La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène

Alors que je parcourais une multitude d’études et articles de biologistes, d’électroniciens et d’autres scientifiques en laboratoires, en quête de photographies de micro-bulles de graphène, j’ai découvert une magnifique photographie d’une “Couronne Nécro-Moléculaire” d’argent dans un article intitulé “Dynamic protein coronas revealed as a modulator of silver nanoparticle sulphidation in vitro” et publié dans la revue Nature en 2016. [96] C’est une magnifique découverte qui permet d’interroger, encore plus, tous ces biologistes et médecins sincères qui ne jurent que par la protéine Spike du coronavirus tellement “invisible” qu’il en est inexistant…

… ou tellement inexistant qu’il en est invisible. Il est aimable de pouvoir bénéficier d’alternatives.

Je vais, donc, aujourd’hui, représenter, en tant qu’article en soi, ce que j’ai déjà proposé dans mon très long essai “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”

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Voici donc deux premières photographies, en microscopie, montrant des couronnes qu’ils nomment des couronnes bio-moléculaires – et que je nomme des couronnes nécro-moléculaires. Ces couronnes ont été, dans le cas présent, induites par des nano-particules d’argent qui font, environ, 50 nm de diamètre.

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A la lecture de ces très nombreuses études scientifiques sur le graphène et sur les hydrogels à base de graphène on découvre, avec stupéfaction, que le mème de la couronne émerge de nouveau… mais pas en lien avec le coronavirus, le virus à couronne du CoqueVide/19 – invisible parce que non existant – mais, bien plutôt, avec l’hydrogel à base de graphène.

En effet, il existe un certain nombre d’études qui décrivent la couronne bio-moléculaire personnalisée entourant les nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain. Ainsi, des études intitulées “Converting the personalized biomolecular corona of graphene oxide nanoflakes into a high-throughput diagnostic test for early cancer detection” [575], “Personalized Graphene Oxide-Protein Corona in the Human Plasma of Pancreatic Cancer Patients” [576], “A protein corona-enabled blood test for early cancer detection” [577], “Tailoring the component of protein corona via simple chemistry” [578], etc.

Il s’agit d’une couronne de protéines qui se forme à l’entour des nano-matériaux lorsqu’ils sont exposés aux fluides biologiques humains (sang, sérum, plasma, fluide cérébro-spinal, fluides intestinaux et gastriques, etc). Le terme “couronne de protéine” a été introduit, en 2007, par Tommy Cedervall et son équipe dans une étude intitulée “Understanding the nanoparticle-protein corona using methods to quantify exchange rates and affinities of proteins for nanoparticles”. [1220]

En juin 2015, la revue European Journal of Nanomedicine a publié une étude très importante sur la nano-toxicité des nano-particules, à savoir sur l’impact de la couronne moléculaire eu égard à la toxicité des nano-particules: “The bio-corona and its impact on nanomaterial toxicity”. [1221] La même équipe a, ensuite, publié une seconde étude, en 2016, sur les mêmes thèmes, “The concept of bio-corona in modulating the toxicity of engineered nanomaterials”. [1222]

Selon deux études publiée en 2014, les flocons d’oxyde de graphène pourraient spontanément changer de structure, en présence d’un champ électro-magnétique extérieur, en prenant la forme de gouttes cristallines liquides. [644]  [645]

A noter que, lors de leur analyse de 46 vaccins, en 2017, Antonietta Gatti et Stefano Montanari évoquèrent la formation d’une “couronne de protéine”: «dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une interaction nano-bio se manifeste et une “couronne de protéine” se forme… L’interaction nano-bio induit la formation d’un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et qui peut engendre des effets délétères – puisqu’il n’est pas reconnu par le corps comme lui appartenant en propre». [807]

L’une des études, de 2018, intitulée “Biological recognition of graphene nanoflakes” [1117], présente des explications très claires sur la nature de cette couronne bio-moléculaire.

«L’étude systématique des interactions biologico-nanoparticulaires requiert une capacité, reproductible, de dispersion des particules dans des fluides adéquats tout autant que des développements subséquents quant à l’identification de détails structurels biologiquement pertinents à l’interface entre les nano-matériaux et la biologie. Dans cette recherche, nous développons une dispersion aqueuse, biocompatible, stable et durable, de nano-flocons de graphène, en quelques couches, dans le médium d’exposition biologique dans lequel elle sera étudiée. Nous abordons, également, l’étude de l’orientation et de la fonctionnalité des protéines-clés d’intérêt, dans la couronne bio-moléculaire, qui sont supposés moduler la plus grande partie des premières interactions biologiques. Les preuves sont nombreuses selon lesquelles les couronnes bio-moléculaire de nano-flocons de graphène sont abondantes en apolipoprotéines A-I et nous sommes capables de cartographier des épitopes fonctionnels spécifiques, situés dans la portion du terminal C, qui sont connus pour moduler la connexion des lipoprotéines de haute densité (HDL) aux sites de liaison dans les récepteurs qui sont abondants dans le foie. Cela pourrait suggérer un mode de connecter les propriétés des nano-matériaux aux objectifs biologiques.

En évaluant l’interaction entre le graphène et les cellules, on pourrait s’attendre à des interactions distinctes en raison de la diversité des formes, des tailles, des fonctionnalisations de surface tout autant que des présentations de surface à la machinerie de processus cellulaires. La problématique de la présentation de nano-surfaces n’est pas unique au graphène mais, dans son cas, les défis sont plus conséquents que pour la plupart des systèmes. Ainsi, nous croyons, maintenant, qu’en contact avec des médiums biologiques, la surface nue de la nano-particule induit la formation d’une couche de molécules, aux échanges relativement lents, qui sont dérivés de l’environnement – à savoir tout simplement modelés par du plasma ou du sérum animal. C’est ce que l’on a appelé la “couronne bio-moléculaire”. Nous sommes de plus en plus conscients du fait qu’au-delà de la forme, ce sont les motifs de reconnaissance bio-moléculaire, conférés par cette couche, qui induisent les tout premiers impacts (dans les études d’interactions cellulaires in-vitro, dans les réactions immunologiques et dans la bio-distribution). Il est certain que la capacité récente de “lire”, ou de cartographier, ces aspects de la couronne bio-moléculaire de graphène accentue le rôle que les protéines jouent dans la plupart des phases originelles des interactions biologiques. La nature de la surface de graphène est telle que ces problématiques sont d’autant plus sérieuses qu’il est difficile d’éliminer les dispersants de première exposition (exfoliation) une fois qu’ils ont formé une telle couche d’adsorption. Nonobstant, dans des conditions normales, il faut s’attendre à ce que l’identité biologique (induite par la surface) soit déterminée par le premier dispersant rencontré (ou par le premier scénario d’exposition).»Traduction de Xochi. [1117]

Il est à noter que les apolipoprotéines impactent les plaquettes sanguines, les thrombocytes, afin de stimuler la production de monoxyde d’azote afin d’atténuer l’agrégation plaquettaire. [1151]

Il est à noter, également, qu’il existe une étude, de 2016, portant sur l’invention de cystéine fonctionnalisée avec du graphène afin de produire de l’oxyde nitrique, à partir de donneurs endogènes ou exogènes, et réduire, ainsi, l’agrégation plaquettaire. [1152]

Ainsi que déjà évoqué. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule “Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection” qui affirme que l’oxyde nitrique, ou  monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95% en 24 heures et de 99% en 72 heures. [1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si l’oxyde nitrique permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.

Selon une étude récente, de 2020, intitulée “Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract”, c’est le cas. [1153] L’oxyde nitrique peut participer à la bio-dégradation de l’oxyde de graphène.

Une autre étude, de 2018, intitulée “Graphene oxide touches blood: in vivo interactions of bio-coronated 2D materials” [1125] porte sur la couronne bio-moléculaire de graphène et sur son potentiel de toxicité dans le corps humain. Les auteurs décrivent le voyage de l’oxyde de graphène à la suite de son injection dans le flux sanguin: à savoir, à partir des interactions initiales avec les protéines du plasma jusqu’à la formation de la couronne bio-moléculaire et jusqu’à sa bio-distribution.

«La destinée, in vivo, des nano-particules est, généralement, influencée par plusieurs facteurs incluant la route d’administration, la chimie de la nano-particule et l’environnement physiologique. De nombreuses caractéristiques physico-chimiques – incluant la taille latérale, la forme, la dose, la durée d’exposition, le nombre de couches, la composition chimique, la charge de surface, la stabilité, la pureté et la fonctionnalité de surface – peuvent influencer la destinée de ces nano-particules à la suite de l’injection, lorsqu’elles sont exposées au riche milieu des protéines sanguines. Les protéines du flux sanguin induisent des métamorphoses immédiates et drastiques dans ‘‘l’identité’’ biologique des nano-particules. Il en résulte le développement d’une nouvelle interface qui est constituée d’une coquille dynamique de macro-molécules sanguines. Cette interface, de par l’enrichissement protéique, est généralement dénommée ‘‘couronne de protéines’’ ou ‘‘couronne bio-moléculaire’’. C’est cette couronne bio-moléculaire qui détermine les interactions avec les cellules – assimilation et excrétion – et affecte, par conséquent, la bio-distribution et la vectorisation vers les sites-cibles intentionnés.

La couronne bio-moléculaire de l’oxyde de graphène est, encore, très peu explorée et peu de recherches ont pris en considération l’influence de cette coquille sur les interactions in vitro et in vivo. Dans notre étude, nous allons, tout d’abord, évoquer les caractéristiques de surface de l’oxyde de graphène ainsi que leurs connexions avec les acides aminés et la liaison des protéines sanguines. Nous discuterons, ensuite, du composé oxyde de graphène/couronne bio-moléculaire et comment la couronne bio-moléculaire peut influencer les interactions avec les cellules sanguines. Enfin, nous allons mettre en lumière les problématiques de bio-distribution et de biosécurité tout autant que les défis futurs corrélés au développement de systèmes pharmaceutiques, à base de graphène, injectés par voie intraveineuse. La compréhension de ces aspects fait partie de l’amélioration des processus futurs d’oxyde de graphène biocompatible et injectable.» Traduction et Soulignements de Xochi. [1125]

Pour rappel, à l’intention de tous les Décodeurs, Fact/Checkers et autres Reichstadt, au service de la Secte Covidienne. Cette étude portant sur la toxicité potentielle, de la couronne bio-moléculaire d’oxyde de graphène, fut publiée dès octobre 2018. Son intention est clairement libellée – du moins pour motifs de financement.

Il s’agit du développement de systèmes pharmaceutiques, à base de graphène bio-compatible, injectés par voie intraveineuse. Il s’agit de la création de vaccins à base de graphène “bio-compatible”. N’est-ce pas? Que vont bafouiller les Décodeurs de l’ImMonde ou les ignares Défakers de l’AFP? Vont-ils modifier la signification du terme “biocompatible”… car, au vu du génocide intentionné, il s’agirait, bien plutôt, de nécro-compatibilité!

Une autre étude, de 2019, intitulée “Interaction of graphene oxide with cell culture medium: Evaluating the fetal bovine serum protein corona formation towards in vitro nanotoxicity assessment and nanobiointeractions” [1159]. Cette étude évoque le nombre de protéines découvertes sur une couronne bio-moléculaire d’oxyde de graphène mise en contact avec du sérum foetal bovin… dans le but de déterminer son niveau de nano-toxicité.

Nous sommes confrontés à un gigantesque cauchemar qui pourrait être directement inspiré des sciences-fictions les plus pessimistes, et des sociétés les plus dystopiques, des grands maîtres de cet Art: Philip K. Dick, John Brunner, Franck Herbert, etc.

Justement, en parlant de dystopie, Rudy Reichstadt [1131] – qui se prend pour le Dénonciateur à la botte de celui qui se prend pour un Jupiter ras la motte –  fait office de sous-marin pour la secte de la Miviludes… qui va, très prochainement, avoir beaucoup d’espionnage sur la planche avec la nouvelle offensive anti-autoritaire, et anti-dystopique, des “Qui?Qui?”. A noter que la Miviludes est, parfaitement, disséquée dans un article proposé sur le site d’Egalité et Réconciliation. [1136] A propos, non, je n’ai jamais rencontré Alain Soral, le dissident (sous certains aspects)… mais je ne manquerai pas d’en requérir un entretien lorsqu’il sera ministre de la Conciliation sous la prochaine République – afin de participer à son éducation.

Aujourd’hui, le Syndrome de la Couronne, ce n’est pas celui d’un coronavirus inexistant, c’est celui de la couronne de protéines induite par la graphénisation. Le danger, pour la survie des Peuples, n’émane pas de la couronne fantôme des protéines Spike: il émane de la couronne bio-moléculaire personnalisée qui se forme autour des nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain.

Il faut, d’ailleurs, signaler que la Toile n’offre que deux photographies – putatives et très floues – d’une protéine Spike [1124].

Et encore, si l’on veut bien fermer les yeux sur le fait que les deux photographies proposées, côte à côte, sur le même site de biologie présentent deux échelles différentes de telle sorte qu’un coronavirus mesure, environ, 100 nm, sur la photographie de gauche, tandis que les autres particules de coronavirus, sur la photographie de droite sont mesurées sur une échelle de 1000 nanomètres et se caractérisent par une diversité de taille – bien au-delà de l’amplitude tolérée, et officielle, de 140 nanomètres. [1162] Est-ce pour emballer ou pour graphéniser de suite?

Si cette protéine Spike – soit naturelle, soit chimérisée en laboratoire – était, véritablement, la bombe virale et meurtrière que l’on nous propagande, pourquoi donc Google n’en a-t-il jamais fait une photographie en très haute définition?

Si Google est capable de proposer la carte d’un cerveau humain présentant 50 000 cellules et 130 millions de synapses – d’un poids virtuel d’1,4 pétabyte, à savoir l’équivalent de la capacité de 700 ordinateurs [334] – il doit être possible, techniquement parlant, de photographier un virus de 125 nanomètres… si ce virus constituait, vraiment, LA Pandémie des Pandémies. N’est-ce pas?

Par contre, la photographie d’une Couronne Bio-moléculaire de Graphène, [1123] présentée sur le site du naturopathe Dr. Robert O. Young, ressemble, à s’y méprendre, à toutes ces représentations virtuelles de “protéines Spike” dont la presse corrompue a inondé le public depuis la déclaration de la fausse pandémie.

Aujourd’hui, nous sommes, donc, confrontés au Syndrome de la Couronne Bio-moléculaire de Graphène qui constitue le vecteur – apostolique et universel – choisi, par les Transhumanistes, pour magnétiser et transformer l’Humain en une Antenne d’émission-réception – lorsque cela n’est pas pour le génocider, rapidement. Sous le contrôle musical, donc le joug, de qui pulse cette Antenne? De QUI?

Aujourd’hui, dans l’Europe, anciennement Païenne et Animiste, le Syndrome de la Couronne Bio-moléculaire de Graphène est en cours de supplanter, quant à la Marque, le Syndrome de la Couronne d’Epines – qui pollue l’Atmosphère d’Europa depuis près de deux mille années – dans le registre de la glorification de la souffrance, de la persécution, de la collusion victime-perpétrateur, du Mépris de la Vie… et du Refus de rendre hommage à la Beauté Naturelle de notre Mère la Terre.

Aujourd’hui, la Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène constitue une première expression, généralisée, du concept de cyborg – à savoir, d’une fusion entre d’une part, le biologique et, d’autre part, le graphène magnétisant… injecté directement  dans le corps physique de tous les “vaccinés” – et, plus généralement parlant, dans le corps physique de tous les graphénisés. La Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène est induite par la greffe du graphène sur les cellules – qui est, également, une “griffe”… de par l’étymologie “graphos”. En France, plus particulièrement, cela s’épelle “criffe”… mais c’est un tout autre dossier susceptible de nous entraîner dans les sables mouvants de la mouvance des Qui? Qui?

La Couronne Nécro-moléculaire de Graphène constitue la Marque des bio-terroristes Transhumanistes du Forum Economique Mondial sous la houlette du dément Klaus Schwab.