiser les affres existentielles des cellules en cuves d’isolement organique? En bref, les cellules confinées, dans une prison de cuve métallique, peuvent-elles souffrir du syndrome de “distanciation sociale” tout comme les êtres humains? A savoir, tout comme les êtres humains dignes de ce qualificatif, c’est à dire non lobotomisés et capables, encore, d’exprimer des émotions, des passions, des rages – et surtout d’exprimer une haine incommensurable envers tous les criminels qui les persécutent et les martyrisent… depuis des siècles et, même, quelques millénaires. Suivez mon regard. Big Tzaddik is watching you.

D’ailleurs, pour en revenir au thème des virus (psychotiques) à éliminer – très visibles, surtout sans microscope – Greta Thunberg, la nouvelle Jeanne d’ARC des Réchauffistes – l’Apôtre du Réchauffement Climatique – a été invitée, récemment, par CNN, à rejoindre “un comité d’experts scientifiques” pour un programme dénommé “Coronavirus, faits et craintes”. [188] Greta Thunberg, déguisée en coronavirologiste, a affirmé, récemment, que «Tout comme la crise climatique, la pandémie coronavirale constitue une crise des droits de l’enfant». Greta Thunberg a imploré, le monde entier, à prêter l’oreille (à taux zéro, au vu de la crise financière) aux déclarations des experts climatiques tout comme à celles des experts coronavirologues.

Je me suis, déjà, amplement exprimé sur le syndrome de la “Fournaise de Thunberg” dans mes essais intitulés “Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants…” [226] et “Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques avec la COP25, et le Saint GIAC, à Saint Jacques de Compostelle”. [227]

Greta Thunberg, elle-même, d’ailleurs, représente le symbole incarné d’une “crise des droits de l’enfant” telle qu’elle est consumée – de colère et de haine climatiques eu égard à une fournaise inexistante – et telle qu’elle est consommée sur l’autel des criminels globalistes et des banksters qui l’agitent à la ficelle.

Une “crise des droits de l’enfant”: elle ne saurait mieux dire car cette pandémie coronavirale, strictement inexistante et orchestrée de toutes pièces, va bâillonner les enfants, les empêcher de jouer, les empêcher de se toucher, les empêcher d’embrasser leurs parents, les empêcher d’être câlinés par leurs grands-parents, les empêcher de lire des ouvrages provenant de la bibliothèque municipale (car coronavirosés) et les coller devant des écrans d’ordinateurs scolaires – tout cela au nom de la distanciation sociale…

… et les inviter, même, à dénoncer leurs parents, ou les membres de leur famille, n’adhérant pas à la nouvelle religion coronavirale et émettant, selon le Ministère de l’Educastration et de la Vérité, des “propos inacceptables” – par exemple ceux “manifestant le refus des gestes barrières” ou encore “relayant des théories complotistes”.

A propos, avez-vous vu la fiche du Ministère de l’Educastration intitulée “Réouverture Covid-19 et risques de dérives sectaires”, qui invite les enseignants à piéger les enfants “par des questions adaptées”. En voilà une partie du contenu: «L’enfant étant dépendant de son environnement, une attention doit donc être portée aux élèves dont les responsables légaux, adeptes de certaines idéologies ou croyances, sont réticents ou opposés aux recommandations faites en matière de santé publique : contournement du confinement pour des rassemblements, refus de traitements, d’examens médicaux ou de tests sanguins, etc.» [186] [187]

Faut-il vous l’envelopper soigneusement – avec un ruban tricolore de type CocoriCovid – ou est-ce pour lobotomiser, bâillonner, tester et vacciner de suite?

What the Fake is going on?

L’Agriculture cellulaire chimérique: les acteurs simulateurs.

Les entreprises promouvant l’agriculture/élevage et l’aquaculture cellulaires chimériques se comptent, aujourd’hui, par dizaines de par le monde. En effet, ces technologies ont été développées, depuis une vingtaine d’années, par quelques pays pionniers: la Hollande, les USA et, bien évidemment, l’incontournable Israël. Le premier test d’amplitude industrielle a été réalisé, dès 2005, par le Professeur Mark Post, de l’Université de Maastricht, en Hollande, à l’aide d’un financement de Sergey Brin, le co-fondateur de Google. Le premier hamburger de laboratoire a été, ainsi, cuit et dégusté lors d’une conférence de presse à Londres en 2013.

Son coût de production fut de 325 000 dollars. Deux années, plus tard, le coût n’était plus que de 11 dollars. [36]

En France. Gourmey produit du foie gras cellulaire à partir de cellules-souches de canard. [21]

N’est-il, donc, pas tentant de se gaver de foie gras cellulaire et chimérique afin d’éviter aux canards de se faire massacrer gavés? En effet, leur profession de foi – et de foie gras chimérique – se décline comme telle: «Gourmey développe un foie gras sans gavage ni abattage, délicieux et 100% éthique, à partir de cellules naturelles de canard. Un foie gras sans compromis, meilleur pour vous, pour les animaux et pour la planète.»

Aux USA. Memphis Meats produit de la viande cellulaire de boeuf, de canard et de poulet. Lorsqu’elle introduisit, en 2017, sa première viande de poulet sans poulet, le prix au kilo était d’environ 20 000 dollars.

Memphis Meats a levé 17 millions de dollars en 2017 et 160 millions de dollars en 2020. Qui sont les investisseurs? Bill Gates l’eugéniste vaccinaliste, [30] Richard Branson (de Virgin), Kimbal Musk (le frère d’Elon Musk de Tesla), la multinationale Cargill et la multinationale Tyson Foods.

L’entreprise Just Eggs, ou JUST (anciennement Hampton Creek Foods), ainsi que l’entreprise Clara Foods, produisent des oeufs cellulaires. Mission Barns produit également de la viande cellulaire. New Age Meats produit du porc cellulaire.

Nos amis chiens et chats ne sont pas oubliés… car l’entreprise Wild Earth produit de la viande de souris cellulaire pour leur nourriture quotidienne.

Quant à “l’aquaculture cellulaire”, ce sont les entreprises Wild Type et Finless Food qui produisent du poisson cellulaire à partir, respectivement, du saumon et de l’espèce Thunnus thynnus, le thon rouge du nord De même que Blue Nalu avec l’espèce Seriola lalandi, la sériole chicard.

La mission proclamée de Finless Foods est ainsi libellée: « Fournir des produits de la mer délicieux et soutenables sans avoir à élever ou à pêcher du poisson vivant dans nos précieux océans». N’est-ce pas touchant?

Aux USA encore. Amyris élabore des produits cellulaires divers: cannabinoïdes, arômes et édulcorants. Arzeda produit des édulcorants et des protéines cellulaires. Bond Pet Foods produit de la protéine de volaille cellulaire. C16 Biosciences produit de l’huile de palme cellulaire. Codexis produit des édulcorants cellulaires. DMC Biotechnologies produit des arômes cellulaires. Geltor produit de la gélatine cellulaire. Ginkgo Bioworks produit des arômes, des protéines et des oligosaccharides de lait humain cellulaires. Glycosyn produit des oligosaccharides de lait humain cellulaires. Impossible Foods produit de la léghémoglobine de soja. Ingredion produit des arômes et des protéines cellulaires. Manus Biosynthesis produit des arômes, des ingrédients alimentaires et des vitamines cellulaires. Motif FoodWorks produit des protéines cellulaires. New Culture produit des protéines de lait cellulaires. Perfect Day produit des protéines lactées cellulaires. Sustainable Bioproducts produit des microorganismes cellulaires. Triton Algae Innovations produit des algues cellulaires. Wild Earth produit du koji (moût d’amorçage) cellulaire. Morden Meadow produit du cuir cellulaire.

En Hollande. Isobionics produit des substances cellulaires pour les arômes alimentaires. Avansya (Cargill et Royal DSM) produit des glycosides cellulaires de steviol commercialisés sous la marque EverSweet. BioscienZ produit des oeufs cellulaires. Mosa Meat, créée en 2015 par Mark Post et Peter Verstrate, a annoncé la première viande au monde libre de “massacre”. Meatable s’est orienté, en 2019, vers la viande cellulaire de porc à cause de la “grippe” porcine qui sévit partout sur la planète.

Meatable affirme détester l’élevage industriel nocif pour la planète et cruel pour les animaux. Leur logo se décline comme suit «Le Nouveau Naturel. Nous souhaitons satisfaire le désir de viande, dans le monde, sans nuire aux humains, aux animaux et à la planète». N’est-ce pas émouvant?

En Israël. Future Meat Technologies a pour objectif d’introduire, en 2021, un produit alimentaire hybride confectionné à partir de protéine végétale mélangée à de la viande cellulaire. Cette entreprise est impliquée dans la viande cellulaire de volaille. Aleph Farms a déjà produit de la viande cellulaire – du steak – dans la section Russe de la Station Spatiale Internationale, en partenariat avec Finless Foods (USA), Vivax Bio (USA) et 3D Bioprinting Solutions (Russie). Super Meat est impliquée, également, dans la viande cellulaire de volaille. BioFood Systems produit de la viande cellulaire de boeuf. Quant à MeaTech, elle vient de fusionner avec Ophectra Real Estate and Investments Ltd. Son fondateur, Sharon Fima, est un expert en impression 3D et MeaTech est impliquée dans le développement d’une technologie d’impression de cellule-souche en 3D.

Au Canada. Appleton Farms produit de la viande cellulaire de boeuf. Future Fields produit de la viande cellulaire de volaille. SeaFuture produit du poisson cellulaire. Hyasynth Bio produit des cannabinoïdes cellulaires.

A ce jour, Hyasynth Bio a levé [38] près de 12 millions de dollars (des investisseurs Groupe Roski, OrganiGram, RebelBio, Anges Québec…) pour accroître sa capacité de production de cannabinoïdes à base de levures chimériques. Chez Hyasynth Bio, la chimérisation de cannabinoïdes est dénommée “ingénierie métabolique”.

Au Japon. Nissin Foods Group et IntegriCulture produisent de la viande cellulaire. Spiber produit de la soie d’araignée cellulaire.

A Singapour. Shiok Meats élabore des produits de la mer cellulaires. Turtle Tree Labs utilise des cellules souches pour produire des glandes mammaires pour la production de lait.

Turtle Tree Labs se vante d’avoir recours à une technologie chimérique tissulaire, à base de cellules souches, pour produire du lait humain et du lait de vache – ou du moins un simulacre de lait plus proche du réel qu’une molécule protéique lactée produite par fermentation cellulaire – ainsi que le pratiquent certains de ses compétiteurs.

En Espagne. BioTech Foods produit de la viande cellulaire de porc. Cubiq Foods produit du gras animal cellulaire. Cubiq Foods a été racheté par Moira Capital Partners, une société financière basée à Madrid.

En Allemagne. Legendary élabore des produits laitiers à partir de fermentation cellulaire et de microorganismes chimériques.

En Australie. Heuros élabore des produits cellulaires. VOW produit de la viande cellulaire de kangourou.

En Chine. Avant Meats produit de la viande cellulaire.

Au Royaume-Uni. Higher Steaks produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Belgique. Peace of Meat produit du foie gras cellulaire et de la viande cellulaire de volaille.

En Russie. Ochakov Food Ingredients produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Argentine. Craveri Laboratories produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Turquie. Bifstek produit de la viande cellulaire de boeuf.

En Inde. Clear Meat produit de la viande cellulaire de volaille.

En Suisse. Evolva produit des arômes et des édulcorants cellulaires.

L’Agriculture cellulaire chimérique: les investisseurs.

Ce sont les géants et les multinationales de l’agro-alimentaire – mais aussi de la Pharmacratie – qui sont les premiers investisseurs et distributeurs de l’agriculture cellulaire chimérique et simulatrice. A savoir, Cargill, Smithfield Foods, Tyson Foods, Hormel, Kellog’s, Kroger, Burger King, KFC, Dunkin’, Merck… En effet, dès la prochaine décennie, la fausse viande est supposée constituer 10% du marché mondial de la viande qui est présentement évalué à 1400 milliards de dollars.

Un rapport, publié par le consultant AT Kearney, affirme que, selon des “experts”, 25% de la “viande” consommée sera de la viande cellulaire et 35% de la “viande” consommée sera de la viande confectionnée à base de plantes – ou plus exactement d’extraits de plantes – en 2040. [35]

Durant l’été 2019, afin de confectionner ses whoppers avec de la fausse viande, Burger King s’est allié avec Impossible Foods [22] qui venait de lever 387 millions de dollars d’investissements. En mars 2019, Impossible Foods a annoncé que son usine d’Oakland en Californie était achevée et prête à produire, mensuellement, environ 500 tonnes de “meatless meat” – de viande sans viande. Fin avril 2020, Impossible Foods a annoncé que la compagnie est prête à distribuer sa fake viande dans 777 supermarchés aux USA, en particulier en Californie, au Nevada et sur la côte est – après avoir levé, de nouveau, 500 millions de dollars au mois de mars 2020. [80] Ses deux nouveaux produits sont dénommés “Impossible Pork” et “Impossible Sausage”.

Au rang des investisseurs d’Impossible Foods se trouvent, bien évidemment, l’eugéniste Bill Gates ainsi que Li Ka-shing (la troisième fortune d’Asie), l’Open Philanthropy Project (le fonds de financement de Dustin Moskovitz, le co-fondateur de Fakebook), Temasek (un fond d’investissement de l’Etat de Singapour) et Vinod Khosla (le co-fondateur de Sun Microsystems). C’est, d’ailleurs, l’Open Philanthropy Project qui finance, en France, l’organisation vertueuse et “anti-spéciste™” dénommée L214.

L’un des concurrents d’Impossible Foods, dans la course à la fake-viande est Beyond Meats qui produit des substituts de viande à base de plantes: burgers, saucisses, etc. La fake-viande de Beyond Meats est commercialisée par Kroger, par les supermarchés Safeway et par les supermarchés (à moitié bios) de Whole Food – une chaine alimentaire rachetée par l’Amazon de Jeff Bezos. La fake-viande de Beyond Meats est produite à partir de protéines (de pois, de fève, d’haricot mung et de riz), de féculents (de pomme de terre et de méthylcellulose), de lipides (noix de coco, tournesol, cacao et colza), d’arômes et de colorants (jus de betterave, jus de pomme, arômes “naturels”) et de minéraux (calcium, fer, sel, chlorure de potassium).

Au rang des substances archi suspectes, faut-il rappeler que la méthylcellulose, E 461, est un émulsifiant d’origine souvent inconnue. L’une de ses origines serait du coton transformé par radical alkyle hydrophobe dérivé du méthane (CH4), pouvant provoquer des diarrhées importantes chez les enfants, même à faible dose. [23] Selon une autre répertoriation: «La méthylcellulose est un éther méthylique partiel de cellulose, obtenu par traitement de fibres végétales avec un alcali et du chlorure de méthyle. L’utilisation de méthanol et/ou d’oxyde de propylène n’est pas exclue». [24]

Au rang des investisseurs de Beyond Meats se trouve l’eugéniste Bill Gates et Biz Stone, le co-fondateur de Twitter; il s’y trouvait, encore récemment, Tyson Foods, à hauteur de 7%.

Au rang des détracteurs de Beyond Meats, et de tout le secteur de la fake-viande, John Mackey, le directeur et co-fondateur de Whole Foods, s’est exprimé très franchement, durant l’été 2019, sur le fait que ces fausses viandes sont peut-être bénéfiques à la santé de la planète… mais sûrement pas bénéfiques pour la santé humaine – en raison de leurs processus de fabrication hautement et archi-industriels. [293]

L’un des concurrents de Burger King, à savoir KFC, Kentucky Fried Chicken, a annoncé, en janvier 2020, qu’il proposait, dans ses 900 restaurants du Royaume Uni, un nouveau sandwich végétarien dénommé “Zéro Chicken”. Ce sandwich est produit par l’entreprise Quorn qui a été complètement dépassée, durant l’hiver 2020, par le succès de sa fausse viande – malgré que sa nouvelle unité de production libère, chaque semaine, 1 300 000 paquets de viande végan. Le “Zéro Chicken” est à 2/3 composé de mycoprotéines en sus de blancs d’œufs réhydratés, de protéines de lait, de fécule de tapioca, etc.

Aux USA, le géant Tyson Foods s’est, récemment, investi financièrement dans des entreprises d’agriculture cellulaire telles que New Wave, qui élabore des crevettes à base de soja, d’algues, et d’arômes “naturels” et MycoTechnology, qui élabore des protéines à partir de champignons. Tyson Foods est la plus grande entreprise de production de viande aux USA et la seconde au monde après le Brésilien JBS. En 2020, Tyson Foods vient d’abandonner son image de premier géant US de la viande – qui produit 20% du boeuf, de la volaille et du porc aux USA – et se définit maintenant comme “The Protein Company”. Elle a également investi financièrement dans les entreprises de viande cellulaire Memphis Meats, aux USA, et Future Meat Technologies, en Israël. [29]

Quant à Mosa Meat, l’un de ses partenaires est M Ventures, une filiale de la multinationale de la Pharmacratie, Merck – très impliquée dans le massacre sanitaire universel. Un autre de ses partenaires est le Bell Food Group, le plus gros transformateur de viande en Suisse.

En 2018, le fonds d’investissement, New Crop Capital, lança un programme de 100 millions de dollars dénommé le “New Protein Fund” et son fondateur Chris Kerr déclara «Nous allons devenir riches, de n’importe quelle manière». Les investisseurs de New Crop Capital ont préféré rester anonymes. En date de décembre 2018, le “New Protein Fund” avait déjà soutenu financièrement 33 compagnies impliquées dans la quête de protéines simulatrices.

L’Agriculture cellulaire chimérique: une incubation agressive orchestrée par Bill Gates et autres organisations eugénistes et transhumanistes.

L’organisation New Harvest se présente comme un institut de recherche dont l’objectif déclaré est «de réinventer la manière dont on élabore des produits animaux – sans animaux». [18] New Harvest, depuis 2008, finance des projets dont l’objectif est, ainsi, de cellulariser l’agriculture. L’un de leurs projets financés, par exemple, concerne la décellularisation de feuilles d’épinards afin de les utiliser comme échafaudage en 2D pour des cellules mammaliennes… avec pour objectif l’ingénierie d’un échafaudage vascularisé et comestible permettant de maintenir la viabilité cellulaire dans des environnements de culture en 3D. En bref, la vascularisation naturelle des feuilles d’épinards décellularisées offrirait des échafaudages bénéfiques à des applications d’ingénierie de viandes cellulaires.

En plus bref, encore – pour les lecteurs stupéfiés par le caractère très peu bucolique de l’agriculture cellulaire – la fabrication de fake-viande cellulaire nécessite de dé/cellulariser d’autres substances, telles que des feuilles épinards, afin d’en créer des échafaudages pour sa culture en 3D. Tout va bien?

Un autre projet financé par New Harvest est de développer un système de culture en 3D pour la “biofabrication” cellulaire de tissus d’insectes à visée alimentaire. Le laboratoire – impliqué dans cette recherche à l’Université Tufts de Boston – utilise trois types de cellules: une lignée cellulaire (immortalisée génétiquement), précurseur de muscles, provenant de la mouche du vinaigre, Drosophila melanogaster, et exprimant une protéine fluorescente verte; des cellules primaires extraites du Sphinx du tabac, Manduca sexta; des cellules primaires extraites du grillon domestique, Acheta domesticus.

Quant aux “bio/matériaux” utilisés pour la “bio/fabrication” de ces tissus cellulaires d’insectes, ce sont le chitosan extrait de champignons, de la cellulose, de la protéine de soie… Tout va bien?

Les fausses viandes cellulaires des adeptes du véganisme, c’est un peu comme le CoqueVide/19… cela frise l’hallucination religieuse.

Le Good Food Institute est une organisation employant des dizaines de scientifiques, médiatiques, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Cet institut publie une pléthore de rapports sur la production de viande, de poisson, de lait, d’oeufs à bases de plantes ou à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur. [33] [34].

Certains “experts” auto-proclamés et auto-prophétiques – tels que ceux du Good Food Institute – annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, à savoir les viandes végétales et les viandes cellulaires.

L’Institute for the Future [26] a publié, en 2018, un rapport, commissionné par l’eugéniste Bill Gates, intitulé, “Good Food Is Good Business”, dont l’objectif est de «prévoir les forces futures qui vont impulser des opportunités commerciales, pour le secteur privé, afin de créer des aliments plus nutritifs, accessibles, attirants et abordables pour les consommateurs aux faibles revenus durant la prochaine décennie». [27] Ce rapport explore cinq secteurs d’innovations technologiques qui puissent oeuvrer en synergie: l’agriculture cellulaire, la collaboration avec l’intelligence artificielle, la sagesse traditionnelle, la gestion des microbiotes et les actifs programmables.

L’Institute for the Future compte parmi ses partenaires transhumanistes – sous guise d’humanitaires et de philanthropes: la Fondation Bill Gates, Microsoft, Nestlé, BASF, British Petroleum, Mitsubishi, Merck… sans oublier Accenture, l’un des membres-clés de l’organisation vaccinaliste universelle de Bill Gates, l’Alliance ID/2020.

La collaboration avec l’intelligence artificielle est ainsi déclinée: «Vers des produits améliorés et une meilleure éducation des consommateurs. L’intelligence artificielle va offrir des nouveaux outils pour aider les entreprises locales et les multinationales à approfondir leur compréhension des aspirations et des besoins des consommateurs. La persuasion algorithmique va également conduire les consommateurs des marchés à bas revenus (et de tous les marchés) vers des habitudes de consommation moins onéreuses et plus saines».

Ce n’est, sûrement, pas une coïncidence si un certain nombre d’acteurs de l’agriculture cellulaire sont impliqués dans la création “d’arômes cellulaires” – à savoir des arômes “naturels” qui croissent en cuves de confinement. Comme les viandes cellulaires n’ont strictement aucune saveur spécifique, les chiméristes vont les agrémenter de multiples arômes cellulaires en fonction des traditions culinaires de telle ou telle communauté humaine.

C’est pourquoi Jason Cohen, le fondateur de la société Analytical Flavor Systems, vient, très récemment, de proposer son “Gastrographe” [204] qui est une plate-forme d’Intelligence Artificielle “Sensorielle” (tous aux abris!!) dont la mission est de prédire les préférences alimentaires des consommateurs dans n’importe quelle partie du monde. Jason Cohen surfe sur le besoin des entreprises alimentaires de «s’impliquer dans des nouvelles technologies afin de s’adapter aux changements de ressources et de capacités induites par le besoin de distanciation sociale». Jason Cohen doit être un admirateur forcené de Bill Gates, et de son gang d’eugénistes, car il semble supputer que la “distanciation sociale” soit, dorénavant, un acquis établi pour toujours… à savoir, une nouvelle acquisition, au palmarès des génocideurs, sur le marché très lucratif des technologies de mise en esclavagisme des Peuples.

A propos, en cette période de confinement dictatorial – c’est à dire d’emprisonnement forcé dans des camps de concentration urbains surveillés par des drones – saviez-vous que les termes “esclave”, “esclavagisme”, “slave”, “slavery”… ont pour origine le terme “Slave”. Pourquoi donc? Parce que les Slaves, des Balkans, faisaient l’objet d’un commerce intensif à partir du 5 ème siècle. D’ailleurs selon Wikipedia: «Au Moyen Âge, l’Église catholique interdit aux Juifs l’emploi d’esclaves et de serviteurs chrétiens mais les autorise à pratiquer le commerce d’esclaves païens». [207] Ne serait-ce pas un discours de haine à signaler, sans tergiverser, à Avia/Sion, la chef d’escadrille et experte de la haine en ligne – et autres chemtrails complotistes? A propos, Jeffrey Epstein s’est-il réellement suicidé?

Se demande-t-on qui étaient les commerçants spécialisés dans cette Traite sexuelle des Blancs d’Europa dès le Haut Moyen-Age? Seraient-ce, par hasard, les mêmes impliqués dans le commerce des Irlandais… ou le commerce des Noirs Africains? [205] [206] Seraient-ce, par hasard, aujourd’hui, les mêmes impliqués dans le confinement d’une grande partie de l’Humanité? Les mêmes impliqués dans la destruction totale de la vie économique – pour le grand plaisir des Banksters qui vont rafler l’intégralité de la cagnotte?

La sagesse traditionnelle est ainsi déclinée: «Vers la réincorporation d’ingrédients sains et de pratiques saines ancestrales. Des milliers d’années d’intuition humaine quant aux rôles et bénéfices des ingrédients alimentaires et des techniques de préparations alimentaires seront amplifiés et réintégrés dans de nouveaux produits alimentaires. Cette connaissance traditionnelle sera ouverte, accessible et actionnable par tout consommateur ou producteur, partout dans le monde.

Tout le reste est à l’avenant. Il s’agit, fondamentalement, de faire appel à la biologie synthétique, donc chimérique, pour recréer des produits agricoles, sur le plan cellulaire, qui seraient meilleurs pour la santé humaine, qui éviteraient les impacts environnementaux négatifs de l’agriculture animale, qui réintégreraient les connaissances et pratiques ancestrales et traditionnelles… bla bla bla

et, surtout, qui guideraient les consommateurs, par le biais de “persuasions algorithmiques”, vers ce que Bill Gates a décidé de mieux pour eux!!!

D’ailleurs, en janvier 2020, la Fondation Bill Gates a annoncé la création d’un énième institut dénommé Bill & Melinda Gates Agricultural Innovations, ou Gates Ag One, dont la mission sera d’aider des milliards de paysans pauvres, de par le monde, a adopter les techniques, semences et produits de l’agriculture productiviste chimique et chimérique.

Est-il, donc, étonnant que, de par le monde, les manifestations anti-confinement scandent, de plus en plus fréquemment, des slogans et des chants invitant les Autorités à mettre Bill Gates en prison? [193] N’est-il pas plus que temps de dénoncer ce scandale planétaire et universel: le “GatesGate”?

En Italie, la députée Sara Cunial a récemment demandé au Parlement Italien d’inculper Bill Gates pour crimes contre l’humanité afin de procéder à son arrestation… en invoquant le Code de Nuremberg. [231] [286]

L’Agriculture cellulaire chimérique: une communication médiatique toute en simulations.

Sur le plan de la communication, les firmes d’investissements, les instituts de propagande, les start-ups et les géants de l’agro-alimentaire rivalisent d’imagination pour qualifier, dénommer leurs sociétés ou leurs produits au sein de ce nouveau secteur de la fake-viande, du fake-lait, des fake-oeufs, etc. C’est, ainsi, la perversion du language qui permet de vendre de la fake nutrition tant au niveau de la nature des substances commercialisées que de leurs appellations commerciales ou encore des dénominations dont s’affublent les entreprises de production ou les instituts, think tanks et autres organisations tapageuses chargées de la promotion de cette nouvelle alimentation chimérique et simulatrice.

Dans le monde des nécrotechnologies, des technologies chimériques et des sciences de la mort, les investisseurs financiers sont maintenant appelés des “angel investors”, des “anges investisseurs” – tel que Bill Gates of Hell.

Les instituts de promotion – et de ponte de rapports bidons – se dénomment, par exemple: Good Food Institute, Institute for the Future, New Harvest, Cultivate, Cellular Agriculture UK, Food Ethics Council, RebelBio…

RebelBio se définit, par exemple, comme un incubateur/accélérateur de startups biotechnologiques. Cette organisation est une filiale de SOSV, [37] une firme d’investissements, qui se vante d’avoir incubé/accéléré 78 startups dans le secteur des biotechnologies et des sciences de la vie – en fait, dans le secteur des nécrotechnologies et des sciences de la mort.

Les entreprises de l’agriculture cellulaire se dénomment: Peace of Meat, Sweet Earth Enlightened Foods, Meat the Future, Alternative Plants, Because Animals, Biomimetic Solutions, Gourmey, New Age Meat, CellulaRevolution, Rebellyous Foods, New Wave, Impossible Foods, Sustainable Byproducts, Perfect Day, Beyond Meats, VivaxBio, BioFood Systems, Clear Meat, AvantMeats, Evolva, Future Fields, Legendary, Higher Steaks, Super Meat, Integriculture, New Culture, Modern Meadow, Ginkgo Bioworks…

Par exemple, quelle est l’amplitude de “Rébellion” de l’entreprise dénommée “Rebellyous Foods” à Seattle aux USA? Son fake-poulet contient de la protéine de blé, de la protéine de soja, quelques légumes, de la méthylcellulose, du fécule de maïs, des extraits de tocophérols, des huiles de colza ou de tournesol, du pyrophosphate de tétrasodium, etc. Il ne s’agit, authentiquement, que d’une simulation de rébellion dont l’objectif est de gaver les Peuples avec de la viande zombie – un cadeau empoisonné du Transhumanisme.

Les processus, technologies, prétextes et prétentions mis en exergue par l’agriculture cellulaire sont, le plus souvent, affublés du préfixe “bio”: bio-réacteur, bio-fermenteur, bio-matériaux, bio-produits, bio-fuels, bio-ingénierie, bio-fermentation, bio-fabrication, bio-processus, bio-raffinerie, bio-médecine, bio-politiques, bio-éthicien…

Le terme “bio-éthicien” qualifie une nouvelle profession chargée d’éduquer le petit peuple à adopter la belle éthique de la viande cellulaire chimérique, écologique, durable, humanitaire et à ne plus se vautrer dans la male éthique de la viande sale produite par l’élevage. En cette fin de civilisation, l’éthique est à étiquettes variables et il n’est que d’analyser, pour mieux la vomir, “l’éthique” de tous ces criminels menteurs et psychopathes qui ont assigné et confiné les Peuples à domicile – à savoir dans des cuves domestiques de fermentation psychique.

Quant aux noms dont sont affublés les produits hyper industriels et transformés de “l’alimentation cellulaire” et autres simulacres de viande, la simulation bat son plein. La multinationale Hormel Foods, célèbre pour ses produits Spam, vient d’introduire une nouvelle gamme de substituts de viande dénommée “Happy Little Plants™”. Morningstar Farms, une division de la multinationale Kellog’s, vient d’introduire une nouvelle gamme de substituts de viande dénommée “Incogmeato”.

Sweet Earth Enlightened Foods, une filiale de Nestlé, a récemment introduit un burger de fausse viande dénommé “Awesome Burger”. C’est en 2018 que la multinationale Nestlé a décidé d’entrer dans la course à la production de protéines simulées industriellement en les identifiant comme l’une des “Food Tribes” (sic) à croissance rapide.

Ce qui est surtout impressionnant, c’est l’audace avec laquelle certains mythomanes qualifient leur junk-food, à base de protéines de pois, “d’aliments illuminés de la Terre douce”.

2. Les Agricultures Mondiales Assignées à Résidence au Prétexte d’une Pandémie Coronavirulente Fantôme

Le confinement coronaviral tue en affamant les populations.

C’est pour cela que la presse, aux ordres, titrait vers le 20 avril 2020: “L’ONU redoute une catastrophe humanitaire”. [123] C’est bien évidemment une façon d’enfariner car l’ONU ne “redoute”, strictement, rien du tout puisque la mission de l’Organisation pour le Nivellement Universel est, au contraire, de faire perdurer la misère intégrale sur cette planète au plaisir des Banksters. Ainsi, pendant que sa branche dénommée OMS (Organisation pour le Massacre Sanitaire) lance une fausse pandémie, agrémentée d’un confinement, sous l’égide de son directeur Tedros Adhanom GhebreJésus – l’homme de paille de Bill Gates, de la Chine et de la Pharmacratie – sa branche dénommée PAM (Programme d’Affamement Mondial) verse trois larmes de crocodiles et déclare que «le nombre de personnes souffrant sévèrement d’affamement pourrait doubler en raison de la pandémie de Covid-19, atteignant alors plus de 265 millions d’ici la fin de 2020». Ce nombre est présentement estimé à 135 millions mais il ne s’agit pas du nombre de personnes souffrant de la faim mais, bien plutôt, souffrant de la faim de manière terminale et létale – à savoir en cours d’agoniser.

Aux USA, par exemple, ce sont, près de 50 millions de personnes qui ne mangent pas à leur faim et ce sont 15% des familles, dans ce pays, qui ne fonctionnent qu’avec des food-stamps (tickets alimentaires) distribués par l’Etat. De moins, selon des statistiques antérieures au confinement et à la destruction programmée du tissu économique US. Aujourd’hui, la situation ne peut que grandement empirer avec 30 millions de nouveaux chômeurs aux USA – durant les six dernières semaines.

Et ce n’est pas l’argent qui manque car, par contre, tous les hôpitaux, aux USA, qui établissent un certificat de décès attribué au CoqueVide/19 touche 13 000 dollars de subvention de l’Etat Fédéral – une subvention qui monte, même, à 39 000 dollars au cas où le patient décède branché sur un ventilateur. [173]

En effet, selon les chiffres mêmes de l’ONU, en date du 15 juillet 2019, dans son rapport intitulé “State of Food Security and Nutrition in the World 2019”, ce sont plus de 820 millions de personnes, de par le monde, qui “souffrent” de la faim, en permanence – selon le titre de l’article présenté par UN News. Selon ce même rapport, ce sont 1300 millions de personnes qui “souffrent” d’un non-accès régulier “à une alimentation nourrissante et suffisante”. [124]

Est-il nécessaire de préciser que tous les articles de presse et tous les rapports de l’ONU (rédigés par l’OMS, par la FAO, par l’UNICEF, par l’IFAD, par le PAM) omettent, trop aisément, de mentionner que ce sont au moins 25 000/30 000 personnes qui meurent de faim, quotidiennement, sur la planète (principalement des enfants) selon leurs propres données officielles mais jamais publiées – à savoir une dizaine de millions de personnes, chaque année. C’est, néanmoins, un strict minimum car ces organisations mentent éperdument de par leur mission et fonction, à savoir celles de génocider le plus d’enfants possibles par l’affamement ou par la vaccination, tous les jours de l’année – tout en prétendant, la main sur le coeur, oeuvrer à la “disparition de la faim dans le monde”.

Si le confinement des Peuples et la destruction de leurs économies locales induit un doublement des populations en déficit de nourriture – à savoir qui souffrent de sous-nutrition – devons-nous en déduire, également, un doublement des décès quotidiens par affamement terminal, donc létal? Pire que cela selon David Beasley, le directeur du PAM à l’ONU, qui annonce une “pandémie de la faim”, «de multiples famines de proportion biblique d’ici quelques courts mois» et qui déclare, le 25 avril 2020: «sur une période de trois mois, cela serait 300 000 personnes mourant quotidiennement». [171] [172]

A savoir 90 millions de personnes mourant de la faim, en l’espace de trois mois, en raison du confinement dictatorial et inhumain orchestré par un gang d’eugénistes et de transhumanistes menés par Bill Gates et consorts – au prétexte d’un virus invisible et inexistant.

En avril 2020, des émeutes de la faim ont déjà éclaté an Afrique du sud, [208] au Vénézuela, [209] au Niger, [211] au Liban. [212]

Le 19 mai 2020, de très sérieuses émeutes de la faim ont éclaté à Santiago, la capitale du Chili. [262]

D’ailleurs, ce ne sont pas que les humains qui s’émeuvent et qui s’émeutent – de par le manque de nourriture… En effet, dans les grandes mégapoles, des armées de rats envahissent les rues et se battent pour les quelques déchets alimentaires – qui n’ont pas, déjà, été réquisitionnés par les sans-abris, par les pauvres, par les Sans-Dents. De par la pénurie alimentaire, les supermarchés jettent de moins en moins de nourriture avariée ou périmée et comme tous les restaurants sont fermés depuis des mois – par les Autorités Ecclésiastiques de la nouvelle Religion Coronavirale Universelle – des millions de rats citadins commencent à sortir de leurs tanières en quête de survie alimentaire. Dans de très nombreuses mégapoles de par le monde: New Orleans, New-York, Los Angeles, Bangkok… [217]

Selon les experts US en ratologie, aujourd’hui, les armées de rats des villes se battent pour de la nourriture ou pour se cannibaliser. Il semblerait, ainsi, que les experts du PAM aient omis de vectoriser la présence de multitudes de rats affamés dans leur scénario de “pandémies de la faim d’amplitude biblique”.

En Italie, en début avril, le gouvernement envoya 20 000 soldats, dans le sud du pays, afin de protéger les super-marchés et les distributeurs alimentaires à l’encontre du pillage et pour prévenir toute émeute de la faim – car certains supermarchés avaient déjà été dévalisés. [213]

Quant au Royaume-Uni, en début mai, la presse titrait que les chaines de supermarchés se préparaient à l’éventualité d’émeutes de la faim et que l’armée pourrait être missionnée afin de garder les entrepôts alimentaires. [210]

Vers la mi-avril 2020, la Food Foundation du Royaume Uni rapporta qu’au moins 1,5 millions de Britanniques ne mangeaient pas à leur faim, tous les jours et que 3 millions de personnes vivaient dans des maisons où une personne, au moins, avait du sauter un repas par manque de nourriture. [232]

Nonobstant, durant les neuf premiers mois de 2019, le Royaume-Uni exporta 45 000 tonnes de porc vers la Chine – à savoir le double eu égard à l’année d’avant. [245]

Le 21 mai 2020, la Food Foundation du Royaume Uni déclara que c’étaient 5 millions d’adultes et 1,7 millions d’enfants Britanniques qui souffraient d’insécurité alimentaire. Le niveau d’insécurité alimentaire serait de 250% plus élevé qu’avant le confinement. A savoir que ce sont 880 000 familles qui reçoivent des colis de nourriture de l’Etat tandis que 4,4 millions de familles comptent sur les amis, ou la famille, ou des volontaires, pour les aider alimentairement. Ce sont 15,4 millions de foyers qui ont rapporté une baisse de revenus induite par la fausse pandémie. [255]

Et en Chine, un pays de 1350 millions d’habitants? Fin mars, un document semi-officiel, émanant du Parti Communiste, conseillait aux familles Chinoises de stocker de la nourriture our une période de 3 à 6 mois: ce fut une panique générale dans les supermarchés qui furent dévalisées en quelques jours. [215] [216]

En fait, la Chine git dans une situation dramatique de pénurie de protéines de par l’impact catastrophique de la perte de la moitié, au moins, de son cheptel de porcs, en 2019, en raison de la “Grippe Porcine Africaine” – sans évoquer, même, la très grande déstructuration du pays suite au confinement dictatorial d’une grande partie de la population. C’est une partie de l’Asie du sud-est qui est confrontée, également, à de telles pénuries en protéines de par le fait que “Grippe Porcine Africaine” sévit dans 9 autres pays à proximité de la Chine.

Selon les analyses, d’octobre 2019, de Simon Quilty, la Chine, en 2020, sera confrontée à une perte de protéines de l’ordre de 28% – à savoir environ 20 millions de tonnes. Selon Quilty, les importations Chinoises, en 2020, vont augmenter de 40% pour le porc, de 57% pour le boeuf et de 66% pour la volaille – si tant est, bien évidemment, qu’il existe alors des sources d’approvisionnement provenant “d’ailleurs”. Selon cet analyste, il est plus probable que la Chine ait perdu 70% de son cheptel de porcs en 2019 – et non pas la moitié seulement – d’autant plus que c’est ce niveau de pertes qui a été enregistré au Vietnam. Quilty annonce une augmentation drastique et globale des prix, pour 2020, en ce qui concerne la viande de porc, de boeuf et de volaille. [254]

Simon Quilty affirme n’avoir jamais été témoin d’un tel déficit de protéines, sur la planète, en trente années d’analyses agricoles, et il estime que c’est le plus grand déficit en protéines auquel le monde sera confronté, en 2020, depuis un siècle.

En France, le 8 avril 2020, Géraldine Woessner, une serpillère journalistique experte en fake-news sionisantes, enfarinantes et mijotées au Point, sous-titrait: “Coronavirus : la France n’aura pas faim, mais les autres pays?”. Dans cet article, Woessner se prend pour Madame Soleil – une posture à risque en plein Grand Minimum Solaire – et déblatère que la France n’aura pas faim mais que, par contre «Certains de nos voisins européens sont dans une situation plus critique. Ainsi la Grande-Bretagne, qui importe plus de la moitié des légumes et 87 % des fruits qu’elle consomme…». [179]

Selon France-Bleu, un organe d’intoxication des Autorités, en date du 26 mars 2019, la France n’est pas vraiment mieux lotie car: «Plus de la moitié des fruits et légumes que nous mangeons sont importés de l’étranger». [180] C’est vrai… sauf quand les fruits gèlent à -10°C au mois d’avril, ou au mois de mai, comme cette année 2020 en Italie, en Grèce, en Slovénie, en Croatie, en Hongrie, en Serbie, en Pologne, au Portugal, etc.

En France, le 13 avril 2020, la France avait déjà faim, n’en déplaise à Géraldine Woessner… car RT titrait: “«Files de la faim» : des millions d’aide alimentaire de l’Etat durant l’épidémie… et après?” [157] «Les images de files d’attentes de la faim dans les quartiers populaires commençaient à se multiplier. Le gouvernement a répondu en débloquant en urgence, ce 23 avril, un budget de près de 39 millions d’euros pour un plan de soutien de “l’aide alimentaire en France”, destiné aux populations fragiles, impactées de plein fouet par la crise sanitaire résultant de la pandémie de Covid-19… Les ménages les plus modestes sont particulièrement en souffrance durant l’épidémie. Ils ne bénéficient plus des repas à prix restreints dans les cantines scolaires ou d’entreprise, et souffrent de l’augmentation des prix dans les commerces. Dans les quartiers populaires, les files d’attente devant les banques alimentaires ou les points de distributions de denrées s’allongent de jour en jour, comme en témoignent les associations».

Ainsi que le gesticulait, le sinistre de l’agriculture, Didier Guillaume, le 24 mars 2020: «Il n’y pas de pénurie… Il n’y aura pas de problème d’approvisionnement de l’alimentation». Mais, en fait, il y a “pénurie” et “pénurie”… du Latin “penuria” pour famine venant du Latin “penus” signifiant “vivres, provisions”. Le sinistre de l’agriculture voulait, sans doute, impliquer qu’il n’existe pas de pénurie alimentaire… mais, Juste, des humains “en situation de pénurie alimentaire”.

Percevez-vous bien cette différence fondamentale car elle est à l’aune de l’état des ressources financières? Il n’existe pas, non plus, de pénurie financière: elle est, Juste, concentrée dans la main de quelques centaines de voyous criminels psychopathes, et autres banksters, pendant que des milliards d’individus travaillent comme des esclaves… pour les engraisser. Et pour payer des impôts extravagants (afin de rembourser “la dette publique aux Banksters”) pendant que les multinationales, et les richissimes, sont réfugiés dans des paradis fiscaux. Tout va bien?

Dans le département de Seine St Denis, à la mi-avril 2020, ce sont près de 20 000 personnes qui sont considérées “en situation de pénurie alimentaire”. L’expression “pénurie alimentaire” est un euphémisme très apprécié, des serpillères journalistiques, pour exprimer le fait que des êtres humains ont faim… puisqu’il n’existe pas de pénurie! [158]

En France, en avril/mai, c’est la panique dans certains circuits de distribution – y compris bios: c’est la pénurie de céréales et de farine car les gens confinés cuisent plus de pâtisseries et de boulange alors que certains négoces confinés n’arrivent plus à expédier les marchandises tandis que d’autres déposent, tout simplement, le bilan… par manque de clientèle. [176] Les Autorités agricoles se veulent, néanmoins, rassurantes: il n’existerait pas de pénurie de céréales en France. C’est promis, juré.

Et les Autorités ne mentent jamais, n’est-ce pas? La preuve par la Mascarade de l’accès aux Masques pendant deux mois… et les chapelets de mensonges déglutis par les Macron, Castaner, Véran, Salomon…

… sans oublier ceux, tellement grotesques, de la potiche de service, Sibeth Ndiaye: «Parce que l’utilisation d’un masque, ce sont des gestes techniques précis, sinon on se gratte le nez sous le masque, on a du virus sur les mains ; sinon on en a une utilisation qui n’est pas bonne, et ça peut même être contre-productif. » [177]

Lorsque les Autorités psychopathiques mentent en se grattant, irrésistiblement, le nez – sous le masque – ce n’est parce qu’elles se prennent une dose de culpabilité, sur mode Pinocchio, lorsqu’elles nous déblatèrent des ignominies sur le CoYid/19… c’est, tout simplement, la cocaïne qui leur chatouille les narines – comme le chantait Eric Clapton.

She don’t lie, she don’t lie, she don’t lie ; cocaïne!!

En effet, selon les Autorités, la France – qui est, CocoriCovid, le premier producteur agricole Européen – ne pourrait jamais souffrir de pénuries alimentaires. Vraiment?

Quid, alors, de plus de la moitié des légumes et fruits provenant d’ailleurs – à savoir, d’Italie, d’Espagne, de Pologne, d’Amérique Latine, du Maroc, du Burkina Faso, du Sénégal…? Quid, alors, des 40% de volailles importées du Brésil, de Belgique, de Hollande, d’Allemagne ou de Thaïlande? Quid, alors, des 75% de riz provenant d’Asie du sud-est, du Portugal, de la Grèce, de l’Espagne ou de l’Italie? Quid, alors, du quart de la viande de boeuf importée d’Allemagne, d’Angleterre, d’Irlande, du Brésil et des USA? Quid, alors, de la quasi-totalité de la viande d’agneau qui provient d’Angleterre ou de Nouvelle-Zélande? Quid, alors, du tiers de la viande de porc importée?

Le marché du porc, en France, est, premièrement, sous le contrôle des Chinois et, secondement, sujet à des va et vient interminables. 98% de la viande fraîche de porc serait nationale. Par contre, en ce qui concerne la charcuterie, 70%, seulement, de la production serait nationale. Globalement, la France exporte 40% de ses produits de porcs et en importe 35% – plus particulièrement les jambons cuits… Tout va bien?

Quid alors de la farine importée d’Allemagne? Selon Jean-François Loiseau, le Président de la coopérative céréalière Axéréal: «La France, malgré ses excédents, importe plus de 250 000 tonnes de farine d’Allemagne. Cela représente plus d’un paquet de farine sur deux vendus en grande distribution». Et de rajouter, eu égard aux batailles (présumées) entre la grande distribution et les industriels: «Aujourd’hui, la grande distribution pleure car elle ne trouve plus de farine. Mais quand tout allait bien, elle ne nous faisait pas de cadeau et préférait aller se fournir ailleurs». [178] Vers la mi-mars 2020, en effet, les fournisseurs Allemands ont annulé tous leurs contrats afin de favoriser leur propre marché intérieur – d’abord.

La France manque de farine non parce qu’elle manque de blé vu qu’elle exporte, annuellement, la moitié de sa production de 35 millions de tonnes de blé tendre. Elle manque de farine, pour la consommation domestique, car ce sont les Allemands qui contrôlent l’empaquetage des petits volumes destinés à la Grande Distribution – qui s’est laissée enfariner… Encore heureux que les supermarchés ne souffrent pas d’une pénurie de pain de mie en raison de cet excès de fausse pandémie… car le Peuple, outré, déconfit et déconfiné, risquerait, alors, de descendre dans les rues!

Pour rebondir sur le thème de la non-autonomie alimentaire Française, le journal LibéronsSion, le 8 avril 2020, s’est fendu d’une tranche d’hypocrisie surréaliste et monumentale dans un article titrant “Covid-19: pour une agriculture et une alimentation du XXIe siècle”. [242] Cette “tribune” propose les découvertes d’un “collectif d’élus” (socialistes… car ils existent encore) eu égard aux «enjeux stratégiques de l’agriculture et l’alimentation pour notre sécurité et notre souveraineté». Ces hypocrites socialistes prétendent, ainsi, se réveiller de la torpeur dans laquelle ils se sont vautrés depuis un siècle et demi de marxisme, de néo-darwinisme et d’agriculture chimique et chimérique – sur mode Liebig-Möser. Pour les citer: «Le Covid-19 est une alerte qui annonce d’autres crises sanitaires ou environnementales, liées au dérèglement climatique ou à la dégradation des écosystèmes et de la biodiversité…. Du fait de leur impact sur les écosystèmes, certaines pratiques agricoles, comme nos habitudes alimentaires, contribuent au risque d’émergence de nouveaux agents infectieux. Il est devenu indispensable d’organiser la transition vers des modèles de production et de consommation qui soient, au long cours, générateurs de santé. Les agriculteurs sont de plus en plus nombreux à s’engager dans cette voie. Il s’agit d’accélérer ce mouvement en organisant la transition de nos modèles agricoles vers des systèmes agroécologiques plus diversifiés et une alimentation plus territorialisée». Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser de suite?

Ces élus socialistes ont, ainsi, l’outrecuidance de proposer “des principes directeurs d’une politique de gauche pour l’agriculture et l’alimentation”, d’en appeler à l’agro-écologie, de se référer à un nouveau Green Deal Européen et d’invoquer l’Europe comme “boussole dans la globalisation”. Ce sont ces mêmes socialistes qui furent au pouvoir, en France, pendant de très longues années, et qui sont les sujets de l’ouvrage, du journaliste Fabrice Nicolino,“ Pesticides. Révélations sur un scandale français”, publié en 2011.

Dans la même gamme de serpillères politiques, dont la mission est de pressuriser la France du bas, le député, et vice-président des Républicains, Guillaume Peltier a proposé de supprimer jusqu’à cinq jours de RTT, afin de créer une nouvelle enveloppe budgétaire destinée, selon ses termes, à “sanctuariser la santé et l’agriculture”. Ne faudrait-il pas, plutôt, “sanctuariser” le tissu social Français en en éliminant, définitivement, toute la gente politique corrompue jusqu’à la moelle?

En Suisse, en début avril 2020, dans l’un des plus grands supermarchés de Zurich, Coop Sihlcity, les étalages de fruits et de légumes étaient intégralement vides… alors que les Suisses ne stockaient pas de la nourriture en panique. [234]

A Genève, selon le titre de Sputnik “Une file de 1,5 km à Genève pour de la nourriture”: «Des milliers de personnes ont formé une file d’attente de près de 1,5 km à Genève où se déroulait une distribution de nourriture pour la sixième fois, indique l’AFP». [165]

Confinement des travailleurs migrants saisonniers dans leur “sud” natal.

Dans la continuation de leur programme de dissémination de mensonges, de distorsions, de dissimulations et de dissonances cognitives, les gouvernements des pays Européens à la solde des Banksters globalistes – qui, par ailleurs, font mine de pleurnicher sur la destruction du tissu économique qu’ils ont eux-mêmes orchestrée – en appellent aux bonnes volontés du peuple (confiné) pour aller travailler dans les champs… car les frontières sont fermées et, donc, ne permettent pas le flux normal des travailleurs migrants saisonniers en provenance du “sud”.

En avril 2020, lorsque la Pologne ferma ses frontières avec l’Allemagne, cela provoqua un bouchon de 60 kms de camions, emplis de marchandises inertes, ou d’animaux vivants. Certains camionneurs mirent 18 heures pour arriver à passer. L’ONG Animals International en profita pour exiger l’arrêt du transport d’animaux vivants… pour protéger la santé publique à l’encontre des pathologies zoonotiques. [246] On se rappellera qu’en début 2020, une partie de la population de la Lombardie, au nord de l’Italie, fut vaccinée à l’encontre de la méningite au prétexte que les migrants Africains clandestins étaient, également, porteurs de pathologies zoonotiques.

Dans un communiqué commun, suintant une grandiosité d’hypocrisie abjecte, le Chinois Qu Dongyu, l’Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus et le Brésilien Roberto Azevedo – les trois Guignols pathétiques en charge de la FAO, de l’OMS et de l’OMC – ont lancé l’alarme quant aux risques de pénuries alimentaires en raison disent-ils «du ralentissement de la circulation des travailleurs de l’industrie agricole et alimentaire», «du gâchis de produits périssables et d’une hausse du gaspillage alimentaire… en raison des retards aux frontières pour les containers» et «des incertitudes liées à la disponibilité de nourriture qui peuvent déclencher une vague de restrictions à l’exportation»[236]

Les trois Guignols globalistes accusaient, en fait, indirectement, la Russie de Poutine de limiter ses exportations de blé… et de provoquer des famines dans les pays pauvres Africains. Sans commentaires… car le scandale, très quotidien, de la mort de 25 000 ou 30 000 personnes, par affamement, dépasse amplement le cadre de ce présent dossier sur la guerre alimentaire.

Ainsi, le 19 mars 2020, le Royaume-Uni faisait appel aux Britanniques pour aller travailler dans les champs récolter les carottes, les fraises… car ce pays a normalement besoin, annuellement, de 70 000 travailleurs saisonniers. [131]

Vers la mi-avril 2020, le Royaume-Uni a commencé à organiser le transfert, par avion charter, de milliers de travailleurs saisonniers en provenance de Roumanie et de Bulgarie. [252]

Ainsi, le 18 mars 2020, les agriculteurs Allemands lançaient l’alerte car la récolte d’asperges était gravement compromise par le manque de main d’oeuvre. A Brandebourg, par exemple, 20% seulement des 2300 travailleurs saisonniers, attendus pour la récolte d’asperges, avaient réussi à franchir les frontières fermées. [161] Ce sont environ 300 000 travailleurs saisonniers qui sont, chaque année, en charge d’une partie des travaux agricoles en Allemagne – et, bien sûr, en charge des récoltes, principalement, pour un salaire de 13 ou 14 euros de l’heure.

Le 10 avril 2020, des milliers de saisonniers Roumains attendaient leur vol pour l’Allemagne – à l’aéroport de Cluj. Une quinzaine d’avions charters étaient prévus pour l’Allemagne et ce n’est pas le gouvernement Roumain qui les empêchait de partir car la fausse pandémie avait déjà généré 1 million de chômeurs – dans ce pays de 19 millions d’habitants. [235]

En avril 2020, la Bavière a annulé son festival d’automne, Oktoberfest, qui avait drainé, en 2019, 6 millions d’amateurs de bière – pour un chiffre d’affaires local d’1,3 milliard d’euros. Les 1600 brasseries Allemandes sont dans la panique car le manque de main d’oeuvre pourrait entraîner leur faillite, en passant par la faillite des agriculteurs de ce secteur, et une pénurie grandiose de bière pour l’année à venir.

La situation de la bière est d’autant plus dramatique en raison des limites de consommation. Par exemple, au Royaume-Uni les 39 000 pubs et cafés ont en moyenne une quinzaine de barriques (de 50 litres) de bière en stock. De par le confinement coronaviral, les pubs sont fermés et les bières ne sont plus vendables… mais les tenanciers ne peuvent pas même les recycler, dans les caniveaux, car cela est interdit, par la législation, pour motif de pollution environnementale. [219]

En France, le 7 mai 2020, le journal l’ImMonde titrait: “«Nous sommes inquiets pour la récolte en juin-juillet»: les agriculteurs recherchent toujours des bras”. Pourtant, le sinistre de l’agriculture, Didier Guillaume, le 24 mars 2020, s’était fendu d’émouvances et avait solennellement lancé: «un appel à l’armée de l’ombre des hommes et des femmes» qui «n’ont plus d’activité» en raison de la crise du coronavirus, «à rejoindre la grande armée de l’agriculture française», en quête de main-d’œuvre. [181] Le sinistre de l’agriculture avait, même, qualifié cette grande armée: «la grande armée de l’agriculture française, ceux qui vont nous permettre de nous nourrir de façon propre, saine»… mais ce n’est pas le sujet de ce dossier de commenter de telles divagations ministérielles… alors que l’agriculture Française est l’une des plus contaminantes, cancérisantes et toxiques au monde.

La France serait, ainsi, en guerre contre un ennemi très invisible, le CoqueVide/19, et son armée de l’ombre (les chômeurs) serait donc conviée à rejoindre la grande armée du soleil (les agriculteurs)… qui, nonobstant, préfèrent, de très loin, accueillir les travailleurs saisonniers du très lointain sud qui, eux, ne rechignent pas à travailler sous le dit soleil.

Didier Guillaume avait, donc, créé une plate-forme très médiatisée – “Desbraspourtonassiette” – une semaine après l’intronisation forcée, par la Macronie déliquescente, de cette nouvelle religion du confinement coronaviral et de la distanciation sociale. Cette plate forme s’est, alors, avérée être un échec total et ses responsables ont du expliquer aux 284 000 candidatures “spontanées” que «les agriculteurs souhaitaient une main-d’œuvre experte, productive et disponible jusqu’à la fin de la saison». [132]

A savoir que les agriculteurs, dont le métier professionnel est de produire de la nourriture, n’ont pas l’envie, ou l’intention, de se prendre la tête avec des bras cassés émanant des cités confinées – dont la motivation essentielle, et très compréhensible, de la plupart est d’échapper au confinement… sans prendre la mesure exacte, ou la démesure, du “bucolisme” des travaux des récoltes, en plein champ, sous le soleil de plomb ou sous la pluie battante.

Ce sont, en effet, de 200 000 travailleurs saisonniers dont les agriculteurs Français ont grand besoin, à partir du mois d’avril, mais, de préférence formelle, des travailleurs étrangers. C’est ainsi que s’exprime la présidente Lambert de la FNSEA: «Il y avait auparavant des étrangers qui venaient pour cueillir dans les exploitations, ils ne peuvent plus venir mais c’est une nécessité pour les agriculteurs…».

Mais, parfois, ils peuvent cependant venir… La preuve, en Irlande, lorsqu’une entreprise fruitière, en plein confinement, a affrété un avion charter pour convoyer, de Bulgarie, un contingent de travailleurs migrants Bulgares pour la cueillette des fraises. [196]

Et quand ils ne peuvent pas venir… c’est, parfois, qu’ils sont déjà là. L’Italie, qui est le second producteur de fruits et légumes d’Europe, risquait de perdre 40% de ses récoltes de fruits et de légumes – du moins celles qui n’avaient pas gelé au printemps… parce que 300 000 travailleurs saisonniers étaient repartis vers leur pays d’origine – à savoir l’Europe de l’est et, en particulier, la Roumanie – pour cause de fausse pandémie. Mi-avril, donc, le gouvernement Italien a décidé d’accorder un titre de séjour à 200 000 migrants clandestins. [197]

Selon la ministre de l’Agriculture, Teresa Bellanova, «Les associations d’employeurs indiquent une pénurie de main-d’œuvre saisonnière entre 270 000 et 350 000 travailleurs». Selon elle encore, ce serait 600 000 travailleurs clandestins qui sont exploités, par la mafia, sur le territoire Italien, en temps normal.

Comme les migrants illégaux sont déjà là, également, en France – une courtoisie du Pacte de Marrakech dont l’objectif est de métisser l’Europe afin de la détruire de fond en comble – le sioniste vert et soutien éternel de la Macronie, l’abject Daniel Cohn-Bendit, appelle à régulariser 100 000 clandestins qu’il qualifie de “combattants de la France contre le virus”. [198] Sans commentaires… car le génocide perpétuel des Peuples d’Europa, depuis deux millénaires, dépasse le cadre de ce dossier sur la destruction de l’agriculture et l’affamement mondial.

Au sujet de la destruction, programmée par les Sionistes et Néo-Sionistes, des Peuples d’Europa au travers d’un métissage intégral – dans le cadre de leur nivellement universel sous guise de Tikun Olam – j’invite les curieux à consulter un article du 27 avril 2020 intitulé “Replenished grocery stores tomorrow rely on migrants’ work today”. [199] Il a été publié sur le site de l’Open Society de l’eugéniste Georges Soros – qui finance des milliers d’ONGs vertueuses, et jewsticières, dont l’objectif est d’universaliser certaines baudruches des globalistes telles que le Féminisme, le Réchauffisme, le Pandémisme, le LGBTisme, le Véganisme, le Communautarisme…

Des exportations de céréales sous haute surveillance.

Au printemps 2020, suite à l’effondrement des circuits conventionnels de distribution alimentaire, le Kazakhstan fut l’une des premières nations à interdire l’exportation de diverses denrées alimentaires: les oignons, la blé, la farine de blé, le sarrasin, le sucre, les carottes et les pommes de terre. La Serbie a stoppé ses exportation d’huile de tournesol. La Russie et l’Ukraine ont également commencé à restreindre les exportations de blé. En avril, la Russie a également décidé de stopper toute exportation, jusqu’au 1er juillet, d’orge, de seigle, de maïs et de méteil. [194]

Selon les analyses du Ministère de l’Agriculture US, si la Russie continue de limiter ses exportations, ou si elle souffre d’une saison de culture qui s’annonce en sécheresse, elle risque pour la saison 2019/2020 de perdre sa première place mondiale d’exportateur de blé et de descendre au même niveau d’exportation que les pays Européens, à savoir 34 millions de tonnes. Quant à l’Ukraine, elle se situe à un niveau d’exportation de blé de 20 millions de tonnes.

En début avril, la Roumanie – le second exportateur de céréales en Europe – a interdit l’exportation de céréales vers des pays en dehors de l’Union Européenne. Les clients privilégiés de la Roumanie sont normalement l’Egypte, la Jordanie, le Soudan, la Thaïlande et la Corée du sud. La Roumanie est également le plus gros exportateur Européen de maïs et elle exporte également de l’orge.

Le Vietnam – le troisième exportateur mondial de riz, avec 14% du marché, en particulier à destination des Philippines – a stoppé, en mars, ses exportations de riz et le Cambodge en a fait de même.

Les Philippines constituent le plus gros importateur de riz de l’Asie du sud-est avec 2,9 millions de tonnes importées en 2019 et 2,5 millions de tonnes prévues en 2020. Le stock national de riz aux Philippines n’est, présentement, que de deux mois. Les Philippines ont tenté d’importer du riz en provenance du Myanmar mais ce dernier vient de limiter également ses exportations.

Le Vietnam a exporté 6,6 millions de tonnes de riz en 2018. Les importations Chinoises de riz, en provenance du Vietnam, ont augmenté de 595% durant les deux premiers mois de 2020 (66 000 tonnes). Ce sont de très grosses cargaisons de riz qui étaient bloquées dans les ports du Vietnam et du Cambodge lorsque le gouvernement a annoncé, à la mi-avril, qu’il débloquait les exportations de riz mais à hauteur seulement de 400 000 tonnes pour le mois d’avril et autant pour le mois de mai – à savoir 50% de moins que l’an passé à la même époque.

Au Vietnam, devant l’étendue de la crise alimentaire, un entrepreneur a installé des machines de distribution de riz gratuit, à Ho Chi Minh: les familles au chômage peuvent, ainsi, récupérer 1,5 kg de riz quotidiennement afin de se nourrir. [68]

Quant à la Thaïlande – le second exportateur mondial de riz avec 23% du marché: elle a exporté 11,1 millions de tonnes de riz en 2018 et 7,8 million de tonnes en 2019 – il est prévu qu’en 2020, elle n’en exporte pas plus que 7,5 million de tonnes. Aujourd’hui, la Thaïlande n’est pas très pressée de voir son riz exporté vers les Philippines car le marché international est très perturbé et les prix sont au plus haut depuis 7 ans. Depuis le mois de janvier 2020, ils ont augmenté, dans ce pays, de 20 à 30 % et continueront d’augmenter jusqu’à la prochaine récolte du mois d’août – qui risque d’être très basse.

En effet, en sus du CoqueVide/19, le Laos, le Cambodge, la Thaïlande et le Vietnam doivent faire face à une terrible sécheresse qui risque de perdurer, encore, durant une partie de l’année 2020. La principale zone de culture, en Thaïlande, est le long de la rivière Chao Phraya tandis que la principale zone de culture, au Vietnam, est dans le delta du Mékong. La situation du Mékong – dont sa salinification – est d’autant plus dramatique qu’il existe 11 barrages, en Chine méridionale, avec une dizaine de plus en projet de construction.

Depuis août 2019, le déficit en pluie, dans les régions en aval du Mékong et du Chao Phraya, est de l’ordre de 30%. Si la sécheresse se maintient, la récolte de riz en juillet 2020 risque de diminuer de moitié en Thaïlande. Les deux pays les plus impactés par cette sécheresse sont la Thaïlande et le Cambodge.

Quant à l’Indonésie, elle possède 3,5 millions de tonnes de riz en stock après en avoir importé 600 000 tonnes l’an passé – et être supposée en importer 1 million de tonnes en 2020. Le gouvernement se dit disposé à en importer rapidement afin de juguler la hausse des prix – due à la situation de panique induite par la fausse pandémie – de même qu’il l’a, déjà, fait avec le sucre et l’ail.

Selon l’USDA, le niveau d’exportation de riz est supposé être d’environ 45,3 millions de tonnes en 2020. La production mondiale de riz est d’environ 500 millions de tonnes – principalement pour la consommation domestique.

Quant à l’Inde – le premier exportateur mondial de riz avec 9,8 millions de tonnes exportées en 2019 – elle est, en partie, à l’arrêt économique de par le fait que près de 25% de la population est en chômage en raison du confinement débile qui lui a été imposé. Aujourd’hui, ce sont 400 000 tonnes de riz non basmati ainsi que 100 000 tonnes de riz basmati, prêtes à exporter, qui sont coincées dans les ports – en raison du confinement. [71]

Au 3 mai 2020, l’Inde – un pays de 1350 millions d’habitants – avait 1323 décès attribués au CoqueVide/19 depuis fin janvier. Rappelons que ce sont 2700 personnes qui décèdent, quotidiennement, de pathologies respiratoires, dans ce pays. De plus, ce sont environ deux millions de personnes qui y sont décédées, durant le même laps de temps, de causes diverses et variées. Sans commentaires.

Le confinement dictatorial de toute la population de l’Inde, le 25 mars – devant être mis en application sous quelques heures – a laissé 120 millions de travailleurs migrants sans argent pour leur loyer, leur nourriture ou leur transport – pour tenter de rejoindre leur région natale, à savoir l’est du pays. Les paysans de l’Inde ont été réduits à nourrir leur bétail avec leurs récoltes non commercialisables – telles que les laitues, les fraises, etc…

Cette situation de pénurie en riz risque d’exacerber la crise alimentaire dans des pays comme la Chine, l’Indonésie ou le Nigéria qui sont déjà terriblement impactés par la fausse pandémie et/ou la baisse de la consommation mondiale de pétrole. Le Nigeria est le second importateur de riz, après la Chine, à hauteur de 3,4 millions de tonnes en 2019. De plus, les importations de riz sont, également, en augmentation à destination de la France, de l’Irak, de la Russie, de la Malaisie, de Taiwan et du Sénégal. [67]

Selon Jean Balié de l’IRRI, [70] il n’existe aucun problème de pénurie alimentaire en ce qui concerne le riz – sur le court terme, du moins. La Chine consomme annuellement 143 millions de tonnes et aurait un stock de 113 millions de tonnes – non pas selon ce qu’en informe la Chine mais selon les analystes du Ministère de l’Agriculture aux USA. Quant à l’Inde, elle consomme annuellement 102 millions de tonnes et elle aurait un stock de quelques mois… d’autant plus que durant les 9 derniers mois de 2019, les exportations de riz non basmati sont passées de 5,7 à 3,5 millions de tonnes.

Selon Jean Balié, le prix de vente pourrait continuer à augmenter en raison du manque de travailleurs dans les champs – qui sont confinés; en raison du fait que les chaines de distribution sont complètement perturbées sinon cassées – à cause du confinement; et en raison du manque de capitaux disponibles pour les petits paysans pauvres qui sont obligés de gérer la fausse pandémie du CoqueVide/19 en sus de la sécheresse et de la fluctuation des marchés.

Lorsque les chaines de distribution ne fonctionnent plus, cela signifie que les récoltes de riz ne peuvent plus être acheminées des fermes des paysans vers les vecteurs ou centres de distribution. Cela signifie, également, que les paysans ont de la peine à avoir accès aux semences améliorées (vu que les semences des variétés traditionnelles ont été éradiquées par la Révolution Verte) et aux fertilisants de synthèse (vu que les pratiques traditionnelles de fertilisation bio ont été éradiquées par la Révolution Verte).

Ce qui pourrait provoquer également une augmentation du prix du riz est l’attitude de la Chine au cas où elle serait confrontée à de mauvaises récoltes, en 2020, ou au cas où elle déciderait de stocker encore plus pour des raisons de pénurie impactant d’autres secteurs alimentaires.

En Chine, vers la mi-février 2020, ce sont plus de 100 millions de jeunes poulets qui ont été détruits de par l’incapacité des éleveurs de les nourrir en raison des restrictions d’acheminement de nourriture animale. [15] Par exemple, fin janvier, dans la province d’Hubei, ce sont plus de 300 millions de volailles qui étaient dans une situation de pénurie alimentaire, proche de l’affamement, car cette province ne pouvait pas réceptionner les 1800 tonnes de maïs et les 1200 tonnes de soja dont elle nourrit, quotidiennement, ses animaux d’élevage. [195]

Au printemps 2020, la situation agricole en Chine était d’autant plus exacerbée par le fait qu’une grande partie des fertilisations synthétiques agricoles proviennent de la province d’Hubei – et que la pénurie nationale était de l’ordre de 40% selon les analystes.

C’est pour cela que, fin février, le gouvernement Chinois a donné comme consignes urgentes, aux gouverneurs de province, de veiller à ce que les paysans soient bien déconfinés, avant l’heure, afin d’assurer les semis de riz qui représentent la moitié de la surface cultivée en Chine – d’autant plus que certains villages Chinois – terrifiés par le virus invisible – bloquaient les routes afin d’empêcher les paysans de circuler dans les champs. [174]

Rappelons que la Chine jongle, perpétuellement, avec la pénurie alimentaire. Ainsi, par exemple, 90% du soja consommé en Chine (principalement pour l’huile ou pour la nourriture animale) est importé d’ailleurs – à savoir principalement du Brésil et des USA – à hauteur de 88 millions de tonnes en 2019 et, même, de 95 millions de tonnes en 2017. Ke Bingsheng, l’ancien président de la China Agricultural University, expliquait, l’an passé, que si la Chine cultivait, elle-même, le soja dont elle a besoin, la totalité de ses territoires agricoles du nord et du nord-est ne seraient pas suffisants. En 2017, la Chine importa la valeur de 21 milliards de dollars de soja Brésilien et, en 2018, la valeur de 29 milliards de dollars. https://en.mercopress.com/2019/04/26/first-shipment-of-brazilian-chicken-to-india-in-a-year-when-the-world-faces-a-shortage-of-meat-protein [220]

Il ajouta, même, que l’importation de soja permettait à la Chine de préserver, écologiquement, son environnement. L’importation de soja, en effet, est une manière déguisée d’importer de la terre et de l’eau et de confier à d’autres, tel que le Brésil, la gestion de l’impact écologique induit par la destruction de ses forêts tropicales transformées en terres agricoles – du moins, pendant quelques années, en attendant que l’érosion et le glyphosate les latérisent et les transforment en déserts stériles.

Une “Grippe Porcine Africaine” orchestrée pour annihiler des millions de petits éleveurs?

Et lorsque l’on évoque des pénuries impactant des secteurs alimentaires Chinois, on ne peut que se poser des questions troublantes eu égard à la récente pandémie de “Grippe Porcine Africaine”. Selon la thèse officielle Chinoise, ce serait environ la moitié des 433 millions de porcs Chinois qui ont été décimés par cette pandémie, en 2019.

Si la Chine a été désignée, par les banksters globalistes, comme le premier pays inaugurant des mesures “communistes” ou “soviétiques”, donc dictatoriales, afin de lutter contre une pandémie coronavirale inexistante et fabriquée de toutes pièces, il semble sage de tenter d’élucider à qui profite le carnage grippal déclenché par les Autorités Chinoises dans le secteur porcin.

En effet, en Chine, les consignes étaient de détruire tous les porcs dans un rayon de trois kilomètres… dès la moindre suspicion d’un cas de Grippe Porcine Africaine. Nombreuses sont les voix, éveillées, qui clament qu’une telle pandémie porcine va ruiner de très nombreux petits producteurs/éleveurs qui ne s’en relèveront jamais… d’autant plus que le CoqueVide/19 inexistant, mais confinant, a tout fait pour les garder à genoux pendant plusieurs mois.

En Chine, c’est encore 40% de la production de porcs qui provient de petites fermes d’élevage (à savoir moins de 500 porcs) qui sont, ainsi, au nombre de 2,6 millions. Le nombre de porcs abattus en Chine est, annuellement, de 700 millions générant plus d’une cinquantaine de millions de tonnes de viande.

Voir l’excellent article de GRAIN intitulé “L’élevage industriel sous l’emprise des pandémies en série”. [290]

La Mafia agro-alimentaire Chinoise ne peut que se réjouir de cette pandémie, à l’échelle nationale, de peste porcine – orchestrée ou imaginée – car elle va subséquemment récupérer toute la mise… d’autant plus que les Banques se feront un plaisir de leur prêter beaucoup d’argent afin de relancer des méga-fermes de dizaines de milliers de porcs – sous 5G.

En effet, en Chine, les nouvelles infrastructures qui sont mises en place, dans l’artillerie lourde des élevages porcins, ne peuvent que se faire pâmer, de joie perverse, les eugénistes tels que Bill Gates, Jacques Attali, Anthony Fauci, etc, dont le rêve est de pucer, de surveiller, et de tracer, tous les humains de cette planète. La technologie Chinoise est en cours d’installation d’unités d’élevage de porcs, en 5G, [166] qui font appel à la reconnaissance faciale, à la reconnaissance des voix, à la surveillance par capteurs ans l’oreille de la température… non pas des employés mais des cochons!!

Les employés, en bons Chinois très obéissants, sont déjà reconnus facialement, reconnus vocalement, hyper-surveillés, espionnés, cryptés digitalement, par le tout-puissant Etat Chinois – l’héritier direct du Judéo-Bolchévisme Soviétique. D’ailleurs, les Globalistes ont entamé une seconde offensive coronavirale, le 12 mai 2020, en décidant de “tester” – en l’espace de 10 jours – la totalité des 14 millions de résidents de la ville de Wuhan. Sauve qui peut! [167]

C’est, d’ailleurs, la France qui participe à l’effort de guerre Chinois visant à remettre les porcheries dans le droit chemin sanitaire – car, ainsi que je l’ai mentionné, en milieu d’essai, c’est la société Chinoise WH Group qui a racheté le groupe US Smithfield Foods qui est, lui-même, le propriétaire de toute la charcuterie Française. En effet, depuis le début de l’année, en date du 2 avril, ce sont déjà 6 avions qui ont transporté plus de 4000 reproducteurs porcins Français sous l’égide de la compagnie Axiom, le leader Français de la génétique porcine – qui distribue ses doses (d’insémination artificielle) par millions et qui possède plus de 35% des parts de marché en France. [170] La filiale d’Axiom, France Pig Breeding, est implantée à Shanghai et son contrat, pour l’année 2020, est de fournir 10 000 reproducteurs porcins à la Chine – et plus pour l’année 2021. [168] [169]

Adénia et Youna sont les deux types de cochettes parentales commercialisées par Axiom. Axiom est né de la fusion de deux structures, ADN et Gène+/Triskalia. Triskalia et Groupe d’Aucy ont donné naissance, le 1er janvier 2020, au groupe Eureden dont le logo est “la Terre nous réunit”. Leur moto est le suivant: “Bien nourrir est la plus essentielle des missions dans le monde. C’est la nôtre et nous en sommes fiers.” N’est- ce pas émouvant?

Faut-il, encore, préciser que les éleveurs porcins figurent parmi les plus grands pollueurs agricoles, des nappes phréatiques, de la Bretagne et de la France? Car, malheureusement, les 2500 éleveurs bios (qui élèvent 40 000 porcs) ne représentent qu’environ 0% de la production Française – qui est de 25 millions de porcs abattus annuellement.

Les 10 000 reproducteurs porcins sont expédiés, vers la Chine, à partir de l’aéroport de Brest. Pour éviter, au maximum, tout risque de contamination virale, ou coronavirale, les porcs sont, bien évidemment, hyper-vaccinés, masqués du groin et acheminés, dans les avions, dans le respect le plus absolu de la distanciation sociale porcine mise en place par la Macronie déliquescente.

Ce sont également 500 porcs, issus de la génétique Franco/Hollandaise, qui ont été expédiés de la France vers la Chine – par Topigs Norsvin France. Topigs Norsvin est l’un des leaders de la génétique porcine mondiale qui produit, annuellement, 1 800 000 cochettes et plus de 11 millions de doses pour l’insémination artificielle.

La Chine a besoin, en fait, de 150 avions-cargo de porcs reproducteurs, en 2020, pour relancer son secteur porcin. En raison de la Grippe Porcine Africaine, et de la Grippe Humaine Coronavirale de Bill Gates, les processus d’acheminement sont complexes car les porcs sont en quarantaine avant de prendre l’avion et, de nouveau, à la sortie de l’avion, en Chine, pendant 45 jours.

En raison du confinement coronoviral, les prix des denrées alimentaires sont déconfinés.

En Indonésie, le sucre est un sujet de pénurie et son prix au kilo a, récemment, augmenté de 46% – supposément en raison de la perturbation des circuits mondiaux de distribution alimentaire due à la fausse pandémie. Les Indonésiens consomment 230 000 tonnes de sucre mensuellement. En mars 2020, les producteurs locaux n’ont produit que 42 000 tonnes en raison de retards de récolte dus à la sécheresse. Le gouvernement a, ainsi, permis l’importation de 683 000 tonnes de sucre brut – dont seulement 41% a été réceptionné en date du 20 avril, en raison du confinement mondial. [121] En fait, d’ici le début 2021, l’Indonésie souhaite importer près d’1,5 million de tonnes de sucres brut, à savoir 11 fois plus que l’an passé.

D’ailleurs, en Indonésie, ce sont des centaines de milliers de pécheurs qui sont en train de sombrer dans la pauvreté de par une baisse de 70% du marché. En effet, en raison de la fausse pandémie, la consommation de poisson a drastiquement baissé, ainsi que les exportations vers la France, l’Italie, la Hollande, les USA, la Chine, la Thaïlande et Taiwan. [69]

Au 6 avril 2020, l’Indonésie – un pays de 270 millions d’habitants – avait 209 décès “attribués” au CoqueVide/19. Sans commentaires.

Au Pakistan, la population est confrontée à une pénurie drastique de sucre. Le prix du sucre est passé de 50 roupies le kilo en avril 2018 à 85 roupies le kilo en février 2020. Le Pakistan, le 10 février 2020, a initié un moratoire sur ses exportations de sucre après en avoir exporté 100 000 tonnes – sur un quota autorisé antérieurement de 300 000 tonnes. Et il a, ensuite, décidé d’en importer 300 000 tonnes afin de stabiliser les prix domestiques.

En fait, la pénurie de sucre est mondiale. La Brésil a été confronté à une baisse de 66% de production dans sa région la plus sucrière du pays, à savoir le centre-sud. Le Mexique a enregistré une baisse de 25% de sa production. La Thaïlande est confrontée à une baisse de production de plus de 25% en raison de la sécheresse qui sévit dans la pays.

L’Inde, durant la dernière saison, n’a produit que 26 millions de tonnes de sucre – versus 32 millions de tonnes durant la précédente saison. Il y a quatre ans, sa production était même tombée à 20 millions de tonnes et le gouvernement de Modi a donc pris des mesures pour en stocker. Aujourd’hui, le stock de sucre de l’Inde est de 14,5 millions de tonnes et c’est grâce à ce stock que l’Indonésie et la Malaisie peuvent en importer pour gérer leur propre pénurie domestique.

De par le fait de l’effondrement de l’économie mondiale – mise à l’arrêt par le confinement pandémique – la demande en pétrole a drastiquement baissé rendant non compétitive la production d’éthanol (un nécro-carburant) à base de betterave à sucre ou de canne à sucre. Une partie de la production de ce sucre, à usage d’éthanol, est, donc, redirigée vers la consommation alimentaire.

Selon le très récent rapport de la FAO, en date du 7 mai 2020, intitulé “Global food commodity prices drop further in April” [122], au cours des mois de mars et d’avril 2020, les prix des denrées alimentaires de base (sucre, huiles, viandes, produits laitiers et maïs) sont à la baisse à l’exception du blé et du riz – qui fluctuent en fonction des moratoires et des contre-moratoires à l’exportation. Pourquoi? En raison du confinement pandémique tout d’abord mais surtout en raison d’un appauvrissement généralisé des populations suite à la destruction des économies locales orchestrées par les criminels globalistes.

En janvier 2020 – à savoir avant le déclenchement officiel et orchestré de la fausse pandémie du CoqueVide/19 – la chaîne de distribution alimentaire, Whole Food, rachetée par Amazon, a informé ses clients qu’ils devaient faire face à d’immenses pénuries de céréales, de haricots, de lentilles, etc, de par la faillite de nombreux de leurs fournisseurs – qui n’ont plus rien à vendre. Les deux dernières années ont vu un effondrement de la capacité de l’Amérique du nord de produire de la nourriture. Pourquoi? Parce que c’est une catastrophe agricole sans précédents dans tout le Canada et dans le nord et centre des USA – à cause, du froid, de la neige, des précipitations et donc des inondations – en ce qui concerne le maïs, les haricots, les betteraves à sucre, les pommes de terre… et, bien entendu, les semences de ces diverses cultures.

Au Canada, en 2019, le prix des légumes a, globalement, augmenté de 15%. Les Canadiens sont conscients que les prix alimentaires augmentent beaucoup plus rapidement que leurs revenus financiers et certains sont déterminés à changer leurs habitudes alimentaires et, par exemple, à restreindre leur consommation de viande. 75% de la viande Canadienne exportée l’est vers les USA et le reste vers une cinquantaine d’autres pays.

3. Destruction de l’Agriculture/Elevage, aux USA, au Prétexte d’une Pandémie Inexistante

Destruction programmée de l’agriculure/élevage aux USA

Pour mieux cerner la destruction de l’agriculture mondiale pour cause de fausse pandémie, et d’un virus pathogène tellement invisible qu’il n’a jamais existé, je vais décliner, extensivement, l’exemple des USA, un pays de 340 millions d’habitants qui a déjà beaucoup souffert, depuis deux années, d’un déficit de production agricole dû au Grand Minimum Solaire, parce que ce pays est le sujet d’une destruction programmée de son agriculture/élevage – depuis déjà de nombreuses années et d’autant plus aujourd’hui, en cette période de tourmentes orchestrée – et, bien sûr, parce que ce sont les USA qui donnent le ton de la chanson pandémique en cours de paralyser le tissu social et économique de la planète entière.

Il est bien évident que ce ne sont pas les USA – les Etats Désunis de l’Amérique du Nord, à savoir de cet espace géographique situé entre le Canada et le Mexique – qui terrorisent les Peuples de la Planète au son des trompettes de la mort pandémique et au nom de la nouvelle religion coronavirale. Ce sont les Banksters, les Tzaddik et autres Xenosh, les Bill Gates, Georges Soros, Antony Fauci et tous leurs complices en France (des Lévy, des Cohen, des Salomon, des Elkrief… et tous leurs proxies), et dans les pays Européens, ainsi que toutes les multinationales du complexe militaro-industriel et du secteur Agro-Pharma. Le terme “multi/nationale” est, d’ailleurs, très mal venu car l’objectif de tous ces génocideurs Sionistes est, Justement, l’éradication de toutes les Nations, et donc de tous les Peuples, afin d’en façonner une bouillie informe qualifiée de communautaire et d’universelle. Leur vision de correction multi/culturelle – sur mode de Tikun Olam – n’est qu’une méga opération psychologique spéciale dont la fonction est de détruire toutes les cultures, les traditions, les langages, les cuisines, les thérapeutiques…

C’est au nom de leur nouvelle religion coronavirale que les psychopathes génocideurs veulent imposer, aux Peuples du monde entier, leur NOM, leur Nouvel Ordre Mondial dictatorial, vaccinaliste et de surveillance globale et digitale intégrale.

Avant d’attaquer dans le vif du sujet – à savoir l’accroissement exponentiel d’un affamement orchestré des USA pour cause d’un virus invisible – je souhaite repréciser que les Autorités n’ont pas attendu de promouvoir cette fausse pandémie pour commencer à détruire l’outil de travail agricole aux USA. Ce pays est auto-suffisant, sur le plan de sa nourriture, et sa dépendance par rapport à l’extérieur n’est que de 20%. Les USA importent, avant tout, des produits de la mer (80%) et du fromage (25% venant d’Italie).

Dans certains Etats agricoles des USA, les techniciens du Ministère de l’Agriculture sont fortement armés ou protégés tandis que les techniciens de banques sont formés psychologiquement pour détecter les premiers signes d’inclination au suicide chez les paysans. Pourquoi? Parce que l’Economie est trop néo-libérale pour être honnête… et parce que certains agriculteurs sont beaucoup trop en rage pour se suicider sans se la soulager, d’abord, sur le dos d’un employé de l’Etat de passage. En effet, ce sont les zones agricoles, aux USA, qui sont témoins des plus forts pourcentages de suicides.

Les USA ont perdu environ 100 000 fermes entre 2011 et 2018 dont 12 000 entre 2017 et 2018. Depuis 2013, plus de la moitié des exploitations agricoles ont perdu de l’argent. En 2019, il reste environ 2 millions de fermes aux USA – versus 7 millions en 1935.

Selon, l’organisation National Farmers Union, ce sont environ 94 000 fermes laitières qui ont disparu, aux USA, entre 1992 et 2018. Par exemple, en 2018, aux USA, 8,8% des exploitations agricoles laitières ont déposé le bilan – à savoir, en une seule année… et ce n’est pas une rumeur mais un chiffre officiel du Ministère US. En effet, aux USA, en 2018, il existait 37 468 fermes laitières versus 34 187 en 2019. L’Etat de West Virginia en a perdu 23% et les Etats d’Arkansas, de Tennessee et de South Carolina en ont perdu 20%. En bref, les USA ont perdu 50 % de leurs fermes laitières entre 2003 et 2019 – et c’est l’année 2019 qui a enregistré le plus grand pourcentage de dépôt de bilan de ces exploitations laitières.

Le 1er avril 2020, la coopérative laitière Ellsworth, dans le Wisconsin, proposait un nouveau programme, pour cause de CoqueVide/19, requérant de ses producteurs laitiers qu’ils stoppent toute production laitière et qu’ils vendent leurs vaches, avant le 15 avril (sauf à d’autres producteurs de la même coopérative)… en échange de quoi, ils allaient être rémunérés d’une certaine somme relative à leur production laitière passée. [244]

En novembre 2019, la société Dean Foods – le plus gros producteur de lait aux USA – a déposé le bilan en invoquant une baisse dramatique de la consommation de lait dans le pays – et en accusant les laits végétaux d’en être la cause… En janvier 2020, ce fut le tour de Borden Dairy Co – l’un, également, des plus gros producteurs de lait aux USA avec 3700 employés – de déposer le bilan.

En effet, selon le Good Food Institute (l’une des organisations promouvant l’agriculture cellulaire des criminels du gang Transhumaniste), l’industrie des laits végétaux possède, aujourd’hui, une valeur d’1,8 milliards de dollars. Aux USA, 37% des familles consomment régulièrement des laits végétaux – dénommés laits “végans”. Selon les analystes (souvent experts en auto-prophéties), l’industrie des produits à base de lait végan possédera une valeur de 35 milliards de dollars dès 2026. La compagnie Starbucks a annoncé vouloir diminuer ses “émissions” de CO2 de moitié, d’ici 2030, et a précisé qu’une grande partie de cet objectif sera obtenue en adoptant les “laits alternatifs” – à savoir les laits à base de plantes… mais aussi les laits à base de culture cellulaire.

En 2019, les chaines de distribution de café, à l’instar de Starbucks, ont toutes annoncé qu’elles cessaient de surfacturer les cafés contenant des laits végan: il s’agit de Panera, de Pret a Manger, de Costa Coffee, de Tim Horton et de Stumptown Coffee Roasters.

Selon les statistiques officielles, il existait, aux USA, en 1980, 1,6 million de ranchs bovins… et, aujourd’hui, il en existe moins de 950 000. De même, le nombre de petits éleveurs, dont la mission est d’engraisser les bovins en fin de cycle, a diminué de 38 000. Aujourd’hui, ce sont moins de 2000 éleveurs qui finissent d’engraisser 87% du bétail abattu dans le pays.

Certains camps de concentration bovine, aux USA, ne comptent pas moins de 200 000 individus entassés dans des parcs enclos – agrémentés de vastes lacs de lisier. Lors du tournage de notre triple DVD “Le Titanic Apicole” [201], nous les avons filmés dans le Colorado, vers 2010. Certains de ces camps de concentration bovine existent, même, en “bio”… avec de vastes lacs de lisier “bio”. Il est, désormais, interdit, aux USA – sous peine de poursuites pénales – de filmer ces scènes d’horreur, très horizontales, d’un élevage très intégré verticalement depuis quelques décennies.

Le 3 mai 2020, la chaine de restaurants McDonald’s annonçait que sa direction était en cours de promouvoir une nouvelle politique de distribution de la viande à ses restaurants: à savoir que c’est la direction du groupe qui allait prendre en charge l’allocation de burgers, de bacon et de saucisses à ses restaurants en fonction des régions – à savoir en fonction de la pénurie de viande sévissant actuellement aux USA. [146]

Le 4 mai 2020, les chaines de supermarchés Kroger et Costco annonçaient qu’ils plaçaient, maintenant, une limite sur la quantité de viande que les clients pouvaient acheter – en fonction des régions. Ainsi, Costco demandait à ses membres de ne pas acheter plus de trois produits dans le rayon boeuf, porc et volaille – à savoir pas plus d’un kilo de boeuf et pas plus d’un kilo d’une autre source de protéine. [147]

Le 8 mai 2020, le directeur de Kroger publiait un communiqué demandant aux citoyens US de faire preuve de flexibilité et indiquait qu’il y aurait toujours de la viande sur les étagères… mais que cela ne serait pas forcément la “viande” qu’ils souhaiteraient réellement acheter – à savoir, que cela pourrait être, par exemple, de la fake viande. [310]

Le 5 mai 2020, la chaine de restaurants Wendy annonçait que, dans certaines régions, telle que la Californie, leur burger allait être retiré du menu “temporairement” en raison de la pénurie en viande de boeuf. Selon un analyste financier, à cette date, ce sont 20% des restaurants de la chaîne qui étaient en rupture de viande de boeuf – à savoir un millier de restaurants. [148]

Alors que l’accès domestique à de la viande devient problématique pour les consommateurs US, les exportations de viande, sont à la hausse vertigineuse, vers la Chine principalement – et, surtout, en ce qui concerne la viande de porc. En effet, en mars 2020, les USA ont exporté 95 892 tonnes de porc vers la Chine – un second record en volume, le premier étant en décembre 2019 avec 102 177 tonnes. Durant les trois premiers mois de 2020, ce sont 280 507 tonnes de porc qui ont été exportées vers la Chine : trois fois plus que ce qui fut exporté durant trois premiers mois de 2019 et quasiment la moitié, déjà, de ce qui fut exporté globalement vers la Chine en 2019 – à savoir, 574 988 tonnes de porc. En mars 2020, ce sont 291 456 tonnes de porc qui ont été exportées des USA vers d’autres pays du monde. De plus, durant les trois premiers mois de 2020, les exportations de boeuf, en direction de la Chine, furent en augmentation de 12%. En avril 2020, le niveau d’exportation de porc vers la Chine fut équivalent à celui du mois de mars. [149]

A la fin mars, les USA avaient environ 240 000 tonnes de boeuf congelé, en réserves – à savoir pour une consommation d’une semaine – et environ 300 000 tonnes de porc congelé – à savoir pour une consommation d’une semaine et demie. Avant la catastrophe de la fausse pandémie, la production de porc aux USA, pour 2020, était estimée à 13 176 000 tonnes – et celle de la Chine, pour 2020, à 34 000 000 tonnes. Quant à la production mondiale de porc, elle est environ de 95 millions de tonnes. [150]

Destruction Pandémique des chaines de production de viande aux USA

Selon le principal syndicat des travailleurs dans les usines à viande, aux USA – United Food and Commercial Workers International Union (UFCW) – en date du 23 avril 2020, 13 des plus grosses usines de transformation de porc, et de boeuf, ont fermé impactant 24 500 employés – et, donc, des milliers de familles d’éleveurs. Selon les analystes de l’industrie de la viande aux USA, la réduction en transformation de la viande de porc, de boeuf et de volaille est, respectivement, de 20%, de 27% et de 10% – eu égard à la même période pour l’année 2019. [57]

Selon l’agence de presse Bloomberg, à la fin avril 2020, ce serait, en fait, quasiment le tiers de la capacité de transformation de viande de porc qui était paralysée aux USA. La troisième semaine du mois d’avril 2020 a vu le prix du porc, sur le marché de gros, augmenter de 29%.

Dans certains supermarchés de Sacramento, en Californie, le prix de gros de certaines portions de viande de boeuf a vu une augmentation de 30 à 80 % en fonction des parties du corps commercialisées (épaules, cuisses…).

Le 26 avril 2020, Tyson Foods a publié une page entière de “publicité/communiqué” – dans le New-York Times, le Washington Post et l’Arkansas Democrat-Gazette – intitulée “The food supply chain is breaking” [58]… afin de prévenir le public que la chaîne de distribution de la nourriture est cassée, que des millions d’animaux vont être euthanasiés et que la nourriture va commencer à faire défaut dans les supermarchés alimentaires.

Le secteur de l’abattage, et de la transformation, de la viande est très concentré aux USA. Ce sont une cinquantaine d’usines qui contrôlent 98% de la viande de boeuf. Il en est de même pour la viande de porc qui a vu les grosses unités accroître leur monopole, en l’espace de deux décennies, de 38% à 88% du secteur.

La paralysie du secteur d’abattage des animaux destinées à la production de viande est à ce point dramatique que le 28 avril 2020, le président Trump a signé un décret afin d’obliger les unités d’abattage et de transformation du bétail, des porcs et des volailles – à savoir celles de Tyson Foods, de JBS, de Smithfield Foods, de Hormel, de Cargill… – à rester ouvertes malgré les risques de contagion (proclamés par les syndicats) induits par la pandémie inexistante. [59] Rester ouvertes pour alimenter le Peuple ou pour euthanasier les animaux de boucherie… en affamant le Peuple?

En effet, le 23 avril 2020, Collin Peterson, le secrétaire du comité agricole de la Chambre US, demandait au vice-président des USA d’intervenir afin d’établir des chartes permettant d’euthanasier les porcs sans cruauté – à savoir en toute bienveillance “humanitaire”. Le même Collin Peterson demandait à JBS de réouvrir son usine à viande du Minnesota non pas pour continuer d’alimenter, en viande, la chaine alimentaire US… mais pour euthanasier 13 000 porcs, quotidiennement. Le Ministère de l’Agriculture US (USDA) demandait la même chose à des boucheries locales: d’intervenir afin d’euthanasier les porcs.

Est-il bien clair que l’objectif de tous ces criminels est d’affamer le Peuple en invoquant une fausse pandémie et en détruisant la chaine de distribution alimentaire?

D’ailleurs, dans l’Iowa, des organisations vertueuses, de tierce-partie, dénommées “activistes”, encouragent les travailleurs des usines à promouvoir le concept d’un mois de mai sans viande, “a meatless May”, afin de mieux organiser leur protection sanitaire et leur “distanciations sociales” – face à une menace inexistante. [151]

La situation est à ce point extraordinaire et dramatique, en fin de chaine alimentaire, que c’est l’Armée US – à savoir la Garde Nationale – qui est dépêchée dans de nombreux états afin de gérer la distribution de nourriture en partenariat avec les banques de nourriture. En début avril, à San José, en Californie, ce sont les militaires de la Garde Nationale US qui participent à la mise en boite de nourriture pour la banque de nourriture de Second Harvest. [12] Il en est de même au Texas [61], au Michigan [62], au Nebraska [63], en Arizona [64], en Louisiane [65]… et, en fait, dans tous les états des USA.

Dès début avril, Feeding America – le plus gros réseau d’aide alimentaire, aux USA, avec 200 banques de nourriture et 60 000 cantines et programmes alimentaires – déclara que l’augmentation de requêtes de soutien alimentaire était en moyenne de 40% mais que, dans certaines régions, ces requêtes avaient doublé et même quadruplé. Ainsi, par exemple, la banque de nourriture de Baton Rouge, en Louisiane, n’avait plus que pour quelques semaines de stock. [247] Ainsi, à Amherst, dans le Massachusetts, la banque de nourriture a distribué 849% de plus de nourriture en mars 2020 en comparaison du mois de mars 2019. [250]

En Arizona, ce sont 700 soldats de la Garde nationale qui ont été déployés pour soutenir les banques de nourriture en raison de la disparition de 75% des volontaires confinés et du fait que la demande explose car les gens ont faim. Ainsi, à Phoenix, une banque de nourriture qui, auparavant, apportait son aide alimentaire à 500 familles en soutient maintenant 1200.

Dans l’état du Nebraska – abritant 1,9 millions personnes – ce sont plus de 220 000 familles qui sont, actuellement, en insécurité alimentaire. Vu la situation économique de cet état, ce sont près de 300 000 familles qui seront en insécurité alimentaire dans les six prochains mois.

Le 10 avril 2020, il y avait une file de 1300 voitures, à Pittsburgh, en Pennsylvanie, pour recevoir, chacune, 2 cartons de nourriture de la banque de nourriture locale.

Rappelons qu’aux USA, avant le confinement, environ 60% de la nourriture était consommée en dehors de la maison: à savoir dans les restaurants, dans les cantines scolaires, dans les cafétérias des entreprises, dans les cafétérias des universités…

Rappelons qu’aux USA, également, tous les marchés ouverts et paysans, de proximité, ont été interdits… pour des raisons sanitaires coronavirales. [202] La raison officielle, promulguée par les Autorités, en est que les légumes frais directement issus, au jour le jour, des champs des paysans locaux, seraient beaucoup plus dangereux, pour la santé publique, que les supermarchés dans lesquels les légumes ont été manipulés en moyenne 6 fois (du champ à l’étalage) – sans même évoquer leur exposition, pendant des jours, aux multiples contacts des clients éventuels qui ne peuvent s’empêcher de les toucher, de les tousser, de les respirer… Sans commentaires.

La situation de pénurie alimentaire, aux USA, est à ce point extraordinaire, et dramatique, que le Pentagone, à savoir le Ministère de la Défense US, a requis, auprès de son Joint Artificial Intelligence Center, la création d’un fichier informatique capable d’ausculter toute la chaine alimentaire, en temps réel. A savoir des fermes de production agricole et d’élevage (d’autant plus lorsqu’elles sont déjà “smart” et branchées sur 5G) en passant par les transformateurs, en passant par les distributeurs, pour finir dans les magasins d’alimentation et autres supermarchés. [66] Cet outil informatique interagit avec les systèmes d’information de la Garde Nationale, du NORTHCOM et du FEMA… et, bien sûr, avec des partenaires privés permettant d’ausculter, du haut des satellites, ce qui se passe, en temps réel, dans les champs, à savoir sur les 380 millions d’hectares de surface agricole des USA.

Ce fichier a été dénommé “Salus” – du nom de la Déesse Romaine de la santé et du bien-être. Il a été conçu de manière à pouvoir anticiper les situations de pénurie alimentaire, à savoir de crises alimentaires, à savoir d’émeutes populaires potentielles… lorsque la faim est telle que les pauvres n’ont plus rien à perdre en se révoltant ouvertement.

Il est facile d’imaginer que le Grand Ordinateur Central puisse, un jour, décider – sur mode de dictature Chinoise – qu’en fonction du “crédit social” des citoyens, de la nourriture puisse, ou non, leur être attribuée… en fonction des stocks disponibles. C’est d’ailleurs le même outil informatique, Salus, qui est supposé ausculter ou anticiper les foyers du CoqueVide/19.

Il est, donc, également, très facile d’imaginer que les citoyens puissent être punis de non-alimentation, par le Grand Ordinateur Central, lorsqu’ils dérogent aux règles de l’Etat eu égard aux restrictions de voyage, au port du masque, aux gestes de distanciation sociale, aux requêtes de quarantaine, au port d’un passeport digital de santé ou aux obligations vaccinales… Ou lorsqu’ils osent disséminer des informations considérées comme dangereuses… pour la sécurité de l’Etat.

Réveillez-vous! Révoltez-vous! Faites votre jardin. Cultivez vos légumes, vos plantes médicinales et prenez-en de la graine. Et si les flics de l’Etat viennent vous informer que le jardinage familial est désormais interdit – pour des raisons sanitaires – accueillez-les avec vos fourches!

Je vais, maintenant, décliner dans le détail, ci-dessous, les diverses fermetures d’unité d’abattage et de transformation de la viande US, afin de ne pas me faire taxer de complotisme, d’alarmisme ou de conspirationnisme.

En effet, le 23 avril 2020, Twitter a décidé de censurer tout tweet évoquant les risques sanitaires corrélés au déploiement des tours de télécommunication 5G et, par la même occasion, de censurer tout tweet évoquant le risque de pénurie alimentaire. [60]

Le 1er avril 2020, la société JBS USA a fermé, “temporairement”, sa très grosse usine d’abattage et de transformation de viande de boeuf, à Souderton, en Pennsylvanie – employant 1500 personnes et transformant annuellement 520 000 têtes de bétail. JBS USA – qui contrôle 20% de la production de boeuf aux USA – a, également, réduit sa capacité de transformation de boeuf dans son usine de Greeley, dans le Colorado. Il en est de même pour la société National Beef Packing Co qui a fermé son usine de transformation de viande de boeuf à Tama dans l’Iowa.

En début avril, dans le Minnesota, Kerry et Barb Mergen ont du se résigner à laisser leur contracteur, Daybreak Foods Inc, amener des réservoirs de dioxyde de carbone afin d’euthanasier les 61 000 poules pondeuses qu’ils élevaient. En effet, Daybreak Foods Inc – qui possède 14,5 millions de poules pondeuses réparties chez des fermiers du Midwest – ne peut plus gérer les oeufs produits car, en aval, la multinationale Cargill a mis au ralenti son unité de transformation de Big Lake dans le Minnesota. Rappelons qu’aujourd’hui Cargill contrôle 22% du marché domestique de la viande aux USA.

Le 6 avril 2020, la société Tyson Foods a fermé son usine de transformation de viande de porc à Columbus Junction, dans l’Iowa, employant 1400 salariés – l’une de ses 9 usines à viande employant, en totalité, 11 000 salariés. Cette seule usine, de Columbus Junction, transformait 2% de la viande de porc consommée aux USA – à savoir 10 100 porcs abattus quotidiennement. Tyson Foods est basée dans l’Arkansas et emploie 141 000 personnes.

Le 9 avril 2020, la société Cargill Meat Solutions à Hazleton, en Pennsylvanie, a fermé son usine de viande employant 900 personnes, “indéfiniment”. Il en est de même pour la société CTI Foods à King of Prussia et pour la société Empire Kosher Poultry à Mifflintown – en Pennsylvanie. Le 7 avril 2020, plus de 400 employés de la société Sanderson Farms, de Moultrie, dans l’état de Georgie aux USA – produisant des volailles – furent renvoyés en confinement à la maison.

Le 12 avril 2020, la société Smithfield Foods – le plus important producteur et transformateur de viande de porc au monde – a annoncé fermer, “indéfiniment”, son usine de Sioux Falls, au Dakota du Sud. Elle a, donc, licencié 3700 employés car 238 d’entre eux avaient été, prétendument, “testés positifs” pour le coronavirus inexistant, le CoqueVide/19. Cette seule usine, de Sioux Falls, transformait 4% de la viande de porc consommée aux USA – à savoir, 20 000 porcs abattus quotidiennement, qui représentent 18 millions de portions. Ce sont plus de 550 familles d’éleveurs de porcs – en amont de cette unité de transformation – qui se sont retrouvées, du jour au lendemain, sans débouchés aucuns pour leurs animaux, à savoir sans ressources financières – et, donc, sans ressources pour nourrir des animaux supposés partir vers les abattoirs. [10]

Dans l’état d’Iowa, durant le troisième semaine du mois d’avril, ce sont 1000 soldats de la Garde Nationale US qui ont été chargés de distribuer des “tests” permettant de tester les employés, des unités de viande, positifs ou négatifs eu égard au CoqueVide/19 inexistant.

Dans l’état d’Iowa – qui produit 1/4 des porcs des USA – les éleveurs ont commencé à euthanasier les jeunes porcs récemment nés et à injecter des substances létales dans leurs mères porteuses afin de les faire avorter. Aux USA, ce sont 60 000 éleveurs qui envoient, chaque année, 115 millions de porcs à l’abattoir.

Dans l’état d’Iowa, les éleveurs ont du faire preuve d’imagination pour euthanasier des porcs adultes, pesant jusqu’à 140 kgs, et surtout pour disposer de leurs carcasses soit en les enterrant dans des fosses, soit en les recyclant comme fertilisants. Le Ministère de l’Agriculture US, dans cet état, a mis en place une cellule spéciale avec des armes, des cartouches et des vêtements de protection.

Cette cellule spéciale est, également, habilitée à conseiller et à accompagner, psychologiquement, les éleveurs et leurs vétérinaires… face à cette catastrophe orchestrée par les Autorités – à savoir celle d’euthanasier des porcs en bonne santé en pleine pénurie nationale de viande.

Le 15 avril 2020, Smithfield Foods annonçait fermer, “temporairement”, deux de ses unités de transformation de viande à Cudahy, dans le Wisconsin, et à Martin City, dans le Missouri.

Le logo de Smithfield Foods est “Good Food. Responsibly”… qui s’explique par le fait que Smithfield Foods est l’une des entreprises alimentaires les plus polluantes aux USA!! Mais, aussi, en France… car Smithfield/Groupe Aoste contrôle, très amplement, la charcuterie Française: Société Bretonne de Salaisons, Charcuterie Imperator, Groupe Jean Caby, Aoste, Justin Bridou et Cochonou. Smithfield Foods est également présente en Pologne et, en 2008, elle a fusionné avec la société alimentaire Espagnole Campofrío Alimentación. Smithfield Foods a été racheté, en 2013, pour 7 milliards de dollars, par la société Chinoise WH Group – dont le pdg, Wan Long, a touché 291 millions de rémunérations en 2019. La société Chinoise WH Group avait un revenu de 24 milliards de dollars en 2017. C’est donc la Chine qui contrôle la charcuterie Française.

En décembre 2018, Ken Sullivan, le directeur de Smithfield Foods – qui est réputé avoir reçu, en 2019, 16 millions de dollars en salaire annuel et autres rémunérations – se félicitait du fait que la grippe porcine en Chine et en Europe de l’est allait faire grimper les prix et allait générer encore plus de bénéfices pour son entreprise. [56] Ce sont près de 500 000 porcs qui sont abattus, et transformés, quotidiennement aux USA…

… et, parfois, dans des conditions plus que suspectes. En 2018, Smithfield Foods fut condamné à verser 473 millions de dollars [200] aux résidents vivant autour de son usine de Clayton en Caroline du Nord – pour cause pollutions extrêmes.

Le 17 avril 2020, Conagra a annoncé fermer, “temporairement”, son unité de Marshall dans le Missouri, employant 700 personnes, spécialisée dans les produits alimentaires surgelés.

Le 21 avril 2020, JBS USA a annoncé fermer, “indéfiniment”, son unité de transformation de porcs à Worthington dans le Minnesota. Cette unité employait environ 2000 salariés et abattait environ 20 000 porcs quotidiennement – à savoir, 4% de la viande de porc consommée aux USA. Le même jour, la société Hormel Foods annonçait fermer, “temporairement”, deux usines de transformation de viande de ses filiales Rochelle Foods (avec 800 employés) et Alma Foods (avec 110 employés) situées respectivement dans l’Illinois et dans le Kansas. Le même jour, la société Don Miguel Foods/MegaMex Foods Corporation, une filiale de Hormel Foods, annonçait fermer, “temporairement” son unité alimentaire (tacos, burritos, chimichangas) de Dallas dans le Texas employant 700 personnes. Le même jour, la société Redwood Farms Meat Processors à Estherville, dans l’Iowa, fermait son unité de transformation transformant jusqu’à 2400 porcs quotidiennement.

Aux USA, les réserves de viande de porc, de boeuf et de volailles congelée, dans de méga-congélateurs, représentent, environ, une semaine de consommation pour la population des USA.

Le 23 avril 2020, Tyson Foods a annoncé fermer, “temporairement”, son usine de transformation de viande de boeuf à Pasco dans l’état de Washington. Cette usine emploie 1400 personnes et sa production de boeuf est telle qu’elle puisse nourrir, quotidiennement, 4 millions de personnes. Le même jour, Tyson Foods a annoncé fermer, “indéfiniment”, son unité de transformation de porcs à Waterloo, dans l’Iowa, employant 2800 personnes et abattant 19 500 porc quotidiennement – à savoir 4% de la viande de porc consommée aux USA. Tyson Foods, également, a annoncé fermer, “temporairement”, son unité de transformation de porcs à Logansport, dans l’Indiana. Cette unité emploie 2200 personnes et transforme, quotidiennement, 1500 tonnes de viande de porc qui proviennent de 220 familles d’éleveurs.

Le 24 avril 2020, Hormel Foods a annoncé fermer, “temporairement” ses deux unités de transformation de dindons de sa filiale Jennie-O Turkey Store à Willmar dans le Minnesota – employant 1200 personnes.

Le 25 avril 2020, Smithfield Foods a annoncé fermer, “temporairement”, son unité de transformation de saucisses sèches, de St. Charles dans l’Illinois, employant 325 personnes. Smithfield Foods a, également, fermé “temporairement”, son unité de transformation de porc de Monmouth, dans l’Illinois, alors que trois de ses 1700 employés étaient testés “positifs” au CoqueVide/19.

Vers la fin avril, ce sont 700 000 porcs par semaine, aux USA, qui ne peuvent plus être abattus, car les abattoirs et les unités de transformation sont fermés pour cause de CoqueVide/19. Les éleveurs n’ont plus que la solution de l’euthanasie dans leurs fermes.

Le 25 avril 2020, il a été annoncé que ce sont 2 millions de volaille, en très bonne santé – de la société Allen Harim Foods – qui vont être exterminées, dans la péninsule de Delmarva (états du Maryland, du Virginia et du Delaware) sur la côte est des USA, au lieu d’être abattues et commercialisées. Les modes d’extermination autorisés incluent l’arrêt de la ventilation ou la noyade en eaux savonneuses. La péninsule de Delmarva est le site d’environ 5000 poulaillers industriels avec une capacité de 145 millions de volailles et employant 20 400 personnes. En 2019, ce sont 608 millions de volailles qui y ont été produites et commercialisées.

Le secteur de la volaille et des oeufs n’est pas entièrement destiné à la consommation alimentaire. En effet, aux USA, par exemple, la saison 2019/2020 a vu 175 millions de doses de vaccins, à l’encontre de la “grippe”, commercialisées dans ce pays. 82% de ces vaccins sont obtenus à base d’oeufs et chaque dose de vaccin nécessite un oeuf pour sa préparation industrielle. Par conséquent, rien que pour les vaccins à l’encontre de la “grippe”, aux USA, ce sont 140 millions d’oeufs qui ont été utilisés à cet effet et qui sont produits dans des poulaillers dont l’emplacement géographique n’est pas divulgué par les Autorités.

Sanderson Farms, une unité de production de poulets, dans l’état de Georgia, doit détruire 750 000 oeufs non éclos, chaque semaine, à savoir 6% de sa production totale.

Christian, d’Ice Age Farmer, dans sa vidéo du 13 avril 2020, à la minute 5, montre une scène filmée, anonymement, dans une usine de production de volailles dans l’Iowa, d’une file de camions recevant des milliers de cadavres de volailles, non commercialisables, destinées à l’enfouissage. [14]

Au 18 avril 2020, le prix des oeufs, dans les supermarchés, est de 40% en hausse eu égard à la même période en 2019. En Californie, dès le début avril, des chaines de supermarchés ont commencé à réglementer l’achat de boites d’oeufs en les limitant à une ou deux par client. En sus des oeufs, selon le Ministère de l’Agriculture US, le pain et le lait ont vu une augmentation d’environ 30% – par comparaison avec l’an passé. Les prix de certains autres aliments, tel que la viande de boeuf et les crèmes glacées, ont également augmenté mais dans une moindre mesure.

Selon la plus grosse coopérative laitière aux USA, Dairy Farmers of America – qui contrôle 30% du lait – ce sont 15 millions de litres de lait qui y sont déversés, chaque jour, en plein champ, pour cause de non vente. Cela représente 5% de la production de lait aux USA mais ce pourcentage va rapidement monter à 10% si la situation de confinement perdure. [218]

Durant le mois d’avril 2020, des fermiers du Wisconsin ont déclaré qu’ils recevaient des menaces de mort, parce qu’ils déversaient leur lait en plein champ, au prétexte qu’aux USA, des gens ne peuvent pas se nourrir et ont faim, quotidiennement.

Pour rappel, la situation des pauvres aux USA est à ce point dramatique que ce sont quasiment 50 millions de personnes, dans ce pays – avant la fausse crise sanitaire – qui ont faim quotidiennement.

La situation est identique au Canada. Maple Leaf Foods a suspendu toute opération d’abattage de volaille dans son usine de Brampton dans l’Ontario, “indéfiniment”. Olymel a suspendu toute opération d’abattage de porc à Yamachiche au Québec. United Poultry a fermé son unité de volailles à Vancouver le 21 avril et son unité de volailles de Coquitlam, le 25 avril. Le 20 avril 2020, Cargill a fermé, “temporairement”, son unité de High River, en Alberta, qui emploie environ 2000 personnes et qui abat 40% du bétail Canadien – à savoir 4500 à 5000 têtes de bétail quotidiennement.

Quant à JBS, son unité de transformation de viande de Brooks, en Alberta – employant 2600 personnes – fonctionne au ralenti en attendant d’être fermée suite aux pressions d’une pétition locale. Ce sont huit unités d’abattage et de transformation de viande qui ont été fermées, “temporairement”, au Canada, au printemps.

Le 14 avril, Cargill licenciait “temporairement” un millier d’employés de cette unité.

Quant au Brésil, JBS s’est vu demander, par les autorités de l’état du Rio Grande do Sul, de fermer son unité de volaille de Passo Fundo – qui emploie 2600 personnes.

Rappelons que les USA, le Canada et le Brésil contrôlent, à eux trois, 65% du commerce mondial de la viande.

D’ailleurs fin février 2020, les USA ont levé l’interdiction d’importation de boeuf en provenance du Brésil – qui avait cours depuis 2017. Les USA avaient promulgué cette interdiction après avoir découvert, dans de la viande fraîche Brésilienne, des caillots de sang et des ganglions lymphatiques… provoqués par une réaction des bovins générée par la vaccination à l’encontre de la fièvre aphteuse. Depuis lors, les Brésiliens ont modulé les doses de ce vaccin afin d’éviter ce type de réaction peu élégante de la part des bovins. Tout va mieux? [253]

Destruction Pandémique des récoltes agricoles aux USA

Fin mars et début avril 2020, RC Hatton Farms à Pahokee, dans le sud de la Floride – qui cultivent plus de 5000 hectares de maïs doux et de légumes – ont du broyer, en plein champ, environ 2500 tonnes de choux, haricots verts. [11] Il en est de même pour les productions de tomates qui sont détruites à 80%. Il en est de même, en Californie, pour la récolte des fraises sur la côte ou pour la récolte des laitues dans la vallée de Salinas – qui fournit 70 % des laitues pour les USA. A la limite de l’Oregon et de l’Idaho, Shay Myers, un très gros producteur d’oignons a du en broyer 500 tonnes dans ses champs. [13]

Par exemple, vers la mi-avril 2020, un gros agriculteur Californien, Jack Vessey, détruisit 150 hectares de laitues (d’une valeur d’1,5 million de dollars) et licencia 200 travailleurs saisonniers. [214]

Pourquoi ces récoltes sont-elles détruites dans le champ? Parce qu’il n’y a pas de main d’oeuvre pour récolter, processer, empaqueter, véhiculer, transporter – ni pour les commercialiser et encore moins pour les donner aux banques de nourriture. Il en est, ainsi, de même pour l’agriculture que pour les chaines d’abattage et de transformation des animaux d’élevage: ces secteurs alimentaires sont systématiquement perturbés, fragilisés, ou carrément détruits, de par l’absence de travailleurs, et de transporteurs, qui sont ou confinés ou “testés positifs” ou encore terrorisés de succomber au virus fantôme.

En Californie (un état de 48 millions de personnes), en début mai 2020, les leaders Démocrates sont en cours de sortir, de leur chapeau de prestidigitation pandémique, une “Bill of Rights”, une “Déclaration de Droits”, pour les travailleurs illégaux de cet état qui sont au grand nombre de près de deux millions – 1 750 000, plus précisément, à savoir 10% de la population active.

Aux USA, ce sont environ 25% des employés agricoles qui sont “non-documentés”, à savoir qu’ils sont illégaux, clandestins….

Cette “Déclaration de Droits” inclue des rémunérations spéciales pour dangerosité, des équipements de protection sanitaire anti-CoqueVide/19, des stations de lavage de mains en plein champ, des centres de garde d’enfants, des prises en charge de soins de santé, etc, etc. [152]

La Californie produit un tiers des légumes et deux-tiers des fruits et noix consommés aux USA.

Les Autorités de l’Etat de Washington (un état de 8 millions de personnes), – à savoir ses leaders Démocrates – parallèlement, sont en cours d’adopter un nouveau cahier de charges avec le même objectif (prétendu) de protections sanitaires, anti-CoqueVide/19, des travailleurs saisonniers agricoles. Il va en résulter que la moitié des 22 000 travailleurs saisonniers vont devoir retourner à la maison car les installations d’accueil et dortoirs vont être supprimées de moitié, par ces Autorités – afin d’encourager de la “distanciation sociale agricole”. Les agriculteurs, et arboriculteurs, sont scandalisés par de telles mesures “sociales” et s’interrogent sur le fait qu’elles ne sont applicables qu’aux travailleurs agricoles saisonniers – et non point aux travailleurs agricoles permanents, au personnel soignant, au personnel militaire, etc.

L’Etat de Washington, avec de telles mesures, va perdre la moitié de ses 3 millions de tonnes de pommes ainsi que la moitié de ses récoltes de framboises (à savoir 75% de la production de framboises des USA), ainsi que la moitié de ses récoltes de légumes, de pommes de terre et d’autres fruits (poires, cerises, myrtilles…). La production de pommes, dans l’Etat de Washington, constitue la première ressource agricole de l’état – et la plus grande, en terme de tonnage, dans tous les USA. [153]

Derrière ces mesures extrêmes, prétendument anti-pandémiques, se trouvent des groupes activistes extrémistes et hystériques (se définissant comme anti-capitalistes…) tels que Community to Community ou tel ce syndicat, dénommé United Farm Workers, qui est tellement déconsidéré en Californie qu’il ne regroupe que moins d’1% des travailleurs agricoles de cet état. Quel est leur objectif – ou l’objectif de ceux qui les financent? Tout simplement d’empêcher les travailleurs saisonniers agricoles, en Washington, de travailler aux récoltes, dans les champs et les vergers, afin d’affamer la population US, dès 2020.

Pendant ce temps, dans l’état très agricole d’Iowa, les Autorités, du Ministère de l’Agriculture, invitent les employeurs agricoles à mettre en place un plan B – et même un plan C – afin de gérer l’absence de travailleurs permanents ou saisonniers en raison de “tests positifs” à la pandémie inexistante… (et surtout en raison des exigences insoutenables des syndicats agricoles et autres organisations de tierce-partie) tout en maintenant, pour les travailleurs présents, la “distanciation sociale agricole” en vigueur – d’1m50 – dans les champs, sur les tracteurs et les équipements agricoles, et dans les unités de transformation. [154]

En fait, les agriculteurs de l’Iowa sont invités à prendre des mesures vigoureuses – sous formes de multiples plans bidons – afin de gérer ce qui n’est pas gérable: l’absence de travailleurs agricoles… pour cause d’un virus invisible.

La situation est identique dans de nombreux états agricoles des USA (Oregon, Colorado, Idaho, Dakota du nord…): la presse hystérique, aux ordres, fait de son mieux pour propager la terreur coronavirale, au sein de la population, et pour vociférer que les travailleurs agricoles sont “sacrifiés” sur l’autel de la pandémie, et qu’ils “risquent” leur santé, car ils ne sont pas assez lavés (des mains), pas assez masqués, pas assez isolés, pas assez testés, pas assez distanciés, pas assez payés en primes de dangerosité…

Ce sera un jour faste lorsque la presse aux ordres, les syndicats – et toutes les organisations de tierce-partie financées par les globalistes, et autres Soros – communiqueront sur les risques extrêmes de santé que l’agriculture productiviste, chimique et chimérique fait courir aux agriculteurs, aux travailleurs agricoles et aux transformateurs, en début de chaine alimentaire, ainsi qu’aux centaines de millions de consommateurs, en fin de chaine alimentaire.

4. Faillite de l’Agriculture Mondiale

en Raison du Grand Minimum Solaire de 2019 à 2055

Les périodes de Grand Minimum Solaire peuvent perdurer durant des dizaines d’années.

Aux USA, en date du 20 mai 2020, ce sont 233 records de températures basses qui ont été pulvérisés durant le mois de mai. [272]

Vers la mi-avril, le journal l’ImMonde a ressorti, de son placard à virus mentaux pathogènes, l’un de ses épouvantails réchauffistes, Cyril Dion, une marionnette Macroniste qui copule allègrement avec la Dictature en Marche. Cyril Dion titre son essai “La crise du Covid-19 peut nous aider à construire le monde d’après” et affirme que «les dernières estimations des plus grands laboratoires français de climatologie sont terrifiantes» et que, selon ces “experts”, la température va grimper de 7°C d’ici l’année 2100. [107]

Cyril Dion se rêve en pape d’une nouvelle religion “Climatovirale” qui, à l’image de la nouvelle religion Coronavirale, instaurerait une Dictature Verte sur mode “Greedy Green” – à savoir, sur mode Rédempteurs de Climat et Génocideurs des Peuples Crucifiés sur la Croix du Carbone. Cyril Dion, un jour, aura à répondre de ses intempéries mensongères, psychopathiques, terrorisantes et criminelles – à l’instar de toutes les serpillères politiques et journalistiques à la solde des Banksters.

L’ImMonde vient également de sévir, sous la plume d’une autre serpillère journalistique du gang des réchauffistes, Audrey Garric, qui titre “D’ici à 2070, un tiers de l’humanité pourrait vivre dans des endroits aussi chauds que le Sahara”. [106] On apprend dans cet article débile – qui reprend les conclusions des Réchauffistes de l’Académie Nationale des Sciences aux USA [108] – que « si rien n’est fait pour limiter les émissions de CO2, 3,5 milliards de personnes pourraient sortir de la “niche climatique” dans laquelle les humains ont prospéré depuis six mille ans».

En réalité. Le 8 mai 2020, selon l’organisation US Wheat Associates, seulement 22% du blé de printemps était semé sur le territoire agricole US au lieu de 49%, à cette date, pour les 5 dernières années. Le mois de mai 2020 a vu plus de deux cents records de froid pulvérisés pour toute la partie est et sud-est des USA – jusqu’en Louisiane et Texas. Ainsi, par exemple, dans l’état de l’Oklahoma – le troisième producteur de blé rouge d’hiver pour les USA – la récolte de 2020 est estimée à 12% inférieure à celle de l’an passé avec un pourcentage de 64% du blé en bonne condition – versus 74% pour l’année 2019.

Vers la mi-mai 2020, aux USA – et même en France, timidement – la presse lobotomisante a commencé à évoquer que le soleil était en “lockdown” (sic), à savoir en confinement, et que cette “récession” (sic) pouvait provoquer des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, des gelées, des famines… Cette même presse trébucha allègrement dans ses explications en citant “des experts” qui évoquent le fait que nous sommes au coeur d’un Minimum Solaire… tout en citant un idiot utile, le météorologiste Norvégien, Rasmus Benestad, qui affirme «qu’il n’existe aucune corrélation convaincante entre l’activité solaire et les rayons cosmiques, d’une part, et des variations climatiques, d’autre part. La tendance au réchauffement climatique de ces dernières décennies ne peut pas s’expliquer en termes d’activité solaire parce qu’il n’a existé aucune tendance dans l’activité solaire». [274] [275] [276]

La traduction de ce charabia est littérale. Je réitère, par exemple, ce que le célèbre astronome Edmond Halley rapportait en 1716… Edmond Halley, ne vit d’aurore boréale qu’en 1716 – à savoir à la sortie du Grand Minimum Solaire de Maunder. Ce fut sa première aurore boréale en 50 années d’observations astronomiques! De plus, ni Halley, ni les autres astronomes, ne décrivirent, entre 1640 et 1710, le brillant halo qui est caractéristique des éclipses solaires, de nos jours. Pourquoi? Parce que ces halos solaires d’éclipses, et les aurores boréales, disparaissent lors des périodes de Grand Minimum Solaire, à savoir, lorsque l’intensité solaire baisse dramatiquement d’amplitude – et que les populations meurent de faim et de maladies épidémiques.

Aujourd’hui, ce sont des dizaines de milliers de scientifiques honnêtes qui affirment qu’il existe, bien évidemment, une corrélation très intime entre les variations atmosphériques sur Terre et l’activité solaire.

Rappelons que les périodes de Grand Minimum Solaire peuvent perdurer durant des dizaines d’années – tel que le Grand Minimum Solaire de Dalton de 1790 à 1830 – ou, même, durant près d’un siècle – tel que le Grand Minimum Solaire de Maunder de 1618 à 1715. Je renvoie les lecteurs vers les épisodes 3, 4 et 6 de ma séquence “2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires” [76] [77] [78] Le présent Grand Minimum Solaire – que j’ai nommé le Grand Minimum Solaire de Zharkova – est annoncé par Valentina Zharkova, et par d’autres, de 2019 à 2055.

En réalité. Le 31 mars, le nord de la Norvège était totalement paralysé par des tempêtes de vent et de neige. [117] Le 6 avril, un blizzard a impacté l’Islande en enfouissant, en une seule journée, les voitures sous 1m50 de neige. [99] Le 8 avril, il a neigé abondamment en Iran et 16 provinces de ce pays ont été confrontées à des inondations dévastatrices, en mars et en avril, qui ont tué des centaines de personnes. [103] Il est également tombé 20 cm de neige dans le Tajikistan, une première depuis 26 années.

Le 9 avril, l’état du Maine, aux USA, a vu une tempête de neige printanière et inhabituelle laisser plus de 50 cm de neige sur le sol. [91] Le 12 avril, il neigeait plus de 30 cm en Corée du sud. [118] Le 14 avril, un blizzard a impacté la Finlande en ensevelissant certaines régions sous plus d’1m20 de neige. [100]

Le 15 avril, de très nombreux records de froid et de neige ont été pulvérisés, aux USA, dans les états du Montana, de l’Iowa, du South Dakota et du Colorado. [98] Le 20 avril, une tempête de neige printanière a été à ce point intense, dans le nord de la Chine, que les voitures étaient ensevelies et que les gens sortaient de leurs maisons par les fenêtres car leurs portes étaient totalement obstruées. [92]

Le 29 avril, il a fait -29°C à Utqiagvik, dans l’Alaska, un record battu, depuis le début historique des enregistrements de température, pour cette époque du printemps. [90] Le 2 mai, il est tombé 80 cm de neige lors d’une tempête automnale à Hotham en Australie. [89]

Le 4 mai, il a neigé en Argentine à Bariloche, un mois en avance sur l’an passé. Le 5 mai, il a neigé dans le Trøndelag en Norvège avec des températures de -17°C dans le Hardangervidda. [134] Les 5 et 6 mai, il neigeait en Albanie et en Roumanie. [125] Le 8 mai 2020, l’Ontario au Canada s’est retrouvé sous un épais manteau de neige [133] ainsi que le nord du Michigan, près du Lac Supérieur.

Le 9 mai, Washington DC, aux USA, battait tous les records avec -9,5°C et il neigeait au sud des USA jusque dans la Caroline du nord. Le 9 mai, il neigeait dans la région de Waterloo dans l’Ontario, au Canada, et un record de froid (de 1947) était battu avec -4°C. Le 10 mai 2020, il neigeait dans la province d’Ardahan en Turquie, dans le Dagestan en Russie et sur une partie de l’Ecosse.

Le 11 mai, il neigeait dans le centre et le sud de la Finlande, en Lithuanie et en Allemagne, dans la région de Wernigerode. Le 11 mai 2020, il neigeait, une nouvelle fois, dans le sud de l’Ontario au Canada.

Le 12 mai, il neigeait en Lettonie et dans le Bélarus. Il neigeait, également, à Tromsø, dans le nord de la Norvège. Le 14 mai, il neigea abondamment dans la Péninsule de Kola au nord-ouest de la Russie. Le 14 mai, les températures descendirent à -6°C dans le nord de l’Irlande. Le 14 mai, les rues de New-Delhi, en Inde, étaient recouvertes d’un blanc et épais manteau – non pas de neige mais de grêle. Le 15 mai, il neigeait abondamment sur les sommets du Haut et du Moyen Atlas au Maroc.

Le 18 mai, à San Luis de Potosi, au Mexique, ce sont des grêlons de la taille de melons qui ont impacté cette région. Les 15 et 18 mai, de violents orages de grêle ont détruit toutes les récoltes dans de nombreux villages au sud du Cachemire.

Le 19 mai, il neigeait au Pakistan, à Ayubia, pour la première fois depuis une centaine d’années. [256] Le 21 mai, il tombait des grêlons de la taille d’une balle de tennis à San Angelo au Texas. Le 22 mai, il neigeait abondamment dans l’Okanagan Connector en Colombie Britannique au Canada. Le 22 mai, à Burkburnett, dans le Texas, un enfant ramassa un grêlon qui mesurait 37 cm de circonférence. [284] Le 22 mai, Brisbane, en Australie, voyait son jour le plus froid en mai, depuis 1922, et 54 records de froids étaient battus dans tout l’état du Queensland. [289]

Le 24 mai 2020, il neigeait dans l’est de la Turquie dans le Parc Naturel du Lac de Limni. Le même jour, il neigeait dans les montagnes des Carpates en Ukraine. Le même jour, la partie ouest de l’Australie était impactée par le plus gros orage enregistré depuis une dizaine d’années.

Le 26 mai, il neigeait en Bosnie-Hergégovine. [296] et dans le nord-ouest de la Grèce. [315] Ainsi que dans la Province de Yunnan, en Chine, dans le Meili Snow Mountain National Park. [316]

Rappelons, également, que ces périodes de Grand Minimum Solaire se caractérisent:

Par une diminution drastique de l’intensité solaire (jusqu’à 60%) et, donc, par des cycles de refroidissement très intense durant les phases hivernales.

Par des extrêmes de sécheresses et par des immenses feux de forêts.

Par des extrêmes de précipitations et par de gigantesques inondations.

Par une atmosphère très chargée électriquement et, donc, par des orages destructeurs de grêle, en toutes saisons.

Par une intensification de la couverture nuageuse accentuant la baisse d’intensité solaire – et diminuant, donc, d’autant les processus de photosynthèse.

Par une augmentation des phénomènes sismiques.

Par une augmentation des épisodes volcaniques accentuant l’intensification de la couverture nuageuse – et diminuant, donc, d’autant les processus de photosynthèse.

Par des invasions dévastatrices de sauterelles.

Et également, par un phénomène que le grand public a quelque peine à mentalement métaboliser: à savoir la concomitance, dans une même contrée, de températures très chaudes et de températures très froides, selon les régions, en fonction des zones de pression en haute altitude. Par exemple, Moscou a vu son hiver le plus chaud depuis 140 années [105] alors que des nations beaucoup plus méridionales ont été sévèrement impactées par la neige, le froid et les gelées. Par exemple, encore, l’ouest de la Sibérie, entre janvier et mai 2020, a vu des températures supérieures à la moyenne de 3 à 6 °C. [288]

A Aden, dans le Yemen, il tomba 75 mm de pluie, en 24 heures, le 25 mars 2020 et 125 mm de pluie, en 24 heures, le 21 avril 2020. La norme, dans cette région, est de 37 mm de pluie annuellement. [317]

La Revue US, “Science Mag”, expliquait, dès 1975, au grand public, les mécanismes fondamentaux et extrêmement connus – et très bien déclinés, déjà, à l’époque – des ondulations très mouvementées du Jet Stream lors des Grands Minimum Solaires:

«Le principal changement atmosphérique qui accompagne, normalement, une tendance au refroidissement est un accroissement de la variabilité – à savoir une alternance de phénomènes extrêmes de températures et de précipitations, dans n’importe quelle région – qui vont très certainement faire baisser les productivités agricoles moyennes. On peut découvrir la raison de cet accroissement de la variabilité en examinant les circulations des vents, dans la haute atmosphère, accompagnant les périodes plus froides.

Durant les périodes plus chaudes, c’est une “circulation zonale” qui prédomine durant laquelle les vents d’ouest, prévalant dans les zones tempérées, sont balayés, sur de très longues distances, par quelques puissantes zones de basse et haute pressions. Il en résulte une distribution plus régulière de conditions atmosphériques qui varient relativement peu, de mois en mois et de saison en saison.

Par contre, durant les périodes plus froides, les vents de haute altitude sont fractionnés en cellules irrégulières par des zones de pression plus faibles, et plus nombreuses, résultant en la formation d’une structure de “circulation méridionale”. Ces cellules, faibles et petites, peuvent stagner au-dessus de vastes régions, pendant des mois, produisant des températures froides, d’un côté, et produisant des températures chaudes, d’un autre côté – qui ne correspondant pas du tout à la normale des saisons. Les sécheresses et les inondations augmentent en fréquence et peuvent même alterner d’une saison à l’autre, comme l’an passé en Inde.

Ainsi, alors que l’hémisphère nord, dans sa globalité, est plus froid, il se peut que certaines régions spécifiques battent des records de températures et de précipitations – dans les deux extrêmes du spectre.» Traduction et Soulignements de Xochi.

En réalité. L’hiver 2019 fut à ce point enneigé dans la zone arctique que les scientifiques du centre de recherche de Zackenberg, au Groenland, déclarèrent n’avoir jamais vu, en 20 années d’observations, une telle faillite de reproduction autant dans le monde végétal que dans le monde animal, durant l’été suivant. [9]

Durant la période du 14 au 18 avril 2020, le Groenland a ajouté 27 gigatonnes de neige et de glace à sa calotte. [101] Selon l’Institut Météorologique de Finlande, l’hémisphère nord a vu, durant ce dernier hiver, une augmentation de 500 gigatonnes, de neige et de glace, eu égard à la moyenne de 1982 à 2012. [104]

Au Canada, dans l’état d’Alberta, la cité de Calgary a vécu son épisode de froid intense le plus long (depuis 1932/1933) du 23 septembre 2019 au 28 avril 2020 – à savoir 219 jours avec des températures maximales ne dépassant jamais 20°C. [102]

L’Antarctique a battu un record de froid pour le mois de mars 2020. En effet, le 20 mars, la température est descendue à -75,3°C. [112] Melbourne, en Australie, a vécu son mois d’avril le plus froid depuis 1996. [113]

Ainsi, par exemple, en 2019, alors que de nombreux pays d’Asie souffraient de sécheresses dramatiques, d’autres pays, en Afrique, recevaient, au contraire, une abondance de pluies.

L’an passé, en avril 2019, 42% du territoire de l’Inde souffraient d’une intense sécheresse visible par satellite – dont 6% en sécheresse très aigüe, à savoir un territoire quatre fois plus étendu qu’à la même époque, l’année précédente. [126] Rappelons que plus 50% de la population de l’Inde se consacre à l’agriculture et que plus de la moitié des terres cultivables ne sont arrosées que par l’eau du ciel.

La sécheresse, dans la région de Chennai et du Tamil Nadu, dans le sud de l’Inde, est devenue à ce point dramatique, depuis un certain nombre d’années, qu’elle est perceptible vue de satellite. La ville de Chennai (avec 6 millions d’habitants), en juin 2019, était sujet à un déficit en eau de 99% eu égard à l’année précédente. Les quatre réservoirs d’eau, autour de la cité, avaient auparavant une capacité de 320 milliards de litres d’eau versus 651 millions de litres à cette date – à savoir, 0,2% de leur capacité normale. L’eau est ainsi convoyée “d’ailleurs”, afin de fournir, par camions, 525 millions de litres d’eau, quotidiennement, à la population de la capitale du Tamil Nadu. [160]

Dévastation des récoltes agricoles par des nuées de trillions de sauterelles

En effet, dès le début de l’année 2020, les sauterelles ont profité de très fortes précipitations (les plus intenses depuis plusieurs décennies) dans certaines parties de l’Afrique de l’est, en 2019, pour se répandre en toutes directions. Elles ont dévasté une partie des récoltes de pays de l’Afrique de l’est – tels que la Somalie, l’Erythrée et le Kenya – ainsi que des récoltes en Inde et au Pakistan. Aujourd’hui, une nouvelle génération de sauterelles menace de très nombreux pays allant jusqu’au Congo au sud, jusqu’à l’Iran au nord et jusqu’à l’Inde vers l’est. Déjà, durant l’année 2019, les sauterelles avaient dévasté des cultures au Pakistan (40% des cultures détruites dans le Sindh) et en Inde (Gujarat et Rajasthan): moutarde, coton, pomme de terre, cumin, fenouil, etc.

En 2019, au Pakistan, 300 595 hectares, sur trois provinces, furent traités avec des insecticides (150 839 litres) dont 20 300 hectares par épandage aérien – dans le but d’éradiquer les sauterelles. En mai 2020, l’Iran et le Pakistan sont de nouveau la cible des nuées de sauterelles. 38% du territoire du Pakistan est considéré comme un terrain propice à la multiplication des sauterelles (60% du Balochistan, 25% du Sindh et 15% du Punjab) mais c’est l’entièreté du pays qui risque d’être totalement dévastée et les Autorités envisagent une perte de l’ordre de 15 à 25 % des cultures. Les sauterelles entrent au Pakistan par l’Iran et par l’Oman mais une autre vague est attendue pour juin-juillet en provenance de l’Afrique de l’est.

Faut-il, également, préciser que l’épandage terrestre, ou aérien, de telles quantités d’insecticides ne disparait pas de la Biosphère comme par un coup de baguette magique? A savoir que les cultures agricoles, qui ne sont pas détruites par les sauterelles agonisantes, sont alors dramatiquement contaminées par des insecticides excessivement cancérigènes.

L’Inde est également impactée par le phénomène car, en début mai 2020, les sauterelles sont passées du Balochistan au Rajasthan. L’Inde se prépare, en effet, à faire face, cet été, à deux vagues de sauterelles. La première va passer par un corridor de terre – Yemen, Bahrain, Kuwait, Qatar, Iran, Arabie Saoudite, Pakistan – et va impacter, en Inde, les états du Punjab et de l’Haryana ains que la plaine indo-gangétique. La seconde va passer au-dessus de l’Océan Indien pour attaquer l’Inde péninsulaire et se diriger ensuite vers le Bangladesh. [135]

Le 25 mai 2020, le journal India Today a fait un point sur la situation catastrophique des attaques de sauterelles dans six états de l’Inde. Dans le Rajasthan, par exemple, comme les sauterelles ne trouvent pas de récoltes pour s’alimenter, elles détruisent les arbres. [287]

Rappelons qu’un nuage d’un kilomètre carré de sauterelles peut en contenir entre 50 et 150 millions (en fonction de leur taille, à savoir de 2 à 8 cm) qui vont dévorer, en une seule journée, autant que 35 000 personnes. Durant les premiers mois de 2020, ce sont des centaines de milliards de sauterelles qui se sont disséminées en toutes directions et qui sont en train, présentement, d’essaimer et de multiplier. Ces nuages de sauterelles peuvent parcourir jusqu’à 150 km en une seule journée, dévorant tout sur leur passage – car chaque sauterelle consomme quotidiennement l’équivalent de son propre poids. [136]

Les nuées de sauterelles sont également en route vers le Soudan du sud (dont la moitié de la population souffre de la faim à la sortie d’une guerre civile) et vers l’Ouganda – qui n’a pas vécu de telles invasions depuis 60 années. En début janvier, par exemple, le Kenya a subi sa pire infestation depuis 70 années – provenant de Somalie et d’Ethiopie. Au nord-est de ce pays, un nuage de sauterelles mesurait, même, 60 kms de long sur 40 kms de large.

Faut-il préciser qu’un tel nuage puisse contenir environ 150 milliards de sauterelles?

N’est-il pas suprêmement intéressant de prendre conscience que tous ces pays pauvres, et agricoles, de l’Afrique et de l’Asie sont complètement paralysés par un confinement dictatorial en raison d’une fausse pandémie coronavirale… pendant qu’une menace authentique et dévastatrice – celle de nuées de centaines (ou de milliers) de milliards de sauterelles – est en cours d’anéantir l’intégralité de leurs cultures agricoles? Et personne n’en parle car le monde entier est en train de sombrer dans la sinistrose et la psychose coronavirales.

De plus, n’est-il pas suprêmement fascinant de prendre conscience que ce sont ces mêmes sauterelles dévastatrices de l’agriculture des pays pauvres (et de leur élevage car elles consomment le fourrage des animaux) qui constituent l’une des bases de la nouvelle industrie des fausses viandes confectionnées à partir d’insectes – dont la finalité est de détruire les agricultures traditionnelles des pays Occidentaux?

Ce sont donc ces mêmes sauterelles que l’on tente d’éradiquer, par centaines de milliards, avec force insecticides, en Afrique et en Asie, qui sont élevées dans des camps de concentration verticaux, en Amérique du nord et en Europe… afin de produire de la protéine et de la fausse viande tout en sauvant le Climat!! Tout va bien?

Que font-donc les organisations hystériques dénommées “anti-spécistes™” et financées par les fondations des globalistes – telle que l’organisation L214? Franchement, quelle différence existe-t-il – du point de vue de l’éthique de l’élevage – entre l’abattage de centaines de millions de porcs et la pulvérisation, en poudre de protéines, de centaines de milliards de sauterelles???

Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires?

Aujourd’hui, je ne vais pas réitérer tout ce que j’ai, déjà, décrit à l’automne 2019 et en particulier dans mon essai, publié le 21 octobre 2019, intitulé “2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires?” [77] Je vais, donc, décliner quelques catastrophes agricoles, depuis octobre 2019, de par le monde, afin de mettre en exergue que, présentement, une partie de l’agriculture mondiale est dévastée en raison d’épisodes de gelées, de tempêtes printanières de neige, de fortes grêles, d’intenses inondations ou de dramatiques sécheresses.

Le 3 avril, il neigeait abondamment au Portugal. [114] Le 15 avril, il neigeait en Nouvelle-Zélande et des paysans locaux n’avaient jamais vu cela en 40 années d’agriculture. [119]

Le 9 mai 2020, il neigeait à Central Park à New-York (du jamais vu depuis 1977) [164] en raison d’un Vortex Polaire s’étendant du nord-est des USA jusqu’au sud, en passant par le Midwest, et impactant une vingtaine d’états mise en alerte à cause de gelées – et, également, pulvérisant les anciens records de froid pour cette période de l’année. Le même jour, le nord-est des USA était recouvert d’un épais manteau de neige avec 20 cm dans le Vermont, dans le Maine et dans le New-Hampshire. [145] [155] Le 12 mai, il neigeait de nouveau dans le Maine et dans le Vermont, dans le nord-est des USA. [163]

Le 20 avril, la région de l’Himachal Pradesh, en Inde, fut dévastée par des orages de grêles et de pluies diluviennes dans la ceinture fruitière des districts de Shimla, Mandi et Kullu: 23 500 arboriculteurs furent impactés sur plus de 11 000 hectares de vergers. Ce sont près de 14 000 tonnes de fruits qui ne seront pas récoltées. [81]

Vers le 20 avril, le district de Lahaul et Spiti, dans l’État d’Himachal Pradesh, a vu tomber 1 mètre de neige en l’espace de trois jours. [93] Le 8 mai, des orages de grêle et des pluies diluviennes ont détruit les récoltes de fruits, de tabac, de blé, etc, dans la région d’Hazara au Pakistan. [144]

Fin avril, dans l’état d’Haryana, dans le nord de l’Inde, ce sont 250 000 hectares (de blé, de moutarde, etc) qui ont sévèrement impactées par des orages de grêles et de pluies diluviennes. [86]

En fait, une grande partie des cultures détruites auraient déjà été récoltées, vers la mi-avril, si les travailleurs saisonniers n’avaient pas été confinés à la maison – en raison du CoqueVide/19.

Fin avril, dans l’état de Chhattisgarh, des maisons et des récoltes, dans le district de Pendra-Marwahi, ont été détruites par des orages de grêle de la taille d’une balle de tennis.

L’an passé déjà, en avril 2019, 42% du territoire de l’Inde souffrait d’une intense sécheresse visible par satellite – dont 6% en sécheresse très aigüe, à savoir un territoire quatre fois plus étendu qu’à la même époque, l’année précédente. [126] Rappelons que 50% de la population de l’Inde se consacre à l’agriculture et que la moitié des terres cultivables ne sont arrosées que par l’eau du ciel.

En début avril, en Bulgarie, toute la production d’abricots a été détruite par les gelées dans la vallée du Danube sur des milliers d’hectares. [82]

Le 5 avril, le nord et le centre de la Grèce ont été recouverts d’un épais manteau de neige printanière avec 30 cm dans certaines régions. [96] [97] Durant ce même épisode, certaines régions de Thessalonique ont été totalement inondées. [111] Le 23 avril, le nord de la Grèce était de nouveau recouvert par un manteau de neige printanière. [94]

Vers le 24 mars, un front froid a détruit une partie des cultures fruitières (pommes, poires, abricots, pêches, fraises, etc) en Ukraine, en Pologne et en Italie (Lombardie et Emilie-Romaine) et certaines températures descendirent jusqu’à -10°C. [87] En début avril, dans la région d’Emilie Romaine, en Italie, les arboriculteurs, en raison de températures descendant à -6°C, ont perdu la quasi totalité de leurs récoltes d’abricots, de pêches, de kiwis et de prunes. [83] Certaines zones ont perdu la moitié de leurs pommes des variétés Gala et Golden.

La République Tchèque est confrontée à la pire sécheresse qu’elle ait jamais vécue depuis 500 ans. [110] En date de début mai, ce sont près de 2,5 millions d’hectares de prairies et de forêts qui ont été incendiés en Sibérie – en raison de très fortes chaleurs … et, selon les rumeurs, en raison de la désobéissance de citoyens ne respectant pas le confinement légal. [120]

En fait, le 2 avril 2020 fut l’une des matinées les plus froides, depuis plusieurs décennies, [84] [85] dans toute la zone d’Europe centrale et des Balkans, alors que dans certaines zones, les températures descendirent jusqu’à -10°C. Les régions les plus affectées, et qui ont perdu parfois la totalité de leur production fruitière, et de leurs vignes, sont le nord-est de l’Italie, la Slovénie, la Croatie, la Hongrie, la Serbie et la Pologne.

Les températures très froides ont perduré durant le mois de mai dans certains pays d’Europe. Ainsi en Hongrie, la production de prunes est prévue, pour 2020, avec 70 à 80% de pertes et la production de cerises avec 30% de pertes – en raison de fortes gelées. [301] De même, au mois de mai, en Serbie, les orages de pluie et de grêles ont été à ce point violents que la récolte des myrtilles et autres fruits est très compromise. [302]

Toujours au mois de mai 2020, il n’y a que peu de cerises disponibles en Europe de par les violents et prolongés orages de pluie et de grêles dans de nombreuses zones de production en France, en Italie, au Portugal et en Espagne. Ainsi, dans la vallée de Jerte en Extremadura, ce sont 40% des variétés précoces et 80% des variétés demi-saisons, de cerises, qui ont été sérieusement impactées. Il en est de même dans les régions d’Aragon, d’Alicante et de Lleida. [303]

Le 7 avril, la région de Kurgan, en Russie, a été sévèrement impactée par un blizzard de neige [115] ainsi que le Kazakhstan. [116] Vers le 22 avril, le nord-est de la Russie a vu ses températures descendre à -30°C, en Yakoutie, et battre le précédent record de froid, pour cette période de l’année, de -27°C en 1966 (lors du minimum solaire du cycle 19). [95]

Fin mars 2020, les régions de Murcia et d’Alicante, ainsi que la province de Valence et Almeria, ont été fortement impactées par des pluies diluviennes – déversant jusqu’à 100 litres d’eau par mètre carré en moins de 24 heures. Il s’agissait de la troisième forte tempête enregistrée à Murcia et à Alicante depuis le début de la saison d’automne et d’hiver 2019/2020. Le 10 mai 2020, la région d’Alicante et la Costa Blanca ont, de nouveau, subi de très violents orages de grêle qui ont détruit une partie des récoltes sur 6000 hectares. [156]

Faut-il rappeler que cette zone est, normalement, l’une des plus sèches d’Espagne? C’est également la zone d’Europe qui produit le plus de légumes. La région d’Alicante et de Valencia fut également totalement inondée entre le 18 et le 22 avril 2019 (avec plus de 300 mm de pluies) ainsi que les 20 et 21 aout 2019.

Si l’on n’était pas au coeur d’un début de Grand Minimum Solaire, d’aucuns “conspirationnistes” pourraient, aisément, se poser la question de savoir si certains “experts climatiques”, criminels et dégénérés, ne seraient pas en train de jouer avec des énergies de type HAARP afin de modifier les régimes de pluies de cette région Espagnole et de détruire, à chaque orage diluvien, une partie des cultures de légumes et d’arbres fruitiers.

D’autant plus que les vidéos ne manquent pas, sur le net, pour mettre en exergue les épandages aériens (chemtrails) dans certaines régions de France et d’Europe – et surtout depuis l’émergence du coronavirus fantôme. Les curieux sont invités à consulter le rapport militaire de 1996 intitulé “Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025”. [182] Et invités à consulter les très nombreuses vidéos et documents mettant en lumière ce qui se trame derrière HAARP – High Frequency Active Auroral Research Program.

En août 2019, en Australie, la société GrainCorp annonça qu’elle faisait face à d’énormes problèmes d’approvisionnement en raison de trois années consécutives de sécheresse dans l’est du pays. [1]

En fait, ces trois années de sécheresse (de 2017 à 2019) faisaient suite à une année 2016 d’inondations totales. Sur le plan de la sécheresse Australienne, l’année 2018 fut pire que l’année 2017 et l’année 2019 fut pire que l’année 2018 de par une intensification des tempêtes de sable. Certains agriculteurs furent en échec de récoltes durant trois années consécutives. [175]

La saison 2017/2018 avait déjà été catastrophique car les céréaliers, produisant pour cette société, n’avait produit que 5,8 millions de tonnes en comparaison de 15 millions de tonnes pour la saison 2016/2017. La société Kellogg’s, durant l’été 2019, annonça une augmentation conséquente de ses produits à base de blé, d’avoine, de riz et de maïs et cette annonce fut illustrée, sur le bandeau supérieur de son site internet, par ses boites d’emballage habituelles mais présentant des bols vides de céréales. [2] La société Kellogg’s précisa, également, qu’après avoir acheté pendant 90 années la production locale Australienne, elle devait maintenant se tourner vers des distributeurs étrangers.

N’est-il pas fascinant de voir une société, telle que Kellogg’s en Australie, proposer un message de famine dans son iconographie publicitaire – accompagnant une hausse de 30% de ses céréales pour le petit déjeuner? Ou de voir les fédérations de producteurs de pommes et de poires, en Australie, proposer une iconographie visant à commercialiser leurs fruits déchiquetés par la grêle? [3]

Alors que l’Australie était un majeur exportateur de céréales – au second rang avec le Canada – et qu’elle exportait, traditionnellement 70 % de sa production de blé, l’année 2019 a vu ses exportations plonger de 2/3. Pour la première fois depuis 2007, l’Australie a même du importer des céréales afin de pourvoir à l’alimentation de sa population. [4] L’Australie, en temps normal, est capable de produire assez de nourriture pour 75 millions de personnes, à savoir pour trois plus que sa population.

Le 1er avril 2020, un article de la presse agricole Australienne évoquait, même, un “soap opéra” quant à la danse des prix à la tonne et quant à l’augmentation du prix des céréales en raison de la situation internationale, en particulier liée au CoqueVide/19. [5]

Le 20 mars 2020, la presse Australienne lançait l’alerte quant à la pénurie de pâtes et de riz due à la panique générée par la fausse pandémie mais surtout due à plusieurs saisons de sécheresse. Sunrice, le plus gros producteur de riz en Australie a récolté, en 2019, 54 000 tonnes de riz versus 623 000 tonnes en 2018. La situation de pénurie de riz, dans ce pays, est d’autant plus exacerbée par les tarifs en forte augmentation de l’eau d’irrigation dans le Bassin de Murray Darling. [88]

En avril 2020, des hordes de sauterelles ont commencé à envahir certaines zones de l’Australie – telle que la Nouvelle-Galles du Sud. Il en est de même dans la province de Queensland où les éleveurs ont commencé à se débarrasser de leur bétail pour la seconde année de suite – la première fois étant due aux sécheresses mémorables qui ont impacté l’Australie. Dans ce pays, par exemple, le chiffre d’affaires annuel moyen des fermes laitières est passé de 161 000 dollars, en 2018, à 93 000 dollars, en 2019.

Toujours en Australie, vers la mi-mai 2020, les producteurs de pomme de terre de Tasmanie – qui produit la plus grande partie des variétés à frites pour la pays – ont annoncé que la récolte, cette année, allait être catastrophique en raison des orages de pluie incessants. [304]

Selon l’analyste agricole, Simon Quilty, l’Australie, en raison des sécheresses dramatiques et de la perte du partie du cheptel bovin du pays, va être confrontée, en 2020, à une baisse d’environ 20% de sa capacité d’abattage de bovins. Ce phénomène va accentuer le déficit planétaire en protéines pour l’année 2020. En effet, comme la Chine est en quête perpétuelle de protéines de viande, ses importations de boeuf Australien vont augmenter en 2020 – ce qui va générer un déficit d’exportation, de boeuf Australien, d’environ 30% vers les USA, la Corée du sud et le Japon. Cette situation risque de perdurer un certain nombre d’années au vu de la situation dramatique de pénurie alimentaire prévalant en Chine – dont les importations de boeuf, en 2020, vont quasiment dépasser les importations de porc. [254]

En Octobre 2019, l’Argentine annonça une production de blé à 19,8 millions de tonnes au lieu des 21 millions de tonnes prévues. Cette baisse drastique de production fut imputée à la sécheresse mais aussi aux basses températures, au gelées et aux orages de grêle. Les instances agricoles annoncèrent également une baisse prévisible de la récolte de maïs pour 2020, à savoir 47,5 millions de tonnes au lieu de 50 millions de tonnes. [6]

Au début octobre 2019, les producteurs de haricots secs, d’oignons, de maïs doux et de pommes de terres de l’Idaho étaient dans la panique la plus totale en raison de très fortes gelées et de très fortes quantités de neige détruisant leurs récoltes. [7]

En décembre 2019, la presse US se faisait l’écho de la pénurie de frites, sévissant dans tout le pays, en précisant que les très basses températures et les gelées (entre septembre et novembre) avaient grandement impacté la culture de pommes de terre dans les Etats US et Canadiens d’Alberta, de l’Idaho, du Manitoba, du North Dakota et du Minnesota. Les longues pommes de terre, privilégiées pour la confection de frites, avaient été plus particulièrement affectées et les fabricants durent se tourner vers les importateurs. [243]

Dans la région de la Red River Valley, dans le Minnesota, ce sont des milliers d’hectares de pommes de terre, pour la semence, qui, à l’automne 2019, n’ont pas été récoltés en raison des conditions humides et glaciales. [251] Fin mai 2020, les agriculteurs de cette vallée se demandent, d’ailleurs, s’ils seront capables de cultiver cette année en raison de l’impossibilité de rentrer dans leurs champs archi inondés.

Selon certaines estimations, et en fonction des espèces, de 10 à 22% des récoltes étaient perdues gelées ou sous la neige. [8] Rappelons que l’Idaho produit 60% des semences mondiales de maïs doux. Cet état produit, également, 95% des semences mondiales de haricots verts ou à écosser – sur 15 000 hectares. Les Autorités agricoles de l’Idaho estimaient que leurs producteurs de semences de haricots devraient augmenter leur production de 50% en 2020. La saison 2019 fut d’autant plus dramatique pour tous ces agriculteurs non seulement en raison des tempêtes de neige et des gelées de début octobre mais, aussi, en raison des conditions très froides durant le mois de mai 2019 obligeant les producteurs à attendre le mois de juin afin de semer leurs graines.

Les marges de profits de ces producteurs, aux USA, sont tellement basses que ce sont les 5 à 10 derniers % de la récolte qui leur permettent d’engranger quelques bénéfices – à savoir de ne pas faire faillite.

Selon l’USDA, 90% des désastres agricoles aux USA sont dus à des extrêmes climatiques. Ainsi, les pertes agricoles de 2019 ont été estimées environ à 3 milliards de dollars en raison des très grands froids et de l’énorme quantité de neige, en début 2019, qui a provoqué de gigantesques inondations dans le Midwest – sans évoquer les énormes quantités de neige dès le mois d’octobre 2019 qui ont ruiné les récoltes en terre.

Fin octobre 2019, le gouverneur du Dakota du nord déclara l’état d’urgence en raison de très fortes inondations induites par plusieurs tempêtes de neige et par de très intenses précipitations durant l’été – à savoir 800 mm de pluie. Le Minnesota déclara également l’été 2019 comme l’été le plus humide de mémoire agricole.

Aux USA, la moitié du sucre consommé provient des betteraves sucrières. Ainsi, les USA vont devoir importer près de 4 millions de tonnes de sucre d’ici à l’automne 2020 parce qu’ils ont perdu une partie de leur betterave sucrière (10 à 15 %, mais sans doute plus) en 2019, sous la neige – plus particulièrement dans les états du Minnesota, du Michigan, du North Dakota, du Colorado et du Montana. Certaines paysans du Midwest ont perdu jusqu’à 65% de leurs récoltes de betteraves détruites par les pluies de septembre et les tempêtes de neige commençant dès le début octobre. [127] L’année est d’autant plus marginale, pour la récolte de sucre nationale, que les producteurs de canne à sucre, en Louisiane, ont vu leurs récoltes geler dès le 14 novembre 2019 – avec une baisse de productivité de l’ordre de 15%. Les 4 millions de tonnes de sucre, dont les USA ont un besoin pressant, sont importées, généralement, du Mexique… qui est en baisse de production sur la saison 2019/2020 en raison de sécheresses intenses dans le pays. Si tant est que la Mexique soit capable d’exporter de la canne à sucre, en 2020, il faut encore le raffiner dans les quelques raffineries US (Savannah, Baltimore et New York City) qui ne sont, néanmoins, pas adaptées à un surcroit de raffinage.

A l’automne 2019, non seulement les USA ne pouvaient pas exporter du soja vers la Chine mais ils importèrent, même – pour la société Smithfield Foods – 60 000 tonnes de maïs en provenance du Brésil, en septembre 2019, et une seconde cargaison de 52 000 tonnes de maïs, en octobre 2019, alors que les USA constituent, normalement, le plus grand exportateur de maïs au monde – à hauteur de 10 à 20% de leur production annuelle.

Au Mexique, en 2019, ce sont près de 70% du territoire qui souffrirent de sécheresse dont des régions qui normalement, ne le sont jamais. Ce sont les cultures de café, de céréales et de sucre qui en furent le plus impactées. [128] En date de mi-avril 2020, ce sont encore près de 60% du territoire Mexicain qui sont en sécheresse.

Au Chili, la sécheresse sévit depuis une dizaine d’années mais l’année 2019 fut la pire. Les paysans perdirent leur bétail par dizaines de milliers de têtes, dans certaines régions, qui mouraient de soif. C’est également une hécatombe pour l’apiculture, et la pollinisation des arbres fruitiers, car les abeilles meurent de faim, de par la pénurie en fleurs. Leur mortalité impacte gravement la production fruitière Chilienne qui est de 5 millions de tonnes, à l’année – dont près de 3 millions de tonnes sont exportées. [129]

La ville de Santiago a enregistré 81 mm de pluie au lieu de 320 mm et la ville de Valparaiso a enregistré 82 mm de pluie au lieu de 397 mm.

Le Chili considère que cet épisode de sécheresse est la pire crise hydrique qu’il subit depuis une cinquantaine d’années. Selon le Ministère de l’Agriculture, la situation de l’élevage est catastrophique avec, en très mauvais état de santé, 470 000 chèvres, 170 000 bovins et 150 000 moutons. [130]

C’est une sécheresse intense qui affecte également tous les pays d’Amérique centrale. Au Honduras, par exemple, ce sont près d’un million de personnes qui souffrent de faim car 40% des foyers ont perdu plus de la moitié, ou la totalité, de leur récolte de maïs. La sécheresse impacte également le sud de l’Uruguay. Le Brésil a subi des pluies diluviennes, durant le début de l’année 2020, dans certaines régions… alors qu’en date de fin mars 2020, les cataractes d’Iguazu (à la frontière entre l’Argentine et le Brésil) n’ont plus qu’un débit de 289 mètres cubes au lieu d’une moyenne de 1300/1500 mètres cubes.

En mars 2020, les agriculteurs Argentins lancèrent une grève de quatre jours afin de protester contre la hausse des taxes à l’exportation du soja qui venaient d’être décrétées par le gouvernement trois mois après une hausse similaire. Le soja est en tête des exportations en Argentine alors qu’une inflation de 50% sévit dans le pays. En 2019, l’Argentine a exporté 30 millions de tonnes de farine de soja, 10 millions de tonnes de fèves de soja et 5,3 millions de tonnes d’huile de soja. L’Argentine est le premier exportateur mondial de farine et d’huile de soja.

Xochi. Le 22 mai de l’An 02 des Gilets Jaunes.