Alors que j’évoquais avec mes proches l’absence inquiétante d’encres non toxiques pour la réalisation de tatoos corporels, il me vint à l’esprit d’enquêter sur la présence de graphène dans les encres – à savoir dans les encres destinées aux tatouages… car cela fait une pléthore d’années que le graphène est présent dans les encres de l’Industrie.
Aux USA, environ 25% de la population est tatouée et il existe, environ, 21 000 salons de tatouage dans le pays.
Et je découvris, tout d’abord, que des encres à base de graphène étaient produites pour intégration dans des textiles à fonction de bio-senseurs – à savoir des textiles “smart”.
En 2016, déjà, on parlait de “nano-calligraphie au graphène” en utilisant le graphène comme un “papier” sur lequel écrire des schémas chimiques des milliers de fois plus fins qu’un cheveu humain. [443] Des chercheurs, menés par le Dr. Aravind Vijayaraghavan, ont prouvé qu’il est possible de mélanger du graphène avec des molécules biologiques, ou chimiques, afin d’élaborer des structures de quelques centaines de nanomètres. [444]
En effet, le 24 septembre 2021, le blog de Drupa a évoqué, dans un article intitulé “Smart Textiles with Graphene Ink”, [436] les nouvelles dynamiques de la compagnie Versarien Graphene Limited [437] dont l’un des objectifs est d’inclure des encres, à base de graphène, dans des vêtements.
Leur double logo présente, à gauche, des flocons d’oxyde de graphène et, à droite, une encre liquide à base de graphène.
Selon Versarien Graphene Limited, les vêtements au graphène sont plus résistants (à l’usure et au lavage); ils permettent d’éliminer la transpiration beaucoup plus facilement; ils permettent de se refroidir quand il fait très chaud.. et inversement.
Est-il clair que les vêtements confectionnés avec des encres au graphène vont mettre cette substance en contact direct avec l’épiderme humain?
Versarien Graphene Limited a, également, signé un contrat avec la société Vivobarefoot afin de développer des chaussures au graphène.
Vivobarefoot est l’un des leaders des chaussures “végan”! Ce n’est pas de chance pour les végans car, face à l’empoisonnement au graphène, leur régime alimentaire, archi pauvre, ne leur permet pas de produire le glutathion, l’anti-oxydant majeur dans le corps humain, car les trois acides aminés qui le constituent (Cystéine, Glycine, acide Glutamique) proviennent, majoritairement, de la viande, des oeufs, des produits laitiers, des poissons, etc…
D’autres compagnies de graphène sont, également, dans la course aux chaussures à graphène. Il s’agit, par exemple, de l’Istituto Italiano di Tecnologia, en Italie, qui, en collaboration avec la compagnie de chaussures FADEL, a créé des chaussures au graphène qui élimine 50% de plus de chaleur – permettant aux pieds de rester frais. [439]
Il s’agit, aussi, du Graphene Industry and Technology Research Institute à Jinjiang, en Chine. Cette région accueille, environ, 3000 usines de fabrication de chaussures qui produisent 40% des chaussures de sport commercialisées en Chine – et 20% des chaussures de sport commercialisées dans le monde. Cet institut de Jinjiang est en cours de focaliser ses recherches sur la création de chaussures au graphène légères (ne pesant pas plus de 100 grammes), auto-nettoyantes et auto-désodorisantes. [440]
Qui pis est, en août 2021, en Australie, la startup SensFit, de l’Université Swinburne, a présenté sa nouvelle chaussure “smart” contenant 87 bio-senseurs, à base d’encre de graphène, incorporés dans la semelle. L’objectif de cette nouvelle chaussure, au graphène, est d’améliorer la qualité de vie des gens âgés en permettant de détecter, de manière précoce, la démence, les ulcères diabétiques ou autres soucis liés à une activité physique. [438]
Je découvris, ensuite, qu’effectivement, des recherches ont été effectuées portant sur la création d’encres “smart” pour des tatoos inter-actifs.
Ainsi, en septembre 2017, des chercheurs du MIT, et de Harvard, ont publié leurs recherches portant sur la confection de tatoos confectionnés avec des encres spécifiques dans le but de servir de bio-senseurs, sous la peau, afin que les sportifs puissent, connaître, en temps réel, les modifications de leur taux de sucre sanguin, de leur niveau de déshydratation. [435]
Il est à noter que, dans cette étude, les chercheurs ne précisent pas la composition de leur encre mais… ne s’agit-il pas de graphène puisque l’objectif est d’incorporer des bio-senseurs?
Selon la présentation du chercheur de Harvard, Alvin Powell: «Les encres Dermal Abyss pour tatoos changent de couleur en fonction de la chimie du liquide interstitiel dans la corps, qui peut être utilisé comme substitut des composants du sang. A ce jour, les encres développées changent du vert au marron lorsque la concentration en glucose augmente. L’équipe a, également, développé une encre verte, visible sous lumière bleue, dont la couleur s’intensifie au fil de la concentration du sodium, une indication de déshydrations. Les chercheurs ont réalisé un tatouage avec ces encres, sur un épiderme de porc, afin d’étudier comment elles modifient leur couleur, ou leur intensité, en réaction à divers bio-marqueurs». [434]
Selon ces chercheurs, les applications sont nombreuses pour des encres “smart” – bio-sensibles – qui pourraient, par exemple, être incorporées dans des tatoos de longue durée, pour des pathologies chroniques, ou des tatoos de courte durée pour un monitoring ponctuel. Ces encres peuvent, même, être invisibles et lues sous des types de lumière particuliers – par exemple, la lumière émanant d’un téléphone portable.
Pour rappel. C’est Robert Langer, le co-fondateur du laboratoire Moderna, qui a collaboré avec son grand ami Bill Gates pour développer, en Afrique, une nouvelle technologie de vaccinations avec tatoos lisibles – par la caméra d’un téléphone portable. Une autre de leurs inventions communes est l’insertion, dans le corps humain, d’une puce électronique, contrôlable à distance, libérant des substances contraceptives. [263]
Pour Rappel. Selon Jun Lou, l’auteur d’une étude portant sur le nitrure de bore hexagonal (le graphène blanc) à l’Université Rice, de Houston, au Texas, l’électronique flexible en 2D peut être utilisée, en sus des applications pour des textiles électroniques, par exemple, pour des applications plus exotiques – tels que des implants et tatoos électroniques greffés, directement, sur le cerveau.
En janvier 2021, le blog Digital Trends publia un article intitulé “This game-changing graphene tattoo can continuously monitor your brainwaves” annonçant “A cyborg work in progress”. De quel type de création “cyborg” s’agit-il? Il s’agit d’un nouveau système de tatouage créé par la société Brain Scientific. Il est à base d’encre de graphène et sa fonction est de lire les ondes cérébrales. Il est clair que ce que Brain Scientific appelle un tatoo est en fait une micro-chip d’électroencéphalographie, à 4 canaux, avec des électrodes de graphène. [441]
Le “Brain E-Tattoo” avait pour fonction originelle de prédire des crises d’épilepsie. Aujourd’hui, sa fonction est de prédire, également, des conditions neurologiques telles que la Maladie d’Alzheimer, la Maladie de Parkinson, les arrêts cardiaques, etc.
Les encres nano-particulaires au graphène sont omniprésentes – ou bien vont l’être, très prochainement – car le graphène est réputé être très anti-microbien, à savoir anti-bactérien et anti-viral.
Par exemple, en février 2021, une étude fut publiée qui est intitulée “Graphene oxide/silver nanoparticle ink formulations rapidly inhibit influenza A virus and OC43 coronavirus infection in vitro”. [442] Elle porte sur la création de nouveaux composés nano-particulaires possédant des capacités anti-virales – qui seraient incorporés à des systèmes de filtration ou à des vêtements de “protection personnelle” – et, en particulier, un composé nano-particulaire d’oxyde de graphène et d’argent. La fonction de ces vêtements, ou systèmes de filtration, seraient d’éliminer les polluants de l’atmosphère – tels que des contaminants viraux.
Les processus d’expérimentations, lors de cette étude, empruntèrent trois voies: une réduction avec des sels d’argent; l’ajout direct de nano-sphères d’argent; l’ajout direct de nano-sphères d’argent au graphène thiolisé.
Le but de cette étude était d’étudier l’impact de ce composé nano-particulaire d’oxyde de graphène et d’argent sur le dénommé coronavirus OC43 – une autre fadaise n’existant que sous forme de séquence génétique mathématico-virtuelle. L’expérimentation concernait divers types de composés nano-particulaires, d’oxyde de graphène et d’argent, en fonction de critères d’états d’oxydation, des réactions de surface de l’oxyde de graphène, de la taille des nano-particules d’argent, etc.
Il faut bien se rappeler que toutes les études modernes dénommées “scientifiques” s’effectuent dans le cadre de la virologie Pasteurienne – à savoir, dans le cadre de la mythologie pernicieuse qu’est le néo-darwinisme – pour cause de subventions, de salaires, de droit au travail, de réputation, etc.
Par exemple, en septembre 2020, un article intitulé “Lab tests show ZEN Graphene’s virucidal ink 99% effective against COVID-19; patent applied for” expliquait que ZEN Graphene allait déposer une demande de brevet pour son encre au graphène nano-particulaire prétendument à 99% anti-virale – à savoir, anti-covidienne. [448] Cette encre est destinée aux masques faciaux et autres vêtements, prétendument, de protection personnelle. [450]
C’est le même ZEN Graphene qui, en septembre 2020, a, également, déposé une demande de brevet concernant un processus d’exfoliation destiné à la production d’oxyde de graphène à partir de graphite pur provenant d’Albany, en Colombie Britannique. [449]
Nous sommes, ainsi, présentement, plongés au coeur d’un monde nano-particulaire, à notre insu et contre nos grés. Au printemps 2019, des chercheurs de Cornell University, aux USA, ont présenté leur invention (après 10 années de travail) de nano-robots marcheurs de 70 microns de longueur (l’épaisseur d’un cheveu humain) qui peuvent être injectés en utilisant une aiguille hypodermique normale. [445] [446]
Chaque plaque de silice, de 10 cm de côté, peut produire 1 million de ces nano-robots aux jambes de graphène ou de titane/platine.
Les chercheurs sont en cours de développer des versions “smart” de ces nano-robots afin d’élaborer des horloges, des contrôleurs, des modulateurs.
Les quatre jambes du mini-robot sont composées de graphène ou d’un mélange de titane/platine. Chaque mini-robot peut porter 8000 fois le poids de chaque jambe. Chaque jambe fait 100 atomes d’épaisseur mais peut porter un poids 1000 fois plus épais. Pour l’instant, l’usage de cette invention est limité de par sa source d’énergie, à savoir le solaire… à savoir limité quant à sa capacité d’être injecté profondément. [447]
C’est ainsi que les chercheurs sont en cours de développer des nano-robots – de graphène – fonctionnant de par une source de champs magnétiques ou des ultra-sons. Une source de champs magnétiques extérieure ou interne? Tel que le graphène injecté au travers des vaccins CoqueVide?
C’est effectivement une piste que les chercheurs des Brigades anti-Graphène sont en train d’investiguer avec ardeur: à savoir, l’activation du graphène dans le corps grâce à des techniques de sons. Et cela pourrait, même, expliquer le carnage cardiaque lors du concert, dernièrement, au Texas.