Dans sa nouvelle étude très technique, Mik Andersen présente ses découvertes portant sur les cristaux d’ADN observés dans le vaccin Pfizer: leur comparaison avec la littérature scientifique; leurs implications dans le développement de circuits, de transistors, de dispositifs électroniques; leurs implications dans le réseau intracorporel de nano-communications et de nano-dispositifs; le développement de systèmes informatiques, etc. De plus, il explicite, tout d’abord, la manière dont le graphène et l’hydrogel sont liés aux structures d’ADN synthétique et, ensuite, les processus de fusion du graphène avec l’ADN. Finalement, il présente une analyse et une mise à jour de ses recherches – compte tenu de toutes ces récentes avancées. En conclusion, Mik Andersen considère qu’il s’agit, probablement, de l’un des articles les plus fondamentaux de son blog Corona2Inspect.
Les images microscopiques prises par le Dr (Campra, P. 2021) continuent de fournir des informations précieuses pour l’élucidation du contenu et des matériaux des flacons de vaccins. À cette occasion, une preuve essentielle a été découverte, qui confirmerait que le vaccin Comirnaty™ Pfizer est doté de la technologie d’auto-assemblage de cristaux d’ADN, conformément à l’article précédent sur les preuves d’auto-assemblage d’ADN-Origami. Cette découverte a été rendue possible en comparant les images du Dr Campra et de Ricardo Delgado (Delgado, R. 2022) avec la littérature scientifique, en particulier le travail de (Zhao, J. ; Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018) intitulé “Modulation of DNA crystal self-assembly with rationally designed agents” / “Modulation de l’auto-assemblage des cristaux d’ADN avec des agents conçus rationnellement”. Cette découverte facilite la compréhension de la nature des objets observés, ainsi que leur conformation, ce qui permet d’exclure le hasard ou la simple coïncidence, car ce qui a été observé répond plutôt à une planification et une conception préméditées en laboratoire.
Sommaire
Analyse des images
Le travail de Zhao. Tenségrité de l’ADN
ADN et nanotechnologies à base de graphène
Opérations booléennes et portes logiques avec l’ADN
Le projet CORDIS du programme DISCORDE
Implications des résultats
Preuves à venir
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Analyse des images
La figure 1 montre la séquence d’images de l’étude de (Zhao, J. ; Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018) dans laquelle le processus d’auto-assemblage des cristaux d’ADN est observé à une échelle de 200 μm – ce qui est compatible avec l’échelle d’observation du Dr. Campra. On peut voir comment les “molécules d’ADN” se forment en cristaux bidimensionnels, et tridimensionnels – avec une structure quadrangulaire, rectangulaire, cubique, selon un ordre de construction prédéterminé. Lorsque la morphologie de ces cristaux d’ADN est comparée à celle des objets observés dans les échantillons de vaccins de Pfizer, la conclusion est que la correspondance est exacte – tant en termes de formats, de perspectives, de dimensions que de géométries.
La figure 2 compare les images de l’étude de Zhao et celles obtenues par le Dr Campra, dans son observation du vaccin Pfizer, où il est clair que les objets observés sont des cristaux d’ADN. D’autres références de la littérature scientifique soutiennent également cette identification (Zhao, J. ; Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018 | Chandrasekaran, A.R. 2019 | Hernandez, C. ; Birktoft, J.J. ; Ohayon, Y.P. ; Chandrasekaran, A.R. ; Abdallah, H. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. 2017).
En outre, l’enregistrement des observations microscopiques des échantillons de vaccins, par le Dr Campra et Ricardo Delgado, a corroboré la présence des cristaux d’ADN et leur processus d’assemblage, qui correspond à celui décrit par Zhao. Voir la vidéo 1. [586]
En plus de ces tests, le Dr Campra a préparé un document fournissant d’autres images compatibles avec la présence de cristaux d’ADN dans les vaccins COVID-19. Ce document peut être consulté sur sa page ResearchGate – ou dans le lien permanent suivant.
Des preuves supplémentaires sont présentées dans les figures 3, 4 et 5 ci-dessous. Par exemple, la figure 3 montre la présence de cristaux d’ADN et de ce qui semble être une fibre ou un nanotube de carbone – qui en réalité pourrait correspondre à la structure d’un micro/nanotube d’ADN. La signification de cette découverte est énorme, car elle implique de reconsidérer la composition des objets identifiés jusqu’à présent, en particulier les structures rectangulaires, rhomboïdales et quadrangulaires et ce qui semblait être des nanotubes de carbone. En raison de la complexité et des considérations, qui en découlent pour la recherche, cette question fera l’objet d’une section spécifique afin de mettre à jour les connaissances sur ces objets – en expliquant l’état actuel des connaissances, au moment de la rédaction de cet article.
La figure 4 montre des structures cubiques rappelant les pyrites cubiques en amas – qui seraient en réalité les structures des cristaux d’ADN 3D en cours de formation. Il est intéressant de noter que les “fissures”, ou “marques”, à la surface de ces cristaux sont, également, très similaires à celles observées sur les cristaux d’ADN dans la littérature scientifique. Des travaux sont, encore, en cours pour savoir à quoi correspondent ces fissures: à savoir, s’il s’agit de défauts de construction ou si elles sont le résultat de la conception de canaux prédéterminés, dans les molécules d’ADN, ou encore si elles suivent un schéma de circuit – comme expliqué dans l’article sur les nanorouteurs. Les hypothèses sont ouvertes et des recherches et études supplémentaires sont, encore, nécessaires pour pouvoir se prononcer avec plus de précision.
La figure 5 montre une fibre ou un micro/nanotube très similaire, presque identique, à ceux observés dans les échantillons de vaccins, et dans ce cas particulier, de Pfizer. Il est juste et honnête de reconnaître qu’il est possible que de nombreuses fibres observées dans les vaccins ne correspondent pas à des nanotubes de carbone à paroi simple ou composée, et qu’il s’agit en fait de nanotubes d’ADN à paroi simple ou composée, mais très probablement fonctionnalisés ou hybridés avec du graphène, comme cela sera expliqué, plus loin, dans la section sur les implications pour les recherches menées par Corona2Inspect.
L’importance de cette découverte est primordiale, car elle modifie de nombreux aspects du paradigme et de l’écosystème des objets découverts jusqu’à présent dans les images des vaccins à un niveau conceptuel. Outre le graphène et l’hydrogel, il y aurait aussi de l’ADN qui serait utilisé pour construire les structures observées, selon des paramètres, des designs, des modèles prédéterminés. Cela, donc, ne laisse aucun doute quant à l’existence des nanotechnologies et de la bio-ingénierie, comme l’expliquent les travaux de (Zhao, J. Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018) et dans le reste des références de la littérature scientifique – qui est très vaste, dans ce domaine, et dont l’analyse et la révision prendront du temps. Les figures 6, et suivantes, présentent d’autres images remarquables du travail de Zhao.
Le reste des images issues des recherches de Zhao, et de son équipe, peut être consulté dans le document d’information de son article scientifique “Modulating Self-Assembly of DNA Crystals with Rationally Designed Agents” ou sur le lien permanent suivant: [579]
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Les Recherches de Zhao. Tenségrité de l’ADN
La formation de cristaux d’ADN est importante pour le développement de nanotechnologies compatibles avec le corps humain mais, aussi, pour permettre des processus d’auto-assemblage précis afin de configurer des dispositifs plus complexes. En effet, «l’ADN est une molécule puissante pour l’auto-assemblage programmé... Au cours de la dernière décennie, des cristaux d’ADN 3D, conçus de manière rationnelle, ont été mis au point, qui peuvent servir d’échafaudages pour le chargement d’enzymes et la détermination de la structure, de dispositifs de filtration et de systèmes de dispositifs contrôlables (Hao, Y. ; Kristiansen, M. ; Sha, R. ; Birktoft, J.J. ; Hernandez, C. ; Mao, C. ; Seeman, N.C. 2017)… Dans ces cristaux, les interactions entre les motifs (hybridations à extrémité collante) sont conçues de manière rationnelle et peuvent être facilement programmées/modifiées sur la base de l’appariement de bases de Watson-Crick… En raison de la programmabilité de l’ADN, ces cristaux d’ADN artificiels constituent un excellent système modèle pour étudier les questions fondamentales de la cristallisation bio-macromoléculaire» (Zhao, J. Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018). Cela fait de l’ADN le matériau idéal pour être administré dans une solution aqueuse, telle que celle du vaccin.
Selon Zhao et son équipe, la création de cristaux d’ADN dépend de la quantité de noyaux de cristallisation – qui sont des molécules d’ADN présentant une structure en “triangle de tenségrité de l’ADN” – ainsi que du facteur temps. Selon leur étude, «la croissance des cristaux dépend de manière critique de la cinétique de cristallisation. En général, peu de noyaux conduisent à peu de cristaux (et de grande taille) ; un taux de croissance lent conduit à une qualité élevée des cristaux. Avec le cristal triangulaire de tenségrité de l’ADN conçu comme système modèle, nous avons émis l’hypothèse que nous pourrions faire croître de grands cristaux en ajoutant un agent qui interfère avec la nucléation et la croissance des cristaux.» Le triangle de tenségrité de l’ADN semble être un élément important pour la conformation des structures cristallines, configurant un réseau complexe d’ADN selon des modèles géométriques prédéterminés – voir la figure 19. Le concept de “Tenségrité” fait référence au principe structurel qui permet de lier des objets dans un réseau tendu – ce qui est applicable aux brins d’ADN qui donnent naissance à ces cristaux. En d’autres termes, l’équilibre du cristal dépend de la tension exercée entre les parties de la chaîne d’ADN qui sont en contact – ce qui est particulièrement vrai aux extrémités des brins du génome – à leur jonction avec le reste des molécules d’ADN.
En outre, il est expliqué que le mécanisme de liaison entre les triangles de tenségrité de l’ADN, ou d’autres structures de l’ADN, est constitué par les extrémités des brins du génome et leurs nucléotides, ce qui permet la croissance, l’orientation, la dimensionnalité et la contrainte d’assemblage des cristaux. L’explication est la suivante : «Le motif de base de l’ADN est un triangle de tenségrité avec une triple symétrie de rotation. Il existe une paire d’extrémités collantes complémentaires, le long de chaque bord du triangle, de sorte que les motifs triangulaires peuvent être associés les uns aux autres dans trois directions indépendantes par une association identique d’extrémités collantes pour former des cristaux 3D. Pour ce système, nous avons conçu un brin en épingle à cheveux (H) de 12 nucléotides (nt) de long. Il contient une extrémité collante de 2 nt de long, qui est identique aux trois extrémités collantes et complémentaire aux trois autres du triangle de l’ADN. La chaîne H peut se lier transitoirement à la surface des cristaux triangulaires en croissance et aux motifs triangulaires, et empêcher les cristaux de continuer à croître et empêcher les motifs triangulaires de s’associer entre eux». Cela démontrerait le contrôle de la production des cristaux, ainsi que l’utilisation des brins H (en épingle à cheveux) dans le vaccin Pfizer, en obtenant des résultats identiques, comme présentés dans les images de la figure 2, 20 et la vidéo 1.
D’autres formes de cristaux d’ADN sont visibles sur la figure 20, selon les brins H, qui agissent comme des agents modulateurs. La comparaison avec les images de microscopie optique, des échantillons de vaccins Pfizer, montre à nouveau une grande similitude. Voir également la figure 18.
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ADN et nanotechnologies à base de graphène
Si l’on considère que la technologie d’auto-assemblage à base d’ADN, qui forme des cristaux identiques à ceux observés dans les échantillons de vaccins de Pfizer, existe, on pourrait considérer que les technologies d’ADN pour les circuits auto-assemblés existent également. C’est ce que révèle l’étude des travaux de (Scalise, D. ; Schulman, R. 2019). Cela est rendu possible par des brins d’ADN synthétiques, qui utilisent des séquences très spécifiques, qui «peuvent détecter des informations dans leur environnement et contrôler l’assemblage, le désassemblage et la reconfiguration du matériau. Ces séquences pourraient servir d’entrées et de sorties pour les circuits informatiques d’ADN, permettant à ces derniers d’agir comme des processeurs d’informations chimiques pour programmer des comportements complexes dans des systèmes chimiques et matériels.» En fait, ils ne pourraient pas seulement traiter des informations chimiques, car il est également ajouté que «Plus précisément, il existe des interfaces qui peuvent libérer des brins d’ADN en réponse à des signaux chimiques, des longueurs d’onde lumineuses, des signaux de pH ou électriques, ainsi que des brins d’ADN qui peuvent diriger l’auto-assemblage et la reconfiguration dynamique de nanostructures d’ADN, réguler des assemblages de particules, contrôler l’encapsulation et manipuler des matériaux, notamment des cristaux d’ADN, des hydrogels et des vésicules. Ces interfaces pourraient permettre aux circuits chimiques d’exercer un contrôle algorithmique sur des matériaux réactifs, ce qui pourrait conduire au développement de matériaux qui croissent, guérissent et interagissent dynamiquement avec leur environnement.» Ces déclarations de Scalise et Schulman sont très éclairantes, car elles confirment que les structures d’ADN synthétique peuvent être utilisées pour créer des circuits, signaler la longueur d’onde de la lumière, développer des dispositifs optoélectroniques et fonctionner avec des signaux électriques. En outre, il fait clairement référence aux cristaux d’ADN, aux hydrogels et aux vésicules qui peuvent être manipulés pour développer un auto-assemblage contrôlé et même une auto-guérison. Cependant, les circuits d’ADN ne seraient pas seulement capables de fonctionner avec des signaux électriques. C’est là que le graphène entre en jeu, car il a été démontré qu’il pouvait être synthétisé dans les aptamères des brins d’ADN, leur conférant des capacités supraconductrices et de réception de signaux électromagnétiques, étant donné leur capacité à absorber les rayonnements et donc les micro-ondes. C’est ce qu’affirme (Wang, L. ; Zhu, J. ; Han, L. ; Jin, L. ; Zhu, C. ; Wang, E. ; Dong, S. 2012) qui a mis au point une méthode pour synthétiser de l’oxyde de graphène GO sur des aptamères d’ADN afin de créer des portes logiques et des multiplexages dans le contexte du développement de circuits d’ADN. Ceci est reflété dans le paragraphe textuel suivant «un système GO/aptamère a été construit pour créer des opérations logiques multiplexées et permettre la détection multiplexée de cibles. L’aptamère de liaison à l’adénosine triphosphate (ABA) marqué à la 6-carboxyfluorescéine (FAM) et l’aptamère de liaison à la thrombine (TBA) marqué à la FAM ont d’abord été adsorbés sur l’oxyde de graphène (GO) pour former un complexe GO/aptamère, ce qui a entraîné l’extinction de la fluorescence FAM. Nous avons montré que l’interaction unique GO/aptamère et la reconnaissance spécifique de la cible de l’aptamère dans le système GO/aptamère/cible étaient programmables et pouvaient être utilisées pour réguler la fluorescence FAM par des portes logiques OR et INHIBIT.» En configurant les aptamères avec de l’oxyde de graphène, on augmente la conductivité électrique de la trame d’ADN cible et on leur permet d’agir comme des transistors de champ, ce qui réduit la consommation d’énergie nécessaire au fonctionnement du réseau de nanocommunications intracorporel.
Si l’on revient aux travaux de (Scalise, D. ; Schulman, R. 2019), il est confirmé à plusieurs reprises que le développement des circuits d’ADN permet d’effectuer les mêmes opérations que les circuits de transistors électroniques, en se référant explicitement à cette question comme suit «Les circuits d’ADN sont un support particulièrement prometteur pour le calcul au sein des systèmes chimiques. Ils sont principalement composés d’oligonucléotides d’ADN (c’est-à-dire de courts brins d’ADN), mais peuvent également contenir des enzymes comme l’ADN polymérase ou les exonucléases (Zhang, D. ; Seelig, D. 2011 | Baccouche, A. ; Montagne, K. ; Padirac, A. ; Fujii, T. ; Rondelez, Y. 2014 | Willner, I. ; Shlyahovsky, B. ; Zayats, M. ; Willner, B. 2008). Les circuits d’ADN peuvent effectuer les mêmes opérations fondamentales que les circuits électroniques à transistors, notamment la logique booléenne et l’arithmétique (6-9), la génération et la synchronisation d’oscillations (10-13) et l’exécution d’algorithmes interactifs». Sur la base de ces déclarations, largement documentées dans la littérature scientifique, il ne semble faire aucun doute que l’électronique traditionnelle, basée sur la technologie CMOS et le silicium, est parfaitement reproductible à l’échelle génétique. Par conséquent, il n’y a aucune raison de douter de la présence de dispositifs micro/nano électroniques basés sur de l’ADN synthétique. Au contraire, tous les indices qui ont été expliqués au cours des recherches de ce blog pointent vers le fait que les vaccins, et Pfizer en particulier, possèdent des nanotechnologies non déclarées.
Scalise et Schulman expliquent très clairement comment fonctionne l’entrée et la sortie de ce type de circuit : «Les entrées des circuits d’ADN sont des brins d’ADN avec des séquences spécifiques qui peuvent transmettre au circuit des informations sur un matériau ou un environnement. De même, les sorties d’un circuit d’ADN sont des brins qui peuvent contrôler les états des matériaux ou des molécules. Les brins d’entrée/sortie des circuits d’ADN sont donc analogues aux ports USB des ordinateurs électroniques, c’est-à-dire une interface standard qui permet au circuit de communiquer avec des périphériques, en l’occurrence des molécules ou des matériaux. L’utilisation d’interfaces d’entrée/sortie modulaires est un principe de conception essentiel qui permet aux mêmes types de circuits d’interagir avec un ensemble diversifié de matériaux. En principe, un capteur d’entrée peut être remplacé par un autre type de capteur pour permettre au même circuit de recevoir et de traiter des informations sur un autre type de stimulus environnemental. De même, les actionneurs de sortie peuvent être intervertis pour permettre au même circuit de piloter différentes réponses.» Cela donne un aperçu de l’interopérabilité des circuits d’ADN, avec des ports de données bien définis.
Le développement de circuits moléculaires ADN auto-assemblés se ferait dans un milieu approprié, à savoir par l’utilisation d’hydrogels. C’est important, car la présence d’hydrogels dans les vaccins avait fait l’objet de discussions, comme l’explique l’entrée sur le spectre Raman 1450 détecté dans les flacons de vaccins, selon le résultat du Dr Campra. En fait, Scalise et Schulman affirment que «les hydrogels sont des matériaux composés de chaînes polymères réticulées dans l’eau. En incorporant de l’ADN dans l’hydrogel sous forme de liaisons transversales (Nagahara, S. ; Matsuda, T. 1996), les propriétés matérielles de l’hydrogel peuvent être manipulées dynamiquement en ajoutant des brins d’ADN pour modifier, rompre ou créer des liaisons transversales. Selon (Lin, D.C. ; Yurke, B. ; Langrana, N.A. 2004), ils ont mis au point des liaisons transversales d’ADN qui pouvaient être dissociées de manière réversible en ajoutant un brin complémentaire à l’un des brins de la liaison transversale. Les hydrogels réticulés par l’ADN peuvent également être raidis ou ramollis par l’ajout d’ADN qui modifie la conformation des liaisons transversales entre un état double brin ou une conformation partiellement simple brin (Lin, D.C. ; Yurke, B. ; Langrana, N.A. 2005) par des réactions de déplacement de brin d’ADN». Cette description est compatible avec les cristaux d’ADN, qui semblent initialement flexibles pendant le processus d’auto-assemblage (voir vidéo 1), mais qui se raidissent à la fin de leur construction, présentant une morphologie cohérente ou rigide.
Un autre détail qui confirmerait que ce qui est observé dans les images de microscopie sont des traces de coloration fluorescente, qui se développeraient dans des structures tridimensionnelles, suite à la modification ou à l’altération de leurs brins d’ADN ou à l’introduction d’oligonucléotides colorés. Dans les termes de (Scalise, D. ; Schulman, R. 2019 | Hao, Y. ; Kristiansen, M. ; Sha, R. ; Birktoft, J.J. ; Hernandez, C. ; Mao, C. ; Seeman, N.C. 2017), il est indiqué que «les réactions de déplacement de brins d’ADN fonctionnent à l’intérieur de cristaux d’ADN tridimensionnels, par exemple, en utilisant des brins d’ADN avec différentes modifications fluorescentes pour changer la couleur d’un cristal». Cette pratique de coloration est rapportée dans plusieurs articles, parmi lesquels il convient de souligner celui de (Rusling, D.A. ; Chandrasekaran, A.R. ; Ohayon, Y.P. ; Brown, T. ; Fox, K.R. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. 2014) où l’on obtient une coloration sarcelle fluorescente, similaire à certaines des traces observées dans les cristaux des échantillons photographiés du vaccin Pfizer, voir figure 22.
En outre, les recherches de Rusling et de son équipe vont tout à fait dans le sens de ce qui a déjà été décrit dans ce billet, affirmant que «l’ADN est une molécule très utile pour l’auto-assemblage programmé d’objets nanométriques en 2D et 3D. La conception de ces structures tire parti de l’hybridation Watson-Crick et de l’échange de brins pour joindre les duplex linéaires en assemblages finis. Les dimensions de ces complexes peuvent être augmentées de plus de cinq ordres de grandeur par l’auto-assemblage de segments cohésifs simple brin (extrémités cohésives). Les méthodes qui exploitent l’adressabilité des séquences des nanostructures d’ADN permettront de positionner de manière programmable des composants dans l’espace 2D et 3D, offrant des applications telles que l’organisation de la nanoélectronique, la direction de cascades biologiques et la détermination de la structure de molécules positionnées périodiquement par diffraction des rayons X. À cette fin, nous présentons un cristal 3D macroscopique basé sur le triangle de tenségrité triple à symétrie de rotation, qui peut être fonctionnalisé par un oligonucléotide formant un triplex sur chacun de ses bords hélicoïdaux (TFO)… En présence de TFO, les cristaux étaient verts, ce qui démontre une fois de plus l’incorporation réussie de TFO dans le cristal.»
En ce qui concerne la possibilité de développer des circuits et des dispositifs électroniques, il existe une abondante littérature scientifique démontrant l’implication directe de l’ADN auto-assemblé pour créer des systèmes informatiques et des nanotechnologies, également au moyen de cristaux d’ADN. On peut en trouver un exemple dans l’article de (Jackson, T. ; Fitzgerald, R. ; Miller, D.K. ; Khisamutdinov, E.F. 2021) qui explique littéralement ce qui suit : «L’intégration des progrès de la nanotechnologie des acides nucléiques et des technologies des aptamères d’acides nucléiques permet de construire de nouvelles nanoparticules qui remplissent des fonctions intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. La programmation avec des molécules biologiques, notamment les acides nucléiques (AN), devient très attrayante en raison de leur potentiel pour des fonctions allant de la simple émission de fluorescence à la régulation sophistiquée de gènes in vivo. Le comportement structurel englobé par leurs séquences peut être prédit et manipulé par des algorithmes de repliement en 2D. Les biopolymères d’acide nucléique qui en résultent peuvent être utilisés comme nanoagents à commande logique pour des applications biomédicales spécifiques. Les aptamères d’ARN fluorogènes peuvent être conçus pour fonctionner comme un circuit unique au sein de portes logiques binaires individuelles. Cela démontre le grand potentiel de la nanotechnologie des acides nucléiques et promet de développer des technologies de pointe, surtout si elles sont combinées en synergie avec d’autres systèmes informatiques et nanorobotiques.» Plus important encore, la recherche scientifique confirme que les dispositifs pourraient être conçus pour “la transduction et le traitement des signaux”, ce qui recoupe les tâches effectuées par les routeurs, les transducteurs, les transducteurs, les contrôleurs, explicitement mentionnées dans le contexte du réseau de nanocommunications sans fil intracorporel. En effet, Jackson et son équipe déclarent que «la nanotechnologie de l’ADN pourrait fournir une approche simple pour concevoir de manière modulaire des interfaces conviviales pour l’entrée/sortie des signaux, dans lesquelles toutes les tâches de transduction, de traitement de l’information et de génération des signaux sont effectuées par des éléments de circuit ADN/ARN. Tout d’abord, comme de nombreuses nanostructures d’ADN sont facilement internalisées par les cellules vivantes et possèdent de nombreux sites de liaison, elles peuvent être utilisées comme vecteurs multifonctionnels pour délivrer des protéines régulatrices et des circuits informatiques ADN/ARN aux organismes vivants. En outre, ces complexes peuvent être guidés vers des organelles ou des organes spécifiques à l’aide de petits ligands, d’aptamères ou de signaux peptidiques préchargés sur des nanostructures d’ADN. Ces systèmes permettraient de concevoir un système universel pour délivrer des instructions génétiques à la cellule en utilisant des modules basés sur des nanostructures d’ADN. Deuxièmement, les nanostructures d’ADN dynamiques incorporant des FNA (acides nucléiques fonctionnels) offrent une grande flexibilité dans la conception des transducteurs de signaux en raison de la disponibilité d’une large gamme de FNA identifiés par SELEX (Systematic Ligand Evolution by Exponential Enrichment) ou extraits de génomes naturels. Ces transducteurs peuvent transformer spécifiquement un signal d’entrée en états binaires numériques (On 1/Off 0) par une commutation structurelle. Les biomolécules régulatrices libérées lors du changement de structure peuvent être relayées et reconfigurées vers des voies ou des circuits de signalisation intracellulaires. Troisièmement, les circuits ADN/ARN peuvent agir directement sur les acides nucléiques produits lors de la transduction des signaux d’entrée pour traiter les informations et prendre des décisions logiques. Quatrièmement, une fois que les signaux ont été traités, l’ADN/ARN peut être utilisé pour générer des signaux de sortie qui sont transmis à un observateur externe dans d’autres cellules.»
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Opérations booléennes et portes logiques avec l’ADN
L’abondance de la littérature scientifique sur la conception de l’arithmétique booléenne, du calcul, des portes logiques avec l’ADN, entre autres, pourrait être qualifiée d’exceptionnelle. Elle est très prolifique, voir quelques références (George, A.K. ; Kunnummal, I.O. ; Alazzawi, L. ; Singh, H. 2020 | Fan, D. ; Wang, J. ; Wang, E. ; Dong, S. 2020 | Xiong, X. ; Xiao, M. ; Lai, W. ; Li, Li. Lai, W. ; Li, L. ; Fan, C. ; Pei, H. 2021 | Zhao, S. ; Yu, L. ; Yang, S. ; Tang, X. ; Chang, K. ; Chen, M. 2021 | Yao, C.Y. ; Lin, H.Y. ; Crory, H.S. ; de-Silva, A.P. 2020 | Zhou, Z. Wang, J. ; Levine, R.D. ; Remacle, F. ; Willner, I. 2021 | Katz, E. 2020 | Lv, H. ; Li, Q. ; Shi, J. ; Fan, C. ; Wang, F. 2021 | Jiang, C. ; Zhang, Y. ; Wang, F. ; Liu, H. 2021 | Liu, Q. ; Zhang, Y. ; Wang, F. ; Liu, H. 2021 | Liu, Q. Yang, K. ; Xie, J. ; Sun, Y. 2021 | Chen, Z. ; Yin, Z. ; Cui, J. ; Yang, J. ; Tang, Z. 2021 | Zhang, J. ; Liu, C. 2021 | Wang, Y. ; Qian, M. ; Hu, W. ; Wang, L. ; Dong, Y. 2020). La plupart des recherches s’accordent à dire que le déplacement des brins d’ADN est la propriété qui permet le développement de modèles de calcul moléculaire. Ainsi, les circuits de commutation numériques, les portes logiques, les commutateurs de flux, permettent d’adapter l’électronique conventionnelle au modèle de calcul moléculaire numérique. C’est ce que confirme, par exemple, (Chatterjee, G. ; Dalchau, N. ; Muscat, R.A. ; Phillips, A. ; Seelig, G. 2017) dans leur article “A spatially localised architecture for fast modular DNA computing”, qui a fait la couverture du blog de la recherche Microsoft annonçant la conception et la production de circuits informatiques à l’échelle nanométrique avec de l’ADN. C’est ce qui ressort des travaux de (Wang, F. ; Lv, H. ; Li, Q. ; Li, J. ; Zhang, X. ; Shi, J. ; Fan, C. 2020) où l’on peut voir comment l’activation et la désactivation des séquences génétiques sont utilisées pour effectuer les calculs arithmétiques, voir figures 23 et 24. Ceci est littéralement extrapolable au fonctionnement avec le code binaire et donc au fonctionnement des transistors et des circuits intégrés, voir quelques exemples (Polonsky, S. ; Stolovitzky, G. ; Rossnagel, S. 2007 ; Ogata, N. 2012 ; Gupta, R.K. ; Saraf, V. 2009 ; Sawlekar, R. ; Nikolakopoulos, R. ; Nikolakopoulos, C. 2020). Yan, S. ; Wong, K.C. 2021 | Bhalla, V. ; Bajpai, R.P. ; Bharadwaj, L. M. 2003 | Zahid, M. ; Kim, B. ; Hussain, R. Amin, R. ; Park, S.H. 2013 | Matsuo, N. ; Takagi, S. ; Yamana, K. ; Heya, A. ; Takada, T. ; Yokoyama, S. 2012 | Lyshevski, MA 2005 | Wang, K. 2018).
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Le projet CORDIS du programme DISCORDE
Malgré l’ironie et la licence que j’ai décidé de prendre dans le titre de cette section, je considère qu’il est juste d’indiquer “DISCORDE” dans un jeu de mots, ce qui nous permet d’assister au projet CORDIS suivant avec l’identifiant 321772, intitulé “Logical re-routing of cellular communication networks by DNA origami nanorobot = Routage logique des réseaux de communication cellulaire par le nanorobot d’origami d’ADN – Résumé du rapport final – DNA NANO-ROUTERS (Routage logique des réseaux de communication cellulaire par le nanorobot d’origami d’ADN)”, voir (CORDIS. Commission européenne. 2019). Le titre est suffisamment explicite pour confirmer qu’il est possible de développer des nanorouters auto-assemblés à base d’origami d’ADN, qui développent un calcul logique. Cela confirme les indications de la présence de nanorouters dans un réseau intracorporel de nanocommunications et de nanodispositifs dans le corps humain, comme expliqué dans Corona2Inspect. En fait, le résumé du projet CORDIS indique littéralement ce qui suit :
«L’objectif du projet nanorouters était de concevoir des robots à l’échelle nanométrique, fabriqués à partir de molécules d’ADN synthétiques, capables de rediriger la communication de cellule à cellule, et d’en faire la démonstration dans un modèle cliniquement pertinent….. Les travaux réalisés dans le cadre du projet ont porté sur la conception de robots ADN synthétisables à grande échelle, entièrement constitués d’ADN (et sans inclure de médicaments chimiques ou de protéines, afin de maintenir l’homogénéité des matériaux et la simplicité de fabrication) ; leur démonstration dans de multiples systèmes de type cellulaire in vitro et, enfin, leur démonstration in-vivo, a été achevée fin 2017».
De cette déclaration dans le rapport final du projet, on déduit que les nanorouteurs existent pour permettre le routage des signaux et des données dans le contexte des réseaux de nanocommunication cellulaires, moléculaires et donc intracorporels, répondant ainsi au besoin de développer et de tester des nanotechnologies qui seraient ensuite introduites dans les vaccins.
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Implications des résultats
La présence de cristaux d’ADN auto-assemblés dans les échantillons de vaccins a des implications importantes pour les recherches en cours. Tout d’abord, leur simple présence dans les vaccins implique l’utilisation de nanotechnologies très avancées, l’auto-assemblage d’objets selon des modèles et des gabarits prédéterminés en laboratoire, et confirme donc une intentionnalité et une finalité préméditées, avec le fait clair et évident qu’il y a de l’ADN artificiel synthétique, qui avec le graphène constitue un nouvel élément non déclaré dans le vaccin. Deuxièmement, cette découverte a des implications importantes pour les axes de recherche qui portent sur l’étude et l’analyse des vaccins, puisqu’il n’y a plus seulement le graphène ou un hydrogel à disposition. Nous devons maintenant envisager la présence de toutes sortes d’objets auto-assemblés avec de l’ADN, ce qui élargit les possibilités de bio-ingénierie dans le corps humain, le développement de biocapteurs et de dispositifs dans le contexte du réseau intracorporel de nanocommunications sans fil. Troisièmement, la présence de cristaux d’ADN ayant été démontrée, elle implique donc, avec une forte probabilité, la présence de circuits et de systèmes informatiques basés sur l’ADN. Comme cela a été démontré, il existe de nombreuses preuves scientifiques qu’il est possible de développer des circuits, des transistors et des dispositifs électroniques avec des brins d’ADN, permettant le fonctionnement de toutes sortes de signaux et de données, notamment de type binaire.
Nanotubes de carbone et nanotubes d’ADN.
D’après les figures 3, 5, 7, 10, entre autres observées dans les travaux de (Zhao, J. ; Zhao, Y. ; Li, Z. ; Wang, Y. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. ; Mao, C. 2018), il est conclu que certains des objets en forme de fibre peuvent ne pas correspondre réellement à des micro/nanotubes de carbone CNT, étant en fait des micro/nanotubes d’ADN. Cependant, on ne peut toujours pas exclure que les nanotubes de carbone n’existent pas dans les vaccins à la suite du pliage de feuilles ou de nanofiches de graphène. En effet, la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins implique, avec une forte probabilité, la présence de nanotubes de carbone à une ou plusieurs parois. Il est donc plausible qu’il y ait à la fois des structures micro/nanotubulaires de carbone et d’ADN entremêlées dans la solution vaccinale. Il importe également de souligner que la littérature scientifique indique de manière claire et convaincante que l’ADN peut s’hybrider, se fonctionnaliser ou se décorer avec le graphène dans des solutions aqueuses (Sun, J. ; Li, Y. ; Lin, J. 2017 | Premkumar, T. ; Geckeler, K.E. 2012 | Peña-Bahamonde, J. ; Nguyen, H.N. ; Fanourakis, S.K. ; Rodrigues, D.F. 2018 | Zhang, H. ; Gruener, G. ; Zhao, Y. 2013), étant très probablement la présence de micro/nanotubes d’ADN et de graphène, un matériau hybride qui obtiendrait les propriétés supraconductrices, électromagnétiques, piézoélectriques des nanotubes de carbone CNT, qui serait facile à assimiler dans les organes cibles du corps humain puisqu’il est constitué d’ADN. En d’autres termes, le rejet des micro/nanotubes serait minimisé (Gangrade, A. ; Stephanopoulos, N. ; Bhatia, D. 2021 | Fu, X. ; Peng, F. ; Lee, J. ; Yang, Q. ; Zhang, F. ; Xiong, M. ; Zhang, X.B. 2020 ) pour pénétrer dans le système nerveux central et les tissus cardiaques, de préférence (Sidharthan, D.S. ; Abhinandan, R. ; Balagangadharan, K. ; Selvamurugan, N. 2021 | Bhattacharya, S. 2021). En effet, il existe des références claires autour du développement de nano-biocapteurs d’ADN, de nanotubes de carbone et de points quantiques de graphène (Qian, Z.S. ; Shan, X.Y. Chai, L.J. ; Ma, J.J. ; Chen, J.R. ; Feng, H. 2014 | Chi, Q. ; Yang, Z. ; Xu, K. ; Wang, C. ; Liang, H. 2020 | Tam, D.Y. ; Ho, J.W.T. ; Chan, M.S. ; Lau, C.H. ; Chang, T.J.H. Leung, H.M. ; Lo, P.K. 2020 | Stephanopoulos, N. ; Freeman, R. ; North, H.A. ; Sur, S. ; Jeong, S.J. ; Tantakitti, F. ; Stupp, S.I. 2015 | Silva, G.A. ; Khraiche, M.L. 2013), mais aussi de l’hybridation d’aptamères d’ADN (Wang, L. ; Wu, A. ; Wei, G. 2018 | Wang, L. ; Zhu, J. ; Han, L. ; Jin, L. ; Zhu, C. ; Wang, E. ; Dong, S. 2012).
Transistors et circuits à ADN, pipelines microfluidiques, circuits QCA.
Selon tous les éléments déjà observés sur les images microscopiques des vaccins, selon la littérature scientifique et en supposant la présence de structures d’ADN synthétique, on peut déduire que les structures rectangulaires, quadrangulaires, plus ou moins complexes dans leur dessin, qui ressemblent à des circuits, sont en réalité, ce que l’on observe en apparence, des circuits intégrés. En effet, selon (Mohanty, N. ; Berry, V. 2008 | Green, N.S. ; Norton, M.L. 2015 | Premkumar, T. ; Geckeler, K.E. 2012), entre autres, le développement de transistors, de bio-dispositifs, de biocapteurs et de circuits intégrés basés sur l’ADN et le graphène est réalisable. En ce qui concerne la détection ou la présence de canalisations microfluidiques, désignées par les puces microfluidiques (Materón, E.M. ; Lima, R.S. ; Joshi, N. ; Shimizu, F.M. ; Oliveira, O.N. 2019 | Ang, P.K. ; Li, A. ; Jaiswal, M. ; Wang, Y. ; Hou, H.W. ; Thong, J.T. ; Loh, K.P. 2011), dans certains objets observés dans les vaccins, est une possibilité qui ne peut pas encore être écartée. En effet, les cristaux et les structures d’ADN ne seraient pas incompatibles avec la conception de telles puces et circuits canalisés. Toutefois, cette approche pose certains problèmes. Dans la plupart des cas, les circuits microfluidiques apparaissent dans la littérature scientifique à une échelle bien plus grande que celle observée dans les échantillons de vaccins. S’il n’est pas impossible de trouver des articles faisant état de conceptions microfluidiques à l’échelle du micromètre, il est vrai qu’elles nécessitent généralement des techniques de traitement et d’analyse relativement classiques faisant appel à des équipements de microscopie, de caméra et d’ordinateur pour l’analyse directe. D’autre part, en toute logique, s’il est possible de créer des circuits et des transistors avec de l’ADN et du graphène, il ne serait pas très logique de construire des puces microfluidiques beaucoup plus grandes que l’échelle moléculaire. C’est le principe d’économie de moyens et de ressources limitées qui doit être pris en compte dans toute inoculation. Par conséquent, il ne semble pas évident que ce que nous observons sont des circuits microfluidiques, bien qu’ils puissent sembler l’être. D’autre part, en ce qui concerne les circuits QCA (Quantum Cellular Automata) décrits dans l’article sur les nanorouteurs, bien que ce qui a été observé suggère un circuit de points quantiques composé de fils et de portes logiques, entre autres composants, il s’agit toujours d’une possibilité réelle et réalisable. En fait, il existe des articles scientifiques qui démontrent la possibilité réelle de créer des circuits à l’échelle moléculaire QCA à partir de nanopatterns d’ADN (Hu, W. ; Sarveswaran, K. ; Lieberman, M. ; Bernstein, G.H. 2005 | Walus, K. ; Karim, F. ; Ivanov, A. 2009 | Dysart, T.J. 2009 | Ma, X. ; Lombardi, F. 2008 | Ma, X. ; Lombardi, F. 2009 | Hänninen, I. ; Takala, J. 2010 | Jang, B. ; Kim, Y.B. ; Lombardi, F. 2008), voir également les travaux de (Chaudhary, A. ; Chen, D.Z. ; Hu, X.S. ; Niemier, M.T. ; Ravichandran, R. ; Whitton, K. 2007) intitulés “Fabricable interconnection and molecular QCA circuits”. En fait, et il est très important de le noter, Chaudhary et son équipe expliquent ce qui suit:
«Les exigences relatives au positionnement des cellules moléculaires QCA sont strictes. Plus que dans toute autre mise en œuvre, les molécules individuelles doivent être placées à des endroits spécifiques avec une précision nanométrique. Ici, nous commencerons à expliquer exactement la précision nécessaire pour réaliser des circuits QCA et pourquoi la construction du crossover sera physiquement difficile à réaliser. Des résultats récents sur les mosaïques d’ADN suggèrent que l’ADN pourrait être utilisé comme une carte de circuit imprimé pour placer des cellules QCA. Une cible viable suppose des mosaïques d’ADN comme échafaudage. Les molécules de QCA se lieraient de manière covalente aux nucléotides modifiés de l’ADN. En supposant que les mosaïques conservent le duplex d’ADN-B, les sites du sillon principal pourraient servir de sites de liaison avec une périodicité de 3,6 Å (unité de mesure des angströms) le long de l’axe de l’hélice et de 2 ou 4 Å perpendiculairement à l’axe de l’hélice (créant le potentiel pour des densités de 1013/cm2). Cet article a une masse critique importante, car de nombreux groupes de recherche cherchent actuellement à créer et à fixer des nanoparticules sur des échafaudages à base d’ADN.»
Cette explication est très dénotative du type de circuit qui pourrait être trouvé dans les échantillons de vaccins. Les auteurs rendent explicite l’utilisation de l’ADN qui agirait comme une plaque ou un échafaudage pour le dépôt de QCAs afin de former un circuit. Ces QCA pourraient être constitués de différents matériaux, dont le graphène, en utilisant des points quantiques de graphène (GQD) ou des points quantiques de graphène. Chaudhary établit également un lien direct avec l’auto-assemblage, comme le montre le paragraphe suivant :
«Les radeaux d’ADN contenant des molécules peuvent être guidés vers certains endroits pour former des systèmes plus complexes. Précédemment, nous avons abordé l’utilisation de la synthèse chimique et de l’auto-assemblage ascendant pour former des circuits imprimés moléculaires. Cette section examine comment ces circuits imprimés seront utilisés pour former des systèmes. L’assemblage dirigé envisage l’utilisation de la lithographie descendante de 10 à 100 nm pour guider le collage des circuits imprimés sur les substrats CMOS. Les interactions entre les circuits imprimés leur permettront de se coupler avec des partenaires spécifiques, tout en maintenant un enregistrement sub-nanométrique d’un circuit imprimé à l’autre».
Pour toutes ces raisons, l’hypothèse de circuits QCA tels que le nanorouteur ne peut pas encore être écartée, au contraire, il est plus probable de la trouver dans le contenu des vaccins. Cependant, la recherche est toujours ouverte et de nouveaux indices, preuves et témoignages peuvent être trouvés pour renforcer les identifications qui ont été faites. Il convient de rappeler aux lecteurs que la nature de la recherche menée est complexe et suit le modèle méthodologique de l’ingénierie inverse. Il s’agit d’enquêtes difficiles dans lesquelles les connaissances s’établissent peu à peu, au fur et à mesure que l’on intègre de nouvelles indications et preuves qui permettent de repenser, dans certains cas, des aspects qui auraient pu être considérés comme acquis. En vertu de ce qui a été dit, on ne peut exclure que le type de circuit utilisé soit simplement des brins d’ADN synthétique encapsulés dans des cristaux d’ADN, pour citer un autre cas qui a une forte probabilité d’être trouvé.
Les circuits d’ADN dans le réseau de nanocommunications sans fil intracorporel.
Selon les travaux de (Zhang, Y. ; Feng, Y. ; Liang, Y. ; Yang, J. ; Zhang, C. 2021), il est possible de créer des «circuits et réseaux d’ADN synthétiques pour le traitement de l’information moléculaire», ce qui correspond au type de communication, “moléculaire”, résultant du fonctionnement des neurones du système nerveux central, selon la documentation scientifique consultée (Balasubramaniam, S. ; Boyle, N.T. ; Della-Chiesa, A. ; Wals, F. ; Mardvoglu, A. ; Botvich, D. ; Della-Chiesa, A. ; Wals, F. ; Mardvoglu, A. ; Botvich, D.). Della-Chiesa, A. ; Walsh, F. ; Mardinoglu, A. ; Botvich, D. ; Prina-Mello, A. 2011 | Suzuki, J. ; Budiman, H. ; Carr, T.A. ; DeBlois, J.H. 2013 | Abd-El-atty, S.M. ; Lizos, K.A. ; Gharsseldien, Z.M. ; Tolba, A. ; Makhadmeh, Z. A. 2018 | Yang, K. ; Bi, D. ; Deng, Y. ; Zhang, R. ; Rahman, M.M.U. ; Ali, N.A. ; Alomainy, A. 2020) et en accord avec l’entrée sur les réseaux de nanocommunication intracorporels et les nanotubes de carbone. En fait, Zhang et son équipe déclarent que «grâce à une réaction de déplacement de brin d’ADN, un circuit d’ADN synthétique peut être utilisé pour réguler avec précision des réseaux génétiques complexes et des biosystèmes moléculaires, par exemple des systèmes de réseaux neuronaux à ADN….. Les circuits d’ADN synthétiques se sont avérés supérieurs dans la simulation et la régulation de la signalisation de l’ADN, en raison de leurs propriétés de programmabilité et de facilité d’utilisation… Une variété de fonctions de bio-ingénierie et de bio-informatique ont été régulées en faisant varier les architectures et les intégrations des circuits d’ADN, comme la simulation de leurs signaux, les commutateurs moléculaires, les cycles catalytiques, l’amplification en cascade et les portes logiques». Avec cette explication, la relation entre le développement des circuits d’ADN, de nanotubes d’ADN et de carbone (graphène) et l’objectif de servir le calcul et la réception de signaux et de données résultant de la communication moléculaire, qui se produit principalement dans le système nerveux central et spécifiquement dans le tissu neuronal du cerveau, devient claire. On peut donc conclure que l’ADN fournit la capacité de calcul du réseau neuronal artificiel qui peut être configuré dans le système nerveux central, en traitant les signaux générés au niveau moléculaire par les neurones, en transmettant et en propageant les informations codées au reste du réseau au moyen de micro/nano-antennes, de micro/nano-rectennes aux propriétés plasmoniques.
Production en masse de structures d’ADN.
L’une des questions que l’on peut soulever autour de la découverte de cristaux d’ADN et de séquences artificielles visant à construire des structures et des circuits est la prise en compte de la production massive et en série de séquences génétiques et de leur introduction dans les vaccins. Cela peut sembler un défi impossible, mais la science a réussi à résoudre ce problème, voir le travail de (Praetorius, F. ; Kick, B. ; Behler, K.L. ; Honemann, M.N. ; Weuster-Botz, D. ; Dietz, H. 2017) intitulé “Biotechnological mass production of DNA origami”. En fait, il explique que l’origami d’ADN synthétique utilisé dans l’auto-assemblage est conçu à partir d’une «nanostructure à partir d’une très longue molécule d’échafaudage simple brin maintenue en place par de nombreux oligonucléotides de base simple brin» et poursuit en déclarant que «seules les molécules d’échafaudage dérivées de bactériophages se prêtent à une production de masse évolutive et efficace ; les brins courts plus courts sont obtenus par synthèse en phase solide ou par des processus enzymatiques coûteux….. nous montrons que des brins uniques d’ADN de longueur virtuellement arbitraire et avec des séquences virtuellement arbitraires peuvent être produits de manière évolutive et rentable en utilisant des bactériophages pour générer de l’ADN précurseur simple brin». Il ne fait aucun doute que la production en masse d’ADN synthétique est réalisable, tant en quantité qu’en efficacité, ce qui est compatible avec la production en masse de millions de vaccins.
Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain.
Bien que la recherche sur l’hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain n’ait pas encore commencé, des indices qui vont dans le sens de cette hypothèse commencent déjà à apparaître. Le fait que le graphène puisse se combiner et s’hybrider avec de l’ADN synthétique dans les vaccins, notamment au niveau des aptamères des brins, permet d’inférer, voire de déduire, qu’il pourrait également le faire avec l’ADN naturel du corps humain. En l’absence de recherches pertinentes et d’examen de la littérature scientifique, il convient de souligner cette possibilité, qui serait extrêmement préoccupante, compte tenu des conséquences, des finalités et des séquelles qu’elle pourrait entraîner. En spéculant sur cette approche, il n’est pas inconcevable que les circuits d’ADN puissent se reproduire comme le reste des chaînes d’ADN du corps, ce qui nécessiterait la technique d’édition de gènes CRISPR-Cas-9 ou CRISPR-Cas-13, ce qui signifierait l’édition de gènes de l’être humain, de le transformer en un dispositif intelligent, connecté au réseau, constituant une source d’informations et de données bio/neurologiques, interactif et stimulé par tout type de signal compatible reçu de l’extérieur, si l’on tient compte des principes du réseau intracorporel de nanocommunications. D’autre part, il ne faut pas oublier le détail de l’hybridation du graphène dans les aptamères de l’ADN qui, en se divisant et en se dégradant en points quantiques, pourraient contaminer l’ADN naturel et le transformer en supraconducteur, étant particulièrement applicable dans le système nerveux du corps humain, le transformant en une autoroute de fibres optiques à travers laquelle les signaux et les données sont efficacement transmis et propagés aux quatre coins du corps. Une autre conséquence très importante est la transmissibilité des modifications génétiques qui ont pu se produire, c’est-à-dire la “contamination génétique”, dont la purification et la réversibilité sont encore inconnues.
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Preuves à venir
L’importance de cette découverte nécessite des tests extraordinaires, qui peuvent être prouvés de manière concluante. Dans cette optique, deux tests scientifiques sont en cours d’élaboration afin de garantir la présence d’ADN dans les flacons de vaccin. D’autre part, un catalogue de séquences d’ADN provenant des articles scientifiques consultés en relation avec les cristaux d’ADN, l’auto-assemblage d’ADN, l’hybridation d’aptamères et d’ADN synthétique, les boucles d’ADN, etc. a été élaboré. Dans ce cas, l’objectif sera de comparer les brins d’ADN recueillis dans la littérature scientifique spécialisée et les vaccins. Grâce à ces tests, nous tenterons de trouver la preuve définitive qui nous permettra d’affirmer, sans aucune marge d’erreur, que les vaccins contiennent de l’ADN synthétique, de la nanotechnologie, de l’auto-assemblage de composants et de dispositifs nano-électroniques, des circuits d’ADN, etc.
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Bibliographie
Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [580]
Comme le second blog de Mik Andersen n’est pas stable sur la Toile, voici une copie de l’original en Espagnol.