A tous ceux qui arrivent sur ce blog parce qu’ils sont intéressés par mes Nouvelles des Brigades Anti-Graphène, ou par mes divers essais sur la graphénisation universelle des Peuples – au service du Tikun Olam eugéniste du gang de Klaus Schwab – mais qui ne me connaissent, ni du Sang ni de la Sève, je souhaite préciser, de prime abord, que mon oeuvre écrite est abondante, généreuse… et non payante.
Et c’est, déjà, en ce monde contrôlé par les voyous, mafieux et escrocs financiers, une expression et une affirmation du Mutualisme en tant que fondement de l’intégralité de la Biosphère et en tant que fondement de tout tissu social, et communautaire, digne de ce nom. Pour mémoire: c’est en 1902 que Pierre Kropotkine publia son ouvrage “Le Mutualisme, un facteur de l’Evolution”. Le Mutualisme constitue un fondement de l’Evolution… parce que la Mère en a décidé ainsi. Et que tous les anti-néo-darwinistes se réjouissent, Pierre Kropotkine ne parlait pas de l’Evolution aléatoire, aveugle, non-intentionnée – celle des néo-darwinistes: une petite secte religieuse d’attardés mentaux.
Aujourd’hui, j’ai reçu un courrier de Caroline – très aimable et pertinent – qui ricochait sur la question que je posai hier, dans mes Nouvelles:
Qu’en est-il, par exemple, lors d’échanges intimes et de partages de fluides sexuels, de la potentialité de transmission de nano-particules, telles que de l’oxyde de graphène, entre conjoints ou partenaires sexuels?
La précision de Caroline est, bien évidemment, exacte: «J’ai envie de rajouter que c’est également, voire surtout, la question de toute personne non vaccinée/ non injectée et donc non graphénisée (ou moins graphénisée). Voilà jusqu’où vont la division et la peur, jusque dans le choix de son conjoint». La précision de sa précision, «ou moins graphénisée», est, tout autant, bienvenue car la graphénisation, aujourd’hui, dépasse, de loin, et malheureusement, le cadre de la vaccination/injection CoqueVide.
J’invite tout un chacun à s’éduquer quant à cette problématique s’il ne veut pas mourir graphénisé en idiot utile, en imbécile heureux ou en pseudo-cyborg “en transition”…comme dirait la chèvre de ma voisine qui, lasse de se laisser traire et distraire, se porterait, volontiers, volontaire, pour une expérimentation chirurgicale, sur mode bouc-émissaire, vers le statut de chèvre-mâle.
Quant à la question de Caroline «Auriez-vous plus d’informations au sujet de ce que risque une femme non vaccinée avec un conjoint vacciné?», elle m’a, littéralement, déclenché une attaque cérébrale de Muses.
Alors pourquoi “Sexe, Vaccins and Rock the Dolls!”? Tout simplement, parce que les Globalistes Déments, très experts en Mal Social, depuis une palanquée de siècles, contrôlent une partie de la population comme s’ils faisaient valser des poupées de son au rythme des dissonances cognitives éructées par des Autorités psychopathiques – qui ne sont, elles-mêmes, trop souvent, que d’autres poupées-marionnettes dont les Banksters génocideurs tirent les ficelles bien graissées à l’huile de chair humaine. Il n’est que d’analyser les ficelles pathétiques de la PharMacronie afin de subodorer l’identité de ces criminels qui les tirent… les ficelles de ces pantins politiques.
Les premiers risques incluent, bien évidemment, les fausses couches, les malformations des bébés ou, encore, l’émergence de “bébés-graphène”.
Ces bébés sont graphénisés jusqu’à la moelle de leur ADN et, selon des vidéos troublantes, ils semblent posséder un spectre de capacités extra-humaines – ou, du moins, un spectre de capacités ne correspondant pas à leur développement naturel, Anthropique, dans ce cadre temporel présent. C’est comme s’ils étaient présents dans deux mondes… et ce serait, alors, le début d’ennuis véritables.
Les premiers risques incluent, également, la stérilité. En effet, la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu l’introduction des vaccins farceurs (un pléonasme), au prétexte de CoqueVide, pour nano-particuler les injections vaccinales depuis une pléthore d’années – sur mode roulotte russe. Sans évoquer les programmes de stérilisation vaccinale de l’OMS, depuis les années 1980, que j’ai longuement décrits et analysés, à maintes reprises, en ce blog… quoi qu’en prétendent les Décodeurs abjects de l’ImMonde.
L’oxyde de graphène, l’oxyde de graphène réduit, les nano-tubes de carbones, les nano-bulles et micro-bulles de graphène, les hydrogels à base de graphène, les points quantiques de carbone, etc, sont au menu génocidaire des injections vaccinales depuis un certain nombre d’années, déjà. Tout autant qu’au menu toxique des solutions aqueuses, dont les sérums physiologiques, depuis au moins 2015 – commercialement parlant.
Ce que la Femme risque, également, sur le plan social et communautaire, c’est de ne plus pouvoir, même si elle en a envie, participer à la dynamique de reproduction, de sa Race, de son Ethnos, de sa Tribu et de sa Lignée.
Le Femme devient alors stérile. Les nano-matériaux à base de graphène constituent une attaque féroce à l’encontre de la fertilité Humaine.
Depuis un certain nombre de mois, j’ai évoqué, à plusieurs reprises, la focalisation du génocide vaccinal, au parfum de CoqueVide, sur certains Peuples et sur une certaine Race – plutôt que sur d’autres.
Donc à la question que pose le charmant Augustin de Livois: «Pourquoi l’Afrique sub-saharienne est-elle épargnée par le Covid-19?», il est aisé de répondre que c’est, tout bonnement, parce que le CoqueVide n’existe pas! Quant aux Variants Delta, Beta, Alpha… ce ne sont que des dénominations des symptômes de l’empoisonnement vaccinal au graphène. Ainsi, cher Augustin, comme le Sahel n’a pas été vacciné/graphénisé… il a, même, échappé aux pathologies induites par les pseudo-variants tout autant inexistants que la souche-mère.
Ce que m’a inspiré la question de Caroline, surtout, c’est de percevoir le rapprochement avec un sujet sur lequel je suis intervenu à plusieurs reprises – et je suis l’un des quelques seuls à l’évoquer en France… de manière conséquente. Il s’agit du dossier des insectes chimériques stérilisateurs: à savoir, le prétexte Oxitec au grand remplacement, dans la nourriture humaine, d’une grande partie de la chaine agricole de production alimentaire – dans les sols de la Terre – par des chaines de production industrielle, en milieu exclusivement articiel, de protéines diverses et variées et autres substances nutritives… ou prétendues telles.
C’est ainsi que j’ai rédigé, depuis 2016, quatre très longs articles sur les insectes chimériques stérilisateurs, sur les aliments chimériques à base d’insectes ou sur les aliments chimériques à base de cultures cellulaires en cuves:
“L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”
“La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs: un Prétexte pour le Grand Remplacement?”
“Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?”
Quel rapprochement ai-je donc perçu? Tout simplement le parallèle entre, d’une part, les insectes mâles (moustiques, mouches, etc) qui sont programmés génétiquement pour que la progéniture des femelles, avec lesquelles ils se sont accouplés, soit stérile et, d’autre part, les humains mâles qui ont été injectés CoqueVide et dont le sperme est, potentiellement, graphénisé. A savoir, dont le sperme graphénisé constitue un potentiel vecteur de graphénisation de l’embryon qui va naître de la fusion sexuelle.
De très nombreuses femmes, de par le monde, ont témoigné souffrir de transformations, douloureuses ou non, de leurs cycles menstruels en raison de leur intimité avec des personnes vaccinées/injectées/graphénisées. Est-ce étonnant vu le degré de magnétisation de certains injectés? Il ne faut pas oublier que l’intoxication au graphène constitue une pathologie d’irradiation.
Cela veut dire que le mâle humain graphénisé se transforme en bombe génocidaire lors de la fusion sexuelle avec la femelle humaine. Il s’agit, en fait, d’une forme de prédation intra-spécifique. Tout comme les insectes mâles chimériques d’Oxitec, à savoir manipulés génétiquement et nourris à la Tétracycline, les mâles humains graphénisés sont des mâles humains chimérisés – dont les femelles deviennent, à leur insu, une proie a stériliser…. car tel est le programme des Eugénistes du Forum Economique Mondial. Ce sont des mâles humains chimériques car ils se sont métamorphosés, depuis les injections vaccinales graphénisantes (ou tout autre vecteur), en hybrides issus d’une fusion entre leur organisme vivant et un matériau nano-particulaire inexistant, en premier lieu dans la Nature, le graphène sous toutes ses nano-formes.
En août 2016, j’ai osé poser la question suivante: Pourrait-on oser une ultime interrogation – que d’aucuns jugeront peut-être extravagante? Que se passe-t-il, dans l’Atmosphère et la Biosphère vivantes de notre Terre-Mère, lorsque des êtres humains y libèrent des mouches mâles, ou des mites mâles, ou des moustiques mâles dont la mission – programmée génétiquement en laboratoires – est d’aller semer la stérilisation chez les insectes femelles de la même espèce, à savoir de les exterminer, jusqu’à la dernière, elles et leur descendance femelle ? Mais en fait, l’ultime interrogation, prégnante de décence et d’arrogation, ne serait-elle pas la suivante? Une toute petite partie de l’espèce humaine (très dégénérée, criminelle et psychopatique) n’est-elle pas en train de manifester, par le vecteur des insectes chimériques, la même abomination qu’elle fait perdurer au sein de sa propre espèce depuis des milliers d’années – à savoir la prédation intra-spécifique
Et cette prédation intra-spécifique semble atteindre son apogée à notre époque présente qui a vu notre belle planète se métamorphoser en poubelle cancérigène grâce aux efforts gigantesques des multinationales biocidaires (Monsanto, Bayer, Syngenta, Nestlé, Limagrain, Dow, Dupont, etc, etc.), de leurs valets d’Etat corrompus jusqu’à la moelle et des grandes banques qui contrôlent tout ce complexe militaro-industriel.
Cependant, ce qui est nouveau avec l’introduction d’insectes chimériques mâles et stérilisateurs, c’est que la prédation intra-spécifique – une abomination contraire aux Lois de la Nature et qui n’existait auparavant, dans la Biosphère, que comme une impulsion toxique et mortifère dans le psychisme d’une fraction très déshumanisée de l’espèce humaine – existe maintenant au sein d’espèces d’insectes qui ont été manipulées par des scientifiques prétentieux et criminels. La prédation intra-spécifique qui, au même titre que le plutonium et les chimères génétiques, constitue une invention de l’espèce humaine – ou de la fraction la plus pathologiquement démente d’Homo sapiens – est en voie de dissémination dans la Biosphère par le vecteur d’insectes chimériques dont la fonction est d’exterminer leur propre espèce. C’est un nouveau saut périlleux que la science Occidentale vient de réaliser sur la corde très tendue de la démence terminale.
Faut-il préciser que, potentiellement, et très concrètement/physiquement même, il existe les mêmes risques, chez les mâles, de se faire contaminer/irradier par des femelles qui auraient été graphénisées? En effet, le graphène possède une attirance particulière tout autant vis à vis du système de reproduction mâle que femelle – ainsi que je l’ai mis en exergue dans mon dossier “Toxicité des nano-particules de Graphène pour le système de reproduction des insectes, des poissons et des mammifères”.
Cela veut, donc, dire que la femelle humaine graphénisée peut se transformer en bombe mutagène et/ou génocidaire lors de la fusion sexuelle avec un mâle humain.
Mon langage, quant à la sphère de la sexualité humaine, est strictement inclusif dans la mesure où j’ai exclu, “catégoriquement”, les mèmes et les fadaises de tous les trans-genres – et autres idiots utiles sur l’autel des déments Transhumanoïdes – dont l’existence est statistiquement inexistante.
En fait, pour les Guerriers Gaïens, ainsi que pour les Guerrières Gaïennes, la copulation avec risques de graphénisation constitue une problématique d’amplitude tout autant que la constituent, selon d’autres modes d’intimité, les multiples vecteurs de sucs et fluides humains: salive, transpiration, larmes, urines, menstrues, etc… sans oublier les sucs féminins qui sont nombreux et généreux – sur mode, parfois même, de Tsunamis.
J’ai abordé ce sujet éminemment épineux, pour ne pas dire très mode Spike – aujourd’hui, du point de vue de la couronne nécro-moléculaire de graphène – dans mon Canto: “Un Temple de la Sorcellerie sur les Cendres de la Cathédrale Consumée?”
Puis-je donc, pour la récréation, et la régénération, proposer ma traduction d’un poème érotique du Tamil-Nadu, le Kamapanacastiram? Cela, afin de mettre en exergue, et même en haute altitude, le fait que si le “Clitoris” signifiant “petite colline” (du moins prétendument, en ancien Grec) fut nommé ainsi, sûrement par un mâle ecclésiastique, ce n’est peut-être… qu’un problème d’éloquence de langue, car, personnellement, je serai enclin à considérer le Clitoris comme une grosse montagne. Dans le Tantra Gaïen, le Clitoris… cela peut friser le Mont Everest sur le plan de l’extase et des vertiges – par manque d’oxygène. D’ailleurs, certains, proposent une étymologie surfant sur le mème de la “clé”: “kleís” en Grec, “clavis” en Latin, cognat avec “klínō” en Grec, pour “j’incline”, et avec “klîmax” en Grec, pour “échelle”. En fait, en Anglais, le terme “climax” signifie, aussi, l’orgasme. Le terme, en Français, “climat” – dont personne ne sait donner une définition – a pour origine cette même racine, également. Au risque de passer pour moqueur, je comprends mieux maintenant que le GIAC, les Guignols de l’Intox Atmosphérique Carbonée, et de nombreux “climatologistes” à la solde des Autorités, prennent la grenouille, qui monte ou descend à l’échelle, comme symbole, lorsqu’ils crapautent dans la marmelade de leur science falsifiée – car en Grec, l’échelle et le climat participent du même concept.
N’est-ce pas époustouflant, pour ne pas dire neurorgasmant? Le Clitoris, dans cette vision étymologique de sexualité exacerbée, est la “clé”, “l’échelle”, “l’orgasme”, “le climat” – en bref une atmosphère de Joie de Vivre. C’est l’une des Clés vers l’Illumination Gaïenne. C’est l’une des Clés vers l’Orgasme Féminin (si je puis oser l’adjectif) qui n’a jamais été, d’ailleurs, que clitoridien car tout est Clitoridien – même sur mode super G. La Montagne qui surgit au coeur de l’Oeuvre est la Clé de la Clé – surtout lorsque les Tremblements de chair, en fond de Vulve Volcanique, déclenchent des Tsunamis de sucs. C’est l’une des Antennes privilégiées vers le sacré Féminin, vers la Mère Orgasmique, la Maîtresse de Danse du Tantra Planétaire
Voilà donc, pour le dessert, en guise d’acte de bravoure, à consommer de suite et sans modération, un poème Tamil, de la période médiévale tardive du sud de l’Inde, le Kamapanacastiram, qui confère des instructions explicites et exaltées quant aux exsudats oro-génitaux consacrés à la régénération des forces Vitales de l’animal humain – et qui sont des instructions vivant au coeur de toute Sorcellerie authentique, Païenne et Gaïenne.
Le Kamapanacastiram: un Hommage au Canal Historique de la Shakti
«En prenant le joyau proéminent et palpitant de son yoni,
doucement, gentiment entre tes dents et ta langue
suce-le comme un nouveau-né tète du sein;
il va alors s’ériger et briller, il va émerger de son fourreau.
Il va s’enfler tel un magnifique rubis.
L’épanchement abondant et parfumé,
coulant telle une douce écume,
entre les lèvres de la vulve,
est une boisson régénératrice lorsqu’elle est mélangée
avec ton sperme parfumé, épais, brillant et de la couleur du lait.»