Los Cantos de Xochi. L’Hallucination Collective Néo-Darwiniste dans l’Oeil du Cyclone de la “Dé/Sélection Gaïenne” – au Plaisir de la Survie des Peuples

Avant-propos: Ce Canto couvre 67 pages, en grand format, et il est conseillé de ne pas presser le pas – surtout lorsque d’autres pressent el Paso. La secte Néo-Darwiniste est en cours d’effondrement dévolutif, et non aléatoire, à l’instar des autres sectes Sionistes et Néo-Sionistes. Et les dommages collatéraux, induits par cet effondrement, vont pleuvoir, dans le tissu social, comme neige en minimum solaire. Les Temps changent: es el Paso!

NB. La mention “Traduction de Xochi” signifie que la traduction a été réalisée par mon propre cerveau – et non pas par un robot traducteur dénué de sentiments.

Sommaire

1. L’Explosion du Dessein Intelligent dans les Laboratoires de la Biologie Moléculaire sous Illumination Microscopique

2. Implosion du Ballon de Baudruche d’Envoûtement du Néo-Darwinisme

3. Darwin’s Lost: Crise de Foi Evolutive chez les Néo-Darwinistes, les plus forts et les mieux adaptés, sous l’affect d’une overdose d’imaginaire fantasmagorique, stérile et pernicieux

4. La Revanche de Lynn Margulis

5. La découverte de l’endosymbiogenèse par la dissidente Lynn Margulis… en tous mutualismes

6. Charles Darwin, Fils et Cousins, à l’origine de “l’Eugénisme scientifique”

7. Du Deutéronome de la Bible à l’Eugénisme Scientifique du Néo-Darwinisme

8. Les Concepteurs du Néo-Darwinisme furent tous des Eugénistes

9. La Prédation Intra-Spécifique au Coeur du Néo-Darwinisme

10. Le Dessein Intelligent à la Rescousse des Monothéismes

11. Le Blues des Néo-Darwinistes: Une Explosion Cambrienne de plus en plus Explosive

12. Angoisses et autres Palpitations Néo-Darwinistes à Fleur de Trilobites

13. L’Explosion des Oiseaux au Début du Cénozoïque

14. A l’Origine du Syrinx chez les Oiseaux: la Flûte de Pan?

15. Prévisions: Comment la Chimie de la Vie Révèle une Programmation et une Intention

16. Le Néo-Darwinisme en Pleine Dévolution

17. L’Explosion des Cichlidés

18. La Graine de Pissenlit s’Envole à l’Appel de son Vortex

19. Le Néo-Darwinisme a quelques milliards d’années de retard… à la pompe protéique

20. La Téléonomie à la Rescousse de l’Evolution Déprimée

21. La Bête est Belle et d’une Complexité de plus en plus Irréductible

21/1. Un internet cytoplasmique carburant au calcium

21/2. Une bouteille à la mer: les messages de survie du Nématode Caenorhabditis elegans à sa descendance

21/3. Une autre Revanche de Lynn Margulis: une Mémoire sur Mode Viral

21/4. Le Virus de la Nécrose de la Fève Joue au Billard Génétique!

21/5. Le Flagelle: un Coup de Fouet Fertile pour le Dessein Ingénieux

21/6. L’Explosion des Angiospermes durant le Crétacé

21/7. Insectes et Fleurs: les Grands Amours

21/8. Pollinisation des fleurs: les Tubes Polliniques sont Téléguidés par les Ovules

21/9. Les Dauphins et les Baleines Chantent et Dansent dans la Grande Bleue!

21/10. La Poubelle Génétique n’en est que Plus Belle!!

21/11. Le premier Homme était une Femme

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L’Explosion du Dessein Intelligent dans les Laboratoires de la Biologie Moléculaire sous Illumination Microscopique

Pourrais-je m’aventurer à chanter que nous sommes en pleine Explosion Cambrienne d’Explorations de l’Immanence Sophianique et de l’Emanation Gaïenne? Le sujet, en effet, n’est pas de se poser la question de l’Origine de l’Espèce: il est de se mettre sur le chemin de la Quête de l’Espèce en tant qu’Origine, en tant qu’Emanation et en tant qu’Emergence d’une complexité irréductible. Et bien souvent d’une complexité irréductible et réfractaire à l’Evolution Darwiniste – réfractaire comme nos ancêtres les Gaulois, un terme signifiant rebelle et désobéissant”.

Quel est le ratio d’improbabilité accompagnant – depuis bien avant l’Aube des Temps, sinon depuis une pléthore d’Univers – l’émergence spontanée et aléatoire d’une petite protéine, stable et fonctionnelle, composée, seulement, de 150 éléments lorsque chaque élément peut être sélectionné, par le Hasard de la Nécessité, parmi un spectre de 20 strictement différents acides aminés? 

De combien d’Univers le virus de la nécrose de la fève aurait-il besoin afin que la manifestation physique, réelle et actuelle, de sa réplication – au travers du réseau de ses huit segments génétiques répartis dans diverses cellules – ait le droit d’exister sur le plan des probabilités statistiques? De quelle infinité d’Univers ce même virus, de la nécrose de la fève, aurait-il besoin afin que la formule génomique (le ratio) de l’émergence de ses huit différents fragments génétiques soit toujours relativement stable au sein d’une même espèce végétale? Et qui plus est, afin que cette formule génomique puisse totalement se métamorphoser en fonction des espèces végétales qu’il virose?

Le Néo-Darwinisme est, ainsi, cloué de stupeur sur la croisée de la biologie moléculaire et de la microscopie électronique. L’Explosion, ou le Réveil, du Dessein Intelligent est, en grande partie, le fruit des recherches en laboratoires – des recherches réalisées, nonobstant, à partir d’entités de Vie émanant de la Biosphère Vivante. Le Dessein Intelligent n’est ni une croyance, ni un concept: c’est une pratique élaborée et qui peut s’avérer pour certains, il est vrai, laborieuse. C’est, tout simplement, la pratique de la perception que la Biosphère est Vivante, Belle et Complexe parce qu’Intentionnée. Je ne peux que conseiller la lecture de Goethe, de sa quête, de son cheminement et de ses instructions, quant à la perception sensible.

Le terme “laboratoire” vient du Latin “labor”. De même que le terme “élaboration” qui signifie “sortir du labour”:  ex/laborare – tout en sachant que “labour/labeur” est un terme utilisé pour le “travail” en général, pour le travail du sol en agriculture, pour le travail de la femme dans l’accouchement, etc.

“Labor” signifie “peine, maladie, souffrance, éclipse…”, en Latin, qui vient du PIE “lap, lep” – qui signifie “pendre mollement” et qui a donné, aussi, “lèvre, labial”. Quant au terme “travail”, il vient de “trepalium”, en Latin, qui signifie “instrument (de torture) à trois pieds”.

C’est tout un programme de génocide, et de tristesse à l’âme, qui est, ainsi, inscrit dans notre langage, et dans notre ADN, de tous les jours, et dont l’origine remonte à la malédiction antique de Yahvé/Yaldabaoth eu égard à l’humanité qui devrait survivre et enfanter dans la douleur – selon les textes “divins” transmis par des barbus déments. Ce labeur étant en punition du fait que le Serpent confia à l’Humanité le vecteur de la Sagesse Tellurique, à savoir, les vecteurs enthéogéniques vers sa propre Sagesse – celle de l’Humanité et celle du Serpent. Et ce sont les mêmes car “l’Intelligence” n’a pas été cosmiquement “pro/visionnée” et “pré/visionnée” pour émaner de la “non-Intelligence”.

Il en est du gradualisme de la conscience comme du gradualisme néo-darwiniste de l’Evolution par saltations et par mutations aléatoires – ou comme du gradualisme dans la Dictature d’Etat d’Urgence vers la protection ultime et totale de nos libertés: ce sont de puissants vecteurs de dissonance cognitive.

La Vision Yahvéiste de Histoire est, ainsi, fort éloignée de celle qu’Erasmus Darwin proposait de la Biosphère en laquelle il percevait un gigantesque et permanent orgasme Gaïen. Erasmus Darwin fut un génie scientifique animiste ainsi que le grand-père de Charles Darwin. Ce dernier faillit, misérablement, aux gènes Gaïens de son aïeul lorsqu’il inventa sa nouvelle Religion de l’Evolution par sélections et mutations hasardées, improbables et aléatoires – sans se presser, au fil des centaines de millions et au fil de milliards d’années. L’univers fabulateur des Darwinistes, et des Néo-Darwinistes, est peuplé d’une myriade infinie, et infinitésimalement improbable, de Big Bangs biologiques miraculeux sur lesquels ils trébuchent infiniment – par manque d’ancêtres, par manque de fossiles intermédiaires et, surtout, par manque infini de Temps linéaire.

Et ce sont, littéralement, des Explosions de Vie – Explosion Cambrienne, Explosion des Tortues, Explosion des Angiospermes, Explosion des Trilobites, Explosion du Syrinx, etc – qui sont miraculeuses mais dans le sens de l’Emergence et de l’Animisme Sophianique. 

L’Evolution Néo-Darwiniste, de par sa Nécessité inéluctable, a été sacrifiée sur la Croix du Hasard des mutations aléatoires (pique et pique et colégram) depuis l’Aube du Temps – dont elle a une soif inépuisable. L’Evolution Néo-Darwiniste a un très grand appétit pour le Temps: elle brasse des centaines de millions d’années comme la Bourse brasse des centaines de millions de dollars – sur un mode virtuel. 

De par la Nécessité Innée et Inéluctable de l’Evolution – Charles Darwin intronisa, ainsi, son “Idéologie de Sélection”, non participative, par l’invocation

du Capricieux Hasard, Rarissime, Improbable, Sélectionneur et Transformateur.

Mais aujourd’hui, tout comme le Temple de la mère du fils de Yaldabaoth a brûlé à Paris, le Temple du Néo-Darwinisme est en pleine combustion de dé-Sélection sous l’impact d’une overdose d’oxygène régénérateur émanant de la sphère scientifique en pleines turbulences et mutations – générées par un très puissant cyclone Gaïen de Correction Atmosphérique.

Implosion du Ballon de Baudruche d’Envoûtement du Néo-Darwinisme

C’est la mi-mai passée et le solstice d’été se profile, au détour de la pleine Lune de juin! Dans mon jardin, les ganjas – émergeant de semis spontanés issus de croisements improbables – sont déjà belles et en quête de générer des orages, et autres symphonies neuronales, au sein de ces animaux humains qui ont refusé de se laisser gangréner par la gangue de malédiction mentale, et organico-chimique, du Sionisme biocidaire. Par contre, aux rages et désespoirs des Réchauffistes, la Corse vient de se recouvrir d’un manteau de neige improbable tandis que des yaks meurent, sous le poids des enneigements Himalayens, et qu’une bonne partie de l’agriculture mondiale succombe aux improbabilités atmosphériques d’un cycle de refroidissement planétaire – qui peut perdurer durant quelques siècles de turbulences alimentaires… lorsqu’il se sera enclenché….

… mais, pas de panique, selon l’antique rhétorique de Greenpeace et complices, ce ne serait que de la mauvaise météo: il ferait très froid parce qu’il fait excessivement chaud. Et lorsqu’il fait très chaud, c’est à cause de l’atmosphère qui brûle – le syndrome de l’Holocauste Atmosphérique au CO2. Pour mémoire, sinon pour mémoire atmosphérique, Johann Wolfgang von Goethe, ce génie Européen – et EuroPaïen – rédigea deux essais sur la forme des nuages et la météorologie, dès 1820/1822. Quant à Edouard le Danois – qui fut directeur de l’Office Scientifique et Technique des Pêches Maritimes – il publia son ouvrage, “Les Rythmes du Climat dans l’Histoire de la Terre et de l’Humanité”, en 1950. [9]

Le “réchauffement climatique anthropique” constitue une gigantesque farce, et une Marque déposée du Néo-Sionisme, qui va très mal se terminer [10]: les Réchauffistes – et autres Caniculs-bénis et Ecolo-thermistes – sont des criminels qui ont détourné des trillions de dollars, depuis une vingtaine d’années, alors que la moitié de l’humanité est sans assainissements et que des dizaines de milliers d’enfants meurent de faim, et de paludisme, tous les jours.

En Chine, ce n’est pas la neige qui induit, présentement, l’agonie inexorable de 600 millions de porcs: c’est leur système immunitaire qui ne pactise plus avec les virus de grippes sous toutes guises de souches émergeant in vivo – ou en laboratoires… Et en France, cela neige toujours bien jaune sur les boulevards, et dans les rond-points, pendant que Castaner fait pleuvoir ses grenades civilisatrices.

Le paradigme néo-darwiniste d’agriculture et d’élevage, imposé aux paysans depuis plus d’un siècle, reste totalement impuissant face à tous ces phénomènes biosphériques aux conséquences alimentaires catastrophiques – et qui, de plus, ne respectent pas les frontières officielles… Quant au néo-darwinisme social, à savoir l’idéologie Sioniste de manipulation et de domination des Peuples, il manifeste son impuissance totale, en France, face au Mouvement des Gilets Jaunes, par une rare puissance répressive d’armes de guerre qui tuent et qui mutilent…

Sur le plan “scientifique” pur et dur, le ballon de baudruche (de la racine Proto Indo Européenne “bod” qui a aussi donné “boudin”) d’envoûtement du Néo-Darwinisme – qui contrôle, depuis un siècle et demi, la quasi-entièreté du système universitaire, médical, agronomique, pharmaceutique, médiatique, éditorial, et plus encore – est en cours d’implosion, sous nos yeux. Il est, présentement, transpercé par une multitude de fléchettes, empoisonnées au nectar du “Dessein Intelligent”, qui sont décochées par des biologistes, des chimistes, des embryologistes, etc, et des Nobels… qui se rebellent à l’encontre du dogme établi, à l’encontre de la matrice mensongère qui les a allaités, enlaidis et, très souvent, lobotomisés et éducastrés –  à savoir, à l’encontre de l’idéologie fabulatrice, et pernicieuse, du Néo-Darwinisme.

Les fléchettes les plus fraîchement toxiques, vis à vis de cette arnaque d’envoûtement, sont des ouvrages publiés, au printemps 2019 – par Michael Behe et Marcos Eberlin –  qui ne laissent que peu d’alternatives aux dogmatiques sectaires de cette idéologie surannée de sélection sociale: à savoir, quitter le navire, en prétextant le mal de mer – qui est, le plus souvent, un syndrome irrémédiable de mal de Mère; ou s’immoler par le feu, en autocauste (de désespoir que la Terre Mère ne coopère pas avec les élucubrations titubant de leur cerveau pathologiquement meurtri); ou se répandre en insultes, invectives, persécutions, menaces, chantages, exclusions, excommunions, excommunications – qui constituent leurs normes d’inversion accusatoire – en attendant que les tourbillons cycloniques du Réel les recyclent, si tant est, dans les poubelles de leur propre histoire de falsifications.

Darwin’s Lost: Crise de Foi Evolutive chez les Néo-Darwinistes, les plus forts et les mieux adaptés, sous l’affect d’une overdose d’imaginaire fantasmagorique, stérile et pernicieux

Sous couvert d’une conception des organismes vivants qui seraient le fruit de la sélection “naturelle” – par mutations hasardées et successives d’une cellule primordiale, bla-bla-bla, au fil de milliards d’années – le néo-darwinisme est, véritablement, une idéologie de sélection humaine “artificielle” (avec ricochets dans la sphère de l’animal domestiqué) sur le plan génétique, médical, social, etc.

Et quels sont, donc, les objectifs occultes de cette sélection pour le moins non participative et extrêmement eugéniste?

Comme Wikipedia est l’organe privilégié des néo-darwinistes – pour la lobotomisation des Peuples – il n’est que de consulter leur propre page sur le “néo-Darwinisme” pour y glaner quelques faridondaines déguisant leur idéologie de mensonges et de génocides – à visée de contrôle social mondial. Wikipedia dénomme, également, le néo-Darwinisme: “la théorie synthétique de l’évolution”, “la synthèse néodarwinienne” et “la théorie néodarwinienne de l’évolution”. Dès la première phrase, la propagande va bon train et à très grande vitesse: «La théorie synthétique de l’évolution est la théorie de l’évolution présentement acceptée par la communauté scientifique».

Les Gilets Jaunes sont dans la rue pour arracher leur pitance quotidienne des mains crochues des Macrons, et autres barons banksters – et ne sont pas, tous, conscients que l’idéologie suprémaciste du néo-darwinisme est à l’origine de leurs misères. Quant aux Wikipédants, ils ne parlent pas anglais, dans leur grande majorité lobotomisée, ou sont bien trop ignares – et surtout en déficit extrême d’imagination – pour aller au-delà de la seconde ligne d’un article rédigé par Michael Behe, Michael Denton, Marcos Eberlin, Stephen Meyer, ou tout autre scientifique décent prouvant l’inéluctabilité du “Dessein Intelligent”…

En ce qui concerne le Darwinisme, et tous ses néo-avatars, Fakipedia ment, comme tellement souvent, car la grande majorité de la “communauté des scientifiques” – qui se posent des questions – n’a jamais adhéré (au sens d’une compréhension véritable) ou a déserté ou est en cours de désertion discrète… car les représailles font rage.

Même si le Darwinisme était accepté par une majorité de scientifiques, cela ne prouverait que cela, à savoir un processus d’hallucination collective sur mode Darwiniste – et il n’est que de se souvenir de l’épisode historique de la Tectonique des Plaques. Mais il ne l’est pas ou il ne l’est plus – accepté. Aujourd’hui, on peut même écouter des scientifiques évoquer la disparition d’une partie du sous-continent Indien, il y a 60 millions d’années, et, parfois même, l’engloutissement de continents entiers – et ils ne parlent pas de la Lémurie récente. Alors donc, avec toute leur biodiversité, fossiles…?

D’ailleurs, ce que l’on appelle aujourd’hui la théorie de l’évolution Darwinienne n’était pas vraiment une théorie aux yeux-mêmes de Charles Darwin. Le botaniste Allemand Robert Johann Caspary (1818-1887) – qui fut Professeur de Botanique à l’Université de Königsberg et le Directeur de l’Herbarium de Bonn – interviewa Charles Darwin le 27 mai 1866 et lui demanda s’il considérait que l’évolution qu’il envisageait était une hypothèse ou une théorie: «il m’était important d’entendre, de sa propre bouche, s’il considérait sa doctrine de l’évolution des espèces comme une hypothèse ou comme un fait. Je lui demandai s’il estimait avoir jamais découvert une espèce pour laquelle il pouvait être établi, au travers des faits, qu’elle descendait d’une autre. Il répondit fermement que non. Je lui demandai alors s’il considérait que sa doctrine n’était qu’une hypothèse et sa réponse décisive fut affirmative.»

Lorsque Lynn Margulis, dans les années 1960, présenta sa théorie sur l’endosymbiogenèse –  remettant en cause le dogme néo-darwiniste de l’évolution unique par mutations aléatoires – elle fut couverte de ridicule, par la secte, et 15 revues “scientifiques” refusèrent carrément de publier sa thèse. C’est, finalement, le Journal of Theoretical Biology qui la publia en 1967.

Lynn Margulis avait raison contre tous les néo-darwinistes du monde, diplômés, entérinés, doctorés, endoctrinés, bien mouchés du nez et archi bien bouchés des canaux d’imagination.

Pour preuve, écoutons Alain Bussard (1917 – 2010) – dès 1996: «J’ai toujours eu une certaine réserve sur l’expression darwinienne de l’explication de la biosynthèse des anticorps par sélection clonale. Je n’ai toujours pas compris comment une souris a préparé d’avance (dans les 50 jours de sa maturation) tous les anticorps nécessaires pour répondre à tous les millions de types d’antigènes dont certains n’ont pas encore été synthétisés et qui ne résident que dans l’imagination d’un ou plusieurs chimistes ! Ou encore, exprimé autrement, comment les 108 cellules compétentes de la rate d’une souris, peuvent fabriquer les 1012 types [d’anticorps] que l’analyse combinatoire […] permet !»  Alain Bussard fut le directeur de l’International Journal of Immunochemistry, ainsi que le directeur du Département d’Immunologie de l’Institut Pasteur. Il travailla, ainsi, directement, et carrément, avec Jacques Monod, le Hasardiste.

Pour preuve, entre autres délectations, plus d’un millier de scientifiques viennent de signer leur “Dissension Scientifique du Darwinisme” [4] dont le très célèbre James Tour, auteur de 680 publications et propriétaire de 120 brevets, et l’un des chercheurs éminents de la chimie organique – considéré, par Thomson et Reuters, en 2014, comme l’un des scientifiques les plus influents au monde. [5]

Il est vrai, nonobstant, que cela fait frissonner, d’horreur et de rage, lorsque James Tour, ce très éminent chimiste, à la fin d’une heure de conférence, très éminente, sur la chimie organique… invoque son idole Yahvé! Encore un grand humoriste: la Planète Terre comme Don de Yaldabaoth qui la rachète, subséquemment, par le Don de son Fils Unique, Jésus, un Dieu Donné et Supplicié sur la Croix.

“L’arbre de vie” du Néo-Darwinisme – avec ses émergences miraculeuses, ses mutations intentionnées sans vraiment l’être, ses pleines fonctionnalités innées de par la pression de la sélection, etc, etc –  est à l’image de “l’arbre-mort” en croix du Christianisme: à savoir, une fabulation totale. Et on pourrait le concevoir ainsi – comme de la science-fiction à apprécier en fonction des critères propres à ce domaine imaginaire – si cette fabulation n’occultait pas ses fondements et ses objectifs authentiques et réels, ceux du Sionisme, et du Néo-Sionisme subséquent: la suprématie raciale, le génocide, l’idéologie extra-terrestre, etc.

Pour preuve la rencontre [30] tenue à Cambridge, en début avril 2019, sur le thème de “Evolution Evolving: Process, Mechanism and Theory”, durant laquelle certains des meilleurs biologistes du monde se rassemblèrent pour tenter de trouver des solutions aux problématiques insurmontables inhérentes à la théorie moderne et synthétique de l’évolution.

En n’abordant le mème interdit, et tabou, du Dessein Intelligent que dans les coulisses des libérations intestinales de l’Université – exemptes de microphones?

Pour preuve, la création, par des scientifiques dissidents, de ce site internet intitulé, “The Third Way. Evolution in the Era of Genomic and Epigenomics”, qui décline ses motivations comme suivent: « La vaste majorité des gens croient qu’il existe seulement deux manières alternatives d’expliquer les origines de la diversité biologique. La première est le Créationnisme qui dépend de l’intervention d’un créateur divin. C’est une position clairement non scientifique parce qu’elle introduit une force surnaturelle arbitraire au sein du processus d’évolution. La seconde alternative, communément acceptée, est le Néo-Darwinisme qui est clairement une science naturaliste mais qui ignore la plupart des découvertes moléculaires contemporaines et qui invoque un spectre de suppositions, non validées, quant à la nature accidentelle de la variation héréditaire. Le Néo-Darwinisme fait l’impasse sur les processus évolutifs rapides fondamentaux tels que la symbiogenèse, le transfert horizontal d’ADN, l’impact des éléments mobiles de l’ADN ainsi que les métamorphoses épigénétiques. De plus, certains Néo-Darwinistes ont élevé la Sélection Naturelle au rang de force créatrice unique qui solutionne toutes les problématiques évolutives épineuses sans de réels fondements empiriques. Ainsi, de nombreux scientifiques, aujourd’hui, perçoivent la nécessité d’une exploration plus intégrale et plus approfondie de tous les aspects du processus évolutif». [46] Traduction de Xochi.

Il existe effectivement une troisième voie non mentionnée, par les auteurs de ce site, et c’est l’Unique Canal Historique vers le Plérome, vers le coeur de notre Galaxie Vivante et vers le coeur de la Galaxie Ribosomique du Vivant. C’est l’Animisme Sophianique et Gaïen.

Pour preuve, le meeting de la prestigieuse Royal Society du Royaume-Uni, en novembre 2016, sur le thème de “New trends in evolutionary biology: biological, philosophical and social science perspectives” [29] qui fut organisé afin d’évoquer un nombre grandissant d’incohérences au sein de la théorie officielle dans la Biologie – ainsi que pour évoquer l’abime vertigineux, et croissant, existant entre la présentation de la théorie néo-darwiniste au grand public et au public universitaire, d’une part, et l’inéluctabilité de la fronde contagieuse dans les coulisses de la Biologie appliquée, et en phase avec le Réel, d’autre part. L’éminent biologiste évolutionniste Autrichien, Gerd Müller, dans son discours d’introduction, exposa plusieurs “déficits d’explications” de la “synthèse moderne de l’Evolution” et plus particulièrement quant aux problématiques non résolues impliquant la complexité phénotypique (l’origine des yeux, des oreilles, etc), l’innovation phénotypique (à savoir l’origine de nouvelles formes au travers de l’histoire de la Vie) ainsi que les modes de transition (à savoir la problématique des chaînons manquants dans les registres fossiles).

Pour preuve, [6] selon Michael Behe, un bon tiers des biologistes sont, pour le moins, très sceptiques, quant à la capacité du néo-darwinisme de rendre compte de l’extrême complexité de la Vie.

« Lorsque l’on décide de considérer le Darwinisme comme une hypothèse, quant à la sphère biochimique de la vie, plutôt que comme une certitude, cela demande environ dix minutes pour conclure qu’elle est radicalement inadéquate. Cela prend, peut-être, de nouveau, dix minutes pour prendre conscience que la fondation moléculaire de la vie fut intentionnée. Et c’est, effectivement, pour cette même raison qu’Anaxagore, Galien et William Paley arrivèrent à la même conclusion en ce qui concerne les niveaux visibles de la biologie (bien qu’en fonction des avancées dans la science et la philosophie, l’argumentation est, aujourd’hui, par conséquent, beaucoup plus circonstanciée et nuancée que dans leurs versions): la signature d’une activité intelligente réside dans l’assemblage de parties disparates dans l’objectif de remplir une fonction. Les parties moléculaires de la cellule sont assemblées de manière élégante afin de réaliser de nombreuses missions secondaires qui doivent s’harmoniser ensemble au service de la fonction plus holistique de formation de la vie. Comme nous allons le voir dans cet ouvrage, aucun processus non dirigé ou non intelligent  – ni le mécanisme de Darwin, ni aucun autre – ne peut rendre compte de ce fait.» Michael Behe. “Darwin Devolves”. Pages 8 et 9. Traduction de Xochi. Souligné par l’auteur.

Voilà qui est magnifiquement dit. Et d’ailleurs, qui sait si Anaxagore et Galien, comme de nombreux autres Initiés, Philosophes et Instructeurs, de cette ère, n’avaient pas accès, en plus – au travers des sacrements enthéogéniques – à la perception directe de cette biologie qui s’avère invisible pour l’oeil non assisté. Car c’est exactement ce qu’affirment, par exemple, les ayahuasqueros de la Forêt Amazonienne: d’être capables de percevoir le niveau bio-moléculaire. Se reporter à l’ouvrage de Jérémy Narby, “Le Serpent Cosmique”.

C’est ainsi que, durant le Meeting de 2019, “New trends in evolutionary biology: biological, philosophical and social science perspectives”, l’organisateur Denis Noble – le découvreur du rythme cardiaque, il y a plus d’un demi-siècle de cela, et un promoteur du Dessein Intelligent – répondit à l’un de ses opposants féroces (sur le thème du flagelle bactérien): «Ce n’est pas une question de données. Tout le monde est d’accord sur les données. C’est une question de point de vue. J’ai une vision que vous n’avez pas et cela me permet de percevoir des choses que vous ne pouvez pas voir». Johann Wolfgang von Goethe n’aurait pas dit mieux. Tout est question de paradigme – ou de vision, ou de perspective – et celui des néo-darwinistes ne va pas leur servir de parachute lors de la chute finale et létale – en cours, so far so good…

Gerd Müller, dans son ouvrage, de 2003, “On the Origin of Organismal Form” écrit: «Bien que le paradigme néo-darwiniste représente encore le cadre explicatif central de l’évolution, telle qu’elle est présentée dans les manuels universitaires… il ne présente aucune théorie du génératif». C’est franchement du franc-parler universitaire et anti-darwiniste. Et d’ailleurs, du génératif générant ou du génératif générateur? Du génératif en tant que processus ou du génératif en tant que source?

Mais, peut-être que le Processus et la Source ne sont qu’un? Dans le Temps de Rêve des Aborigènes d’Australie, la Rêveuse et le Rêve ne font qu’un. Le Point Oméga du paléontologue Jésuite et dissident, Teilhard de Chardin, était juste sous ses pieds, au coeur de ses fossiles, et au coeur de ses propres cellules – déjà tout évolué.

La Revanche de Lynn Margulis

Feu Lynn Margulis (1938-2011) l’une des perles les plus géniales de la biologie authentique et “vivante” du siècle passé – décédée soudainement, et en très bonne santé, à l’âge de 73 ans – haïssait joyeusement la secte des néo-darwinistes: elle doit exulter du fin font de la soupe Gaïenne qu’elle vénérait tant. Elle écrivit – en 1990, dans la revue “American Zoologist” – que «… selon une perspective Gaïenne, le néo-Darwinisme sera, éventuellement, perçu comme n’étant qu’une secte religieuse mineure, du 20 ème siècle, au sein de la mouvance religieuse et confessionnelle purulente de la biologie Anglo-Saxonne… et c’est pour cela que les néo-darwinistes ne peuvent que mépriser et détruire la vision Gaïenne autopoïétique».

Lynn Margulis est l’une de mes héroïnes, depuis de nombreuses années, car elle osait: sur tous les modes “dare win”. Bom Shakti! Lynn, reviens vite car les psychopathes néo-darwinistes sont dans une panique de trouille… qui va déclencher des catastrophes humanitaires. Une panique de trouille qu’elle observait déjà, en 1990: «les néo-darwinistes se vautrent dans leur interprétation erronée de Darwin, une interprétation zoologique, capitaliste, compétitive et obsédée par les coûts-bénéfices… le néo-Darwinisme, qui insiste sur cela, [la lente évolution par accumulation de mutations par sélection naturelle] a la trouille au ventre».

Un jour, on lui demanda si elle n’était pas lasse d’être considérée comme un sujet de controverses et elle répondit: «Je ne considère pas mes idées comme étant controversées mais comme étant correctes». Aujourd’hui, Lynn Margulis a encore raison: elle est “correcte” à l’encontre de toute la gente des loosers néo-darwinistes.

Aujourd’hui, Lynn Margulis risquerait de croupir dans les geôles de Castaner pour discours de haine confirmée… Tout comme Voltaire? L’un de ses essais de 1998 s’intitulait: “Perfection dans le Lancer de Grenades”. A l’encontre de qui? Allo Manu, ici c’est Zuckie, nous avons déniché une haineuse discourant: lancez les Abus de l’Avia/Sion.

Lynn Margulis, dès jeune, fut la très géniale conceptrice et élaboratrice, sinon la découvreuse, de l’endosymbiogenèse et, toute sa vie, elle plaida pour la coopération, le mutualisme, la symbiose, la synergie… Cette femme fut un perpétuel cauchemar pour tous les mâles néo-darwinistes.

C’est ainsi que le récent clip de promotion de l’Eurovision, d’une télévision Israélienne, [11] déclarait, en toute ingénuité, que tous les Juifs ne sont pas avides… ce qui va de soi et la preuve par Lynn Margulis – s’il en fallait. Il en est de même de mon ami Mushroom qui a consacré sa vie, et son génie d’amélioration et d’innovation génétiques agricoles, à la création de variétés potagères nutritives au plaisir du Domaine Public. C’est très Beau.

Symboliquement parlant, il est d’ailleurs “frappant” que l’Euro-vision soit, cette année, en Israël. Un signe précurseur de l’établissement du Tribunal du Monde à Jérusalem?

«Je souhaite améliorer le système de production de nourriture, à savoir améliorer sa fonction et encourager la longévité. L’aménagement d’un laboratoire d’analyses, de nombreuses caractéristiques de physiologie et de fonctionnement cellulaires, constituerait une contribution précieuse à la santé de Gaïa. La quatrième version du Groupe Phylogénétique des Angiospermes est maintenant en ligne et je vais partir en quête de grexes de zones tempérées permettant de renverser le monopole d’appropriation sur les plantes alimentaires, les légumes, les fleurs, les plantes médicinales, les tubercules. Aujourd’hui, par exemple, j’ai un grex de brassica (un multi-kale) en face de la fenêtre de la cuisine….». Mushroom. Traduction de Xochi.

En fait, mon ami Mushroom crée et innove des assemblages génétiques, depuis des dizaines d’années, tout comme notre allié génial, Maurice Chaudière, qui peut greffer, pour jouer, sur un arbre-tomate, Cyphomandra betacea, un plant de tomate, un plant de piment doux et un plant d’aubergine pour produire la ratatouille sur une seule plante.

Mushroom souhaite installer une nouvelle ferme et un laboratoire en Oregon et c’est pour cela qu’il a décidé de mettre en vente ses 1400 peintures – http://www.kapulerarts.com – dont certaines sont présentées dans cet ouvrage.

L’endosymbiogenèse est, ainsi, l’émergence de la vie par synergie et intégration. Endo/symbio/genèse. Un “endosymbiont” est un organisme qui vit à l’intérieur d’un autre. C’est ainsi que toutes nos cellules, d’organismes eucaryotes, sont issues d’un mutualisme d’entités qui ont décidé, un jour, de partager un bout de chemin… pendant quelques milliards d’années. C’est beau!

«Pendant plus d’un milliard d’années, la seule vie sur cette planète consistait de cellules bactériennes qui, dépourvues de noyau, sont appelées des procaryotes. Elles semblent toutes très similaires et, d’un point de vue anthropocentrique, ennuyeuses. Cependant, les bactéries constituent la source de la reproduction, de la photosynthèse, du mouvement – en fait, de toutes les caractéristiques intéressantes de la vie à l’exception, peut-être, de la faculté vocale! Elles demeurent encore avec nous en grande diversité et grand nombre. Elles gouvernent encore la Terre. A un certain moment, un nouveau type de cellule plus complexe émergea sur la scène, la cellule eucaryote, dont les plantes et les animaux sont composés. Ces cellules contiennent certaines organelles dont les noyaux. Les cellules eucaryotes – dotées d’un noyau – sont les blocs de construction de toutes les grandes formes de vie familières. Comment cette révolution évolutive émergea-t-elle? Comment les cellules eucaryotes apparurent-elles? Probablement, au début, par une invasion de prédateurs. Cela peut avoir démarré lorsqu’une sorte de bactérie, se tortillant, en envahit une autre – pour chercher de la nourriture, bien sûr. Mais certaines invasions se métamorphosèrent en trêves; des associations auparavant féroces devinrent bienveillantes. Lorsque ces envahisseurs putatifs, des bactéries qui nageaient, prirent résidence chez leurs hôtes paresseux, la communion des forces résulta en un nouvel ensemble qui était, concrètement et de loin, plus grand que la somme de ses parties: des nageurs plus rapides évoluèrent en étant capables de déplacer de grands nombres de gènes». Lynn Margulis. Dans “Gaïa is a tough bitch!” Traduction et Soulignements de Xochi.

Lynn Margulis fut, également, la très géniale conceptrice de l’hypothèse et de la théorie Gaïa, avec James Lovelock. Pour mémoire, Lovelock (aujourd’hui âgé de 99 ans) fut, aussi, l’un des chauds lapins du grand cirque du “réchauffement climatique anthropique” mais, depuis 2011, il a quitté l’arène (en prétextant s’être trompé de chapeau de prestidigitateur comme tout bon scientifique peut le faire), et les rênes de cet exercice périlleux de prestidigitation médiatique, pour cause de divergences trop criardes entre le Réel Atmosphérique et les projections robotiques mafieuses du GIEC, de Greenpeace …

et de toutes les autres organisations mafieuses à la solde de Soros et autres Banksters: les ONGs, les Organisations Néo-Génocidaires, de la société civile impériale si vile, animées par de jeunes branques – dans le sens de jeunes scions étiolés et mal étoilés par Sion – sur mode Juan Branco ou Cyril Dion.

Georges Soros, le “socialiste”, vient, juste, de créer un nouvel Institut avec ses comparses “capitalistes”, les frères Koch, dont l’objectif est de mettre fin à toutes les guerres dans le monde… En réalité, à l’image de l’ONU, afin de faire durer – sous de nouveaux atours pacifiques –  son programme de destruction systématique et programmée de l’humanité. Son Institut se dénomme “The Quincy Institute” et son logo est carrément le terme Chinois pour vitalité, énergie vitale, etc, à savoir “Qi”. [132] Une nouvelle démonstration de dissonance cognitive de la part de cet archi-criminel “socialiste”.

Lynn Margulis, en 2001, rédigea la préface de l’ouvrage “The Ice Chronicles: The Quest to Understand Global Climate Change” – une chronique des événements atmosphériques, depuis 100 000 années, déclinée à partir de l’analyse de carottes glaciaires. Dans cette préface, Lynn Margulis évoque la grande problématique de la mémoire humaine pour tout ce qui concerne les saisons, les cycles atmosphériques, les changements de température, etc. C’est, d’ailleurs, ce que vient de prouver, en 2019, une équipe de chercheurs de l’Université de Californie [1] qui met en exergue que les êtres humains ont une mémoire atmosphérique très courte: le temps atmosphérique réel des deux à huit dernières années devient, très rapidement, leur “norme” modulatrice.

En fait, selon cette même étude, les trois-quarts des êtres humains, dans une situation de désastre, s’accrochent désespérément à leur notion de “normalité” – ce qui est, très franchement, hostile à leurs potentialités de survie individuelle ou à celles de la survie de l’espèce humaine. L’humanité a tellement été baignée, par les Autorités, dans une atmosphère de peurs virtuelles, fantasmagoriques et mensongères (dans le sens de fondées sur leur réalité falsifiée en 3D: Division, Domination et Duplicité) qu’elle s’est aveuglée à la perception de ce qui devrait lui mettre la trouille aux tripes pour sa survie.

Cet étiolement de la mémoire du temps atmosphérique est, en fait, à rapprocher du rétrécissement inexorable de la capacité, ou degré, ou amplitude, “d’attention” des êtres humains du monde Occidental qui, pour beaucoup – selon de nombreuses études effectuées très récemment – se résume à très peu de temps. Dans l’un des Traités de la Sagesse Védique, le “Nirvana Tantra”, il est indiqué que la fin du Kali Yuga sera concomitante d’une amplitude d’attention réduite à quelques minutes pour la majorité de l’humanité. C’est aujourd’hui, ou demain, et ce syndrome est fortement aggravé par l’épidémie de non-communication virtuelle orchestrée, et hyper-surveillée, par le biais de robots-espions personnels, et virtuellement personnalisés, très onéreux et très vite périmés.

Lynn Margulis, dans cet ouvrage de “Chroniques de Glace”, dénonça «l’hystérie et l’hyperbole qui sont le fonds de commerce de cette problématique internationale truquée de magouilles politiques». Elle se rendit coupable, aussi, de très nombreux autres crimes de lèse-Autorités: elle dénonça, ouvertement, la version officielle gouvernementale du 11 septembre 2001, elle participa même à un film sur la théorie de la démolition contrôlée des tours et, de plus, elle eut l’extrême outrecuidance de remettre en question la nature, et l’existence même, du Sida/HIV…

Lynn Margulis serait cataloguée, aujourd’hui, comme je le suis, de complotiste, de paranoïaque, de conspirationniste… Le terme “conspiration” signifie “respirer ensemble”. Je préfère respirer la joie de vivre, l’enthousiasme, l’hommage à la Beauté, tout comme Lynn: nous sommes des co-respirateurs de la Force Magique de la Mère.

Un seul, de sa vingtaine d’ouvrages scientifiques, est traduit en Français – à savoir, “L’Univers Bactériel”, co-rédigé avec son fils Dorion Sagan – l’un des deux enfants qu’elle eut de son premier mariage avec le célèbre cosmologiste Carl Sagan. En effet, le secteur de l’Edition Française – à la solde du complexe militaro-industriel Sioniste et, donc, à la merci et sous la coupe des néo-darwinistes – bloqua la publication de ses ouvrages pour cause d’arrogation et de remise en question de l’idéologie en 3D du néo-darwinisme: Division, Domination et Duplicité.

La découverte de l’endosymbiogenèse par la dissidente Lynn Margulis…

en tous mutualismes

Lorsque l’on analyse la page française de Wikipedia, “consacrée”, selon le terme établi, à cette femme géniale que fut Lynn Margulis, on prend conscience de l’ignominie de cet organe de désinformation, et d’intoxication, qui a pour intention fondamentale de “désacraliser” l’oeuvre innovatrice de cette biologiste authentique – dans le sens de lui ôter tout pouvoir, “sak” en Sanskrit.

«Elle est connue pour avoir présenté, dans les années 1960, sa théorie endosymbiotique qui propose que les cellules eucaryotes seraient le résultat d’une suite d’associations symbiotiques avec différents procaryotes». [2] On ne peut qu’observer l’emploi du conditionnel, chez Wikipedia France, alors que, trente années plus tôt, l’éminent néo-darwiniste et biologiste d’Harvard, Ernst Mayr, déclara: «La contribution de Lynn Margulis à notre compréhension des facteurs symbiotiques fut d’une énorme importance». [3]

Aujourd’hui, voilà ce qu’en dit un organisme public, le CNRS, [12] en introduction d’un article traitant non pas de savoir si ces bactéries procaryotes auraient été vraiment ingérées, il y a 1,5 milliard d’années, mais bien de savoir par quels processus elles s’étaient très concrètement ingérées – et ce, en toute immunité: «Comme mitochondries et chloroplastes sont des structures semi-autonomes dotées de leur propre patrimoine génétique, en 1970, la microbiologiste américaine Lynn Margulis postula qu’elles étaient apparues au cours de l’évolution, après l’ingestion – on dit aussi endocytose – de certaines bactéries libres par d’autres organismes unicellulaires procaryotes. Des bactéries libres douées initialement de la capacité de respiration (en ce qui concerne la mitochondrie) ou de photosynthèse (pour le chloroplaste). Cette endocytose des chloroplastes, qu’on fait remonter à 1,5 milliard d’années, semble postérieure à celle des mitochondries. Ces bactéries « ingérées » se seraient ensuite maintenues dans leurs hôtes grâce à l’établissement d’une coopération mutuelle bénéfique aux deux. On parle alors de symbiose : la bactérie aurait fourni à la cellule hôte son processus énergétique ; laquelle, en contrepartie, lui aurait apporté protection et nutriments nécessaires à son fonctionnement. Cette théorie de l’endosymbiose est aujourd’hui celle acceptée par la majorité des biologistes… »

On peut admirer, au passage, le recours à des formulations qui tentent d’exorciser le fait que, franchement, cette endosymbiogenèse constitue une très profonde épine dans le pied des néo-darwinistes. Et quid de la minorité de biologistes qui n’acceptent pas cette “théorie”? Vont-ils prochainement déménager pour une autre planète?

En fait, Lynn Margulis est strictement inconnue en France – du grand public, du moins – de par l’acharnement du néo-darwinisme à son encontre, alors qu’elle était à ce point géniale que – malgré ce que le Système considère comme de “petits caprices de fin de vie” – elle fut plébiscitée, aux USA, comme l’une des vingt scientifiques les plus importants de la fin de siècle. Cette liste ne comportait que deux femmes car selon les postulats, et postillons, patriarcaux, il n’est pas “naturel” (dans le sens de culturellement sionisé), et donc, très rare et circonstancié, qu’une femme scientifique puisse être Nobelisée…

une histoire de gènes Telluriques, vraisemblablement, qui protège la Femme, beaucoup plus fertilement que l’Homme, de l’impact du virus extra-terrestre du Sionisme, transmis par Yahvé/Yaldabaoth, et de la tentation de la Nobelisation néo-Darwiniste – une forme d’ennoblissement néo-Yahviniste, pour les intimes, et autres Tzaddiks, siégeant au coeur de l’intrigue génocidaire de suprématie raciale.

D’ailleurs Lynn Margulis rejeta tout autant le Judaïsme que le néo-Darwinisme. Elle écrivit: « Cela fait des années que je suis critique du néo-darwinisme mathématique; cela n’a jamais fait beaucoup de sens pour moi. On nous dit que les mutations aléatoires – dont la majorité sont prouvées délétères – constituent la cause principale de la transformation évolutive. Je me souviens que je m’éveillai, un matin, avec une révélation, une épiphanie: je ne suis pas une néo-Darwiniste! Cela me rappela une expérience antérieure durant laquelle je pris conscience que je n’étais pas une Juive humaniste» [8]

Son nom de famille Juive, Alexander, lui allait à ravir car, durant toute sa vie, elle s’opposa, avec courage et grande détermination, à l’idéologie de suprématie patriarcale néo-darwiniste en invitant les hommes, les vrais, les mâles authentiques, à se lever – et à rester debout. “Alexandre” signifie, en Grec, “protecteur des hommes”. Lynn Margulis invita les hommes, les mâles, à cesser de se prendre pour des tapis percés et piétinés, quotidiennement, par un gang patriarcal de banquiers et autres eugénistes mafieux. Où sont les Hommes Authentiques, aujourd’hui?

«La symbiose n’a rien à voir avec le coût/bénéfice. La gente “coût/bénéfice” a perverti la science avec des analogies économiques désobligeantes. La dissension ne concerne pas les symbioses modernes, à savoir la vie commune d’organismes disparates, mais le fait de savoir si la “symbiogenèse” – une symbiose sur du long terme induisant de nouvelles formes de vie – s’est manifestée dans le passé et si elle se continue de se manifester, encore, dans le présent. C’est l’importance de l’endosymbiogenèse, en tant que source majeure de métamorphoses évolutives, qui constitue le coeur du débat. J’affirme que la symbiogenèse est le fruit d’une communion de vie sur du long terme – d’une vie commune, impliquant plus particulièrement les organismes microbiens – et que cela constitue l’innovation évolutive majeure au sein de tous les lignées de grands organismes non bactériens». Lynn Margulis. Dans “Gaïa is a Tough Bitch”. Traduction et Soulignements de Xochi.

Aujourd’hui, les biologistes, dignes de cette appellation, ne peuvent qu’intégrer la réalité inéluctable de l’endosymbiogenèse et lorsqu’ils perdurent dans leur obsession néo-darwiniste… c’est à cause de leur trouille au ventre. C’est le cas, par exemple, de Duur Aanen et de Paul Eggleton – dans leur étude, publiée en décembre 2017, “Symbiogenèse: au-delà de la Théorie Endosymbiotique?”:

Qui constituent des cas avérés de chercheurs totalement déconnectés du réel Organique tentant, désespérément, de rapiécer le tissu en lambeaux du néo-darwinisme parce qu’ils ont finalement conclu, quant à l’endosymbiogenèse, des conclusions qui avaient, déjà, été conclues un siècle en arrière en Russie… tout en continuant à les exclure de leur psychisme modelé par l’hallucination collective ambiante.

« La symbiogenèse, littéralement “l’émergence de synergie de vie”, fait référence au rôle crucial de la symbiose dans les innovations évolutives majeures. Ce terme est généralement réservé pour la transition majeure vers les eucaryotes, et vers les plantes et algues photosynthétiques, par endosymbiose. Cependant, dans certaines lignées d’eucaryotes, les endosymbionts ont été perdus subséquemment – ce qui démontre que la symbiose peut déclencher une innovation évolutive majeure, même lorsque les symbionts sont, par la suite, perdus. Cela amène à la possibilité intrigante selon laquelle la symbiose a pu jouer un rôle, dans d’autres innovations évolutives majeures – même lorsque tous les représentants, encore existants, de tels groupes ne témoignent pas de cette association symbiotique… Nous en concluons, donc, que la symbiogenèse est plus largement applicable que pour seulement l’origine endosymbiotique des eucaryotes et des eucaryotes photosynthétiques et qu’elle peut s’avérer un concept utile pour reconnaître le rôle important de la symbiose pour l’innovation évolutive. Cependant, nous n’acceptons pas la vision de Lynn Margulis selon laquelle la symbiogenèse va conduire à abandonner le paradigme néo-darwiniste car cette fonction de la symbiogenèse peut très bien être parfaitement intégrée à la théorie existante». [13] Traduction de Xochi.

Est-il si compliqué d’appréhender que c’est le rejet du néo-darwinisme qui a permis à Lynn Margulis de découvrir l’endosymbiogenèse et qu’il est, donc, très futile de tenter de réintégrer ce fondement incontournable, de la biologie Gaïenne, au sein d’un paradigme qui lui est intrinsèquement antinomique? Le néo-darwinisme ne peut pas être, lui-même, le sujet d’une endosymbiogenèse pour la simple et bonne raison qu’il est biocidaire, mortifère, en bref, opposé à la Vie.

Le néo-darwinisme est une idéologie de sélection sociale, de suprématie raciale et de génocide, qui est issue de cerveaux eugénistes. Le néo-darwinisme ne peut pas être un endosymbiont car il est concrètement et conceptuellement – à savoir par définition des cerveaux psychopathiques qui l’ont fabriqué – un exo/anti/biont.

Le néo-darwinisme se définit par la production de concepts, ou de substances, exogènes et hostiles à la Vie. C’est, en fait, cette même définition que l’on peut appliquer au Sionisme qui a émané d’un virus extra-terrestre dénommé Yahvé/Jéhovah – Yaldabaoth, pour les intimes. Cela étant dit avec tout le respect qui est dû aux virus dont notre corps physique est composé à raison de dix fois plus que de cellules.

Le propos n’est pas de “Darwiniser Gaïa”, comme le prétendent certains obsédés [14]:

le propos est de dé/Sélectionner le néo-darwinisme,

à savoir de “dé/Darwiniser la société humaine”.

L’intention est, en fait, et en vérité, de dé/Sioniser la société humaine. Pour la Vie.

Charles Darwin, Fils et Cousins, à l’origine de “l’Eugénisme scientifique”

Afin de déconstruire authentiquement un phénomène, il faut pouvoir en remonter à l’origine. Selon Wikipedia, «le néo-Darwinisme constitue une extension de la théorie originale de Charles Darwin, laquelle ignorait encore les mécanismes de l’hérédité sur lesquels avait travaillé Mendel». Et Wikipedia de débiter son histoire, toute fabriquée de brics et de bracs, sur la recette du pudding néo-darwiniste: une bolée de lois de Mendel, une grosse louche de sélection naturelle, une fournée de génétique des populations – avec une pincée d’épigénétique qui serait un “complément” de la sélection naturelle – pour arriver à la “théorie synthétique de l’évolution”. Une théorie qui fut, ainsi, nommée par le biologiste archi-eugéniste Julian Huxley, en 1942.

La capacité de Wikipedia de sauter du paradigme de l’évolution, par mutations aléatoires, au paradigme de l’évolution, par épigénétique, en faisant mine de l’intégrer, comme une cerise, sur le pudding néo-darwiniste, est quasiment tout aussi miraculeuse que l’émergence, par hasard, selon leur dogme, de la première cellule eucaryote. Cela n’est pas sans rappeler la capacité des Chrétiens de voltiger de Yahvé, le sanguinaire, au Papa de Jésus, le Dieu d’amour – avec les mêmes frivolités: un peu d’encens, un peu de latin, quelques pleurnicheries, de la gymnastique (debout, assis, à genoux, etc) et beaucoup de croix sanguinolentes – et le tour est joué. C’est ce que l’on appelle la glorification de la souffrance, et du supplice, au nom de l’amour rédempteur. Tout va bien sur le plan de la dissonance cognitive?   

Julian Huxley (1887-1975), un eugéniste très virulent et auto-proclamé tel, est le petit-fils de Thomas Henri Huxley (1825-1895) qui fut connu comme “le Bouledogue de Darwin” – et qui fut aussi un eugéniste très notoire et l’un des tout premiers. C’est dans cette alliance entre les familles Huxley, Darwin, Galton et les banquiers Rothschild, et autres barons voleurs mafieux, que siège le germe du néo-Darwinisme qui est, fondamentalement, une idéologie de sélection eugéniste fondée sur les théories des populations de Thomas Malthus (1766-1834) – ainsi que sur sa lubie de “la survie des plus forts” – et sur les élucubrations économiques et financières, à visée de prédation des Peuples, de l’économiste John Law (1671-1729).

Le psychopathe eugéniste Julian Huxley est également le frère d’Aldous Huxley (1894-1963), le célèbre romancier anti-militariste et auteur d’une cinquantaine d’ouvrages dont “Le Meilleur des Mondes” et surtout “Les Portes de la Perception” – dans lequel il relate ses expériences enthéogéniques avec le LSD et la Mescaline. Aldous Huxley passa le seuil, d’ailleurs, à l’âge de 70 ans, en toute communion intentionnelle au LSD. Les voies du mérite (dans le sens étymologique de destinée), au sein de la Loterie Gaïenne, sont parfois impénétrables!

Lorsque Charles Darwin (1809-1882) arriva sur la scène publique avec son “Origine des Espèces”, ce fut la bonne aubaine que les banksters psychopathes attendaient car ils étaient en quête, depuis longtemps, d’un mythe moderne, d’une d’idéologie, qui puisse  se substituer aux religions faillissantes – quant à leur objectif de contrôle social – et qui puisse fonder leurs prétentions de contrôle, et d’autorité, sur tout le reste de la planète. Ils concoctèrent, donc, un mythe au bénéfice de leur propre prospérité et suprématie: le mythe de la survie Darwiniste des plus forts et des mieux adaptés.

L’Eugénisme ne date pas des Anglais Darwin, Huxley et autres Galton. Il n’est que de d’ausculter l’histoire de la Grèce: par exemple, les écrits de Platon ou les traditions de l’ancienne Sparte. [16] Mais l’eugénisme d’Etat, à la Grecque, ne pouvait pas être imposé au monde Occidental, au détour du siècle passé, d’une seule offensive, et surtout sous ses atours d’antan. C’est l’eugénisme d’Etat qui se débarrassa de Socrate.

Le néo-Darwinisme scientifique a permis à la Fondation Rockefeller – l’initiatrice de l’eugénisme dans le monde Occidental – de faire voter les premières pratiques eugénistes, dans certains états des USA, dès 1905. [15] C’est l’Indiana qui vota le premier, en 1907, des lois de stérilisation; il fut suivi de la Californie. En 1917, 15 états avaient déjà voté des lois eugénistes visant à stériliser les populations définies comme fortement enclines à faire dégénérer la société humaine, dont, bien évidemment, les Peuples Amérindiens – qui sont toujours, aujourd’hui, le sujet d’un eugénisme à large spectre. En 1950, ils étaient 33 Etats, aux USA, à avoir mis en place des programmes de stérilisations.

Entre 1907 et 1937, des lois permettant de stériliser (les Amérindiens, les criminels, les épileptiques, les malades mentaux, les idiots et parfois les alcooliques et les toxicomanes…) furent votées aux USA, en Estonie, en Suisse, au Danemark, en Allemagne, en Norvège, en Finlande, en Suède. L’Angleterre ne vota pas de telles lois malgré que trois de ses premiers ministres eussent été des eugénistes très convaincus – à savoir Arthur Balfour, Arthur Neville Chamberlain et Winston Churchill.

L’eugénisme progressa très rapidement aux USA grâce à la création de la “Société Américaine d’Eugénisme” créée en 1922 par John D. Rockefeller, en personne, l’initiateur de la Fondation Rockefeller.

Francis Galton, le fondateur de ce qui devint la Eugenics Education Society d’Angleterre – et qui est considéré comme le père de l’Eugénisme – était un cousin direct de Charles Darwin. Et c’est un autre eugéniste proéminent, Léonard Darwin, le propre fils de Charles Darwin, qui organisa le Premier Congrès International d’Eugénisme, à Londres, en 1912. Y participèrent 400 invités de marque dont Winston Churchill, Lord Alverstone et Lord Balfour, Paul Doumer, le Professeur Yves Delages, etc – ainsi qu’un chapelet d’ambassadeurs.

Léonard Darwin et un autre eugéniste, Ronald Fisher, (1890-1962) – auteur de l’ouvrage “The Genetical Theory of Natural Selection” – firent campagne nationale, en Angleterre, pour faire passer une première loi permettant “la stérilisation volontaire” des moins bien lotis (génétiquement parlant) et une seconde loi permettant d’augmenter les allocations financières aux familles nombreuses de la bourgeoisie et permettant de supprimer, totalement, ces mêmes allocations aux familles nombreuses des milieux les moins bien lotis (économiquement parlant) afin de les décourager à produire plus d’enfants – et épurer, ainsi, tout ce que les Eugénistes considéraient comme déchets de la société humaine. Cette proposition de loi fut présentée au Second Congrès International d’Eugénisme, à New-York, en 1921, auquel participaient Henry Fairfield Osborn et Alexander Graham Bell, l’inventeur du téléphone.

Léonard Darwin ne put participer au Troisième Congrès International d’Eugénisme, à New-York, en 1932, car il était alors âgé de 88 ans mais il envoya un rapport, présenté par l’eugéniste Ronald Fisher, annonçant la fin de la civilisation si des mesures eugénistes draconiennes n’étaient pas adoptées. [21] C’est lors de ce congrès que, le psychiatre Suisse-Allemand, Ernst Rüdin, fut nommé président de la Société Internationale d’Eugénisme.

Si l’on prête attention à ce qu’affirment Adrian Desmond et James Moore, les auteurs archi-Darwinistes de l’ouvrage “Darwin: The Life of a Tormented Evolutionist” (1994): «Le Darwinisme social est, souvent, considéré comme quelque chose d’étranger, une laide concrétion surajoutée, subséquemment, au pur corpus Darwinien et ternissant l’image de Charles Darwin. Nonobstant, ses livres de notes mettent clairement en exergue que la compétition, le libre marché, l’impérialisme, l’extermination raciale et l’infériorité sexuelle étaient inscrits dans l’équation, dès l’origine: l’objectif du “Darwinisme” a toujours été d’expliquer la société humaine». Soulignement par Xochi.

Peut-il être plus clairement exprimé que Charles Darwin avait contracté le virus extra-terrestre, et psychopathique, de suprématie raciale? Charles Darwin était un eugéniste. Dans le cas de Charles, il semblerait que ce virus ne soit pas familial, mais acquis, ou bien alors transmis lors de la génération précédente car le grand-père Erasmus Darwin semble y avoir été totalement immunisé.

En effet, «son grand-père Erasmus Darwin, avait présenté, une génération avant la sienne, une vision beaucoup plus convaincante de la symbiose Gaïenne et de la sélection naturelle, si l’on souhaite employer une telle expression. Cette vision était profondément ancrée dans la reconnaissance de l’aspect érotique des processus naturels. Il existe, ainsi, beaucoup d’érotisme dans les écrits d’Erasmus Darwin et nous pouvons retrouver les semences de la théorie, pour laquelle Charles Darwin est réputé, dans une forme plus pure, et dans une forme plus en harmonie avec la vision Gaïenne, dans l’oeuvre de son grand-père qui fut un génie étonnant et un esprit universel, un inventeur de divers instruments, en bref, une personne brillante qu’il vaut vraiment la peine d’étudier.» John Lamb Lash.

Du Deutéronome de la Bible

à l’Eugénisme Scientifique du Néo-Darwinisme

Selon Francis Galton, l’Eugénisme constitue «la science de l’amélioration génétique qui n’est, en aucunes manières, restreinte aux questions d’accouplement judicieux mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, prend en compte toutes les influences qui tendent, quelqu’elles soient éloignées, à conférer aux races et aux lignées sanguines les mieux adaptées une meilleure chance de prévaloir, sur toutes celles qui sont moins adaptées, que ce dont elles auraient pu, sinon, bénéficier». (Inquiries into Human Faculty and Its Development, page 25). Traduction et Soulignements de Xochi.

Francis Galton n’y va pas, manifestement, par un chemin de traverse: il prône, proprement, l’élimination des races et des lignées sanguines inférieures. Et qui décrète – et en fonction de quels critères – que certaines races et lignées sanguines soient mieux adaptées que d’autres? Bien évidemment, les néo-Darwinistes Eugénistes eux-mêmes! Cela frise le syndrome du Peuple Elu! On se croirait plongé dans le plus pur eugénisme génocidaire (“domination des Nations”) et biocidaire (“sous tout arbre vert”) tel qu’il est édicté dans le Deutéronome – le premier ouvrage rédigé de la Sainte Bible au septième siècle avant EC:

« L’Eternel, ton Dieu, te bénira comme il te l’a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n’emprunteras point; tu domineras sur beaucoup de nations, et elles ne domineront point sur toi.» Deutéronome. 15: 6. « Vous détruirez tous les lieux où, dans les nations que vous posséderez, servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert». Deutéronome 12:2-3.

Pour mémoire, l’Eternel est une autre dénomination monothéiste pour Yahvé, alias Jéhovah, Yaldabaoth le Dément, Samaël l’Aveugle, Ahriman et ensuite, Allah, le Père du petit Jésus, Dieu, le Seigneur, le boss de Melchisédech, etc…

Les Chrétiens ne précisent pas où demeure l’Eternel dans l’Univers Infini de galaxies – dont quelques dizaines de milliards ont déjà été repérées par le Télescope Hubble. Ils sont, déjà, bien en panne d’expliquer le passage, extrêmement délicat, du Yahvé sanguinaire et dément (de l’Ancien Testament) au Dieu d’amour, papa calinou de Jésus (du Nouveau Testament) – qui dément le premier. Pour faire diversion, ils ont même inventé la Sainte Trinité. Une Trinité qui devint Quaternaire, subséquemment, car ils durent surajouter, quelques siècles plus tard, la Juive Vierge non Maculée: une autre diversion populaire afin de prétendre donner quelque virginité à leur soupe génocidaire, à la grimace, avec une vierge ingénue qui fut engrossée par insémination extra-terrestre – du Fils de Yaldabaoth en personne – par l’Archonte Gaby qui faisait une ronde en Judée. 

Un Chrétien peut être néo-Darwiniste, durant la semaine, au boulot, et réciproquement. Pourrait-on même considérer la Juive Vierge Marie comme le sujet chanceux d’une forme de sélection naturelle, sur mode néo-darwiniste, par mutation aléatoire, qui a permis à la non-race Juive d’engendrer le Messie tant attendu sur un mode parthénocarpique? Rien n’est mythiquement simple car, de toutes manières, Jésus ne fut pas le Messie que les Judaïstes attendaient. Jésus était attendu par les Chrétiens qui ne le savaient pas – car ils n’existaient pas encore. Paul de Damas ne les avait pas encore inventés! On vit une époque formidable.

D’un point de vue néo-darwiniste pur et dur, la conception du Fils de Yaldabaoth, non maculée et extra-terrestre, par la Vierge Juive, n’est pas plus improbable que tout le reste de la Biosphère. Selon cette idéologie – qui se veut pragmatico-logique – l’intégralité de la Biosphère Vivante est issue d’une cellule primordiale, des milliards d’années en arrière, qui a évolué par le biais de mécanismes aléatoires, divers et hasardés, pour se métamorphoser en ce trésor de biodiversité. Cela prend une plombée Saturnienne de Temps mais c’est tellement beau!

Le Temps et un premier petit miracle: c’est le secret de l’idéologie Big-Bangiste – un avatar cosmologique de l’idéologie Néo-Darwiniste. Lorsqu’on donne aux Big-Bangers un premier petit miracle (et personne ne peut aller vérifier ce qui se passa, véritablement, il y a 14 ou 15 milliards d’années et des poussières) à savoir le Tout émergeant du quasi Rien – sous forme d’un atome-germe hyper-concentré – ils peuvent en susciter un plus grand miracle: un Univers en expansion/évolution infinie. Selon l’idéologie néo-darwiniste, le Big Bang constituerait, ainsi, la mutation aléatoire d’un atome-germe (parmi des trillions de trillions de trillions d’atomes germes au sein du Multiverse) se métamorphosant en un univers extensible et évoluant à l’infini.

Le Temps et un petit miracle – celui de l’émergence de la première cellule eucaryote –  c’est le secret, le deal-breaker, de l’idéologie des néo-darwinistes. Ils sont très gourmands de Temps parce que, tout d’abord, le temps, c’est de l’argent… suivez mon regard. Ensuite, parce que leur idéologie repose sur l’axiome suivant. Si l’on donne – ou prête, même sans intérêts – au Temps assez de temps, des contingences à priori improbables peuvent alors acquérir, au fil de millions ou même de milliards d’années, une probabilité sans cesse croissante à un point tel que c’est leur non-manifestation, plutôt que leur manifestation, qui devient hautement improbable. Est-ce bien clair?

La probabilité de cette improbabilité est-elle bien claire de par le fait que le Temps va bien finir par céder aux exigences de mutations aléatoires et hasardées, des néo-darwinistes,  suite à la pression de la Sélection Evolutive? Par conséquent, tout néo-darwiniste fervent ne peut que s’émerveiller du gigantesque miracle permanent, et aléatoire, qu’il constitue, lui-même, depuis l’émergence miraculeuse de la première cellule eucaryote. Un néo-darwiniste est, ainsi, le fruit d’une très lointaine et archi improbable improbabilité qui a finalement obligé le Hasard à lui faire les faveurs d’une incarnation sur Terre. N’est-ce pas très sympathique et aimable de la part du Hasard?

Les Concepteurs du Néo-Darwinisme furent tous des Eugénistes

Selon Alfred Russel Wallace, (1823-1913), qui est crédité comme étant le co-fondateur de la Théorie de l’Evolution, avec Charles Darwin, et un champion de la cause féminine, il était nécessaire que les femmes pussent bénéficier du libre-choix, quant à leur mariage, afin d’avantager la sélection naturelle «dans l’intention de purifier la société des non-adaptés». C’est ainsi que dans son ouvrage “From Eve to Evolution: Darwin, Science, and Women’s Rights in Gilded Age America”, Kimberly Hamlin affirme, clairement, que les conceptions d’Alfred Russel Wallace, quant au libre-choix de mariage de la femme, «étaient fondées sur son adhésion à l’idéologie eugéniste» même s’il ne préconisait pas, réellement, un eugénisme coercitif d’Etat (page 142).

Nous sommes, alors, au tournant du 20 ème siècle et le co-fondateur de la Théorie de l’Evolution, Alfred Russel Wallace, est, tout comme Charles Darwin et son fils Léonard Darwin, un eugéniste mais un eugéniste “soft” qui n’est pas porté vers l’Eugénisme d’Etat.

Nous sommes, aujourd’hui, en 2019 et le Darwinisme social pratiqué par le gang de Macron, Philippe et Castaner est un Eugénisme d’Etat. Le Darwinisme social pratiqué par Israël à l’égard de la Palestine est un Eugénisme d’Etat.  Le Darwinisme social, sur mode vaccinal et sur-vaccinal pratiqué par l’Etat, à l’encontre du Peuple de France, est un Eugénisme d’Etat. Etc, etc, ad nauseam.

Pour en revenir à la définition de Weakypedia (au service de la survie des plus forts et des mieux adaptés) quant à la “théorie synthétique de l’évolution” [17] comme étant un pudding de “sélection naturelle”, de “génétique de Mendel” et de “génétique des populations”. Qui furent, donc, ces généticiens qui ont confectionné cette recette à partir de la Théorie de l’Evolution de Charles Darwin et d’Alfred Russel Wallace?

Ce furent Ronald Fisher et Julian Huxley, les eugénistes déjà mentionnés ci-dessus. Ce fut Wilhelm Johannsen, l’inventeur des “lignées pures”, en 1903 – qui ont permis l’une des plus grandes arnaques de l’agronomie moderne, les hybrides F1 – qui était un eugéniste modéré. Ce fut Sewall Green Wright qui était un eugéniste avéré. Ce fut le biologiste Charles Davenport qui était le leader du Mouvement Eugénique aux USA. Ce fut le célèbre biologiste et généticien Theodosius Dobzhansky – qui rédigea la préface de “The Future of Human Heredity”, l’ouvrage de l’eugéniste forcené, Frederick Henry Osborn. Ce fut le très célèbre Ernst Mayr qui promouvait, plutôt, “un eugénisme positif” – à savoir, l’encouragement de la reproduction des individus ayant des traits génétiques plus bénéfiques que d’autres pour la société humaine (dans une lettre à Francis Crick). [19] Ce fut John Burdon Haldane qui était un eugéniste convaincu – mais de tendance socialo-judéo-bolchévique, à savoir prônant la stérilisation eugéniste pour libérer le prolétariat… Tout va bien?

Ce fut également la proposition des écrivains eugénistes de cette même mouvance “socialiste et prolétarienne”, tels qu’H G Wells, Karl Pearson et George Bernard Shaw. En fait, et bien évidemment, le “Marxisme” est pétri d’Eugénisme car le Rabin séculaire Karl Marx a été génétiquement programmé par le Sionisme et le virus extra-terrestre de Yahvé/Yaldabaoth. Dans la Russie Bolchévique de Lénine, l’Académie des Sciences comprenait un Bureau de l’Eugénisme. De 1925 à 1929 , cette commission fut nommée le “Biuro po Genetike i Uvgenike.” Il existait, tout autant, une commission de l’eugénisme dans l’Académie Communiste, sa concurrente d’alors.

Il est vrai que de nombreux penseurs Marxistes orthodoxes, surtout Soviétiques, adhéraient à la règle stricte, du partage des territoires Sionistes, selon laquelle le Marxisme commence là où se termine le Darwinisme – à savoir, la biologie, à savoir la génétique… à savoir l’Eugénisme.

Nonobstant, l’éminent théoricien Marxiste, et Juif Allemand, Karl Kautsky, (1854-1938) était un eugéniste militant et proche de Wilhelm Schallmayer, considéré comme le père de l’Eugénisme Allemand. Karl Kautsky fut parfois présenté comme le meilleur théoricien Marxiste depuis Engels. Il est également l’auteur de l’ouvrage “Are the Jews a Race?” [20]. C’est vrai que certains se le demandent, parfois en cachette… car Big Tzaddik is listening to you.

Il ne fut pas le seul eugéniste Juif proéminent. L’Allemand Richard Goldschmidt, (1878-1958) parmi d’autres, fut un ardent défenseur des législations de stérilisation eugéniste jusqu’en avril 1933 –  lorsqu’il fut démis de son poste au Kaiser Wilhelm Institute fur Biology à Berlin. Le Britannique Harold Laski (1893-1950), le proéminent penseur Marxiste, en fut un autre. L’Allemand Elias Auerbach (1882-1971) en fut un autre. Cette liste est trop longue à décliner – masculine dans son essence mais parfois ponctuée de personnalités féminines, telle que “l’anarchiste Juive” Emma Goldman.

Trop longue à décliner d’autant plus que l’Eugénisme est inscrit au coeur du Judaïsme, et donc au coeur de tous ses avatars Sionisants.

Julian Huxley, le petit-fils du Bouledogue de Darwin et l’eugéniste le plus proéminent du siècle passé, fut également le premier directeur de l’UNESCO! Pourquoi se gêneraient-ils? Ne sont-ils pas chez eux? En 1961, lors du Congrès “Man and his Future” – organisé par la Fondation Ciba qui devint, ensuite, la Fondation Novartis/Syngenta – il donna le discours d’introduction de ce congrès donnant la parole à 27 scientifiques, tous des hommes comme d’habitude, supposés conférer leurs lumières, au reste des Goyim, sur l’éthique en relation avec les technologies de l’Eugénisme. [18] Y participaient, également, les eugénistes suivants: Francis Crick, le supposé co-découvreur de l’ADN (qui fut découvert, en fait, par une femme,  Rosalind Franklin); Hermann Joseph Muller, le généticien des radiations; Alan Sterling Parkes, un pionnier de la transplantation ovarienne, Peter Medawar, le père de la transplantation; etc. Francis Crick y proposa, même, d’établir un nouvel impôt sur la production d’enfants, à savoir un nouvel impôt dont le gros porteur serait le Prolétariat.

Pour mémoire, le terme “Prolétariat” désigne cette classe d’animaux humains qui ne “possèdent” rien, dans la vie, à part leurs enfants. Du Latin “Proles” signifiant progéniture. Et encore faut-il préciser que les enfants du prolétariat sont totalement sous contrôle d’Etat par le biais de l’éduCastration, des vaccinations, et tutti quanti.

Les Fondations les plus décisives dans la promotion du mouvement de l’Eugénisme furent les Fondations Rockefeller, Ford, Milbank Memorial Fund, Ciba/Novartis et Gulbenkian. C’est la Fondation Rockefeller qui, la première, finança, dès les années 1940, les recherches sur les chimères génétiques fonctionnelles – dénommées ensuite “organismes génétiquement modifiés”. Ce furent ces mêmes Fondations qui fomentèrent la pseudo Révolution Verte en Inde et dans le reste du Tiers-Monde.

La Révolution Verte n‘est qu’une néo-darwinisation, sur mode chimique biocidaire, de l’agriculture bio et vivrière des pays les plus pauvres de la planète.

Lors de ce congrès de 1961, “Man and his Future”, les criminels eugénistes évoquèrent, également, quelles seraient les thérapies dans le proche futur de milliers années. Il est à noter que cette année fatidique de 1961 vit, sur le plan planétaire, la création ou l’initiation, par les Sionistes, de l’UPOV (marché captif des semences), de l’OCDE, de la pseudo Révolution Verte, du Codex Alimentarius (en décembre 1961 créé par la FAO et l’OMS), de l’Alliance pour le Progrès, du remaniement du GNIS (en France), etc, etc.

Julian Huxley dut louvoyer, toute sa vie, pour présenter son eugénisme forcené comme un “humanisme”. Et ce, d’autant plus que l’Histoire authentique – et non pas l’histoire falsifiée dans les ouvrages rédigés sur commande – met intensément en exergue que l’Europe vécut un cauchemar de “guerres de libération” depuis l’avènement de l’idéologie Darwiniste et de ses avatars, en 1859. Ces “guerres de libération”, orchestrées par le Sionisme, sont la guerre Franco-Allemande de 1870/1871; la guerre contre les trois cents Peuples de Russie initiée par le coup d’Etat Judéo-Bolchévique, en 1917; les deux Grandes Boucheries Mondiales de 1914/1918 et 1939/1945; la guerre du Kosovo promue par le sioniste vert Daniel Cohn-Bendit; etc, etc.

Tout comme son comparse sioniste Vert, Alan Lipietz, qui promut, aux côtés du Nain Hongrois, la destruction strictement totale – et toujours en cours – de la Libye pour en libérer son peuple de l’emprise du Guide Muammar Gaddafi – qui en avait fait le pays le plus riche d’Afrique après en avoir chassé les colonialistes Français et Italiens. Alan Lipietz, d’ailleurs, me traita de “soutien aux dictateurs” lorsqu’en mars 2011, juste après le désastre nucléaire de Fukushima, je publiai mon communiqué, “La Coalition des Clowns Psychopathes”, afin de dénoncer cette attaque Sioniste, sous l’égide de BH Lévy, à l’encontre des peuples de la Libye. Ce pays a été attaqué, anéanti et dépecé tout comme la Yougoslavie de Tito. Pour quelles raisons? Où sont donc les 1700 tonnes d’or du Trésor Libyen subtilisées au printemps 2011? En Angleterre, dans la City of London?

Les Sionistes, prétendument écologistes, Alan Lipietz et Daniel Cohn-Bendit – alias Dany Croquette dans les manuels scolaires LGBT (et anti-transphobes) du Sinistre Blanquer de l’EduCastration – ont respectivement soutenu, très largement, l’utilisation de bombes à uranium appauvri tant au Kosovo qu’en Libye.

Tout va bien sur le plan de la dissonance cognitive? Qui a eu le courage d’examiner, sur internet, les photographies des enfants qui sont nés dans tous ces pays dévastés, par “l’Alliance Occidentale”, à grands renforts de bombes à uranium appauvri – made in France? Et distribuées gracieusement avec le soutien des Verts et autres zécologistes d’Europe-Ecologie, un repère de transfuges de tout, de rien et de bons à rien.

Ce sont les mêmes qui vont aller parader au Grand Théâtre des Illusionnistes à Bruxelles – pour aller installer la Bio Industrielle (pillée de la bio-masse et extraite du sang du Tiers-Monde) dans les cantines des écoles – là où les enfants sont lobotomisés par l’EduCastration Nationale. Et pour sauver le Saint Climat de la Tentation du Péché de Carbone! Tout va bien?

C’est, d’ailleurs, le prophète canicul-béni et écolo-thermiste, Yannick Jadot, l’un des récents sauveurs de la Macronie, avec son grand complice Cohn-Bendit –  “Elections: Pièges à Cocons!!” – qui déclarait le 14 octobre 2009 [56]: «Sarkozy fait se réchauffer la planète de 4°C…. Au-delà des discours, les positions françaises sont en fait dangereuses. Elles conduiraient à un réchauffement de la planète de plus de 4°C, provoquant une catastrophe humanitaire insupportable.» [55] Et comme le disait Cohn-Bendit, en avril 2019, rapporté par le Journal LibéronSion, «en 2009, on ne parlait pas de Sarkozy, on parlait d’Europe et d’Ecologie». Tout va bien?

Pendant ce temps, Yannick Jadot fait le pitre pour amuser la galerie et propose même de mettre en place un congé-canicule… pour sauver l’Atmosphère de l’Holocauste. Yannick Jadot en grand prêtre de l’Atmoscauste, c’est pour bientôt, cette nouvelle carte?

Les concepteurs du Néo-Darwinisme furent-ils, donc, tous des eugénistes convaincus? En fait, il s’avère très difficile d’en trouver qui ne le furent pas, en particulier chez les généticiens. Pourquoi donc?

Parce que le Darwinisme et le Néo-Darwinisme constituent une idéologie de suprématie raciale et de génocide. Il n’est que de leur rajouter le virus extra-terrestre de la prétention à la supra-humanité pour obtenir le Sionisme.

Est-il naturel, et est-ce le fruit de la sélection naturelle par mutations hasardées, que les hiérarchies de toutes les sectes des trois religions idéologiques et monothéistes (le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam) ainsi que les hiérarchies des trois idéologies séculaires et quasi religieuses (le Marxisme, le Néo-Darwinisme et le Communautarisme) soient sous le contrôle absolu, ou quasi-absolu, des hommes, à savoir des mâles? Et de préférence des mâles très barbus dans le cas des religions monothéistes Abrahamiques.

La Femme est-elle à ce point protégée organiquement et telluriquement – par la Mère – qu’on ne la trouve que rarement dans les hiérarchies archi-criminelles et psychopathiques à l’origine de toutes les idéologies pernicieuses et génocidaires issues du Sionisme? Est-ce un problème de déficit de barbe? Ou est-ce parce qu’intrinsèquement, comme l’affirmait le très Chrétien Saint Augustin, la Femme n’est qu’un être génétiquement et sexuellement inférieur, à replacer au rang des caninées, et indigne de siéger chez les Autorités?

Où sont, d’ailleurs, les Femmes chez les Tzaddik, sinon cachées, dans des placards, à double-tour? Selon la majorité des idéologies issues du Sionisme, la Femme constitue un sujet/objet favori – une proie privilégiée – de la prédation intra-spécifique. Ou alors un prétexte, pour plus de prédation, tel qu’il s’est manifesté dans la création du Mouvement Féministe par la Fondation Rockefeller et autres officines Sionistes. C’est ainsi que le chantait le dissident John Lennon: «Woman is the Nigger of the World».

Mais, aussi, comme le chantait un autre poète:  «Le premier Homme était une Femme». Dans la vision biologique de Gaïa, ainsi, les hommes sont des femmes mutées! Se pourrait-il que Gaïa se perçoive, elle-même, au travers du Vecteur Femme, au travers de l’Objectif de sa Femme Lunée: sa “Lunette biologique”? Quant au Vecteur Homme, ne serait-ce pas, alors, l’Humain – l’Anthropos, l’espèce anthropine – vu au travers de l’Objectif de Gaïa.

Il n’est pas anodin, d’ailleurs – en photographie ou en cinématographie – que le terme “objectif” (“lens” en Anglais) soit utilisé en tant que vecteur technologique ciblé vers un dessein photographique, vers un “objectif”. Il en est de même de Gaïa-Sophia, la Mère Animale Planétaire: elle est l’Objectif, le Dessein, la Photographieuse… et même la Photographie.

La Prédation Intra-Spécifique au Coeur du Néo-Darwinisme

La genèse de l’expression “la survie des plus adaptés” est attribuée à un autre grand penseur de la Théorie de l’Evolution, Herbert Spencer, (1820-1903), le très populaire philosophe Anglais, qui l’utilisa, en 1864, dans son ouvrage “Principes de Biologie”. Charles Darwin la reprit dans sa cinquième édition de “L’Origine des Espèces”. Herbert Spencer est, parfois, considéré comme le père du Darwinisme Social mais, en fait, il était Lamarckien, farouchement anti-impérialiste – et strictement pas eugéniste – et, sans doute, quelque peu anarchiste dans son refus de laisser l’Etat intervenir.

“La survie des plus adaptés” est une tautologie d’un point de vue biologique. Comme l’affirme si justement mon ami Mushroom, «nous sommes tous des réfugiés écologiques». Par conséquent, ceux qui ont survécu aux vaccinations, à l’éducastration, aux aliments empoisonnés, aux radiations nucléaires, aux religions, aux persécutions de l’Etat, etc… est ce par l’adaptation “progressive”, ou par la résurgence “récessive” de gènes antiques, ou par une mutation soudaine, ou par paresse, ou par la grâce du petit jésus dans la crèche – ou grâce à un bon numéro à la Loterie de Gaïa?

«L’idéologie de la domination des plus adaptés et de la survie des plus adaptés n’est qu’une arnaque; les prédateurs globalistes ne font que l’utiliser pour légitimer leur propre domination de la société. Il n’existe absolument aucun équivalent de leur comportement dans la Nature. En fait, Thomas Henri Huxley adopta les observations éthologiques de Darwin, ils les propulsa, les modela, les pervertit et les déforma; il en fit des extrapolations et les falsifia pour en faire l’idéologie d’un système fondé sur une sorte de race maîtresse. Et les dominateurs de ce système seraient les maîtres financiers ainsi que les autorités gouvernementales et les autorités économiques qui contrôlent, de nos jours, le monde. Les dominateurs avaient besoin d’une idéologie parce qu’aucun mouvement ne peut prospérer dans la société humaine, à large échelle, s’il n’existe pas un mythe, ou une idéologie, qui lui soit attachée et qui enflamme l’imagination humaine. Ils inventèrent donc un mythe pour leur propre bénéfice appelé la survie Darwinienne des plus adaptés». John Lamb Lash.

Sur le plan de la société humaine, si l’on part du principe que l’animal humain a été créé mutualiste – comme tout le reste de la Biosphère – alors donc, tout ce qui est non adapté, ou opposé, au mutualisme devrait être strictement réprimé – au titre de la survie de l’espèce humaine. La Chasse aux Prédateurs est ouverte.

Les Néo-Darwinistes eugénistes, et tous les psychopathes criminels qui occupent des postes d’Autorités, devraient être empêchés de nuire – pour ne pas dire strictement éliminés – de la sphère humaine car ce sont des handicapés: ils sont inadaptés à la vie mutualiste humaine. Et ils sont, présentement, en train d’emmener l’espèce humaine vers le génocide le plus intégral. Qu’allons nous faire?

En fait, les néo-darwinistes prônent “la survie des plus forts et des mieux adaptés” à un système social… dont ils ont eux-mêmes inventé les règles.

Que sont-elles, donc, ces règles? Elles ne sont qu’une qui s’expose en quelques mots: “la compétition et la lutte qui impliquent la survie et la domination subséquentes des plus forts et des mieux adaptés”.

C’est à l’image de la Démocratie (Demos/Cratos) qui n’a jamais existé parce qu’elle n’est jamais au Pouvoir du Peuple. En effet, ceux qui, prétendument au service du Peuple, en ont inventé les règles – les Sionistes – en ont omis la Transparence afin de pouvoir manipuler les masses populaires sur leur mode, en 3 D, d’hallucinations collectives: Domination, Division et Duplicité. Les Ecrans de la Virtualité – sous tous aspects – ne sont jamais fort transparents quant à leurs motivations authentiques.

Elections: Pièges à Cocons! Aujourd’hui, les réseaux asociaux et les instruments modernes de la dictature de la “pensée”, tels que Fakebook et Google, ont pris le relais de la lobotomisation des Peuples, et de leur manipulation mentale, afin de conforter et de susciter leur désir de continuer à voter… pour ces mêmes criminels, de toutes purulences politiques, qui les fourvoient depuis des décennies et depuis des siècles. Et ce, tout en continuant de vilipender la Russie. Les réseaux asociaux plongent l’individu dans une léthargie sociale concomitante à l’exacerbation médiatique de ses vanités et de son ego, par écran interposé. L’animal humain se contemple, béat, à longueur de journée, dans le miroir de son écran virtuel, IPhone, iPad, et tablettes en tous genres, faisant table rase de la convivialité. C’est la Démocratie pour Cocons: le syndrome du “Cocon de Soi”. Elections: Pièges à Cocons!

C’est ainsi que le penseur de la Peste Sioniste, BH Lévy, conçoit la démocratie selon les Tzaddik: lorsque le Peuple vote mal (à savoir “populiste”) il ne faut pas tenir compte de son vote à caractère “non démocratique”. Et lorsque les “cocons de soi” des Goyim sont lobotomisés à point, il n’est que de les ébouillanter pour en confectionner un tissu léger, malléable à souhait, flottant avec les vents des diktats d’Etat.

Avons-nous remarqué comment le terme “Peuple” en vient à être terni et déprécié par des dérivés populistes, populaires, presse people, pop, etc? Mais peut-être le fut-il de tous temps, déprécié? En effet, il vient de “populus” en Latin qui a donné le verbe “populor” signifiant “dé/peupler”! A savoir génocider? Ne serait-ce pas troublant comme étymologie lorsque l’on connaît la propension Sioniste à génocider, à exterminer, à vacciner, à empoisonner, à irradier les animaux humains de toutes ethnies planétaires.

Thomas Henri Huxley, le Bouledogue de Darwin, écrivait vers 1850: «La vie est une lutte ouverte permanente et, au-delà de la relaxation temporaire et limitée de la famille, la guerre Hobbésienne de chacun contre tous est l’état normal de l’existence».

Et John Lash commente, ainsi, cette déclaration complètement démente «C’est donc une affirmation claire et nette selon laquelle le conflit, et la guerre de tous contre tous, constituent l’état normal d’existence. C’est bien sûr une erreur, et un mensonge, parce que si c’était l’état normal de l’existence dans la Nature, la Nature s’effondrerait en un chaos intégral. Si c’était l’état normal de l’existence dans la nature humaine, aucune civilisation ne serait possible.»

Les hallucinations existentielles du maniaco-dépressif Thomas Henri Huxley ne sont pas sans rappeler l’idéologie des Zaddikim telle qu’elle est exprimée dans les Manuscrits de la Mer Morte découverts à Qumran, près de Jérusalem, en 1947 – en particulier dans le “Manuscrit de la Guerre” et “l’Apocalypse Messianique”. Ces Manuscrits ont été occultés, par le Vatican, jusqu’en 1997, car ils exposent les instructions et les pratiques des Zaddikim – les Tzaddik, les Suprêmes – subtilisées par Paul de Damas, pour créer sa religion “chrétienne” – qui ne fait appel au Jésus pseudo-historique que comme un épiphénomène en marge de ses “Epitreries aux Chrétiens”.

«Puant la haine et la vengeance, à l’image de vapeurs toxiques d’ammoniaque, le Manuscrit de la Guerre est un mélange bizarre de vision panoramique mystique et de récital de manoeuvres militaires. Il décrit les tactiques de champ de bataille lors de la confrontation finale entre les Fils de la Lumière et les Fils des Ténèbres. L’un des premiers sept textes retrouvés à Qumran, ce manuscrit fut originellement identifié par des érudits au moment même où l’Organisation des Nations Unies votait pour créer l’État d’Israël en novembre 1947. Le symbolisme de cette coïncidence n’échappa pas à ceux qui vivaient ce moment dramatique, à la fois en Israël et dans le reste du monde. » John Lamb Lash.

Thomas Henri Huxley était un grand malade, un handicapé de la joie de vivre et du mutualisme. Il était dément et, pour ne pas parler d’hérédité génétique, la famille Huxley est connue pour sa forte inclination vers l’eugénisme, la maladie mentale et le suicide.

Le philosophe et écrivain, Aldous Huxley, semble avoir échappé à ce syndrome familial car “les Portes de la Perception” lui furent ouvertes – par la grâce Gaïenne de substances enthéogéniques.

La planète humaine entière est sous le joug d’Autorités dégénérées, à savoir d’animaux humains en phase terminale de pathologie mentale, de démence, d’handicap de mutualisme – et de mensonges. Leur plus gros mensonge, leur plus fort coup d’éclat d’obus – qui s’est métamorphosé, subséquemment, en un très fort Coup d’Etat d’Abus – est, depuis 150 années, la mise des Peuples sous l’envoûtement du concept de “la lutte de tous contre tous et de la survie, concomitante, des plus adaptés et des plus forts”.

C’est l’essence du Néo-Darwinisme: c’est la Prédation Intra-Spécifique. C’est un coup d’éclat qui a généré une pléthore infinie de dommages collatéraux dans la sphère sociale humaine – ainsi que dans toutes les Sciences de la Vie.

Le coup d’éclat mensonger, des néo-darwinistes, fut l’effet de prestidigitation consistant à présenter la “prédation intra-spécifique”, au sein de l’humanité, comme une loi “naturelle”… alors que la seule loi naturelle existant dans la Biosphère, quant à la prédation, est la “prédation inter-spécifique”. Il n’existe pas de “prédation intra-spécifique”, dans la Biosphère Gaïenne – sauf de très rares exceptions résultant de situations de stress ou autres. La justification éthico-culturelle, de ce type de prédation, au sein de la communauté humaine, émane non pas de la Biosphère mais, directement, du cerveau pathologiquement meurtri de ses concepteurs, et orchestrateurs, dans la société humaine: à savoir les psychopathes et autres sociopathes, les orchestrateurs du Mal Social.

Il existe, en fait, une justification éthico-humaniste, de ce type de prédation intra-spécifique, émanant de notre ADN de survie, donc de la Biosphère Gaïenne… mais c’est une autre problématique qui dépasse le cadre de ce Canto très modéré. La Chasse aux Prédateurs est, cependant, résolument ouverte.

«Question: Quelle est la proie, sélectionnée par la Nature, de l’espèce humaine? Réponse: Nous sommes l’unique animal qui puisse pourchasser n’importe quelle autre espèce mais nous n’avons pas de proie naturellement sélectionnée. Qu’entends-je par “la proie sélectionnée par la Nature”? Dans tous les royaumes de la Nature, les animaux, les insectes, les reptiles et les oiseaux, on peut de suite observer que chaque créature (un tigre de Sibérie, un rouge-gorge, un cobra…) possède sa proie sélectionnée. A l’exception de l’espèce humaine, il n’existe pas d’espèce animale qui chasse, sans distinction, d’autres créatures. Le tigre de Sibérie mange certains animaux dans les limites de son territoire, tout comme le cobra dans les profondeurs de la jungle ou le scorpion dans le désert. Gaïa pourvoit la proie dans les limites de l’habitat spécifique à chaque créature: elle assortit une proie et un prédateur. Un tigre peut attaquer et dévorer un être humain, mais cela constitue une anomalie. Un aspic, ou un scorpion, peut piquer et tuer un être humain. Néanmoins, les êtres humains ne constituent pas la proie des scorpions ou des aspics. Un condor ou un pélican va plonger vers certaines proies, et dans certains cas extrêmement rares, va s’attaquer à un enfant nouveau-né, mais c’est une anomalie, une exception eu égard aux limites étroitement définies de la prédation.

… Il n’est que l’animal humain qui possède la latitude de chasser n’importe quelles créatures, que ce soient des fourmis ou des baleines ou même des entités microscopiques, telles que les amibes. La capacité de s’attaquer à n’importe quelle autre créature caractérise l’une des dispositions exceptionnelles de Gaïa quant à son espèce à problèmes: en effet, l’humanité ne possède pas de proie naturellement sélectionnée. De par la faculté que possèdent les êtres humains de s’adapter à n’importe quel environnement, de l’Arctique au Sahara, ils peuvent prospecter sur de vastes territoires en quête de proie. Ils peuvent chasser les animaux qui vivent dans tout environnement qu’ils explorent. Aucun autre animal ne peut en faire autant.

Il est à souligner une autre caractéristique de ce statut unique – exceptionnel mais non pas supérieur – de l’espèce humaine quant à la relation proie/prédateur. Dans le cas de toutes les autres créatures, la proie est chassée pour être mangée. Gaïa met en place des programmes instinctifs, encodés dans des connexions spécifiques proie/prédateur, afin que les prédateurs puissent survivre en ayant la garantie de pouvoir bénéficier d’autres espèces qui soient dévolues à leur sustentation. La connexion lion/gazelle, par exemple. En termes de nombres, la population de gazelles dépasse de loin la population de lions. Les lions sont garantis d’obtenir un quota, une portion attribuée, de la population de gazelles à condition de maintenir à son niveau optimum leur expertise à la chasse. Les ajustements de ces connexions (lion/gazelle, lion/zèbre, lion/chacal) sont élaborés, avec délicatesse et précision, par Gaïa. Ces connexions peuvent être également qualifiées de pactes, d’alliances, parce qu’elles impliquent un contrat inter-spécifique avec des limites précises liant les deux parties. Il y a beaucoup à apprendre quant à la manière dont ces connexions, ou alliances, sont équilibrées, à savoir quant à la manière dont Gaïa évalue les chances respectives.

Exceptionnellement, les prédateurs humains jouissent de la latitude, non seulement de chasser toute proie qu’ils choisissent mais, qui plus est, de chasser pour le plaisir, sans satisfaire à un besoin de nourriture. Ils chassent pour le sport, pour le jeu ou pour assouvir leur soif de tuer. Il est souvent affirmé que les êtres humains se situent au sommet de la chaîne alimentaire. C’est une présomption non justifiée et arrogante. Si les humains occupent réellement cette position, ils le font à leurs propres risques, en raison du danger de violer l’équilibre de la Nature posé par une telle présomption. Au cours de l’Histoire, et de plus en plus au fil des temps modernes, les humains se sont comportés comme des prédateurs débridés qui tuent pour la jouissance, sans respect pour la proie et sans avoir besoin de la nourriture que la proie peut offrir. En Amérique du nord, les Amérindiens honoraient le bison comme un animal sacré qui sustentait leur vie à de nombreux égards: offrant la nourriture de sa chair et de ses organes (conservés pour les guerriers-shamans de la chasse), pourvoyant des habits avec sa peau, et procurant ses cornes et ses os pour des usages pratiques et rituels. Chaque partie de l’animal était mise à profit. La connexion proie/prédateur entre l’humain et le bison était profondément enracinée dans la vie culturelle et spirituelle des Amérindiens.

Mais lorsque les Européens Blancs arrivèrent en Amérique, ils massacrèrent en masse les troupeaux de bisons, en laissant leurs cadavres pourrir dans les plaines. Les hommes tiraient sur ces animaux à partir des trains, juste pour le plaisir de la tuerie.» John Lash. Traduction de Xochi.

Le néo-darwinisme est une hallucination collective qui permet aux Autorités Sionistes –  qui sont des mâles déments – de rester en contrôle, en domination et au pouvoir, en invoquant le fait qu’ils sont les plus forts et les mieux adaptés à un système social de “lutte de tous contre tous”, de survie individualiste et de non-mutualisme, dont ils ont eux-mêmes institué les règles – avec leurs grands amis et complices, les Banksters. Il y a fort à parier que, bientôt, toute remise en question du néo-darwinisme sera qualifiée d’antisémitisme – car qui veut noyer son Gilet Jaune l’accuse d’être en Rages.

« Nous avons été amenés, à tort, à croire que, parce qu’il existe des comportements apparemment brutaux entre la proie et le prédateur dans la Nature (la Nature interprétée en becs et ongles, les babines dégoulinantes du lion, la horde de lions s’abattant sur le corps d’une bête sauvage qui a été capturée au cours d’une chasse…), et parce que de très nombreux exemples similaires se manifestent dans la Nature, que le même type de lois doivent être à l’oeuvre dans la société humaine et, qui plus est, doivent être innées à la nature humaine. Mais prenons le temps d’examiner le truquage malveillant dans cette affirmation. Ceux qui imposent cette affirmation prennent un exemple de comportement qui existe assurément dans la Nature mais seulement dans la prédation inter-spécifique et ils l’appliquent au comportement humain comme si ce type de comportement fonctionnait dans la prédation intra-spécifique. Et c’est absolument et intégralement erroné.

Tout d’abord, comme je l’ai souligné antérieurement, et nous allons continuer à mettre cela en exergue dans notre échange sur l’éthique Gaïenne, les exemples de prédation intra-spécifique dans la Nature sont extrêmement rares et ne se manifestent que dans des situations de grand désordre ou de stress intense. Donc, bien que nous puissions voir certaines espèces dans la Nature chasser d’autres espèces, nous ne les voyons pas chasser les membres de leur propre espèce. Cependant, lorsque nous regardons dans nos vies, en tant qu’animaux humains, en tant que cas exceptionnel dans la symbiose Gaïenne – mais non pas en tant que cas supérieur – nous pouvons percevoir une histoire différente. N’est ce pas? Nous voyons que certains êtres humains ont pour proie d’autres êtres humains. C’est un cas de prédation intra-spécifique. Et nous voyons qui sont les individus qui ont concocté cette idéologie frauduleuse de domination: ce sont bien évidemment des banquiers, des juristes et des scientifiques impulsés par un ego d’une arrogance aveugle incroyable. Ce que nous les voyons faire, c’est affirmer qu’ils possèdent le droit de faire de nous leur proie en raison de lois naturelles corrélées aux relations proies-prédateurs dans le monde non-humain.  C’est un mensonge absolument flagrant et puant et c’est tout autant un acte criminel que tout autre crime qui ait jamais été commis. C’est un acte criminel que d’enseigner cela et c’est un acte criminel de perpétrer ce mensonge dans la conscience des êtres humains.» [133]   [134]  [135] John Lash. Traduction de Xochi.

Sur le plan de la psychopathie et de la sociopathie appliquées, on ne peut que tirer un énorme coup de chapeau aux Autorités criminelles Sionistes qui ont osé une telle apothéose de “dissonance cognitive”. En effet, ils ont imposé, depuis 150 années, dans tout le domaine qu’ils ont qualifié ensuite de “scientifique”, une loi naturelle inexistante – la “lutte de tous contre tous” avec la survie des plus forts, des plus intelligents, des plus égoïstes, des plus individualistes et des mieux adaptés – comme le fondement de base du tissu social, économique et financier, au sein des terroirs d’Europa…

dont les Peuples ont été, depuis 2000 années, meurtris, persécutés, transpercés, envoûtés par le syndrome de la Poupée de Vaudou Juif, le Jésus Sanguinolent sur la Croix, le Supplicié Sacrifié, le Looser Cosmique, le grand perdant devant l’Eternelle, celui que l’Univers entier abandonna:  Eli Eli lama Sabachthani…

C’est très fort en moutarde, il faut le concéder, car cette dissonance cognitive exacerbée est toujours en cours d’intoxication dans la guerre à l’encontre du mental humain.

Mais cette moutarde intoxicante, dans la salade de dissonances cognitives, frise les gaz des guerres de tranchées lorsque les Autorités criminelles Sionistes jouent au chat et à la souris, avec les masses populaires, en leur proposant “la lutte des classes”, une marque déposée du Tzaddik et Rabbin séculaire Karl Marx, comme antidote – comme frère ennemi – à la domination néo-darwiniste des plus forts et des mieux adaptés – les “capitalistes”. Ce sont les clichés de programmation psychique prodigués généreusement à la France du Bas – afin qu’elle y reste – qui, jusqu’à l’avènement des Gilets Jaunes faisait, encore, mine de croire à un changement en votant tantôt à droite de la gauche et tantôt à gauche de la droite.

Ce n’est, sûrement, pas une coïncidence que le “Manifeste” de Karl Marx ait été publié exactement à la même période que “l’Origine des Espèces” de Darwin. Du point de vue des Tzaddik – les Justes, les Suprêmes – ce n’est surement pas non plus une coïncidence que la principale organisation du Mouvement Ouvrier se nommât, dans les années 1840/1850, la “Ligue des Justes”, “Bund der Gerechten”. Elle devint la “Ligue Communiste”, en 1847, lorsqu’elle fusionna avec le comité communiste de Karl Marx et de Friedrich Engels.

Dans l’Europe de cette fin de siècle, il faut attendre le Prince anarchiste Russe, Pierre Kropotkin, (1842-1921) pour qu’une voix dissidente et forte se fasse entendre rejetant intégralement les démences éthologiques et sociologiques des Darwin, Huxley et autres Galton. Pierre Kropotkin vécut comme réfugié politique en Suisse pendant 41 années. Durant toute sa vie, il fut pourchassé, espionné, emprisonné par diverses factions d’Autorités politiques criminelles – tant en France qu’en Suisse qu’en Russie, etc. Lorsqu’il retourna dans sa Russie natale en 1917, ce fut avec une grande tristesse qu’il vit la dictature de l’Etat Judéo-Bolchévique se mettre en place, durant les dernières années de sa vie. Ses obsèques, en 1921, furent l’occasion de la dernière manifestation anarchiste autorisée par la dictature Judéo-Bolchévique – pour cause d’incompatibilités mutualistes.

L’éthologie désigne l’étude du comportement des animaux. Ce terme dérive du terme Grec “ethos”, signifiant “endroit habituel”, et qui, par extension, a signifié “moeurs, habitudes” et ensuite “morale”. Cette association met clairement en exergue la connexion inéluctable entre les comportements éthiques dans la sphère de l’animal humain et les moeurs animales dans la Biosphère de la Terre Mère. 

Pierre Kropotkin – qui explora dans sa jeunesse de nombreuses régions très reculées de la Russie et du nord de l’Europe –  rédigea l’un de ses ouvrages “L’entr’aide, un facteur de l’évolution[22] vers 1890/1896 (qui fut publié en 1902).

« Je ne pouvais accepter cette opinion, parce que j’étais persuadé qu’admettre une impitoyable guerre pour la vie, au sein de chaque espèce, et voir dans cette guerre une condition de progrès, c’était avancer non seulement une affirmation sans preuve, mais n’ayant pas même l’appui de l’observation directe.… L’importance du facteur de l’entr’aide si seulement on en pouvait démontrer la généralité n’échappa pas au vif génie naturaliste de Goethe. Lorsqu’un jour Eckermann dit à Goethe – c’était en 1827 – que deux petits de roitelets, qui s’étaient échappés, avaient été retrouvés le jour suivant dans un nid de rouges-gorges (Rothkehlchen), qui nourrissaient ces oisillons en même temps que leurs propres petits, l’intérêt de Goethe fut vivement éveillé par ce récit. Il y vit une confirmation de ses conceptions panthéistes, et dit: S’il était vrai que ce fait de nourrir un étranger se rencontrât dans toute la Nature et eût le – caractère d’une loi générale – bien des énigmes seraient résolues Soulignements de Xochi.

Le Dessein Intelligent à la Rescousse des Monothéismes

C’est en 1996 que le biochimiste US, Michael Behe, publia son premier ouvrage, rejetant les prétentions du néo-darwinisme, “Darwin’s Black Box: The Biochemical Challenge to Evolution”. Ce premier ouvrage de Behe, promouvant le “Dessein Intelligent”, fut le seul ouvrage traduit en Français dans cette série fatale pour la secte néo-darwiniste – sous le titre “La Boite Noire de Darwin”, par les Presses de la Renaissance, une maison d’édition Chrétienne. D’ailleurs, pour ne pas fâcher qui de droit, et qui de “juste”, et ne pas faire de jaloux – et surtout pour ne pas jeter un trop gros pavé dans la mare trop assoupie des néo-darwinistes – les Presses de la Renaissance publièrent, en “compensation”, l’ouvrage de Kenneth Miller “A la recherche du Dieu de Darwin : Contre le créationnisme et le nouvel athéisme, le livre qui réconcilie foi et évolution”.

Le livre qui réconcilie Darwin et le Looser Cosmique, Jésus le Supplicié, contre les adorateurs (créationnistes) du dieu créateur Yaldabaoth, le père de Jésus. Le néo-darwinisme s’incruste dans tous les râteliers porteurs des divers râteaux de la culture Sioniste qui ratisse sur un mode universel: les Marxistes, les Chrétiens (non créationnistes), les Communautaristes, les Musulmans (non créationnistes), etc.

Ce fut très courageux de la part des Presses de la Renaissance d’oser publier – si tôt et avant l’Orage de la Mère – ce premier ouvrage de Michael Behe mais il faut préciser, aussi, que tous les ouvrages récents des biologistes et biochimistes, qui mettent en exergue le Dessein Intelligent, sont du “pain béni” pour tous les “culs-bénis” de confession Chrétienne, Judaïste ou toute autre confession Yahvéiste, qui seraient quelque peu Créationnistes – ou, tout simplement allergiques à l’idéologie néo-darwiniste affirmant que le Vivant est le produit du Hasard aléatoire et saute-mouton.

“La Boite Noire de Darwin” n’a pas été réédité en France. Par contre, l’excellente post-face de l’ouvrage par le Professeur Jean-Michel Olivereau – un neurobiologiste et professeur honoraire à l’Université Paris-Descartes – est en ligne pour le plaisir de tous les anti-darwinistes. [76]

On peut ainsi apprécier le récent (début mai 2019) et humoriste essai de l’intellectuel Juif, David Hillel Gelernter – artiste et professeur de sciences informatiques à l’Université de Yale et au Shalem Center de Jérusalem – intitulé “Giving up Darwin” [24]

Il n’est pas très aisé, dans la France Judéo-Christo-Islamo-Laïque – et sous gouvernance du CRIF – de secouer le cocotier des néo-darwinistes eugénistes mais lorsque les noix de coco vont finir pas se détacher – parce que trop avariées – l’écran de fabulations grotesques, et hypocrites, de cette secte va éclater en millions d’éclats de rire et d’éclats de palmes… académiques.

Comme David Gelernter attaque le credo néo-darwiniste à grandes louchées de questionnements cohérents, pour ne pas dire à grands coups de bulldozer mathématique et statistique, les ripostes ne se sont pas fait attendre de la part de tous les sbires de garde de la secte néo-darwiniste – dont l’agressif biologiste, Jerry Allen Coyne, en charge de ses relations publiques [25]

et de ses relations pudiques car le néo-darwinisme n’a de cesse d’affubler le corps nu et orgiastique de la Déesse d’idéologies grotesques afin de la désacraliser.

Ces ripostes, la plupart du temps, ainsi que déjà signalées, se caractérisent plutôt par un manque d’élégance – et des coups de poignard – ainsi qu’un manque poignant de contre-arguments scientifiques dignes de cette appellation – à savoir “juste” fondés sur le Réel.

Il apparaît, en effet, insensé de traiter un anti-darwiniste de Yahvéiste lorsqu’une foultitude de monothéistes, de toutes persécutions, ont adhéré, en toute bonne foi, à des interprétations de l’idéologie de domination sociale néo-darwiniste – depuis une pléthore de dizaines d’années. La preuve par le sus-mentionné Kenneth Miller tentant de réconcilier Darwin et la Poupée de Vaudou Juif. La preuve par Teilhard de Chardin qui, s’il restait quelque peu Lamarckien pour appréhender l’espèce anthropine, était totalement néo-darwiniste pour apprécier le reste de la Biosphère.

Voici l’une des démonstrations mathématiques de David Gelernter – pour laquelle il se fait traiter de Yahvéiste par le biologiste néo-darwiniste athée Coyne :

«Imaginez une protéine comprenant 150 éléments telle une chaine composée de 20 perles – chaque perle étant choisie parmi vingt types différents. Attention: seules certaines chaines vont être fonctionnelles. Seules certaines combinaisons de perles vont résulter en la formation de protéines stables, utiles et de forme adéquate. Donc quel est le degré de difficulté impliqué dans la construction d’une protéine fonctionnelle et de forme adéquate? Pouvez-vous mélanger une poignée d’amino acides et assumer que vous allez obtenir quelque chose d’intéressant? Ou devez-vous, alors, choisir chaque élément de la chaine avec très grand soin? Il s’avère, en fait, très difficile de choisir les perles correctes.

… Si nous commençons par 150 liaisons de “charabia”, quelles sont nos chances de nous muter un chemin vers une nouvelle forme utile de protéine? Nous pouvons, fondamentalement, poser cette même question sur un mode plus aisé: quelles sont les chances qu’une séquence aléatoire de 150 liaisons puisse générer une telle protéine? Les mutations non-sens sont essentiellement aléatoires. Les mutations sont aléatoires. Transformez, sur un mode aléatoire, une séquence aléatoire et vous obtenez une autre séquence aléatoire. Fermez donc les yeux, faites 150 choix au hasard, à partir de votre boite de vingt types de perles, et enfilez-les dans l’ordre que vous choisissez. Quelles sont vos chances d’engendrer une nouvelle protéine?

Il est aisé de voir que le nombre total de séquences possibles est immense. Il est aisé de comprendre (bien que les non-chimistes doivent croire leur collègues sur parole) que le sous-ensemble de séquences utiles – des séquences qui génèrent des protéines réelles et fonctionnelles – est, par comparaison, minuscule. Mais il nous faut savoir ô combien immense et minuscule. Le compte total de chaînes possibles comprenant 150 liaisons est 20150. En d’autres mots, beaucoup. Cela équivaut, grosso modo, à 10195 et il n’existe que 1080 d’atomes dans l’Univers… En d’autres mots, immense est tellement grand et minuscule est tellement petit que l’évolution néo-darwiniste est – à ce jour – une perte sèche.  [26] Traduction de Xochi.

David Gelernter, dans cet essai, “Giving up Darwin”, se fait l’écho, en particulier, des travaux, des découvertes et des ouvrages du biologiste Stephen Meyer [27] – l’auteur de “Darwin’s Doubt”, en 2013, et de “Signature in the Cell: DNA and the Evidence for Intelligent Design”, en 2010: «Le Dessein Intelligent, tel que Meyer l’expose, ne fait jamais usage d’arguments religieux, ne tire aucune conclusion d’ordre religieux et ne fait référence, en aucunes manières, à la religion» – ainsi que du biologiste Douglas Axe – l’auteur de “Undeniable: How Biology Confirms Our Intuition That Life Is Designed”, en 2016.

En 2010, Dominic Halsmer, professeur et doyen universitaire – et signataire du Manifeste “Dissension Scientifique du Darwinisme” [4] – avait publié, avec ses collègues, un article intitulé, “The Coherence of an Engineered World”, dans lequel il affirme que l’Univers est Intentionné car il est scientifiquement et mathématiquement compréhensible:

«Les systèmes élaborés par les humains se caractérisent par une stabilité, une prédictabilité, une fiabilité, une transparence, une contrôlabilité, une efficacité et (idéalement) une optimalité. Ces caractéristiques sont, également, prévalentes au sein de tous les systèmes naturels constituant le cosmos. Cependant, leur niveau d’ingénierie semble se situer bien au-delà, ou transcender, les capacités humaines courantes. Néanmoins, il existe une curieuse adéquation entre la compréhensibilité de l’univers et la capacité de l’humanité de le comprendre. Cette adéquation, non explicitée, est une condition préalable pour que toutes sortes d’activités de rétro-ingénierie puissent être un tant soit peu couronnées de succès. Et néanmoins, l’humanité semble être guidée de l’avant par une sagesse potentielle, presque selon un mode d’instruction, par les mystères de la nature qui sont continuellement disponibles à notre élucidation. En effet, l’Univers est à ce point aisément et fertilement rétro-conçu que l’on peut en déduire un argument irréfutable, à savoir le fait qu’il fut apparemment conçu, en premier lieu, avec l’humanité comme intention». [116] In The Coherence of an Engineered World. Traduction et Soulignements de Xochi.

Dominic Halsmer est un scientifique professant le Dessein Intelligent… et il est profondément chrétien. Il a, en effet, “oublié”, de par sa contamination christo-centrique, que ce qu’il impute au système Yahvéiste pourrait, tout simplement, être beaucoup plus Terre à Terre. Selon la cosmologie de l’Instructeur John Lash, il est vrai que Sophia a ensemencé l’Anthropos – au coeur du Trapèze dans la Constellation d’Orion – et que, donc, les Puissances Galactiques sont Intentionnées, en partie, vers l’animal humain. Nonobstant, il n’en reste pas moins que notre souche d’Anthropos est présentement incarnée sur cette Planète Terre dans un très bel écrin Biosphérique accueillant la Vie et accueillant, également, un vecteur animal capable d’expliciter cette Vie – ou du moins de l’ausculter – et de lui rendre hommage. A savoir, une adéquation intentionnée entre la compréhensibilité de la Vie sur Terre et la capacité de l’animal humain de la comprendre.

La  “sagesse potentielle qui guide l’humanité de l’avant”, c’est la Sagesse de Sophia, de Gaïa-Sophia, dont la Biosphère est le corps et dont le niveau d’ingénierie est, effectivement, bien au-delà des capacités de l’animal humain. Et c’est, franchement, un euphémisme outrancier que d’oser le dire.

Dans cet article, Dominic Halsmer présente également l’Eau, l’Eau de Vie, comme une caractéristique de l’Univers prouvant l’ingénierie intentionnée de par sa convivialité et ses capacités de fomenter et de soutenir la Vie.

«Les propriétés remarquables de l’eau sont nombreuses. Sa très haute chaleur spécifique maintient des températures relativement stables à la fois dans les océans et dans les organismes. En tant que liquide, sa conductivité thermique est quatre fois supérieure à celle de tout autre liquide commun et c’est ce qui permet aux cellules de distribuer la chaleur efficacement. D’autre part, la glace possède une activité thermique basse, ce qui en fait un bon bouclier thermique en hautes altitudes. Une chaleur latente de fusion, seulement surpassée par celle de l’ammoniaque, a tendance à conserver l’eau sous une forme liquide et crée un thermostat naturel à 0°C. De même, la chaleur latente de vaporisation la plus élevée de toute substance – plus de cinq fois supérieure à l’énergie requise pour chauffer la même quantité d’eau de 0°C à 100°C – permet à la vapeur d’eau d’emmagasiner de vastes quantités de chaleur dans l’atmosphère. Cette chaleur latente de vaporisation très élevée est, également, biologiquement vitale parce qu’à la température du corps, ou au-delà, la seule manière pour un être humain de dissiper la chaleur est de la transpirer.

Les propriétés remarquables de l’eau ne sont, définitivement, pas seulement thermiques. Une tension élevée de vapeur permet à l’air de contenir plus d’humidité induisant ainsi des précipitations. L’ample surface de tension de l’eau est nécessaire pour une bonne  activité de capillarité pour les grands végétaux et elle permet au sol de contenir plus d’eau. La viscosité basse de l’eau permet au sang de circuler au travers de petits capillaires. Une anomalie, très bien documentée, concerne la faculté de l’eau de s’épandre en état solide, ce qui garde la glace à la surface des océans plutôt que de s’accumuler au fond. Il se peut que la caractéristique la plus essentielle de l’eau soit sa capacité, non rivalisée, de solution, ce qui lui permet de transporter de grandes quantités de minéraux à des organismes immobiles et, également, de contenir tous les composants du sang. Elle n’est, également, que légèrement réactive, ce qui l’empêche de réagir de manière nocive lorsqu’elle dissout des substances. Des recherches récentes ont révélé comment l’eau agit en tant que lubrifiant efficace dans de nombreux systèmes biologiques – de l’escargot à la digestion humaine. Par elle-même, l’eau n’est pas très efficace dans ce rôle mais elle fonctionne bien avec certains additifs, telles que les glycoprotéines. L’ensemble de ces facultés fait de l’eau un vecteur idéal pour la vie. Littéralement, chaque propriété de l’eau est adaptée pour soutenir la vie. Ce n’est pas étonnant que l’eau soit la première contingence dans la quête d’une intelligence extra-terrestre.

Toutes ces facultés sont contenues dans une simple molécule de seulement trois atomes. Une des tâches les plus ardues pour un ingénieur est de concevoir selon un ensemble de critères multiples… Satisfaire tous ces critères en une structure simple constitue une merveille d’ingénierie. De plus, le processus d’intention s’avère très profond car de nombreuses caractéristiques seraient nécessairement modifiées si l’on altérait des propriétés physiques fondamentales telle que la force nucléaire puissante ou la taille de l’électron. In The Coherence of an Engineered World. Traduction et Soulignements de Xochi.

Dominic Halsmer vient de publier, en juin 2019, un nouvel ouvrage, intitulé “Hacking the Cosmos: How Reverse Engineering Uncovers Organization, Ingenuity and the Care of a Maker”, qui expose les preuves du Dessein Intelligent en biologie et en cosmologie. Il y analyse l’Univers en termes “d’affordance”, un néologisme anglais, traduit de même en français, créé par le spécialiste de la perception visuelle, James Jérome Gibson (1904-1979) pour évoquer la complémentarité entre l’animal et son environnement.

Selon Halsmer, les affordances dans l’Univers sont telles que les atomes permettent la création des molécules; que des molécules simples comme l’eau et le CO2 permettent l’existence de molécules plus complexes comme les protéines et les lipides; que ces molécules complexes permettent la création des cellules, et ainsi de suite. Halsmer explique que ces affordances sont structurées pour fomenter et soutenir un environnement vivant et que, tant d’un point de vue microscopique que macroscopique, tout cela est bien évident d’une Intention, d’un Dessein Intelligent et Ingénieux. En effet, notre cosmos nous offre la vie mais également la découverte de son fonctionnement.

Il est à noter, au passage, qu’il est troublant que tous les ouvrages les plus fascinants, et les plus circonstanciés et cohérents, quant à la mise en lumière du Dessein Intelligent et Ingénieux, soient rédigés et publiés par des Chrétiens ou des Yahvéistes. C’est comme si les Néo-Darwinistes, in the know, préparaient leurs futures cartouches – d’encre virtuelle et lobotomisante – en en remettant une saucée réchauffée sur mode monothéiste. Il en est, sans doute, de même, dans toutes les Affaires dites Weinstein, Epstein, etc, qui sont beaucoup trop purgeantes au sein du Système pour que cela n’ait pas été modulé par le dit Système. C’est comme si le Pouvoir Profond des USA, était, malgré lui – de par l’impact d’une Correction plus grandement Planétaire et qui lui échappe – en train d’éliminer les éléments les plus publiquement corrompus en son sérail … afin de tenter de donner le change, une fois de plus, et conserver tous les Pouvoirs.

Le Blues des Néo-Darwinistes:

Une Explosion Cambrienne de plus en plus Explosive

Pourrais-je m’aventurer à chanter, de nouveau, que le sujet n’est pas de se poser la question de l’Origine de l’Explosion Cambrienne – à savoir, les ancêtres ou chaînons en déficit de fossiles parce qu’en défaut d’existence – mais bien plutôt de se mettre sur le chemin de la Quête de l’Explosion Cambrienne en tant qu’Origine, en tant qu’Emanation et en tant qu’Emergence d’une complexité irréductible.

Nous sommes au coeur de la complexité irréductible de la Biosphère – à la puissance exponentielle Gaïenne. Il n’y a pas d’artificier ni d’explosif: l’Explosion Cambrienne est l’artificier et l’explosif. L’Explosion Cambrienne est aussi l’Artifice – qui vient des termes Latins “ars” et “facio”, signifiant “faire de l’art”. L’Explosion Cambrienne est une oeuvre alchimique: Gaïa est à la fois l’Alchimiste et l’Alchimie.

La Biosphère est ainsi, authentiquement, une oeuvre d’art et ce d’autant plus que la racine PIE, “ar”, ainsi que les significations du terme “ars, artis”, en Latin, mettent clairement en exergue la notion de “combiner, d’assembler”. La Biosphère de Gaïa est, en effet, une apothéose d’endosymbiogenèse.

Si l’on accepte de faire mine de croire que tout est constant dans l’Univers – et que le Temps possède une quelconque existence palpable – l’Explosion Cambrienne se situerait, alors, il y a environ 540/530 millions d’années – dans le passé. En une poignée de millions d’années, deux dizaines à tout évoluer, eu égard à l’existence supposée de la Terre de quelque 4540 millions d’années – à savoir, pour comparaison, l’équivalent de la taille d’un ballon de rugby sur un terrain du même nom – c’est le grand chambardement sur Terre.

L’Explosion Cambrienne fut ainsi nommée par le géologiste Britannique Adam Sedgwick, (1785–1873), qui la nomma d’après le nom de la “Cambrie” – “Cymru”, à savoir le nom du Pays de Galles en Gallois, la région de Grande Bretagne où les fossiles de cette époque “Cambrienne” sont les plus manifestes. “Cymru” évoque, en langue Celtique, la fraternité, le mutualisme. Il est propice et symbolique qu’une telle Explosion de Vie Gaïenne soit ainsi Celtiquement nommée – sur un mode de partage et d’entre-aide. Cette Explosion Cambrienne suffit, en effet, à elle-seule, à faire exploser le paradigme de l’évolution néo-darwiniste fondé sur l’égoïsme, la lutte de tous contre tous et la survie des plus forts et des mieux adaptés.

En effet, l’Explosion Cambrienne “voit” l’apparition, très soudaine, de la quasi-totalité des grands embranchements des métazoaires – les animaux pluricellulaires, eucaryotes et hétérotrophes, à savoir se nourrissant de matière organique puisée à l’extérieur – ainsi qu’une diversité très considérable d’espèces en tous genres d’animaux, de végétaux, de bactéries…).

Mais l’Explosion Cambrienne est beaucoup trop soudaine et explosive pour pouvoir s’accommoder de la théorie fondamentale de l’Origine des Espèces et de l’Evolution selon Charles Darwin. Que font donc les néo-darwinistes? Car ils ont un besoin exigeant, pressant et inextinguible de temps, de Temps Eternel, car les mutations aléatoires ne peuvent pas être soudaines: elles risquent, sinon, de susciter des suspicions d’émanation miraculeuse. Les néo-darwinistes toussent, éternuent, font des ronds de jambe et appellent leur maman. Leur guru, Charles Darwin, était déjà dans les affres de l’angoisse métaphysique – le Doute de Darwin – car il savait pertinemment que les fossiles lui faisaient faux bond – parce qu’inexistants.

Les néo-darwinistes ont beau faire des risettes aux strates géologiques pour leur faire céder leurs secrets évolutifs…que nenni!

Lorsqu’il envoya un exemplaire de son ouvrage “L’Origine des Espèces” au paléontologiste Suisse Français, Louis Agassiz, (1807-1873) alors professeur à Harvard, à Boston, il ne se doutait pas (ou peut-être, un peu) que celui-ci rejetterait sa théorie comme du pur non-sens (du charabia, pour les intimes) de par l’étendue énorme, déjà prévalente, des connaissances concernant les fossiles de l’Epoque Cambrienne – ou du moins, dans ce cas, concernant le manque de fossiles, de l’Epoque Pré-Cambrienne, permettant de valider la théorie de Darwin. Louis Agassiz était un expert mondial en glaciologie et aujourd’hui, il serait considéré comme un “négationniste climatique” s’il osait évoquer la progression et la récession des glaciers en fonction des âges glaciaires, dont le dernier se termina il y a 12 600 années, lorsque la comète revint – et que le niveau des océans monta de plusieurs dizaines de mètres provoquant une vague, pour ne pas dire un déluge, de “réfugiés climatiques” sur toute la planète.

A cette époque, l’Organisation Néo-Génocidaire et militariste, Avaaz, de la Maison de Soros, ne sévissait pas encore – à grandes envolées pseudo-militantes de clic-clic, clic-clic, de financements participatifs – pour sauver la Planète de la fournaise fatidique et pour accueillir, en Europe, des millions de “réfugiés climatiques” fuyant les bombes libératrices à uranium appauvri de l’Alliance Occidentale – en Irak, en Afghanistan, au Yemen, en Libye, en Syrie, etc.

Angoisses et autres Palpitations Néo-Darwinistes à Fleur de Trilobites

L’Explosion Cambrienne est d’autant plus explosive qu’une nouvelle étude du printemps 2019, intitulée “Trilobite evolutionary rates constrain the duration of the Cambrian explosion”, [50] met en exergue que dans le cas des Trilobites, ce fut réellement une méga-explosion. Et tout Darwinia est en émoi. Le rapport de Paterson, Edgecombe, et Lee – une équipe de l’Université d’Harvard, au coeur de l’envoûtement – doit, parfois, avoir recours à des formules grammaticales vrillées pour tenter de cacher ce qui n’est plus cachable: la misère de l’idéologie néo-darwiniste en déficit sévère de Fossiles et de Temps: «Des amplitudes rapides [fast] de temps, durant le début de l’Ere Cambrienne, ont été utilisées pour expliquer l’émergence rapide [rapid] pourvoyant un support pour une lecture plus littérale des registres fossiles».

En langage clair de verbes à l’actif et dotés de sujets, et sans langue de bois au passif, cela signifie, tout bonnement, que les néo-darwinistes expliquent l’émergence rapide des espèces animales, durant l’Explosion Cambrienne, en accélérant la vitesse des mutations aléatoires, et donc en accélérant l’Evolution. Cela ne les arrange, en fait, qu’à moitié car cette accélération ruine leur évolution par gradualisme. L’Emergence Cambrienne fut, ainsi, rapide parce que la vitesse des mutations, durant l’Evolution Cambrienne, fut rapide – un euphémisme car elle dut s’emballer et passer le mur du son. No sweat!

Et si cette accélération de l’évolution n’est pas une ultime chimère issue de leur cerveau vrillé, pourraient-ils, donc, nous expliquer comment, et pourquoi, la vitesse d’Evolution est redevenue normale, selon leurs dires, à la fin de l’Ere Cambrienne? A savoir,  sur mode de supposée lenteur Phanérozoïque. C’est une question parmi des milliers d’autres restées sans réponse, à ce jour, de la part des néo-darwinistes qui s’esquivent en dénonçant le fait que ces questions dissidentes ne sont pas posées dans le bon cadre de référence, à savoir celui du néo-darwinisme scientifique. Toute arrogation vis à vis de l’église néo-darwiniste est considérée comme étant du complotisme ou autre conspirationnisme.

«L’apparition originelle, et abrupte, d’une multitude de fossiles animaux, dans les roches du début de l’Ere Cambrienne – Série Terreneuvien et Série 2, à savoir, d’environ 541 à 509 millions d’années – illustre l’un des événements évolutifs les plus signifiants dans l’histoire de la Terre. Cette explosion soudaine de diversité et d’abondance au sein de la majorité des phylums d’eumétazoaires (particulièrement à symétrie bilatérale) sur une amplitude de temps géologique relativement courte – et clairement déficiente en précurseurs Précambriens – pose une énigme lorsque l’on tente de réconcilier le registre fossile avec la vitesse authentique de l’évolution animale antérieure». [50] Traduction et Soulignements de Xochi.

C’est de la science-fiction qui coûte très cher aux contribuables. Est-il nécessaire de commenter que la vitesse “authentique”, de l’évolution animale antérieure, n’est rien d’autre qu’une chimère de plus de leur imagination débridée et pathologiquement mutée. Il n’existe pas d’énigme – si ce n’est celle de comprendre comment l’humanité, dans sa quasi-intégralité, a sombré dans les affres de cette hallucination collective que constitue le Néo-Darwinisme. Et l’énigme disparaît dès que l’on commence à en décliner les origines.

Les chercheurs d’Harvard ont étudié 107 espèces de Trilobites, représentant la plupart des Familles Cambriennes, et en ont comparé 115 traits. Les Trilobites les plus précoces de leur charte sont déjà complexes, fonctionnels, opérationnels – en bref, tout évolués, dès leur émergence en début d’Ere Cambrienne. Mais non évolués d’ancêtres connus – ceux de la Faune de lÉdiacarien, issue de l’Explosion d’Avalon, car elle a disparu sans laisser de traces de descendance.

Wikipedia, à propos de cette Faune, en appelle, aussi, à des “énigmes”: «La faune de l’Édiacarien (autrefois appelée faune vendienne) est constituée d’organismes énigmatiques fossiles en forme de feuille ou de tube datant de l’Édiacarien (-635 à -541 Ma)… La faune de l’Édiacarien se développa lors d’un événement appelé Explosion d’Avalon il y a 575 Ma après que la Terre fut sortie d’une longue période de glaciation lors du Cryogénien…Il semble donc que cette faune particulière a disparu, pour une raison encore inconnue, sans avoir de descendants. ».

Effectivement, si entre l’Explosion d’Avallon et l’Explosion Cambrienne, il n’existe aucune transition évolutive parce que les Trilobites n’ont pas d’ancêtres et que les Édiacariens n’ont pas de descendants… Gaïa ne facilite pas, vraiment, le travail d’illusionnistes des néo-darwinistes. La Darwinia, c’est un feu d’artifices spontanés… sans combustible et par la grâce de la Sainte Très Mitée Evolution.

Les chercheurs d’Harvard présentent leur étude, en ces termes: «Les Trilobites sont, souvent, considérés comme un parfait exemple pour comprendre l’Explosion Cambrienne de vie animale en raison de leur diversité et abondance insurpassées. Ces arthropodes biominéralisés apparaissent abruptement, dans le registre fossile, dotés d’une diversité établie, d’une disparité phylogénétique et d’un provincialisme, au début de la Série 2 de l’Ere Cambrienne (521 Ma), suggérant une histoire antérieure prolongée mais énigmatique [cryptic] s’étendant, potentiellement, durant l’Ere Pré-Cambrienne. Néanmoins, des analyses récentes indiquent des vitesses élevées d’évolution génomique et phénotypique en ce qui concerne les arthropodes, durant le début de l’Ere Cambrienne – raccourcissant, par conséquent, le détonateur phylogénétique. De plus, comparativement, peu de recherches ont été consacrées à la compréhension de la durée de l’Explosion Cambrienne – à la suite de laquelle, des vitesses évolutives normales Phanérozoïques furent établies. Nous testons ces hypothèses en appliquant des méthodes d’inférence Bayésienne à un jeu de données conséquent concernant les Trilobites. Nous démontrons que les Trilobites possèdent une origine Cambrienne tel qu’il est validé par le registre fossile et les horloges moléculaires. De manière surprenante, ils témoignent de vitesses constantes d’évolution durant toute la Période Cambrienne quant à tous les aspects du phénotype préservé: des traits morphologiques continus, méristiques. Nos données, par conséquent, pourvoient une preuve robuste et cohérente mettant en exergue qu’à l’époque du début des registres fossiles typiques Cambriens, (521 Ma), l’Explosion Cambrienne était largement achevée. Ce point suggère qu’une biosphère marine, de style moderne, a rapidement émergé durant la fin de l’Ediacarien et du début du Cambrien (20 millions d’années) et cette période fut suivie d’une stase évolutive à large échelle pour le reste de l’Ere Cambrienne». [50] Traduction et Soulignements de Xochi.

Cette étude est une farce de plus qui tente de contourner l’incontournable fait de l’émergence abrupte (519 Ma) des Trilobites – et, qui plus est, sans ancêtres – qui ne suggère pas du tout “une histoire antérieure prolongée mais énigmatique [cryptic]” pour la simple raison qu’elle n’a jamais existé et que les chercheurs le savent pertinemment – et sur un mode non crypté. Et pour tenter de sauver Darwin et la Darwinia, de son célèbre “Dilemme”, la durée de l’Explosion Cambrienne est fixée à une vingtaine de millions d’années pendant que les vitesses d’Evolution, des diverses Eres, sont affublées de “normalité” et de “non normalité”, en fonction des coliques et autres stases idéologiques des néo-darwinistes.

Comme le disent les auteurs: il s’agit d’une «explosion évolutive authentiquement brève»! Tu m’étonnes, mon pote: toute la vie animale planétaire présente, aujourd’hui, quant à ses grands embranchements, est issue de cette bagatelle évolutive d’une poignée de quelques millions d’années sur les 4540 millions que Gaïa avait en stock – ce qui constitue, d’ailleurs, une très longue éternité eu égard à la perception, par l’animal humain, de son Temps.

On serait même tenté d’imaginer, vu la très grande brièveté de l’épisode Cambrien, que Gaïa s’est pris un bon coup de fièvre évolutive et que la Biosphère a du foisonner d’exubérances et autres extravagances – durant cette période surchargée.. Et que, peut-être même, la Compagnie du Plérome, au coeur de la Galaxie, lui dépêcha quelque soutien durant cette période d’abondance et de générosité d’émergences.

Le discours, des auteurs de cette étude, est replet de termes évoquant l’émergence, l’innovation, la nouveauté, l’accroissement, la restructuration, le style des phylum (ou phyla) d’animaux … comme si tout cela allait de soi, était intrinsèque – de par la pression de la sélection à visée d’Evolution:

«Alors que le débat perdure quant aux origines authentiques des phylum animaux, nos données, tout autant que les registres fossiles géochimiques, physiques et résiduels de l’Ediacarien et du Cambrien, indiquent qu’une biosphère marine de style moderne fut pleinement établie dès la Série 2 et qu’elle fut suivie d’une stase évolutive de large échelle durant tout le reste de l’Ere Cambrienne. Etant donné l’apparente pauvreté de représentants d’eumétazoaires, sans équivoque, durant l’Ediacarien, il semble que de nombreux membres des groupes-couronnes et des groupes-troncs, de la plupart des phylum dotés de bilatéralité, ont émergé et se sont diversifiés sur une période d’environ 20 millions d’années. De ces nouvelles matrices corporelles, il ressort une convergence endémique sous diverses formes de biominéralisation et d’autres innovations anatomiques qui permirent aux animaux de développer une mobilité accrue et des modes de sentir leur environnement. Nonobstant le registre fossile Terreneuvien inégal, il est clair qu’un nouveau style de réseau écologique – incluant des réseaux accrus de nourriture et de recyclage concomitant des nutriments en sus de niveaux complexes au-dessus et en-dessous du substrat qui favorisa la reconception de l’écosystème marin – émergea rapidement durant cette intervalle». [50] Traduction et Soulignements de Xochi.

Ma traduction est bien fidèle. De nombreux scientifiques sont parfois experts à relater de vrais faits, et parfois même à les corréler pour les plus malins, mais ils sont surtout très experts pour les envelopper d’un immense voile d’élucubrations sémantiques afin de continuer à jeter de la poudre aux yeux du public non averti dans le but unique de continuer à glaner leurs subventions – à savoir leur pitance quotidienne d’esclaves d’un système néo-darwiniste qui les tient par les bourses et qui tient l’Humanité par la Bourse.

Six années après la publication de l’ouvrage de Stephen Meyer, “Darwin’s Doubt”, [51] cette nouvelle étude issue de l’Université d’Harvard n’amène aucune réponse concrète et cohérente à la question posée par Stephen Meyer dans son ouvrage “Darwin’s Doubt”.

Les néo-darwinistes ne sont pas seulement confrontés au cauchemar de l’Explosion Cambrienne et de l’Explosion d’Avallon mais, aussi, à l’Explosion des Tortues, par exemple, il y a quelque 200 millions d’années de cela. Et comme pose la question, Gilbert Scott, un biologiste expert es-tortues: «Comment une métamorphose de l’expression génétique – sur le plan du nombre, du placement et de la chronologie – peut-elle induire la création de plus de 50 formations osseuses qu’aucun autre vertébré ne possède. Gilbert Scott est en recherche de l’origine de la carapace des tortues, à savoir en recherche «de la solution à la question de savoir comment une structure anatomique innovatrice peut évoluer aussi rapidement dans les archives fossiles». [31] Traduction et Soulignements de Xochi.

Cela parait de très bonnes questions et, comme causent toutes les serpillères politiques, qui n’y répondent pas, je vous remercie bien de les avoir posées. Les Tortues d’eau et les Tortues de terre sont arrivées, un jour, comme cela, sans se presser et sans prévenir: elles ont vu de la lumière sur la Planète Terre et elles ont plongé pour un petit viron – toutes carapaces déployées! Elles ont émergé dans la Biosphère, intégralement évoluées, munies d’une coque très ingénieuse recouverte de kératine. Et comme l’affirmaient les entomologistes, très dissidents, Viktor Stepanovich Grebennikov (1927-2001) et Philip Serna Callahan (1923-2017), il y a plus dans la kératine que ce que l’oeil puisse voir.

Richard Lewontin, un généticien Marxiste déclara: « Ce n’est pas que les méthodes et les institutions de la science nous obligent, de quelque manière, à accepter une explication matérielle du monde phénoménal; c’est, au contraire, que nous sommes forcés, par notre adhésion à-priori à des causes matérielles, de créer un apparatus d’investigations et un spectre de concepts qui génèrent des explications matérielles – tant bien même contre-intuitives et trompeuses elles apparaissent aux non-initiés. De plus, ce matérialisme est absolu car nous ne pouvons pas permettre au Pied Divin de passer le seuil.».

Au Pied Divin… ou au Rêve Gaïen!

Au printemps 2000, lorsque le paléontologiste Chinois, Jun-Yuan Chen – un expert  de l’Explosion Cambrienne et des fossiles découverts dans les Schistes de Maotianshan dans le village de Chengjiang en Chine – donna une causerie à Seattle et qu’on lui demanda s’il ne rencontrait pas de problèmes engendrés par sa dissension du néo-darwinisme, il répondit en riant: «En Chine, nous pouvons critiquer Darwin mais pas le gouvernement. Aux USA, vous pouvez critiquer le gouvernement mais pas Darwin».

Admirons au passage le verbiage anesthésiant de Wikipedia: « Les schistes de Maotianshan qui se situent dans le temps à mi-chemin entre la faune d’Ediacara et les schistes de Burgess ont permis de préciser le concept d’explosion cambrienne, au cours de laquelle de très nombreuses formes animales très différentes semblent être apparues dans un intervalle de temps d’une déconcertante brièveté ».

Ces schistes “ont permis de préciser le concept d’explosion cambrienne”, à savoir qu’ils ont augmenté le Doute de Darwin et le Cauchemar des néo-darwinistes d’autant plus que “l’intervalle de temps” concerné est “déconcertant”. L’Explosion Cambrienne est épouvantablement très Troublante comme disait l’humoriste au sujet des Tours de la Dissonance Cognitive – sur mode 911.

C’est le Blues des Néo-Darwinistes: l’Explosion Cambrienne devient, récemment, de plus en plus Explosive, de nature, quant à son émergence sans “origines” estampillées conformes au dogme – et même quant à son absence intrinsèque “d’origines”. Et de plus en plus explosive pour l’idéologie dominante qui est en cours d’effondrement, en cours de collapsus éthique sous le poids de ses propres mensonges, fabulations, tromperies, falsifications, duperies, dissimulations, divertissements, diversions, détractions, etc.

Et la pléthore de nouvelles découvertes récentes, concernant le monde merveilleux et enchanteur des oiseaux, semble tout indiquer que ce monde fut également un motif à explosions ou, même, une explosion de divers motifs très intentionnés et circonstanciés sous toutes formes, nuances et couleurs de plumages et de ramages – et sous tous modes fusionnels avec leur Mer d’Atmosphère et avec leur Mère de Biosphère.

L’Explosion des Oiseaux au Début du Cénozoïque

Selon l’étude de 1998 intitulée “Evolutionary explosions and the phylogenetic fuse” [106] : «Une lecture littérale des archives fossiles indique que le début du Cambrien (il y a 545 Millions d’Années) et le début du Cénozoïque (il y a 65 Millions d’Années) furent caractérisés par des périodes d’accélération énorme d’évolution morphologique marquant, respectivement, l’émergence des phyla animaux et l’émergence des ordres d’oiseaux et de mammifères».

C’est ce que l’on appelle communément des “explosions de diversité”, à savoir une méga-émergence de familles, de genres et d’espèces sur des périodes tellement courtes de temps que les néo-darwinistes décrivent cette évolution comme étant accélérée. Toute question relative au motif, ou au moteur, de cette accélération très considérable de dissémination aléatoire et aveugle d’espèces est considérée, de nos jours – illuminés artificiellement par la falsification néo-darwiniste – comme nulle et non avenue.

Qui plus est, comme un discours promouvant la “haine évolutive” et donc passible de juridictions pour crimes de “négationnisme évolutif”, du moins selon la DéHontologie des Décodeurs de l’ImMonde – les serpillères obligées des serpillères, pré-sélectionnées, élues démocratiquement.

Une étude publiée par Science, en décembre 2014, et intitulée “Whole-genome analyses resolve early branches in the tree of life of modern birds” [108] a présenté les résultats d’une équipe internationale, d’environ 130 scientifiques, qui ont séquencé le génome de 48 espèces d’oiseaux représentant les branches majeures des oiseaux modernes. Selon l’article de l’Université de Sydney, «Les recherches du Professeur Simon Ho ont permis de confirmer que certaines des premières lignées d’oiseaux modernes émergèrent il y a environ 100 millions d’années mais que presque tous les groupes modernes d’oiseaux se diversifièrent durant une petite fenêtre de moins de 10 millions d’années, juste après que les dinosaures eussent été anéantis par un astéroïde» [107].

Ce n’est pas l’énigme de l’origine du Syrinx chez les Oiseaux qui va leur remonter le moral très bien abattu.

A l’Origine du Syrinx chez les Oiseaux: la Flûte de Pan?

Le syrinx est un organe, au fond de la trachée des oiseaux, qui leur permet de s’exprimer, de vocaliser – de chanter. Le terme Français est issu du Latin “syrinx” (signifiant roseau, tunnel, cavité – d’où les termes Français “seringue” et “syringes”) lui-même issu du Grec ancien “σῦριγξ” (signifiant roseau, tunnel). Dans ces trois langues, syrinx désigne, également, “la Flûte de Pan”. Diable, quelle surprise!

En effet, dans la mythologie Grecque, Syrinx – une chaste nymphe dans la suite d’Artémis,  la Déesse des Païens et la Mère des Sorcières [34] – pour échapper aux requêtes pressantes de Pan, implora l’aide des nymphes des rivières qui la transformèrent en roseau. Pan alors coupa quelques roseaux pour en confectionner sa Flûte de Pan. Comme il ne pouvait pas ensemencer le Canal Historique de la Féminité, de son bambou exalté, afin d’épancher son exubérance organique vitale et tellurique, il ensemença l’Atmosphère Vivante d’un autre canal, musical.

Ainsi donc. Qui enseigne aux oisillons le chant de leur espèce? La maman des oisillons, ou le papa? Et qui a enseigné le chant de l’espèce à la maman des oisillons… et à la première maman oiseau de la-dite espèce? Pan avec sa flûte, peut-être?

Tout jardinier est fort conscient qu’un jardin potager agrémenté d’oiseaux est un jardin potager beaucoup plus productif et fertile. Pourquoi? Parce que les chants des 10 000 espèces d’oiseaux de la planète – du moins les 4 000 espèces du groupe chanteur – constituent, dans leur intégralité, la Flûte de Pan, animatrice, génératrice et régénératrice. Et ce sont ces chants qui ensemencent toute l’Atmosphère Vivante de notre Mère la Terre.

Voici quelques passages, sous traductions et soulignements de Xochi, d’une étude intitulée “The evolution of the syrinx: An acoustic theory” – par de doctes docteurs US es-biologie, es-anatomie, es-statistiques, es-informatiques mais surtout escrocs – sur mode néo-darwiniste. C’est une publication teintée d’angoisses d’aléatoire non avouées, avec une traduction la plus littérale possible pour ne pas me faire accuser d’interprétations tendancieuses. Il s’agit d’une thèse scientifique, de février 2019, présentant une théorie acoustique quant à l’évolution du syrinx. « L’étude présente met en exergue la capacité vocale comme une force de sélection importante qui peut avoir joué un rôle dans l’évolution du syrinx comme organe vocal. Le moment précis de la transition du larynx au syrinx, dans le clade des Théropodes, est inconnu durant la période antérieure à 66/69 millions d’années. En attendant que de nouvelles données fossiles clarifient cette problématique, les résultats de cette présente étude permettent quelque spéculation quant à un scénario possible et, par conséquent, quant à la chronologie de l’évolution du syrinx». [32]  [33]

Le plus ancien syrinx fossilisé découvert date de la période durant laquelle les dinosaures se sont, tout simplement, volatilisés – il y a 66 millions d’années suite à l’impact d’un très gros bolide extra-terrestre, vraisemblablement dans le Yucatan. Les dinosaures étaient là depuis très longtemps car ils sont arrivés il y a 250 millions d’années, et c’est sans doute l’impact d’un autre gros bolide qui leur a donné un “avantage sélectif” – comme causent les Sélecteurs néo-darwinistes – il y a 232 millions d’années, durant l’Episode Pluvial du Carnien. C’est, en effet, à partir de cette période que les dinosaures se sont installés sur la planète entière – en compagnie grandissante et concomitante des lézards, tortues, reptiles et moult mammifères. En belle compagnie. [37]

En fait, en si belle compagnie que – contrairement à tous ces que les ouvrages, professeurs et conférenciers affirment – l’on vient de retrouver une belle bête qui est une sorte de mélange entre une tortue et un rhinocéros: un dicynodontes du nom de Lisowicia bojani. Et de taille, 9 tonnes, 5 mètres de long et il existait sans doute de plus gros car le fossile découvert ne présente pas d’arrêt de croissance dans les os. [138] Et cette découverte chamboule, une fois de plus, les idées reçues (par qui au fait?), quant à la prévalence de tout petits mammifères durant le règne incontesté des Dinosaures, car ce dicynodonte date de la fin du Triassique (240 – 200 Millions d’années). Cela fait désordre. Et comme tous les scientifiques s’accordent pour le dire, en cachette ou ouvertement, cela ne fait qu’accentuer le mystère du gigantisme de ces animaux à cette époque.

La syntaxe néo-darwiniste opérationnelle est, dans cette étude, pour le moins lâche, sinon intégralement fabulatrice. Quelle serait la définition, selon les auteurs, d’une “force de sélection”? Peut-elle se mesurer, précisément, comme la force de l’électromagnétisme? Et pourquoi cette “force de sélection” n’est-elle pas tendue vers la création d’un syrinx dans tous les autres groupes animaux – si elle possède un tel statut  privilégié de “force de sélection”?

Il n’est d’ailleurs pas aisé de trouver un croquis de syrinx sur la Toile. L’Académie de Nantes en présente un très clair avec un magnifique exposé sur le chant des canaris. [38]

Les auteurs affirment, en toute ingénuité, que ce ne fut pas le cas car l’anatomie des autres clades ne s’y “prêtait” pas: en effet, « … la trachée aviaire est accoustiquement plus longue que celle des mammifères, des reptiles non aviaires et des batraciens. “Accoustiquement plus longue” signifie que la longueur de la trachée est près du quart de la longueur d’onde de la fréquence fondamentale de la source sonore. Le premier oiseau ancestral doté d’un syrinx produisit, probablement, une fréquence basse fondamentale qui ne couvrait qu’un petit spectre de fréquences. Le syrinx ancestral ne possédait pas, probablement, de muscles intrinsèques si nous assumons qu’il ressemblait à celui d’une autruche, d’un enu ou d’un casoar. Une modulation de fréquence substantielle n’émergea, probablement, qu’une fois que la tension du tissu vibratoire put être ajustée par contrôle musculaire.». [32]

Ce qu’il faut retenir de ce charabia néo-darwiniste, c’est que la secte va devoir attendre longtemps – “probablement” l’Eternité, en fait, mais c’est le segment temporel qui sied le mieux à leurs élucubrations évolutives – avant de découvrir des fossiles qui n’ont jamais existé. Ce charabia invoque des inconnus, des potentialités, des scénarios, des spéculations… et une “force de sélection” qui n’est pas intentionnelle mais comme c’est une “force”, et bien, elle a “forcé” les Théropodes à muter du larynx vers un syrinx – sans que l’on retrouve une trace de cette transition. Faut-il vous la jouer à la Flûte de Pan, la transition, ou sur un autre mode plus dissimulé?

Voici un autre passage, issu de la même étude: «Cette investigation initiale d’avantages sélectifs potentiels d’un positionnement syringéal de la source sonore met en exergue, également, le fait que l’origine évolutive de l’innovation peut être abordée avec des tests spécifiques d’hypothèses quant à des scénarios sélectifs. Nos données démontrent qu’un avantage sélectif probable du positionnement syringéal est une efficacité accrue. La capacité de générer des sons puissants est importante pour une communication acoustique de longue distance ainsi que dans le contexte de la parade nuptiale et de la défense territoriale. Ainsi, à la fois, les forces de sélection naturelles, et sexuelles, peuvent avoir contribué à l’évolution du syrinx aviaire. Il reste à déterminer à quel degré [de manifestation] un syrinx précoce peut avoir coexisté avec une source sonore laryngée». [32]

Il ne s’agit pas de tirer sur l’ambulance mais de tirer des conclusions cohérentes quant à l’incohérence notoire qui est intrinsèque au verbiage du néo-darwinisme et à tous ses “fakirs”, “newsfakers” et autres porte-mensonges.

Le passage ci-dessus est un tissu solide de dissonances cognitives. L’équation serait ainsi: Syrix = sélection naturelle + sélection sexuelle + larynx hypothétique. De plus, quelle est, par Hasard – sinon par Nécessité – la différence entre une “force de sélection naturelle” et une “force de sélection sexuelle”? En effet, d’aucuns seraient enclins à imaginer que la Sexualité soit franchement une expression de la Nature. D’autres, comme Erasmus Darwin, vont même jusqu’à imaginer que la Nature soit, fondamentalement, une apothéose permanente de Forces Orgiastiques à l’Oeuvre.

Le Néo-Darwinisme est un grand théâtre d’opérations militaires à visée de lobotomisation sociale et universitaire. Tout repose dans la Propagande. Le Néo-Darwinisme médiatique constitue, en effet, “un scénario d’évolution” qui est rédigé et corrigé, au petit bonheur la malchance, et quotidiennement, par des équipes de fakirs, en laboratoires ou dans les éditions, ou sur internet, subventionnées par l’Etat, par les multinationales, par des fondations, etc, etc. Et ce, dans le but de cacher la misère de leur idéologie, dans le but d’occulter ce qu’ils prétendent occultés dans des strates géologiques: à savoir, des fossiles manquants parce qu’ils n’ont jamais existé sinon dans leurs prétentions pathologiques à visée de publicité et de duplicité.

Le Néo-Darwinisme est, également, un grand théâtre d’opérations psychologiques spéciales (psy-ops) dans la sphère des Sciences du Vivant – avec moult débordements en physique, en géophysique, en cosmophysique, etc. Le Néo-Darwinisme scientifique constitue, en effet, “un scénario d’évolution”. Par exemple, dans le cas de l’étude concernant les Théropodes, étant “donné” que le syrinx existe et étant “donné” qu’il est efficace et fonctionnel – il existe environ 4 000 espèces d’oiseaux chanteurs, actuellement, avec chacune son chant “spécifique” – les résultats proposés par ses auteurs «permettent quelque spéculation quant à un scénario possible» concernant l’émergence du syrinx.

Il s’agit bien là d’une hallucination collective entérinant des raisonnements perpétuellement circulaires: le syrinx a évolué parce qu’une “force de sélection”, ou une combinaison de forces sélectives, l’a forcé à évoluer. En bref, le syrinx a évolué parce qu’il a évolué. Cependant, l’objectif de l’étude était bien d’en éclairer l’origine, la source de l’émergence:

«Notre approche a abordé l’origine du syrinx par opposition à sa diversification. Il est, donc, impératif d’assumer une simple source sonore plutôt que les diverses morphologies que l’on trouve dans les oiseaux de notre époque. Une fois que la relocalisation de la source sonore eut émergé chez un ancêtre des Oiseaux, à ce jour inconnu, la diversification subséquente peut avoir exploré différentes avenues afin d’accroitre l’intensité vocale, telle qu’une double source sonore, différentes interactions avec le conduit vocal supérieur, etc. Les différents mécanismes d’interactions suggèrent un scénario potentiel – bien que spéculatif – quant à l’origine de la source sonore syringéale chez les Oiseaux». [32]

On peut noter au passage qu’une “diversification peut avoir exploré”… La diversification est-elle, en soi, un vecteur sujet d’intentions? On peut également noter “Une fois que la relocalisation de la source sonore eut émergé…”. Mais c’est justement cela la grosse et unique question: où a-t-elle émergé et quand? Et tout le reste du paragraphe est à l’avenant: du pur non-sens. Pourquoi?

Parce que le verbiage néo-darwiniste est farci de “téléologique” non avoué. La peur de Dieu… qui est, en fait, la peur de Gaïa, la peur de la Nature, la peur de la Mère, la peur du Féminin, la peur du Canal Historique, la peur de la Fusion Orgasmique, la peur de la Conjugaison et la peur de la perte de l’égo…

Pendant ce Temps, Gaïa conjugue et syntaxe sa Biosphère en-dehors des paramètres de Temps linéaire – sereinement, dans son Temps de Rêve.

C’est ainsi que je veille, scrupuleusement, à traduire fidèlement “les temps de conjugaisons” des auteurs  car l’une des astuces fondamentales fourvoyantes (sinon voyantes de fours… pour les omelettes) des néo-darwinistes, c’est de brouiller les Oeufs du Temps pour faire oublier la question primordiale de l’émergence primordiale de l’Oeuf ou de l’Oiseau.

Mon petit-fils, Nayan, me posait la question hier et je lui répondis qu’existentiellement, physiquement, ce ne pouvait être que l’Oiseau. De plus, d’un point de vue archétypique, il est beaucoup plus aisé de distinguer un Rossignol d’un Geai Bleu, au premier regard ou au premier chant, que de distinguer les oeufs d’un Rossignol de ceux d’un Geai Bleu. Il est fort possible que les oeufs de certaines espèces d’oiseaux aient, de plus, selon certains chercheurs patentés, la capacité d’émettre des sons spécifiques, tout comme pour les Tortues, mais cela reste un épiphénomène de par les modes de perception humaine – du moins tels qu’ils sont communément partagés – que la Biosphère nous a conférés. Il est, en effet, fort possible que certains animaux humains aient la capacité d’écouter les oeufs d’oiseaux – ou de tortues.

Et voici un autre petit paragraphe de la même étude/étuve, ci-dessous, et ce n’est pas de l’acharnement: c’est une exposition des “raisonnements” néo-darwinistes (avec tout le respect que l’on porte à la Raison) tentant d’exorciser l’un des Cauchemars de Darwin: l’émergence du syrinx, “ex nihilo”, chez les oiseaux. Dans le cas de la réthorique synthétique évolutive des néo-darwinistes, et de l’émergence d’entités ou d’organes qui paraissent tout évoluées, selon les registres fossiles, et dont on ne retrouve aucune forme ancestrale “intermédiaire” – l’expression “ex nihilo” peut, tout aussi bien, être remplacée par l’expression “ex Darwinia”. On peut noter au passage, également, que la notion de quête (toujours stérile) d’intermédiaires (non existants) tend à laisser entendre, pour l’inconscient collectif, que ces intermédiaires existent ou aient existé!!!

Ex Darwinia” caractérise ainsi toute entité de la Biosphère qui serait le fruit d’une évolution sur mode néo-darwiniste: à savoir, le fruit (parfois orphelin car sans ancêtres reconnus par l’Etat si vil) d’une évolution aveugle et non-intentionnelle opérant par mutations hasardées au fil d’un Temps inépuisable. Cette idéologie est, véritablement, le fruit d’un cerveau orphelin, le fruit d’une espèce humaine orpheline – ou du moins qui se croit orpheline parce qu’elle s’est, réellement, déconnectée de ses origines, de sa source, de la Terre-Mère. Le cerveau humain reste un cerveau organique tellurique mais il a été virosé par un virus extra-terrestre, celui de Yaldabaoth.

Le sujet n’est pas de s’enquérir quant à l’origine des clades, quant à l’origine des espèces, quant à l’origine de l’émergence spontanée d’un nouvel organe, etc, le sujet est de contempler les clades, les espèces, les innovations organiques – l’intégralité de la Biosphère – en tant qu’Origine, en tant qu’Emergence, en tant qu’Emanation.

C’est la problématique existentielle, et très physique, d’une grande partie des animaux humains au mental virosé: ils oublient d’imaginer qu’ils sont des personnages dans un Rêve qui n’est pas le leur: c’est le Temps de Rêve des Aborigènes d’Australie. L’animisme n’est pas la conception selon laquelle le monde serait vivant: c’est la perception authentique que le monde est vivant. C’est le Rêve de la Mère Animale Planétaire.

Quant à l’Animisme Sophianique, il n’est pas une conception de la co-évolution avec la Mère: il en est une pratique – magico-rituelle.

«La modélisation ainsi que les expérimentations conduites au sein de cette étude constituent, délibérément, un test d’un petit jeu limité de paramètres plutôt qu’un répliqua physique d’un organe vocal aviaire, doté de toute sa complexité. Même si cette approche minimaliste peut probablement informer quant à un avantage sélectif potentiel pour la transition dans la localisation de la source, elle n’inclut pas un test complet d’autres scénarios sélectifs et elle n’explore pas d’autres adaptations probables pour une efficacité accrue dans les espèces d’oiseaux existantes. Par conséquent, des recherches futures devront tester si l’avantage d’efficacité dramatique d’une position syringéale est maintenu pour diverses matrices (design) de syrinx ou si d’autres variables émergent en tant que cibles principales de sélection. La morphologie du syrinx témoigne d’une diversité remarquable, incluant des caractéristiques telle qu’une source multiple sonore, tel qu’une matrice (design/) de multiples niveaux de cordes vocales ou telles que des métamorphoses dans le mouvement et la matrice (design) des conduits vocaux. Tous ces paramètres affectent l’efficacité et nous ne savons pas comment ils sont influencés par des échanges entre l’efficacité vocale et ces autres caractéristiques acoustiques. Nonobstant, notre approche présente un premier test et établit les bases pour tester des hypothèses supplémentaires corrélées à l’origine et à la diversification du syrinx ».

Dans le passage ci-dessus, entre autres extravagances, le terme “design” est utilisé trois fois. Ce terme peut être traduit, en Français, par intention, dessin, matrice, structure, patron, etc. Il est amusant de noter ce recours abondant à cette terminologie car les néo-darwinistes sont les grands ennemis du “Dessein Intelligent” (“Intelligent Design”). Les néo-darwinistes ont la trouille au ventre car il est tellement aisé, pour l’imagination humaine, de s’éveiller au fait qu’un dessin nécessite un Dessinateur, au fait qu’une matrice nécessite une Mère, au fait qu’une intention nécessite un Intentionneur intentionné.

Soyons bon enfant et fermons sur les yeux sur la fabulation selon laquelle le syrinx serait le produit de l’évolution circonstanciée et aveugle, bla-bla… Mais qu’en est-il, donc, du chant spécifique à chaque espèce? Et qu’en est-il du chant particulier – parfois et parfois toujours – à des individus au sein de l’espèce? Tout cela est-il aussi le produit d’une évolution circonstanciée, hasardée, aveugle et aléatoire en fonction de l’évolution circonstanciée, hasardée, aveugle et aléatoire des muscles du syrinx, des membranes tympaniformes, des cartilages, du pessulus, de la régulation de la respiration et d’une grosse poignée de neurones drogués à la dopamine?

Le chant du serin, par exemple, serait-il le produit du hasard pur? Katia Lehongre s’est penchée sur ce chant et en a publié sa thèse, de 2007, intitulée “Propriétés auditives des neurones d’une structure spécialisée dans la production du chant chez le canari: codage des vocalisations de l’individu”. Et c’est tout simplement troublant et fascinant… comme fruit néo-darwinien du Hasard et de la Nécessité de la Force Sélective.

« Il a été réalisé une analyse approfondie des variations inter- et intra-individuelles des paramètres acoustiques fins qui caractérisent les chants, ainsi que de la phonologie (répertoire de syllabes) et de la syntaxe (ordre des syllabes dans les chants). Cette analyse (dite factorielle discriminante ou AFD) a permis de mettre en évidence qu’il était possible de distinguer les individus à partir de leurs chants.

Sur un ensemble de 31 oiseaux étudiés (K. Lehongre – 2007), il a été constaté que 195 syllabes étaient différenciées, chaque individu ne possédant qu’environ 20 types de ces syllabes (16% des 20 types de syllabes du répertoire sont propres à l’oiseau, les 84% restants sont chantés par, au moins, un autre individu).

La signature individuelle du chant chez le canari reposerait sur l’ordre d’enchaînement des syllabes, étant donné que tous les enchaînements de 5 syllabes sont propres à l’oiseau et que certains apparaissent fréquemment. Ainsi, les chants composés de plus de 5 syllabes sont propres à l’oiseau qui le produit, ce qui signifie que la plupart des chants sont individuels.

Cette étude a par ailleurs permis de mieux appréhender la structure du chant de canari, qui semble reposer sur un double équilibre. Le premier s’instaure entre une forte variabilité interindividuelle (cf. note) des enchaînements qui permettrait de marquer l’individualité des oiseaux et un partage des répertoires qui permettrait de marquer l’appartenance de l’individu à une espèce ou à un groupe. Le deuxième s’établit entre une importante variabilité intra-individuelle dans la composition des chants, qui permettrait d’augmenter la richesse de l’information à transmettre lors de la communication, à une redondance des enchaînements qui pourrait plutôt permettre une optimisation de la transmission du message.

note: une forte diversité intraspécifique et interindividuelle existe chez de nombreuses espèces chez lesquelles on évoque la notion de dialecte (ex. les étourneaux).» Katia Lehongre – 2007.

A ce point de notre exposé, puis-je me permettre de poser la question de la différence entre, d’une part, les passages prétendument scientifiques sus-cités de l’étude sur l’origine du syrinx et, d’autre part, le chant d’un serin tel qu’il est magnifiquement décliné par Katia Lehongre ? Le chant du serin est composé et structuré selon un dessein, dans une intention: il est porteur de sens, d’un message. Et si, chez les serins, “la plupart des chants sont individuels”, cela veut dire que chaque serin, qui vocalise, le fait parce qu’il a quelque chose à chanter d’individuel en sus de spécifique à son espèce. Quant à la thèse, ci-dessus, sur l’origine du syrinx, c’est une suite incohérente de concepts, de suppositions, de probabilités dont la seule intention ne possède aucun sens si ce n’est de continuer à fourvoyer les masses populaires au travers de l’hallucination collective du néo-darwinisme – tout en continuant à percevoir de gigantesques subventions pour des études-bidons permettant d’exposer les résultats que leurs maîtres Banksters leur demandent de produire.

A savoir, la validation de la théorie de l’évolution lente et hasardée et de la survie des plus forts et des mieux adaptés. Les plus forts et les mieux adaptés étant, bien évidemment, eux-mêmes, les banksters et autres Sionistes – et leurs escouades mafieuses de mercenaires, de larbins d’Etat et de proxies en tous genres. 

Sur le plan des improbabilités que l’on puisse invoquer, et imaginer, le chant des serins fait appel à un registre minimal de 195 syllabes dont l’arrangement, la structuration, diffère en fonction de l’intention du message vocal et en fonction, individualisée, du porteur du message, du vocalisateur. Katia Lehongre évoque une forte variabilité inter-individuelle des enchaînements ainsi qu’une importante variabilité intra-individuelle. On serait enclin à rapprocher cette situation de celle d’une protéine composée de 150 éléments (provenant d’une diversité de 20 acides aminés) et dont seuls certains arrangements sont stables et fonctionnels.

On ne peut ainsi que poser une question subséquente: quelle est l’origine de cette pression sélective telle qu’un serin possède un chant différencié de celui de ses congénères tout en témoignant, lui-même, d’un énorme registre en fonction de ses intentions? Existe-t-il un néo-darwiniste courageux dans la salle? 

Pour ne pas donner l’impression d’avoir “sélectionné”, pour l’origine du syrinx, une équipe de branques de laboratoires très protégées de l’impact du Réel dans des locaux souterrains stérilisés à 50 mètres de profondeur au fin fond de l’Utah, je suis allé enquêter sur la Toile.

Une autre étude vient juste, ainsi, d’être présentée en Californie, au printemps 2019, par Michael B. Habib – du Muséum d’Histoire Naturelle de Los Angeles. Elle est intitulée “New perspectives on the origins of the unique vocal tract of birds”. En voici quelques passages très notoires et éclairants – sous traductions et soulignements de Xochi. Dès le résumé, ce paléontologiste plonge son lectorat dans l’hallucination collective du néo-darwinisme – sur mode circulaire, et rond et rond petit patagon: «… le syrinx aviaire est positionné à la base de la trachée et de l’embranchement des bronches vers les poumons. Il se peut que cette position rende le syrinx intrinsèquement plus efficace, ce qui pourrait avoir été critique dans l’origine de cette caractéristique anatomique». [39] Traduction et Soulignements de Xochi.

En fait, la Sélection aveugle, par mutations aléatoires – au fil d’un Temps qui n’en finit plus de s’écouler – semble avoir un penchant pour “l’efficacité”. Ne pourrait-on pas poser la même question que pour le chant de la maman des oisillons? L’inclination vers “l’efficacité” qui caractérise la Sélection aveugle – selon l’idéologie sélectrice des néo-darwinistes – lui est-ce intrinsèque ou innée? Sinon, la Sélection aurait-t-elle été instruite de se comporter de la sorte?

L’intention de Michael B. Habib, un “expert en paléontologie”, est clairement de mettre en exergue que si le syrinx a émergé à cette position précise, et prétendument non habituelle pour des vertébrés, c’est sans nul doute à cause d’une efficacité accrue. C’est très louable mais on se demande bien combien de telles vaines coquetteries peuvent coûter à la communauté humaine.

«La vocalisation constitue un comportement complexe qui implique un éventail varié de structures anatomiques. La plupart des vertébrés utilisent un larynx en tant que structure primaire pour l’élaboration et le contrôle de sonorités vocalisées. Cependant, les oiseaux ont recours à une structure unique, appelé un syrinx, pour l’élaboration de leurs vocalisations. Le larynx, dans les oiseaux, retient sa fonction de valve respiratoire protégeant les voies aériennes mais il lui manque des cordes vocales capables d’émettre des sons. Le syrinx est une structure complexe qui peut avoir beaucoup plus de muscles que tout larynx, le plus complexe soit-il. Le syrinx constitue une caractéristique anatomique remarquable pour de multiples raisons. Au contraire, de tous les autres organes vocaux des vertébrés, le syrinx n’est pas dérivé d’un précurseur de valve connu. Le larynx apparaît avoir été un organe de production sonore intégralement fonctionnel lorsqu’il fut remplacé par le syrinx. Il en résulte qu’il exista probablement, durant une période prolongée, un empiètement/recouvrement/assemblage [overlap] de deux organes de production sonore fonctionnelle qui furent associés avec l’origine du syrinx. Ce type d’assemblage fonctionnel prolongé est rare pour de nouveaux organes.» Traduction et Soulignements de Xochi.

Rare ou bien inexistant? On se régale du début à la fin de la dissertation. Où, sur la Planète, existent, ou ont existé, les organismes possédant deux organes à fonction similaire, pendant la bagatelle de quelques millions d’années, en attendant que le premier (le larynx, dans ce cas) pleinement fonctionnel laisse la place au second (le syrinx, dans ce cas) qui est supposé beaucoup plus efficace mais dont on ne connait aucun ancêtre? C’est de la pure Science Fiction, aux sens premiers des termes.

Donc, “qui” a pu concevoir, à un moment précis de l’évolution de la Biosphère, qu’il était grand temps de mettre fin à cette “expérimentation” de larynx en solo, chez les Vertébrés, et de passer à un duo larynx-syrinx chez les oiseaux? 

«Les origines du syrinx ne sont pas bien appréhendées. De nombreuses caractéristiques qui ont été, pendant longtemps, considérées comme uniques aux oiseaux, particulièrement celles concernant le vol avec des ailes dotées de plumes, ont été découvertes dans des groupes de dinosaures n’appartenant pas aux lignées pures aviaires. Les origines du vol des oiseaux ont probablement été chaotiques avec l’existence de multiples lignées de dinosaures pleinement ou partiellement aviaires durant toute la seconde moitié de l’Ere Mézoïque – avec les oiseaux vivants représentant la dernière lignée vivante de cette expérimentation». Traduction et Soulignements de Xochi.

Il est à noter, sans surprise, que ce docte paléontologiste évoque une “expérimentation” en cours. Sans nommer “ce” qui en serait en supervision – de la dite expérimentation. Il émet, ensuite, l’hypothèse des origines chaotiques probables du vol des oiseaux. “Chaotiques” dans le sens de complètement désordonné ou “chaotiques” dans le sens de la théorie du chaos en tant que complexité irréductible?

Deux chercheurs de l’Institut Niels Bohr de l’Université de Copenhague viennent de découvrir une nouvelle manière par laquelle les cellules du corps s’auto-régulent: à savoir par le chaos. [65]  [67] Ces recherches, ainsi que quelques autres, [68] sont innovatrices également dans le sens où elles prouvent que le chaos s’avère être une caractéristique fondamentale des dynamiques qui impulsent la complexité irréductible inhérente à toutes les entités vivantes. Ainsi, Rasmussen et al. ont prouvé que ce sont des dynamiques chaotiques qui régulent la transition entre l’état de sommeil et l’état de veille. [66]

Et, bien sûr, ces dynamiques chaotiques sont programmées pour agir, ainsi, au sein de la Biosphère Gaïenne – sur un mode chaotique! C’est Beau.

En fait, les chercheurs en viennent à considérer que la faculté de vol chez les dinosaures a émergé à plusieurs occasions – au moins quatre fois selon leurs découvertes fossiles.

Toute personne qui a tenté de voler – en dehors de ses rêves endormis ou éveillés – en se jetant du haut d’une falaise, connait fort bien la différence entre “savoir voler”, à savoir “voler”, et “ne pas voler”. Un animal humain ne peut que se situer en dedans ou en dehors de cette hallucination collective que constitue le néo-darwinisme Sélecteur. Comme ils sont, présentement, dépassés par le Réel, les néo-darwinistes sont en plongée fatale et inexorable vers le fond de l’abime de leurs prétentions et de leurs vanités. So far so good, so far so good… Endgame. Next. A l’image de ce qu’ils considèrent comme des  “voies de garage de l’évolution”.

Se pourrait-il, également, que la faculté de vol n’ait pas d’origine ancestrale, à proprement parler? Ne pourrions-nous pas nous poser la question de la nature de son origine… à chaque fois qu’un oisillon se lance et vole? L’origine du vol n’est, peut-être, pas plus signifiante que l’origine de l’atmosphère – dont la nature de flux est telle que l’oiseau vole. A chaque seconde de sa vie, c’est, en fait, primordialement, l’Atmosphère qui est la source, l’origine du vol de l’oiseau.

La découverte récente d’Ambopteryx longibrachium, un petit dinosaure, non aviaire, glissant/volant d’arbre en arbre avec des ailes de type chauve-souris – en Chine il y a 163 millions d’années –  chamboule encore plus la théorie évolutive du vol chez les oiseaux. [57] Le Dr Min Wang, de l’Académie Nationale des Sciences, écrit: «Ces fossiles prouvent que proche de l’origine du vol, des dinosaures intimement apparentés aux oiseaux expérimentaient avec une diversité de structures ailées». Cette nouvelle découverte va, sans doute, donner de l’eau au moulin de ceux qui affirment que les oiseaux ne sont pas descendus des dinosaures terriens mais bien des ptérosaures volants – dont les anurognathidées.

On peut apprécier la tournure des phrases: ce seraient “les dinosaures qui expérimentaient avec une diversité de structures ailées”. Pour les néo-darwinistes, il n’y pas vraiment d’alternatives pour nommer ce qui n’est pas nommable puisque l’Evolution est aveugle, non intentionnelle et non intentionnée. Comme le commente un commentateur néo-darwiniste – professionnel, pour ne rien dire de travers: «la découverte d’un nouveau dinosaure à ailes de chauve-souris démontre que ces antiques animaux furent de perpétuels innovateurs en ce qui concerne la faculté de voler».

Et s’ils furent de tels perpétuels innovateurs, quid d’une culture sociale animale, d’une technologie animale? A l’image des termites? A l’image des dauphins? Comment le néo-darwinisme peut-il intégrer et expliciter le répertoire linguistique incroyablement complexe et diversifié propre à chaque espèce de dauphin mais surtout propre à chaque dauphin lui-même?

Sur la terrasse de notre maison en bois au milieu des forêts de l’Oregon, les colibris sont à ce point, aveuglément, intelligents qu’ils viennent me voir – à savoir me voler à 40 cm du visage – pour me prévenir qu’il n’y a plus d’eau sucrée dans leurs bouteilles, ou qu’elle a tourné. C’est Beau.

A la suite de primates, d’oiseaux et même d’araignées, c’est aux tour des abeilles apicoles d’avoir été entrainées à gérer de l’arithmétique: «Ce déploiement d’expertise numérique requiert des abeilles qu’elles acquièrent des règles à long terme et une mémoire active à court-terme. Etant donné que les abeilles mellifères et les humains sont séparés par plus de 400 millions d’années d’évolution, nos découvertes suggèrent qu’un cognition numérique avancée peut s’avérer plus accessible à des animaux non-humains qu’il était considéré antérieurement. » [58] Traduction et Soulignements de Xochi.

Donc, si l’on en “croit” l’idéologie néo-darwiniste, la faculté d’addition et de soustraction était déjà présente il y a plus de 400 millions d’années chez un ancêtre commun des abeilles et des humains. Et chez les dinosaures, alors donc?

Le cauchemar des néo-darwinistes, c’est que les seuls fossiles de syrinx datent de deux petits millions et demis d’années à l’exception d’un seul fossile, de l’espèce Vegavis iaai daté à 66/69 millions d’années, considéré, par certains, comme celui d’un syrinx “primitif” – quelle que soit la validité de ce concept et, peut-être même, la validité de cette découverte de fossile.

Selon l’étude, “Fossil evidence of the avian vocal organ from the Mesozoic”, publiée en 2016, par Julia Clarke et all.: «Les nouvelles données démontrant le potentiel de fossilisation de l’organe vocal aviaire quémandent [beg for] la question criante de savoir pourquoi ces vestiges n’ont pas été découverts dans d’autres dinosaures. L’absence d’autres vestiges trachéobronchiques Mésozoïques, ainsi que la piètre condition de minéralisation chez d’autres taxa d’Archosauriens dépourvus d’un syrinx, pourrait indiquer qu’un syrinx complexe constitua une caractéristique émergeant sur le tard dans l’évolution des oiseaux, bien après les innovations concernant le vol et la respiration». [33] Traduction et Soulignements de Xochi.

L’emploi, par les auteurs, du verbe “to beg for” est très parlant de cette mendicité qui paraît implicite dans toute publication de résultats authentiques: les chercheurs, dotés d’un grain de bon sens, mendient de la reconnaissance. Ils “implorent” leurs hiérarchies et leurs financeurs, inféodés à la secte néo-darwiniste, de s’éveiller à la réalité authentique du Réel, à savoir du “Dessein Intelligent” – à savoir, de la Sagesse de Gaïa-Sophia pour les intimes.

Michaël Habib pratique l’euphémisme, à grandes brassées d’eaux stagnantes, quant aux origines du syrinx qui, non seulement, “ne sont pas bien appréhendées”, mais en fait qui sont strictement et intégralement inconnues. Il faut vraiment être PhD en métaphysique néo-darwiniste pour être, ainsi, capable d’appréhender l’inconnu – in saeculae saeculorum.

Et en parlant d’inconnus, pourrait-on oser imaginer que des chercheurs de laboratoires aseptisés, ou de muséums poussiéreux, cherchent à démontrer que là, franchement, la Sélection Aveugle, par mutations hasardées, s’est complètement fourvoyée et que telle protéine, tel organe, ou tel organisme, ou telle entité animale, ou tel genre botanique, ou tel clade, ou tel biotope, ou tel écosystème, est strictement un pur non-sens qui ne devrait jamais s’être manifesté, sur la Planète Terre? Parce que non fonctionnel…

Pourrait-on oser imaginer que ces chercheurs très patentés en néo-darwinisme méta/physique – les ceintures noires de la secte religieuse – cessent de s’enquérir de la nature de la Réalité, quant à ses origines, afin de plonger, corps et âme, dans la réalité de la Nature, en tant qu’Origine, en tant que Source. Il est, en effet,  pathétiquement vrai que la plupart des experts néo-darwinistes, dotés d’un PhD, semblent programmés génétiquement pour fonctionner, très virtuellement, sur mode “Prétentions à haut Débit”. Programmés par qui?

Tel l’antique boulanger qui plonge les mains au coeur de la boulange, pourrait-on conseiller aux biologistes, et autres paléontologistes néo-darwinistes, de plonger leur corps physique au coeur du Réel de la Nature Vivante et Emanante, à savoir d’utiliser leur corps physique – dont fait, même, partie leur mental, pour mémoire – en tant qu’instrument de mesure, en tant qu’antenne sensible et sensuelle à l’écoute du Réel? Comme une Perle de Rosée matinale sait goûter les nectars de sagesse du dernier croissant de lune visible – avant que le nouveau cycle des Dakinis ne remue le ménage et le grand Manège du Zodiaque étoilé.

«Les biologistes, plus particulièrement, ont besoin d’être en communication sensorielle directe avec les êtres vivants qu’ils étudient et au sujet desquels ils écrivent. La reconstruction de l’histoire évolutive au travers des fossiles, à savoir la paléontologie, est une approche valide, selon mon opinion, mais les paléontologistes ont besoin de travailler, simultanément, avec des organismes représentant des contreparties modernes et avec des  “néontologistes”, c’est à dire des biologistes ». Lynn Margulis.

Pourrait-on imaginer que le Néo-Darwinisme soit déclaré, par les Tribunaux des Peuples, comme une secte terroriste disséminant de la fausse science toxique à visée de génocide et de suprématie raciale? Le Néo-Darwinisme est un fruit pourri, une chimère non fonctionnelle, un hybride anormal, une mutation non opérationnelle, donc mortifère, (parce que non adaptée à la survie) de la capacité d’innovation et d’imagination du mental humain. Notre mental humain a été virosé par le virus extra-terrestre de duperie, d’illusion, de grandiosité et de duplicité – dont la Réalité Virtuelle constitue l’apothéose la plus létale. Une apothéose mortifère qui va être dynamisée, à la puissance 100, par l’imposition de la technologie 5G, la plus létale que l’homme ait jamais inventée – selon certains scientifiques que les néo-darwinistes considèrent, très certainement, comme des complotistes, des conspirationnistes, des ennemis du Progrès… La plus létale et la plus dangereuse, également, pour la liberté des animaux humains sur cette planète qui vont devenir 100 fois plus surveillés qu’avant par les Autorités – qui nous veulent tellement de bien, selon leur cantique génocidaire.

Arrêtons de tirer sur le pianiste paléo, Habib, et consultons une étude supplémentaire pour faire preuve de bonne disposition. Elle est intitulée “Identity and novelty in the avian syrinx”, publiée au printemps 2018, et elle a pour ambition d’intégrer la biologie de développement, la paléontologie et la physiologie vocale, dans une tentative d’élucider l’origine inconnue du syrinx. Dès l’introduction de l’étude, les PhD préposés mettent carte sur table:

«Par contraste avec les cartilages laryngés qui soutiennent les cordes vocales chez les autres vertébrés, nous ne trouvons aucune preuve que les anneaux de cartilage individuels, qui ancrent les membranes vocales dans le syrinx, possèdent une quelconque homologie avec des éléments spécifiques appartenant à des groupes extérieurs. De plus, contrairement aux organes vocaux de tous les autres Vertébrés, le syrinx n’est pas dérivé d’un précurseur de valve connu et son origine implique une transition à partir d’un “tympan” évolutif dans les voies respiratoires, le point de jonction de la trachée et des bronches, vers une cible pour des régimes de sélection innovatrice. Nous trouvons que le syrinx tombe dans une catégorie inhabituelle de structures nouvelles: celles possédant un assemblage/recouvrement fonctionnel conséquent avec les structures qu’elles remplacent. Il se peut que le syrinx, tout comme d’autres innovations évolutives dans les modalités sensorielles et de signaux, puisse impliquer plus communément des transformations structurelles qui contribuent à une fonction existant, ou qui la modifient, plutôt que des transformations structurelles générant de nouvelles fonctions». [40] Traduction et Soulignements de Xochi.

L’équipe d’Evan P. Kingsley, et all., décline ensuite le déficit d’homologies dont voici quelques-unes:

«Le larynx et le syrinx n’apparaissent pas être homologues, sur un quelconque plan structurel, et il n’existe aucune preuve d’une continuité historique entre ces deux organes; et ils sont co-présents dans le même organisme dans des positions anatomiques différentes.»

«En tant qu’homologues sériels potentiels, sur un plan structurel, le syrinx et le larynx sont strictement dépourvus de critères de similarité, même superficiels, quant à leurs composants…»

«Des tentatives pour découvrir des homologies entre des éléments individuels de cartilage du syrinx, au sein même des oiseaux, se sont avérées largement stériles. » [41]

«La présence de ces muscles [Musculus tracheolateralis et Musculus sternotrachealis] en même temps que les muscles laryngés confirme l’absence d’homologies entre les muscles contrôlant la production de vocalisation laryngée et ceux contrôlant la production de vocalisation syringée. Au sein des groupes extérieurs, à savoir dans les groupes dépourvus de syrinx, aucun muscle ne s’étend vers la jonction trachéobronchique»

«Le syrinx apparait unique, parmi les organes vocaux des Tétrapodes, eu égard à une caractéristique-clé: on ne connaît l’existence d’aucune membrane vibratoire, ou de type valvaire, dans la jonction trachéobronchique d’un quelconque Tétrapode avant l’émergence du syrinx. Qui plus est, dans les seuls exemples répertoriés de perte de syrinx chez des oiseaux, les labia, et les membranes tympaniformes, dans les voies respiratoires sont également perdues. Cela suggère que de telles structures ne possèdent aucune fonction dans la respiration aviaire régulière». Traduction de Xochi.

L’article s’épanche, ensuite, en hypothèses, en spéculations, en supputations qui sont toutes en besoin extrême d’hypothèses subséquentes – elles-mêmes en urgent besoin de subventions par des organisations philantropiques ou des multinationales pharmaceutiques intéressées. Tout cela semble être archi clair: le syrinx a émergé de nulle part, de Darwinia, sans ancêtre connu et sans homologies avec quoi que ce soit dans les autres groupes quant aux structures laryngées. 

Pour rebondir sur l’usage, par la première étude ci-dessus analysée, d’une conjugaison au passé antérieur pour un événement supputatif: “Une fois que la relocalisation de la source sonore eut émergé” et comme résumé à tirer de toutes ces études: un ancêtre inconnu des Thérapodes aurait évolué, au travers d’un nombre inconnu de phases, de transitions ou de mutations, pour se métamorphoser en oiseau avec un syrinx pleinement développé, comme émergeant de nulle part, dans un positionnement optimal pour une faculté vocale très diversifiée et jouant double-jeu avec le larynx antérieur – pleinement fonctionnel déjà.

Et cette faculté vocale est non seulement très diversifiée mais elle nous comble très souvent d’un chant d’enchantement par la Grâce de la Sélection aveugle qui a doté des milliers d’espèces d’oiseaux d’un programme neuronal permettant, ainsi, à chaque individu, de s’exprimer sur un mode extrêmement riche: à savoir, de s’exprimer sur un mode spécifique (propre à son espèce), sur un mode clanique (propre à son groupe) et sur un mode individuel (propre à sa psyché).

La Sélection Aveugle semble dotée d’un sonar de chauve-souris qui lui permet d’y voir clair dès le premier essai. Toute personne saine d’esprit reconnaît intuitivement le néo-darwinisme comme une fabulation grotesque – sinon de le reconnaître comme une idéologie génocidaire.

L’hallucination collective, sur mode néo-darwiniste, est une forme de Toxoplasmose à l’échelle collective: un petit gang de psychopathes joue au chat et à la souris avec les Peuples de l’espèce humaine dont le mental est à ce point fortement impacté par le virus extra-terrestre – par lequel ce gang criminel les a contaminés – que ces Peuples se comportent de manière totalement suicidaire.

Il faut plonger au coeur de la Chimie de la Vie, au coeur de la Beauté et de la Complexité Irréductible de la Biosphère Gaïenne pour prendre conscience de la force d’inertie gigantesque du néo-darwinisme qui – sous prétexte d’une théorie de l’évolution – caractérise et fonde cette immense hallucination collective, stagnante et non évolutive, qui a prise actuellement sur une très grande partie de l’espèce humaine.

Prévisions: Comment la Chimie de la Vie

Révèle une Programmation et une Intention

Le titre du premier ouvrage de Marcos Eberlin ne fait pas dans l’Incertitude: “Foresight: How the Chemistry of Life Reveals Planning and Purpose” au Discovery Institute Press.  (“Prévisions: Comment la Chimie de la Vie Révèle une Programmation et une Intention” ). Marcos Eberlin décoche ouvertement ses flèches, à l’encontre de l’église néo-darwiniste, tout en annonçant, en toute transparence, la palette de couleurs propres à son arc-en-ciel de perceptions: le Dessein Intelligent. Marcos Eberlin est un chimiste très réputé, l’étoile Brésilienne de l’Académie des Sciences et le fondateur/directeur, depuis un quart de siècle, du Thomson Mass Spectrometry Laboratory à l’Université de Campinas au Brésil.

Cet ouvrage est porté aux nues par trois Prix Nobels de Physique, de Chimie et de Médecine – qui se rebellent contre la secte: John B. Gurdon (2012), Gerhard Ertl (2007) et Brian D. Josephson (1973). Gerhard Ertl en appelle, même, à “l’humilité” – un concept bien avarié par la soupe christocentrique grande experte en humiliations: «Que l’on accepte ou non l’approche d’Eberlin, il s’avère totalement clair que la Nature recèle encore de nombreux secrets qui sont au-delà de notre compréhension rationnelle et nous oblige à l’humilité».

“Encore… au-delà de notre compréhension rationnelle”, parce que bientôt à portée? Ou parce que jamais, au grand jamais, à notre “portée” de par le modus operandi de la raison humaine – ou prétendue telle? Ou seulement, alors, à la portée de ceux qui ne pleurnichent pas à grands renforts “d’humilité” mais qui la pratiquent, cette “humilité”, en allant voir de l’autre côté du Voile. En allant “voir” si la Biosphère est “Réellement” le fruit aléatoire et hasardé de l’évolution d’une cellule primordiale par mutations aveugles et successives au fil du Temps. Les termes “humilité”, “humiliation” “humain”, “humus”, “homme”, etc, sont issus du terme “humus”, en Latin, pour “terre, sol”.

Les biologistes vont trouver au coeur de la cellule ce que les shamans y ont découvert depuis des lustres: une Beauté fonctionnelle, prévue, programmée, prévisionnée – et dans une évolution épigénétique permanente au sein de la stase de son archétype “spécifique” informé dans, et de, la Biosphère Gaïenne. A savoir, une Beauté fonctionnelle émanant de la Biosphère et immanente à la Biosphère. Une Biosphère qui est, à la fois, Génératrice et Générante. Une Biosphère qui est, à la fois, Emergence et Processus, et qui est, à la fois, Source et Evolution.

Marcos Eberlin passe en revue des indicateurs puissants et pressants, sur diverses échelles, macro et micro – bactéries, cellules, plantes, oiseaux, etc – pointant inéluctablement vers le Dessein Intelligent. A savoir mettant en exergue que l’Evolution de la Vie “fait preuve” non pas de tâtonnements aveugles mais “de prévision, d’intention, de dessein, de propos” prégnants d’Intelligence et d’Ingéniosité dans l’émergence de merveilles de complexité biologique et chimique. Marcos Eberlin prouve que la Vie a mis en place des solutions dans l’anticipation de difficultés à surmonter. Il démontre que les processus non-intelligents, sur mode néo-darwiniste, ne possèdent pas la capacité, la complexité pour rendre compte de tels exploits de génie génétique. Pas plus, d’ailleurs, que les théories et propositions évolutives alternatives tel que le Multiverse d’Erwin Lazlo; telle que l’Evolution Moléculaire Neutre introduite par Motoo Kimura, en 1968, et les US Jack Lester King et Thomas Hughes Jukes, en 1969; telle que la Biologie Evolutive du Développement; tel que l’Equilibre Ponctué de Stephen Jay Gould, etc.

L’Equilibre Ponctué, du néo-darwiniste forcené, Stephen Jay Gould – un autre Noé titubant sur sa corde raide évolutive en attente de noyade dans le Déluge de la Darwinie dévolutive – est un échec total dans sa tentative d’expliciter l’absence de fossiles de transition en posant l’hypothèse d’apparitions géologiquement rapides. Cette hypothèse est confrontée au même cauchemar que le néo-darwinisme conventionnel, à savoir le manque de Temps, mais en plus dramatique encore.

«On dit souvent qu’une solution amène, avec elle, deux autres problèmes et un bouclier de membrane cellulaire n’y fait pas exception. Un simple bouclier pourrait, certes, protéger l’intérieur de la cellule d’envahisseurs mortels mais une telle barrière empêcherait, également, les nutriments cellulaires de pénétrer au coeur de la cellule et les déchets cellulaires d’en sortir. De petites molécules neutres pourraient passer au travers de la membrane au contraire des biomolécules qui sont plus grosses et qui sont normalement chargées électriquement. Un bouclier tout simple serait la recette pour un mort certaine et rapide. Afin que les cellules originelles pussent survivre et se reproduire, quelque chose de plus sophistiqué fut nécessaire. Des canaux sélectifs, au travers des membranes de ces premières cellules, durent être mises en place dès le début.

Les cellules, aujourd’hui, se présentent avec de tels seuils: ce sont des canaux protéiques spécialisés utilisés pour acheminer de nombreuses molécules et ions fondamentaux. Comment ce transport sélectif, à la fois de molécules neutres et d’ions chargés, fut-il orchestré? La théorie de l’évolution requiert un processus graduel et successif de petites mutations tamisées par la sélection naturelle – ce que l’on dénomme, communément, “la survie des mieux adaptés”. Nonobstant, un processus évolutif graduel, au fil de nombreuses générations, semble ne posséder aucune chance de construire de telles merveilles puisque, apparemment, il ne peut se manifester que peu de générations d’une cellule, et même qu’une seule génération, avant que ces canaux puissent émerger et fonctionner. Pas de canaux signifie pas de vie cellulaire. La question-clé est, ainsi, la suivante: comment les premières cellules purent-elles acquérir les membranes adéquates et co-évoluer les canaux protéiques nécessaires pour surmonter le problème de perméabilité? Certains évolutionnistes convaincus ont avoué qu’il s’agit là d’une difficulté majeure. Ainsi que Sheref Mansy et ses collègues l’expriment dans la Revue Nature: “La fonction de barrière intense des membranes a complexifié la compréhension de l’origine de la vie cellulaire”.» In “Foresight: How the Chemistry of Life Reveals Planning and Purpose”.  Traduction et Soulignements de Xochi.

Marcos Eberlin argumente que seul le Dessein Intelligent peut “expliquer” l’émergence de la membrane cellulaire à double paroi, flexible, stable et résistante, qui est capable de protéger la cellule de l’oxygène, de favoriser sa stabilité dans un milieu aqueux acide, de favoriser sa perception et sa modulation de la température et du pH et de métamorphoser sa composition chimique afin de gérer ses multiples fonctions tout en s’adaptant aux transformations chimiques et physiques du milieu.

«Si vous deviez solliciter cette tâche exigeante, et à multiples facettes, auprès des entreprises d’engineering les plus technologiquement avancées au monde, leurs ingénieurs les plus experts soit vous éclateraient de rire au visage, soit s’enfuiraient en hurlant dans la nuit. La technologie requise se situe bien au-delà de nos connaissances humaines les plus avancées. Et pour mémoire, il ne suffit pas d’effectuer correctement deux ou trois choses que cette membrane réalise – ou même 99% de ce qu’elle réalise. Ce ne serait pas assez. C’est tout ou c’est la mort! Une cellule vulnérable, en attente d’une amélioration – sur mode de processus de gradualisme Darwinien – serait promptement attaquée par une myriade d’ennemis et mourait, sans jamais se reproduire, en ne donnant pas le temps, à l’évolution, d’achever son travail, en aval sur le chemin». Ibidem. Traduction et Soulignements de Xochi.

A propos d’hygiène et d’intégrité cellulaires, en sus du vortex nouvellement découvert dans le papus de la semence de pissenlit (voir beaucoup plus avant), une étude vient d’être publiée, très récemment, dans la Revue Nature du 10 juillet 2019, sur la découverte d’un nouveau flux de vortex créé par les cellules du protozoaire Spirostomum ambiguum. Cette étude est intitulée “Collective intercellular communication through ultra-fast hydrodynamic trigger waves”.

Selon Arnold Mathijssen: «il existe de nombreux modes de communication dans la biologie mais il s’agit là d’un nouveau type de transmission de signaux inter-cellulaires que nous essayons d’appréhender. Il est possible que ce mode d’échange soit plus universel que nous l’avons décrit, à ce jour, et que c’est le vecteur de communication utilisé par de nombreux types d’organismes.»

Selon l’article de vulgarisation de Science Daily, «sans se toucher et sans signaux électriques ou chimiques, les cellules individuelles de Spirostomum ambiguum peuvent coordonner leurs contractions ultra-rapides si intimement que des groupes de Spirostomum semblent se contracter simultanément – une réaction vis à vis de prédateurs qui leur permet de libérer des toxines paralysantes, en synchronisme.» Traduction de Xochi. [169]  [170]

Quelle est donc la rapidité de contraction de Spirostomum ambiguum? Elle est de 5 milli/seconde et, pour comparaison, l’oeil humain cligne en 100 à 400 milli/secondes. Les chercheurs de cette équipe ont découvert qu’en sus de cette vitesse relativement rapide, les cellules de Spirostomum ambiguum communiquaient par le biais de flux aérodynamiques, des vortex… – le vortex se propageant d’une cellule à l’autre, à la même vitesse que la contraction individuelle, mais donnant, cependant, l’illusion d’une contraction de toutes les cellules, en synchronie, pour l’oeil humain. C’est très Beau, d’autant plus que la Complexité Irréductible du Spirostomum ambiguum est telle que les cellules, au moment de la contraction, endurent 14 fois la force de la gravité.

Le Néo-Darwinisme en Pleine Dévolution

Dans son ouvrage de 1996, “Darwin’s Black Box: The Biochemical Challenge to Evolution” – “La Boite Noire de Darwin”, Michael Behe argumente à l’encontre de l’affirmation Darwiniste selon laquelle le mécanisme extrêmement élaboré de la cellule se serait développé, aurait évolué, étape par étape, archi-minuscules, par sélections naturelles et par mutations aléatoires. Il y expose son concept de “complexité irréductible” – qu’il avait présenté, en 1993, lors d’un congrès sur le Dessein Intelligent, en Californie. Un système de complexité irréductible n’est, ainsi, fonctionnel que lorsque toutes ses composantes sont présentes. Dans son ouvrage, il présenta des exemples qui sont maintenant devenus connus tels que le flagelle bactérien, le processus de coagulation sanguine, le système immunitaire…

Il la définit ainsi: «Par complexité irréductible, j’entend un système unique composé de plusieurs parties – qui interagissent en harmonie et qui contribuent au fonctionnement basique – et qui cesse de fonctionner, en tant que système, dès que l’une quelconque de ses parties en est ôtée. Un système de complexité irréductible ne peut pas être produit directement (à savoir en améliorant continuellement la fonction initiale qui continue d’oeuvrer par le même mécanisme) par des modifications légères et successives d’un système précurseur parce que tout précurseur d’un système de complexité irréductible auquel il manque un élément est, par définition, non fonctionnel. Un système de complexité biologique irréductible représenterait un puissant défi à l’évolution Darwinienne». “La Boite Noire de Darwin”. Page 39. Traduction de Xochi.

Pour Michael Behe, la question se pose, ainsi, de savoir comment un système tel que la machinerie moléculaire peut émerger s’il n’est fonctionnel que lorsque toutes ses composantes sont intégralement présentes. En effet, son irréductible complexité signifie qu’il ne peut pas faire évoluer chacune de ses parties, une à une, et les assembler, toutes ensemble, par un coup de baguette magique, chacune à leur bonne place. Un tel système ne peut pas évoluer graduellement et sans guidance: il est encore dépourvu de fonction. Comme l’Evolution Darwinienne n’a pas d’Intention, une protéine non fonctionnelle ne peut être que le sujet de mutations en attendant, patiemment, que toutes ses parties puissent évoluer jusqu’à leur optimum.

En conclusion, l’émergence d’un nouveau système, de complexité irréductible, n’est possible que s’il dispose de protéines multi-fonctionnelles capables de s’assembler, en synergie harmonieuse, afin que cette nouvelle congrégation puisse développer une nouvelle fonction.

Dans son second ouvrage, “The Edge of Evolution: The Search for the Limits of Darwinism”, publié en 2007, Michael Behe affirme que si l’Evolution Darwinienne peut intervenir à l’intérieur de l’espèce, à savoir intra-spécifiquement, elle est limitée quant à sa capacité de générer de la diversité au-delà de l’espèce. Selon Behe, l’Evolution Darwinienne existe mais elle est plus apte à semer le trouble dans les machines moléculaires, à savoir les voies métaboliques existantes et fonctionnelles, qu’à en créer de nouvelles.

Rappelons que le concept d’espèce est le seul qui fasse du sens (si tant est) dans le monde physique, le monde du Réel Organique de la Mère Animale Planétaire. Lorsque l’on remonte dans l’arbre, il n’existe pas de manifestation Réelle, d’incarnation physique planétaire aux niveaux des Genres, des Tribus, des Familles, des Ordres, etc.

«Si la grande majorité des interactions protéines/protéines demeurent au-delà de la marge de l’évolution, il est donc raisonnable de visualiser l’intégralité de la cellule comme une usine bien programmée, intégrée holistiquement et sur un mode non aléatoire, ainsi que le Président de l’Académie Nationale des Sciences, Bruce Alberts, le suggéra. Cette conclusion n’est, ainsi, pas un argument “Dieu Bouche-Trou”. Le non aléatoire ne constitue pas une propriété rare de caractéristiques extra-complexes de la cellule. Bien plutôt, le fondement cellulaire de la vie, dans son intégralité, est prégnant de non aléatoire». Pages 146/147. Traduction de Xochi.

Voici deux faits que la théorie de la génétique des populations ne saurait contredire et qui ne sont donc pas opposables, selon Behe:

«Lorsque le développement de quelque trait biochimique d’adaptation particulière requiert plus d’une mutation spécifique du génome d’un organisme et lorsque les mutations intermédiaires sont délétères (et, même, dans une moindre mesure, lorsqu’elles sont neutres), alors la probabilité de multiples mutations émergeant, sur mode aléatoire, au sein d’une population et co-existant chez un individu particulier, de sorte à conférer l’adaptation, sera extrêmement basse par contraste avec les situations requérant une seule mutation. De plus, cette probabilité décrue signifie soit qu’une amplitude de population  beaucoup plus conséquente d’organismes serait requise, en moyenne, afin de générer les mutations multiples dans le même laps de temps que pour une mutation unique; soit que pour la même amplitude de population, un trait de mutations multiples nécessiterait beaucoup plus de générations pour émerger par contraste avec un trait de mutation unique». Traduction de Xochi.

Il m’a semblé important de traduire les très longs passages suivants de Michael Behe car ils portent sur un exemple clé de son ouvrage, à savoir la résistance du Plasmodium falciparum eu égard aux diverses substances de synthèse utilisées pour prétendument oblitérer ce vecteur de la malaria – sous l’égide de l’OMS, le Vatican de la Malaria. Et c’est d’autant plus important que cela rebondit sur les divers articles que j’ai rédigés à ce sujet – et présents dans cet ouvrage –  tout en rebondissant, également, sur la Campagne lancée, en 2018, par l’Association Kokopelli, “Pour la Libération des Plantes Médicinales” [61]   [62] dont la première dynamique se focalise sur l’Artemisia annua pour lutter contre la malaria et le cancer.

Voici comment, en juillet 2014, Michael Behe présente une découverte médicale validant l’une de ses déductions, dans son ouvrage de 2007, mais non élucidée alors.

«Une étude récente, publiée dans “Proceedings of the National Academy of Sciences”, confirme une déduction fondamentale que j’ai émise, en 2007, en concluant que “le minimum requis pour une faible activité de transfert de la chloroquine… est de deux mutations”.

Permettez-moi d’exposer le contexte. La théorie Darwinienne propose que la machinerie cellulaire, d’une complexité incroyable, évolua à partir d’étapes atrocement minuscules, au travers de la sélection naturelle agissant sur des mutations aléatoires. J’argumentai à l’encontre de cette théorie dans mon ouvrage de 1996, “La Boite Noire de Darwin”, en affirmant qu’une grande partie de la machinerie moléculaire était, à l’image d’un piège à souris, d’une complexité irréductible; qu’elle ne pouvait pas avoir été élaborée graduellement; qu’elle requérait, donc, un dessein intelligent. Certains Darwinistes contrèrent avec des scénarios pétulants en imaginant des systèmes compliqués se formant par des coups de baguette magique. Aussi vagues que fussent ces anecdotes, elles possédaient souvent un vernis de plausibilité qui fournissait une bonne excuse aux récalcitrants pour ne pas s’y pencher trop avant. Pour que le dossier à l’encontre du Darwinisme pût évoluer, je pensais qu’il devait se positionner au-delà des argumentations descriptives (qui trop souvent sont vrillées parce que tissées de spéciosité) pour avancer des argumentations quantitatives (qui appellent des réponses numériques pouvant être testées). Ainsi, pour autant se faire que peut, des chiffres, purs et durs, devaient être corrélés aux probabilités d’événements que les Darwinistes requièrent, allègrement, de la Nature non assistée. C’était l’objectif de mon ouvrage “The Edge of Evolution”.

L’un des points majeurs de l’ouvrage est que si l’évolution doit sauter une phase, même minuscule, afin d’accéder à un état bénéfique (à savoir, si même une seule phase intermédiaire – au sein d’un chemin évolutif long et inexorablement circonstancié – est préjudiciable ou non bénéfique), alors la probabilité d’atteindre cet état décroit exponentiellement. Après avoir décliné un exemple médical important (voir ci-dessous), j’ai affirmé que l’évolution de nombreuses interactions entre protéines tomberait dans la catégorie saute-mouton, que les complexes multi-protéiques dans la cellule sont au-delà de portée de l’Evolution Darwinienne et que le Dessein Intelligent demeure au coeur profond de la vie.

Cependant, à l’époque, l’exemple concret et principal de l’ouvrage – le besoin pour de multiples transformations spécifiques, dans une protéine malariale particulière (appelée PfCRT) [Transporteur de Résistance à la Chloroquine], afin de développer une résistance à la chloroquine – était une déduction et non point, encore, un phénomène confirmé de manière expérimentale. C’était une déduction réellement excellente mais évidente de par le fait que la résistance à la chloroquine se manifeste extrêmement moins fréquemment que pour les autres substances chimiques. Par exemple, la résistance au remède antimalarial, l’atovaquone, se développe spontanément chez un tiers des patients mais, pour ce qui est de la chloroquine, chez un patient sur 1 milliard. Au sujet du gène PfCRT, j’ai écrit: “puisque deux transformations particulières d’acides aminés (sur un total de quatre à huit transformations) se manifestent dans presque tous ces cas [de résistance à la chloroquine in vivo], il se peut qu’elles soient toutes les deux requises pour l’activité primaire par laquelle la protéine confère la résistance.” Le résultat serait que “la probabilité d’une cellule [malariale] particulière ayant les quelques modifications nécessaires serait de très loin inférieure eu égard au cas de la résistance à l’atovaquone pour laquelle la transformation d’un seul acide aminé est suffisante. Ce facteur semble être le secret expliquant pourquoi la chloroquine fut un remède efficace pendant des décennies”. Mais, néanmoins, cette déduction n’avait pas été validée en laboratoire.

Elle l’a été maintenant grâce à Summers et al. en 2014. Cela leur a demandé des années de travail pour obtenir ces résultats car ils durent, à grand peine, développer un système de tests adéquats par lequel la protéine malariale pourrait être à la fois déployée efficacement et observée attentivement quant à son activité pertinente – à savoir, la capacité de pomper de la chloroquine au travers d’une membrane cellulaire afin d’éliminer le remède du parasite. En ayant recours à des techniques expérimentales sophistiquées, ils mutèrent artificiellement la protéine selon tous les modes utilisés par la nature en sus de modes qui produisirent des intermédiaires jamais auparavant découverts. Une de leurs conclusions fut, qu’effectivement, un minimum de deux mutations spécifiques sont requises pour que la protéine soit capable d’expulser la chloroquine. ». [63]. Traduction de Xochi.

Les travaux de Summers, ainsi que ceux d’autres équipes de chercheurs, subséquemment, ont permis à Michael Behe de prouver, statistiquement parlant, que les processus de l’Evolution Darwinienne ne pouvait pas expliquer les mutations chez Plasmodium falciparum.

«Toute caractéristique biochimique d’adaptation particulière, requérant la même complexité mutationnelle que celle nécessaire à la résistance à la chloroquine dans la malaria, ne possède que d’extrêmement basses probabilités d’émerger, selon des processus Darwiniens, et de se fixer dans la population d’une quelconque classe de grands animaux (tels que les mammifères) à cause des amplitudes de populations beaucoup plus faibles et à cause de plus longs laps de temps générationnels en comparaison de ceux de la malaria. J’entends par “même complexité mutationnelle” la nécessité de 2 ou 3 mutations où, au moins, une phase consiste d’intermédiaires qui sont délétères plus un coefficient modeste de sélection de, disons, 1 sur 103 à 104. Ces facteurs vont nous emmener vers un ratio d’environ 1020. De plus, toute caractéristique biologique d’adaptation requérant une voie mutationnelle de deux fois cette complexité (à savoir de 4 à 6 mutations avec les phases intermédiaires délétères) a peu de probabilités d’émerger durant toute la vie de l’Univers.» [64] Traduction de Xochi.

La première conclusion que l’on peut tirer de toutes ces recherches, d’un point de vue strictement sanitaire, c’est que le Plasmodium falciparum est extrêmement ingénieux quant à sa capacité de s’adapter instantanément à son environnement – la preuve, entre autres, par sa très grande faculté de résistance aux médicaments chimiques ou de synthèse. Ainsi que Karen P. Day l’a très précisément démontré, à chaque enfant son Plasmodium falcifarum

«L’objectif de cette recherche est de découvrir l’amplitude de la diversité des parasites vecteurs de la malaria infectant les enfants d’un village Africain. Le séquençage de l’ADN met en exergue que ces parasites font preuve d’une très grande variabilité quant aux gènes encodant l’enveloppe de surface. En fait, la malaria de chaque enfant se caractérise par un jeu différent de ces gènes. Cette recherche met en valeur, par des méthodes de calcul, le point fondamental suivant: l’émergence de cette diversité n’est pas aléatoire mais structurée afin de favoriser les chances du parasite de contourner l’immunité de l’hôte; il faut donc en tenir compte pour que les programmes de contrôle de la malaria soient couronnés de succès.»  [99]   [100] Traduction de Xochi.

Et ces programmes de contrôle sont une telle faillite que les Autorités jouent avec des moustiques chimériques [101]  [102] ou des champignons chimériques – tel que Metarhizium pinghaense qui a été modifié génétiquement avec du venin de l’araignée très venimeuse d’Australie, Hadronyche versuta, pour tuer les moustiques porteurs du parasite. [103] En attendant le vaccin universel dont rêve le Vatican de la Malaria…

La seconde conclusion qui semble s’imposer, en se fondant sur les recherches de Karen Day, et sur l’incapacité des remèdes chimiques à éliminer le parasite, c’est de promouvoir l’usage des plantes médicinales préventives et curatives, telles qu’Artemisia annua, Artemisia afra, Ocimum canum, Ocimum gratissimum, etc, etc, qui ont accompagné les animaux humains, dans les zones tropicales, depuis des dizaines de milliers d’années – sinon depuis des centaines de milliers ou des millions d’années – dans leur capacité de survivre en compagnie des moustiques et des parasites porteurs de la malaria.

Dans son troisième ouvrage, “Darwin Devolves”, publié au printemps 2019, Michael Behe pulvérise la prétention fondamentale de la théorie évolutive selon laquelle les mutations aléatoires, et la sélection naturelle, impulseraient la vie vers toujours plus de complexité. En fait, il affirme, carrément, le contraire!

«La conclusion ferme à laquelle je suis arrivé, au fil des décennies passées, est la suivante: malgré des questionnements et des obstacles occasionnels le long du chemin, plus la science progresse et plus profondément au coeur de la vie le Dessein Intelligent peut-il être perçu… Bien que la chance impacte des aspects superficiels de la biologie, les évidences les plus récentes confirment que la vie constitue l’oeuvre intentionnelle d’un mental et que cette oeuvre intentionnelle s’étend beaucoup plus profondément au coeur de la vie que cela pouvait être auparavant découvert». “Darwin Devolves”. Traduction de Xochi.

Dès avant la sortie de cet ouvrage, de peur qu’il ne fût trop encensé, il fut sévèrement attaqué par les censeurs insensés de la secte néo-darwiniste dont le biologiste Jerry Coyne [69] qui se lamenta que cet ouvrage était l’équivalent biologique du concept de Terre Plate. D’ailleurs, ce concept de Terre Plate est fort auréolé d’une vaste orchestration de dissonance cognitive et de falsifications historiques – mises en place par les Autorités en contrôle de la propagande dissipative. 

«Jusqu’à maintenant, nous avons discerné trois alertes rouges qui émergent dans notre expérience commune: 1/ l’attribution fréquente, et gratuite, d’une biologie élégante, complexe et non élucidée à “l’Evolution” (que l’on présume Darwinienne); 2/ l’imposition d’un “front uni” par des scientifiques affirmant leurs prétentions Darwinistes au public; et 3/ le fait que les recherches biologiques portant sur des sujets, telle que la nutrition humaine contemporaine, soient confrontées à des problèmes réfractaires. Les deux premières alertes témoignent de la pression sociale qui est souvent usitée pour promouvoir les conclusions Darwinistes bien au-delà de ce que les données scientifiques fournissent“Darwin Devolves”. Traduction et Soulignements de Xochi.

Jerry Coyne a même attaqué, récemment, Stephen Meyer – l’auteur de “Darwin’s Doubt” et “Signature in the Cell” – en surfant sur le mode de la comédie religieuse: «Sérieusement, si Dieu veut que nous L’acceptions, pourquoi ne descend-Il pas sur Terre afin de réaliser quelques miracles irréfutables qui puissent être observés, photographiés, etc?» [77] C’est un échantillon du Néo-Darwinisme dans tout le pathétique de son manque d’argumentation scientifique, rationnelle, logique et saine d’esprit. Jerry Coyne vient de s’en prendre également au célèbre et jeune Ben Shapiro (“The Ben Shapiro Show”) qui a encensé “Signature in the Cell” et qui verse donc, totalement, dans le Dessein Intelligent. [78]

«Il est extrêmement ironique de prendre conscience que… l’évolution Darwinienne procède principalement en lésant ou en brisant des gènes et que, parfois, cela favorise la survie – même si cela peut sembler contre-intuitif. En d’autres mots, ce mécanisme est puissamment dévolutif. Il promeut la perte rapide d’information génétique. Les expérimentations de laboratoires, les études in vivo et les recherches théoriques mettent toutes en exergue, et avec force, le résultat suivant: de par la sélection naturelle, et les mutations aléatoires, l’évolution s’auto-limite. A savoir, ces mêmes facteurs qui promeuvent la diversité, aux niveaux les plus simples de la biologie, la bloquent activement à des niveaux plus complexes. Le mécanisme de Darwin agit, principalement, en dilapidant de l’information génétique pour un bénéfice à court-terme». “Darwin Devolves”. Traduction et Soulignements de Xochi.

En fait, selon Michael Behe, c’est du donnant-donnant à court terme et du donnant-perdant à long terme en ce qui concerne la plupart des mutations aléatoires – qui seraient le moteur de toute l’évolution darwiniste selon le dogme. Cela est d’autant plus intéressant que le terme “mutation” vient du Latin “movere”, pour “mouvoir”, qui vient du Proto-Indo-Européen “mei-th” signifiant “échanger”. Cette racine PIE serait, également, à l’origine des termes “mutuel” et “mutualisme”.

C’est Beau: une mutation non mutualiste serait, ainsi, vouée à l’échec évolutif! Parce que non Intelligente, à savoir non Ingénieuse, à savoir non Intentionnée?

On ne peut que conseiller, par hasard, aux néo-darwinistes, prétendument obsédés par la Quête de l’Origine, de se pencher sur l’étymologie – à savoir sur l’origine des termes. C’est souvent très éclairant… surtout lorsque le terme convie une signification diamétralement opposée à celle de ses origines.

«Cet ouvrage concerne un sujet très essentiel et incontournable quant à la problématique du Darwinisme versus Dessein Intelligent. Il démontre, non seulement, que les mécanismes de Darwin sont incapables d’élaborer des structures complexes – et cette capacité fut sujette au doute dès le moment même où Darwin proposa sa théorie – mais il démontre, également, que les mécanismes de Darwin dégradent activement des structures complexes et que, dans de nombreuses circonstances, cette dégradation est bénéfique à la survie d’un l’organisme. Ainsi, cela favorise la survie d’une espèce et cela ne peut pas expliquer d’où l’élégante complexité de la vie a émané.» Michael Behe. Traduction de Xochi.

Dans cet ouvrage, “Darwin Devolves”, Michael Behe démontre, sur le plan des macro-organismes, sa “Première Règle d’Evolution Adaptative”, qu’il avait déjà présentée en 2010 sur le plan des micro-organismes. [73]

«L’Evolution Adaptative peut induire la perte, le gain ou la transformation d’une fonction chez une espèce; il est, donc, de tout premier intérêt de déterminer si l’un de ces modes est dominant dans le processus évolutif en fonction de circonstances particulières. Etant donné que la mutation se manifeste sur le plan moléculaire, il est nécessaire d’examiner les transformations moléculaires, induites par la mutation en cause, afin d’appréhender si telle ou telle adaptation est plus adéquatement évaluée comme un gain, une perte ou une modification de fonction. Cette évaluation n’était pas, autrefois, possible mais elle l’est devenue de par les avancées de la biologie moléculaire durant la seconde moitié du siècle passé. Dans cette étude, je passe en revue les transformations moléculaires provoquant certaines adaptations avec une mise en exergue plus particulière d’expérimentations évolutives réalisées avec des organismes microbiens durant les quatre dernières décennies. Je démontre que les métamorphoses adaptatives les plus communes, de loin, qui sont perçues dans ces exemples, sont induites par la perte ou la modification d’une fonction moléculaire pré-existante. J’argumente, ensuite, quant aux possibles raisons pour la proéminence de telles mutations». Michael Behe. In The Quarterly Review of Biology 85: Pages 419 à 445. Traduction de Xochi.

Cette Première Règle d’Evolution Adaptative stipule que “tout gène dont la perte va induire un accroissement de l’amplitude de reproduction doit être brisé ou désactivé”.

Dans cet ouvrage, l’auteur décrit des “Merveilles de la Biosphère”: les insectes sauteurs bardés d’engrenages [70], les bactéries qui élaborent des aimants internes à partir de matériaux toxiques [71], des cellules particulières des yeux qui fonctionnent comme des câbles de fibre optique synchronisés avec des fréquences lumineuses spécifiques, etc, etc: la Vie…. [72]

Antennarius striatus, le poisson-grenouille strié, [83] avale sa proie à la vitesse d’1/6000ème de seconde. Quant à la fourmi Odontomachus bauri, c’est la Kung Fu du monde animal: elle clôt ses mâchoires à une vitesse tellement rapide qu’elle peut sembler très improbable, à savoir 0,13 milli-seconde. A ce jour, c’est la frappe animale la plus rapide qui soit observée [84] avec une vitesse allant de 130 à 230 km heure. Des clins d’oeil de l’Evolution Aveugle? Ou des cadeaux, dons, dotations, présents de Gaïa, la Terre-Mère? Il est de bonne augure, d’ailleurs, d’avoir recours à cet antique sens de “présents” pour évoquer les dons de la Terre-Mère – dans son Eternel Présent, le Temps de Rêve.

Il semblerait que dans la Grande Loterie de Gaïa, les espèces fonctionnent – de manière “fonctionnelle” – dès leur émergence. Ils répondent “présents” à l’appel dès leur émergence. C’est beau!

L’Explosion des Cichlidés

Voici le commentaire d’appréciation, du dernier ouvrage de Michael Behe, par Wolf-Ekkehard Lönnig – un promoteur du Dessein Intelligent – qui fut généticien au Max Planck Institute for Plant Breeding Research de Cologne, en Allemagne, et qui est l’auteur de l’ouvrage “The Evolution of the Long-Necked Giraffe” [épuisé mais gratuit en ligne] [74]:

« Concernant un certain nombre de sujets, les évolutionnistes, pendant plus d’un siècle, ont recyclé, de manière insensée, des “preuves” supposément indiscutables à l’encontre de tout dessein quant aux origines de la vie sous quelque forme que ce soit. Behe examine, de façon critique, ces “preuves” qui sont brandies comme une vérification et une validation inattaquables du Darwinisme. Ces preuves, non seulement, se sont laissées à désirer mais certaines se révèlent comme présentant une forte évidence pour la conclusion strictement opposée, à savoir en faveur du Dessein Ingénieux. Parmi ces dernières, on peut évoquer la rétine inversée de l’oeil, les pinsons des Galapagos, les tangaras, les mouches des fruits, les poissons Cichlidés, etc.

En ce qui concerne l’évolution des catégories systématiques en question (les pinsons, par exemple, et d’autres), je vous invite fortement à consulter l’ouvrage de Behe. Soit dit en passant, je dois admettre que je suis fasciné qu’il en soit arrivé, quasiment, aux mêmes conclusions que les miennes. Cependant, ce fut par une toute autre approche. (Voir mon ouvrage en Allemand “Species Concepts, Evolution and Creation”). En ce qui concerne l’oeil – ainsi que je l’ai écrit [75] et ainsi que Michael Behe le confirme – la théorie Darwinienne substitue la prétention au raisonnement. En affirmant cela, les analyses de Michael Behe sont étonnantes et absolument convaincantes. 

En sus des commentaires intrigants concernant les célèbres investigations de Lenski sur les bactéries, vous y trouverez également de profondes contributions concernant la théorie du Multiverse, la théorie de la Complexité, la théorie de l’auto-organisation, la biologie de développement (l’évo-devo), l’hérédité de niche écologique, la plasticité développementale, l’ingénierie génétique naturelle, l’épissage, les transitions majeures dans l’évolution, la théorie des jeux et bien plus». Traduction de Xochi.

Dans son ouvrage, Michael Behe analyse la problématique des Cichlidés dont l’explosion de diversité dans le Lac Victoria (en l’espace de 15 000 années) est présentée, par le néo-darwinisme, comme l’un des exemples les plus spectaculaires de l’Evolution Darwiniste. Il en tire les mêmes conclusions que dans tout le reste de l’ouvrage, à savoir contraires, très strictement, à celle de la secte:

«Tout comme pour les Pinsons de Darwin, si les catégories de classification étaient représentées comme les huit chiffres d’une somme totalisant des centaines de milliers de dollars, l’évolution des Cichlidés dans les Grands Lacs d’Afrique serait confinée à la colonne des centimes, sur la droite. Comparée à l’immense éventail de la vie, voici seulement ce que représente la transformation évolutive.

Il est intéressant de noter que les Cichlidés du Lac Victoria ont évolué durant les 15 000 dernières années, environ – à savoir durant le temps d’existence du lac depuis son dernier remplissage. Cependant, le Lac Malawi date de plus d’un million d’années et le Lac Tanganyika d’environ 10 millions d’années. Malgré les énormes différences d’âge, les trois lacs possèdent, grosso modo, le même nombre d’espèces de Cichlidés. De plus, les lignées – qui ont évolué indépendamment les unes des autres dans chaque lac – se ressemblent souvent intimement et témoignent ainsi, clairement, d’un spectre limité de variations disponibles qui, apparemment, peuvent émerger très rapidement et, juste, tout aussi rapidement stagner.» “Darwin Devolves”. Traduction de Xochi.

La Famille des Cichlidés est très connue des amateurs d’aquariums, de poissons d’eau douce, qui tentent de survivre dans les mégapoles, au milieu de leur propre aquarium existentiel, hors eau – sauf inondations, non inclues dans les contrats d’assurance. Avec cette famille de poissons d’eau douce, qui font de quelques centimètres à deux mètres de longueur, le néo-darwinisme est confronté à un problème de very bad timing – comme la BBC qui annonçait la chute d’une tour, en septembre 2001, avant qu’elle ne fût tombée – car cette famille se retrouve, présentement, dans les grands lacs d’Afrique, d’Amérique centrale et du sud, d’Inde et de Madagascar. Et à l’image du syndrome des Tours de la Dissonance Cognitive du World Trade Center, il semblerait que les poissons Cichlidés se soient manifestés au fond des Grands Lacs… en tombant du Ciel ou de quelque autre Force Evolutive peu encline à se laisser nommer.

En effet, tous ces continents se sont détachés du super-continent Gondwana, il y a 120 millions d’années. Par contre, la Famille des Cichlidés aurait “émergé”, la preuve par l’ADN, il y a 65 millions d’années – et peut-être, même, beaucoup moins. Par conséquent, toute personne, dotée d’un mental fonctionnel, peut s’inviter à se poser la question de la présence simultanée de la même Famille dans les lacs d’eau douce de plusieurs continents. Certains Cichlidés auraient-ils traversé les océans salés – à la nage? Et ensuite, pour atteindre les lacs d’eau douce? Quid des espaces hors eau – non adaptés au mode poisson – et qui entourent, très souvent, ces lacs…? Les néo-darwinistes ont toujours le prétexte de rebondir sur les rivières qui, souvent, coulent et s’écoulent… mais autant en emportent les vents salés des océans et leur bouillabaisse a la cote en baisse de par les bouillons de culture de découvertes, de ces vingt dernières années, de la biologie moléculaire et de la chimie organique.

Avec la Famille des Cichlidés, le néo-darwinisme git, misérablement, dans ses incompétences. En effet, cette famille – qui comprend entre 2000 et 3000 espèces – est très présente dans les grands Lacs Africains: le Lac Victoria, le Lac Malawi et le Lac Tanganyika. Les populations de Cichlidés y datent, très exactement et respectivement, de 15000 années, d’1 million d’années et de 10 millions d’années. Ces populations se déclinent, respectivement, en 500 espèces, 500 à 800 espèces et 250 espèces. [79]  [81] Ainsi, lorsque Deokjin Joo et al., dans leur étude, de 2013, intitulée “Identification of Cichlid Fishes from Lake Malawi Using Computer Vision”, affirment: «Les Grands Lacs Africains, incluant Victoria, Malawi et Tanganyika, constituent de grands réservoirs des espèces de poissons dans la Famille des Cichlidés. Au sein de ces lacs, l’évolution a formé, environ, de 1450 à 1750 différentes espèces de Cichlidés par le biais d’une spéciation rapide», [80] les questions que toute personne sensée – à savoir utilisant ses sens – a le privilège de poser aux néo-darwinistes sont, ainsi, les suivantes… dans toute leur beauté naïve.

Le néo-darwinisme peut-il s’autoriser à parler de “spéciation rapide” dans le cas des 250 espèces du Lac Tanganyika à la suite de 10 millions d’années “d’évolution et de spéciation adaptative”? D’autant plus que ce lac ne se situe qu’à 350 kilomètres, à vol d’oiseau, du Lac Malawi qui en possède deux fois plus, au moins, avec 1 million d’années d’existence, seulement? Par conséquent, les néo-darwinistes peuvent-ils donc tenter d’expliciter pourquoi la vitesse d’évolution aveugle, ou de spéciation évolutive et adaptative, varie-t-elle d’un lac à l’autre? D’autant plus que le Lac Victoria, quant à lui, a “généré/évolué” deux fois plus d’espèces que le Lac Tanganyika… en une poignée de 15000 années!

D’autant plus que selon les mêmes auteurs, à propos du Lac Malawi: «L’explosion d’évolution de radiation des poissons de la Famille des Cichlidés a engendré un nombre étonnant d’espèces haplochromines, estimé à environ 500/800, avec un degré surprenant de diversité non seulement des couleurs, et des structures de raies, mais également dans la forme du corps et des mâchoires». [80] Traduction et Soulignements de Xochi.

Les quelques termes soulignés participent du même type de verbiage fort utilisé par les néo-darwinistes pour évoquer l’Explosion du Syrinx chez l’oiseau, l’Explosion des Tortues, l’Explosion des Trilobites, l’Explosion d’Avallon, l’Explosion Cambrienne, l’Explosion des Angiospermes, l’Explosion des Oiseaux, l’Explosion des Baleines, etc, etc.

Depuis début juillet 2019, nous avons même l’officialisation d’une nouvelle “Explosion de la Vie Océanique” datée à 170 millions d’années. Une équipe de l’Université de Plymouth vient juste de publier ses travaux, dans la Revue Nature Geoscience: en ayant recours à des reconstructions de la température et de la composition de l’eau dans le passé, les auteurs ont estimé la proportion d’aragonite et de calcite se formant inorganiquement dans les océans durant 85 phases géologiques englobant 500 millions d’années. Et ils ont ensuite établi des comparaisons avec la composition minérale de fossiles d’organismes marins. Ils ont ainsi découvert une diversification considérable de la vie océanique de par l’émergence abondante et généreuse d’organismes planctoniques calcifiant qui, sur un mode de générosité et d’abondance, disséminèrent du carbonate de calcium – des rivages jusqu’au plus profond des océans. [141]

C’est Beau et bien pensé. Avez vous vu des photos, en microscopie électronique, de plancton calcifié? [141] C’est frissonnant.

Pour ne pas paraître indolent, je suis allé enquêter pour m’enquérir de la différence entre une évolution adaptative et une évolution diffusive. Et je fus, de suite, convié, par G, à cette étude suivante qui me confirma dans mes intuitions selon lesquelles les néo-darwinistes, auto-proclamés scientifiques, constituent, par un quelconque caprice de la Force Evolutive, une mutation Sioniste terriblement délétère de l’espèce humaine.

Qu’allons nous faire à cet instant fatidique de l’Evolution Humaine qui a généré une Explosion Sioniste de cette envergure? Son origine, par contre, est fort bien documentée et les ramifications de son Arbre de Mort sont tellement nombreuses que la décontamination de la Biosphère (dont notre ADN humain) est une matière d’urgence écologique et de survie existentielle, en fait, la même matière – et la même matière/conscience.

«La radiation adaptative – dans le sens d’une diffusion adaptative – constitue l’émergence d’une diversité de rôles écologiques et d’adaptations, à visée de rôles [role-specific], au sein d’une lignée. Récemment, certains chercheurs ont commencé à utiliser l’expression “radiation adaptative”, ou “diffusion”, comme synonymes de “diversification explosive d’espèces”. Cet essai – “Adaptive radiation versus ‘radiation’ and ‘explosive diversification’: why conceptual distinctions are fundamental to understanding evolution” [82] – vise à clarifier les distinctions entre ces concepts et les idées corrélées de spéciation géographique, de sélection sexuelle, d’innovations-clés, de paysages-clés et de clés écologiques. Plusieurs exemples sont donnés afin de prouver que la radiation adaptative et la diversification explosive ne constituent pas le même phénomène. Par conséquent, la focalisation sur la diversification explosive, et sur l’analyse de la topologie phylogénétique, ignore la plus grande partie de la biologie riche associée avec la radiation adaptative avec le risque de générer de la confusion quant à la nature des forces évolutives impulsant la diversification des espèces. Certaines “radiations” impliquent des explosions [bursts] de spéciation géographique, ou de sélection sexuelle, plutôt qu’une diversification adaptative; certaines radiations adaptatives n’ont que peu ou pas d’influence sur la spéciation – ou même un impact négatif. De nombreux exemples classiques de “radiation adaptative” apparaissent impliquer des influences impulsées en partie par la spéciation géographique, les capacités de dispersion des espèces et la nature des barrières de dispersion extrinsèques; en partie par la sélection sexuelle; et en partie par la “radiation adaptative”, dans le sens classique, incluant l’origine des traits et l’invasion des zones adaptatives qui résultent en un amoindrissement des ratios de diversification mais en une augmentation générale de la diversité». Traduction et Soulignements de Xochi.

Tout cela doit coûter très cher d’argent dit public – suivez mon regard. Est-ce compréhensible par la France du Bas – celle qui tente d’économiser dans les bas sous le matelas? Il est vrai que mes ancêtres n’ont pas eu le loisir de m’inculquer le respect du PhD – et dans certains pays d’Amérique Latine, qui s’évertuaient à me donner du Docteur, j’ai toujours précisé que j’étais un PhippieD, un Doctor de Nada. Je me définis, ainsi, comme un polybath: je suis enclin à baigner dans l’Océan Biosphérique et j’écris, sur mode sanguin, en nageant et en m’imaginant tel un oiseau se coulant le long des flux – sans gain, juste pour jouer.   

Le paragraphe ci-dessus brandit l’Explosion à tours de phrases. Et quelle est la nature de l’explosif? Aujourd’hui, un telle dissertation explosive serait, de suite, censurée pour motif potentiel d’appel à la Haine sur Internet. Nous sommes en juin 2019 et c’est l’offensive généralisée sur la Toile pour éliminer toutes les dissidences. Fakebook vient même de supprimer le compte de Natural News en Californie (promouvant les médecines naturelles et luttant contre les vaccinations) qui avait trois millions de suiveurs. Le très célèbre site internet du Médecin Naturopathe (et anti-vaccinaliste) Mercola a perdu, sur certains thèmes médicaux, jusque 99% de son trafic suite à une modification des algorithmes chez Google.

Voilà donc un échantillon fantasmagorique, dans le sens de l’imagination démente, de la circularité du néo-darwinisme, dans toute sa splendeur débridée, qui brasse des concepts, des Forces d’Evolution, des influences, des richesses, des impulsions, des explosions [bursts and explosions], des diffusions, des radiations… pour ne jamais aborder le sujet essentiel, le sujet au coeur des sujets: l’Origine des Espèces et l’Origine de l’Origine, à savoir l’Origine de la Génération.

Une origine qui, si l’on prête l’oreille aux élucubrations néo-darwinistes, semble toujours émerger ex nihilo, par la Force de la Sainte Evolution.  Et comme le diraient les Dzog Chen, pour ne pas se dissiper, ce n’est pas le tout de diffuser, il faut quand même générer, un peu, auparavant.

Supposons qu’il y eut des ancêtres primitifs et uniques des Cichlidés – à savoir, les Adams de la Famille, en quelque sorte, selon leur mythologie. Il ne semblerait pas qu’un néo-darwiniste ait eu l’audace, à ce jour, de proposer que les Cichlidés descendaient de poissons-volants issus d’une même espèce d’oiseau répandu sur tous les continents.

Les Cichlidés seraient-ils, donc, tombés du ciel, il y a 65 millions d’années, dans tous les lacs des continents Africains, Américains, Asiatiques et de Madagascar – par miracle? Ou en répondant à l’Appel du Vortex des Cichlidés? Ou auraient-ils émergé ex nihilo – et simultanément sur tous les continents? Et j’entends par là, bien évidemment, “émergé” sur mode néo-darwiniste – et de façon répétitive – à savoir sous la pression de la Sélection Naturelle à partir d’un embranchement quelconque sur l’Arbre de Vie germant de la cellule primordiale émergée (mystérieusement) sur Terre.

Aucune de ces propositions ne tient, véritablement, la route. N’est-ce pas? La situation est excessivement grave. Qu’allons nous faire? Ces poissons d’eau douce multicolores, seraient-ils, donc, tombés du ciel, il y a 65 millions d’années, en répondant à l’Appel du Vortex des Cichlidés?

La Graine de Pissenlit s’Envole à l’Appel de son Vortex

Les graines de pissenlit, Taraxacum officinale, lorsqu’elles tournoient, légères, emportées par les flux aériens, à quelques mètres ou sur très de longues distances, exercent une fascination certaine pour l’animal humain – qui se dit, intuitivement, que la Nature “est, franchement, bien pensée”. A l’automne 2018, une équipe de chercheurs de l’Université d’Édimbourg viennent de publier les résultats de leur étude, “A separated vortex ring underlies the flight of the dandelion”. [49] Cette étude met, ainsi, en lumière la raison inconsciente de cette fascination. La semence de pissenlit est littéralement aspirée vers le haut par un vortex qui est créé par le biais du mouvement de l’air passant au travers de son aigrette (un petit héron, étymologiquement) – qui est appelée, également, un pappus.

Le pappus du Pissenlit est composé, environ, d’une centaine de soies, de filaments. Selon les chercheurs de cette équipe, la quantité de filaments ne peut pas trop s’éloigner de cette moyenne car, sinon, l’anneau vortex ne peut pas se former et la semence ne peut pas s’envoler.

Ce type de vortex était strictement inconnu, auparavant, et c’est ainsi que l’équipe de chercheurs de l’Université d’Édimbourg présente l’objectif de ses recherches:

«Les plantes anémochores ont évolué des modes ingénieux de faire s’envoler leurs graines. Le pissenlit commun a recours à un bouquet d’aigrettes (les pappus) vecteur d’entraînement qui favorise la station en plein air. Ce mécanisme de vol passif est hautement efficace et permet une dispersion des semences sur des distances considérables; nonobstant, la physique fondant ce vol modulé par le pappus reste non expliquée. Dans cette étude, nous avons observé le flux entourant les semences de pissenlit et nous y avons découvert un type extraordinaire de vortex. Ce vortex est un anneau de fluide en recirculation qui est décollé en raison du flux traversant le pappus. Nous avons émis l’hypothèse selon laquelle la géométrie circulaire, en forme de disque, ainsi que la porosité du pappus constituent les caractéristiques structurelles fondamentales générant la formation d’un vortex-anneau décollé. Ce niveau de porosité fut évalué en ayant recours à des disques de microfabrique; un disque de porosité similaire fut, ainsi, découvert capable de récapituler le comportement de flux propre au pappus. La porosité du pappus du Pissenlit apparaît être accordée précisément afin de stabiliser le vortex tout en maximisant la charge aérodynamique et, simultanément, en minimisant les contingences matérielles. La découverte de ce vortex à anneau détaché prouve l’existence d’une nouvelle classe de comportement de fluide à l’entour de corps immergés dans un fluide qui peuvent fonder la locomotion, la réduction de poids et la rétention de particules dans des structures tout autant biologiques qu’artificielles.» Traduction et Soulignements de Xochi.

Selon le commentaire de la vidéo mise en ligne par Nature, [47] «Un jour, peut-être, des technologies humaines pourraient être conçues pour voler aussi efficacement que la grandiose semence de pissenlit».

Le sous-titre de l’article de vulgarisation de la Revue Nature [48] se veut résolument Goethéen et Sophianique dans sa vision du monde: “Le vol d’une semence montre combien l’appréciation des merveilles de l’Univers peut être initiée par une nouvelle perception du quotidien”. On serait enclin à imaginer que la communauté scientifique est quelque peu abasourdie par cette découverte au vu des adjectifs dithyrambiques utilisés. Jeremy Kahn, dans la Revue Nature écrit: «Une méthode impossible jamais découverte auparavant dans la Nature »

Les commentaires présentés sur l’article de vulgarisation de Nature sont à l’avenant [48]:

«La clé repose non pas dans les soies du pappus mais dans les espaces entre elles. Lorsque projeté sur un disque, l’ensemble des soies n’occupe que moins de 10% de l’espace en dessous du pappus tout en générant, néanmoins, une traction quatre fois supérieure à celle qui serait générée par un disque solide du même rayon. Cette étude démontre que le flux aérien entrainé par chaque soie interagit avec les poches d’air soutenues par ses voisines en créant une traction maximale en échange d’une dépense minimale de masse. La porosité du pappus – une mesure de la proportion de l’air qu’il laisse passer – détermine la forme et la nature de ce vortex de basse pression.

Tous les objets en chute, des plumes aux boulets de canon, créent des turbulences à leur passage. Mais cela requiert un assemblage rare de taille, de masse, de forme, et crucialement, de porosité, afin que le pappus puisse générer ce vortex-anneau. La taille est, également, particulièrement, importante parce que, du point de vue d’une entité aussi petite qu’un pappus, l’air est sensiblement visqueux. A une telle échelle, un parachute constitué d’un bouquet de soies est tout autant efficace que le plan de sustentation que l’on trouve dans de plus grosses semences se dispersant de plus grandes plantes – telles que les graines ailées des érables. De la même manière, les insectes minuscules ne volent pas avec des ailes solides mais ils nagent au travers de l’air en ayant recours à des pagaies, ou pales, faites de soies.

C’est un exemple de la manière dont l’évolution peut engendrer des solutions aux problèmes les plus complexes – telle que la dispersion des semences. Il existe de nombreuses entités inconnues plus petites que les atomes et plus vastes que les galaxies, ou à des milliards d’années dans le futur. Mais il existe des secrets recelés par des entités que nous prenons pour acquis – des entités à l’échelle humaine ou presqu’humaine – qui en semblent d’autant plus précieux. Le Ciel, même, dans une fleur sauvage ». Traduction et Soulignements de Xochi.

Le Néo-Darwinisme a quelques milliards d’années de retard…

à la pompe protéique

Où vont-ils s’arrêter, ces néo-darwinistes de la Revue Nature, qui en appellent, aujourd’hui, au Céleste, version new-age?  Encore un peu de Temps et cette Evolution géniale va être qualifiée de quasi-divine – et c’est, du moins, le statut que certains néo-darwinistes semblent lui prêter, aujourd’hui. L’Evolution qui génère, parce qu’elle est génératrice, possèderait donc la faculté de générer des solutions géniales à des problèmes très complexes – ou considérés très complexes par certains biologistes car, pour la Terre Mère, qu’est réellement la Complexité? C’est une bonne question.

Quant aux “entités plus vastes que les Galaxies”… les néo-darwinistes de la Revue Nature auraient-ils découvert une classe de bactéries cosmiques galaxophages? Les shamans et les Instructeurs d’antan n’en ont jamais parlé, de mémoire d’Anthropos. Par contre, les Initiés d’alors avaient bien dû percevoir cette qualité de vortex extraordinaire présent dans le pissenlit pour acheminer sa semence car, dans certaines langues, son nom évoque “le souffle“ – ainsi en Russe, en Polonais, en Italien, en Allemand…

C’est ainsi que les semences de Pissenlit s’envolent en “parachute” – en fait, en bouquet de filaments, de soies sans tissu de voile –  dans l’Atmosphère de Gaïa: en répondant à l’appel de leur vortex. C’est, peut-être, aussi la mission de toutes les âmes des animaux humains: de répondre à l’appel de leur Vortex.  Du moins ces âmes encore animées qui n’ont pas sombré dans le syndrome des morts-vivants se cachant sous le parachute de leur écran virtuel pour se protéger du Réel Organique.

Tel Richard Dawkins – l’un des gurus des néo-darloosers prônant le gène égoïste – qui a écrit, dans son ouvrage “l’Horloger Aveugle”: «La biologie est l’étude d’objets complexes qui donnent l’apparence d’avoir été conçus dans un but précis». Rappelons qu’au contraire des ouvrages de la géniale Lynn Margulis, tous les ouvrages du néo-darwiniste forcené qu’incarne Richard Dawkins ont été traduits en Français – en échange de très grands services rendus à la Mafia néo-darwiniste en situation d’Autorité auto-proclamée.

Ainsi donc, dans la vision du guru Richard Dawkins, le vortex-anneau engendré par le pappus du Pissenlit – le fruit d’un “assemblage rare de taille, de masse, de forme, et crucialement, de porosité” donne l’apparence extraordinaire d’avoir été conçu dans le but de faire s’envoler l’akène – mais ce n’est qu’une apparence. Selon Dawkins, il est illusoire d’y percevoir une intention: ce vortex accompagnant l’akène du Pissenlit n’est qu’un accident de parcours et il ne persiste dans la Biosphère que parce que son impact le rend plus probable que moins probable.

Il en est, sans doute, ainsi, de Richard Dawkins lui-même: un accident de parcours qui persévère dans le mainstream néo-darwiniste parce que son impact probabilise, beaucoup plus confortablement, la fabulation de leur idéologie sectaire – et retardataire! Les ouvrages du néo-darwiniste forcené Richard Dawkins possèdent la même saveur que le petit déjeuner du chien de ma voisine.

En effet, Lynn Margulis commentait: «J’oeuvre dans la biologie évolutive mais avec des cellules et des micro-organismes. Richard Dawkins, John Maynard Smith, George Williams, Richard Lewontin, Niles Eldredge et Stephen Jay Gould viennent tous de la tradition zoologiste. J’en déduis que, pour citer notre collègue Simon Robson, ils gèrent  tous un jeu de données qui est périmé de trois milliards d’années. [Elle prit conscience, plus tard, que c’était quatre]. Eldredge et Gould, ainsi que leurs nombreux collègues, sont enclins à codifier une ignorance incroyable du coeur de l’action réelle de l’évolution dans la mesure où ils limitent le domaine d’intérêt aux animaux – incluant, bien sûr, les humains… Ils font abstraction des bactéries, des protistes, des fungi et des plantes. Ils prennent un chapitre, court et intéressant, dans le livre de l’évolution et ils l’extrapolent à l’encyclopédie intégrale de la vie. Biaisés et limités dans leur perspective, ils ne sont pas tant dans l’erreur que dans l’ignorance. Et de quoi sont-ils ignorants? De la chimie, fondamentalement, parce que le langage de la chimie constitue le langage de la biologie évolutive – et la plupart d’entre eux ignorent la chimie.

Le Néo-Darwinisme est une tentative de réconcilier la génétique Mendélienne – qui affirme que les organismes ne changent pas avec le temps – avec le Darwinisme qui affirme le contraire. C’est un raisonnement qui fusionne, sur un mode mathématique, deux courants de pensée erronés – et c’est le début de la fin. Le formalisme néo-Darwiniste utilise une arithmétique et une algèbre qui sont inappropriées à la biologie. Le langage de la vie n’est pas constitué par une arithmétique et une algèbre ordinaires; c’est la chimie qui est le langage de la vie. Les praticiens néo-Darwinistes sont en déficit de connaissances adéquates dans, par exemple, la micro-biologie, la biologie cellulaire, la chimie organique, la biologie moléculaire ainsi que les génétiques cytoplasmiques. Ils évitent la cytologie biochimique et l’écologie microbienne». Dans “Gaïa is a Tough Bitch”. Traduction et Soulignements de Xochi.

Comment se fait-il que le néo-darwinisme continue de contaminer le mental de la population, universitaire et non universitaire, alors qu’il est fondé sur des fabulations totales? Tout d’abord, par la force de l’habitude, donc de l’inertie, qui est telle que l’individu assoupi, et lobotomisé, répond à l’appel du Vortex du Futur en reculant pour mieux, et ne jamais, sauter…

au lieu de s’y engouffrer “corps et âme”. Ce qui est une façon antique de discourir car l’animal est forcément un corps en âme de par leur étymologie commune, âme, animus, anima, animé. D’ailleurs, le terme “âme” n’est point apparenté, loin s’en faut,  au terme fatidique, “amen”, de soumission à la Croix, et aux Autorités, qui provient de l’Hébreu “emouna” pour “foi”.

Le néo-darwinisme a été infiltré, martelé, imposé, injecté à une population qui est tellement manipulable au travers de l’éducastration, des programmes de télé/fission du cerveau, des revues sur mode de soupe scientifique populaire, etc, etc.

Il n’est que d’analyser l’envoûtement de foules de jeunes, et de moins jeunes, qui vont aller hurler dans les rues pour sauver le Climat et qui vont même aller voter “utile” pour les verts de gris, le gang de Jadot, Rivasi, Cohn-Bendit, tous des crypto ou macro-macronistes, tous des archi et hyper-vaccinalistes – parce c’est un acte de civisme de se faire vacciner!! Ainsi pleurnichent les Verts: “Oui aux Vaccinations, non aux Lobbies”. Même Rivasi avale son dentier anti-vaccinal et s’affale sur le tapis. Le Vaccin, c’est sacré pour le CRIF… donc, c’est sacré pour l’Industrie et l’Etat. Un strapontin au Parle/Ment Européen, cela vaut bien quelques concessions au Génocide et à la Guerre Secrète à l’encontre de tous les Ethnos – une guerre menée par les Tzaddik.

Amen, Amen, Jadot. Amène encore plus de vaccinations pour sauver le peuple des méchants capitalistes pollueurs!!! Yannick Jadot, après avoir sévi chez Green Pest et après avoir gravi les gradins des gredins parasites, au Parlement de la Médiocrité Européenne – qui parlent, parlementent, bonimentent et mentent tout bonnement –  est en train de se préparer à abjurer même l’homéopathie afin de lorgner un siège éjectable au Sinistère du Génocide Médical. [60] Pour remplacer Agnès Buzyn? Il est vrai qu’elle est très busy, busy au sein de l’Industrie Pharmacratique.

A quand une alliance entre les Verts de Jadot/Cohn Bendit et le Réseau Biocoop pour un lancement consomm’acteur et éco-citoyen de vaccins bios, équitables et durables? Des vaccins génocidaires, sûrement, mais totalement exempts de gluten, de chimères génétiques, de quinoa en provenance de Bolivie et, bien sûr, des vaccins certifiés bios de bios par la Mafia certificatrice à la solde de Veritas ou d’Eco Certes! En attendant, Yannick Jadot fait le pitre pour amuser les foules et propose même de mettre en place un congé-canicule…

Ensuite, franchement, au vu de la pression médiatique que subissent les esclaves de la société de consommation pour toujours travailler plus afin de consommer plus; au vu de la pression financière que subissent certaines familles pour juste nourrir leurs enfants avec des aliments-poisons même peu onéreux; au vu de la pression de camisole chimique dont l’Etat accompagne la population avec force vaccins, antibiotiques et autres médications mortifères… faut-il s’étonner que personne, vraiment, n’ait le temps d’aller vérifier si la totalité de la Biosphère est issue d’une cellule primordiale chamaillée, au fil de quelques milliards d’années, par une force de l’Evolution qui s’efforcerait, au fil de moult mutations hasardées et aléatoires, de façonner de la matière aveugle au sein de la Nature pour qu’elle ait un sens, à savoir une fonction…

… un sens, du moins, pour celui qui a le privilège d’étudier l’Evolution aléatoire grâce à un cerveau qui serait le fruit de la dite Evolution aléatoire au sein de la dite Nature aveugle. Un néo-darwiniste, dans la vision qu’il a de lui même, comme aléa de la Nature, se perçoit littéralement comme une bactérie (peut-être déposée par une comète) qui accidentellement et grâce à une accumulation de mutations aléatoires, lors de copies de son ADN, a évolué en un animal humain. Cela fait-il du sens que de la complexité autant organisée puisse être générée par des mutations aléatoires?

«Un génome humain complet est constitué de deux jeux de, chacun, 3 milliards de lettres. En sus des multiples formes d’information génétique – enchevauchées, linéaires et proches du langage – le génome est replet d’innombrables replis et méandres, tel un programme informatique. Il existe des gènes régulant des gènes qui régulent d’autres gènes. Il existe des gènes qui perçoivent les transformations de l’environnement et qui instruisent d’autres gènes à réagir en mettant en mouvement des cascades complexes d’événements qui peuvent, ensuite, répondre à des indices environnementaux. Certains gènes se réorganisent activement eux-mêmes ou bien alors modifient ou méthylent d’autres séquences de gènes – ce qui résulte, fondamentalement, à transformer des portions du manuel d’instruction!» John Sanford dans “Genetic Entropy”. Traduction et Soulignements de Xochi.

En juin 2019, une équipe (néo-darwiniste) de l’Université Ludwig Maximilian, de Munich, a publié les résultats de ses recherches émettant l’hypothèse selon laquelle les molécules les plus primitives d’ADN seraient apparues en même temps – à savoir il y a 4 milliards d’années – que les molécules les plus primitives d’ARN et, par conséquent, 400 millions d’années plus tôt qu’antérieurement estimé. [109]  [110]

«Comment les premières briques de la vie se formèrent-elles sur la Terre primitive? A ce jour, seules des réponses partiellement satisfaisantes sont disponibles. Cependant, une chose est claire: le processus d’évolution biologique, qui a donné naissance à la diversité de la vie sur notre planète, doit avoir été précédé d’une phase d’évolution chimique. Durant cette phase “pré-biotique”, les premières molécules polymères capables de stocker de l’information s’assemblèrent, sur un mode aléatoire, à partir de précurseurs organiques disponibles sur la Terre primitive. Subséquemment, les réplicateurs les plus efficaces évoluèrent en acides nucléiques macromoléculaires informationnels – l’ADN et l’ARN – qui devinrent les fondements de toutes les formes de vie sur notre planète.» Traduction et Soulignements de Xochi.

C’est franchement troublant et un tantinet hilarant – et sûrement intégralement non satisfaisant – de découvrir que l’ARN et l’ADN aient “émergé”, sur mode “aléatoire”, “à partir de précurseurs organiques disponibles” qui ont permis à des “molécules polymères” “d’émerger” et “d’évoluer” – en toutes complexités. Les néo-darwinistes ont l’émergence à fleur de peau et de vocabulaire – et les comètes aidant, ont l’imagination fort perturbée… Le néo-darwinisme est, en fait, une idéologie pernicieuse, et viscéralement déprimante, fondée sur des émergences ex-nihilo et sur des évolutions chanceuses.

Quiconque s’implique, avec quelques graines de bon sens Indigène dans l’étude de la nature et de la fonction complexes des cellules, des protéines et des acides aminés, des virus et des bactéries, de l’ADN, de l’ARN, des gènes et des chromosomes… s’aperçoit, de suite, que le néo-darwinisme n’est qu’une hallucination collective. Me répétais-je?

Quiconque s’implique, avec quelques graines de bon sens Indigène, prend aussi conscience, très rapidement, que le monothéisme Yahvéiste, sous ses diverses mutations dites religieuses colportées par des barbus déments (Torah, petit Jésus, Allah) est une hallucination collective qui impacte quelques milliards d’individus, sur tous les continents, et qui, manifestement, est encore relativement opérationnelle grâce à un défaut de câblage dans la psyché humaine dont les psychopathes, grands experts en manipulations des foules et en Mal social, savent, fort pertinemment, tirer profit.

La Téléonomie à la Rescousse de l’Evolution Déprimée

Le gros problème des néo-darwinistes, c’est lorsqu’ils se laissent aller “naturellement”, dans leurs discours et dans leurs écrits: cela flirte, alors, ingénument avec la poésie, les allégories, les tournures exclamatives, les expressions dithyrambiques; cela taquine le Dessein Intelligent (mais de loin, du bout des neurones); cela tangue résolument vers la “méta/physique” qui les angoisse tant…

… comme si le programme, la matrice, le dessein, l’intention, au sein de la Vie, pouvaient  être autre chose que physiques.

Donc, pour ne pas verser, et s’engloutir dans le “téléologique” – un terme créé par le philosophe Christian Wolff, en 1728, et issu des termes Grecs “telos”, pour “objectif, finalité” et “logos” pour “discours” – le néo-darwinisme inventa, même, la notion de “téléonomique”. Ce terme provient des termes Grecs “telos”, pour “objectif, finalité” et “nomia” pour “loi, coutume”.

En effet, Colin Pittendrigh  (1918-1996) – un biologiste et le père de la chronobiologie, à savoir l’étude des horloges biologiques, des rythmes circadiens – est aussi réputé pour sa contribution héroïque à la philosophie de la biologie lorsqu’il introduit, en 1958, le terme “téléonomie” afin de distinguer “l’apparence de dessein” dans l’évolution biologique, selon l’idéologie néo-darwiniste, de toute téléologie.

Cela requiert un assemblage rare de taille, de masse, de forme, et crucialement, de porosité, afin que le pappus du Pissenlit puisse générer un vortex-anneau.

«La confusion ancienne des biologistes serait éliminée si tous les systèmes dotés de finalités étaient décrits par quelque autre terme, par exemple, “téléonomique”, afin de mettre en exergue que la reconnaissance et la description d’une finalité ne sous-entend pas une adhésion à la téléologie Aristotélicienne en tant que principe causal efficace». Behavior and Evolution. 1958. Pages 393-394.

Fakypedia décrit la téléonomie comme “désignant grossièrement le concept scientifique de finalité”. Quant à la téléologie, elle est décrite comme “l’étude de la finalité” et encore comme la “Doctrine visant l’explication des phénomènes par l’intervention d’une cause finale, nécessaire et intentionnelle”.

La téléonomie comme “grossier concept scientifique de finalité” signifie, tout bonnement, la téléonomie comme “concept néo/néo-darwiniste de finalité” puisque pour Fakypedia, il n’existe pas de rédemption scientifique hors du Dogme Darwiniste. Sa page concernant la “téléonomie” est un chef d’oeuvre de charabia auto-validé, et circulaire, qui arrive même à intégrer dans le pudding un zeste d’épigénétique. [52]

Il n’est que temps de déclarer Wikipedia comme organisation terroriste: à savoir semant la terreur et la dissonance dans le Mental Humain.

Le terme “téléonomie” fut adopté par le biologiste éminent, Ernst Mayr, en 1965, mais selon sa propre définition: «il semblerait adéquat de restreindre strictement le terme téléonomique à des systèmes opérant sur la base d’un programme d’information codée. La téléonomie, dans la biologie, désigne “l’intention apparente dans les organismes et dans leurs caractéristiques” comme l’écrivait Julian Huxley. ». Cause and Effect in Biology. In D. Lerner (Ed.), Cause and Effect. Page 42. Il fut adopté, également, par le biologiste néo-darwiniste Italien, Giuseppe Montalenti (1904-1990) – comme un substitut pour le concept de finalisme qui, disait-il, très sincèrement, «ne peut pas être récusé dans les affaires biologiques ».

Le terme “téléonomie” fut, ensuite, repris, en 1971, par Jacques Monod (1910-1976) dans son ouvrage phare – et far philosophique sur mode pudding truffé de noyaux de cerises biologiques – “Le Hasard et la Nécessité” sans qu’il ne mentionne ni Colin Pittendrigh ni Ernst Mayr. Selon ce très fervent néo-darwiniste que fut Monod:

« L’invariance précède nécessairement la téléonomie. Ou, pour être plus explicite, l’idée darwinienne que l’apparition, l’évolution, le raffinement progressif de structures de plus en plus intensément téléonomiques sont dus à des perturbations survenant dans une structure possédant déjà la propriété d’invariance, capable par conséquent de “conserver le hasard” et par là d’en soumettre les effets au jeu de la sélection naturelle ». Page 37.

« Toutes les autres conceptions qui ont été explicitement proposées pour rendre compte de l’étrangeté des êtres vivants, ou qui sont implicitement enveloppées par des idéologies religieuses comme par la plupart des grands systèmes philosophiques, supposent l’hypothèse inverse : à savoir que l’invariance est protégée, l’ontogénie guidée, l’évolution orientée par un principe téléonomique initial, dont tous les phénomènes seraient des manifestations.» Page 38.

Qui a dit que les êtres vivants étaient étranges. N’est-ce pas étrange? En tout cas, il n’est pas étrange que les Editions Françaises, dans la main du complexe militaro-industriel, ne publient que de tels ouvrages pathétiques issus d’un cerveau archi-linéaire, égoïste, pessimiste, maniaco-dépressif et Camusien…. et surtout, jamais au grand jamais, les ouvrages de Lynn Margulis débordant d’amusement, d’enthousiasme, de joie de vivre, de sensualité, d’innovation, de mutualisme et d’hommage à la Beauté, à la Complexité et à la Puissance irréductibles de la Vie!

Il est amusant que Fakypedia donne comme étymologie de “téléonomie”: «Du grec ancien τέλειος, téleios ( “achevé”) et νόμος, nomos ( “loi”). » – parce que, effectivement, “teleios” vient de “telos”, l’objectif. Mais le message n’est-il pas clair pour les néo-darwinistes dans l’angoisse perpétuelle de se confronter avec des formes de vie qui ont émergé toutes évoluées – tels que les Trilobites, telles que les Tortues, telles que les Baleines, etc? La Téléonomie est la loi de l’achevé! Le néo-darwinisme perd à tous les coups, et sur tous les tableaux, et il est, présentement, en cours d’effondrement boursier sous le poids de ses propres manipulations de “devises”.

Ainsi que Lynn Margulis l’avait également pré-visionné, les néo-darwinistes ont la peur au ventre mais, de plus, ce sont des loosers qui sont en train de perdre la tête, la bataille et la guerre. Le néo-darwinisme n’est qu’une petite secte hystérique, un vestige de l’obscurantisme biologico-religieux du siècle passé.

La thèse “téléonomique” de l’idéologie néo-darwiniste, en crise évolutive, a été récemment reproposée à la criée évolutive, des vendeurs de poissons avariés, par une étude issue de Jonathan Bartlett du Blyth Institue en Oklahoma et intitulée “Evolutionary Teleonomy as a Unifying Principle for the Extended Evolutionary Synthesis” et publiée dans la Revue BIO-Complexity. [53]. Et très sainement analysée par l’embryologiste, Ann Gauger, du Discovery Institute. [54]

«Afin de soulager cette situation, Pittendrigh et, plus tard, Mayr, suggérèrent d’utiliser le terme téléonomie, au lieu de téléologie, pour décrire cette sorte de comportement intentionnel. Mayr suggéra que nous pouvons utiliser ce terme téléonomie pour désigner quelque chose qui opère selon une intention, selon un dessein, à cause d’un programme… A savoir, dans la mesure où les organismes opèrent en fonction de leur programmation génétique, le “dessein” peut simplement faire référence aux actions du programme sous-tendant l’organisme.» Traduction de Xochi.

Est-il nécessaire de se répéter et d’ajouter que, dans cette vision néo-darwiniste, la programmation génétique – donc un programme génétique –  serait juste le fruit de la Sélection aléatoire et ne nécessite en rien un vecteur de programmation – ou un programmateur. Ce serait une programmation génétique qui aurait été acquise de par la pression de la Sélection au cours de l’Evolution.

Le flirt avec le concept de “téléonomie” permet aux scientifiques, qui se retrouvent sous la bannière du système néo-néo-darwiniste, connu sous le nom de “Extended Evolutionary Synthesis” – la Théorie Etendue et Synthétique de l’Evolution – d’intégrer d’autres modes d’hérédité génétique, et non-génétique, disponibles pour l’action évolutive tels que la sélection sexuelle, l’épigénétique, l’hérédité de niche écologique et la biologie de développement.

En vérité, la Pression de la Dé/Sélection Gaïenne est telle, eu égard à l’idéologie néfaste, toxique et mortifère du néo-darwinisme, que cette Eglise de la Sélection Aléatoire tente de lancer moult conciles, conciliabules et conciliations pour gagner du Temps – alors que même l’Eternité leur fait intégralement défaut, en amont, pour valider et fonder leurs élucubrations démentes.

Selon Jonathan Bartlett: «Shapiro, Caporal et Noble [trois des principaux promoteurs de la Théorie Etendue et Synthétique de l’Evolution] démontrent que de nombreux systèmes au sein des organismes peuvent contrôler l’évolution de gènes spécifiques. Ces systèmes d’évolvabilité sont encodés par le génome, ciblés par des produits de gènes et ils engendrent des effets qui avantagent l’évolution de la descendance. Sous tous égards, ils  correspondent au concept de Téléonomie Evolutive… Et il est bien évident que la Téléonomie Evolutive joue un rôle central et unificateur dans presque tous les aspects de la Théorie Etendue et Synthétique de l’Evolution… De récents développements dans la Théorie de l’Evolution, au fil des dernières décennies, témoignent de la nécessité de replacer la Téléonomie Evolutive au coeur de la pensée évolutive». Traduction de Xochi.

Il est bien clair que la pléthore de nouvelles découvertes biologiques qui, du jour au lendemain, remettent à plat un grand nombre de théories existantes sur l’évolution et l’origine de la Vie, plongent le néo-darwinisme dans un très grand désarroi. Les nouvelles technologies de la biologie moléculaire confrontent le néo-darwinisme avec le Réel Organique. Et ce n’est pas la Téléonomie Evolutive qui pourra aider à renflouer le Titanic Néo-Darwiniste en train de couler sous nos yeux. Lorsqu’il se sera définitivement abîmé, dans l’océan de ses turpitudes et exactions, l’onde de choc de cette dévolution, par annihilation, va générer un immense tsunami social car le néo-darwinisme contrôle tous les rouages de la société Occidentale. Et qui va surfer sur la crête du Tsunami?

La question identique se pose, d’ailleurs, pour l’Apocalypse et le collapse du Christianisme en cours: qui chevauche la Bête, la Mère Animale Planétaire?

Car la Bête est Belle et d’une complexité irréductible et très réfractaire au linéaire.

La Bête est Belle et d’une Complexité de plus en plus Irréductible

Un internet cytoplasmique carburant au calcium

Marcos Eberlin, lorsqu’il publia son ouvrage, “Foresight: How the Chemistry of Life Reveals Planning and Purpose”, au printemps 2019, n’était pas conscient de la toute récente étude annonçant la découverte d’un internet cytoplasmique – “un cell-wide-web” – par l’Université d’Édimbourg, qui révolutionne la compréhension dont les instructions sont acheminées au sein d’une cellule. Cette découverte, en effet, invalide l’hypothèse prévalente selon laquelle ces informations seraient transmises par le biais de fréquences définissant les signaux. Selon le Professeur Mark Evans, et son équipe, les signaux/informations sont, en fait, transmis par des ions calcium (de formule Ca2+) sur des nano-distances.

Cette nouvelle étude est publiée dans la Revue Nature Communications, fin mai 2019,  et s’intitule “The cell-wide web coordinates cellular processes by directing site-specific Ca2+flux across cytoplasmic nanocourses” [43]  [44]. Elle met en lumière que les cellules, dans le corps humain, sont câblées comme des puces électroniques acheminant des signaux. Néanmoins, au contraire de consoles de circuits fixes, les cellules possèdent la faculté de recâbler leurs réseaux de communication afin de modifier leurs comportements – par exemple, lorsqu’elles entrent en phase de croissance. [45]

Qui à conféré aux cellules la faculté de recâbler leurs réseaux de communication?

Les chercheurs de cette université ont découvert que l’information, au sein des cellules, est acheminée grâce à un réseau de nanocâbles, ou nanotubes, qui transmettent des signaux d’information sur des distances infimes par le mouvement des ions calcium Ca2+. Lorsque ces signaux pénètrent au coeur du noyau de la cellule, ils instruisent de très petites métamorphoses structurelles qui sont, alors, exprimées suite à l’activation de certains gènes spécifiques.

C’est ainsi que s’opère l’orchestration des activités ou fonctions cellulaires. Le noyau de la cellule est au coeur de cet internet cytoplasmique dont les nano-parcours (de moins de 400 nano-mètres) sont démarqués par les jonctions de réticule sarcoplasmique et les pompes calcium. De plus, cet internet cellulaire est auto-reconfigurable, à souhaits, en fonction des informations reçues et transmises par le noyau de la cellule.

Le Professeur Mark Evans, de l’Université d’Édimbourg, a déclaré: «Nous avons découvert  que la fonction cellulaire est coordonnée par un réseau de nanotubes qui sont similaires aux nanotubes de carbone que l’on trouve dans un microprocesseur d’ordinateur. Le fait le plus étonnant est la très grande flexibilité de ce circuit car cet internet cellulaire peut, rapidement, se reconfigurer afin de transmettre différentes instructions sur un mode qui est déterminé par l’information reçue et relayée par le noyau. C’est un exploit qu’aucun micro-processeur; ou console de circuit, créés par l’homme, n’est actuellement capable de réaliser.» Traduction et Soulignement de Xochi.

C’est exactement ce que dit Marcos Eberlin lorsqu’il décrit la merveille que constitue la membrane cellulaire. Et si tout cela est le fruit du Hasard aléatoire et aveugle, c’est du Hasard Magique!

Marcos Eberlin affirme que lorsque la Vie est confrontée à un seuil, un obstacle, une bifurcation, etc, la solution doit être rapide et elle doit être tellement rapide qu’elle est en fait instantanée – sinon la Vie devient de la non-Vie, instantanément.

C’est ainsi que chaque seconde de sa Vie, une cellule, un organe, un organisme sont confrontés à des choix, à des prises de décision quant à privilégier la bonne voie – afin de survivre, de suite, dans le Présent.

Ainsi, Sandra Cortijo, de l’Université de Cambridge, a élaboré un atlas d’expression génétique des gènes “bruités” de plantes génétiquement identique d’Arabidopsis thaliana en réalisant un séquençage d’ARN, toutes les deux heures pendant 24 heures, afin d’analyser la variabilité de leurs 15 646 gènes individuels: « Nous avons observé que 9% des gènes (à savoir 1358 gènes individuels) s’avéraient hautement variables durant au moins une fois durant la période de 24 heures. Nous avons découvert que ces gènes hautement variables s’inscrivent en deux catégories influencées par le cycle diurne: des gènes avec une activité plus variable durant la nuit ou des gènes avec une activité plus variable durant le jour». [140] Traduction de Xochi.

Et aujourd’hui, a quoi, donc, la Biosphère Vivante, dans son intégralité, est-elle confrontée de par la manie destructrice d’une poignée de psychopathes déments? Et quelle va être sa solution Corrective pour mettre fin à une mutation délétère, criminelle, psychopathique et génocidaire d’une partie de l’espèce humaine qui a dé/généré et qui est dés/humanisée? Et qui, bien évidemment, met en danger suprême tout le reste de l’Humanité, donc de la Biosphère – les deux étant strictement indissociables.

Une bouteille à la mer: les messages de survie

du Nématode Caenorhabditis elegans à sa descendance

Le 6 juin 2019, une équipe de Tel Aviv publia, dans la Revue Cell, une étude intitulée “Neuronal Small RNAs Control Behavior Transgenerationally” (en libre sur la Toile) [86] qui s’avère très novatrice et fascinante dans la mesure où elle répond, de façon strictement affirmative, à la question de savoir si des caractéristiques acquises, durant la vie de l’organisme, sont transmissibles aux générations subséquentes. Ces chercheurs ont prouvé qu’il existe un mécanisme, basé sur l’ARN, qui est tel que les réactions neuronales, en réponse aux influx de l’environnement, sont inscrites sous forme d’information héritable qui va impacter le comportement de la progéniture des nématodes sujets de cette expérimentation – à savoir, des nématodes de l’espèce Caenorhabditis elegans très utilisés en biologie de par leur peur panique vis à vis de tous les métaux lourds dans le sol. Les nématodes de l’espèce Caenorhabditis elegans sont, également, très utilisés en biologie des radiations (dans le sens de diffusion de radio-activité) depuis des décennies. [87]  [88]

Ces nématodes ont une peur-panique des métaux lourds qui sont, cependant, considérés inoffensifs, et même bénéfiques, par tous les psychopathes de l’Académie Nationale de Médecine – en fait, l’Académie Nationale du Génocide. La preuve par l’épandage des boues d’épuration dans les champs de l’agriculture de France. Au fait, quel est le pourcentage de plastiques “oubliés et égarés” dans les sols de l’agriculture Française? La même question se posant, très malheureusement, pour la nourriture à destination humaine ou animale.

Quant à la radioactivité – une autre grande source d’oxydation et de cancérisation des sols et des tissus humains – l’article récent de l’ImMonde sur les déchets radioactifs vaut son pesant de cacahuètes allergènes. L’ImMonde titre, en effet, “Le lent poison des déchets radioactifs «oubliés» qui contaminent les sols français”. [89] «En France, 200 millions de mètres cubes de résidus à vie longue n’ont pas de filière de gestion. Seuls 1,6 million de mètres cube sont pris en charge par l’Andra». L’ImMonde du 11 juin 2019.

La France a “oublié” ses déchets radioactifs!! Du moins ceux qui ne sont pas nécessaires à la confection de bombes à uranium appauvri déversés, gratuitement, par la France et l’Armée Française, sur les populations civiles de Libye, et d’ailleurs, pour les libérer de l’oppression. Sous “l’oppression” du Guide Muammar Gaddafi, la Libye était un pays paisible et le plus riche d’Afrique. C’est maintenant un pays “libéré” mais ruiné et en guerre civile permanente. Sarkozy, l’auteur du crime, est toujours en cavale pendant qu’Assange est torturé – aux sévices de la Jewstice. Tout va bien?

Cela veut dire qu’un mécanisme ARN, dans les neurones, régule, module, impacte les gènes des cellules germinales afin de contrôler les comportements des générations futures. Cela veut, donc, dire que les neurones, de cette espèce de nématode, communiquent avec ses cellules germinales sur le thème de la survie et de l’adaptabilité. Cela veut, donc, dire que la mémoire du nématode, corrélée à un phénomène de réponse environnementale, est transmise génétiquement à la génération subséquente. C’est Beau.

Des réponses à des stimulis environnementaux impliquent des prises de décision. Cela veut dire que des prises de décisions se transmettent génétiquement à la progéniture des nématodes. En est-il de même des mammifères? Et que pense la secte néo-darwiniste de cette nouvelle découverte d’une programmation de type chaotique (prise de décision) impactant la génétique des générations futures? Il semblerait que la Biologie, supposément explicitée, suprêmement, par le Dogme de l’Evolution Aléatoire, soit présentement en cours de désamorcer l’envoûtement social du Néo-Darwinisme – de le faire dévoluer, une bonne fois pour toutes.

Une autre Revanche de Lynn Margulis: une Mémoire sur Mode Viral

Et c’est d’autant plus Beau lorsqu’il s’avère que la formation de la mémoire semble facilitée par des mécanismes similaires aux infections virales selon deux études publiées dans la même Revue Cell en 2018 [90]  [91]. Ecoutons les chercheurs, Jason Shepherd et Cédric Feschotte, dont l’interview, par Alexandra Gros et Antoine Besnard (qui sont tous deux docteurs en neuro-sciences) est publié sur le blog de Peppe Ganga, “Aux Frontières du Cerveau” [92] – un blog présenté sur le site du CNRS qui est un service public parfois au service du Public.

« Il avait été précédemment établi que Arc dérivait d’un gène (de type Gag) qui ressemble à celui codé par les rétrovirus et que l’on trouve aussi dans un groupe d’éléments génétiques mobiles endogènes appelés les rétrotransposons, qui sont d’ailleurs très courants dans les génomes de vertébrés. En effet, la moitié du génome humain est composé de rétrotransposons ! Nos analyses phylogénétiques ont permis d’établir que le gène Arc que nous étudions chez les rongeurs est né il y a environ 350 millions d’années chez l’ancêtre commun des vertébrés terrestres (tétrapodes). Ainsi, nous avons pu identifier un homologue direct de Arc chez les amphibiens, les reptiles, les oiseaux, et les mammifères, mais pas chez les poissons. En revanche, c’est chez ces derniers (poisson zèbre, carpe, cœlacanthe) que nous avons identifié les rétrotransposons les plus directement apparentés à Arc et qui appartiennent au groupe “Gypsy”. Il apparaît donc que le gène Arc descend d’une lignée de rétrotransposons de type Gypsy qui vagabondaient chez l’ancêtre commun des tétrapodes.» Cédric Feschotte.

C’est toujours un plaisir de lire la prose dite rationnelle, mais, néanmoins, sur mode “émergence”, des scientifiques modernes – qui font ce qu’ils peuvent pour surnager dans une mare putride de dissonances cognitives imposées par la gangrène sociale néo-darwiniste. Le gène Arc (Activity-regulated cytoskeleton) est, donc, “né” il y a environ 350 millions d’années: il a entendu de la musique chez des Tribus de rétrotransposons, de type Gypsy, qui vagabondaient dans le génome de l’ancêtre commun des Tétrapodes. Et il s’est, alors, incarné dans cette lignée de rétrotransposons Tziganes – peut-être par amour de la musique sensuelle – pour aller conter fleurette virale dans les Galaxies Neuronales.

«Arc représente seulement la partie visible d’un iceberg de séquences dérivées d’éléments génétiques mobiles et parasitiques (virus, transposons). Ces éléments sont à la fois très variés, dotés de capacités biochimiques sophistiquées, et sont extrêmement répandus dans les génomes. Nos découvertes et celles de nombreux laboratoires révèlent que ces séquences d’origines vagabondes représentent un réservoir important pour la formation d’innovations génétiques et cellulaires au cours de l’évolution. Arc s’ajoute à une liste qui s’allonge rapidement d’exemples de systèmes moléculaires nés des cendres de ces éléments parasitiques dispersées dans les génomes et qui sont souvent ignorés des études traditionnelles mais qui constituent un puissant outil évolutif.» Cédric Feschotte.

C’est juste trop adorable: “ces séquences d’origines vagabondes représentent un réservoir important pour la formation d’innovations génétiques et cellulaires au cours de l’évolution”. Qui en douterait, franchement? Science Baby! En fait, le gène Arc et le gène dArc (à ne pas confondre avec la Sainte Holocaustée du même nom) font partie d’une Guilde de Gènes Vagabonds: ce sont les Troubadours et les Troubadouresses des Galaxies Neuronales et ils se baladent, en carrosses de capsides, pour disséminer leurs Cantos mémoriels d’ARN messager, de neurone en neurone. Ils sont les Porteurs de la Mémoire. C’est très beau.

C’est d’autant plus Beau que le terme “mémoire” provient du Latin “memor” qui est apparenté aux termes Sanskrits “smarti” pour mémoire et “smara” pour amour. Ces termes sont dérivés du PIE “s-mer” pour “souvenir et se soucier de”. Cette racine se retrouve dans le verbe Anglais “to mourn” pour faire le deuil. Les Anciens ont fort bien compris que la Mémoire et l’Amour sont très intimement corrélés. D’ailleurs, du Temps des Troubadours de l’Amour Orgiastique, “l’amour de lointain” – voguant sur les mémoires de l’être aimé et adoré – était, parfois, de bon ton par manque de moyens technologiques adéquats au raccourcissement subjectif de l’espace géographique.

« Alors que nous considérons les infections virales comme une source de nuisance, ces épisodes d’infection fournissent également de nouveaux substrats d’évolution pour créer de nouveaux gènes qui deviennent finalement bénéfiques pour l’organisme. L’étude présentée ici reflète combien la recherche fondamentale inspirée par la curiosité peut mener à d’importantes découvertes. En effet, s’il est largement admis que les neurones communiquent via des signaux chimiques ou électriques, le transfert direct de matériel génétique de neurone à neurone via des vésicules extracellulaires n’avait jusqu’alors jamais été décrit. Ainsi, une rencontre fortuite entre un virus et nos lointains ancêtres il y a environ 350 millions d’années a peut-être ouvert la voie à certains processus cognitifs et pourrait également inspirer les approches de thérapie génique de demain.» Jason Shepherd.

J’ai envoyé un petit mail à Peppe Ganga, en lui précisant que moi, c’était Pépé Ganja, pour lui demander s’il croyait encore en la Sainte Eglise Evolutive Néo-Darwiniste, ou s’il faisait mine (pour les subventions) mais il ne m’a jamais répondu. Qui a besoin, d’ailleurs, de “thérapie génique de demain”. La seule “thérapie génique” qui fasse du sens, c’est celle qui permettra de neutraliser les psychopathes – demain, de préférence et à jamais. Mais jamais à deux mains, pour ne point se contaminer l’aura.

Peppe Ganga me considère, sans doute, comme un barde extra-terrestre… en provenance directe d’Andromède pour chanter mes Cantos de Xochi qui sont très souvent, il est vrai, en flux spontané – à savoir non linéaires.

Le Virus de la Nécrose de la Fève Joue au Billard Génétique!

Une mémoire virale! Nous sommes au coeur de l’endosymbiogenèse! Lynn Margulis peut exulter, de nouveau, du tréfonds de la Grande Mémoire Gaïenne. Et elle peut exulter, d’autant plus, que les travaux génétiquement “incroyables”, et fascinants, de Stéphane Blanc [160], du CIRAD en France, ont démontré qu’un certain virus ne respecte vraiment pas les règles – du moins ce que les néo-darwinistes butés considèrent comme des règles – leurs règles. Il s’agit du Faba Bean Necrotic Stunt Virus (FBNSV, pour les intimes), un virus multipartite de plante induisant des pathologies peu complaisantes sur les légumineuses – telle que la Fève, Vicia faba.

Selon, l’INRA: «Des chercheurs de l’Inra, du Cirad et du CNRS ont montré que les différents segments constitutifs du génome d’un virus dit multipartite peuvent exister dans des cellules distinctes de l’organisme cible, et travailler ensemble pour provoquer une infection. Ce résultat inédit va à l’encontre du paradigme fondateur en virologie, qui considère que le génome entier d’un virus pénètre et se réplique à l’intérieur d’une même cellule, puis passe à une autre cellule où il se réplique à nouveau, et ainsi de suite pour développer l’infection. Ce mode de vie pluricellulaire viral montré pour la première fois, pourrait exister pour d’autres systèmes viraux. Ces travaux ouvrent donc d’importantes perspectives de recherche en virologie.» [159] Soulignements de Xochi.

Lynn Margulis se serait, peut-être, même, étranglée de rires à la lecture de la réaction du néo-darwiniste confirmé, Siobain Duffy, de l’Université Rutgers, suite à la découverte que ce virus de la nécrose de la fève se reproduit par le biais de huit segments génétiques différents, chacun lové dans sa propre capsule, qui se reproduisent dans des cellules différentes : «C’est une découverte révolutionnaire pour la virologie. De nouveau, les virus prouvent qu’ils ont eu le temps évolutif d’essayer n’importe quelle stratégie, même celles qu’il est difficile d’imaginer pour un biologiste».

Il est clair que si un biologiste lambda ne peut pas même l’imaginer, c’est qu’il souffre d’un déficit d’imagination eu égard à l’Evolution Aveugle et Aléatoire – ou eu égard à son Intentionneur. Le déficit d’imagination est, d’ailleurs, une sorte de pléonasme du concept de néo-darwinisme.

Ces virus multipartites, découverts vers 1940, comprendraient environ 35 à 40 % des espèces de familles virales connues. [167] Selon Stéphane Blanc, comme ces virus s’installent, de préférence, chez les plantes, et les champignons, personne n’y prête vraiment attention.

Avez-vous remarqué que ceux qui braillent qu’ils vont sauver le climat de la fournaise anthropique, au dioxyde de carbone, emploient toujours le prétexte de pauvres animaux souffrant le martyre calorifique ou en proie à une quête inexorable de “refuges climatiques”: les ours blancs, les pingouins, les abeilles, les bourdons, les papillons, les pinsons, les chouettes, etc – et même une jeune autiste, de cirque médiatique, manipulée par des criminels sans âme! Il ne manquerait plus que la Marlène débarquant avec ses femmes frigides car trop impactées par les températures saute-moutons du “changement climatique”… Beh! Beh! Le Sionisme génocide l’intégralité de la Biosphère et les psychopathes, par le biais des Organisations Néo-Génocidaires – les clones de la Maison de Soros – accusent le dioxyde de carbone, le vent, la marée, la température de l’air, les cyclones, la température de la mer…. Et, sans doute bientôt, les Pieuvres, Poulpes et autres Octopidés qui n’ont pas l’heur évolutif d’incarner les Preuves néo-darwinistes, ex-absurdo, quant à l’évolution marine telle qu’elle devrait évoluer selon le Dogme de l’Evolution.

Deux virus multipartites, seulement, ont été découverts dans des organismes animaux: dans un papillon de nuit et dans un moustique. [161] Stéphane Blanc déclare que le FBNSV n’aurait jamais du évoluer – “évoluer”, dans le sens “d’exister” – à cause de ses huit segments génétiques encapsidés indépendamment. C’est pour cela qu’avec ses collègues, ils sont restés cois, pendant six années, afin de vérifier que cette impossibilité statistique, d’un point de vue existentiel, se fût quand même incarnée, sur cette planète, à l’encontre de toutes les probabilités. Sans même évoquer le super exploit de “complexité irréductible” d’existence, pour un virus, de se reproduire grâce à huit segments génétiques qui se disséminent dans diverses cellules et qui doivent se retrouver, en tout mutualisme, au moment de copier, en bons élèves, leurs lignées… Je réplique, tu répliques, nous répliquons…

Et comment le réseau se reconstitue-t-il pour se coller au copier? “Simplement” (faut-il tout vous expliquer?), parce que les protéines créées, par les huit segments génétiques, se baladent entre les cellules: par exemple, la protéine qui crée la capside va se glisser, amicalement, dans la cellule où demeure le segment de réplication de l’ADN, pour lui transmettre ses salutations et lui chanter ses ballades génétiques.

Et le tour est joué. Cela peut paraître irréductiblement complexe et cela l’est sûrement mais seulement perçu d’un côté de la lorgnette. Pour Gaïa, la complexité constitue son Rêve, ni plus ni moins.

En effet, dans la Vie, les protéines voyagent entre les cellules (il existe beaucoup de Troubadours Biologiques, dans les organismes vivants, car tout est “question”, ou “quête”, d’information, de chant, de transmission, de passage de commande) et, parfois, sur de très longues distances (des racines jusqu’aux méristèmes des plantes)  [163]  [164] et certains chercheurs pensent que les virus multipartites empruntent ces autoroutes de protéines – de nouveau en tout mutualisme, car il semblerait que les péages onéreux ne soient pas de “rigueur” génétique – ainsi qu’ils viennent de le prouver dans des plantes de Tabac de l’espèce Nicotiana benthamiana. [165] Mind you: tout cela est le fruit de l’Evolution Aveugle. Y a-t-il un néo-darwiniste convaincu dans la salle pour nous expliquer tous ces “mystères”?

En effet, dès 2012, la Royal Society a publié une étude, de Jaime Iranzo et de Susanna  Manrubia, intitulée “Evolutionary dynamics of genome segmentation in multipartite viruses”, qui calculent qu’au-delà de trois ou quatre segmentations, la réplication/reproduction d’un virus multipartite frise la stricte impossibilité statistique. [162]. Ainsi, de par ses huit segmentations, le FBNSV n’a strictement droit à aucune existence virale statistique – si ce n’est à la condition de démultiplier les Univers à la puissance x. Le FBNSV n’aurait jamais du évoluer et, s’il a persisté à le faire, c’est à l’encontre des règles les plus élémentaires, sur mode darwiniste, de l’Evolution même.

C’est pour cela, en fait, qu’il n’a jamais évolué: il a émané, tout simplement, comme tout le reste de la Biosphère.

A propos, les termes “exister”, “existentiel”, etc, proviennent du Latin ex/sistere pour “sortir de, se manifester”. Le verbe Latin “sistere” signifie “se tenir debout” qui vient du Grec “sto” pour, également, “se tenir debout”. Ces termes ont pour origine le terme PIE “steh”, en Sanskrit “sthā”, termes qui signifient, aussi, “se tenir debout”. C’est pour cela que les Initiés et Instructeurs, des temps antiques, se nommaient les Telestes/Telestai. Ce terme, en Grec, signifie “celui qui se tient debout et qui est intentionné”. Du Grec “telos/τέλος” pour “intention, objectif, etc”. Les Mystères Grecs étaient, ainsi, présentés dans le sanctuaire du Telesterion. La nature du Telesterion variait en fonction de l’amplitude d’initiation dans les Mystères Sophianiques. Les Initiés d’antan étaient déjà des instructeurs du Dessein Intelligent et Ingénieux, à savoir des instructeurs de l’Intention Sophianique – le Temps de Rêve de la Mère Animale Planétaire – et des instructeurs de son Ingénierie Génétique. Une Ingénierie Génétique qu’il est beaucoup plus aisé de percevoir en soulevant le Voile d’Isis – l’Isis authentique et non pas l’abomination jihadiste, récente, créée et toujours financée par les criminels de l’Alliance Occidentale.

L’évocation de “se tenir debout” est hautement fascinante dans la mesure où, d’un point de vue “existentiel”, des centaines de millions d’esclaves (des milliards, en fait) rampent, en permanence, devant les “Autorités” religieuses, politiques, électorales, financières, juridiques, militaires, médiatiques… – qui ne possèdent, purement et simplement, aucune Autorité Naturelle et qui purulent d’une indécence morale maximale. Quant au fait que ces centaines de millions d’esclaves (ces milliards) pourraient incarner des “intentions existentielles”… qui cherche, donc, à insinuer, en notre mental, la prétention d’imaginer que les esclaves auraient la liberté d’évoluer, ou même d’imaginer, de telles intentions existentielles? Le Sionisme a transformé l’intégralité de la société humaine en une société d’esclaves consommateurs qui sont consommés par leur propre obsession consumériste et qui sont exempts et exsangues (et même exemptés, officiellement, pour leur propre sécurité) d’intentions existentielles authentiques – à savoir, d’intentions et de propos en co-évolution consciente, sensible et sensuelle, avec la Source de leur existence d’animal humain. Où sont les mâles authentiques? Où sont les guerriers dont la mission est de protéger les ethnos humains, de la planète Terre, contre l’envahisseur, contre le virus extra-terrestre?

«Courageux, insouciants, moqueurs, brutaux — c’est ainsi que nous veut la Sagesse : elle est femme et elle n’aime jamais qu’un guerrier». Nietzsche. Ainsi Parlait Zarathustra.

Mais cela n’en est pas fini de la “complexité irréductible” de la multipartition du virus FBNSV et, là, il faut s’accrocher à la rambarde: vous êtes sur une passerelle, transparente, au dessus du Grand Canyon, qui se creuse des méninges de pierre ancestrale, depuis des centaines de millions d’années, et cela peut donner le vertige, sous tous aspects.

Ce qui va, justement, donner le vertige, très bientôt, à une foultitude de “scientifiques”, névrosés et nécrosés, c’est lorsqu’ils vont se réveiller, de leur hallucination collective, et “réaliser” – à savoir, intégrer comme étant des faits du Réel – que le néo-darwinisme git, sans Vie, à 2000 mètres de profondeur, au fond du Grand Canyon. Le Grand Canon religieux et sectaire de l’idéologie darwiniste, néo-darwiniste et néo-néo-darwiniste, a vécu et il agonise, présentement, au tréfonds de ses terreurs du Tellurique Gaïen générateur et générant. Un Tellurique, également, d’une très grande générosité de diversité et de complexité irréductibles.

En effet, selon ce que Stéphane Blanc évoque ensuite, cette multipartition est, véritablement, une partition musicale symphonique de complexités irréductibles jouant sur de multiples registres – une forme de samba génétique très énergétique. Son équipe a démontré [166] que, lors de la contamination d’une plante par le virus, la fréquence d’émergence propre à chaque segment génétique est prédictible car relativement constante. C’est déjà Beau. Mais cela devient plus Beau car cette proportion constante, de manifestation des huit segments génétiques différents, est modulée en fonction des espèces végétales contaminées par le virus. Stéphane Blanc appelle ces ratios génétiques des “formules génomiques”. C’est très Beau.

Bravo la Jeunesse de France, et des Iles colonisées, et prenez exemple sur la dissidente, par excellence, de la dissidence Biologique: Lynn Margulis, qui n’était pas controversiale mais, juste, mentalement décolonisée et correcte – à savoir hors de l’erreur – et qui n’avait pas peur de s’étonner, de s’extasier, d’être sous le charme, d’être subjuguée par la Beauté et la Force – dont la Force de l’Intention.

Si l’on prend l’exemple du corps humain, vu que nous sommes en proximité, n’est-il pas subjuguant de découvrir qu’un animal humain, par ordre d’amplitude, n’est qu’une immense soupe virale, cellulaire et bactérienne avec environ 380 trillions de virus, 50 trillions de cellules et 38 trillions de bactéries? C’est Beau et cela représente une certaine somme de tâches répétitives de la part de toutes ces composantes organiques du corps humain – des composantes qui s’avèrent archi-fonctionnelles (lorsque non attaquées) et très conscientes mais dont nous sommes, fort heureusement, totalement inconscients quant à leur existence, fonctionnement – et, surtout, quant à leur libre-arbitre, à savoir quant à leur capacité de prendre des décisions. [168]

Du “libre-arbitre” chez les bactéries, les cellules, les virus, les ribosomes, les introns, les protéines, les exons, les levures, etc??? Et pourquoi pas chez les électrons? Et il ne s’agit pas de falsifications quantiques, restons sérieux. Risquai-je, donc, d’être dénoncé, par la Courgette Masquée “en charge” de Fakebook, aux BIBI (Brigades d’Intervention Brise-Irréductibles)? Allo Manu, ici c’est Zuckie, ton junkie sweety qui te twitte … nous en avons déniché un, envoyez les Brigades!

Le Flagelle: un Coup de Fouet Fertile pour le Dessein Ingénieux

Pour mémoire, et pour conclure avec cette virophile enthousiaste, selon l’une des théories de Lynn Margulis non validées – pour le moment – les flagelles (les undulipodia) et les cils, le système de circulation interne des cellules eucaryotes, seraient issus d’une fusion symbiotique de cellules avec des bactéries, de type spirochète (tels que Borrelia, Leptospira, Treponema). Cette théorie est libéralement exposée dans son ouvrage – non traduit en Français et épuisé en Anglais – “Symbiosis in Cell Evolution” (1981). Cette théorie avait déjà été formulée, dans ses prémisses, en 1924, par le botaniste et biologiste Russe, Boris Mikhailovich Kozo-Polyansky (1890-1957), l’un des concepteurs de la théorie de l’endosymbiogenèse.

«Deux théories quant à l’origine des systèmes de microtubules existent dans la littérature de la biologie cellulaire. Selon la théorie de la filiation directe – ou théorie du compartimentage endogène, les microtubules se sont différentiés à l’intérieur des organismes photosynthétiques au cours de l’évolution de l’apparatus mitotique des algues rouges à partir des cyanobactéries. Ils s’organisèrent ultérieurement en flagelle ou undulipodium. Selon cette théorie endogène, le noyau et l’évolution de la mitose précédèrent l’émergence des flagelles. Ce chapitre explore, en détails et uniquement, la théorie alternative et exogène: l’origine des flagelles et des cils à partir des spirochètes. Des spirochètes autonomes, qui possédaient déjà des microtubules au sein de leurs cylindres protoplasmiques, devinrent des symbionts de surface sur les prédécesseurs du nucléocytoplasme. Eventuellement, les spirochètes s’intégrèrent au sein de bactéries hôtes qui devinrent les premières cellules eucaryotes, les protistes. Le génome de l’antique spirochète engendra, donc, les undulipodia, les centrioles, les kinétochores, et autres manifestations micro-tubulaires de ce génome originel». Lynn Margulis. “Symbiosis in Cell Evolution”. Page 274. Traduction de Xochi.

Avec le flagelle, Lynn Margulis savait qu’elle était sur une nouvelle piste fertile. En effet, le flagelle constitue un autre des cauchemars des néo-darwinistes et depuis que Michael Behe l’a rendu célèbre, en 1996, dans son ouvrage “La Boite Noire de Darwin,” en le prenant comme exemple incontournable de la Complexité Irréductible de la Vie sur Terre, ces derniers ont déclenché une énorme contre-offensive pour tenter de prouver que cette merveille de complexité n’est que le fruit du Hasard.

Mais toutes ces tentatives frisent l’auto-flagellation, chez les néo-darwinistes, car les récentes découvertes, de ces vingt dernières années, prouvent que le Flagelle est, authentiquement, le fruit d’un Hasard très Intelligent et excessivement Ingénieux.

Au printemps 2019, 11 chercheurs ont publié les résultats de leurs études mettant en exergue que, dans des situations de faim ou de stress, certaines bactéries, telles que les Protéobactéries gamma, éjectent leurs flagelles pour survivre et limiter les dépenses d’énergie – en colmatant la brèche.

«Confrontées à la faim, les bactéries doivent minimiser leur dépense d’énergie. Nous décrivons, dans cette étude, nos découvertes inattendues démontrant que certaines bactéries adoptent la mesure drastique d’éjecter leur flagelle en réponse à une déficience nutritionnelle. Les bactéries assemblent, continuellement, leurs flagelles – non corrélés aux flagelles des cellules eucaryotes – tout comme des hélices dont la rotation est entraînée par des moteurs rotatifs enchâssés dans la cellule. L’assemblage et la rotation continuels peuvent consommer jusqu’à 3% de l’énergie d’une bactérie. En ayant recours à la tomographie cryoélectronique – une technique pourvoyant des images de bactéries en 3D et en haute définition – nous fûmes surpris de découvrir des moteurs flagellaires partiels, dans des cellules bactériennes, qui étaient rares lorsque les nutriments étaient abondants mais qui devenaient communs lorsque les nutriments étaient parcimonieux. Une série d’indices nous amenèrent à émettre l’hypothèse selon laquelle ces structures étaient des reliques des moteurs dont le flagelle avait été éjecté – ce que nous avons confirmé en ayant recours à une approche génétique. Curieusement, les reliques flagellaires – qui, autrement, seraient des portes ouvertes au travers desquelles le contenu du périplasme bactérien pourrait s’épancher – étaient bouchées par une protéine non identifiée, vraisemblablement en tant que mesure de conservation. Nous spéculons que l’éjection flagellaire économise, à la bactérie, le coût de continuellement assembler, et faire pivoter son flagelle, et constitue une tentative désespérée de survivre. Notre travail pourvoit un exemple frappant de la manière dont l’évolution arrive à une solution fonctionnelle bien que non intuitive». [94] Traduction et Soulignements de Xochi.

Tout cela est fort intéressant… dont la conclusion des auteurs, d’ailleurs, qui tirent un coup de chapeau à l’évolution sur mode darwiniste… qui “arrive à une solution fonctionnelle bien que non intuitive”. Tu m’étonnes mon pote! Comme le chantait l’humoriste Bobby la Pointe: «la maman des poissons, elle est bien gentille». Ce qui est fascinant dans le concept de l’Evolution Darwinienne Aveugle, c’est sa complaisance à toujours arriver à une solution fertile, conviviale, durable… et instantanée!

«L’éjection est, ainsi, un mécanisme de survie drastique mais potentiellement nécessaire pour ces cellules filles qui héritent du fardeau de pôles aux flagelles développés mais vieux et non altérés… Nous suggérons que l’éjection flagellaire constitue un mécanisme dont la finalité est de réduire le nombre de flagelles sur un pôle cellulaire. Non seulement les flagelles actifs requièrent-ils de l’énergie pour générer du torque mais, de plus, l’assemblage flagellaire est un processus constant et une ponction constante d’énergie cellulaire. Une réduction drastique du nombre de flagelles, par éjection, constituerait, ainsi, une mesure efficace de conservation énergétique». [94] Traduction et Soulignements de Xochi.

Nous avons là un parfait exemple de la Première Règle d’Evolution Adaptative, de Michael Behe, qui stipule que “tout gène dont la perte va induire un accroissement de l’amplitude de reproduction doit être brisé ou désactivé”. Ou induire un accroissement de l’amplitude d’adaptabilité, à savoir de survie. La bactérie prend la décision de se débarrasser de son moteur quand le bateau risque de chavirer et elle colmate la brèche. C’est Beau.

«Plus particulièrement, une densité additionnelle fut ajoutée, dans la structure relique, afin de colmater l’ouverture en anneau des pôles, à savoir la position qui était auparavant occupée par le bâtonnet trans-périplasmique. La comparaison entre les moyennes de subtomogrammes flagellaires et reliques confirma que cette densité était, sans aucun doute, une protéine additionnelle absente des moteurs flagellaires intactes… Nous en concluons que le colmatage est une protéine – non identifiée à ce jour – qui colmate  l’ouverture en anneau des pôles de façon concomitante avec l’éjection flagellaire afin de prévenir toute fuite périplasmique… La stratégie alternative, afin de prévenir la fuite périplasmique, serait de désassembler l’intégralité de la structure relique et de resceller la membrane externe – ce qui exigerait l’évolution d’une machinerie complexe pour la protéolyse de tous les composants. L’Evolution est une bricoleuse et le colmatage de la brèche est une solution considérablement plus triviale que l’orchestration d’un désassemblage, particulièrement étant donné que la conservation des structures reliques colmatées a très peu de chances de nuire à la cellule». [94] Traduction et Soulignements de Xochi.

Le point ici à retenir, sans ambages: il est beaucoup plus probable, plus vraisemblable, plus organique, qu’un organisme va prendre une décision drastique et instantanée – à savoir, de suite, dans le Temps Présent Réel – afin de survivre plutôt que d’attendre la Saint Glin Glin, dans le Calendrier de l’Evolution Bricoleuse, et le “désassemblage orchestré” de son flagelle. Quant à l’Evolution Bricoleuse et Hasardée, il lui aurait fallu combien de milliards d’Univers avant de pouvoir produire un moteur de flagelle composé de centaines de parties dont chacune a du être fonctionnelle de suite – car l’Evolution sur mode Darwiniste ne prévoit pas, dans son paradigme, l’évolution particulière de chaque composante en attendant que toutes les composantes aient évolué. Selon l’Evolution Darwiniste, il n’y a pas de demie-mesure et une caractéristique non pleinement développée ne représente aucun avantage sélectif.

Pour répéter ce que Marcos Eberlin affirme: lorsque la Vie est confrontée à un seuil, un obstacle, une bifurcation, etc, la solution doit être rapide et elle doit être tellement rapide qu’elle est en fait instantanée – sinon la Vie devient de la non-Vie, instantanément.

Lorsque Michael Behe publia, en 1996, “La Boite Noire de Darwin,” et même lorsque le Discovery Institute présenta son magnifique documentaire DVD “Unlocking the Mystery of Life” [96], les illustrations d’alors étaient relativement grossières en comparaison des dernières photographies obtenues par cryomicroscopie électronique – et qui permettent aux chercheurs de réaliser de nouvelles découvertes archi novatrices et qui ne font que confirmer le Dessein Intelligent dans la conception de ce moteur flagellaire qui tourne à 100 000 tours/minute. La découverte récente de l’éjection flagellaire est l’une des dernières  découvertes concernant cette merveille de la Biosphère – qui en chamboulent les idées reçues.

En 2017, la première étude fut publiée par Howard Berg, le spécialiste des flagelles à l’Université de Harvard [95] qui déclara, un jour, que le flagelle constitue «la machine la plus efficace dans l’univers».

«Le moteur flagellaire bactérien est un moteur moléculaire rotatif responsable de la nage, de l’essaimage et de la chimiotaxis dans de nombreuses espèces de bactéries. Il génère un torque grâce à des interactions entre un rotor de 50 nm de diamètre et de multiples unités de stators. Nous avons invalidé la compréhension, prévalente jusqu’alors, de la manière dont les unités de stators interagissent mutuellement en démontrant que la vitesse du moteur est dépendante du nombre d’unités de stators même à très haute vélocité lorsque le torque tombe presque à zéro.» [95]

Les chercheurs pensaient, en effet, antérieurement, que la vitesse de rotation du moteur n’était pas influencée par le nombre de stators.

L’Explosion des Angiospermes durant le Crétacé

Charles Darwin décrivait l’origine des fleurs comme un “abominable mystère” et comme un “phénomène des plus embarrassants”. Il existerait, aujourd’hui, selon les botanistes, entre 250 000 et 350 000 espèces de plantes à fleurs sur la planète Terre et personne ne sait combien d’espèces de plantes à fleurs ont été générées dans la Biosphère, avant de disparaître, depuis l’émergence mystérieuse des Angiospermes.

Chez Gaïa, l’extinction est la règle. Faut-il en rire ou en pleurer? Nonobstant, certaines espèces perdurent pendant des millions d’années, pendant des dizaines de millions d’années. Et quid des Bactéries: pendant des milliards d’années?

Par exemple, l’espèce botanique Ginkgo biloba qui, depuis 270 millions d’années, n’a pas jugé nécessaire d’évoluer, est une espèce médicinale à prescrire, de très grande urgence, à tous les néo-darwinistes car elle traite les pertes de mémoire, les pathologies cognitives … et la démence sénile.

Le biologiste Australien, Michael Denton, âgé de 75 ans, très réputé dans le mouvement du Dessein Intelligent, a rédigé plusieurs ouvrages, depuis 1985, afin de désactiver, intégralement, la farce néo-darwiniste. Voilà ce qu’il dit de l’origine nimbée de mystère des Angiospermes:

«L’absence de toutes formes de transition corrélant les Angiospermes avec un clade ancestral putatif, ainsi que l’absence d’une quelconque narration fonctionnaliste plausible explicitant le mode d’émergence de la matrice morphologique archétypique (le Bauplan) des Angiospermes, n’est que le début du défi posé, aux conceptions Darwiniennes, par ce groupe de plantes aussi magnifiquement diversifié. Depuis que les Angiospermes émergèrent, il y a environ 140 millions d’années, ils se sont diversifiés en un vaste nombre de sous-groupes comprenant environ 250 000 espèces. Et ainsi que Michael Sanderson nous le rappelle, ce n’est pas juste l’origine des Angiospermes qui constitue un abominable mystère: “Un certain nombre de clades beaucoup plus récents d’Angiospermes pourraient être interprétés comme des mini-abominations: à savoir, ils ne possèdent que de piètres archives fossiles, en tant que base, ainsi que des innovations caractérisées par des formes de transition incertaines parmi les taxa corrélés.”

Il n’est que de compulser l’une des publications récentes les plus exhaustives dans ce secteur – à savoir celle de Louis Ronse De Craene: “Floral Diagrams”, un ouvrage contenant plusieurs centaines de formules et de diagrammes floraux pour tous les groupes majeurs d’Angiospermes – pour prendre conscience que le domaine des Angiospermes se caractérise par une somme de discontinuités réclamant, à grands cris, des explications structuralistes internes allant bien au-delà du fonctionnalisme gradualiste. L’ouvrage de Ronse De Craene met en exergue le fait que les Angiospermes, tout autant que les insectes ou autres grands groupes, peuvent être classifiés en une hiérarchie de groupes de plus en plus inclusifs au sein de laquelle la diversité de chaque groupe est modulée par une matrice morphologique archétypique unique et sous-jacente. Ce qui rend les Angiospermes si spéciaux est le “mérisme” extraordinaire qui caractérise les matrices morphologiques archétypiques des sous-clades des Angiospermes de façon peut-être encore plus intense que pour tout autre groupe d’organismes. Ainsi que Ronse De Craene explique:

“Le mérisme, ou la mérosité, fait référence au nombre de parties par verticille dans la fleur (généralement fondé sur les pétales ou le périanthe comme référents). La mérosité est soit indéfinie soit, beaucoup plus communément, trimère [chacun de ses verticilles possède trois pièces à la base] ou dimère [chacun de ses verticilles possède deux pièces à la base] (angiospermes basales, dicotylédones basales et monocotylédones) ou pentamère [chacun de ses verticilles possède cinq pièces à la base] ou tétramère [chacun de ses verticilles possède quatre pièces à la base] (les dicotylédones supérieures). La mérosité est un autre paramètre affectant le Bauplan des fleurs en sus de la symétrie et de la phyllotaxie… Les fleurs trimères… sont répandues dans les Angiospermes de base et les monocotylédones. Une dérivation d’une condition spirale  constitue l’interprétation la plus plausible quant à leur origine… La dimérie a émergé de façon répétée par perte d’un secteur dans chacun des verticilles d’une fleur trimère, parfois ressemblant à une fleur tétramère. Les origines de la pentamérie ne sont pas bien appréhendées bien que les fleurs pentamères se retrouvent dans la majorité des angiospermes… Il est postulé que les origines de la pentamérie soient une dérivation des fleurs trimères (par amalgame de deux verticilles)… ou de fleurs spirales”.

Le passage ci-dessus, tout autant que le diagramme qui l’accompagne (Figure 8-1), illustrent le défi fondamental qui est posé au fonctionnalisme gradualiste Darwinien par l’univers des Angiospermes. Ce n’est pas qu’une structure ne puisse pas être dérivée, de façon plausible, d’une autre (via le processus de descente avec modification); le problème vient du fait que dériver une structure d’une autre implique des métamorphoses méristiques par saltation qui sont complètement étrangères au domaine du fonctionnalisme gradualiste. Il se peut très bien que chaque “métamorphose méristique”, qui persista après son émergence, servit quelque objectif fonctionnel (même si l’objectif spécifique est difficile à identifier) mais la causation primaire de l’émergence réelle d’une nouvelle structure méristique pourrait difficilement être imputée au fonctionnalisme gradualiste.» “Still a Theory in Crisis” (pages 147/150). Traduction de Xochi.

Darwin écrivit au naturaliste Suisse Hoswald Heer, en 1875: «L’émergence soudaine de tant de Dicotylédones… me semble être un phénomène des plus embarrassants pour tous ceux qui croient en une forme quelconque d’évolution, et particulièrement, ceux qui croient en une évolution extrêmement graduelle». Jusque très récemment, l’origine des Angiospermes était supposée remonter à 140 millions d’années mais de nouvelles découvertes les font maintenant remonter à 174 millions d’années – ce qui permet aux néo-darwinistes évolutionnistes gradualistes de jubiler… en attendant de se poser la question, toujours autant primordiale, qu’ils ne se poseront jamais, de l’origine des espèces d’Angiospermes et de la nature de l’Explosion de ces Angiospermes au Crétacé. En effet, une espèce dénommée Nanjinganthus dendrostyla a été récemment découverte dans une Formation de Xiangshan dans la région de Nanjing en Chine. [104] Ainsi que l’exprime, Xin Wang – du Nanjing Institute of Geology and Paleontology – l’auteur principal de cette étude: «L’origine des Angiospermes a depuis longtemps été un “mal de tête” pour de nombreux botanistes… Notre découverte a fait avancer le champ de la botanique et va permettre une meilleure compréhension des Angiospermes, ce qui, par conséquent, permettra de mieux les utiliser et de mieux gérer les ressources végétales de notre planète».$

Insectes et Fleurs: les Grands Amours

Un “mal de tête” pour de nombreux botanistes sauf ceux qui ont compris que la Nature est Vivante et Intentionnée. Cette découverte, en Chine, a repoussé l’origine des Angiospermes à 174 millions d’années mais le mystère de leur émergence est toujours aussi vaillant. Les simples d’esprit néo-darwinistes, qui préconisent la co-évolution avec les insectes comme moteur d’émergence, sont, en vérité, de grands fervents de cercles vertueux virtuels. Selon ces néo-darwinistes enragés – et il s’agit plutôt d’un mal dedans que d’un mal de dents – l’émergence et l’évolution des Angiospermes s’expliqueraient par la pression des insectes. Les insectes auraient émergé sur la Planète Terre il y a environ 480 millions d’années, au début de l’Ordovicien, en même temps que les premières plantes terrestres il y a environ 450 millions d’années, à la fin de l’Ordovicien.

L’apparition des Angiospermes serait, ainsi, due à un changement de régime alimentaire résolument requis par la Classe des Insectes qui avaient envie de croquer de la fleur parfumée, colorée, savoureuse et sensuelle – en bref, qui souhaitait un régime paléobotanique un peu plus diversifié que de la fougère arborescente, qui donne le teint vert, ou de la prêle géante ou des premiers Conifères Gymnospermes.

Et si l’on en croit les études récentes concernant les plantes carnivores, elles auraient «évolué au moins six fois, de façon indépendante» [105] – “indépendante” dans le sens de chacune dans son coin de Paradis Biosphérique selon l’auteur… – dans cinq ordres différents d’Angiospermes.

Peut-être sous la pression insistante d’espèces d’insectes qui avaient envie de se faire croquer… telle une forme de pression d’auto-sélection orientée vers le système digestif des plantes carnivores. Par pure compassion de sacrifice judéo-chrétien?

Tant bien même avait-il, déjà, sombré dans une soupe christo-centrique très réchauffée au sang du Golgotha, un poète Autrichien, en 1924, pensait que les fleurs pouvaient sentir le parfum des étoiles. Il affirma, également, avoir perçu que la Fleur est un Insecte attaché à la terre et que l’Insecte est une Fleur libérée par l’atmosphère. C’est pour cela qu’ils se com/prennent tant.

Les insectes et les plantes se comprennent tant parce qu’aussi leurs vies intimes sont harmonieusement entrelacées: une équipe française de l’INRA, sous la guidance du biologiste Mexicain, Alberto Prado, vient de publier l’état de ses découvertes quant au fait que les pollinisateurs participent à la prospérité et à l’élaboration du microbiome des semences. [148] Alberto Prado a également publié une étude récente prouvant que certains niveaux de pesticides, ou de cocktails de pesticides, peuvent s’avérer non létaux pour les abeilles… et même prolonger leur vie de par le fait que leurs fonction et mission de pollinisation déclinent fortement durant leur incarnation maladive et handicapée. [147] Bravo Alberto.

«L’assemblage du microbiome de la semence implique certains colonisateurs bactériens précoces de semences qui sont transmis par la plante maternelle soit au travers du système vasculaire soit par le biais du stigmate. Le microbiome de la semence est, ainsi, constitué de microbes qui sont recrutés non seulement à partir des tissus vasculaires mais, également, en provenance de la fleur. Les fleurs sont réputées pour constituer un nexus de transmission bactérienne entre les plantes et les insectes. Un tel échange insecto-florifère évoque la potentialité que des bactéries, transmises par des insectes, colonisent l’ovule et subséquemment la semence – passant, ainsi, dans la plante de la génération suivante. [148] Traduction de Xochi.

Sont-ce, en fait, les bactéries qui colonisent l’ovule ou bien l’ovule qui domestique les bactéries à son bon vouloir de future semence?

La relation intime existant entre les plantes à fleurs et les insectes n’est, ainsi, pas impulsée par des “pressions de sélection” mais par l’amour, la beauté, la nutrition, le partage des bactéries, la synergie, le mutualisme… et la pollinisation, bien sûr. Comment le néo-darwinisme peut-il expliquer que des fleurs “entendent/perçoivent” le passage des abeilles et réagissent, de suite, en modifiant leur capacité de production nectarifère?

En effet, une équipe de chercheurs, de l’Université de Tel-Aviv, a étudié le comportement de 650 fleurs d’Oenothère (Oenothera drummondii) et a prouvé (en labo et in vivo) que l’onde générée par le vol des abeilles, à proximité (ou par des basses fréquences provoquées artificiellement) induisait une augmentation de nectar de l’ordre de 20% dans les trois minutes suivantes.

«Les plantes peuvent-elles entendre? A savoir, peuvent-elles percevoir les sonorités conviées par l’air et y répondre? Nous démontrons, dans notre étude, que les fleurs d’Oenothera drummondii, lorsqu’exposées à un enregistrement de sonorités d’un vol d’abeille, ou à des signaux sonores de fréquences similaires, produisaient un nectar plus sucré dans les trois minutes, accroissant, ainsi, potentiellement, leurs chances de pollinisation croisée. Nous avons découvert que les fleurs vibraient sur un mode mécanique, en réaction à ces sonorités, ce qui suggère un mécanisme plausible par lequel la fleur sert d’organe sensoriel auditif à la plante. Les réactions de vibration et d’augmentation de nectar étaient corrélées aux fréquences: les fleurs ne réagissaient pas aux sonorités de haute fréquence, seulement aux sonorités des pollinisateurs… Finalement, nos résultats suggèrent que les plantes peuvent aussi être impactées par d’autres sonorités, incluant des sonorités anthropogéniques». [137] Traduction et Soulignement de Xochi.

Des sonorités Anthropogéniques… Tu m’étonnes mon pote! Dans mon jardin anthropogénique, dans le sud de l’Oregon, je chante au tambour à mes plantes de cannabis – qui se sont resemées naturellement et qui font déjà deux mètres de hauteur en début juillet – et je les remercie bien de s’être ainsi invitées, et émanées, et je leur explique que je les cultive pour la thérapie – et la mienne en premier lieu. Et la première thérapie, c’est de les cultiver, du moins de les accompagner… ne soyons pas prétentieux. Chez un copain, j’ai pu admirer des ganjas volontaires qui faisaient quatre mètres carrés d’amplitude avec une demie-douzaine de tiges de 7/8 cm de diamètre – fleurissant jusque début décembre. Non, ce n’est pas une histoire de sardine dans le port de Marseille, c’est une histoire de Canebière. Le cannabis est un monde en soi mais, lorsque mal géré ou mal digéré, il est enclin, malheureusement, à générer un syndrome de cocon de soi.

Notre jardin d’atmosphère désertique transite, ainsi, sur une ancienne mine d’or: il faut arroser, quotidiennement, pour la Vie. Et lorsqu’il fait 42°C à l’ombre (un peu au frais parce que nous sommes à 500 mètres d’altitude) ce qui est normal durant l’été pour cette région, personne n’appelle le Shérif ou les pompiers parce qu’ils sont bien trop occupés à éteindre des centaines de feux de forêts – dont beaucoup ont été provoqués criminellement.

D’ailleurs, certains des grands incendies dévastateurs (tel que le Camp Fire de Paradise) en Californie, l’an passé, ont été résolument provoqués, assistés, démultipliés, criminellement, par ces mêmes énergies qui ont détruit les 7 Tours du World Trade Center, en septembre 2001, à New York. Ces énergies sont dénommées DEW – “Directed Energy Weapons” – ou “Energie Libre de Nikola Tesla”. C’est fondamentalement le même type d’énergie utilisée dans la 5G et les véhicules anti-émeutes aux USA. En effet, il n’est pas très naturel que des vents d’incendie soient assez rapides pour brûler l’équivalent d’un terrain de football en une seule minute et en liquéfiant les moteurs de voiture sur place.

Avez-vous vu un moteur de voiture liquéfié lors d’un incendie de forêt? J’invite tous les incrédules à étudier la problématique des centrales HAARP… et surtout à se motiver à l’encontre de la technologie 5G qui va détruire toute la société humaine. L’un de nos amis vivait à Paradise, en Californie: son ranch a brulé en une minute et il a eu, seulement, le temps de mettre ses chiens dans sa voiture et de fuir au milieu d’une telle fournaise (il a filmé sa fuite) qu’il a survécu, de peu, par la grâce de Gaïa. La voiture qui le suivait n’a pas eu cette chance: elle a implosé – comme beaucoup de véhicules piégés dans des files très lentes sur des routes de canyons embrasées.

L’an passé, à l’automne, le centre-nord de la Californie fut la région la plus polluée au monde: les forêts brûlaient et lorsque les flammes combustaient l’intégralité des villes et de leur contenu – made in China – c’est la Chine industrielle qui brûlait!

L’an passé, durant l’été, le sud de l’Oregon fut, à un moment donné, la région la plus polluée des USA – à cause des incendies. L’année d’avant, nous étions à quelques kilomètres de la zone d’évacuation. Et cette année? Surprise, surprise. Ce qui est sûr, c’est que lorsque les forêts du sud de l’Oregon s’embrasent, le Sumac vénéneux brûle aussi et l’atmosphère est toxique. Et le cannabis, omniprésent, brûle aussi et l’atmosphère devient “potentiellement” euphorisante ou déprimante – en fonction des souches de cannabis, du mode d’agriculture (toxique, raisonné, perma, bio…) et des doses… et de l’état psychique des animaux humains. Qui sont souvent bien déprimés.

Mais alors donc, les fleurs peuvent-elles, également, sentir les odeurs qui passent? En fait, oui, ainsi qu’une équipe de l’Université de Tokyo (sous l’égide du Professeur Kazushige Touhara) vient de le prouver, très récemment, à la suite de 18 années de patientes recherches, en en expliquant, même, les modalités – à savoir le fondement moléculaire de la détection des odeurs chez les fleurs. Les plantes ne sentent pas avec un nez mais, directement, avec leurs gènes.

Cette équipe de chercheurs exposa des cellules de tabac, ainsi que de jeunes plantes de tabac de 4 semaines d’âge, à différents composés organiques volatiles et découvrit que ces molécules odorantes modifiaient l’expression génétique en se liant à d’autres molécules – appelées des co-répresseurs transcriptionnels – dont la fonction est d’activer ou de désactiver des gènes.

Selon le Professeur Kazushige Touhara, «les humains possèdent environ 400 récepteurs olfactiques et les éléphants environ 2000, le maximum chez les animaux. Néanmoins, en se fondant sur le nombre de facteurs génétiques de transcription dans les plantes, il se peut que les plantes soient capables de détecter beaucoup plus d’odeurs que les animaux… Les plantes ne peuvent pas se déplacer et, bien sûr, elles réagissent plus lentement que les animaux. Mais si les plantes peuvent se préparer pour un changement environnemental dans le cadre d’une journée, cela doit être probablement assez rapide pour elles.» [139] Traduction de Xochi.

Kazushige Touhara se plait à imaginer que ses découvertes pourraient influencer l’agriculture: les agriculteurs pourraient, ainsi, répandre des odeurs au lieu de bricoler des chimères génétiques et d’utiliser des pesticides, dit-il.

C’est très louable, en effet, de la part de cet aimable professeur, mais l’objectif de la Chimie agricole toxique, et chimérique, n’est pas de faire prospérer l’agriculture: elle est d’enrichir les multinationales criminelles et d’empoisonner l’Humanité et la Biosphère – un génocide et un biocide “universels”.

A ce propos, cela fait une pléthore d’années que le génie innovateur des champignons aux USA, Paul Stamets, affirme de même. Lorsqu’une maison est infestée de telle espèce de termites, l’adoption d’une espèce de champignons va tout simplement les convier à déménager en l’espace de deux jours.

C’est le même type de motivations qui suscite les travaux de l’Institute for Food Sustainability de l’Université de Sheffield.  Une de leurs équipes a récemment publié, dans la Revue Nature Communications, leurs découvertes quant au processus de respiration végétale. [142]

Selon le Professeur Andrew Fleming: «Jusqu’alors, la manière dont les plantes élaborent leurs structures complexes de canaux aériens était restée mystérieuse, de manière surprenante, pour les scientifiques du domaine végétal. Cette découverte majeure démontre que le mouvement de l’air, au sein des feuilles, façonne leurs fonctionnements internes – ce qui présente des implications quant à notre mode de penser concernant l’évolution des plantes.» [143] Traduction et Soulignements de Xochi.

Selon Marjorie Lundgren, de l’Université de Lancaster, en partenariat: « Les scientifiques ont estimé, depuis longtemps, que le développement des stomates et celui des espaces aériens étaient coordonnés à l’intérieur de la feuille. Cependant, nous n’étions pas, réellement, sûrs de qui impulsait l’autre. Notre étude a, ainsi, été initiée sur une question de type “origine de la poule et de l’oeuf”. En ayant recours à une séquence d’expérimentations impliquant des analyses aux rayons X pourvoyant des images tomodensitométriques, nos équipes partenaires ont répondu à ces questions en étudiant diverses espèces botaniques aux structures foliaires très différentes. Nous avons démontré que le développement des stomates initie l’expansion des espaces d’aération mais nous sommes allés plus avant afin de prouver que les stomates ont, en fait, besoin d’échanger des gaz afin de permettre l’expansion de ces espaces aériens. Cela dépeint une histoire beaucoup plus intéressante, corrélée à la physiologie.» [143] Traduction et Soulignements de Xochi.

Tout cela est fort bien pensé: le Dioxyde de Carbone, c’est la Vie, et cela doit circuler. Le moto et motif de toute croissance végétale exubérante, c’est de lâcher les gaz, c’est de se doper au Dioxyde de Carbone!! N’en déplaise à Jadot et à Dion, les radoteurs climatiques – dont le niveau d’insolations médiatiques est proportionnel à l’emprise courante du minimum solaire sur l’Atmosphère – plus les plantes carburent au Dioxyde de Carbone, plus elles élaborent de la matière carbonée. Une nouvelle étude vient de prouver que les astronautes, et sous-mariniers, fonctionnent tout aussi bien, sinon mieux, avec 5000 ou même 15 000 ppm de CO2 – la norme étant 600 ppm. [171]  [172] Science Baby!

Rome a commencé à s’écrouler lorsque le cycle de réchauffement atmosphérique, normal et naturel, initié vers le tournant de l’ère, s’est estompé pour laisser place à un cycle de refroidissement, normal et naturel – résultant en une capacité très amoindrie de générer de la biomasse végétale carbonée pour nourrir les légions. C’est alors que la Peste Chrétienne a remplacé l’Empire Romain en total déclin d’intoxications, de famines et de psychopathies. Quant aux Vikings, ils ont pris le contrôle de l’Europe du nord, au tournant du millénaire, ont traversé l’Atlantique et sont allés jusqu’en Arizona. C’est à cette époque que le Groenland était vert!

Cela ne nous apprend pas, vraiment, qui du stomate ou du canal aérien, dans la feuille, a évolué le premier pour élaborer le second. Mais, dans la plante, qui a émergé en premier, l’ovaire ou l’ovule? Au Costa Rica, il existe (ou existait) une pléthore d’abeilles d’orchidées et souvent, une espèce d’orchidée n’est pollinisée que par une seule espèce d’abeille. Qui a émergé en premier, l’orchidée ou l’abeille verte? 

Cela n’est pas très grave car comme le dit Marjorie, tout cela “dépeint une histoire beaucoup plus intéressante”. La Biosphère est, effectivement, une magnifique fresque qui ne fonctionne pas du tout comme le prétendent les freaks de la secte.

Pollinisation des fleurs: les Tubes Polliniques sont Téléguidés par les Ovules

Et il est un autre mystère abominable dans le monde des Angiospermes beaucoup plus poignant que le manque d’ancêtres car il est omniprésent dans nos vies quotidiennes si l’on souhaite y prêter attention: c’est celui de l’un des cycles les plus élaborés de reproduction dans la Nature, à savoir la pollinisation des fleurs. Michael Denton, dans son ouvrage, explore les chemins de la pollinisation florale, en particulier le cheminement élaboré du tube pollinique émergeant du grain de pollen – pour induire une double fertilisation, unique aux Angiospermes – qui est tellement prégnant de complexité que si la description de ce processus n’avait pas été totalement déclinée, il serait, tout simplement, très difficile de l’imaginer. Michael Denton affirme que cet arrangement qu’il qualifie de “baroque”, de par son extrême complexité, n’aurait jamais pu être induit par la sélection et des mutations aléatoires.

Dans le cas du maïs dit domestiqué, dont l’ancêtre est strictement inexistant sauf à prétendre le chercher dans le genre Teosinte de la Famille des Poacées, lorsque le grain de pollen atterrit à l’extrémité d’une soie de 20 cm de longueur (un stigmate en fait réceptif sur toute sa longueur) et que cette soie est attachée à un ovule situé au tout début de l’épi, cela signifie que le tube pollinique peut croître sur 30 ou même 40/45 cm de longueur pour les variétés à très longues panouilles. C’est Beau.

Et c’est d’autant plus Beau que le grain de pollen et l’ovule “communiquent” par le biais de peptides émis et reçus. Un cadeau de l’Evolution sans But.

L’extrémité du tube pollinique contient deux cellules dites “spermatiques” nécessaires pour fertiliser l’ovule et élaborer l’endosperme, à savoir la future source de nutrition pour la plantule germée. Comment le tube pollinique trouve-t-il sa cible? En tâtonnant au petit bonheur la chance? Des études de 2016, et subséquentes, publiées dans la Revue Nature et la Revue Nature Communications, font part des découvertes très récentes des processus de signalétique et de chimiotropisme par lesquels l’ovule et le grain de pollen entrent en communication: «Chez les plantes à fleurs, le gamétophyte femelle secrète des peptides chimioattractants guidant le tube pollinique dans son développement, vers l’ovule, afin qu’il puisse y introduire le sperme immobile.» Ces attracteurs sont des protéines riches en cystéines appelées LURE. [111]  [112]  [113]  [114]  [115]

C’est donc toute une aventure. Lorsqu’un grain de pollen de maïs (pour reprendre notre exemple ci-dessus) atterrit sur une soie, il est de suite repéré par la maison-mère ovarienne – qui peut contenir plusieurs centaines d’ovules – qui réagit, en conséquence, en produisant une petite protéine-leurre afin d’attirer et de guider le tube pollinique vers sa cible privilégiée, à savoir l’ovule en fin de soie. Lorsque la fertilisation est couronnée de succès, l’ovule se transforme en ce que l’on appelle un grain de maïs – un grain qui est la graine, donc la semence. Certaines variétés de maïs ont des épis pouvant contenir environ 500 grains, donc 500 ovules fécondés par 500 grains de pollen atterrissant sur 500 soies et générant 500 tubes polliniques. C’est très Beau.

«Il est clairement établi que des protéines kinases spécifiques au pollen, et de type récepteur, peuvent réguler la croissance des tubes polliniques. Ces protéines possèdent, typiquement, trois domaines: un domaine externe qui interagit avec les molécules de signaux extracellulaires; un domaine gérant la membrane; et un domaine cytoplasmique qui catalyse le transfert de groupes phosphates vers des molécules-cibles – incluant des réponses cellulaires à des signaux en entrée… L’arsenal de molécules de signal dans les plantes est immense – et, plus particulièrement, les molécules de peptides émetteurs et les protéines kinases RLK. Ce ne sera pas une surprise de découvrir plus de tels couples attractants-récepteurs. Les recherches courantes, ainsi que notre connaissance d’autres molécules régulatrices de croissance interagissant avec les tubes polliniques, avant leur rencontre avec des attractants ovuliens, nous permettent de nous approcher d’une compréhension intégrale d’un processus qui est vital pour la reproduction des plantes». Traduction et Soulignements de Xochi.

Les récepteurs polliniques, à l’écoute des signaux ovariens, se caractérisent donc par une triple complexité irréductible. Et ils sont pléthoriques! Bravo. Et bravo aux chercheurs qui viennent de découvrir et d’expliciter cette triple complexité. Ils sont de plus en plus experts à décliner, analyser, disséquer, les processus biologiques… et toujours autant incapables d’amener le moindre indice quant à l’origine de ces processus dont l’amplitude est qualifiée, par ces chercheurs, “d’arsenal de molécules”.   

Cette complexité irréductible, sur le plan de la pollinisation et de la fructification, ne s’arrête pas là, d’ailleurs, chez certaines espèces – quasiment 40% des Angiospermes – qui sont, de plus, auto-stériles. Dans le cas de certaines espèces domestiquées auto-incompatibles, l’auto-stérilité peut se situer soit au niveau de la plante (tournesol, maïs, chicorée de l’espèce intybus, chou-fleur, etc), soit au niveau du floret au sein de l’ombelle (c’est le cas des Apiacées telles que la carotte, l’aneth, etc).

Par exemple, dans le cas du Tournesol, Helianthus annuus, la très grande majorité des variétés sont auto-stériles. Cela signifie qu’une seule plante de tournesol dans un jardin – ou une plante de tournesol isolée sous bulle de tulle – ne pourra pas produire de graines: il lui faut recevoir du pollen d’une autre plante de tournesol afin d’être fécondée. Des botanistes ont remarqué, nonobstant, que certains tournesols – en désespoir de cause – modulaient leur génétique et leur morphologie afin de s’autoféconder lorsqu’ils “prenaient conscience” qu’aucun orgasme de fertilité ne serait induit par des pollinisateurs porteurs de pollen “étranger”. C’est très Beau.

Je pense que le terme de conscience n’est pas superflu dans ce cas – comme pour toute l’intégralité de la Biosphère, en fait – et j’invite toute personne, récalcitrante à accepter cette terminologie… à en proposer une meilleure.

Chez les plantes d’espèces auto-stériles, “la Nature a inventé” (comme le racontent ingénuement les vulgarisateurs scientifiques) un mécanisme qui leur permet de reconnaître leur propre pollen afin de s’en éloigner… émotionnellement et d’éviter ce que les savants nomment pompeusement “la dépression génétique”.

C’est ce que sont, d’ailleurs, beaucoup de savants, des déprimés génétiques. Ils ont perdu toute saveur pour la Vie et sont les victimes les plus sévèrement souffrantes du syndrome de mental linéaire potentialisé par une hubris extra-terrestre. Il est vrai que beaucoup de savants néo-darwinistes font partie du “sérail”, par ADN virosé ou par idéologie, et point ne déraillent de leurs obsessions et malices génocidaires déguisées en baudruches pseudo-scientifiques.

Les Dauphins et les Baleines Chantent et Dansent dans la Grande Bleue!

En 1983 et 1985, les chercheurs Roger et Katerine Payne mirent en exergue, les premiers, des cycles de “révolutions culturelles” chez les Baleines à Bosse des Bermudas et de Hawaï dans divers ouvrages dont un de 643 pages intitulé “Communication and Behavior Of Whales”  [118] et un second intitulé “Large scale changes over 19 years in songs of humpback whales in Bermuda”. [119]

«163 chants de Baleines à Bosse (Megaptera novaeangliae) enregistrés près de Bermuda durant les mois d’avril et de mai de 13 années, entre 1957 et 1975, furent analysés, sous forme de spectrogramme sonore continu, et comparées. Dans les échantillons de chaque année, toutes les baleines chantaient, fondamentalement, le même chant. Néanmoins, ce chant évoluait progressivement, et ostensiblement, au fil du temps de sorte que les chants séparés de quelques années étaient très différents quant à leur contenu. Tous les chants témoignaient de similarités structurelles basiques de sorte qu’il s’avère possible de définir une forme de chant qui les caractérisent durant de nombreuses années. Nous présentons ici certaines des caractéristiques fondamentales de la forme du chant et nous prenons en considération la nature et l’amplitude des modifications de son contenu comme une fonction de temps. Une analyse des chants chantés par des groupes de baleines démontre que les chants normaux se maintiennent même lorsque les baleines sont assez proches, à priori, pour s’entendre mutuellement. De telles analyses mettent en exergue une variabilité individuelle et inter-individuelle mais, cependant, ni l’une ni l’autre n’atteignent le niveau de variations manifesté par les chants d’années consécutives. Nous ne comprenons pas le sens d’une telle modification des chants. Nous ne connaissons aucun autre animal non-humain qui fasse preuve de métamorphoses irréversibles à ce point intenses dans la structure de déploiement d’une population entière en tant que processus de leur comportement normal». [119] Traduction et Soulignements de Xochi.

Il y a fort à parier que Charles Darwin eût évolué, intérieurement, des doutes abominables quant aux fondements de son “hypothèse” d’Evolution Aveugle, par mutations et saltations aléatoires, si de telles technologies acoustiques et informatiques avaient existé de son époque – à savoir permettant d’analyser les structures musicales individuelles, sociétales et spécifiques des passereaux, des dauphins, des baleines et autres espèces animales prétendûment dénuées de “culture”.

En 2011, la première étude fut réalisée par Ellen Garland et al – intitulée “Dynamic Horizontal Cultural Transmission of Humpback Whale Song at the Ocean Basin Scale” – observant, et analysant, les métamorphoses culturelles dynamiques, et cycliques, des Baleines à Bosse se manifestant au sein de multiples populations, à l’échelle d’une zone océanique, à savoir la région centrale et occidentale du Pacifique sud.

« Les mâles des Baleines à Bosse (Megaptera novaeangliae) possèdent des vocalisations sexuelles, ou “chants”, hautement stéréotypées, cycliques et en évolution progressive qui fonctionnent sur mode de sélection sexuelle (par le biais de l’attraction d’accouplement et/ou de tri social mâle. Tous les mâles, au sein d’une population, se conforment à la version courante du type de chant et des similarités peuvent exister parmi les chants de populations au sein d’un même bassin océanique.

… En étudiant de multiples populations, sur une période de 11 années, couvrant la région centrale et occidentale du Pacifique sud, nous avons analysé la transmission culturelle horizontale et cyclique de multiples types de chants au niveau de la population. Durant la saison d’accouplement (de juillet à octobre), cette région qui s’étend de l’Australie à la Polynésie Française, conprend plusieurs groupes de Baleines à Bosse qui sont génétiquement distincts bien que des échanges existent à très faible amplitude. Les groupes sont, ainsi, considérés soit comme des populations séparées, soit comme des populations formant une méta-population.

Onze types de chants différents furent enregistrés dans cette région de 1998 à 2008. Huit  types de chants différents se déplacèrent vers l’est dont quatre qui s’étendirent, intégralement, dans la région de l’est de l’Australie à la Polynésie Française. Un seul type de chant fut enregistré se déplaçant dans la direction de l’ouest (de la Polynésie Française vers les Iles Cook.» [127] Traduction de Xochi.

Voici ce que publia, également, en 2017, l’Université St Andrews dans son étude intitulée “Song hybridization events during revolutionary song change provide insights into cultural transmission in humpback whales”:

«Les Baleines à Bosse (Megaptera novaeangliae) possèdent de multiples traditions culturelles, évoluant en toute indépendance et incluant: une fidélité aux sites de nourriture et d’accouplement, sous guidance maternelle [121], des stratégies de recherche de nourriture socialement acquises [122] et des déploiements de chants qui sont sujets à une évolution et à une révolution culturelles [119]  [122]. Le chant des Baleines à Bosse est l’une des expressions acoustiques les plus élaborées dans le règne animal. Le chant est généré seulement par des adultes mâles [124] et est donc considéré comme un produit de la sélection sexuelle tant bien même les détails quant à son fonctionnement en tant que signal sont encore très controversés [125].

Le chant est organisé en une hiérarchie en gigognes: les sons uniques sont appelés des “unités”; une séquence d’unités est groupée en une “phrase”;  les phrases sont réitérées afin de former un “thème”; et un certain nombre de thèmes différents sont généralement chantés selon un ordre pré-établi afin d’élaborer le “chant” [126]. Pour passer d’un thème à un autre, une “phrase de transition” unique est, parfois, chantée dont le contenu participe des thèmes précédent et suivant. Différentes versions de la vocalisation (contenant différents thèmes) sont appelées des “types de chants”. Au sein de chaque population, il existe, généralement, une forte conformité à un type unique de chant à un moment donné. Nonobstant, ce chant est constamment modifié et tous les mâles doivent, continuellement, incorporer ces altérations afin de maintenir la conformité observée. Cette métamorphose lente et graduelle est un processus d’évolution culturelle au travers duquel des modifications subtiles se manifestent au fil du temps à l’échelle d’une population.

Les populations, au sein d’un bassin océanique, chantent des chants similaires mais la similarité dépend, à la fois, des distances temporelles et géographiques car les modifications de transmission de chants peuvent prendre plusieurs années, en une même région. Dans les zones centrales et occidentales du Pacifique sud, le chant est également le sujet de “révolutions culturelles” intenses par le biais desquelles le type de chant d’une population voisine est rapidement adopté par tous les mâles d’une population adjacente.  Nous avons, antérieurement, décrit la transmission horizontale, rapide, régulière et répétée de multiples types de chants générant de multiples révolutions de chants dans toute la région centrale et occidentale du Pacifique sud. Parmi les populations d’animaux non-humains, cela constitue un exemple très rare, potentiellement unique, de transmisison culturelle horizontale à l’échelle d’une population par laquelle des variantes comportementales sont transmises rapidement et sur mode répétitif. Cependant, nous ne connaissons que peu quant aux mécanismes d’apprentissage vocal et séquentiel gouvernant ce phénomène culturel extraordinaire.»  [120] Traduction et Soulignements de Xochi.

Selon les élucubrations des néo-darwinistes, l’Evolution Aveugle et Aléatoire aurait génétiquement programmé les Baleines à Bosse pour qu’elles modifient leurs chants en permanence – et collectivement. “Collectivement” signifie que toutes les baleines doivent s’instruire du nouveau contenu des chants mutuellement.

Question: les nouveaux chants “émergent-ils”, ou “émanent-ils”, de la population de Baleines en tant qu’âme-groupe ou sont-ils transmis par des mâles leaders, ou instructeurs, plus innovateurs? Quelle que soit la réponse, elle constitue un immense cauchemar pour la secte. Tout comme l’intégralité de “ce phénomène culturel extraordinaire”.

Et manifestement, avec les Baleines à Bosse, et leurs “phrases de transition” vocalisées entre les révolutions culturelles, les néo-darwinistes ont, finalement, découvert “des phases de transition” évolutives qu’ils cherchent déséspéremment, dans leur Evolution Aveugle, depuis 1860 (les célèbres chaînons manquants!). Mais ces “phases de transition évolutives”, chez les Baleines, sont culturelles, acquises et non linéaires… à savoir co-évolutives.

Les néo-darwinistes ont une “sainte horreur” de la co-évolution car leurs maîtres banksters leur ont appris que ce concept – et cette pratique potentiellement magique –  pouvaient entraîner l’Humanité dans des Voies, et des Voix, Sophianiques et Gaïennes – qui ne cheminent pas et ne résonnent pas en harmonie avec leur programme de contrôle social intégral de l’Humanité mise sous Voiles. Et non pas les Voiles des nefs libérées par les turbulences fractales dans les Océans de la Vie mais les Voiles de l’Envoûtement monothéiste. Il n’est que temps pour l’espèce humaine, si elle souhaite survivre, de soulever le Voile d’Isis. Les Baleines à Bosse constituent un énorme Cauchemar de Darwin: leur seul chant de Basson fait exploser le Bastion de Sion!

Selon l’étude récemment publiée, en novembre 2018, par Jenny Allen, de l’Université de Queensland en Australie, “Cultural revolutions reduce complexity in the songs of humpback whales”, les chants de toutes les Baleines à Bosse de l’est de l’Australie évoluent en faisant des emprunts constants aux Baleines à Bosse de l’ouest de l’Australie – qui ont, manifestement, la bosse très partageuse et mutualiste. Et lorsque leurs chants se sont fortement complexifiés, au fil des années, ils sont remplacés par d’autres beaucoup plus simples et le cycle est relancé. C’est franchement très Beau.

«La plupart des manifestations de culture non-humaine émanent de déploiements vocaux  acquis tels que les dialectes vocaux et les parades de chants des oiseaux et des cétacées. Alors que de nombreuses espèces de Passereaux ont recours à la complexité des chants  afin d’évaluer l’aptitude des mâles, le rôle de la complexité dans le chant des Baleines à Bosse, de l’espèce Megaptera novaeangliae, est incertain en raison d’une conformité, à l’échelle de la population, à une structure unique de chants. En sus du fait que, chaque année, les chants soient modifiés, graduellement, la population de l’est de l’Australie remplace, également, ses chants selon des cycles de “révolutions” culturelles de quelques années. Ces révolutions impliquent l’apprentissage de vastes quantités de matière novatrice introduite à partir de la population de l’ouest de l’Australie. Nous avons examiné deux facteurs de structure de chant, complexité et entropie, chez la population de l’est de l’Australie durant 13 années consécutives. Ces facteurs avaient pour objectif d’identifier le rôle de la complexité et de l’information chez les Baleines à Bosse. La complexité a été quantifiée à deux niveaux hiérarchiques: la séquence intégrale “d’unités” de sons individuels et les assemblages stéréotypés d’unités constituant un “thème”. La complexité s’accrut au fil du temps et de l’évolution des chants mais décrut au moment des révolutions. Aucune corrélation entre les estimations de complexité et d’entropie ne peut suggérer que des modifications de la complexité puissent représenter un embellissement du chant permettant à des mâles de se distinguer vis à vis d’une conformité propre à toute la population. La réduction consistante de la complexité, durant les révolutions de chants, suggère une limite potentielle dans la capacité d’apprentissage social de matière nouvelle chez les Baleines à Bosse.» [117] Traduction et Soulignements de Xochi.

Il est un ethnos, ou auto-déclaré tel, qui se prétend au-dessus de la masse du bétail humain simiesque directement dérivé du chimpanzé, selon le dogme Darwinien, et qui se prétend directement issu de la prunelle des yeux de Yahvé – en “personne”, au sens étymologique du terme. Mais Yahvé n’est autre que Yaldabaoth, l’Archonte Dément, dénommé également Samaël – Samaël l’Aveugle, gisant dans ses illusions et ses prétentions cosmiques. Cet ethnos – ou idéologie – est plus ou moins contaminé par le virus extra-terrestre en fonction de ses membres et selon leur degré d’aveuglement et, bien sûr, selon leur degré de démence et de psychopathie. Les plus psychopathes d’entre eux possèdent ou contrôlent (en direct ou par proxies) la très grande majorité des banques, des multinationales, des institutions internationales, des partis politiques, des syndicats, des fondations, des ONGs, etc, etc, et, fondamentalement, ce sont les concepteurs des religions monothéistes – qui sont des systèmes de contrôle social fonctionnant encore, très activement, pour quelques milliards d’individus zombifiés.

L’une des missions et prérogatives des mâles de cet “ethnos”, en grande partie dégénéré au sens animal humain du terme, est d’inséminer, le plus qu’il soit possible, des femelles humaines et en particulier des femelles Blanches. En effet, les ethnos et peuples Blancs, dans leur intégralité, constituent l’une de leurs cibles privilégiées, depuis une pléthore de siècles, et sont programmés pour une destruction totale car ils représentent un danger d’illumination et d’instruction et, donc, par conséquent, un danger d’élimination de leur envoûtement – et de ses envoûteurs, peut-être aussi… Témoin la destruction programmée de l’Europe, depuis des siècles et des siècles, par de multiples guerres: des guerres militaires, des guerres civiles, des guerres agricoles, des guerres scientifiques, des guerres nucléaires, des guerres pharmaceutiques, des guerres médiatiques, des guerres d’éducastration, des guerres de vaccinations, des guerres énergétiques, etc, ad nauseam. En bref, la Guerre à la Vie de l’Europe, la Guerre à la vie des Peuples et Ethnos d’Europa.

Les néo-darwinistes purs et durs sont obsédés par la sélection sexuelle car le néo-darwinisme est une fabrication-maison, ou falsification-maison, élaborée par ceux-là même qui se croient étrangers et au-dessus de l’espèce humaine, les Xenosh, les inventeurs du Sionisme génocidaire. Et nous aurons noté, ci-avant, que certains néo-darwinistes établissent, même, une distinction entre la “sélection sexuelle” et la “sélection naturelle”. Les néo-darwinistes sont de fervents “sélectionneurs”. Et on serait enclins à se demander s’il n’est pas grand temps de leur redonner la monnaie de leur pièce… sous convictions. Et une dose de leur médecine toxique de Dé/Sélection? 

Pour rebondir sur les bosses des baleines, de nombreuses études, depuis quelques dizaines d’années, ont été réalisées sur les “moeurs” des Baleines à Bosse – un terme dérivé du Latin “mos”, dont le premier sens signifie “désir, volonté” – et sur leur “transmission culturelle horizontale”. La “transmission culturelle horizontale” constitue une expression magnifique décrivant une situation magnifique… qui doit jeter un froid dans le dos aux adhérents de la secte.

Y-a-t-il un néo-darwiniste courageux, oui suicidaire, dans la salle, pour nous expliquer l’émergence, par mutations aléatoires, de la “transmission culturelle horizontale” chez les Baleines à Bosse? Ou chez toutes les autres espèces animales qui la pratiquent. Car il s’agit bien là d’une pratique… et non pas d’une hypothèse non validée.

Les quelques études ci-dessus, dont certains extraits sont présentés en traduction, mettent fort bien en exergue que pour certains experts, es cétacés, c’en est assez, et très tassé, de la pression des néo-darwinistes purs et durs quant à l’inéluctabilité de la “pression de la sélection sexuelle” afin d’expliciter tout comportement “culturel” ou toute autre expression et manifestation joyeuse et exubérante de plumages, de cornes, de couleurs, etc, chez les espèces animales.

C’est le cas de Jenny Allen qui déclare vertement : «Aucune corrélation entre les estimations de complexité et d’entropie ne peut suggérer que des modifications de la complexité puissent représenter un embellissement du chant permettant à des mâles de se distinguer vis à vis d’une conformité propre à toute la population».

En fait, dès 1994, Moreno, et al. déclaraient que: «Le chant des Baleines à Bosse a été décrit comme une manifestation de parade de mâle cherchant à attirer ou choisir une femelle; cependant, peu d’observations d’interaction directe entre des chanteurs et des femelles ont été reportées». [128] Moreno faisait référence aux recherches de Tyack en 1981 et de Mobley, en 1988. Selon Mobley, «les données d’Alaska suggèrent que les vocalisations d’alimentation sont générées par une femelle; les données d’Hawaï suggèrent que les vocalisations sociales sont générées par un mâle… Le chant ne sert pas d’attracteur pour les femelles mais peut, néanmoins, servir de base pour leur choix».  [129]

En 2013, Herman et al. dans leur étude intitulée “Humpback whale song: who sings?”, affirment que «… nous avons observé que la longueur des chanteurs variait, de 10,7 mètres à 13,6 mètres, avec 15% de tailles indicatrices d’une immaturité sexuelle probable. Nous interprétons cette participation élargie de mâles comme une agrégation de parade et le choeur asynchrone de chants comme une manifestation de mutualisme dérivé. La participation de nombreux chanteurs produit un signal plus élevé pouvant attirer plus de femelles vers la zone de chant. Les mâles sexuellement matures peuvent en tirer profit pour un accès à plus de femelles. Les mâles sexuellement immatures peuvent gagner, des bénéfices différés, grâce à des opportunités accrues d’apprendre et de pratiquer les expertises acoustiques, comportementales et sociales, ainsi que les conventions des zones hivernales, qu’ils peuvent mettre en application de manière utile durant les années suivantes».  [131] Traduction et Soulignements de Xochi.

Si l’on essaye d’aller tout droit au coeur du sujet, ces auteurs affirment que des mâles sexuellement immatures chantent avec les autres mâles matures par sympathie… et par attrait du profit différé qu’ils pourraient en tirer dans les années subséquentes. Un peu comme une banque? Le mutualisme des Baleines à Bosse serait ainsi un “produit dérivé” avec, parfois, des “bénéfices différés”.

Comme le dénonçait déjà Lynn Margulis, la secte s’exprime parfois avec un langage de banquier – ce qui est logique, vu leurs antécédents… Le paragraphe ci-dessus est, d’ailleurs, décrit comme un processus de drague conventionnelle avec une pléthore de “peuvent”. (Son auteur “peut-il” lui-même?) Il est, effectivement, peu prudent d’évoquer le mutualisme qui est Tabou chez les néo-darwinistes (surtout lorsque l’on veut continuer à glaner des subventions…) et les auteurs de cette étude semblent avoir allégé leur entorse idéologique par une dérivation sémantique.

La Poubelle Génétique n’en est que Plus Belle!!

Ce que le néo-darwinisme ne comprend pas, dans le génome, il l’appelle une “poubelle” Cela n’est ni très bien élevé, ni poétique, mais si les néo-darwinistes étaient bien élevés -dans l’atmosphère, cela donne le privilège de la vision de l’aigle – et des poètes, ils ne seraient pas néo-darwinistes…

En mai 2019, une équipe de scientifiques a, pour la première fois, publié une étude, dans la Revue Nature Genetics, prouvant la relation indiscutable entre l’autisme et les mutations (chez 1790 individus autistes) dans cette partie du génome que les néo-darwinistes ont appelé “l’ADN poubelle”.

Selon Olga Troyanskaya: «Cette étude constitue la première démonstration claire de mutations non codantes, et non héritées, induisant un dysfonctionnement ou une pathologie humaine complexe… Aujourd’hui, 98% du génome environ est, généralement, rejeté. Notre travail vous permet d’imaginer comment nous pouvons oeuvrer avec ces 98%». [151]   [152]

Selon la Simons Foundation qui soutient le projet: «les mutations non codantes, chez de nombreux enfants autistes, ont altéré la régulation des gènes, selon les résultats suggérés par les analyses. De plus, ces résultats suggèrent, également, que les mutations affectent l’expression génétique dans le cerveau et dans les gènes qui sont déjà corrélés à l’autisme, tels que les gènes responsables pour le développement et la migration des neurones… Les analyses calculèrent les ramifications des mutations génétiques dans des parties du génome qui n’encode pas de protéines, des régions qui sont souvent caractérisées, à tort, comme de l’ADN “poubelle”. Le nombre de cas d’autisme corrélés à des mutations non-codantes était comparable au nombre de cas corrélés à des mutations codantes de protéines qui désactivent une fonction génétique.» [151]   [152]

Et, à propos, quelle est l’origine des mutations, tant codantes que non codantes, affectant le génome humain? Par exemple, dans le cas précis de l’épidémie d’autisme. Aux USA, durant les cinq dernières années, l’autisme a augmenté de 80 % – et c’est un chiffre officiel, donc toujours très décalé eu égard à la vérité du Réel de la catastrophe sanitaire prévalente – sous tous aspects et bien au-delà de l’autisme. Le premier grand coupable est, bien évidemment, l’Industrie Pharmaceutique Vaccinale. “Bien évidemment”, de par le contenu toxique de leurs médications, vaccinations, abominations chimériques, mercure et tutti quanti… et de par leur intention sous-jacente, à savoir le génocide de l’espèce humaine.

Vers 2010/2012, je me faisais insulter, lors de mes Communiqués de Kokopelli, lorsque je parlais de décriminaliser le cannabis et que j’affirmais que les pathologies iatrogéniques ainsi que les dommages colatéraux iatrogéniques, constituaient la première cause de mortalité aux USA. “Iatrogéniques” signifie “engendrés par la médecine” – et bien évidemment la médecine moderne mortifère dont les objectifs, généralement, vont de pair avec ceux de la Mafia Pharmacratique.

Aujourd’hui, j’ai le plaisir de renvoyer les lecteurs intéressés par ce phénomène vers l’essai rédigé par Stephen Harod Buhner – que je considère comme l’herbaliste le plus sensible, intelligent, humoriste, shamanique, expert et Gaïen, aux USA. Son essai “The True Extent of Iatrogenic Diseases” [153] met clairement en exergue que le chiffre le plus minimal serait aux alentours de 760 000 décès, par an, aux USA – donc, en première place du palmarès nécrologique et avec une amplitude bien plus importante que celle des pathologies cardio-vasculaires ou celle des cancers.

J’invite tous ceux qui n’aimeraient pas la vérité de ces chiffres à déménager vers une autre planète plus complaisante vis à vis de leurs prétentions et aveuglements. En effet, ces chiffres sont sûrement encore très loin de la réalité car, selon la seconde partie de l’essai de Buhner en rédaction, la situation de la face cachée de la médecine, à savoir ses impacts iatrogéniques indirects, sont de loin plus sournois et catastrophiques que les pathologies déclarées et les dommage colatéraux directs et connus. Ce qui n’est pas peu dire – et ce n’est que le début d’une immense crise en gestation.

Et quelle est la situation de la catastrophe sanitaire iatrogénique en France: sûrement pire de par le fait que les Français ont été considérablement plus vaccinés que les citoyens US: la vaccination est la première ligne de front de la Mafia Génocidaire, en France – la preuve par Macron et ses diktats vaccinalistes récents. Quant à la situation sanitaire globale, en France, elle est bien pire qu’aux USA vu l’exiguïté de ce territoire leader de l’agriculture toxique en Europe et leader de l’Industrie nucléaire au monde.

Au fait, les décharges radioactives “oubliées par la France”, retraitent-elles également – sur un mode passif – les déchets radioactifs de nos voisins moins technologiquement avancés? Il est aisé de supputer que “l’oubli par la France”, des décharges radioactives, fait partie intégrante du programme de génocide des populations de France et d’Europe. Que va faire Yannick Jadot quand il sera Ministre des décharges radioactives? Adhérer au CRIIRAD de sa complice Rivasi? Afin de continuer à faire mine: mine grise de vert et macro-crise de vers dans la pomme de discorde tendue… par les Macronistes et tous les autres macaronis confondus – au gruger de sa voix savonneuse.

Et toujours dans le dossier poubelle de l’ébouage, par la secte, de l’ADN non fonctionnel et non codant, les “introns” sont entrés en scène – depuis peu. Ainsi que les promoteurs du Dessein Intelligent l’avaient pronostiqué (du Grec “pro/gnosis” signifiant connaître en avance), il s’avère que la poubelle n’existe que dans l’idéologie, et dans le cerveau très meurtri, des néo-darwinistes. Les “introns” étaient sur la scène mais les néo-darwinistes ne les avaient pas vus… car les introns constituent la scène même, par moitié!

Et comme le chantait le poète Païen, et grand adorateur du Yoni, «tout est bon chez Elle, y a rien à jeter», qui avait fort bien compris que la Mère ne fait ni dans l’aléatoire ni dans le superflu. L’appréciation, par l’animal humain, de l’exquise et de la complexité de la Précision Gaïenne est une source profonde du plaisir sensuel de la Vie – dans notre co-évolution avec la Source de cette Vie Infinie.

Les introns sont des segments de gènes, qui ne codent pas pour des protéines, présents dans les cellules eucaryotes. En 2007, Norman Johnson écrivait dans “Darwinian Detectives”: «La somme totale des introns chez les humains constitue 20% de l’ADN, à savoir plus de 10 fois le pourcentage codant l’ADN». En page 179. Il ne croyait pas si bien dire – et trop peu. D’ailleurs, aussi, selon la Revue Nature: «Dans la levure, ainsi que dans d’autres organismes, les introns ont été considérés comme le sous-produit jetable de la ligation d’exons en raison de leur rapide dégradation à la suite de l’épissage.» [156] Et, le même écho se retrouve, en 2008, dans la Revue Science Daily: «Les introns sont communément considérés comme des séquences d’ADN “poubelle”, que l’on retrouve au milieu de séquences de gènes, qui, après avoir été élaborés en ARN, sont excis, tout simplement, dans le noyau, avant que le messager ARN soit transporté vers le cytoplasme et traduit en une protéine.» [157]

En effet, dès leur découverte en 1977, ils furent considérés, par l’idéologie néo-darwiniste, comme de la poubelle génétique, à savoir des débris génétiques abandonnés – au hasard des terrains vagues et autres banlieux génétiques – par l’Evolution capricieuse, au fil des millions d’années…

… une Evolution trop pressée d’aller de l’avant ou trop pressée de sélections ou, peut-être encore, trop épuisée d’avoir tant généré de diversité depuis plus de quatre milliards d’années – et, qui plus est, sur mode aléatoire et hasardeux! Il n’est pas bien “sorcier” de comprendre que ce mode mutationnel et évolutif – au petit bonheur des introns, des exons, des ribosomes et de toute la sauce génétique agrémentant cette immensité voluptueuse de soupe bactérienne planétaire, chaotique et fractale – requiert d’autant plus de supervision permanente et attentive! L’Evolution en serait ainsi une Grande Sorcière! Qui se laisse à désirer, quelque peu, quant au ménage, ad hoc, de ses poubelles génétiques, mais qui, nonobstant, mène sa ménagerie, sans ménagements, pour ne pas dire à la baguette… magique.

Cependant, depuis une dizaine d’années, les séquences introniques ont été, progressivement, intronisées “en fonctions” du mérite qui leur choit. Par exemple, en 2015, Florent Hubé et Claire Francastel…

qui sont  des experts en “épigénétiques et destinées cellulaires”: c’est Beau! Et le titre de l’article semble transpirer du fait qu’ils n’attendent plus beaucoup de subventions des néo-darwinistes: “Lorsque la poubelle génère de la diversité moléculaire”. Que se passe-t-il, donc, en France? Il semblerait qu’il y ait de la Correction dans l’Air. Florent et Claire feraient-ils partie du troupeau enragé, et dissident, ruant dans les coulisses purulentes des fondements de la démocratie non existante – la Sélection Néo-Darwiniste?

Yannick Jadot, lorsqu’il sera Sinistre des Décharges Radioactives Oubliées, pourrait même, dans un grand élan de dissonance cognitive, à visée de fourvoiements médiatiques, quelque peu muter ce logo:  “Lorsque les poubelles radioactives, oubliées de la “France”, génèrent de la nécro-diversité moléculaire”…. Et quid des missiles oubliés par la “France” en Libye? S’ils sont également à uranium apauvri, ils pourraient même tomber sous la juridiction du Sinistère des Décharges Radioactives Oubliées!

De toutes manières, les Verts s’étaient bien ligués avec Sarkozy pour anéantir (libérer) la Libye. N’est-ce-pas Jadot… que cela fait partie du recyclage écologique? Lorsque l’on va déverser des bombes à uranium appauvri sur des populations civiles pour les libérer  -pour les libérer de leur non-inféodation aux Frères Musulman – il ne faut pas laisser traîner des bombinettes qui pourraient tomber dans des mains non humanitaires. Et quid des colonels Français capturés, un jour, par l’Armée Syrienne – sur son territoire? La “France” serait-elle, officiellement, en guerre avec la Libye ou la Syrie?

A propos, quel est, dans la vision de la démocratie représentative – par exemple la vision de l’ignoble BH Lévy – la différence entre une dictature et une démocratie Occidentale sur le plan des libertés? La démocratie Occidentale concède la liberté aux citoyens de prétendre, ou d’illusioner, qu’ils vivent dans une démocratie. C’est tout et cela suffit, n’est ce pas? “Elections: Pièges à Cocons!!”

… écrivent dans leur étude “Mammalian Introns: When the Junk Generates Molecular Diversity” [158]:

«Etant éliminés afin de permettre la formation d’ARN messager, les introns – qui sont intrinsèquement non-codants – ont été pendant longtemps relégués au célèbre tiroir de “l’ADN poubelle”. Néanmoins, contre toute attente (against all odds), une amplitude élevée de conservation séquentielle parmi des introns homologues, chez des espèces intimement corrélées, suggère des contraintes fonctionnelles sur les séquence introniques au fil de l’évolution. De nombreuses études ont, de nos jours, contribué à accroitre la somme des évidences prouvant que les introns peuvent être missionnés eu égard un spectre considérable de fonctions biologiques

Les introns représentent quasiment la moitié du génome humain mais, cependant, leur vaste majorité est éliminée des transcriptions eucaryotes au travers de l’épissage de l’ARN. Nonobstant, les introns se caractérisent par des éléments et des fonctions clés qui méritent, et toujours plus, qu’on leur accorde notre l’intérêt. Au niveau de l’ADN, les introns constituent des segments génomiques qui peuvent abriter des unités de transcription indépendantes pour des ARNs codants et non-codants, dont la transcription peut interférer avec celle du gène hôte, ainsi que des éléments régulateurs pouvant influencer, même, l’expression et l’épissage génétiques. Selon la perspective de l’ARN, certains introns peuvent être, ainsi, sujets à un épissage alternatif. La rétention d’introns semble conférer quelque plasticité à la nature de la protéine produite, à sa distribution dans un type de cellule donné ainsi qu’à la chronologie de sa traduction. La rétention d’introns peut, également, servir d’activateur afin de générer des ARNs codants ou non-codants à partir de la même unité de transcription. Inversement, l’implication directe de l’épissage des introns a été validée dans la production de petits ARNs régulateurs. Par conséquent, l’épissage des introns semble, aussi, conférer de la plasticité au type d’ARN élaboré à partir d’un locus génétique (codant, non-codant, court ou long). Nous avons analysé ces aspects afin d’accroître notre compréhension des mécanismes qui contrôlent la destinée des introns et qui pourraient s’avérer des vecteurs de régulation de l’information génomique et, donc, de la destinée cellulaire». [158] Traduction et Soulignements de Xochi.

Against all odds. N’est-ce pas ainsi que joue la Mère Animale Planétaire? Les introns sont très fonctionnels et très plastiques… dans leur spectre considérable de fonctions biologiques. Par plasticité, entendons-nous l’évocation de potentielles prises de décision?

Et si tant est que cela soit nécessaire, les derniers articles, publiés par la Revue Nature, vont porter quelques coups fatals ultimes au paradigme néo-darwiniste de poubelles génétiques oubliées par une Evolution toujours trop oppressée par le manque de Temps.

A l’image de la France de la Fée Electrique – EDF, Areva/Urino et autres mafieux – toujours trop pressée d’aller de l’avant du génocide… et de cavaler à l’aval – quant à l’oubli génocidaire de ses poubelles radioactives! Faut-il vous l’envelopper avec un discours mielleux ou électrifiant – sur mode Macroniste, sur mode Verts, sur mode France Insoumise aux sous, ou, encore, sur mode de mutation judéo-lepéniste – ou est-ce pour avaler de suite et de force? Ne serait-ce pas un état d’urgence?

Dans l’édition de Nature de janvier 2019 [154], une équipe de l’Université de Sherbrooke au Canada, sous la guidance de Sherif Abou Elela,  présente son étude intitulée “Introns are mediators of cell response to starvation”:

«Les séquences codant des protéines, de la plupart des gènes eucaryotes, sont interrompues par des introns, des séquences intervenantes mais non-codantes dont l’exclusion est nécessaire au travers du processus d’épissage. Le génome compact de la levure de l’espèce Saccharomyces cerevisiae ne contient que 295 introns qui sont localisés dans 280 gènes. Neuf gènes de levure, seulement, contiennent plus d’un intron et la plupart des introns possèdent moins de 500 nucléotides. Dans cette étude, nous présentons ce qui est, à notre connaissance, la première collection complète de souches de levures caractérisées chacune par la suppression d’un intron spécifique. Les analyses de cette collection pourvoient une validation, sans ambages, des fonctions globales des introns – ce qui peut expliquer leur conservation durant l’évolution, quelles que soient la fonction ou l’expression du gène hôte de l’intron. Les analyses génétiques, phénotypiques et transcriptomiques des souches de suppression d’intron (Δi) indiquent que les introns promeuvent la croissance dans des conditions de famine en promouvant la répression des gènes de protéines ribosomales qui sont en aval des voies TORC1–PKA. Notre travail révèle un paradigme de sensibilité à la nutrition, et d’adaptation à la croissance statique, qui implique les introns comme promoteurs de répression génétique en cas de famine». [154] Traduction et Soulignement de Xochi.

Donc, tout cela pourrait peut-être complexe et fastidieux mais la conclusion est belle car n’oublions pas que le paradigme évoqué est censé faire partie intégrante d’un paradigme plus englobant… qui serait celui de l’Evolution Aveugle sur mode darwiniste. “Un paradigme de sensibilité à la nutrition, et d’adaptation à la croissance statique, qui implique les introns comme promoteurs de répression génétique en cas de famine”. C’est très beau mais il semblerait que ces deux “paradigmes” soient un tantinet antinomiques. D’autant plus que l’auteur précise ensuite: «L’intégralité de ces données proposent un paradigme de fonctions des introns dont la présence contribue à la croissance de la cellule en toute indépendance de la fonction de leur gène hôte.» [154]

La même édition de Nature, de janvier 2019, rejoue la carte des introns archi fonctionnels et rédempteurs en présentant, itou, une seconde étude du Massachusetts Institute of Technology à Boston, sous l’égide du biologiste David Bartel, expert es-ARN, [155] qui présente des résultats identiques, à savoir que des cellules de levure de Saccharomyces cerevisiae furent manipulées génétiquement, par technologie CRISR, afin d’en exclure 34 introns spécifiques, diminuant ainsi, considérablement, leur capacité de croissance lorsque les resources nutritionnelles étaient parcimonieuses.

Manifestement, ces introns, autrefois impromptus et promus à la poubelle de l’Evolution, s’avèrent une mine d’or quand il s’agit de se sustenter, sans faire mine, lorsque la cellule crie famine.

Dès 2003, dans un article de la Revue Scientific American, le généticien John Mattick, très critique du concept d’ADN poubelle, ne mâchait pas ses mots, à l’image de Lynn Margulis, et écrivait: «Je pense que cela deviendra une histoire classique d’orthodoxie faisant dérailler l’analyse objective des faits, dans ce cas durant un quart de siècle. Il se peut que l’incapacité de reconnaître les pleines implications de cela – en particulier la possibilité que les séquences intervenantes non-codantes puissent transmettre une information parallèle sous la forme de molécules ARNs – s’avère l’un des plus grands fourvoiements dans l’histoire de la biologie moléculaire. Il est clair que ce qui a été damné comme poubelle, parce que cela n’était pas appréhendé, peut s’avérer constituer le fondement même de la complexité humaine». Dans “Challenging the Dogma: the Hidden Layer of Non-Protein Coding RNAs in Complex Organisms”. Pages 930/939. Traduction et Soulignements de Xochi.

Le premier Homme était une Femme

Depuis l’avènement de leur secte, les néo-darwinistes tentent désespérément de persuader toute l’humanité qu’elle descend des singes, chimpanzés et autres gorilles et que, même, il n’est que peu de différences, en fait, dans la grand transit Terrien, entre nos valises génétiques et celles de la mouche du coche, “la drosophile” – l’amie de la rosée. Et de la persuader, doucereusement, que nos bagages génétiques seraient très encombrés de poubelles en tous genres… car l’Evolution n’aurait bénéficié que d’une poignée de quelques millions d’années pour sortir l’humain du singe – comme par hasard – et n’aurait tout simplement pas eu le Temps de faire le ménage et de recycler les déchets de notre ADN. Et de la persuader, par conséquent, que le Transhumanisme – une marque déposée du Néo-Sionisme – va régler, à jamais, chez l’animal humain, toutes les imperfections, petites et grandes, laissées par Mère Nature…

Tout l’humanité descendrait, ainsi, du singe, à l’exception, selon certains Tzaddik enragés, d’un ethnos élu – le leur – qui aurait directement émergé de la prunelle de Yahvé/Yaldabaoth sans passer par la station simiesque. D’où le droit divin des Tzaddik de domestiquer les Goyim, de les contrôler, de les sélectionner, de les muter, de les déracialiser, de les universaliser – en bref de les corriger. Et en super-bref, de terminer chez l’animal humain ce que l’Evolution Aveugle n’aurait pas eu le temps de faire.

Le néo-Darwinisme est, ainsi, une grande entreprise Néo-Sioniste de correction humanitaire visant à aménager le génome humain afin qu’il soit plus vacciné, plus religieux, plus travailleur, plus courbé, plus obéissant, plus respectueux des Autorités: Tikun Olam.

Au risque de la répétition, les vingt dernières années de la biologie moléculaire ont réduit à néant toutes les prétentions grotesques des néo-darwinistes – ce que d’aucuns nommeraient des singeries si ce n’était pas manquer complètement de respect aux multiples races animales simiesques. Même s’il n’existe que quelques pour cent de différences entre le génome humain et celui du chimpanzé, cela représente encore des millions de paires de bases qui auraient été le sujet de mutations aveugles et de sélections hasardées. Mais il y a bien plus – et toujours bien plus qui s’annonce – ainsi que le démontre cette étude Canadienne récente intitulée “Similarity regression predicts evolution of transcription factor sequence specificity”. [149]

En mai 2019, toute chaude émanée des éprouvettes, une équipe de Toronto (du Donnelly Centre for Cellular and Biomolecular Research) vient de publier ses découvertes relatives à quelques douzaines de gènes qui étaient, auparavant, considérés comme possédant une fonction identique, dans de multiples espèces animales planétaires, mais qui, en fait, sont strictement uniques à l’espèce humaine. 

«La régression de similarité quantifie, intrinsèquement, l’évolution du motif de facteur de transcription et met en exergue que les déclarations antérieures relatives à la conservation quasi-intégrale des motifs entre l’Humain et la Drosophile ne sont que du vent (inflated): presque la moitié des motifs présents dans l’une de ces deux espèces sont absents de l’autre en raison de divergences considérables dans les protéines C2H22 dites à doigts de zinc. Nous en concluons que la diversification, dans les motifs de liaison à l’ADN, est omniprésente et constitue un nouvel outil, et une nouvelle ressource, pour étudier la diversité des facteurs de transcription et la régulation des gènes dans les organismes eucaryotes.» [149] Traduction et Soulignement de Xochi.

En fin de présentation, les chercheurs de l’équipe de Toronto préviennent, discrètement, leurs collègues que les suppositions évolutives d’antan ne sont que cela, en fait, des suppositions… Et il semblerait, récemment, que les suppositions des suppôts du Néo-Darwinisme se métamorphosent, très rapidement, et universellement, en sous-positions intenables dans le tractus de digestion sociétale qui est en cours de les expulser sous l’impact des suppositoires médicinaux, libérateurs, déstérilisateurs et régénérateurs du Dessein Ingénieux – qui infiltre, présentement et inexorablement, tous les rouages de la société humaine. Sous la guidance de la Correction Gaïenne de Sagesse Sophianique.

Le titre de l’article d’annonce de publication de Science News [150] n’est-il pas, d’ailleurs, très évocateur? “Les scientifiques mettent à jour (uncover) un trésor (trove) de gènes qui pourraient détenir la clé (key) du processus d’évolution des humains”. Cela frise la découverte alchimique!

Pour mémoire, et pour répétition, le terme “trove”, en Anglais, pour trésor, est dérivé de “tropos” en Grec, signifiant tour, manière, façon, etc.. Tropos est à la racine des termes “trope” (en rhétorique), “trouver” mais, aussi, “trouvère” , “troubadour”, “troubadouresse”, etc. En Latin, “tropare” signifie composer, composer un poème, inventer, découvrir…

Les Biologistes modernes authentiques – ceux qui n’ont jamais succombé à l’hallucination collective néo-darwiniste ou qui s’en sont libérés – sont, véritablement, des Troubadouresses et des Troubadours découvrant des Trésors Biologiques qu’ils transmettent au reste des animaux humains. Des trésors de connaissances et d’intuitions Biologiques – corrélées à la Vie –  qui permettent à ceux qui en ont la chance, et/ou le désir, de sortir de leurs croyances aveugles quant à l’Evolution aveugle et hasardée …

et de rendre hommage à la Beauté, à l’Intelligence et à la Puissance Fonctionnelle de l’Intentionné!

On serait, parfois, enclin à imaginer que les néo-darwinistes n’osent pas imaginer que le “Hasard” soit une forme de déguisement dont ils auraient affublé le “Dessein Intelligent”. Qui joue avec les mots? Le Darwinisme est à la cosmologie de Trou Noir entropique ce que le Dessein Intelligent et Ingénieux est à la cosmologie de Fertilité Pléromique. La première photo de Trou Noir Galactique est à l’image de l’habit étincelant du néo-darwinisme scientifique: le roi est nu. [145]

Et Charles est détrôné, pour ne pas dire “de trop né”, comme il pourrait en être estimé, ainsi, du sort de tous les psychopathes et du poids qu’ils font peser sur la Vie – pour l’annihiler. Connaissez-vous, à propos, l’oeuvre de Wal Thornhill sur l’Univers Electrique? Son site “Thunderbolts” [144] est, Sophianiquement, incontournable – et de nombreux textes sont déjà traduits en Français.

Laissons aux scientifiques authentiques, tels que Wal Thornhill, le privilège et le plaisir de tenter de mouvoir le Voile. Laissons aux poètes – et aux mystiques, ceux qui se taisent – le privilège et le plaisir des jeux et des chants de mots qui peuvent émouvoir le Voile – et mouvoir les Voiles de la Co-Evolution avec la Nef de la Terre-Mère. Pouvons-nous encore imaginer que c’est la Terre-Mère qui impulse l’intégralité du système solaire, qui le guide, qui le câline… vers le coeur de la Galaxie?

Xochi. Le 13 juillet 2019.

«A la racine du temps, à l’émergence de l’espace, une source inépuisable de ténèbres blanches demeure, s’épand et se dissipe. En son expansion, un vortex s’ouvre et se clôt sur lui-même, se mouvant tout en cohérence. C’est le portail de l’Origine, la forme évidée qui se mue en toutes formes mais qui, cependant, perdure à jamais inchangée: une forme en rond de fumée avec un océan de plasma en son coeur et une membrane qui l’enveloppe, tel un rivage lointain où l’océan se tarit, vague après vague dont les murmures se perdent dans la sérénité de l’éternité. C’est de ce vortex que s’éveille Lila, le jeu divin, l’échange de formes et de néant. Lila est l’extase qui jaillit à chaque instant du Devenir. C’est l’expression de l’amour fondateur et absolu de l’Origine qui tout embrasse.

Dans l’accomplissement de toute chose, les Générateurs ne font rien de plus que de contempler l’Un. Ce rite de contemplation altère la forme en rond de fumée qui devient autre que ce qu’elle est. La forme primordiale se métamorphose en de nombreuses figures et ces figures deviennent événements. Dans une lenteur infinie, elle joue à se modifier en une diversité de variations spiralées: lenticulaires, rayées, déchiquetées, elliptiques, allongées, irrégulières. C’est ainsi que les galaxies émergent et dérivent dans toutes les directions de l’espace, telle la fumée en apesanteur, mais cependant chargées d’une mystérieuse masse. Chaque galaxie est un tourbillon de plasma, d’un noir de charbon, avec des sources de lumière de vie en son coeur. Une galaxie, parmi des milliards, est le foyer d’une myriade de mondes dont une planète familière, la Terre. Cette galaxie qui l’héberge est une spirale lenticulaire à quatre bras, le monde d’Atum.

La vibration, cette fois, fait résonner le monde d’Atum. C’est la galaxie en laquelle la souche de l’humanité Terrienne émergera, sa destinée mystérieusement liée à l’une des divinités du coeur dissimulé, Amun. La singularité en jaillira comme un tourbillon dans le noyau dont le magma, baratté en torrents d’opale, fait pivoter le carrousel aux remous lointains de deux milliards d’étoiles étincelantes.

Au regard des initiés d’antan, la Galaxie apparaît telle une méduse, une immense gelée de mer, une vaste flottille dérivant dans l’océan de nuit. La méduse vogue mue par une pulsation lente. De la masse de gel enchâssée au coeur de son dôme, se déploie une grappe de tentacules qui s’étirent en trainées au travers des vastes immensités de l’espace et du temps. Capturées dans ses tentacules sont les semences de mondes que la méduse sustentera dans sa nage en-dessous du dôme placide de l’Eternité. Absorbée dans Lila, la méduse compose ses tentacules en un lent tournoiement de derviche tourneur. Les vrilles massives et étincelantes en rotation s’alignent et se rassemblent sur un plan. Le mouvement enroulant et tourbillonnant du noyau les enveloppe en une harmonie de bras spiralants, les quatre membres du Monde d’Atum. Le dôme de la méduse devient le renflement central, au diamètre d’un dixième de l’amplitude des membres environnants. Pour les voyants initiés d’antan, la méduse est la cohésion maternante et secrète du carrousel étoilé.

Dans le coeur de la Galaxie demeure la vie immortelle, le jaillissement des Générateurs, et dans les bras spiralés, la vie mortelle s’aventurera en moult créatures, petites et grandes. Mais les habitats doivent tout d’abord être préparés. Les conditions doivent être mûres, les dispositions harmonieuses. Des amas globulaires de dizaines de milliers de soleils en définition de pointes d’épingles, des amas ouverts chargés de pépinières d’étoiles bleues-blanches, des géantes oranges en fureur, des naines blanches en tournoiement Soufi, des voiles déchirés de vapeur stellaire, des nuages agités de poussières interstellaires, et des traces chevelues de comètes tanguantes décorent les bras spiralés; mais la décoration n’est pas toujours le foyer accueillant. Le Monde d’Atum est prodigieux de nébuleuses éparpillées autour du manège des spirales. Les quatre bras constellés flottent de façon erratique avec des marbrures embuées telles les immenses taches d’un expir coloré. Dans les nébuleuses, dans les nuages moléculaires, se lovent les animations vivantes projetées par les Générateurs. Les vapeurs nébuleuses sont sublimes, des toiles parfumées où les codes nucléiques sont accrochés en chapelets tremblants, les matrices de la vie en devenir. De temps en temps, les nébuleuses propulsent des soleils embrasés sur des courses sauvages et les planètes liées à leurs soleils offriront le gîte aux créatures petites et grandes.

La méduse vaste perçue par des yeux humains: cette cellule lenticulaire constituée de deux cents milliards d’étoiles et en calcul. Autour d’une étoile nichée dans le troisième bras de la Galaxie, en partant du coeur, tourne la planète-foyer, la Terre. Gaïa y demeure, non par édit cosmique. Par anomalie, l’effet de sa passion impétueuse…».

John Lamb Lash.  [146]