Le Graphène dans l’Atmosphère

SOMMAIRE

Au sujet de la Graphénisation de l’Atmosphère

Géoingénierie des aérosols troposphériques : preuves radiométriques des chemtrails

Nuages chimiques issus de l’évaporation / volatilisation / lévitation de solutions de graphène et leur ionisation

Oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol

L’oxyde de graphène dans les combustibles des avions

Injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère : géo-ingénierie solaire et rôle des aérogels

L’oxyde de graphène influence la nucléation de la glace dans l’atmosphère

L’oxyde de graphène peut adsorber et absorber le CO2

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Le premier essai est rédigé par Xochi et les sept suivants sont rédigés par Mik Andersen

Au sujet de la Graphénisation de l’Atmosphère

Ecce Homo sapiens X graphenicus

Je ne pense pas avoir, déjà, mentionné la publication d’un ouvrage dénommé “Global WAR-NING: Geoengineering Is Wrecking Our Planet and Humanity”. [873] C’est un ouvrage collectif, publié par le Professeur Michel Chossudovsky du Global Research Center, au Canada, et rédigé par une dizaine d’auteurs sur le thème de la géo-ingénierie, des chemtrails, de l’empoisonnement atmosphérique, des centrales HAARP, etc.

… tous thèmes absolument déprimants à analyser… mais, strictement, fondamentaux si tant est que l’on prétende à la survie d’une partie, au moins, de l’espèce Anthropine, dans un futur proche. 

Il me semble, aujourd’hui, urgent de dénoncer la graphénisation de l’Atmosphère car cette contamination va impacter tous les êtres vivants de la Biosphère – dont tous les êtres humains qui refusent de se laisser injecter les poisons, dénommés vaccinaux, de la Mafia Pharmacratique.

Je souhaite mentionner cet ouvrage collectif, de chercheurs authentiques, d’autant plus qu’hier même, j’écrivais au sujet de “masses noires” énigmatiques que certains décrivent se déplaçant dans l’Atmosphère – récemment. 

En effet, les Globalistes eugénistes sont en cours de tenter de graphéniser tous les Peuples… ce qui va générer une forme de Métissage, terminal, dans la mesure où le biologique humain s’hybride avec le nano-particulaire métallique – en l’occurence avec le graphène sous toutes ses formes – afin d’introduire, sur la scène, les prémisses des cyborgs… dans le rôle d’idiots utiles se dévouant à jouer les cobayes acquiesçants dans une expérimentation vaccinale graphénisante à très grande échelle.

Ecce Homo sapiens X graphenicus. Auparavant, la démence était sous-jacente… et elle va devenir pandémique. 

L’Anthropos est en danger d’éradication biologique par le gang des Transhumanoïdes de Klaus Schwab… et autres Banksters. Avec la graphénisation vaccinale, et universelle, les psychopathes Globalistes ont lancé un super Pacte de Marrakech, au parfum très épicé de CoqueVide, afin de parasiter le système nerveux et neuronal humain – en le métissant, en l’hybridant, en le fusionnant, en le chimérisant avec des nano-particules métalliques… à savoir des particules de l’ordre du nano-mètre, de l’ordre du millionième de millimètre. 

Dans le but de graphéniser, le plus rapidement possible, des milliards d’êtres humains, les Globalistes n’ont pas hésité, depuis deux années, à piétiner tous les fondements (farceurs) du paradigme vaccinal pasteurien. L’une des nouvelles clauses de leur nouveau paradigme dénommé “néo-pasteurien” est la suivante:

Les personnes immunisées, par les vaccins CoqueVide, doivent s’immuniser à l’encontre des personnes non-immunisées en les forçant à s’immuniser avec le même processus d’immunisation qui n’a pas réussi à les immuniser.

On peut interchanger le terme immuniser avec le terme protéger ou le terme vacciner, etc. La conclusion en est identique: le pasteurisme git dans la débâcle la plus totale… et il ne s’en relèvera jamais. 

Etymologiquement, “immuniser” vient de “immunis” signifiant “libre de charges”… qui vient de “munus” signifiant “charge, fonction”… qui vient du Proto Indo Européen “*mei” signifiant  “changer, échanger”.

Le graphène, gravement, greffe ses griffes 

Aujourd’hui, ainsi, il est essentiel que tous ceux qui refusent les injections graphénisantes CoqueVide, ou autres, soient conscients de la graphénisation, sans cesse croissante, de nombreux secteurs de la vie quotidienne… afin d’éviter, eux-mêmes, d’être graphénisés. En effet, le graphène, sous diverses formes, est présent dans de nombreux vaccins et médications, dans les tests PCR, dans les masques faciaux, dans les sérums physiologiques, dans les cosmétiques, dans les emballages alimentaires, dans les encres des vêtements et dans les chaussures (au prétexte de bio-senseurs), dans l’épuration des eaux, dans les fertilisants de synthèse agricoles, dans les biocides agricoles, etc, etc, ad nauseam. 

Le graphène, gravement, greffe ses griffes afin de s’engouffrer, afin de s’engoinfrer, afin de s’engraver dans les fluidités de l’animal humain. Et cela constitue un énorme grief. Le graphène s’infiltre dans son sang, sa sève et son océan cérébral. Le graphène métallique fusionne avec son organisme, à son insu: il le capture, il l’emprisonne, il le zombifie, il le dés/humanise, il l’Archontise. 

D’où vient, donc, d’émerger  le graphène, ce nouveau graphème nano-particulaire… destiné à ré-écrire notre ADN? De l’abîme de non-existence de ce qui ne peut exister, naturellement? Car il semblerait que la Mère n’ait pas émané une telle nano-matière de carbone d’un atome d’épaisseur – et de forme hexagonale. 

Il est, également, important de prêter attention aux épandages aériens (appelés, aussi, “chemtrails”) qui constituent les moyens les plus efficaces, depuis des dizaines d’années, pour disséminer des produits chimiques et biocides, divers et variés, tout autant au-dessus d’une culture de pêches, en Espagne, pour éloigner la grêle; que d’une culture de soja, en Argentine, pour massacrer les adventices; que d’une culture de coca, au Pérou, pour en détruire les plantes et tout leur environnement humain; que d’une guérilla Vietnamienne ou, même, d’une insurrection de la population urbaine Européenne. 

L’Insurrection en Marche!

La cible est différente mais les vecteurs sont les mêmes… ainsi que les conclusions: la modification cellulaire, la destruction cellulaire, la mutagenèse, la Mort. Les vecteurs sont les mêmes et leur origine, si je puis, remontent à Justus Liebig Möser en passant par Fritz Haber… et l’utilisation, subséquente, des gaz-moutardes, durant la Première Grande Boucherie Mondiale de 1914/1948, dont la mission était d’éliminer, dans les Tranchées, des millions de paysans Français, et Allemands, dont l’industrie agricole, naissante, n’avait plus besoin.

Un siècle plus tard, les Globalistes déments, et eugénistes, ont lancé une ultime offensive, à l’encontre des Peuples. C’est, également, une guerre des Tranchées mais, aujourd’hui, c’est le graphène, sous toutes ses formes, présents dans les injections CoqueVide de la Mafia Pharmacratique – et bien d’autres injections dites vaccinales – qui est le vecteur de la Tranchée. En effet, le Graphène Tranche les parois cellulaires des globules rouges et autres cellules; le Graphène Tranche les neurones du cerveau; le Graphène Tranche l’ADN humain.

Le Graphène est le nouveau vecteur, silencieux, de la Guerre Des Tranchées Cellulaires! Il peut constituer une bombe à retardement ou une bombe immédiate: certains injectés meurent dans les heures qui suivent… et, parfois, dans les minutes qui suivent. 80% des décès induits par les vaccins au graphène se manifestent durant les deux premières semaines suivant l’injection toxique. 

En raison de ces technologies d’épandages aérien, nous sommes confrontés, également, à la présence potentielle d’oxyde de graphène, dans les eaux de pluie – telle qu’elle a, déjà, été prouvée par des investigateurs et des analyses microscopiques.  

Pour mémoire, le premier brevet sur la “géo-ingénierie” – à savoir la modification atmosphérique, date de 1966 aux USA. [891] 

J’ai évoqué, à plusieurs reprises, que nous fûmes, ces dernières années, deux fois, en Oregon, à quelques kms de zones d’évacuation d’incendies géants. J’ai, déjà, évoqué, également, qu’une partie de ces incendies géants sont provoqués artificiellement, soit manuellement, soit par énergie électromagnétique – à savoir ce que l’on appelle DEW, Directed Energy Weapons, l’énergie de Nikola Tesla. Le 23 octobre 2019, il y eut une gigantesque explosion d’énergie, couvrant 50 km, qui initia un gigantesque incendie appelé le Kincade Fire et qui brûla 30 000 hectares.

J’ai évoqué, cette problématique, avec un collègue qui a perdu son ranch, en 2018, dans l’incendie de Paradise en Californie – qui consuma 62 000 hectares. Il a filmé son échappée de l’enfer de flammes – tandis que la voiture qui le suivait explosait. C’est un spécialiste de la 5G, et énergies du même type, et il m’affirma que certains feux gigantesques sont provoqués et attisés par la 5G – ce qui explique la vitesse fulgurante avec laquelle ils voyagent. 

De plus. Il ne faut pas bénéficier d’une overdose d’imagination pour concevoir qu’une atmosphère saturée de certains produits chimiques – libérés par des chemtrails épandus par des avions militaires – va s’enflammer beaucoup plus aisément qu’une atmosphère baignant dans les huiles essentielles des pinèdes Californiennes.

J’invite toute personne, considérant ces faits comme de la science-fiction, à se stimuler, les synapses neuronales, avec des toniques cérébraux, de préférence végétaux ou organiques, car ces faits sont, encore, très éloignés de ce qu’elle pourrait concevoir. Le premier point essentiel à ne pas occulter, dans toute investigation digne de ce nom, c’est que les Globalistes, et autres psychopathes, sont absolument déments et qu’ils ont décidé de tout détruire.

Aujourd’hui, l’oxyde de graphène est-il répandu, intentionnellement, dans l’atmosphère – par le biais d’avions spécialisés – dans un but totalement néfaste et génocidaire? Ou bien s’agit-il, déjà, d’une contamination environnementale de par la présence d’oxyde de graphène dans le combustible des avions – afin d’en améliorer la combustion? [924]   Ou bien s’agit-il d’épandages aériens d’oxyde de graphène afin de lutter, prétendument, contre le “changement climatique”? [955]

Voir, également, l’étude, de septembre 2020, intitulée “Reduced graphene oxide enhanced emulsification for one-pot synthesis of high-density jet fuel”. [12]

Selon le résumé: La synthèse de carburéacteur à haute densité, avec de bonnes propriétés à basse température et une grande stabilité thermique est importante pour l’industrie aérospatiale. Ici, un mélange de carburéacteur très performant comprenant des hydrocarbures bi- et tri-cycliques (C10 ~ C16) est synthétisé avec un rendement élevé par le biais d’une réaction catalytique à H2SO4 assistée par de l’oxyde de graphène réduit (rGO) en un seul point du cyclopentanol et du méthylcyclopentane. La réaction se produit par un processus consécutif de déshydratation, d’alkylation, de réarrangement et de transfert d’hydrogène. Les matériaux à base de carbone, en particulier le rGO, sont utilisés comme additifs pour augmenter le rendement en carbone en favorisant l’émulsification des réactifs dans l’acide sulfurique. L’émulsification favorisée améliore l’alkylation du cyclopentanol avec le méthylcyclopentane et facilite le transfert d’hydrogène, ce qui augmente fortement la conversion du méthylcyclopentane (54,9 %), le rendement en carbone (83,2 %) et la sélectivité (97,3 %) des produits. Enfin, un mélange de carburéacteur avec un rendement global de 71,8 % est obtenu par distillation, qui présente une densité élevée de 0,90 g/mL, un point de congélation bas de <-72 °C et une température de début d’oxydation élevée de 195,0 °C. Ce travail fournit un moyen simple, efficace et peu coûteux de synthétiser du carburéacteur de haute performance à partir de la biomasse.

“Dark Winter”

Je vais, plus avant, exposer les résultats de mes recherches afin de répondre à ces diverses interrogations. Mais, avant d’y procéder, je souhaite exposer quelques-uns de mes états d’âme, et de mes états d’Homme, eu égard à la graphénisation de l’Atmosphère vivante de notre Terre-Mère – et, en particulier, afin de ricocher sur le phénomène de “masses noires amorphes” s’y déplaçant… selon des témoignages récents.

Il s’avère que le graphène, sur le plan de la santé humaine, constitue une véritable abomination nano-métallique – du moins, en ce qui concerne, précisément, ses dénommées, et prétendues, “applications bio-médicales”. C’est une bombe toxique d’irradiation mutagénique et génocidaire. C’est Hiroshima, Nagasaki, Mururoa, etc, à portée de neurones et à la porte de tout nez, bouche, vulve, pores de la peau… Et c’est sans évoquer le site d’impact d’une aiguille de seringue commanditée, par la PharMacronie, pour l’injecter, plus rapidement, au coeur de tous les fluides… avec un QR code à la clé – au prétexte de retrouver la clé des champs. En vérité, pour leur donner la clé, en tout acquiescement morbide, de l’ADN humain – à mettre en banque pour valoir ce que de Juste.

Quant à ses applications industrielles, en particulier, dans les nano-technologies informatiques, si c’est pour remplacer le silicium, de par une vélocité au centuple, dans les ordinateurs robotiques de la Virtualité… mieux vaut-il que le graphène reparte vers l’abîme de néant dont il n’aurait jamais du s’échapper – car l’Archontisation d’une partie de l’Humanité est, déjà, irrémédiablement bien avancée. Que va t-il en advenir?

Il va falloir, bientôt, sinon immédiatement, que les Peuples s’éveillent au fait, inéluctable, que l’oxyde de graphène, l’oxyde de graphène réduit, les hydrogels de graphène, les nano-tubes de carbone, les points quantiques de graphène (qui eux, traversent la barrière hémato-encéphalique), les nano-sphères de graphène,  les nano-antennes plasmoniques, etc, etc, constituent un réseau neuronal artificiel, et nano-particulaire, qui va supplanter le réseau neuronal organique, et naturel, dans l’organisme humain. 

Il s’agit d’une forme de parasitisme, pour le moins métallique, mais qui plus est, d’une toute autre nature. J’invite les lecteurs intéressés à consulter les nombreux essais à propos de l’Archontisation et du Virus Archontique – sur mon site Magie Tantrique Gaïenne. Ce site présente mes traductions, gratuites, de la plus grande partie de l’oeuvre écrite de John Lamb Lash, à savoir de celui qui introduisit le concept d’Archontes sur la Toile – des Archontes extrêmement évoqués dans les écrits de Nag Hammadi, du 4ème siècle, retrouvés, en Egypte, en décembre 1945. [870]

Puis-je orienter, même, les lecteurs les plus âgés, vers le thème des “Lourdes Ombres Noires”. Ce phénomène fut évoqué par le shaman Yaqui, Don Juan, dans l’oeuvre géniale de feu Carlos Castañeda – qui n’est pas sans rappeler le phénomène récemment décrit de “masses noires amorphes” se déplaçant dans le ciel. Seraient-ce des formations nano-particulaires d’oxyde de graphène  – projetées dans l’Atmosphère par des chemtrails – s’auto-assemblant magnétiquement … tels des milliers d’étourneaux tournoyant, ensemble, comme un seul oiseau, dans le ciel? 

Aujourd’hui, même pour des lecteurs moins âgés, l’oeuvre littéraire shamanique de Carlos Castañeda (1925-1998) n’a rien de perdu de sa saveur… car il s’agit de l’exploration du Nagual. Cette oeuvre a été parachevée, dans le Tantra Planétaire, non littéraire – dans ses fondements, processus et objectifs – par John Lamb Lash. [874] 

Le “Dark Winter”, que les eugénistes déments proclament et annoncent, de leurs voeux, depuis une pléthore d’années, ce n’est pas, seulement, la perte d’énergie, et de chauffage, durant les mois d’hiver de toutes ces années présentes et à venir – alors que nous pénétrons au coeur d’un Grand Minimum Solaire; ce n’est pas, seulement, le manque de nourriture généré par la destruction de l’agriculture programmée par les Globalistes – et leurs alliés auto-proclamés Verts; ce n’est pas, seulement, le manque de nourriture généré par des aléas Atmosphériques destructeurs des cultures agricoles – sur des terres, et avec des semences, d’autant plus fragilisées par l’agriculture chimique depuis 1842; ce n’est pas, seulement, le manque de tendresse, d’amour, et de mutualisme, engendré par les mesures dictatoriales de la PharMacronie visant à violer les adultes, et surtout à violer les enfants, en les masquant, en les distançant, en les empêchant de se toucher et de s’embrasser…

Au sujet du “Dark Winter”, je renvoie les lecteurs vers le chapitre 9, “Retour aux Origines: des Décennies de Simulations Prophétiques”, de mon très long essai ,“Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”.

Le “Dark Winter”, cela pourrait être, également, un obscurcissement par volcanisation de l’Atmosphère, car, présentement, nous sommes au coeur d’une activité volcanique sans cesse grandissante – qui, bien évidemment, s’explique par l’émergence du Grand Minimum Solaire, qui est annoncé jusqu’en 2055, avec sa cohorte d’extrêmes de température et de pluviométrie, ses vents violents, son activité volcanique prononcée, ses périodes de sécheresses et d’inondations, ses très grande périodes de très grands froids…

Ces derniers jours, de nombreux records de neige ont été battus dans le Nevada et en Californie – des records qui remontaient aux années 1800. Dans la région du lac Tahoe, en Californie, où je vécus et ou je travaillai comme moniteur de ski de fond, dans ma jeunesse – et où j’explorai botaniquement, dans ma vieillesse – il est déjà tombé, en date du 14 décembre, près de trois mètres de neige sur les hauteurs autour du lac. Qui se rappelle que l’autre criminel récidiviste, Al Gore, affirmait en 2000 que d’ici 2020, la neige ne serait qu’une photographie pour les enfants qui ne la connaîtraient plus jamais? 

Le “Dark Winter”, cela pourrait être, également, un obscurcissement par graphénisation de l’Atmosphère, au moyen des chemtrails conventionnels, afin de stimuler, afin d’activer le poison vaccinal graphénisant qui a été déposé dans le corps de l’humain injecté, telle l’hostie sacramentale de la nouvelle religion du Covidisme – une hostie sacrificielle mais c’est l’injecté qui est sacrifié sur l’autel du cyborgisme… pendant que les non-injectés sont montrés du bout de la corne tels des boucs-émissaires.

Nécro-Omicron!

N’attendez, donc, pas que l’Oxyde de Graphène vous tombe sur la tête! Soignez en vous, quotidiennement, la Nature que la Culture de la technocratie génocidaire, et graphénisante, cherche, inexorablement, à détruire. 

La graphénisation se traduit, en effet, par des pathologies d’irradiation. Quotidiennement, prenez, donc, des plantes médicinales, des légumes, des fruits, des substances naturelles, des champignons possédant des qualités extrêmement anti-oxydantes.Voir mon essai “Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène”. [877]

Quotidiennement, aussi, pensez à vos enfants, ou à vos petits enfants, afin de bien vous convaincre, intérieurement, qu’effectivement, la Chasse aux Prédateurs est bien Ouverte… et surtout, aujourd’hui, la Chasse aux Prédateurs Vaccinalistes et aux Violeurs d’Enfants. 

Avant de re-présenter le dossier que j’ai élaboré en novembre, puis-je poser la question suivante? N’est-il pas étrange, symboliquement parlant, qu’un nouveau variant, fleurant fort la gigantesque arnaque, se nomme “Omicron”, et qu’il soit propulsé, en l’espace de 48 heures, tel un Terrorisme à Grande Vitesse épouvantant les masses condamnées à une mort fatale? Tel un Nécro-Omicron.

Pourquoi? Parce que cela fait, exactement, un siècle que le concept, ou le mème, du Nécromicron a vu le jour dans l’un des ouvrages de l’écrivain célèbre Lovecraft. 

Et cela fait un siècle, exactement, que les Globalistes ont lancé leur première grande purge vaccinale qui fut dénommée “la Grippe Espagnole” – en 1918/1920 afin de parachever la fonction de la Première Grande Boucherie Franco-Allemande. Ce fut une pneumonie bactérienne, à 99,5%, induite par des campagnes massives de vaccins et de médicaments. Seuls les vaccinés et médicamentés mouraient… Voir le chapitre “La Grippe Espagnole de 1918/1920 fut une Pneumonie Bactérienne” de mon essai “Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01” de mars 2020.  [875]

De l’Oxyde de Graphène dans les Chemtrails en sus du strontium, du baryum, de l’aluminium, du titane, du césium, de l’arsenic, du béryllium, du chrome, du cobalt…

En janvier 2021, durant le 5ème symposium dénommé “International Rain Enhancement Forum” (IREF) [233], trois chercheurs de l’Université Khalifa, de Dubaï, ont présenté leurs recherches portant sur la modification artificielle de l’atmosphère afin de déclencher des pluies. Les sujets abordés incluaient l’application de processus nanotechnologiques pour développer de nouveaux matériaux permettant d’ensemencer les nuages, l’étude des effets des charges électriques sur la formation des gouttelettes de pluie, les algorithmes permettant de déterminer les conditions idéales d’ensemencement des nuages ainsi que l’intégration de multiples dynamiques de simulation, et de nouvelles données, afin de créer un modèle unifié de prévisions météorologiques.

L’ensemencement des nuages est un processus par lequel des substances sont introduites au coeur des nuages afin de stimuler la formation des gouttelettes de pluie. Cette technique est utilisée, en agriculture, depuis plus de 70 années. Le premier brevet portant sur la modification climatique artificielle date de 1966: il s’agit du brevet Knollenberg. [247]

Lors de ce forum, la Dr. Linda Zou a présenté ses recherches portant sur les nano-particules poreuses et leur potentiel d’ensemencement des nuages froids – en tant que germes de nucléation – afin d’induire artificiellement la pluie. La Dr. Linda Zou a recours, en effet, à la nanotechnologie afin de créer des particules de nucléation de glace qui agissent selon les mêmes modes que les cristaux de glace naturels en formant des gouttelettes d’eau super froides à des températures inférieures à -38°C.

A cet effet, Linda Zou a créé un composite à partir de nano-particules d’oxyde de graphène réduit et de nano-particules d’oxyde de silicium. L’oxyde de graphène réduit sert de matrice, ou de patron, pour la croissance de cristaux de glace – en raison de sa structure réticulaire hexagonale similaire. Quant à l’oxyde de silicium, il accroit les capacités globales d’adsorption des molécules d’eau de ce composé nano-particulaire.  [243] Linda Zou a déposé une demande de brevet, en 2019, intitulée “3d reduced graphene oxide/sio 2 composite for ice nucleation” avec le n° WO2020148644A1. [246] Son étude, de 2019, est intitulée “Enhanced Ice Nucleation and Growth by Porous Composite of RGO and Hydrophilic Silica Nanoparticles”. [886] 

Les nano-particules d’oxyde de silicium génèrent des pores, dans le produit final, et jouent un rôle essentiel dans la nucléation de la glace car l’eau liquide s’y accumule. Les recherches de Linda Zou mettent, ainsi, en exergue que ce composé nano-particulaire induit la nucléation de la glace à des températures d’environ -8°C.

Linda Zou n’est pas la seule à travailler dans ce domaine. En 2018, une équipe  de chercheurs, d’Autriche et d’Italie, a publié ses conclusions quant au recours au graphène et à l’oxyde de graphène dans les processus de nucléation de cristaux de glace: “Ice Nucleation Activity of Graphene and Graphene Oxide”. [245]

Il existe, également, une étude, de 2020, qui est intitulée “Heterogeneous Ice Nucleation by Graphene Nanoparticles”. [887] Elle porte sur l’intégration de nano-particules d’oxyde de graphène – de 120/150 nm – afin de favoriser la nucléation de cristaux de glace.

Il existe, aussi, une autre étude, publiée en avril 2021, qui s’intitule “Investigations of structural and dynamical mechanisms of ice formation regulated by graphene oxide nanosheets” [889] ainsi qu’une étude, de 2019, intitulée “Probing the critical nucleus size for ice formation with graphene oxide nanosheets”. [890] Toutes ces études portent sur la formation de cristaux de glace avec de l’oxyde de graphène. 

Voir, également, l’étude, de mai 2021, intitulée “Motion of water monomers reveals a kinetic barrier to ice nucleation on graphene”. [888]

Rappelons, également, qu’il existe des recherches, depuis de nombreuses années, dont l’objectif est d’injecter des nano-particules d’oxyde de graphène, dans l’Atmosphère, afin d’en éliminer ce que les déments Globalistes, et Transhumanoïdes, considèrent comme un contaminant: le dioxyde de carbone. Par exemple: “Carbon Dioxide Capture by Functionalized Graphene Oxide Adsorbent” [235]. “Carbon Dioxide Capture with Graphene Systems: Computational Studies” [238]. “Reduced graphene oxide-TiO2 nanocomposite as a promising visible-light-active photocatalyst for the conversion of carbon dioxide” [239]. “Vitamin B12-Immobilized Graphene Oxide for Efficient Electrocatalytic Carbon Dioxide Reduction Reaction”. [241]

En février 2021, des chercheurs ont présenté le filtre le plus fin du monde constitué à partir de membranes de graphène. Ce filtre est non seulement capable de filtrer le dioxyde de carbone mais il est capable de le séparer des autres gaz induits par les émissions industrielles.  [236]

En février 2021, également, des chercheurs ont présenté leurs recherches portant sur des catalyseurs à base de diverses formes de graphène permettant de réduire le dioxyde de carbone. [237]

En 2019, des chercheurs du Karlsruhe Institute of Technology ont présenté leur méthode d’élaboration de graphène à partir du dioxyde de carbone atmosphérique. [240]

Aujourd’hui, l’oxyde de graphène est-il injecté dans l’Atmosphère? Il est clair que c’est effectivement le cas car j’ai évoqué, dans ces Nouvelles, à plusieurs reprises, le phénomène des eaux de pluie contaminées au graphène.

Par exemple, un médecin des Iles Canaries, travaillant avec la Quinta Columna, a récemment, découvert de l’oxyde de graphène dans l’eau de pluie et l’a prouvé à l’aide d’analyses. [242] Il en également analysé, microscopiquement, la présence dans son mucus bronchique.

Par exemple, la Quinta Columna, via Orwell City, a présenté une courte vidéo intégrant une séquence, filmée en région francophone, présentant, manifestement, des particules magnétiques de graphène, auto-assemblantes, tombées avec les pluies d’une grosse tempête. [234]

Par exemple, une vidéo met en exergue que les particules rassemblées d’un pare-brise de voiture, après une pluie, sont magnétiques. [244]

Pourquoi l’oxyde de graphène est-il injecté dans l’Atmosphère? Afin d’éliminer le dioxyde de carbone ou afin de contribuer à la graphénisation universelle des Peuples?

Il existe un manuel datant de 1999 à l’usage des aviateurs de l’USAF, aux USA [249]. Il est dénommé “Chemtrails” et il décline les très nombreuses substances métalliques incorporables dans ces épandages aériens: fer, cuivre, argent, mercure, aluminium, lithium, béryllium, baryum, strontium, césium, étain, etc, etc.

Quel est l’objectif réel des épandages de substances métalliques dénommés “chemtrails”? Rappelons que ces substances sont principalement l’aluminium, le strontium, le baryum, le manganèse, le dioxyde de titane, l’iodure d’argent…

En France, l’Association Acseipica pratique de nombreuses analyses d’échantillons sanguins et atmosphériques afin de suivre l’évolution des épandages aériens métalliques. [248]

Voir le témoignage d’un ingénieur Allemand de l’aéronautique qui fut licencié après avoir lancé l’alerte sur les épandages aériens, de baryum, d’aluminium, etc. [302]

Voir, également, cette courte séquence vidéo à l’intérieur d’un Boeing 707 [569] qui est en cours de libérer des substances dans l’Atmosphère.

Il existe une étude, de 2015, intitulée “Evidence of Coal-Fly-Ash Toxic Chemical Geoengineering in the Troposphere: Consequences for Public Health”. [879] Depuis lors, elle a été rétractée, par les Autorités “scientifiques” car, comme diraient les psychopathes des GAFAM, elle ne correspondait pas à leurs “valeurs”. 

D’autant plus rétractée que, dans leur introduction les auteurs évoquent l’ouvrage tabou de Rachel Carson, le Printemps Silencieux.

Et ce n’est pas étonnant car ses conclusions sont sans appel: les auteurs ont analysé les pluies tombant au dessus-de San Diego, en Californie, à la suite d’épandages aériens et ont décliné le contenu de ces chemtrails. Ils affirment que ce qui est appelé “Coal-Fly-Ash ” – à avoir les cendres volantes de charbon – constituaient la base de ce qui était épandu en Californie en 2014.

Les éléments qu’ils ont découverts, dans leurs analyses, sont les suivants: aluminium, antimoine, arsenic, barium, beryllium, bore, cadmium, calcium, césium, chrome, cobalt, cuivre, gallium, germanium, hafnium, fer, plomb, lithium, magnésium et manganèse. 

Deux études, de 2019, intitulée “Enhanced ice nucleation activity of coal fly ash aerosol particles initiated by ice-filled pores”, et “The Role of Cloud Processing for the Ice Nucleating Ability of Organic Aerosol and Coal Fly Ash Particles”, portent sur la formation de glace dans les nuages en relation aves les cendres volantes de charbon. [884]  [885]

La découverte de cette étude rétractée, de 2015, mettant en exergue la composition des “cendres volantes de charbon”, a attiré, de plus, mon attention sur le fait que ces cendres de charbon sont, récemment, le sujet de recherches portant sur la fabrication de composites impliquant ces cendres et l’oxyde de graphène.

Ainsi, en juin 2018, un rapport, de l’Université de Washington, a été publié sur la confection de béton intégrant de l’oxyde de graphène. [881]  [882] Le directeur de la société Talga, en Australie, qui travaille avec ces nouvelles technologies affirme que: «Les résultats des tests préliminaires montrent  que le béton, amélioré au graphène, se caractérise par un tel niveau de conductivité électrique qu’il peut se comporter tel un élément de chauffage électrique». [880] Il existe, aujourd’hui, un certain nombre de recherches et d’initiatives afin de fabriquer des nouveaux bétons intégrant l’oxyde de graphène. 

Il existe une étude, de 2021, qui est intitulée “Coal Fly Ash Decorated with Graphene Oxide−Tungsten Oxide Nanocomposite for Rapid Removal of Pb2+ Ions and Reuse of Spent Adsorbent for Photocatalytic Degradation of Acetaminophen”. Il s’agit de la fabrication d’un nouveau polymère composé de “cendres volantes de charbon” et de nano-particules d’oxyde de graphène et d’oxyde de tungsten. [883]

Il semble essentiel de mettre en exergue que, généralement, les nano-particules métalliques incluses dans ces chemtrails font, également, l’objet de recherches poussées dans les processus de fonctionnalisation du graphène ou de l’élaboration de nano-composés à base de graphène – plus particulièrement dans le domaine des applications bio-médicales. 

Iodure d’argent. “Silver Iodide Nanospheres Wrapped in Reduced Graphene Oxide for Enhanced Photocatalysis”. [250] “Graphene Fiber and it Silver Functionalization for Radioactive Iodine Adsorption”. [251] “Graphene Oxide–Silver Nanoparticle Nanocomposites Induce Oxidative Stress and Aberrant Methylation in Caprine Fetal Fibroblast Cells”. [252] “Silver and copper oxide nanoparticles-decorated graphene oxide via pulsed laser ablation technique: Preparation, characterization, and photoactivated antibacterial activity”. [253]

Il existe, en fait, une pléthore d’études sur les composés hybrides confectionnés à partir de nano-particules de graphène et d’argent pour leurs capacités de détecter le glyphosate, l’insuline, la streptomycine, l’oxytétracycline, l’imidaclopride, pour leurs capacités de vectoriser des substances médicinales anti-cancéreuses… De plus, de nombreuses recherches ont mis en lumière leurs capacités antibactériennes – à l’encontre de Pseudomonas aeruginosa, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, etc.

Strontium. Il existe des processus utilisant le graphène pour éliminer le strontium mais il existe surtout des processus de confection de nano-composés à base de graphène et de strontium… pour la régénération des os. “Strontium-substituted hydroxyapatite grown on graphene oxide nanosheet-reinforced chitosan scaffold to promote bone regeneration”. “Developing a Strontium-Releasing Graphene Oxide-/Collagen-Based Organic-Inorganic Nanobiocomposite for Large Bone Defect Regeneration via MAPK Signaling Pathway”. “Oxygen Plasma Technology-Assisted Preparation of Three-Dimensional Reduced Graphene Oxide/Polypyrrole/Strontium Composite Scaffold for Repair of Bone Defects Caused by Osteoporosis”.

Dioxyde de titane. Il existe des nano-composés de graphène et de dioxyde de titane pour la décontamination des eaux, pour des batteries, pour les panneaux solaires mais aussi pour leur activité anti-bactérienne tel que cela est présenté dans diverses études: “The role of nanoparticles (titanium dioxide, graphene oxide) on the inactivation of co-existing bacteria in the presence and absence of quartz sand” [254]; “Synergistic antibacterial effect of graphene-coated titanium loaded with levofloxacin” [255]; “Graphene-Reinforced Titanium Enhances Soft Tissue Seal” [256]; “Toxicity assessment of reduced graphene oxide and titanium dioxide nanomaterials on gram-positive and gram-negative bacteria under normal laboratory lighting condition” [257].

Il existe même plusieurs études portant sur la confection de tissus tel que du coton – à base de graphène et de titane – possédant des propriétés d’auto-nettoyage et des capacités anti-bactériennes: “Functional finishing of cotton fabrics using graphene oxide nanosheets decorated with titanium dioxide nanoparticles” [258]; “Graphene oxide-silver/cotton fiber fabric with anti-bacterial and anti-UV properties for wearable gas sensors” [262]; “Graphene Oxide-Based Antibacterial Cotton Fabrics” [263]; “Fabricating electroconductive cotton textiles using graphene”. [264] Etc. Il existe, même, des techniques permettant de fabriquer du jute avec du graphène. [260]

Qui plus est, une équipe de l’Université de Manchester a développé une encre à base de nano-particules de graphène et d’argent. [261] Le but est de développer de l’électronique vestimentaire, à base de graphène, qui constituera une interface avec le corps physique et qui permettra de collecter des données émanant de divers paramètres physiologiques (température, rythme cardiaque, etc)… afin, éventuellement, de les moduler.

A ce sujet, voir mon essai récent intitulé “Des encres à base de graphène comme bio-senseurs dans les vêtements, dans les chaussures… et dans les tatoos!”. [878]

Il ressort de toutes ces données que de très nombreuses études portent sur la confection de nano-composés hybrides à base de graphène pour leurs capacités anti-bactériennes.

Il existe même un nano-complexe composé d’oxyde de graphène, de dioxyde de titane et d’iodure d’argent pour une action résolument anti-bactérienne. [259]

Aujourd’hui, outre les effets extrêmement toxiques induits par la présence de graphène, ou autres nano-particules métalliques, dans les injections Coquevide et autres, il semble important de poser la question de l’impact, de toutes les nano-particules présentes dans les chemtrails, et incorporées par l’organisme humain, sur la flore intestinale – sans évoquer leur impact direct sur les poumons.

En effet, si le graphène, le dioxyde de titane, l’iodure d’argent, etc, possèdent de telles capacités anti-bactériennes… ils n’ont sûrement pas la faculté de distinguer entre les bactéries bénéfiques et les bactéries pathogènes. Et ce, d’autant plus, que les dites bactéries pathogènes sont, très souvent, des bactéries commensales chez un organisme sain.

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Géoingénierie des aérosols troposphériques : preuves radiométriques des chemtrails

Références

Herndon, J.M.; Hoisington, R.D.; Whiteside, M. (2020). “Chemtrails are Not Contrails: Radiometric Evidence”. Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 24(2), pp. 22-29. [417]

Introduction

La géo-ingénierie des aérosols troposphériques, connue sous le nom de TAG, est souvent confondue avec la géo-ingénierie solaire, qui intervient dans la stratosphère pour réduire l’incidence du rayonnement solaire. Si les deux ont en commun l’injection d’aérosols, les matériaux de pulvérisation peuvent varier, de même que les taux de diffusion du matériel. Par exemple, la pulvérisation à des altitudes stratosphériques nécessiterait des avions militaires, des ballons/drones expérimentaux ou des avions commerciaux spécialement préparés pour monter à de telles altitudes. La pulvérisation troposphérique se produit toutefois aux altitudes habituelles auxquelles les avions commerciaux opèrent, c’est-à-dire autour de 5 et 10 km d’altitude. L’avantage de la pulvérisation troposphérique est son moindre coût, car tout avion à réaction civil peut être utilisé. D’autre part, la hauteur à laquelle il pourrait être pulvérisé peut ne pas être suffisante pour une couverture plus élevée, ce qui implique une stratégie de pulvérisation en ligne et en quadrants, un peu comme un tracteur qui laboure un champ. Malheureusement, la littérature scientifique est limitée en ce qui concerne la géo-ingénierie des aérosols troposphériques, qui, comme on peut s’y attendre, est étroitement liée au phénomène des chemtrails. Cette entrée analyse l’article de (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020) dans lequel ils démontrent empiriquement la présence de chemtrails. Avant de progresser dans la connaissance des fréquences des rayonnements ionisants dans l’atmosphère et de leur interaction avec les nuages chimiques à l’origine des chemtrails, il semble nécessaire d’identifier certains types de nuages chimiques, produits par ce phénomène. En ce sens, l’article fournit un matériel graphique pertinent.

Faits

Les auteurs cherchent à découvrir la vérité sur certaines traînées de condensation laissées par les avions. «Des efforts concertés sont déployés pour induire le public en erreur et lui faire croire que les traînées de condensation des aérosols des avions à réaction, appelées chemtrails par certains, sont des traînées inoffensives de cristaux de glace provenant de l’humidité des gaz d’échappement des moteurs d’avion. Notre objectif est d’utiliser des mesures radiométriques dans la gamme 250-300 nm pour montrer qu’un chemtrail typique n’est pas un contrail, et de généraliser cette découverte avec des données supplémentaires.» Les “contrails” sont des traînées de condensation typiques, produites par la chaleur des moteurs à réaction d’un avion. À ne pas confondre avec les chemtrails, qui sont des traînées chimiques provenant de pulvérisations.

Fig.1. Chemtrails identifiés dans les recherches d’Herndon. (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020)

Compte tenu de l’intérêt de l’explication donnée par les chercheurs, elle est reprise intégralement pour analyse. «L’absorption des UV pendant le temps de transit du capteur du radiomètre à travers la traînée d’aérosol est une preuve radiométrique sans équivoque que la traînée d’aérosol n’est pas une traînée de cristaux de glace, car l’absorption des UV par la glace sur la gamme de longueurs d’onde mesurée est négligeable. Le coefficient d’absorption de la glace, k-ice, à 300 nm est ≤ 0,1 m-1 et 0,665 m-1 à 250 nm. La réflectivité proche de 100 % de la neige est une preuve supplémentaire de l’absorption spectrale extrêmement faible de la glace. En fait, << entre 300 et 600 nm, l’absorption par la glace est si faible que, pour certaines fins géophysiques, elle peut également être mise à zéro, par exemple, lors du calcul de l’absorption du rayonnement solaire par les nuages de glace, car les longueurs de parcours des photons à travers les cristaux de glace atmosphérique sont très faibles par rapport à la longueur d’absorption >>. Cependant, l’absorption des UV par les particules, y compris les cendres volantes de charbon, est tout à fait cohérente avec les données qui ont été recueillies. Les traînées de particules en suspension dans l’air (chemtrails), y compris les traînées blanches et les traînées noires, ont également été analysées. Les traînées blanches sont blanches car une grande partie de la lumière incidente est diffusée, seule une partie est absorbée. Les traînées noires sont noires parce qu’il y a très peu de diffusion ; la plupart de la lumière incidente est absorbée. Les traînées noires ne peuvent pas être des traînées de cristaux de glace car, comme nous l’avons vu plus haut, la glace a une faible absorption non seulement des UV, mais aussi de la lumière visible. D’autres manifestations physiques des traînées d’aérosols sont également incompatibles avec les traînées de cristaux de glace. Il s’agit notamment de la diffusion plutôt que de l’évaporation, de la production spontanée de traînées de particules de type start-stop-start, et l’origine des traînées n’est parfois pas associée à l’échappement du moteur». Cela signifie que l’intensité des UV n’est pas celle attendue avec une traînée de condensation et des cristaux de glace, comme on peut le voir sur la figure 2.

Fig.2. La marque rouge sur l’axe du temps “11:44 heures” correspond au moment où le chemtrail d’aérosol a été analysé. La réduction de l’intensité des UV, par rapport aux autres mesures, est évidente. Cette preuve montre qu’il ne s’agit pas d’une traînée de condensation. (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020)

Ils soulignent également que «les particules de la troposphère sont chauffées par le rayonnement solaire et le rayonnement de la Terre, transfèrent cette chaleur à l’atmosphère par des collisions moléculaires, ce qui réduit la convection atmosphérique et réduit concomitamment la perte de chaleur en surface, provoquant un réchauffement local et/ou global et, combiné à d’autres techniques, fait fondre la glace polaire». Cela justifierait que le réchauffement climatique est anthropique, mais pas nécessairement causé par le gaz à effet de serre CO2, puisque les auteurs attribuent la cause à la pulvérisation troposphérique comme responsable de ces effets, qualifiant cette action de «pulvérisation aérienne secrète pour provoquer délibérément le chaos climatique, les inondations, les sécheresses et les mauvaises récoltes». Ils affirment donc que “la pulvérisation aérienne de particules est une pollution atmosphérique délibérée”.

Fig.3. Des chemtrails noirs et blancs. (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020)

En conclusion, les chercheurs déclarent que «nous avons présenté des mesures radiométriques qui prouvent sans équivoque la fausseté de cette caractérisation pour un cas spécifique, mais typique. Nous montrons dans un cadre plus général que les manifestations physiques des traînées aériennes sont incompatibles avec les traînées de cristaux de glace, mais tout à fait cohérentes avec les traînées de particules d’aérosols». En d’autres termes, ils concluent que le phénomène observé dans le ciel ne correspond pas aux effets des nuages de condensation, puisqu’aucune lecture radiométrique typique des cristaux de glace n’est obtenue, montrant qu’un phénomène différent a lieu, qui correspond à la pulvérisation ou à l’injection d’aérosols troposphériques. Ils mentionnent également les causes ou raisons possibles de la tromperie : «Pourquoi la désinformation généralisée sur les traînées de particules aéroportées / aérosols troposphériques ? Probablement parce que le ou les objectifs de dissimulation de la pulvérisation aérienne et la santé humaine et environnementale ont des conséquences néfastes qui répugneraient au raisonnement public». Enfin, les chercheurs demandent que «pour le bien de la vie sur Terre, la modification de l’environnement naturel par la pulvérisation aérienne de particules et d’autres méthodologies doit cesser immédiatement et définitivement».

Opinions

Les chercheurs démontrent par une méthodologie scientifique que les traînées de condensation de certains avions ne correspondent pas à la condensation et à la cristallisation logiques de la glace, causées par la chaleur des moteurs à réaction. Ils montrent clairement qu’il existe un modèle radiométrique différent qui prouve l’existence des chemtrails ou de l’injection d’aérosols troposphériques. D’autre part, les auteurs sont très clairs dans leurs déclarations sur les conséquences et les causes possibles du phénomène. Il serait souhaitable de pouvoir répéter le test dans différents pays afin que leur étude ne soit pas isolée et soit renforcée par la communauté scientifique. Ses tests ouvrent et orientent les recherches sur les composants utilisés dans les pulvérisations troposphériques et sur l’hypothèse de leur excitabilité ou capacité répétitive ou multiplicatrice des ondes électromagnétiques, avec capacité d’ionisation. Ces aspects seront abordés dans les prochains billets. Cependant, certains types de matériaux peuvent déjà être considérés comme de bons candidats à la pulvérisation troposphérique, avec les indications données par (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020), à savoir tous les aérogels/hydrogels géo-ingénierie, qui provoquent des réactions chimiques dans la troposphère, qui servent à renforcer le réchauffement de la planète ou la production de gaz à effet de serre, et qui peuvent également produire un effet de renforcement des ondes électromagnétiques à leurs niveaux ionisants, comme le ferait une antenne photoconductrice pour l’émission de térahertz. Bien que des indices puissent être trouvés dans la littérature scientifique, il semble nécessaire d’en savoir plus sur les preuves physiques du matériau précipité après la pulvérisation. Des photographies du matériau, des réactions éventuelles au peroxyde d’hydrogène pour exclure la présence de Fe3O4, des analyses de laboratoire pour localiser le graphène ou d’autres matériaux, et une systématisation de la collecte des matériaux sont nécessaires. Cela pourrait aider à déterminer les restes des réactions chimiques produites dans l’atmosphère et ainsi pouvoir déduire l’ingénierie inverse nécessaire pour clarifier la nature des composés et des matériaux qui ont été fumigés.

Bibliographie

Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [418]

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Nuages chimiques issus de l’évaporation / volatilisation / lévitation de solutions de graphène et leur ionisation

Introduction

L’un des phénomènes les plus complexes à démêler, à la fois en raison du secret et du manque de documentation scientifique librement accessible, est la question des “chemtrails” ou traînées chimiques laissées par certains avions. Dans une entrée précédente, nous avons analysé l’article de (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020) qui montrait l’existence de nuages chimiques causés par la pulvérisation directe, qui ne répondaient pas au spectre radiométrique de la vapeur d’eau. L’existence “d’injections d’aérosols dans la troposphère et la stratosphère” impliquant des aérogels de silice, avec la possibilité d’inclure des aérogels de graphène, a également été élucidée (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021), voir l’article sur la géo-ingénierie solaire. Il semble clair qu’indépendamment du motif ou de la finalité de ces actions, l’arrosage du ciel est un fait incontesté, également mis en évidence par des études sur des échantillons d’aérosols (Pöschl, U. 2005 ; Shiraiwa, M. ; Sosedova, Y. ; Rouvière, A. ; Yang, H. ; Zhang, Y. ; Abbatt, J.P. ; Pöschl, U. 2011).

Cette entrée discute de la possibilité que les nuages chimiques observés dans le ciel ne correspondent pas seulement aux chemtrails ou aux pulvérisations des avions. Le phénomène des nuages chimiques pourrait être encore plus complexe qu’il n’y paraît. Il est fort probable qu’il existe des nuages chimiques produits par l’évaporation de l’eau/des engrais/des produits phytosanitaires/des additifs alimentaires et du graphène. Les références essentielles sur l’évaporation accélérée de l’eau sur l’oxyde de graphène, l’évaporation des pesticides dans l’environnement agricole, la lévitation du graphène et les effets de son ionisation sont passées en revue. 

Faits concernant l’évaporation de l’eau avec du graphène

Parmi les applications du graphène figurent celles liées à l’eau, tant pour sa filtration que pour sa décontamination (Sun, X.F. ; Qin, J. ; Xia, P.F. ; Guo, B.B. ; Yang, C. M. ; Song, C. ; Wang, S.G. 2015 | Xu, C. ; Cui, A. ; Xu, Y. ; Fu, X. 2013 | Fathizadeh, M. ; Xu, W.L. ; Zhou, F. ; Yoon, Y. ; Yu, M. 2017), ainsi que pour le contrôle de son évaporation. C’est cette dernière application que nous allons analyser dans cette section. En particulier, l’étude de (Wan, R. ; Shi, G. 2017) vise à découvrir la méthode optimale pour obtenir la plus grande évaporation possible de l’eau au contact du graphène. Selon les chercheurs, «l’évaporation de volumes d’eau minuscules, voire nanométriques, sur des surfaces solides revêt une importance fondamentale dans un large éventail de processus biologiques et industriels, tels que la transpiration, le diagnostic médical, la fabrication de puces, le refroidissement par pulvérisation et l’impression à jet d’encre». Parmi ces utilisations et applications, la pulvérisation/brouillardisation est largement utilisée en agriculture, dans le cadre de l’irrigation par “micro-pulvérisation” pour favoriser l’équilibre de la température et de l’humidité des cultures. Selon (Wan, R. ; Shi, G. 2017), ils ont constaté que  «l’évaporation de l’eau à l’échelle nanométrique sur des surfaces à motifs hydrophobes-hydrophiles est étonnamment plus rapide que sur toute surface à mouillabilité uniforme, et cette amélioration est liée à la taille du domaine à motifs», le graphène ou l’oxyde de graphène étant le matériau le plus approprié pour servir de catalyseur à ce processus d’évaporation, étant donné sa dispersibilité et sa capacité d’adsorption. Il a également été conclu que «l’évaporation est considérable dans les régions non oxydées» du film de graphène utilisé dans l’expérience. D’autre part, il a également été déclaré que «la diminution de l’épaisseur de l’eau augmente l’influence de la surface solide sur les molécules d’eau les plus externes et prolonge la durée de vie des liaisons hydrogène dans ces molécules d’eau, ce qui rend les molécules d’eau les plus externes plus difficiles à évaporer». Cela signifie que l’évaporation de l’eau varie en fonction de l’intégrité de la structure moléculaire du graphène, ce qui ouvre la porte au contrôle ou à la médiation des processus d’évaporation. 

Fig.1. Évaporation de l’eau contrôlée par un motif GO d’oxyde de graphène. (Wan, R. ; Shi, G. 2017)

Les travaux de (Huang, Y. ; Lu, J. ; Meng, S. 2018) corroborent ces résultats en affirmant «qu’un revêtement de graphène contrôle l’évaporation de l’eau en supprimant le taux d’évaporation sur les surfaces hydrophiles et en accélérant l’évaporation sur les surfaces hydrophobes». En outre, ils soulignent que «le graphène est -transparent- pour l’évaporation. Lorsqu’une surface hydrophile est recouverte de graphène, la ligne de contact de la goutte d’eau se raccourcit ou s’allonge considérablement en raison de l’ajustement des angles de mouillage. Cela entraîne des changements dans le taux d’évaporation». Ces résultats précisent que l’eau peut s’évaporer en fonction de la structure moléculaire du graphène et de son degré d’oxydation, une observation également confirmée par (Tong, W.L. ; Ong, W.J. ; Chai, S.P. ; Tan, M.K. ; Hung, Y.M. 2015). Ces faits permettent de supposer que le graphène pourrait également se trouver avec la vapeur d’eau en fonction de son poids moléculaire et de sa structure, comme le confirmera l’exposé des faits suivant.  

Fig.2. modèle d’évaporation montrant le processus d’évaporation du Si avec le gr (graphène). Notez comment les particules s’élèvent au fur et à mesure de la progression du temps. (Tong, W.L. ; Ong, W.J. ; Chai, S.P. ; Tan, M.K. ; Hung, Y.M. 2015)

L’évaporation avec le graphène est possible dans des conditions de température et de pression similaires à celles observées avec le c0r0n@v|rus. C’est ce que démontrent les recherches de (Grinchuk, P.S. ; Fisenko, E.I. ; Fisenko, S.P. ; Danilova-Tretiak, S.M. 2020) dans lesquelles ils analysent le taux d’évaporation isotherme des aérosols liquides et la survie des c0r0n@v|rus dans ces conditions. Les observations faites par les chercheurs sont tout à fait uniques, puisqu’ils déclarent que «l’effet observé de la diminution de la concentration de virus viables dans un échantillon aqueux pendant l’évaporation d’un substrat solide dans les expériences confirme notre hypothèse de l’existence du mécanisme physique. Il existe au moins une analogie qualitative, confirmée par différentes données expérimentales. Des déformations significatives d’une feuille d’oxyde de graphène dans une gouttelette d’eau d’un micron en cours d’évaporation ont été constatées expérimentalement. Le graphène est un matériau très résistant, dont le module d’élasticité atteint 1 TPa (Terapascal)». Inconsciemment, les chercheurs ont trouvé des preuves que le virus avait les mêmes propriétés mécaniques que l’oxyde de graphène (Wang, W.N. ; Jiang, Y. ; Biswas, P. 2012 | Frank, I.W. ; Tanenbaum, D.M. ; van-der-Zande, A.M. ; McEuen, P.L. 2007), correspondant qualitativement à sa vitesse d’évaporation et à sa morphologie. Cela peut s’expliquer par le fait que les chercheurs ont très probablement observé une forme d’oxyde de graphène qui avait la même apparence que le c0r0n@v|rus putatif (et non prouvé, non séquencé et non isolé), comme nous l’expliquerons dans le prochain article. 

Faits concernant l’évaporation/volatilisation/lavage des pesticides et des engrais

Sachant que l’oxyde de graphène peut s’évaporer lorsqu’il se trouve dans des solutions aqueuses ou liquides, comme décrit ci-dessus, il n’est pas surprenant que son utilisation intensive en agriculture sous forme d’engrais et de produits phytosanitaires puisse conduire en partie à son évaporation, avec la conséquence évidente de nuages chimiques. À cet égard, la contribution de (Peterson, E.M. ; Green, F.B. ; Smith, P.N. 2020) est essentielle pour préciser si des nuages chimiques peuvent se former à partir d’engrais, de produits phytosanitaires et de produits pharmaceutiques vétérinaires destinés à l’élevage. Tout d’abord, dans leur résumé, ils font état de la découverte récente du «transport aérien de produits pharmaceutiques vétérinaires à partir d’opérations d’alimentation du bétail industriel par le biais de particules». Cela confirme qu’une des façons de traiter les bovins est d’utiliser des nuages aérosolisés des médicaments nécessaires à leur traitement (McEachran, A.D. ; Blackwell, B.R. ; Hanson, J.D. ; Wooten, K.J. ; Mayer, G.D. ; Cox, S.B. ; Smith, P.N. 2015). 

Fig.3. Formation de nuages chimiques dans les exploitations agricoles et d’élevage. (Peterson, E.M. ; Green, F.B. ; Smith, P.N. 2020)

Cependant, l’objectif de leur recherche est de déterminer «dans quelle mesure les insecticides sont également transportés dans l’environnement par les particules totales en suspension émanant des parcs d’engraissement des bovins. Sur 16 pesticides différents quantifiés dans des échantillons de particules prélevés dans des parcs d’engraissement de bovins, la perméthrine a été détectée avec une fréquence de >67% et à une concentration moyenne de 1211,7 ± 781,0 (SE) ng/m3». Cette déclaration est la preuve que les pesticides et les produits phytosanitaires utilisés dans les exploitations ont été retrouvés dans des nuages chimiques, dans une très forte proportion. À cette déclaration s’ajoute une autre, encore plus importante : «L’imidaclopride a été détecté à une concentration moyenne de 62,8 ± 38,2 (SE) ng/m3, soit l’équivalent des concentrations publiées dans la poussière provenant des activités de plantation de semences traitées». Ce résultat est très important car “l’imidaclopride” (C9H10ClN5O2) est un insecticide néonicotinoïde ou neuroactif fabriqué à partir de nicotine, qui est appliqué par voie foliaire ou racinaire par l’intermédiaire de l’eau d’irrigation. Il est intéressant de noter qu’il existe des brevets pour l’oxyde de graphène avec de “l’imidaclopride”, mais sous le nom de “paichongding”. Cela peut être dû à la transposition de la directive 98/8/CE du Parlement européen et du Conseil du 16 février 1998 concernant la mise sur le marché des produits biocides, qui interdit l’utilisation de l’imidaclopride, de l’abamectine ou de l’avermectine et d’autres composés chimiques, manifestement nocifs pour la santé, sauf dans les serres fermées (en raison de leur volatilité et de leur évaporation). Selon le brevet (CN107581193A. 2016), le “paichongding” est un insecticide composé de chloropyridine, de pyridine et “d’hexahydro imidazoles” ou “Imidazole”, qui est précisément l’un des composants de l'”imidaclopride”, comme on peut le déduire de la fiche d’information sur les substances dangereuses de l’Organisation internationale du travail OIT. Certains brevets concernant l’oxyde de graphène avec l’avermectine, le paichongding, sont énumérés à l’annexe 1 de cette entrée. Pour plus d’informations, consultez le catalogue des brevets sur les engrais et les produits phytosanitaires contenant de l’oxyde de graphène. 

Si l’on revient à l’analyse de (Peterson, E.M. ; Green, F.B. ; Smith, P.N. 2020), on constate que «de nombreux parcs d’engraissement établis au cours des 50 dernières années se trouvent dans des zones qui reçoivent relativement peu de précipitations, comme les hautes plaines. Ces régions (plaines des États-Unis, Mexique, Amérique du Sud et nord de l’Australie) sont sujettes à la sécheresse, ce qui aggrave la production de particules et les émissions de pesticides des parcs d’engraissement….. Par conséquent, la dissémination aérienne d’insecticides dans l’environnement local, via les PM (microparticules), est susceptible de se produire dans les parcs d’engraissement du monde entier, quelles que soient les conditions climatiques». Ce scénario pourrait correspondre à celui des plaines et des exploitations agricoles et d’élevage d’Espagne, surtout en période estivale, lorsque les conditions d’humidité et de température sont idéales pour l’évaporation et le soulèvement des particules en suspension.

Il est très instructif de trouver des articles sur les techniques d’immobilisation des engrais visant à éviter les pertes par volatilisation, qui incluent l’oxyde de graphène GO. Dans les travaux de (ul-Islam, S. ; Nisar, S. ; Kmail, A. ; Umar, A. 2018), il est montré que le graphène est utilisé de manière intensive sur les terres agricoles pour fixer tous les types d’engrais (urée et azote) qui se caractérisent par une volatilisation d’environ 40% après 24 heures. D’autres travaux partagent l’analyse du problème (Yuan, W. ; Shen, Y. ; Ma, F. ; Du, C. 2018) en indiquant que les pertes sont dues à trois facteurs «a) la volatilisation sous forme d’ammoniac contribuant à l’effet de serre ; b) le lessivage sous forme de nitrates conduisant à l’eutrophisation du plan d’eau ; c) le ruissellement». Les chercheurs ont donc envisagé la création d’un composite d’oxyde de graphène avec un polymère polyacrylate pour éviter ces problèmes. Comme on le sait, la capacité d’adsorption de l’oxyde de graphène permet la libération contrôlée d’engrais, mais on sait aussi que le rayonnement ultraviolet désintègre la structure moléculaire de l’oxyde de graphène, créant ainsi des points quantiques, ce qui provoque la libération des produits chimiques adsorbés, facilitant ainsi leur évaporation et leur volatilisation et la formation de nuages de particules en suspension par lévitation. Il est intéressant de noter qu’aucune de ces études ne s’est penchée sur ce qui se passe une fois que la totalité de la charge d’engrais est libérée lorsque la lumière frappe l’oxyde de graphène. 

Selon (Yanagi, R. ; Takemoto, R. ; Ono, K. ; Ueno, T. 2021) l’oxyde de graphène peut être lévité par la chaleur induite par la lumière du soleil. Cela est particulièrement vrai lorsque le graphène est très poreux, car sa densité est inférieure à celle de l’air. La porosité est une propriété clé des aérogels et des engrais à base d’oxyde de graphène et des composés phytosanitaires afin d’augmenter leur capacité d’adsorption et de libération contrôlée.

Fig.4. Schéma de la lévitation d’un aérogel de nanotube de carbone CNT (nanotube d’oxyde de graphène). (Yanagi, R. ; Takemoto, R. ; Ono, K. ; Ueno, T. 2021)

Cette recherche a conclu que «l’aérogel fabriqué pour l’expérience pouvait être chauffé instantanément à l’aide d’une lampe halogène en raison de sa grande propriété d’absorption de la lumière et de sa faible capacité thermique. Lorsqu’il est chauffé, il est mis en lévitation par la poussée de l’air environnant, et le comportement de lévitation peut être contrôlé par le cycle marche/arrêt de la source lumineuse. Des recherches sur la lévitation des aérogels de NTC (nanotube de carbone, oxyde de graphène de forme cylindrique-tubulaire) à l’aide de la lumière du soleil sont en cours.» L’aérogel de nanotubes de carbone CNT a été testé avec des densités comprises entre 0,25 et 1mg/cm-3, obtenant une lévitation instantanée avec un taux de chauffage de 17°C/s. Cet effet a été remarqué par (Zhang, T. ; Chang, H. ; Wu, Y. ; Xiao, P. ; Yi, N. ; Lu, Y. ; Chen, Y. 2015) dans leur travail sur la propulsion macroscopique avec la lumière directe sur le graphène en vrac. Il a été constaté que «des macro-objets à base de graphène pourraient être propulsés directement par un laser de niveau watt, et même par la lumière du soleil, jusqu’à une échelle inférieure à un mètre… la propulsion pourrait être encore améliorée en augmentant l’intensité de la lumière et/ou en améliorant la zone d’illumination».

Effets d’ionisation sur le graphène

Les effets de l’ionisation sur le graphène sont complexes, car elle provoque l’effet inverse de l’adsorption, c’est-à-dire la désorption des ions et la génération d’espèces ionisées (radicaux libres). Selon (Kim, Y.K. ; Na, H.K. ; Kwack, S.J. ; Ryoo, S.R. ; Lee, Y. ; Hong, S. ; Min, D.H. 2011), lorsqu’un laser ionisant est appliqué à de l’oxyde de graphène, celui-ci se transforme en oxyde de graphène réduit rGO, pour finalement former des nanotubes de carbone/graphène multiparois, connus sous le nom de MWCNT.

Fig.5. Effets d’ionisation sur l’oxyde de graphène (Kim, Y.K. ; Na, H.K. ; Kwack, S.J. ; Ryoo, S.R. ; Lee, Y. ; Hong, S. ; Min, D.H. 2011).

Cet effet de réduction de la GO a également été observé dans l’étude de (Cutroneo, M. ; Havranek, V. ; Mackova, A. ; Malinsky, P. ; Torrisi, L. ; Lorincik, J. ; Stammers, J. 2019) en affirmant «qu’un microfaisceau d’ions est un moyen efficace de désoxygéner les feuilles d’oxyde de graphite et de produire un oxyde de graphène réduit pour améliorer la teneur relative en carbone (rapport C/O, carbone/oxygène) afin d’augmenter la conductivité électrique». Cela fournit une preuve importante que l’oxyde de graphène réduit augmente la conductivité électrique, de sorte que sa présence dans les nuages chimiques ou hybrides avec la vapeur d’eau et d’autres polluants peut augmenter l’activité électrique de l’atmosphère. 

Pour compléter le tableau, il est essentiel de citer les travaux de (Wang, Z., Yu, C., Huang, H., Guo, W., Yu, J. et Qiu, J. 2021), qui offrent une vision globale de l’impact des micro-ondes sur la chimie du carbone, notamment à l’échelle nanométrique. Il indique que «les micro-ondes sont des ondes électromagnétiques qui présentent une variation sinusoïdale des champs électriques et magnétiques. La fréquence des micro-ondes est comprise entre 300 MHz et 300 GHz, la fréquence de 2,45 GHz étant la plus fréquemment utilisée». La chaleur conduite par le rayonnement électromagnétique provoque la polarisation et l’excitation des matériaux en carbone, augmentant leur température, ce qui entraîne des effets de désorption, d’exfoliation, de réduction, de dopage, mais surtout «en raison de la forte interaction entre les électrons qui se déplacent presque librement et le champ électrique, l’énergie cinétique de ces électrons augmente et leur permet de sauter rapidement hors de la zone conjuguée à la surface du carbone, ce qui entraîne l’ionisation des espèces gazeuses. avec une émission évidente de lumière dans un temps et un espace limités. Ce phénomène est perçu comme des plasmas d’arc ou de décharge. Et une génération intensive de ces espèces/plasmas ionisés peut avoir un grand potentiel pour les réactions par micro-ondes concernées, en raison des caractéristiques des dimensions à l’échelle microscopique et d’une densité d’énergie élevée unique».

Fig.6. La chimie du carbone avec les micro-ondes. (Wang, Z., Yu, C., Huang, H., Guo, W., Yu, J. et Qiu, J. 2021)

Opinions

Il est démontré que le graphène pourrait former des nuages chimiques avec d’autres composants (présents dans les engrais, les pesticides, etc.), s’il présente une densité appropriée, un degré élevé de porosité et se trouve dans une solution liquide, susceptible de s’évaporer. Il peut également être emporté par les courants d’air chaud et former des nuages de poussière chimique, avec d’autres matériaux. Sur la base des faits scientifiques, la présence de graphène dans les nuages est hautement probable en raison d’un processus de chauffage et d’évaporation, en particulier en été dans les climats secs.

Si l’on considère qu’il existe des nuages chimiques dans lesquels il peut y avoir une concentration de graphène ou d’oxyde de graphène, non encore quantifiée (en l’absence d’études complémentaires), il est très probable qu’ils auront un impact sur une augmentation de l’activité électrique. Ceci, ajouté à l’effet des ondes électromagnétiques (micro-ondes) et à l’effet multiplicateur et d’absorption électromagnétique de l’oxyde de graphène, conduit à l’ionisation des nuages chimiques, générant un effet de désorption, qui provoque la pluie ou la précipitation dans l’air d’eau, d’engrais, de pesticides, de produits phytosanitaires ou de composés chimiques nucléés en phase aérosol. Il est également affirmé que l’ionisation du graphène génère la libération de radicaux libres et d’espèces ionisées qui pourraient être à l’origine des valeurs de rayonnement exceptionnellement élevées. De toute évidence, les impulsions de rayonnement ionisant semblent être en dehors du schéma naturel du phénomène. Toutefois, il est possible que les impulsions électromagnétiques des radars d’observation météorologiques, militaires et de contrôle du trafic aérien provoquent un effet de rebond sur les particules d’oxyde de graphène magnétisé (et vraisemblablement de magnétite Fe3O4), générant inévitablement une impulsion de rayonnement ionisant. C’est pourquoi il est essentiel d’observer et de mener des recherches sur les aérosols atmosphériques dans toute la péninsule ibérique, ainsi que sur la localisation des impulsions de rayonnement, afin de s’assurer de leur origine et d’écarter d’autres hypothèses. 

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Oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol

Référence. 

“Evaporation-induced crumpling of graphene oxide nanosheets in aerosolized droplets: confinement force relationship”. Journal of Physical Chemistry, 3(21), pp. 3228-3233. [388]

Faits

L’introduction de l’article fait allusion à l’intérêt de la communauté scientifique pour les nanoplaquettes de graphène 2D en vue de leur application dans l’encapsulation des médicaments, avec la nécessité de développer des méthodes pour tirer le meilleur parti de leurs propriétés. Parmi les défis à relever, on trouve le suivant : «Les difficultés liées à l’utilisation de ces nanoplaquettes en 2D sont liées à leur production de masse. Un problème particulier est la tendance à l’agrégation (ré-empilage) en raison de la forte adhésion entre les feuilles». Ce problème est en partie résolu par la technique décrite dans l’article.

Les auteurs cherchent une solution au «problème du reconditionnement des nano-feuilles d’oxyde de graphène (GO) lors de la production à grande échelle : convertir les nano-feuilles bidimensionnelles (2D) en boules tridimensionnelles (3D) froissées qui présentent d’excellentes propriétés de compression».

On en conclut que plusieurs facteurs permettent d’atteindre l’objectif de reconditionnement de l’oxyde de graphène, comme la vitesse d’évaporation et la concentration du précurseur.

Il est démontré que l’évaporation de nano-feuilles d’oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol peut être réalisée. En fait, il est mentionné dans les termes suivants : «la suspension aqueuse de GO a été atomisée en fines gouttelettes. Les particules de GO froissées ont été formées par compression capillaire en raison de l’évaporation rapide des gouttelettes d’aérosol».

Dans l’explication des expériences réalisées, il est expliqué qu’une suspension aqueuse a été préparée comme précurseur pour la synthèse de particules de GO ridées. Ensuite, “le précurseur a été atomisé en gouttelettes de taille micrométrique (2 à 4 μm) à l’aide d’un nébuliseur à six jets Collison (BGI Incorporated), et l’aérosol a été acheminé via de l’azote gazeux vers un réacteur d’alumine maintenu à des températures prédéterminées pour être chauffé pendant plusieurs secondes”. Deux détails importants sont à retenir de ce texte, tout d’abord, il est fait mention d’un instrument appelé “nébuliseur de Collison”, voir figure 1. Ensuite, la taille des gouttelettes d’aérosol varie de 2 à 4 micromètres. 

Fig.1. Nébuliseur de Collison et ses composants

La procédure de nébulisation, détaillée dans la figure 2, est également indiquée.

Fig.2 : Procédure de nébulisation

Le résultat de ce processus de pliage et de brumisation a pu être photographié, obtenant les images suivantes de la figure 3.

Fig.2 : Procédure de nébulisation

Fig.3. Partículas de GO arrugadas en función del pH

Si l’on compare l’image de la figure 3 avec les résultats obtenus par (Campra, P. 2021), on ne peut nier l’évidente similitude de l’oxyde de graphène et de la configuration potentielle pour la diffusion, voir la figure 4 pour l’un des échantillons de leur étude.

Fig.4 Echantillon RD1 obtenu par Campra et comparaison avec la littérature scientifique.

Opinions

La publication mentionnée ci-dessus est une preuve irréfutable des efforts déployés pour rendre l’oxyde de graphène diffusable par aérosol. La taille des gouttelettes est suffisamment petite (2-4 micromètres) pour pouvoir pénétrer dans n’importe quel masque (Sharma, S. ; Pinto, R. ; Saha, A. ; Chaudhuri, S. ; Basu, S. 2021). 

Le timing de la recherche, qui remonte à 2012, est très frappant, reflétant l’intérêt de développer des méthodes qui facilitent la diffusion, le repli et, surtout, la production de masse du matériel. 

L’oxyde de graphène “GO” peut être préparé sous forme d’aérosol et disséminé par tout vecteur avec des nébuliseurs adaptés, de sorte que n’importe qui pourrait l’inhaler. L’article reconnaît les applications potentielles en biomédecine pour l’administration de médicaments par inhalation, étant donné la capacité de transport du GO, une propriété démontrée dans le brevet CN112220919A discuté dans un article précédent. 

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L’oxyde de graphène dans les combustibles des avions

Référence. “Application of Graphene Oxide in Jet A-1 in Air to Enhance Combustion Process” à savoir “Application de l’oxyde de graphène dans le jet A-1 à l’air pour améliorer le processus de combustion”. 2018. [229]

Introduction

Depuis l’article sur la capacité d’adsorption et d’absorption du CO2 et plus particulièrement le détail de la présence d’oxyde de graphène dans les aérosols de l’atmosphère suite à la combustion incomplète des avions à réaction (Pöschl, U. 2005), la recherche s’est ouverte dans le domaine des carburants d’aviation. En effet, la présence d’oxyde de graphène dans les aérosols de l’atmosphère ne peut être due qu’au vecteur aérien, soit par contamination par les carburants des moteurs à réaction, soit par l’effet direct ou la pratique de pulvérisations intentionnelles à haute altitude. Il faut considérer que la pulvérisation à très basse altitude, effectuée par des avions de pulvérisation pour le traitement des champs agricoles, ne devrait pas influencer les couches supérieures de l’atmosphère, où l’étude de (Pöschl, U. 2005) a été réalisée.

D’autre part, le sujet de l’article analysé “Application de l’oxyde de graphène dans le Jet A-1 à l’air pour améliorer le processus de combustion”, transfère certains concepts qui doivent être clarifiés. Tout d’abord, les types de carburant d’aviation et en particulier le carburant Jet A-1. Le carburant aviation, également connu sous le nom de paraffine, est un dérivé du pétrole doté d’un pouvoir calorifique élevé, d’un pouvoir lubrifiant, facilement injectable dans les turbines des moteurs à réaction et d’un point d’inflammabilité d’environ 38ºC. Les carburants d’aviation sont classés en fonction de leur utilisation civile ou militaire. Le carburant civil se décline en trois variantes, à savoir Jet-A, Jet-A1 et Jet-B. Le carburant Jet-A1 a un point de congélation légèrement inférieur (-47°C) et une légère différence de densité énergétique par rapport au carburant Jet-A. Le carburant Jet-B comprend des additifs qui lui permettent de fonctionner à des températures plus froides, puisque son point de congélation est de -60°C. Dans le domaine militaire, il y a les carburants JP1-10 dont les additifs ont été modifiés dans des versions successives pour améliorer les performances des moteurs, réduire les déchets et faciliter l’entretien ultérieur des turbines. 

Faits

1. L’étude de (Li, J.M. ; Chang, P.H. ; Li, L. ; Teo, C.J. ; Khoo, B.C. ; Duan, H. ; Mai, V.C. 2018) présente clairement l’application de l’oxyde de graphène “GO” en tant qu’additif au carburéacteur Jet-A1, en indiquant «étudier la faisabilité de l’application de nanofeuilles d’oxyde de graphène (GO) au Jet A-1 pour améliorer ses performances de combustion dans l’air, telles que le délai d’allumage par déflagration, la vitesse de la flamme et le flux de réaction induit par le choc».

2. Selon les auteurs,  «les résultats indiquent qu’une durée de vaporisation plus longue du Jet A-1 ou une température de chambre plus élevée donne des particules de GO plus petites et plus densément froissées qui conservent une surface élevée en tant que microcatalyseur potentiel pour améliorer les réactions de combustion». Cela signifie que pendant le processus d’injection du carburant Jet-A1 dans la chambre de combustion du moteur à réaction, il transforme l’oxyde de graphène en particules qui adsorbent mieux le carburant, ce qui augmente la vitesse à laquelle la réaction d’allumage est déclenchée. Ceci est énoncé comme suit :  «l’essai de déflagration initiale des mélanges GO-Jet-A1 démontre que l’ajout de nanoplaquettes de GO accélère la vitesse de combustion linéaire initiale et réduit les délais d’allumage». Les données expérimentales montrent que  «pour un carburant Jet A-1 à 17,9% dans l’air, l’ajout de GO à raison de (2mg/ml) augmente la vitesse de combustion linéaire initiale de 4,52m/sa5,15m/s (13,8%) et réduit les délais d’allumage de 8,195ms à 3,045ms (62,8%)». Détail extraordinaire, le carburant à base d’oxyde de graphène GO-Jet-A1  «possède des propriétés de photoallumage et une énergie d’allumage minimale plus faible». Ceci est très pertinent, car il est plus facile de le faire exploser, même avec une impulsion d’énergie émise par une chambre éclair au xénon, ce qui en fait une ressource appropriée pour le combustible solide pour fusée. En fait, l’étude fait directement référence à ce phénomène comme suit : «la mousse GO imbibée d’éthanol a montré que la mousse GO est capable d’enflammer la vapeur d’éthanol lorsqu’elle est allumée par une lampe flash au xénon».

3. Un autre détail intéressant est la «possible inclusion de GO et/ou de nanoparticules métalliques (par exemple Fe, Au, Pt, Cu…) dans les carburants d’aviation, ce qui ouvrirait une autre voie pour améliorer la transition de la déflagration à la détonation dans un moteur pulsé». Cette déclaration est pertinente car elle signifie que les nanoparticules de Fe3O4 avec oxyde de graphène, déjà mentionnées dans l’article sur l’adsorption du CO2, sont compatibles avec un mélange dans les carburants d’aviation. 

4. Les auteurs concluent que «la densité énergétique et la haute réactivité du GO associées aux nanoparticules métalliques en font des additifs uniques dans les formulations de propergol pour une libération d’énergie nettement plus élevée et plus rapide». En fait, ils ne sont pas les seuls à l’étudier.

Autres études

1. Les travaux de (Askari, S. ; Lotfi, R. ; Rashidi, A.M. ; Koolivand, H. ; Koolivand-Salooki, M. 2016) abordent également l’étude de l’oxyde de graphène sous forme de nanofluide, combiné à la paraffine, afin de déterminer les propriétés rhéologiques, thermophysiques et de conservation de l’énergie. L’expérience a été réalisée en utilisant des nanoparticules d’oxyde de graphène combinées à du Fe3O4, recouvertes d’acide oléique et combinées à de la paraffine. Le nanofluide obtenu a augmenté en viscosité, restant pendant plus de cinq mois sans sédimentation. L’amélioration maximale du transfert de chaleur a été de 66 % avec une augmentation de poids de seulement 0,3 % du combustible. 

2. Les recherches sur les additifs à base de paraffine et d’oxyde de graphène se sont poursuivies dans les travaux de (Askari, S. ; Rashidi, A. ; Koolivand, H. 2019) pour déterminer le comportement d’un carburant combiné à des MWCNT (Multi-Walled Carbon Nanotube) ou nanotubes de carbone multiparois, qui sont essentiellement des nanotubes concentriques d’oxyde de graphène. Parmi les résultats, ils ont observé une amélioration du transfert de chaleur par convection de 40,26 %, confirmant l'”ultra-stabilité” du composite.

Une autre étude liée aux nanotubes de carbone MWCNT est celle de (Khaled, M. 2015), qui se concentre sur leur application à la fonction catalytique d’élimination du thiophène et du dibenzothiophène dans le carburant diesel. Parmi leurs résultats les plus pertinents, ils ont obtenu une élimination de 68,8 % de ces composés. 

3. Les recherches de (Agarwal, D.K. ; Vaidyanathan, A. ; Kumar, S.S. 2016) portent également sur l’utilisation de nanofluides kérosène-graphène. Dans ce cas, l’application du combustible serait dans les moteurs de fusée. En plus de corroborer une amélioration des performances de combustion, une propriété idéale pour ces applications a été trouvée : le “refroidissement régénératif des moteurs de fusées semi-cryogéniques”.

4. Des travaux ont également été réalisés sur les additifs d’oxyde de graphène pour les carburants industriels afin de réduire les émissions d’oxyde de soufre, comme l’explique (Betiha, M.A. ; Rabie, A.M. ; Ahmed, H.S. ; Abdelrahman, A.A. ; El-Shahat, M.F. 2018). Ils déclarent que «le processus de désulfuration oxydative utilisant l’oxyde de graphène a suscité un grand intérêt pour l’élimination du soufre des carburants». Les chercheurs ajoutent que «la combustion de combustibles fossiles contenant des composés soufrés émet certains des oxydes de soufre qui sont considérés comme ayant une influence néfaste sur la santé humaine et le milieu environnant, ainsi que sur l’économie». Cette déclaration est très surprenante, compte tenu des effets nocifs de l’oxyde de graphène, dont les auteurs ne semblent pas avoir conscience. Ils concluent de leur étude que l’oxyde de graphène «GO reste un type de catalyseur idéal pour le carburant pur dans un avenir proche en raison de ses caractéristiques physico-chimiques admissibles».

5. Un autre exemple de combustible aérien est celui de (Dai, Y. ; Nie, G. ; Gong, S. ; Wang, L. ; Pan, L. ; Fang, Y. ; Zou, J.J. 2020) dans lequel on recherche un point de congélation bas, une densité élevée, un pouvoir calorifique élevé et une stabilité thermique de la combustion. Pour cela, ils prennent comme base des biocarburants issus de la biomasse (dérivés de la cellulose) combinés à de l’oxyde de graphène, de manière à améliorer l’émulsification des réactifs ajoutés (cyclopentanol, méthylcyclopentane et acide sulfurique). On a ainsi obtenu un mélange dans un seul réservoir, avec un rendement en carbone de 83,2 % et une efficacité améliorée par rapport au carburéacteur de 97,3 %.

6. Un autre exemple d’oxyde de graphène dans le carburant aviation est proposé par (Feng, M. ; Jiang, X.Z. ; Mao, Q. ; Luo, K.H. ; Hellier, P. 2019) pour améliorer l’oxydation du propergol JP-10 avec des feuilles de graphène fonctionnalisées. Le JP-10 est un carburant utilisé dans les missiles, les moteurs à réaction militaires, les statoréacteurs et les scramjets. Ses caractéristiques sont une densité énergétique élevée, une densité thermique, une stabilité thermique et un faible point de congélation. Les chercheurs corroborent que «les nanoplaquettes de graphène ont des performances exceptionnelles en produisant une augmentation de plus de 7% de la vitesse de combustion avec seulement 0,1% de charge de particules». Dans la discussion de leurs résultats, ils indiquent que «la pyrolyse et l’oxydation du JP-10 sont toutes deux avancées et améliorées en présence de FGS (feuilles de graphène fonctionnalisées), ce qui conduit à une décomposition plus précoce du JP-10 à une température plus basse et à une vitesse de réaction plus rapide». Ils concluent en déclarant que «cette recherche jette les bases scientifiques de l’utilisation potentielle du FGS comme catalyseur prometteur pour les systèmes de carburant JP-10». Ces affirmations sont également reconnues par l’étude de (Yadav, A.K. ; Nandakumar, K. ; Srivastava, A. ;

7. Du graphène en poudre a également été combiné avec du carburant d’aviation à l’échelle méso (Huang, X. ; Li, S. 2016). La méso-échelle signifie que les tests d’allumage et de combustion ont simulé les conditions atmosphériques. Les résultats et les conclusions comprennent que le graphène nanométrique dans le carburant reste stable plus longtemps que dans la taille micrométrique, par conséquent, la plus petite taille tend à améliorer le mélange. En outre, «un film de carburéacteur liquide contenant des poudres de graphène peut être enflammé par induction avec un court délai». Il est également noté que “la combustion du graphène est antérieure à l’allumage du carburant vaporisé dans les jets” et un détail important «le graphène sert de point de nucléation pour accélérer la vaporisation du carburant des jets» étant donné sa capacité d’adsorption, déjà abordée dans la capture du CO2 et la nucléation des cristaux de glace.  

Opinions

1. L’utilisation d’oxyde de graphène dans les carburants pour l’aviation pourrait expliquer la présence d’oxyde de graphène dans l’atmosphère, en même temps que la suie résultant d’une pyrolyse incomplète dans les moteurs à réaction des avions, comme l’a observé (Pöschl, U. 2005). En fait, toutes les études scientifiques consultées s’accordent sur l’amélioration des performances et des qualités du carburant aviation lors de l’ajout d’additifs et de dérivés d’oxyde de graphène. Par conséquent, on peut affirmer que le résultat de la combustion ou de la pyrolyse du carburant d’aviation peut générer des traces d’oxyde de graphène (en plus de la suie) sous la forme de chemtrails avec la vapeur d’eau obtenue par la condensation des gaz d’échappement des turbines des avions à réaction à partir de certaines altitudes de la troposphère où la température est inférieure au point de congélation. Comme expliqué dans l’article sur la nucléation des cristaux de glace dans les nanoparticules d’oxyde de graphène, il n’est pas inconcevable que l’oxyde de graphène, dans des conditions de température et d’humidité telles que celles rencontrées à l’altitude de vol des avions commerciaux, provoque la génération de nuages, ce qui expliquerait l’ensemencement des nuages et un effet de modification du temps ou de géo-ingénierie. Cela expliquerait également la présence d’oxyde de graphène dans les gouttelettes d’eau, comme cela a été signalé. Cela confirmerait l’existence de chemtrails résultant des résidus de la combustion de paraffine et d’oxyde de graphène dans les moteurs à réaction des avions (civils/militaires) et serait la preuve d’une pollution atmosphérique. 

2. D’autre part, la fréquence élevée d’apparition de l’oxyde de graphène GO, combiné à Fe3O4, a été observée. Outre les applications déjà connues (adsorption du CO2, vaccins ADN anticancéreux, biocides-fertilisants à usage agricole, absorption des ondes électromagnétiques 5G, etc.), il existe désormais une application dans les carburants d’aviation. Cela signifie que GO/Fe3O4 ou Fe3O4/GO pourrait être le composé universel à l’origine de tous les problèmes liés aux c0r0n@v|rus. 

Vaccins ADN anticancéreux (Shah, M.A.A. ; He, N. ; Li, Z. ; Ali, Z. ; Zhang, L. 2014)

Biocides et engrais (Zhang, M. ; Gao, B. ; Chen, J. ; Li, Y. ; Creamer, A.E. ; Chen, H. 2014)

Absorption des ondes électromagnétiques 5G (Ma, E. ; Li, J. ; Zhao, N. ; Liu, E. ; He, C. ; Shi, C. 2013)

Vaccins avec reformulations génétiques CRISPR (bbott, T.R. ; Dhamdhere, G. ; Liu, Y. ; Lin, X. ; Goudy, L. ; Zeng, L. ; Qi, L.S. 2020)

Les dommages causés par le graphène au corps humain, voir la littérature et les articles de blog.

3. Enfin, il reste à déterminer dans quelle mesure la pulvérisation directe d’oxyde de graphène serait réalisable afin de réduire le CO2 et de contribuer à la lutte contre le changement climatique. Ce point sera abordé dans le prochain billet.

Bibliographie

Les urls afférentes à cet article peuvent être consultées sur le blog de Mik Andersen. [227]

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Injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère : géo-ingénierie solaire et rôle des aérogels

Référence. 

“Diamond-doped silica aerogel for solar geoengineering”. Août 2021.  [384]

Comme le précise Mik Andersen, dans cet essai d’août 2021: Il semble y avoir un lien entre la gestion de la pandémie COVID-19 et les urgences climatiques. La géo-ingénierie solaire sera-t-elle la prochaine pandémie à l’ordre du jour mondial ?

Introduction

Après avoir analysé la capacité d’adsorption du CO2 de l’oxyde de graphène, ses implications pour la nucléation de la glace dans l’atmosphère et sa dispersion plus que probable dans les gaz d’échappement des avions, il est clair que les effets de condensation provoqués par les turbines à réaction génèrent de la vapeur d’eau, un ensemencement des nuages et plus que probablement une contamination par des résidus de suie et d’oxyde de graphène, ce qui expliquerait la présence d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie. Les recherches se poursuivent pour découvrir le lien entre l’oxyde de graphène et l’injection d’aérosols dans l’atmosphère. Sachant que l’oxyde de graphène “GO” a des propriétés d’adsorption du CO2, il semblerait logique de le disséminer dans l’atmosphère pour faire face à sa réduction et en même temps générer des nuages avec lesquels provoquer un refroidissement de la température et par la suite des précipitations et l’obtention de ressources en eau. En bref, il s’agit du contrôle du climat, ou géo-ingénierie climatique. Pour cette raison, une recherche de la littérature scientifique sur les techniques de géo-ingénierie utilisant le graphène “G” ou l’oxyde de graphène “GO” a été lancée. 

Une recherche générale sur le web conduit à une nouvelle très frappante, passée inaperçue depuis plusieurs années. Il s’agit du projet “hypothétique” de géo-ingénierie pour lutter contre le changement climatique (Berardelli, J. 2018). Plus précisément, il fait écho à l’article scientifique de (Smith, W. ; Wagner, G. 2018) qui propose «Une flotte de 100 avions effectuant 4 000 missions autour du monde par an pourrait aider à sauver le monde du changement climatique….. Avions pulvérisant de minuscules particules de sulfate dans la basse stratosphère à environ 60 000 pieds. L’idée est de contribuer à protéger la Terre d’une quantité suffisante de lumière solaire pour aider à maintenir les températures à un niveau bas. L’étude des coûts est l’un des objectifs de l’article, qui précise d’ailleurs que “les chercheurs ont examiné dans quelle mesure il serait pratique et coûteux de lancer un hypothétique projet de géo-ingénierie solaire dans 15 ans». C’est à ce moment-là que l’on utilise le terme de “géo-ingénierie solaire”, qui est une intervention climatique par le biais de la libération de nanoparticules dans l’atmosphère pour réduire l’incidence du rayonnement solaire, en évitant l’effet de réfraction solaire, cité par le projet SCoPEX financé par Bill Gates (Figueroa, A. 2021 | Neslen, A. 2017). C’est un paradoxe, car le rejet de nanoparticules dans l’atmosphère pour lutter contre le réchauffement climatique, en plus d’être une intervention directe dans les processus climatiques naturels, peut entraîner des effets secondaires imprévisibles. En fait, (Moreno-Cruz, J.B. ; Keith, D.W. 2013) affirment que «l’incertitude concernant le SRM (Solar Radiation Management) est élevée et les décideurs doivent décider s’ils doivent ou non s’engager dans des recherches qui peuvent réduire cette incertitude». En d’autres termes, les chercheurs ne connaissent pas les effets de la géo-ingénierie solaire, mais ils soulignent qu’il s’agit d’une solution rapide et bon marché pour compenser le changement climatique, comme le laissent entendre les mots suivants : «La gestion du rayonnement solaire (SRM) présente deux caractéristiques qui la rendent utile pour gérer le risque climatique : elle est rapide et bon marché….. Nous introduisons le SRM dans un modèle économique simple du changement climatique conçu pour explorer l’interaction entre l’incertitude de la réponse du climat au CO2 et les risques du SRM face à l’inertie du cycle du carbone…» et nous terminons par la conclusion suivante «Le SRM est précieux pour gérer le risque climatique, non pas en raison de son faible coût, mais parce qu’il peut être mis en œuvre rapidement si nous constatons que les impacts climatiques sont élevés, une urgence climatique». Cela suggère que les chercheurs proposent des recherches et des tests de géo-ingénierie solaire en dépit de l’ignorance des effets néfastes qu’ils peuvent provoquer, en se basant sur des estimations de coûts/avantages, sans preuve scientifique. Curieusement, sept ans plus tard, certains problèmes commencent à être découverts, comme la possibilité que «la géo-ingénierie solaire provoque un refroidissement excessif» (Abatayo, A.L. ; Bosetti, V. ; Casari, M. ; Ghidoni, R. ; Tavoni, M. 2020), de sorte que l’utilisation de cette technologie, selon les auteurs, «permet aux pays d’influencer unilatéralement la température mondiale. La géo-ingénierie solaire pourrait déclencher des interventions conflictuelles de la part de pays qui préfèrent des températures différentes ; la théorie économique suggère que les pays qui souhaitent un climat plus frais l’imposent aux autres. D’autres pays pourraient réagir par des interventions de contre-ingénierie». Il est intéressant de noter que de nombreux auteurs considèrent comme acquise la possibilité de déduire le climat par le biais de la géo-ingénierie solaire et déplacent le débat vers le domaine géopolitique, la “gouvernance mondiale”, voir (McLaren, D. Corry, O. 2021 | Reynolds, J.L. 2019 | Jinnah, S. ; Nicholson, S. ; Flegal, J. 2018 | Bunn, M. 2019 | Lloyd, I.D. ; Oppenheimer, M. 2014).

Faits

Les chercheurs (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021) supposent dans leur résumé que l’injection d’aérosols dans la stratosphère est développée pour réduire l’incidence du rayonnement solaire. À cet égard, on utilise des aérosols sulfatés, qui présentent l’inconvénient de dégrader la couche d’ozone et d’agir comme des sources d’absorption du rayonnement infrarouge IR. Cette affirmation est la suivante : «Bien que l’injection d’aérosols dans la stratosphère soit l’une des techniques de géo-ingénierie solaire les plus prometteuses, les aérosols sulfatés, qui sont suggérés pour une telle application, présentent des inconvénients importants tels que l’absorption des IR et la dégradation de l’ozone. Il est nécessaire de mettre au point de nouveaux matériaux pour une telle application qui présentent une diffusion ascendante importante, avec une absorption non IR pour permettre un effet de refroidissement». Cette explication suppose également que la géo-ingénierie solaire a également pour objectif de réduire la température ou de produire un effet de refroidissement, de sorte que cette méthodologie s’inscrit clairement dans le contexte de la lutte contre le changement climatique.

Fig.1. Schéma de géo-ingénierie pour réfléchir le rayonnement solaire avec un aérogel de silice, substituable par un aérogel d’oxyde de graphène (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021).

Le composé qu’ils proposent pour les projets d’injection d’aérosols est l’aérogel de silice hautement poreux (une propriété qu’il partage également avec l’oxyde de graphène, voir l’entrée sur l’adsorption et l’absorption du CO2), qui lui permet d’accueillir des nanoparticules de diamant. Cela confère au matériau une capacité de réflexion diffuse, pour réduire ou réfléchir le rayonnement solaire. En outre, les auteurs reconnaissent que d’autres aérogels pourraient être utilisés pour de tels effets, notamment les aérogels de graphène. Cette affirmation est formulée comme suit : «Des structures composées d’aérogels de silice avec différentes nanostructures de carbone sous forme de nanotubes, de nanofibres et de graphène ont également été développées (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018). En outre, les aérosols PM2,5 (particules inférieures à 2,5 μm) sont considérés comme nocifs pour l’homme lors de la respiration. Toutefois, il est suggéré que les particules d’aérosol se situent dans une fourchette de taille de ~ 0,1-1 μm afin de minimiser les risques pour la santé.» Ceci est très intéressant, puisque les auteurs sont conscients des risques pour la santé et recommandent néanmoins une taille de l’ordre de 0,1-1 μm, qui est en fait facilement inhalée et dépasse la barrière de tout masque (Sharma, S. ; Pinto, R. ; Saha, A. ; Chaudhuri, S. ; Basu, S. 2021). 

L’utilisation de l’oxyde de graphène comme élément constitutif de l’aérogel de silice mérite d’être explorée plus en détail. Les auteurs citent l’article de (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018) qui traite d’autres nanomatériaux dérivés du carbone possibles, notamment «les nanotubes de carbone, les nanofibres de carbone, le graphène et les aérogels de carbone». Le rapport de plus de 70 pages comporte une section traitant spécifiquement du graphène et de l’aérogel d’oxyde de graphène, indiquant que «l’utilisation de l’oxyde de graphène (GO) est justifiée par le fait que, contrairement au graphène de surface nu, il possède un grand nombre de groupes contenant de l’oxygène (groupes époxyde et hydroxyle, par exemple), qui améliorent la solubilité du graphène dans les solvants et l’interaction avec le réseau de silice». Cela signifie que l’oxyde de graphène est un matériau approprié pour la production d’aérogel pour la géo-ingénierie solaire. En effet (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018), dans leurs conclusions indiquent que «Bien que les aérogels de silice aient des propriétés exceptionnelles, telles qu’une faible densité apparente et conductivité thermique, et une surface spécifique élevée, un effort a été fait au cours de la dernière décennie pour obtenir des matériaux avec des caractéristiques distinctives par rapport aux aérogels de silice natifs. Plusieurs stratégies de modification des aérogels ont déjà été étudiées, l’ajout de particules, de polymères ou de fibres étant quelques-uns des additifs possibles pour fournir et/ou améliorer différentes propriétés des aérogels de silice. Comme indiqué dans cette revue, une nouvelle approche a été développée pour la modification de ces aérogels par l’insertion de nanostructures de carbone, comme les nanotubes de carbone, les nanofibres de carbone, le graphène et les aérogels de carbone». Cela prouve que l’oxyde de graphène peut être utilisé pour injecter des aérosols dans l’atmosphère à des fins de géo-ingénierie solaire. Cette affirmation est également partagée par (Qu, Z.B. ; Feng, W.J. ; Wang, Y. ; Romanenko, F. ; Kotov, N.A. 2020) lorsqu’on considère que les nanoplaquettes de graphène, nommées par les auteurs “GQD” (Graphene Quantum Dots), peuvent être utilisées dans la géoingénierie solaire. Cela est probablement dû aussi aux propriétés de réflexion optique de l’oxyde de graphène dans les cristaux photoniques de silice (Lee, C.H. ; Yu, J. ; Wang, Y. ; Tang, A.Y.L. ; Kan, C.W. ; Xin, J.H. 2018), selon le matériau aérogel auquel ils se réfèrent (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021).

Aérogels d’oxyde de graphène et de Fe3O4

Avant d’entamer cette partie de l’analyse, il convient de rappeler que l’oxyde de fer Fe3O4, également connu sous le nom de magnétite, est l’un des matériaux les plus fréquemment associés à l’oxyde de graphène, compte tenu de sa polyvalence d’utilisation. Par exemple, ses propriétés d’absorption électromagnétique (Ma, E. ; Li, J. ; Zhao, N. ; Liu, E. ; He, C. ; Shi, C. 2013) ; les nanoparticules superparamagnétiques d’oxyde de graphène-Fe3O4 pour l’administration de médicaments et de biocides, d’engrais et de pesticides (Yang, X. ; Zhang, X. ; Ma, Y. ; Huang, Y. ; Wang, Y. ; Chen, Y. 2009 | CN112079672A. 2020) ; l’administration de vaccins à ADN pour les traitements expérimentaux du cancer et les thérapies géniques (Shah, M.A.A. ; He, N. ; Li, Z. ; Ali, Z. ; Zhang, L. 2014 | Hoseini-Ghahfarokhi, M. ; Mirkiani, S. ; Mozaffari, N. ; Sadatlu, M.A.A. ; Ghasemi, A. ; Abbaspour, S. ; Karimi, M. 2020) ; autres traitements du cancer basés sur les thérapies à base de platine (Yang, Y.F. ; Meng, F.Y. ; Li, X.H. ; Wu, N.N. ; Deng, Y.H. ; Wei, L.Y. ; Zeng, X.P. 2019) ; thérapies du cancer basées sur les nanoparticules magnétiques (Zhang, H. ; Liu, X. L. ; Zhang, Y.F. ; Gao, F. ; Li, G.L. ; He, Y. ; Fan, H.M. 2018) ; Extraction d’ibuprofène, de phénol, de bisphénol A, de méthyl-parabène et de propyl-parabène du sang (Yuvali, D. ; Narin, I. ; Soylak, M. ; Yilmaz, E. 2020 | Abdolmohammad-Zadeh, H. ; Zamani, A. ; Shamsi, Z. 2020) ; la neuromodulation et les traitements des maladies neurodégénératives et des troubles psychiatriques (Owonubi, S.J. ; Aderibigbe, B.A. ; Fasiku, V.O. ; Mukwevho, E. ; Sadiku, E.R. 2019) et bien d’autres qui peuvent être trouvés dans la littérature scientifique, voir “Fe3O4-oxyde de graphène” ou “oxyde de graphène”, “Fe3O4”.

Les nanocomposites magnétiques de Fe3O4 avec de l’oxyde de graphène GO sont connus au moins depuis 2010, lorsqu’ils ont été cités comme un biomarqueur possible pour la détection du cancer (Swami, M. 2010). Sa méthode de préparation a été présentée dans l’article de (Cao, L.L. ; Yin, S.M. ; Liang, Y.B. ; Zhu, J.M. ; Fang, C. ; Chen, Z.C. 2015), découvrant ses propriétés magnétiques, sa capacité à générer des champs magnétiques, son potentiel zêta et sa capacité à franchir la barrière hémato-encéphalique. Outre une grande stabilité sur une large gamme de pH, ils indiquent également la possibilité de séparer le Fe3O4 de l’oxyde de graphène en appliquant un champ magnétique externe. Ces propriétés pourraient expliquer le phénomène magnétique des vaccins c0r0n@v|rus vraisemblablement composés d’oxyde de graphène et de magnétite, voir l’étude de (Campra, P. 2021). 

Pour approfondir le sujet des aérogels, il convient tout d’abord de définir le concept. Un aérogel est un matériau ultraléger/poreux à base de gel, dont les propriétés l’empêchent de s’effondrer, et dont la densité est légèrement supérieure à celle de l’air. Deuxièmement, on peut affirmer qu’il existe des aérogels d’oxyde de graphène et de Fe3O4, comme le mentionne l’étude de (Kopuklu, B.B. ; Tasdemir, A. ; Gursel, S.A. ; Yurum, A. 2021). Dans ce cas, la recherche adapte son utilisation pour le développement de batteries aux performances supérieures à la technologie lithium-ion. Des aérogels d’oxyde de graphène et de magnétite Fe3O4, sont également développés en tant qu’actionneurs magnétiques, par revêtement avec de la polydopamine (Scheibe, B. ; Mrówczyński, R. ; Michalak, N. ; Załęski, K. ; Matczak, M. ; Kempiński, M. ; Stobiecki, F. 2018). La polydopamine, également appelée PDA, est un polymère obtenu par oxydation de la dopamine, couramment utilisé dans “diverses applications en biologie, biomédecine, membranes, catalyse, matériaux et purification de l’eau”, selon (Liebscher, J. 2019). Ce détail est très intéressant car il ne s’agit pas seulement d’un composé chimique, mais aussi d’un neurotransmetteur fondamental pour le bon fonctionnement du cerveau humain et en particulier du système nerveux central, du système de récompense (désir, plaisir, conditionnement), de la dépendance et de la socialisation. Il faut rappeler que l’absence de dopamine peut provoquer des maladies et des troubles psychiatriques, comme la dépression (Moghaddam, B. 2002) et même des troubles neurodégénératifs (David, R. ; Koulibaly, M. ; Benoit, M. ; Garcia, R. ; Caci, H. ; Darcourt, J. ; Robert, P. 2008). 

Opinions

Il est démontré que l’injection d’aérosols/aérogels d’oxyde de graphène dans l’atmosphère à des fins de géo-ingénierie solaire et climatique est possible. Comme l’expriment les chercheurs dans l’article (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021), l’injection d’aérosols est développée et expérimentée depuis des années, comme le démontre (Cao, L. 2019 | Zhao, L. ; Yang, Y. ; Cheng, W. ; Ji, D. ; Moore, J. C. 2017 | Dykema, J.A. ; Keith, D.W. ; Anderson, J.G. ; Weisenstein, D. 2014 | Keith, D. ; Dykema, J.A. ; Keutsch, F.N. 2017). Avec tous ces éléments, on peut affirmer que le phénomène des chemtrails existe et peut effectivement être assimilé à des projets de géo-ingénierie solaire et climatique. Selon les informations scientifiques analysées, la libération dans l’atmosphère d’oxyde de graphène ou de ses dérivés sous forme d’aérosols est dangereuse car : a) elle est une source de pollution qui affecte l’atmosphère, la terre, les océans et les mers, l’agriculture, les aliments, les sources d’eau, les animaux et les personnes qui finissent par respirer l’air pollué. b) provoquer des effets néfastes et des dommages qui peuvent être fatals pour la santé des personnes. c) altérer le climat et provoquer des effets de déshydratation dans l’atmosphère, la perte d’ozone (Weisenstein, D.K. ; Keith, D.W. ; Dykema, J.A. 2015), et des effets collatéraux qui n’ont pas encore été publiés, parce qu’ils ne sont pas connus ou ne veulent pas être reconnus au niveau scientifique. 

L’injection d’aérosols dans le cadre du processus de géo-ingénierie solaire pourrait être mise en œuvre à l’échelle mondiale, sans avoir été consultée par la population, sans le débat en bonne et due forme et sans l’analyse scientifique ouverte que mérite une question aussi pertinente que la modification effective du climat. En ce sens (Parker, A. ; Irvine, P.J. 2018) expliquent que si l’expérimentation de la géo-ingénierie solaire avait commencé, il n’y aurait pas moyen de revenir en arrière, car les conséquences de l’interruption entraîneraient des risques plus importants. Dans leur résumé, ils s’expriment ainsi : «Si la géo-ingénierie solaire était mise en œuvre… puis soudainement arrêtée, il y aurait une augmentation rapide et dommageable des températures. Cet effet est souvent appelé “choc de terminaison” et constitue un concept influent». Les auteurs indiquent clairement qu’en fonction de la méthodologie et du modèle de géo-ingénierie solaire, ainsi que du nombre de pays impliqués, les effets du changement climatique peuvent être atténués, notamment les catastrophes climatiques. Cependant, ils n’analysent pas si la géo-ingénierie solaire elle-même peut être la cause de telles catastrophes. D’autres auteurs insistent sur les problèmes climatiques et les disparités qu’elle provoque (Kravitz, B. ; MacMartin, D.G. ; Robock, A. ; Rasch, P.J. ; Ricke, K.L. ; Cole, J.N. ; Yoon, J.H. 2014), affirmant dans leurs conclusions «qu’il existe de nombreux autres effets qui pourraient être intégrés dans les évaluations des disparités régionales de la géo-ingénierie solaire. Il s’agit notamment d’autres effets climatiques, tels que des changements dans l’occurrence d’événements extrêmes….. Toutefois, l’injection d’aérosols sulfatés stratosphériques peut accroître l’appauvrissement de la couche d’ozone et avoir d’autres effets dynamiques, qui pourraient à leur tour affecter les régimes locaux de température et de précipitations, qui diffèrent des effets de la géo-ingénierie de l’ombrage solaire partiel. Nous reconnaissons que la santé des plantes terrestres ne dépend pas seulement des précipitations et des changements de température ; les évaluations futures des changements hydrologiques dus à la géo-ingénierie pourraient également intégrer des changements dans l’évaporation, l’humidité du sol et le ruissellement». 

Après tout ce qui a été expliqué et analysé, il ne semble faire aucun doute que la géo-ingénierie solaire, sa modélisation, son application, ses méthodes de prédiction et de prévision, ainsi que l’injection d’aérosols dans l’atmosphère/stratosphère à des hauteurs qui pourraient varier entre 7 et 18 km, sont en cours d’expérimentation. En fait, selon l’étude de (Horton, J.B. ; Keith, D.W. ; Honegger, M. 2016) sur les implications de l’accord de Paris pour la réduction du CO2 et la géo-ingénierie solaire, «le SRM est un complément à l’atténuation des émissions» et ajoute que «l’analyse du SRM (Solar Radiation Management) remontant à plusieurs décennies a toujours montré qu’il pouvait réduire les températures de surface, ce qui a conduit à une grande incertitude quant à sa capacité à ralentir le changement climatique au niveau régional, et ses effets sur les changements d’autres variables importantes telles que les précipitations, l’élévation du niveau de la mer et les événements extrêmes». Quant aux possibilités de le faire, il indique «qu’il semble que certaines formes de MRS pourraient être mises en œuvre à très faible coût (moins de 0,1 % du PIB mondial) en utilisant les technologies existantes», sans préciser ni clarifier quelles sont ces formes. L’article est particulièrement pertinent pour comprendre le cadre géopolitique de la géo-ingénierie solaire et de l’injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère depuis 2016, un tournant à partir duquel un certain accord (non divulgué) sur l’utilisation des technologies SRM pourrait avoir été atteint. L’utilisation des MRS est connue (au moins expérimentalement) grâce aux articles publiés sur ses effets, voir (Malik, A. ; Nowack, P.J. ; Haigh, J.D. ; Cao, L. ; Atique, L. ; Plancherel, Y. 2019 | Kim, D.H. ; Shin, H.J. ; Chung, I.U. 2020).

Compte tenu des possibilités et des aspects géopolitiques du contrôle du climat, la géo-ingénierie solaire peut être considérée comme une arme, comme le suggère (Bunn, M. 2019). Il semble donc évident que la lutte contre le changement climatique n’est peut-être pas ce qu’elle semble être, mais plutôt une guerre voilée entre blocs politiques, des demi-vérités scientifiques, de la désinformation et de l’opacité pour établir une gouvernance mondiale qui n’est pas élue démocratiquement et dont la légitimité est nulle et non avenue. En fait, le contrôle du climat soulève des questions dérangeantes : qui décide ou impose le climat au monde ? Par quelle éthique veulent-ils changer le climat ? Par quel droit veulent-ils changer le climat ? Avec quelles conséquences, à quel prix, pour quoi faire ? (McLaren, D.P. 2018) sont autant de questions pertinentes qu’il convient de se poser. Jouer avec ce que l’on ne comprend pas peut souvent avoir des conséquences imprévisibles et presque toujours terribles. Enfin, pour compléter la réflexion, il convient de commenter brièvement l’article de (Buck, H. ; Geden, O. ; Sugiyama, M. ; Corry, O. 2020) dans lequel ils présentent la réponse à l’urgence COVID-19 comme un exemple de mise en œuvre de la géo-ingénierie solaire, afin de justifier l’injection d’aérosol stratosphérique. Ce faisant, ils citent cinq leçons à tirer : «a) Des mesures étroites semblent faciles à utiliser, mais peuvent créer de nouveaux problèmes. b) La gouvernance mondiale est fragmentée ou absente. c) Les technologies des médias créent de nouvelles volatilités pour la science et la politique. d) Les politiciens peuvent agir pour le plaisir d’agir, ou pire. e) Gagner du temps seul avec un plan en main». Ces erreurs semblent être celles qu’ils ne s’attendent pas à commettre lors du prochain défi pandémique, ce qui, selon les auteurs, justifie une recherche anticipative, exprimée dans les termes suivants, cités ci-dessous : «COVID-19 a été un test de résistance pour les interactions entre la science, les médias et la politique aux niveaux national et mondial, et a révélé des dynamiques complexes et potentiellement dommageables dans les liens entre ces sphères. La réponse à la pandémie met davantage en évidence la nécessité non seulement d’une gouvernance anticipative, mais aussi d’une recherche anticipative transdisciplinaire avant une urgence réelle». Il semble y avoir un lien entre la gestion de la pandémie COVID-19 et les urgences climatiques. La géo-ingénierie solaire sera-t-elle la prochaine pandémie à l’ordre du jour mondial ?

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L’oxyde de graphène influence la nucléation de la glace dans l’atmosphère

Référence.

Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. (2020). Heterogeneous ice nucleation by graphene nanoparticles. Nucléation hétérogène de la glace par les nanoparticules de graphène. Rapports scientifiques, 10(1), pp. 1-9. [304]

Faits

Cette étude a examiné comment les “nanoparticules de graphène-oxyde de graphène”, appelées “GGON”, peuvent servir de base à la nucléation de la glace. C’est la formation de cristaux de glace. Les chercheurs ont observé que les nanoparticules GGON d’une taille comprise entre 160 et 180 nanomètres favorisaient la formation de cristaux de glace à des températures variables comprises entre -20 et -10 degrés Celsius dans une chambre à brouillard qui simule les conditions de nuages d’aérosols dans l’atmosphère terrestre. 

Fig.1. Microscopie de feuilles de graphène-oxyde de graphène utilisées dans l’étude de (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020).

Selon l’article, «plus de 50 % des précipitations terrestres proviennent de la phase de glace et les particules qui peuvent servir de noyaux de glace (IN) sont essentielles dans la microphysique des nuages et les précipitations. En outre, l’homme tente aujourd’hui de modifier les nuages pour augmenter ses ressources en eau, et dans ce contexte, les aérosols artificiels sont souhaités pour contribuer à la microphysique des nuages dans l’ensemencement des nuages. Par conséquent, les interactions entre les aérosols et les nuages et, par conséquent, leurs effets sur le temps, le climat et le changement climatique font partie des questions environnementales mondiales importantes». Cela confirme que l’ensemencement des nuages et leur modification par les aérosols sont courants pour maximiser les précipitations et ainsi modifier le climat. 

Le processus de formation des cristaux de glace dans l’atmosphère est parfaitement détaillé : «la nucléation de la glace hétérogène nécessite généralement une AP (particule d’aérosol) insoluble pour servir de IN (noyau de glace) qui initie la phase de glace par dépôt direct de vapeur d’eau, par congélation à travers des milieux aqueux et par contact, immersion ou condensation d’AP spécifiques». Dans ce cas, l’élément agissant en tant que particule d’aérosol AP est les nanoparticules de graphène-oxyde de graphène “GGON”.

Fig.2. Formation de cristaux de glace à partir de nanoparticules GGON dans la rangée a). Iodure d’argent “Agl” dans la ligne (b) et poudre de kaolinite dans la ligne (c). (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020)

Les chercheurs soulignent que l’oxyde de graphène sous forme de GGON présente des caractéristiques idéales pour la nucléation de la glace, en raison de ses structures bidimensionnelles et de ses propriétés thermiques et mécaniques, comme l’a démontré leur expérience, avec de meilleurs résultats que d’autres matériaux couramment utilisés pour l’ensemencement des nuages, à savoir “l’iodure d’argent” et “la poudre de kaolinite”. Selon les auteurs, «bien que le graphène G soit hydrophobe, l’oxyde de graphène GO est hydrophile, et l’existence de ces deux propriétés côte à côte fournit un contexte favorable à la nucléation de la glace». Un autre facteur favorisant la nucléation de la glace est l’absence ou la faible quantité de carbone organique dans le matériau, qui influence positivement la cristallisation.

D’autres études confirment les résultats décrits ici. Par exemple (Xue, H. ; Lu, Y. ; Geng, H. ; Dong, B. ; Wu, S. ; Fan, Q. ; Wang, J. 2019) affirme que la densité des “groupes hydroxyle”, également connus sous le nom de HOPG (Highly oriented pyrolytic graphite), y compris le graphène, augmente l’activité de nucléation de la glace. Ils font également des déclarations très pertinentes sur l’importance de la formation de la glace dans l’atmosphère : «la formation de cristaux de glace est cruciale dans la science de l’atmosphère ; par exemple, les cristaux de glace fournissent un support pour l’échange de molécules et de particules atmosphériques dans l’écosystème ; les cristaux de glace agissent également comme un hôte réactif qui affecte la concentration d’ozone dans la stratosphère». En outre, «les feuilles de graphène moins oxydées peuvent nucléer la glace plus efficacement», ce qui est également confirmé par (Häusler, T. ; Gebhardt, P. ; Iglesias, D. ; Rameshan, C. ; Marchesan, S. ; Eder, D. ; Grothe, H. 2018 | Whale, T.F. ; Rosillo-López, M. ; Murray, B.J. ; Salzmann, C.G. 2015).

Opinions

La nucléation de la glace dans l’atmosphère est une constante de la recherche climatique, afin de contrôler les précipitations, les températures et finalement les ressources en eau, de plus en plus nécessaires. L’iodure d’argent et la kaolinite cèdent la place à l’utilisation de nanomatériaux 2D tels que l’oxyde de graphène, qui sont plus productifs dans la formation de nanocristaux de glace. Les essais réalisés par (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020) dans une chambre à brouillard simulant les conditions des aérosols dans l’atmosphère à -20°C sont similaires à celles que l’on pourrait trouver dans la troposphère à environ 7-8 km d’altitude. À l’altitude à laquelle les avions commerciaux volent habituellement, soit environ 10 km (à la limite entre la troposphère et la tropopause), la température peut atteindre -60°C. Ces détails sont importants car, selon (Knopf, D.A. ; Alpert, P.A. ; Wang, B. 2018), «les cristaux de glace formés dans la haute troposphère et la basse stratosphère (UT haute troposphère / LS basse stratosphère) peuvent se déposer, entraînant l’élimination de l’eau et provoquant la déshydratation de l’UT haute troposphère. Cela a des conséquences sur la répartition de la vapeur d’eau et donc sur le bilan radiatif, étant donné que la vapeur d’eau est le gaz à effet de serre le plus puissant. Les particules de glace dans la tropopause contrôlent le transport de l’eau dans la basse stratosphère LS, ce qui affecte la composition chimique de la stratosphère. Les surfaces des cristaux de glace peuvent servir de surfaces hétérogènes pour les réactions d’appauvrissement de l’ozone et agir comme des puits pour HNO3 (acide nitrique). Malgré la reconnaissance de l’importance de la formation de glace atmosphérique, nos connaissances prévisionnelles restent insuffisantes pour sa représentation dans les modèles climatiques». En d’autres termes, s’il est vrai que l’oxyde de graphène GO a été injecté à une altitude de 7-10 km (haute troposphère et tropopause), à laquelle les avions commerciaux volent souvent, il génère non seulement la nucléation de la glace, mais provoque également la destruction de l’ozone et la déshydratation de la haute troposphère. En plus de ces problèmes sérieux, il y a aussi la toxicité bien connue et les effets indésirables du graphène sur le corps, qui ont été mis en garde dans tous les articles de ce blog. 

Par conséquent, s’il est vrai que la pulvérisation d’oxyde de graphène dans la troposphère existe, elle pourrait poursuivre plusieurs objectifs : a) la formation et l’ensemencement des nuages ; b) les précipitations et la récolte de l’eau ; c) la modification du temps/géoingénierie. En effet, dans leur étude, les auteurs (Liang, H. ; Möhler, O. ; Griffiths, S. ; Zou, L. 2019) tirent la conclusion suivante : «En observant la nucléation de la glace dans des composites PrGO-SN (oxyde de graphène poreux et dioxyde de silice) sous E-SEM (microscope électronique à balayage), nous avons constaté que le composite PrGO-SN poreux présentait le début de la nucléation de la glace à une température plus élevée (-8°C), ainsi qu’une croissance rapide et continue des cristaux de glace. Ces résultats permettent de mieux comprendre les facteurs qui influent sur le processus de nucléation hétérogène de la glace et éclairent la conception et la fabrication de matériaux poreux efficaces de nucléation de la glace pour de nombreuses applications pratiques, telles que l’amélioration de la pluie et la formation de nuages par des opérations d’ensemencement. Les travaux futurs impliqueront l’expérience de la chambre à brouillard comme moyen d’évaluer la performance de ce nouveau matériau dans l’ensemencement des nuages froids pour l’amélioration de la pluie et de comparer son efficacité de nucléation de la glace avec les matériaux d’ensemencement traditionnels.» Cela montre clairement qu’il y a l’intention, et la volonté, d’améliorer les précipitations grâce à la méthode de nucléation de la glace par l’oxyde de graphène GO et même de les mesurer avec des drones spécialement préparés (Bieber, P. ; Seifried, T.M. ; Burkart, J. ; Gratzl, J. ; Kasper-Giebl, A. ; Schmale, D.G. ; Grothe, H. 2020). Il n’est donc pas surprenant que des analyses indépendantes montrent que l’on trouve des nanocouches d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie. 

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L’oxyde de graphène peut adsorber et absorber le CO2

Références

Rodríguez-García, S.; Santiago, R.; López-Díaz, D.; Merchán, M.D.; Velázquez, M.M.; Fierro, J.L.G; Palomar, J. (2019). Papel de la estructura de las láminas de óxido de grafeno sobre las propiedades de adsorción de CO2 de nanocompuestos a base de óxido de grafeno y polianilina o nanopartículas de Fe3O4. ACS Sustainable Chemistry & Engineering, 7(14), pp. 12464-12473. [448]

Introduction

Avant de commencer à décortiquer les propriétés de l’oxyde de graphène par rapport au CO2, il est utile de différencier et de définir les concepts “d’adsorption” et “d’absorption”. Comme nous l’expliquerons plus loin, l’oxyde de graphène peut adsorber et absorber le CO2 dans différentes configurations de nanomatériaux.

L’adsorption est souvent confondue avec “l’absorption”. C’est la propriété par laquelle un matériau est capable de lier les atomes, les ions ou les molécules d’un gaz, d’un liquide ou d’un solide. Dans ce cas, il s’agit de la capacité à attirer le CO2 à la surface de l’oxyde de graphène et à le maintenir collé, adhéré ou fixé. Cet effet d’attraction est similaire à la “tension superficielle” par laquelle les gouttelettes d’eau fusionnent en gouttelettes plus grosses lorsque leur distance est suffisamment proche les unes des autres.

L’absorption est la propriété d’un matériau d’assimiler, d’intégrer ou de se combiner aux atomes, ions ou molécules d’un gaz, d’un liquide ou d’un solide. Dans le cas évoqué dans cet article, il s’agit de la capacité de l’oxyde de graphène à intégrer le CO2, même s’il convient de noter qu’il n’y parvient pas seul, car il a besoin de nanocomposites et de polymères tiers.

Faits

L’article analysé à cette occasion présente des informations pertinentes qui expliqueraient le rôle de l’oxyde de graphène dans la lutte contre le changement climatique. L’étude de (Rodríguez-García, S. ; Santiago, R. ; López-Díaz, D. ; Merchán, M.D. ; Velázquez, M.M. ; Fierro, J.L.G ; Palomar, J. 2019) démontre les propriétés “adsorbante” de l’oxyde de graphène en combinaison avec les nanoparticules de Fe3O4 pour réduire les émissions de CO2 dans l’atmosphère. Le composite d’oxyde de graphène avec Fe3O4 est directement lié au développement de médicaments et de vaccins ADN anticancéreux (Shah, M.A.A. ; He, N. ; Li, Z. ; Ali, Z. ; Zhang, L. 2014), d’engrais biocides à usage agricole (Zhang, M. ; Gao, B. ; Chen, J. ; Li, Y. ; Creamer, A.E. ; Chen, H. 2014), de tests d’absorption d’ondes électromagnétiques 5G (Ma, E. Li, J. ; Zhao, N. ; Liu, E. ; He, C. ; Shi, C. 2013), l’administration de vaccins par reformulation génétique à l’aide de la technique CRISPR (Abbott, T.R. ; Dhamdhere, G. ; Liu, Y. Lin, X. ; Goudy, L. ; Zeng, L. ; Qi, L.S. 2020 | Ding, R. ; Long, J. ; Yuan, M. ; Jin, Y. ; Yang, H. ; Chen, M. ; Duan, G. 2021 | Teng, M. ; Yao, Y. ; Nair, V. ; Luo, J. 2021), entre autres. En d’autres termes, il s’agit du même composé, qui est très polyvalent dans tous les cas et toutes les applications.

Fig.1. Schéma de la réaction d’adsorption du CO2 avec l’oxyde de graphène (Rodríguez-García, S. ; Santiago, R. ; López-Díaz, D. ; Merchán, M.D. ; Velázquez, M.M. ; Fierro, J.L.G ; Palomar, J. 2019).

Bien que l’oxyde de graphène possède des propriétés particulières qui en font un matériau approprié pour le filtrage atmosphérique et la décontamination de l’air, cela est paradoxal et contradictoire. Il ne faut pas oublier que l’oxyde de graphène inhalé (sous forme de particules en suspension) est nocif pour la santé (Ou, L. ; Song, B. ; Liang, H. ; Liu, J. ; Feng, X. ; Deng, B. ; Shao, L. 2016) et peut causer des dommages importants à la santé, déjà décrits dans des billets précédents, voir l’oxyde de graphène dans le sang (Palmieri, V. ; Perini, G. ; De Spirito, M. ; Papi, M. 2019), l’interaction de l’oxyde de graphène avec les cellules du cerveau (Rauti, R. ; Lozano, N. ; León, V. ; Scaini, D. ; Musto, M. ; Rago, I. ; Ballerini, L. 2016), l’oxyde de graphène perturbe l’homéostasie mitochondriale (Xiaoli, F. Yaqing, Z. ; Ruhui, L. ; Xuan, L. ; Aijie, C. ; Yanli, Z. ; Longquan, S. 2021), parmi d’autres articles qui peuvent être retrouvés avec la requête suivante “toxicité du graphène”.

Pour en revenir à l’analyse de l’article, il est indiqué que des «nanocomposites à base d’oxyde de graphène avec de la polyaniline (PANI) ou des nanoparticules de Fe3O4» sont capables d’adsorber et de retenir le CO2. Cette capacité particulière «augmente linéairement avec le volume des micropores». Ce détail est pertinent, car il est cohérent avec le type de matériau utilisé dans la nucléation de la glace, qui devait également être poreux pour obtenir une meilleure performance dans la formation de nanocristaux (Liang, H. ; Möhler, O. ; Griffiths, S. ; Zou, L. 2019). La propriété poreuse est également appréciée dans les engrais chimiques (CN107585764A.2020) et, de manière intéressante, dans les nanoparticules ciblant les thérapies par interférence ARN dans le cerveau (Joo, J. ; Kwon, E.J. ; Kang, J. ; Skalak, M. ; Anglin, E.J. ; Mann, A.P. ; Sailor, M.J. 2016). En fait, le graphène poreux est utilisé comme nanofiltre atmosphérique comme l’ont rapporté d’autres auteurs (Blankenburg, S. ; Bieri, M. ; Fasel, R. ; Müllen, K. ; Pignedoli, C.A. ; Passerone, D. 2010) sous la forme de membranes d’oxyde de graphène 2D, qui adsorbent l’ammoniac, le CO2 et l’argon.

Un examen de l’introduction de l’article révèle quelques déclarations intéressantes. La justification de la recherche se résume notamment au problème du réchauffement climatique, qui «constitue un grave problème pour la planète. L’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre, en particulier du CO2, rend nécessaire le développement de processus pour leur élimination». En ce sens, l’oxyde de graphène est une solution “efficace et économique” pour atténuer les effets que ce polluant peut provoquer. Parmi les options étudiées dans la littérature scientifique (adsorption et absorption avec des membranes ou absorption chimique dans des amines liquides), aucune ne se distingue par un bon équilibre entre les performances, l’efficacité énergétique et les effets secondaires de la corrosion dans les équipements utilisés à cet effet. Cependant, l’oxyde de graphène sous forme d’hydrogels, d’aérogels, de nanosphères et de nanotubes semble tripler la capacité de capture du Co2 lorsqu’il est fonctionnalisé avec du Fe3O4.

L’expérience réalisée vise à simuler un scénario réaliste d’adsorption du CO2, à savoir celui produit par un gaz de combustion. Cela conduit à penser que l’une des applications évidentes de l’oxyde de graphène pourrait être dans les tuyaux d’échappement des moteurs à combustion ou dans tout autre processus de combustion industrielle, en fait, ils soulignent «Considérant un scénario plus réaliste correspondant à un gaz de combustion post-combustion (pCO2 = 0,15 bar et pN2 = 0,85 bar), les valeurs de sélectivité IAST CO2 / N2 obtenues à partir des nanocomposites (oxyde de graphène) préparés devraient être améliorées pour une rétention efficace». L’IAST (ideal adsorbed solution theory) est déterminée par plusieurs facteurs, tout d’abord la pression atmosphérique exprimée en “bar” (unité de pression bar), le poids atomique par gramme mmol/g du catalyseur d’oxyde de graphène, la température, le CO2 et le temps d’adsorption. Les chercheurs concluent que l’oxyde de graphène revêtu de polymère PANI obtient de meilleurs résultats d’adsorption aux températures de fonctionnement, ainsi que des propriétés de recyclabilité, étant capable de moduler son comportement pour une plus grande efficacité.

D’autres études portent également sur “l’absorption” du CO2 par l’oxyde de graphène. Par exemple, l’étude de (Wu, X. ; Zhao, B. ; Wang, L. ; Zhang, Z. ; Zhang, H. ; Zhao, X. ; Guo, X. 2016) expérimente avec du PVDF (fluorure de polyvinylidène) et de l’oxyde de graphène à différentes concentrations pour créer des membranes observant l’absorption de CO2 dans des conditions de température ambiante. Il a été conclu que l’augmentation du pourcentage de graphène entraîne une augmentation de la capacité d’absorption de la membrane. Ce résultat a été influencé par le facteur de porosité (82% dans l’expérience), qui a également été responsable de la cristallisation ou de la nucléation du PVDF, provoquant un changement de forme de la membrane, maintenant avec une plus grande rugosité et surface de contact avec l’oxyde de graphène et donc une plus grande capacité d’absorption. Il est intéressant de noter que la membrane n’a pas perdu de CO2, même lorsqu’elle était mouillée, étant donné les caractéristiques hydrophobes du PVDF. L’étude de (Irani, V. ; Maleki, A. ; Tavasoli, A. 2019) traite également de l’adsorption du CO2 avec de l’oxyde de graphène nanofluidisé combiné à de la MDEA, également connue sous le nom de “mehyldiethanolamine amine”, corroborant ainsi les capacités du matériau. Par exemple, il est montré que l’ajout de 0,2% d’oxyde de graphène au MDEA augmente sa capacité d’absorption de CO2 de plus de 10% à différentes températures, ce qui augmente à peine le poids du mélange.

Commentaires

L’oxyde de graphène peut être utilisé pour adsorber le CO2 de l’atmosphère afin de réduire les gaz à effet de serre. En ce sens, il ne serait pas étrange qu’il soit déjà utilisé à cette fin, puisque selon (Pöschl, U. 2005) l’oxyde de graphène se retrouve dans l’analyse des aérosols dans l’atmosphère avec la suie résultant de la pyrolyse et de la combustion incomplète des avions à réaction, dans une petite fraction, qu’il ne détaille pas. Cela fournit un indice très pertinent menant à l’utilisation de vecteurs aériens pour lutter contre le changement climatique, qui sera abordé dans les prochains billets.

Bibliographie

Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [449]