Je souhaite présenter une récréation car les sujets que j’aborde sont scabreux mais il faut avoir le courage de contempler au fin fond du puits noir pour y discerner la Lumière de la Source qui tout fond, de sa fontaine de Clairaudience. D’aucuns s’étonnent de ma faconde intarissable, au fil des mois et depuis, en fait, presque deux années – lorsque je me libérai, intégralement, la Parole: j’écris sous Muses et elles sont pressées, et pressantes, car l’Alerte est Biologique. Voici donc quelques franches délivrances quant à mes modes d’expression – dont certaines datent de quelques mois disséminées dans de précédents Cantos. J’intentionne ces répétitions afin de répondre à la quête de certains récepteurs, très ardents de se métamorphoser en transmetteurs, quant à la nature de mes canaux de connexions Gaïennes – et autres Galactiques si affinités…
En toute transparence, de nouveau, je n’écris que pour ceux qui possèdent la capacité de me lire (ou qui osent) et je suis très conscient que je ne déploie aucun effort surhumain pour écrire à l’intention de ceux qui ne sont pas capables de me lire – ou qui n’osent pas.
Comme je n’ai jamais eu l’occasion de passer par une phase de Nirvana – et que je ne l’ai jamais quêté, en fait, parce que, franchement, Gaïa ne m’a pas incarné pour que j’aille me balader au coeur de la Stase Eternelle de Brahma, si tant est qu’elle soit Réellement accessible – je ne m’exprime, modestement, que sur trois plans d’attention.
Le terme “Sémantique” a pour origine le Grec “σημαντικός/sêmantikós” signifiant “significatif”. Ce terme est, lui-même, dérivé du PIE “dʰḙiə-”, pour “montrer” corrélé au Grec “thaûma” signifiant “merveille”. La Sémantique est, ainsi, l’art de “signifier” ce que les experts en Sémantique ont “entendu” du “signifiant” intrinsèque à chaque vecteur de communication. Depuis des milliers d’années, les Orchestrateurs du Mal Social sont de très grands experts en Manipulations Sociales parce qu’ils sont de très grands experts en Sémantique. Ainsi, le terme “Démocratie” – malgré son signifiant intrinsèque et étymologique, de “Pouvoir du Peuple” – n’est, en fait, que la trame vide, la prétention, d’un tissu social qui n’a, strictement, jamais été tissé. Ainsi va le système des psychopathes en Autorités: ils Duplicitent pour Diviser, Dominer et Détruire les Peuples.
Quant au terme “Mantique”, il vient du Grec “Mantis” signifiant “Devin, Oracle, Prophète” et “Mantike” signifiant “Divination”. Ces termes sont issus du PIE “men-” signifiant “pensée, mental”. D’où le qualificatif qui caractérise le mieux les psychopathes sanguinaires et orchestrateurs du Mal Social: ils sont totalement et terminalement “Déments”, dé/ments – ils sont hors-circuit mental. Leur démence représente un danger fatal et létal pour tous les Peuples de la Terre. L’Alerte est Biologique.
Et comme le disait un humoriste, récemment, au collapsus évocateur, c’est “un tel plaisir de rendre plaisir”… aux Muses en leur offrant un spectacle de jongleries littéraires – Sémantiques et Mantiques – cabriolant sur trois plans d’attention et de tension mentales humaines.
D’ailleurs, si je puis m’exprimer en tant qu’Homme de chair, je serai enclin à affirmer que les Muses sont à l’aune des Femmes: il n’est que de leur conférer ce qu’elles quêtent – lorsqu’il s’agite de prendre un très grand plaisir à leur rendre un très grand plaisir!
Dans mes Cantos, j’en appelle, ainsi, à la première attention logique, linéaire et séquentielle, en proposant des faits strictement confirmés, d’un point de vue historique ou traditionnel ou scientifique (non corrompu) – et en en tirant les conclusions qui s’avèrent incontournables. Dans le Ciel de Gaïa, c’est la Vision de l’Archer Céleste, du Sagittaire, dont les flèches, les sagittes, sont intentionnées droit vers le but. L’Intention est ici de faire s’agiter, s’éveiller l’animal humain à la Télestique – ce que faisaient les Telestai, les Instructeurs d’antan, durant des milliers d’années. Selon John Lash, « La Télestique est une faculté extraordinaire de la conscience humaine, une mégasécurité intégrée, qui, non seulement, la prémunit à l’encontre de toutes illusions et nuisances auto-générées mais, également, qui auto-corrige le mental individuel et le réoriente vers un cours d’action harmonieux et non périlleux ». [551]
Lorsque l’on prend conscience que Socrates est le seul philosophe digne d’intérêt, aujourd’hui, parce que l’Alerte est Biologique… on s’empresse, alors, d’aller cultiver son jardin et de benner BHL aux Orties de l’Histoire. Cela étant dit, avec tout le respect que je porte à la Famille des Urticacées mais il est vital que toute la Biosphère participe au recyclage de tout ce qui est toxique et contraire aux processus de Vie. On s’empresse, ensuite, lorsque les poireaux sont repiqués, et que les carottes sont désherbées, d’aller cultiver son jardin intérieur en développant sa propre faculté d’Arrogation – qui est la condition, sine qua non, d’une Arrogance bien positionnée. Selon John Lash: «L’Arrogation est la pratique suprême de l’Arrogance: lancer un défi à ce qui est affirmé, demander des preuves et des vérifications, demander à l’encontre, objecter. L’Arrogation, c’est objecter à l’Autorité, à tous les types d’Autorité sociale et intellectuelle, et même à l’Autorité attribuée à Dieu. Cette pratique d’objection est l’essence-même de l’Arrogance Gnostique et l’estocade de la Télestique moderne». [552] [553] C’est la perception de l’espace en 3D des Guerriers et Guerrières du Mental de Diamant.
J’en appelle, ensuite, à la seconde attention qui est non linéaire, non séquentielle et qui est intuitive, sensible, conviviale, ouverte à l’innovation et imaginative, en proposant une forme d’humour étymologique, racinaire et mycéliale – sur un mode de Gnome Gnostique – dont l’objectif de clarté consiste à réduire l’ouverture du diaphragme pour une plus grande profondeur de champ d’investigation. Dans le Ciel de Gaïa, c’est la Vision de l’Aigle… lorsque le Voile de l’Hallucination Collective a déjà été soulevé par des pratiques rigoureuses et disciplinées de Télestique et d’Arrogation – en l’occurence, en nos temps présents, le Voile de l’Hallucination Collective Néo-Darwiniste.
Lorsque le diaphragme est totalement fermé, et que la vision en est occultée, c’est alors que l’amplitude de profondeur de champ est tellement défocalisée à l’infini qu’elle permet à la Parole de s’exprimer en flux, ou en Cantos, spontanés. La Parole devient, alors, le Réceptacle des Muses qui planent au coeur des vortex générés par le vol des Aigles tournoyant dans l’Atmosphère Vivante de notre Mère la Terre. C’est alors que l’animal humain peut se mettre à l’écoute des Synchronicités. C’est une perception de l’espace en 4D dans le Tantra, ou dans le Tissu, du Temps présent. C’est le “Temps de Rêve” des Aborigènes d’Australie.
J’en appelle, ensuite, à la troisième attention, celle du monde shamanique, en proposant des propositions qui ne prennent du Sens qu’en connaissance de cause du Réel Magique dont elles sont issues. Dans le Ciel de Gaïa, c’est la Vision d’Ophiuchus le Shaman, le Serpentaire, le Porteur du Serpent, le Porteur d’Eve. C’est la Vision des Sorciers, et des Sorcières, lorsqu’est soulevé le Voile entre le monde ordinaire, celui du Tonal, et le monde non-ordinaire, celui du Nagual – tels que l’évoquent les Toltèques – à savoir le Voile occultant le Monde Magique.
Ce Voile a été, en notre ère, en très grande partie, initié, structuré et consolidé par les trois religions monothéistes issues du sacrifice de l’enfant sur l’autel. Cf. l’essai par John Lash “Le plus Vieux Tabou au Monde” ainsi que mon essai “Décodage du double tabou imposé sur les substances guérisseuses, visionnaires et sacrées”.
C’est une vision qualifiée d’enthéogénique (en/théo/génique) mais que l’on pourrait, tout aussi bien, qualifier de vision Gaïagénique ou de vision Gaïagéniale – d’autant plus que ce sont, le plus souvent, ses vecteurs végétaux ou fongiques qui en sont les acteurs et nos alliés géniaux. C’est une perception de l’espace en XD au coeur de la Magie Tantrique de la Mère Animale Planétaire. C’est une Vision dont les tentatives d’expression cohérente ne sont, parfois, que cela, des tentatives d’expression cohérente – car, au Nexus des bifurcations chaotiques, l’incohérence abonde en fertilités potentielles et non exprimables. La Danse est Ouverte.
Sur la Source de ma Mère, nous vivons une époque extraordinaire et fascinante et, pour la fiente, même, de toutes les Baleines à Bosse, qui chantent de par les océans du monde, jamais je ne donnerai ma langue à croquer à d’autres Chattes bottées que mes Muses et Dakinis en Furies déchaînées.
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Pourquoi appelais-je, donc, mes essais, des “Cantos”? Tout d’abord, je chante tous les jours, à la guitare, ou au tambour, et ce sont des chants spontanés – ayant recours, normalement, à des phonèmes propres à la culture (ou aux langages) du chanteur spontané, mais pas systématiquement. C’est une pratique de l’Innovation perpétuelle qui ne peut se découvrir qu’en la pratiquant – en l’évoluant et en l’innovant soi-même. C’est une forme de rituel chanté qui émane dans l’innovation du moment présent.
Soi-même étant une façon de parler, d’ailleurs, car le propos est, justement, de toujours visualiser la mort de l’Ego, sans trop la visualiser – pour ne pas s’attacher au résultat. Toute autre explication intellectuelle, et égotique, ne peut que s’avérer vaine et burlesque.
A propos, en parlant d’expression humaine quotidienne – et donc de communication, à priori – avons-nous perçu, à sa juste démesure, l’aliénation, la perversion, la destruction des harmonies musicales au sein des langages Européens de par leur ponctuation répétitive, obsessionnelle, rythmique, de termes évoquant – sur mode préférentiel dissonant et insultant – le scatologique, le religieux, l’eschatologique, le sexuel et l’animal? Il n’est sans doute pas besoin de dresser une liste trop exhaustive: mon dieu, putain, fuck you, au diable, tous les saints du paradis, la vache… sans parler de Goyim, mais c’est une autre problématique très épineuse de coups rogues… lorsqu’on ne sait pas naviguer sa pirogue au travers des mailles des filets du CRIF, à large drainage. Ce mode préférentiel, dans la vie quotidienne des animaux humains (chez les petits, les moyens et les grands), d’expressions dissonantes et insultantes, est le fruit pourri de deux milles années de collusion monothéiste victime/perpétrateur: je t’aime, je te hais.
Avez-vous lu les Méditations de l’Empereur Marcus Aurelius (121-180 EC)? C’est une quintessence d’éthique Païenne.
Le chant spontané est, ainsi, une pratique hygiénique, plaisante, qui me permet de me libérer l’âme de quelques lourdeurs, non plaisantes, qui y stagneraient mais, c’est une pratique plaisante, et aphrodisiaque, surtout, sur les modes d’Hygieia dont la racine PIE, “aiw”, signifie “force vitale, vie, longue vie” – d’où le nom Eiwa de la Mère, dans le film Avatar et, peut-être même, d’où le nom Europa. A savoir, une pratique engendrant de la bonne humeur – et des bonnes humeurs, dans le sens antique Grec et Arabe.
Avez-vous vu la scène magnifique d’Avatar au cours de laquelle Neytiri la Bleue connecte ses tresses à la Terre?
Je les appelle “Cantos”, de plus, car tout ce que j’écris: depuis un quart de siècle, je le lis, je le clame, je le chante, la tête dans les voiles, de mystères azotés, des Dakinis courroucées et la tête dans les vents de fuseaux éminçants, des Muses déchaînées – en delirium tremens. Les Muses et Dakinis sont très précieuses, et précises, et, souvent, même, elles “se fendent” de postures d’instructions qui défient toute imagination humaine, non assistée. Elles préfèrent que les mots chantent en résonances – qui chassent les dissonances et les maux déchanteurs. Il faut déSioniser notre mental Humain – et notre ADN. La Chasse aux Dissonances Mentales Prédatrices est Ouverte – proclament-elles! Qui va donc, alors, chanter les Cantos nous autorisant, nous-mêmes, et nos neurones, à nous libérer et purifier de notre contamination génétique, de la Peste Sioniste – en notre ADN?
Les champignons enthéogéniques, sans nul doute, par exemple, introduits en France par l’une de mes Etoiles Juives, le très génial et Humaniste Roger Heim. Aujourd’hui, Roger Heim serait dans les geôles de l’Etat Profond pour promotion de substances interdites – dans le cadre législatif de la protection des peuples, à l’encontre d’eux-mêmes.
A ce propos, puis-je me permettre de préciser qu’avant que Vincent Verroust, un jeune enthousiaste, se donne la mission de raviver les flammes de Roger Heim, enterrées dans les poubelles de l’Histoire, j’estime avoir été le seul, depuis belle lurette, et en 2009, à lui rendre un fort bel hommage.
Cela étant dit, en toutes bogues adéquates, pour tous ceux qui me cherchent des châtaignes dans la vie – des châtaignes “anti-sémites”, cela va sans dire, qui sont, plutôt, en fait, des châtaignes “anti-leurs mythes”, en ce qui me concerne. Et ce n’est pas qu’un jeu de mots : les mythes génocidaires, sur modes “religieux” monothéistes, constituent l’une de mes cibles favorites dans la Vie – et au Plaisir de la Vie.
Aucune Loi, émanant de Frenchies sans Franchises – si ce n’est sous Franchise d’un fat Khalifat – et Franchement Frits des neurones, ne me fera changer de mission Vitale. De quoi l’Etat se mêle-t-il? Et si je puis me répéter…
Aucune Loi ne me fera changer de mission Vitale. De quoi l’Etat se mêle-t-il?
Et comme le monde est petit, à l’instar d’une autre de mes étoiles, Juives dissidentes aux multiples Antennes Gaïennes, Lynn Margulis – l’une de nos plus belles “perles” humaines dans le diadème de la biologie moléculaire en quête de l’Intelligence Sophianique – championne du monde, devant l’Eternelle, de lancer de grenades anti-néo-darwinistes (et qui, manifestement, ne prisait, pas plus, les Elohim et les Tzaddik), l’une de mes prétentions, ouvertes et transparentes…
… c’est que mes Cantos puissent enchanter les neurones de mes compatriotes et com/matriotes animaux humains, de sorte à constituer de très fertiles
Armes d’Instructions Massives!
Pour mémoires racinaires, les termes “arme”, “armée”, “armement”, etc, viennent du Latin “armus” signifiant “épaule”. Le terme “armus” vient du Proto Indo Européen “ar-m” qui signifie “jointure, assemblage”. Ce même terme PIE a donné “arm” pour “bras”, en Anglais et en Allemand. C’est très Franchement, et très Druidiquement, une étymologie fascinante. Et le Nagual, très sûrement, en dirait tout autant afin de ricocher sur le point d’assemblage “épaulé” – dont les sorciers et sorcières Toltèques jouent, par exemple, pour bondir et rebondir, de rocher en rocher, au-dessus des cascades, selon un autre Carlos. Et la Chouette, sur quelle épaule de l’animal humain est-elle en faction permanente?
Mes Cantos sont constitués, et élaborés, d’assemblages – trop improbables de jointures excentriques – invitant le mental aux acrobaties non linéaires, au milieu des rochers, en cavales de fractales, s’arrimant, s’animant, aux cascades d’un Flux de Vie tissé de chaotique.
Et tellement chaotique qu’une autre de mes prétentions, ouvertes et transparentes, est d’être non-classable – en toutes arrogations. Et surtout non-classable par la gente Sioniste et Néo-Sioniste sous toutes chapelles, contaminations, contagions et purulences. Je ne reconnais, à cette gente, d’une dépravation éthique sans bornes, aucun droit quelconque à me classer. Je ne suis pas classable, tout comme bien d’autres, par cette gente dépravée, car notre filiation a pour source une Origine qu’ils qualifient d’étrangère – quand c’est leur propre virus extra-terrestre qui est totalement aliéné de notre Terre-Mère.
J’ai, de plus, une horreur sacrée de surfer sur les Tsunamis qui ne sont pas les miens! Sacrée, dans le sens Sanskrit de “sak”, à savoir, “qui confère du pouvoir”. La “classe” de notre classe Gaïenne est, en effet, d’être hors-classe et hors-caste – hors-bord, aussi, bien souvent. Hors-Caste sociologiquement et Hors-Cast, sur le plan du scénario de la filmologie Sioniste! Dès l’âge de 15 ans, je suis passé, subrepticement, d’une bobine à une autre. Je préfère être un sujet très actif de l’Histoire Réelle – à savoir, celle de Gaïa, en primeur – plutôt qu’un assujetti aux chaînes, télévisées et télé-vissées, des histoires falsifiées de la Peste Sioniste.
Ainsi donc, il est aisé de comprendre que certains se défoulent en montant des barricades sur les voies publiques – afin de profaner l’Etat. Nonobstant, il semble qu’il serait plus “judicieux”, sur le plan de la survie à l’encontre de la menace Judéo-Christiano-Islamiste, de se dé/barricader le cerveau afin de s’en purifier les voies et connexions synaptiques… Afin de se purifier les neurones de toutes les voix qui s’y font entendre – d’ailleurs et d’extra-terrestre aussi – car tout ce qui émane du cerveau humain n’y prend pas, forcément, son origine…
Comme Lynn, je suis très prolifique en graines germées: hors des sillons en délires, j’ai le mental qui foisonne de greniers explosant de grenades très gredines. Kokopelli est le Séducteur, le Troubadour, le Dissident, le Joueur de Flûte, qui fut coopté en “Semencier Bossu”, dont par moi-même, pour les besoins d’une noble cause de libération semencière. Et ce, en dépit du dépit des érudits Hopis qui me le contèrent, avec force verbale. Que les érudits Hopis me pardonnent cet emprunt à leurs cultures de déserts, les Temps changent… et il nous faut lutter contre une autre anti-culture originaire des déserts: les déserts des embouteillages neuronaux de la pensée monothéiste – pour paraphraser le poète Higelin, reparti récemment vers la Mémoire de Gaïa. Kokopelli est, ainsi, doté d’une flûte – comme Pan, le Bouc Vert et Krishna le Bleu – ainsi que d’une gamme généreuse d’antennes et d’un pénis proéminent qui l’est tout autant – généreux et générateur. Comprenne qui pourra… et tous les raccourcis, fussent-ils en pétroglyphes, mènent à Gaïa.
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Je souhaite mentionner pour tous ceux qui auraient des doutes – quant au fonctionnement harmonieux de mes connexions synaptiques – qu’effectivement, je suis tombé dans le Tonneau des Druides – ou de toute autre Tradition Indigène de Quête de Vision – ainsi que dans le Chaudron de Kerridwen. Toutes ces Traditions rendent hommage aux Plantes Médicinales, et à toutes les autres substances visionnaires de la Biosphère Gaïenne, qui font chanter les neurones et qui font, parfois, éclater les seuils de filtration au point de pouvoir y accueillir les Lumières de la Sagesse du Serpent. Il est fort intéressant, à ce propos, que le terme “Délire” vienne, étymologiquement, du Latin “Delirium” qui signifie, littéralement, “Sortir des Sillons”.
Je suis le sujet d’une Imagination qui me fait léviter, sans que je ne puisse l’éviter, afin de m’éviter que je ne m’Imagine à Sion. En effet, je jouis, depuis tout jeune, de la protection des Fées Celtiques, Sidhe et autres Tuatha Dé Danann, m’accompagnant, depuis mon berceau d’antan, en Bretagne persécutée par le monothéisme. Je jouis, également et par conséquence, d’une exacerbation pressante de cette capacité, innée à l’animal humain, de pouvoir – en toutes intuitions, inspirations et imaginations orgasmiques – se libérer des sillons et, surtout, de pouvoir se libérer de l’envoûtement émotionnel et mental, sur mode de paradigme linéaire, des Sillons de Sion. Et j’en remercie la Terre Mère car il n’est que Temps que la Sagesse du Serpent Mythique s’infiltre, en toutes insinuosités, dans les Sillons de Sion, pour les miner, les désagréger et les faire imploser – avec ou sans Protocoles. Pour le Mutualisme. Pour la Paix. Pour la Vie.
En ce qui concerne mon vecteur présent d’expression, à savoir l’écriture, le seul public pour lequel j’écrive, c’est celui qui peut me lire. Sur le plan dramatique, à savoir sur le plan des problématiques qui affectent, présentement, l’entièreté de la société humaine, je n’ai pas d’autres prétentions que cette fonction auto-attribuée…
si ce n’est, également, sur le plan personnel, de me libérer l’âme afin de pouvoir incarner plus de fertilité dans la sphère du Pharmacon – le fondement essentiel de la survie physique et mentale humaine. Quant à l’auto-attribution de cette fonction, elle se souhaite en co-évolution avec la Mère. Ce qui peut en limiter les savonnettes égotiques, à savoir le syndrome auto-référentialiste ou syndrome d’auto-implication, dans le sens Grec et PIE d’auto-tressage, qui est épidémique en cette fin de civilisation extrêmement narcissique. Le narcissisme se définit comme l’obsession de soi fondée sur l’absence d’un sens authentique du soi – à savoir fondée sur la faillite du sens de sa propre Humanité.
La planète Terre serait un espace beaucoup plus paisible si les prétentions de tout un chacun étaient claires et transparentes. Je parle de “prétentions” dans le sens étymologique du terme, à savoir de “ce qui est mis en avant”, du Latin “praetentus”. Il est impossible, en effet, de ne pas imaginer, de ne pas “mettre en avant”, ce que l’on veut réellement incarner, intentionner.
L’un de mes Gardiens sur le seuil de l’Innovation, c’est le Cannabis sativa mais cette espèce médicinale est parfois espiègle à apprivoiser car elle manie l’élision à foison – en entraînant les inconscients dans les voies de garage de l’inertie plutôt que dans les voix de la rage authentique et fertile. De plus, le cannabis moderne a été extrêmement Sionisé par tous moyens de manipulations génétiques, de prétendue “féminisation”, de grande concentration en THC, etc – en bref, par “mode” d’inactivation, de ses propriétés véritablement médicinales, orchestré à partir de l’Amsterdam des années 1970.
La Sionisation de la psyché humaine est à ce point virulente et contaminante, au sein d’une très grande partie de la Communauté Humaine planétaire, que le cannabis – dans ses usages actuels, du moins – ne possède pas la puissance de Sagesse Tellurique qui caractérise d’autres substances enthéogéniques – telles que l’Ayahuasca, les champignons Psilocybe, l’Iboga, le Peyotl, etc, qui “incarnent” cette Sagesse Gaïenne dans la chair et dans l’ADN humains de ceux et celles dont les seuils de filtration sont accueillants et ouverts à l’Innovation…
C’est la Beauté, la Puissance et la Magie de l’Epigénétique…
au sein de l’Epopée Auto-Poïétique de la Biosphère Gaïenne!
Lorsque je déclare que la seule audience qui puisse m’écouter écrire, c’est celle qui peut m’appréhender en me lisant, c’est une manière de dire que je n’ai pas de public ou de cible “pré-sélectionnée”: je laisse l’obsession de la “sélection” aux néo-darwinistes. C’est, aussi, un mode de dire qu’il s’agit d’un chemin d’apprentissage mutuel: c’est une invitation à la Transmission qui ne se focalise point sur la Réception – tout comme les connexions synaptiques, fonctionnant sur un mode non linéaire, dans le cerveau humain.
Je suis le sujet d’une Imagination qui me fait léviter, sans que je ne puisse l’éviter,
afin de m’éviter que je ne m’Imagine à Sion.
Je n’écris que ce que j’élabore en écrivant et même si ces élaborations présentes sont suscitées par des fondements et recherches antérieures, il n‘en reste pas moins que la répétition du connu, ad vitam perruchetum, est mortelle pour la psyché humaine – originellement pétrie d’innovation. Le connu n’est qu’une forme d’inconnu, dont il faut se libérer, lorsqu’il n’est pas prégnant de mouvement perpétuel.
Tout comme le terme “délire” signifie, littéralement, “sortir des sillons”,
le terme “divagation”, “de/vagor”, signifie, littéralement, “sortir de l’erreur”.
Lorsque j’utilise les expressions dérivées de Sion, “Sionisation”, “Sionisme”, “Néo-Sionisme”, “Désioniser”, “Euro-Sionisme”, “Anti-Sionisme”, etc, ce n’est, strictement, pas dans l’acception proposée par certains mouvements activistes, en particulier défendant les Palestiniens génocidés, à savoir décrivant – et corrélée à – l’Etat Voyou et Terroriste que constitue Israël. L’expression “Terreur d’Etat” n’est-elle pas, d’ailleurs, un pléonasme – dans la Vie de tous les Peuples et de toutes les Nations – une Terreur reprise en boucles exponentielles par la Didacture Soviétique de l’Europe des Banksters.
Israel n’est que l’arbre mort cachant leur forêt nécrosée – et non pas fossilisée, car seul ce qui est vivant peut avoir été fossilisé.
J’emploie ces expressions, précisément et intentionnellement, sur un mode “universaliste” car l’obsession des “Autorités”, en contrôle ou prétendu tel, est universelle quant à leurs objectifs génocidaires et quant aux divers vecteurs qu’ils orchestrent à ces fins, à leurs fins – dont ils ont une faim insatiable. Je renvoie, ainsi, les lecteurs, vers mon Canto intitulé “Pour un Anti-Sionisme Correcteur, Rageur, Intentionné et Fondé”.
L’universalisme de leurs objectifs se traduit par la lobotomisation, la mise en esclavage, la mise en religion, la cancérisation, la marchandisation, la mise en divisions, la darwinisation, en bref, l’annihilation de toutes les Races, de tous les Peuples et Ethnos de la Planète Terre – dénommés par eux-mêmes, les Goyim – leur groupe idéologique ne faisant pas partie des sus-mentionnés par décision et privilège extra-terrestres. Faut-il l’envelopper moins crûment? Soyons réalistes, les discours explicites de certains Tzaddik sont partout sur la Toile et il arrive, même, que le Gang G, et consorts, censurent les discours transpirant trop la “haine” – à savoir ceux qui appellent, carrément, à la destruction des Ethnos Blancs sur le mode de la terre brûlée. Comme à Dresde?
Xochi. Le 27 novembre de l’An 02 des Gilets Jaunes