Reconquérir le Paradis, c’est mettre fin à l’enfer des drogues dans lequel l’espèce humaine est en train de sombrer inexorablement: les drogues synthétiques utilisées dans l’agriculture toxique pour la fertilisation chimique et pour la lutte contre les insectes, contre les champignons, contre les adventices, etc; les drogues synthétiques, appelées “médicaments”, utilisées pour occulter les symptômes des dommages collatéraux induits par l’agriculture de guerre et par la pollution de l’environnement; les drogues synthétiques appelées “vaccins” dont la finalité non avouée est de génocider tous les Peuples, au pire, ou de faire s’effondrer les défenses “immunitaires” humaines, afin que l’Industrie Pharmacratique puisse augmenter ses ventes de poisons allopathiques; les drogues synthétiques appelées “médicaments psychotropes” (anti-dépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques…) dont la France est le premier pays consommateur au monde; les drogues synthétiques appelées, également, “caisses noires des Autorités”, telles que l’héroïne, la cocaïne, etc; les drogues organiques, mais néanmoins farcies de poisons synthétiques, telles que l’alcool et le tabac. Ainsi, chaque année, de par le monde, ce sont des dizaines de millions de personnes qui décèdent de l’empoisonnement infernal généré par le commerce, légal et illégal, de drogues létales.

Reconquérir le Paradis, c’est aussi dénoncer le vaste écran de fumée de la “guerre aux drogues” mis en place par les Autorités. En 1965, Roger Heim en dénonçait, déjà, les hystéries médiatiques; en juin 1976, le journal Libération publiait son “appel du 18 joint”; et, en 1993, Michka publiait son “J’accuse”. Depuis lors, la situation a-t-elle évolué? Oui, et pour le pire: les Autorités continuent de s’acharner à l’encontre des amateurs de cannabis, de psilocybes, d’ayahuasca… pendant qu’une caste oligarchique, et auto-proclamée, se défonce libéralement, et impunément, à la cocaïne et pendant que l’héroïne dévastatrice se répand, dans toutes les villes et les villages de nos terroirs. Ainsi, alors que les laboratoires mafieux engrangent des fortunes colossales, des millions d’êtres humains croupissent dans les prisons des Autorités – la plupart du temps pour usage de substances qualifiées de “drogues douces”. Aux USA, par exemple, avant la légalisation totale ou partielle du cannabis (en fonction des Etats), il sévissait une arrestation toutes les 40 secondes pour usage de “stupéfiants”.

Dans cet ouvrage, le Paradis Reconquis, John Lash dévoile, en analysant le mythe de la Chute Biblique, le plus antique tabou qui ait été imposé, aux Peuples de l’espèce humaine, par la petite clique de psychopathes déments qui sévissent sur la planète depuis quelques milliers d’années. C’est le tabou placé sur les plantes et les champignons visionnaires, conférés par la Terre-Mère. C’est un tabou très insolite dans la mesure où, non seulement, il interdit l’usage de ces substances mais où il occulte la connaissance même de leur existence. John Lash présente, de plus, la Thèse Wasson, à savoir la théorie enthéogénique de la religion, proposée par Gordon Wasson – le père de l’ethnomycologie – qui redécouvrit le culte des champignons sacrés au Mexique et qui collabora intimement avec le Français Roger Heim, le président de l’Académie Nationale des Sciences, et le Suisse Albert Hofmann, le découvreur du LSD. John Lash prouve, également, par sa découverte des illustrations enthéogéniques du Psautier de Paris Eadwine, à la Bibliothèque Nationale de Paris, que des artistes du Moyen-Âge cooptèrent certains vecteurs conventionnels de la Théologie de l’Annihilation afin de transmettre des connaissances enthéogéniques – sans doute une survivance des Mystères – interdites par les Eglises.

Dans ce recueil d’essais sur la “Révolution Enthéogénique” et la “Transmutation Planétaire”, John Lash nous explique que la religion est devenue ce qu’elle est parce qu’elle nous interdit l’expérience extatique de la conscience directe de la divinité – à savoir de la conscience directe de l’Intelligence Divine de la Terre – et du ravissement et de la connaissance qui procèdent de cette expérience. Ce sont, ainsi, les champignons et les plantes instructrices, visionnaires et sacrées, qui induisent une extase cognitive permettant de dévoiler le facteur extraterrestre dans notre mental et d’y discerner, de manière cruciale, les croyances anti-naturelles et anti-humaines. Il affirme que la position de tout un chacun, quant à la problématique de cette extase cognitive induite par des champignons et des plantes sacrées, va déterminer, plus que toute autre problématique, son engagement dans la Transmutation Planétaire en devenir. Les Peuples ont, donc, le choix entre, d’une part, l’empoisonnement à petits feux de l’enfer des drogues et, d’autre part, la Révolution Enthéogénique afin de recouvrir le Paradis perdu – ce Jardin qu’on appelait la Terre – et de favoriser, ainsi, l’émergence de la Transmutation Planétaire.

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