J’accuse les Dr. Ryan Cole, Dr. Richard Fleming et Dr. Peter McCullough de mensonges lamentables, et de complicités, eu égard au contenu des injections CoqueVide/19

Faut-il préciser que si d’aucuns en France se sentent ciblés, également, par mes propos d’arrogations et d’accusations… c’est, certainement, que je pense à eux tout autant?

Depuis le début de la fausse pandémie Covidienne, le Dr. Ryan Cole – qui possède un laboratoire d’analyses médicales aux USA – dénonce les effets secondaires des injections CoqueVide… tout en tentant de faire le vide dès qu’il y est fait mention de la présence de dérivés de graphène – ou autres nano-particules.  En effet, le Dr. Ryan Cole est un Spikiste et membre fervent de la nouvelle religion Covidienne – extrémiste et hystérique.

Ryan Cole fait partie d’un petit gang, aux USA, de médecins Covidiens qui dénoncent les injections CoqueVide/19 mais qui affirment que ceux qui ont découvert le graphène dans ces injections sont des lapins courant après une carotte. Le Dr. McCullough, un cardiologue, en fait partie. De même, le Dr. Richard Fleming … qui se présente en poly-clown.

Lors de sa récente apparition sur “The HighWire”, de Del Bigree, Ryan Cole s’est exprimé sur le contenu des injections CoqueVide/19. Il y tente d’expliciter, rationnellement, pourquoi les flacons d’injections CoqueVide ne contiennent rien d’autre que de l’ARNm… quand ils en contiennent. 

Une partie de son intervention est présentée, par écrit, sur le site de “Health Impact” et j’ai exprimé, d’ailleurs, mon très fort mécontentement envers le responsable de ce site dont je transfère, parfois, les articles. [5https://web.archive.org/web/20230127165723/https://healthimpactnews.com/2022/pathologist-and-diagnostic-lab-owner-addresses-common-theories-on-covid-vaccine-ingredients/]

Tout d’abord, Ryan Cole est convaincu que si certains injectés n’ont pas souffert d’effets secondaires, c’est parce qu’il n’y avait pas d’ARNm, ou très peu, dans les fioles avec lesquelles ils ont été injectés. Et pourquoi cette absence? Selon lui, en raison, prétendument, de processus de fabrication déficients, et non conformes, ainsi que de la destruction de l’ARNm induite par un non-respect de la chaine de froid des fioles. 

Il est clair que les nombreuses analyses spectroscopiques – prouvant la présence de graphène – ont mis en exergue, également, l’absence totale, ou quasi-totale, d’ARNm dans les fioles d’injections CoqueVide/19 – de Pfizer et de Moderna. Il n’y avait ni azote ni phosphore. 

Première question. Si, effectivement, il existe des lots contenant de l’ARNm – parce que les flacons ont été bien confectionnés et congelés – pourquoi ne pas proposer, alors, à tous les interrogateurs que nous sommes, des photographies, en bonne et due forme, de la très célèbre protéine Spike – à savoir des photographies en très haute définition… et reproductibles. En effet, aujourd’hui, ce sont des milliers d’études qui ont été publiées sur le Sars-CoV-2 sans, jamais, fournir des photographies décentes dignes de ce nom… Et sans fournir, non plus, aucune preuve de l’isolement de ce “virus”.

Et peut-être, même – on peut rêver – des photographies en très haute définition du Sars-CoV-2, le “virus invisible” – comme le qualifiait le petit PharMacron lors de son allocution historique déclarant la guerre… au Peuple Français… et non pas au virus. 

“La narration au sujet du virus constitue le Virus”. 

Si cette protéine Spike – soit naturelle, soit chimérisée en laboratoire selon certains “conspirationnistes” – était, véritablement, la bombe virale et meurtrière que l’on nous propagande, pourquoi donc Google n’en a-t-il jamais fait une photographie en très haute définition? 

Si Google est capable de proposer la carte d’un cerveau humain présentant 50 000 cellules et 130 millions de synapses – d’un poids virtuel d’1,4 pétabyte, à savoir l’équivalent de la capacité de 700 ordinateurs [1] – il doit être possible, techniquement parlant, de photographier ce petit virus cachotier… s’il constitue, vraiment, LA Pandémie des Pandémies. N’est-ce pas? Vu surtout, sa taille gigantesque par rapport à des points quantiques de graphène, par exemple, de quelques nanomètres qui sont, nonobstant, photographiés avec des techniques modernes. 

Ce n’est pas le Sars-CoV-2! C’est une Couronne nécro-moléculaire de nano-particule d’argent.

En effet, je viens de parcourir des centaines d’études scientifiques portant, seulement,  et strictement, sur le phénomène de la “couronne de protéines”, ou “bio-couronne”, ou “couronne moléculaire” – que je dénomme “nécro-couronne moléculaire” – issue de la fusion entre les nano-particules (métalliques, plastiques, chitosane, etc) et les fluides biologiques dans l’organisme humain (sang, sperme, lait maternel, etc). J’ai découvert une pléthore de photographies, dont certaines très claires, de ces “couronnes moléculaires” qui ressemblent, à s’y méprendre, aux quelques photographies, minables, qui trainent sur la Toile et qui, prétendument, représentent l’invisible et l’énigmatique Sars-CoV-2. 

Faut-il préciser que la taille, de ces prétendus Sars-CoV-2 photographiés, varie entre 50 nanomètres et 300 nanomètres? En fonction des vents de la pampa? Ou est-ce dans la nature de ce coronavirus de se gonfler, telle la grenouille de la Fable de la Fontaine, afin de s’auto-conférer un semblant d’importance?

Seconde question. Eu égard à des dysfonctionnements dans les processus de production, ou les protocoles de conservation congelée, des “vaccins” des multinationales pharmaceutiques, comment Ryan Cole explique-t-il le scandale, en 2016, appelé VaccineGate en Italie – à savoir les découvertes des professeurs Antonietta Gatti et Stefano Montanari dans 44 types de vaccins, venant de France et d’Italie, qu’ils ont analysés?

L’étude des professeurs Antonietta Gatti et Stefano Montanari s’intitule “New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro- and Nano-contamination” [4] et elle a été publiée le 30 novembre 2016 dans la revue International Journal of Vaccines and Vaccination. 

Quelles découvertes? En voici un extrait: «Quelques particules métalliques en Tungstène ou en acier inoxydable ont également été identifiées. D’autres particules contenant du Zirconium, du Hafnium, du Strontium et de l’Aluminium (Vivotif, Meningetec) ; du Tungstène, du Nickel, du Fer (Priorix, Meningetec) ; de l’Antimoine (Menjugate kit) ; du Chrome (Meningetec) ; de l’Or ou de l’Or, du Zinc (Infarix Hexa, Repevax), ou du Platine, de l’Argent, du Bismuth, du Fer, du Chrome (MMRvaxPro) ou du Plomb, du Bismuth (Gardasil) ou du Cérium (Agrippal S1) ont également été trouvées. Le seul Tungstène apparaît dans 8 des 44 vaccins, tandis que le Chrome (seul ou en alliage avec le Fer et le Nickel) dans 25 des 44 vaccins. ».

Aujourd’hui, il semble peu probable qu’un chercheur en quête du contenu réel des “vaccins” CoqueVide n’ait jamais ouï dire de la présence de nano-particules métalliques dans les injections diverses et variées de la Mafia Pharmacratique.

Je mets le terme “vaccins” entre guillemets afin de bien mettre en exergue que je suis convaincu qu’ils n’ont jamais existé. Il s’agit d’une arnaque intégrale… mais c’est un autre dossier. J’ai éduqué 5 enfants sans un seul vaccin. Est-ce bien clair?

Ensuite, Ryan Cole précise qu’il n’a jamais vu de tels caillots de sang et affirme qu’il s’agit de protéines congelées, à savoir un matériau de type amyloïde, en faisant référence aux récents travaux de la Dr. Etheresia Pretorius, d’Afrique du sud, portant sur les micro-caillots de fibrine amyloïde. 

La Dr. Etheresia Pretorius a publié, en septembre 2022, une étude intitulée “Prevalence of symptoms, comorbidities, fibrin amyloid microclots and platelet pathology in individuals with Long COVID/Post-Acute Sequelae of COVID-19 (PASC)”. [2] C’est une adepte de la religion Covidienne et son étude porte sur le très célèbre “Covid long” – à savoir, authentiquement, l’empoisonnement vaccinal, et durable, au graphène irradiant. 

La Dr. Etheresia Pretorius pense que le Sars-CoV-2 provoque des micro-caillots de fibrine amyloïde. Son étude porte sur 80 personnes, d’Afrique du sud, souffrant de “Covid long”. Faut-il préciser que l’Afrique du sud constitue le pays le plus vacciné, CoqueVide, d’Afrique – à hauteur de 30%. Il est à noter que le “Covid long” n’existe pas dans les autres pays d’Afrique qui sont très peu vaccinés – puisque le continent Africain, globalement, n’est vacciné CoqueVide/19 qu’à hauteur de 6%.

Troisième question. Si, effectivement, il s’agit de protéines congelées – dans ces caillots très épais et de 30 cm de longueur, parfois – Ryan Cole pourrait-il tenter d’expliquer pourquoi, justement, certaines études ont mis en valeur qu’il n’y avait quasiment pas de sang dans ces caillots gigantesques? A savoir, seulement 4% de constituants sanguins. Que contiennent-ils, donc, d’autres? 

Si ces caillots sanguins sont des amas de protéines congelées, d’où proviennent, donc, ces protéines si ce n’est pas du sang de la personne injectée?

En effet, en début septembre 2022, the Epoch Times a publié un article très circonstancié sur le phénomène des caillots de sang découverts chez les vaccinés CoqueVide19. Il ressort de celui-ci que des chercheurs ont mis en exergue que ces caillots de sang sont quasiment dépourvus de magnésium, de fer, de potassium et de zinc – à savoir les principaux constituants du sang humain. [3]

Ensuite, Ryan Cole botte en touche une pléthore d’analyses microscopiques et spectroscopiques – émanant du monde entier – qui prouvent la contamination de dérivés de graphène, dans les injections CoqueVide, en invoquant la présence de “cholestérol”. 

Ryan Cole est devenu si célèbre, du fait de sa promotion hystérique des vaccins à base de “cholestérol”, qu’on pourrai le surnommer “Ryan Cole/Sterol… sur Steroids”!

Pour le citer afin d’être le plus précis possible quant aux divagations de cet individu: «Ce sont des cristaux de cholestérol. Cette protéine de pointe, la Spike, est incroyablement inflammatoire pour la paroi de nos vaisseaux sanguins. Nous avons tous une petite plaque de cholestérol sur les parois de nos vaisseaux. Mais lorsque le processus inflammatoire est enclenché, ces cristaux de cholestérol, à cause de l’inflammation, se détachent. Donc, ils sont rejetés.» 

Selon Ryan Cole, ainsi, tous les auto-assemblages de cristaux ne sont que des empilements de cholestérol.

Avec une telle argumentation, strictement, lamentable et non avenue, le Dr. Ryan Cole se couvre de ridicule.

En effet, la grande majorité des analyses microscopiques et spectroscopiques ont, bien évidemment, été réalisées à partir de flacons scellés provenant de chez Pfizer, Moderna, AstraZeneca, etc, etc – et non pas à partir du sang des injectés. 

Quatrième question. Et d’où, donc, proviendrait ce cholestérol, selon Ryan Cole, dans les fioles de “vaccins” CoqueVide?

Ensuite, Ryan Cole s’enfonce, encore un peu plus, dans des vagabondages mentaux frisant le très fort dérapage. Il affirme, avec aplomb, qu’il est évident que les “vaccins” contiennent des contaminants. Pour le citer: «Ok, y a-t-il des contaminants? Bien sûr. Y a-t-il des particules métalliques dedans? Oui, aluminium, silice, magnésium, chlorure de sodium, calcium, titane, fer, etc».

Et en voici la raison, selon lui-même: «Une petite étude a montré que si l’on prélève du liquide dans les flacons avec une pipette, ou avec une aiguille, certains de ces métaux proviennent en fait d’aiguilles fabriquées rapidement.»

Avec une telle argumentation, strictement, lamentable et non avenue, le Dr. Ryan Cole se couvre, de nouveau, de ridicule.

Cinquième question. Pourrait-on avoir l’intitulé de cette “petite étude” qui prouverait que toutes les nano-particules métalliques, qui contaminent les vaccins depuis tellement d’années, ne sont que des débris métalliques provenant des pipettes et des aiguilles utilisées par le technicien analyste – parce que ce matériel de laboratoire serait fabriqué trop rapidement?

Sixième question. Et qu’en est-il, alors, du viagra, des acaricides, des antibiotiques, du tungsten, d’autres déchets industriels – sans évoquer des centaines de gènes codant pour un cancer ou un autre – que les professeurs Antonietta Gatti et Stefano Montanari ont découvert, en 2016, dans 44 types de vaccins en Italie? Leur présence est-elle certifiée conforme, sur un mode ou un autre?

Faut-il répéter que Ryan Cole a l’audace d’invoquer la contamination de pipettes, ou d’aiguilles, afin d’invalider toutes les analyses spectroscopiques de professeurs d’universités, ou de laboratoires, de par le monde, qui, justement, ont déterminé que certains de ces contaminants présentaient, exactement, le pic Raman de l’oxyde de graphène? 

Ensuite, Ryan Cole s’enfonce dans le cocasse, pour ne pas dire le fantasmagorique, lorsqu’il s’agit d’expliquer des formes de carbone qui sont, en fait, des types de nano-tubes de carbones dénommés, plus précisément, des “nano-poulpes de carbone”.

Il est vrai que ce sont ces nano-poulpes de carbone qui ont débridé les imaginations, très perturbées, de certaines des “journalistes” du groupe de Stew Peters, aux USA, qui y ont vu des hydres, ou des parasites pondant des oeufs, etc.

Ryan Cole, pour le citer dans le texte, explique donc, ainsi, l’inexplicable – officiellement. «Si vous faites de la microscopie dans un salon, ou si vous la faites dans un cadre non-laboratoire, vous allez avoir toutes sortes de particules dans l’air… C’est le bas d’une feuille qui flotte dans l’air.» 

Avec une telle argumentation, strictement, lamentable et non avenue, le Dr. Ryan Cole se couvre, de nouveau, de ridicule. 

Ryan Cole a, donc, l’outrecuidance d’affirmer que ces formes, très caractéristiques des nano-tubes de carbone, sont en fait des morceaux de feuilles qui flottent dans l’air et qui atterrissent sur la plaquette de verre… et de pointer vers des “trichomes”, dans sa démonstration.

Septième question. Ryan Cole affirme-t-il, par exemple, que le professeur Pablo Campra, à l’université d’Almeria, en Espagne, réalise ses analyses spectroscopiques sur la table de sa cuisine… ou au milieu de son jardin potager? De même pour les professeurs Italiens Antonietta Gatti et Stefano Montanari?

Ce n’est pas le lieu de ce court communiqué de s’épancher sur le dossier des nano-tubes de carbone mais il s’avère très aisé de se référer aux deux dossiers de Mik Andersen intitulés “Identification de motifs dans les vaccins c0r0n@v|rus : nano-pulpes et nano-tubes de carbone-graphène” [6] et “Nouvelles preuves de l’existence de nanotubes de carbone perlés à base de billes de graphène liquide et de graphite polycristallin” [7] 

Nano-poulpes de Graphène

De plus, j’ai, moi-même, présenté deux articles portant sur les nano-poulpes de graphène qui sont intitulés “Les nano-tubes de carbone fonctionnalisés peuvent servir de systèmes d’administration de vaccins” [8] et “Teslaphorèse des Nano-tubes de Carbone / Poulpes de Graphène” [9]

Les nano-poulpes de graphène ont été découverts, en 2006, par une équipe de chercheurs du Laboratoire des Matériaux, Surfaces et Procédés pour la Catalyse, UMR 7515 du CNRS, à Strasbourg, ainsi que rapporté dans leur étude intitulée “About the octopus-like growth mechanism of carbon nanofibers over graphite supported nickel catalyst”. [79] Ils avaient été, également, découverts et nommés ainsi par l’équipe  de Debabrata Pradhan en Inde, en 2003, de par leur étude intitulée “Nano-Octopus: A New Form of Branching Carbon Nanofiber” [80] ainsi que par Sharon et Sharon, en Inde, en 2006, dans leur étude intitulée “Carbon Nanomaterials and their Synthesis from Plant‐Derived Precursors”. [81]

En conclusion. Cette argumentation, du Dr. Ryan Cole, est d’autant plus lamentable, ridicule et infondée, que ce sont pas les vaccins au graphène qui manquent, en études ou en pratiques depuis quelques années. Sans évoquer les très nombreux nano-vecteurs, nano-composites, à base de – ou fonctionnalisés avec : de l’oxyde de graphène, de l’oxyde de graphène réduit, des nano-tubes de carbone, des points quantiques de graphène, des micro-sphères et des nano-sphères de graphène… qui pullulent dans de nombreuses applications médicales.

Par exemple. La société Turque, Nanografi a proposé, en mars 2021, un vaccin nasal anti-CoqueVide/19 à l’oxyde de graphène. Nanografi distribue, également, une très grande diversité de poudres d’oxyde de graphène, de dispersions aqueuses d’oxyde de graphène, etc, etc, en sus d’un très large spectre de nano-technologies et de nano-particules – pour des applications médicales et biologiques.

Par exemple. Il existe de l’oxyde de graphène, fonctionnalisé par du chitosane, dans trois vaccins destinés aux volailles. [10]

Par exemple.  Il existe de l’oxyde de graphène, fonctionnalisé par du chitosane, comme adjuvant dans un tout nouveau vaccin contre l’Hépatite. [11]

Par exemple, il existe un nouveau vaccin CoqueVide, à cellules dendritiques,  proposé avec des nano-feuilles d’oxyde de graphène, de grande taille,  qui servent de “nanozipper” ou de “ruban adhésif double face”. [12]

Par exemples. “Recent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant”, en 2020 [770] ;“Functionalized graphene oxide serves as a novel vaccine nano-adjuvant for robust stimulation of cellular immunity”, en 2016 [771]; “Simultaneous delivery of DNA vaccine and hydrophobic adjuvant using reducible polyethylenimine-functionalized graphene oxide for activation of dendritic cells”, en 2019[775]; “Graphene Oxide–Polyethylenimine Nanoconstruct as a Gene Delivery Vector and Bioimaging Tool”, en 2011. [776] “Alum-functionalized graphene oxide nanocomplexes for effective anticancer vaccination” [1004]; “Chitosan-Functionalized Graphene Oxide as a Potential Immunoadjuvant” [1005]; “Spontaneous Protein Adsorption on Graphene Oxide Nanosheets Allowing Efficient Intracellular Vaccine Protein Delivery” [1006]; “Exploration of graphene oxide as an intelligent platform for cancer vaccines” [1007]; “Efficient Lymph Node-Targeted Delivery of Personalized Cancer Vaccines with Reactive Oxygen Species-Inducing Reduced Graphene Oxide Nanosheets” [1008]; “Intranasal vaccination with influenza HA/GO-PEI nanoparticles provides immune protection against homo- and heterologous strains” [1009].

Aujourd’hui, la religion Covidienne est en cours d’effondrement. Et ce, tout autant que la religion vaccinale de par la prise de conscience des Peuples que les “vaccins” constituent des armes biologiques, des vecteurs de destruction massive et, bien évidemment, des vecteurs de stérilité. Les plus génocidaires, aujourd’hui, sur le plan de la stérilité, sont les injections CoqueVide et les injections Cervarix/Gardasil.

Pour mémoire, les “vaccins” anti-fertilité, officiels, ont été promus, et utilisés, officiellement, à grande échelle, par l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, depuis les années 70… contrairement à ce que prétendent les Décodeurs débiles du Décodex de l’ImMonde.

De plus, aujourd’hui, et depuis quelques années, tous les “vaccins” contiennent des dérivés du graphène irradiant… en sus de la plupart des remèdes, de l’insuline, des anesthésiants, des patch anti-douleur, etc, etc…

Est-ce, également, au titre de la stérilité que la PharMacronie va distribuer des dizaines de millions de condoms… au graphène?  Est-ce afin de conforter les processus de baisse extrême de natalité qui sont à hauteur de 25% dans certains pays hyper-injectés CoqueVide?