Les perpétrateurs du mal social oeuvrent à l’encontre de l’espèce humaine et de l’unité symbiotique de la vie planétaire. Avec leur scénario de fin de partie, qui est en train d’émerger dans le monde entier, ils conspirent en toute démence pour décimer la race humaine. L’eugénisme est leur signature, la bureaucratie est leur couverture. Dans leur démence, ils se considèrent comme une race spéciale jouissant du privilège d’asservir l’humanité ou de l’annihiler, en fonction de leur programme du jour.
Ceux qui croient pouvoir contrôler le monde ne sont pas même capables de se contrôler eux-mêmes. Ceux qui répandent la terreur au travers de la mystification du terrorisme vivent dans un état de peur perpétuelle. Ils requièrent des mesures élaborées de protection et de secrets afin de perdurer dans leurs fantaisies psychotiques de domination. Ce sont des mauviettes qui ne tiennent pas debout, dans le sens moral du terme. Ils ne possèdent aucune puissance autonome mais ils doivent s’en remettre à des réseaux de soutien et de complicité. Ils acquièrent leur pouvoir du consentement passif des gens qui ne sont pas assez avisés pour percer au grand jour leur petit jeu. Ils ont toute liberté de s’attaquer à leurs congénères tant qu’il n’existe pas assez d’êtres humains qui ont les tripes de les pourchasser…
… L’amour ne possède aucune force de persuasion sur les êtres humains pervers et déments qui ne cherchent qu’à nuire, qu’à orchestrer le mal social et qu’à s’attaquer aux membres de leur propre espèce. Pris dans une démence létale et terminale, ils se retournent contre l’espèce et y projettent leur monstrueuse infatuation de supériorité et même de divinité. Ils cherchent à détruire l’humanité physiquement afin qu’il n’en reste rien qui puisse leur démontrer l’absence d’humanité en eux-mêmes. L’amour ne peut rien faire pour de telles personnes. Il ne peut pas les atteindre ou les inspirer ou les convertir magiquement en personnes plus nobles. La contre-violence est la manière de les éliminer. Toute société qui ne peut pas détecter et éliminer de tels perpétrateurs, et de tels prédateurs, est condamnée à disparaître de par sa propre faiblesse morale…