Traductions Françaises du Blog C0r0n@ 2 Inspect. Troisième Dossier

Sommaire

Graphène, et micro-technologies, dans les Vaccins Cansino, Pfizer, AstraZeneca, Sinopharm et Sputnik. Une analyse de Mik Andersen

L’oxyde de graphène est capable de franchir la barrière hémato-encéphalique et d’agir directement sur le cerveau

Réponses de Mik Andersen aux questions des internautes au sujet du graphène et des nano-technologies dans les injections CoqueVide

Injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère : géo-ingénierie solaire et rôle des aérogels

Le système de routage CORONA pour les nano-réseaux

Le spectre Raman 1450 dans les flacons de vaccin c0r0n@v|rus. Une revue de la littérature scientifique

Identification de motifs dans le sang de personnes vaccinées : graphène cristallisé

L’oxyde de graphène influence la nucléation de la glace dans l’atmosphère

Brevets portant sur l’inclusion de graphène dans les engrais et les produits phytosanitaires : Partie 1. Pseudomonas aeruginosa

Brevets portant sur l’inclusion de graphène dans les engrais et les produits phytosanitaires : Partie 2

Nanopulpes de carbone ou formes de vie synthétique?

L’oxyde de graphène en agriculture, à l’origine du coronavirus ?

L’oxyde de graphène et la stimulation du cerveau par des ondes électromagnétiques capables d’impacter le mental humain

Identification de motifs dans le sang des personnes vaccinées : les micro-nageurs

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Graphène, et micro-technologies, dans les Vaccins Cansino, Pfizer, AstraZeneca, Sinopharm et Sputnik. Une analyse de Mik Andersen

Dans ce document en PDF de 23 pages, Mik Andersen, auteur du blog Corona2Inspect, a passé en revue l’article de Monteverde, Femia et Lafferreire, intitulé “Flacons de vaccins sous le microscope : Cansino, Pfizer, AstraZeneca, Sinopharm, Sputnik”. Cette étude démontre clairement la présence de graphène dans les échantillons de vaccins. 

En raison de l’intérêt suscité par l’analyse des images de cette étude, Corona2Inspect partage ses commentaires, qui peuvent aider à clarifier l’identité des objets observés. 

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L’oxyde de graphène est capable de franchir la barrière hémato-encéphalique et d’agir directement sur le cerveau

Référence

“Reduced graphene oxide induces transient blood–brain barrier opening: an in vivo study”. Journal of nanobiotechnology, 13(1), pp. 1-13. [402]

Faits

La barrière hémato-encéphalique, connue sous le nom de BHE, est une barrière qui protège le système nerveux central des agressions physiques et chimiques. Les chercheurs veulent mettre au point une méthode permettant de surmonter cet obstacle. L’article présente une méthode appropriée pour surmonter transitoirement la barrière de la BHE avec l’oxyde de graphène réduit “rGO”, car il réduit la tension paracellulaire de la BHE.

Les auteurs affirment que «l’internalisation par le cerveau dépend de ses caractéristiques physico-chimiques, telles que la morphologie, la composition, l’uniformité, la taille et la charge de surface». Ainsi, l’oxyde de graphène réduit est un nanomatériau idéal pour pénétrer la barrière BBB car son épaisseur n’est que d’un atome et la disposition de ses feuilles est hexagonale, sa structure est donc 2D.

Il est également précisé que «le rGO est le produit du traitement de l’oxyde de graphène dans des conditions réductrices (chimiques, thermiques, micro-ondes, photochimiques, photothermiques ou microbiennes/bactériennes) afin de réduire sa teneur en oxygène». Cela confirme les recherches de (Chen, Y. ; Fu, X. ; Liu, L. ; Zhang, Y. ; Cao, L. ; Yuan, D. ; Liu, P. 2019) dans lesquelles il est indiqué que l’application de micro-ondes sur l’oxyde de graphène GO provoque la désoxygénation de l’oxyde de graphène, ce qui entraîne une réduction de l’oxyde de graphène rGO et des radicaux libres, comme expliqué dans l’entrée sur l’absorption par le graphène des ondes électromagnétiques 5G.

Un autre résultat intéressant de l’étude est que «le rGO est resté stable dans l’eau distillée stérile pendant plus d’un mois sans former d’agglomérats ni modifier ses caractéristiques physico-chimiques. Cette suspension aqueuse relativement stable de rGO peut être attribuée à la répulsion électrostatique due aux feuilles chargées négativement». Ce résultat peut être très pertinent, car il indique que pendant 30 à 40 jours, la solution d’oxyde de graphène réduit dans de l’eau distillée stérile peut être conservée en bon état. Il fournit également d’autres détails pertinents sur les conditions de l’expérience, comme le pH de la solution qui était de 7,6 à 25ºC. Il convient de mentionner que le pH approximatif du corps humain, en particulier celui du sang, varie approximativement entre 7,35 et 7,45. Selon (Bai, H. ; Li, C. ; Wang, X. ; Shi, G. 2010) l’oxyde de graphène GO est le nanomatériau le plus approprié pour la libération contrôlée de médicaments, en raison de sa propriété à réagir au pH, comme le démontre le développement de leur hydrogel nanocomposite. Cela permet de déduire que le mécanisme par lequel l’oxyde de graphène pourrait libérer sa charge (si elle existe) est le pH lui-même. Il convient de mentionner que les perturbations/déséquilibres du pH dans le cerveau peuvent entraîner des troubles psychiatriques, plus précisément un pH faible, selon (Prasad, H. ; Rao, R. 2018). En fait, Prasad indique que «l’acidification endosomale excessive dans les astrocytes ApoE4» est à l’origine des déséquilibres de pH et des problèmes de suppression de la protéine bêta-amyloïde. Il est intéressant de noter que la taille des particules de graphène et la valeur du pH affectent l’hydrophilie ou l’affinité avec les milieux aqueux, selon (Hu, X. ; Yu, Y. ; Hou, W. ; Zhou, J. ; Song, L. 2013) et peuvent fonctionner à des valeurs de pH variables entre 4 et 12, voir figure 1, en fonction du “potentiel zêta” ou de l’intensité du champ électrique statique. Ce champ électrique statique pourrait être modifié par les ondes électromagnétiques de la 5G.

Fig.1. Modulation du pH de l’oxyde de graphène réduit rGO en fonction du potentiel zêta. (Hu, X. ; Yu, Y. ; Hou, W. ; Zhou, J. ; Song, L. 2013)

Il est également pertinent de noter l’apparence de la feuille d’oxyde de graphène réduit, selon les auteurs «la feuille de rGO vue par HRTEM (figure 2b) avait une surface relativement importante et sa morphologie ressemblait à un rideau fin». Cette image ressemble beaucoup à l’image obtenue par (Campra, P. 2021) dans la figure 3.

Fig.2. Image HRTEM montrant une partie de la morphologie du rGO. (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Ferreira, M.S. ; Catharino, R.R. ; da Cruz-Höfling, M.A. 2015)
Fig.3. Microscopie optique d’un échantillon de vaccin Pfizer (Campra, P. 2021).

Lors des tests sur les souris, la méthode MALDI-MSI (spectrométrie de masse MALDI, un instrument utilisé pour cartographier l’oxyde de graphène réduit dans le cerveau) a été utilisée et a «confirmé le schéma de fragmentation du rGO» dans la figure 4. Pour ce faire, «des images composites ont été construites en cartographiant la distribution du rGO dans le cerveau du rat au fil du temps… les points jaunes représentent l’abondance des ions de masse moléculaire», ce qui constitue la preuve définitive de cette réussite scientifique.

Fig.4. Coupe coronale de tissu cérébral de rat et densité de rGO dans le cerveau (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Ferreira, M.S. ; Catharino, R.R. ; da Cruz-Höfling, M.A. 2015).

De plus, «le MALDI-MSI a démontré sa distribution spatiale et temporelle. Dans les 15 minutes suivant l’administration, le rGO était distribué dans tout le cerveau, la concentration la plus élevée se situant principalement dans deux régions cérébrales, le thalamus et l’hippocampe». Cela est préoccupant, car la neurotoxicité a été démontrée dans ces zones sensibles (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Batista, Â.G. ; Nyúl-Tóth, Águilas, Águilas, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Batista, Â.G. ; Nyúl-Tóth, Á. ; da Cruz-Hofling, M.A. 2016ab | Baldrighi M. ; Trusel M. ; Tonini R. ; Giordani S. 2016 | Le, H.T. ; Sin, W.C. ; Lozinsky, S. ; Bechberger, J. ; Vega, J.L. ; Guo, X.Q. ; Naus, C.C. 2014).

La déclaration suivante est très remarquable : «la grande taille du rGO (342 ± 23,5 nm) n’était apparemment pas un obstacle à son entrée dans le cerveau. Très peu de rapports ont décrit la présence de grandes particules (~ 200-400 nm) à l’intérieur du cerveau».

En conclusion de l’article, la méthode permettant de surmonter la barrière hémato-encéphalique BBB est présentée, voir figure 5. Les particules de rGO administrées par voie intraveineuse chez le rat provoquent un affaiblissement paracellulaire, comme décrit, générant la perturbation nécessaire pour que le rGO puisse pénétrer à travers la fente interendothéliale/intercellulaire, communément utilisée pour la communication intercellulaire.

Méthodologie expérimentale pour démontrer l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique à base de nanomatériaux d’oxyde de graphène réduit rGO (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Ferreira, M.S. ; Catharino, R.R. ; da Cruz-Höfling, M.A. 2015).

Les chercheurs soulignent également que «nous devons encore évaluer les effets toxicologiques des rGO». Ils mettent toutefois en garde contre l’utilité potentielle de ce médicament pour le traitement de «troubles cérébraux qui ne répondent normalement pas aux traitements conventionnels en raison de l’imperméabilité de la BHE». Dans des études ultérieures, les auteurs ont reconnu les problèmes de toxicité générés par le rGO, lire (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Batista, Â.G. ; Nyúl-Tóth, Á. ; da Cruz-Hofling, M.A. 2016ab).

Commentaires

Il est démontré que l’oxyde de graphène administré par voie intraveineuse est capable de circuler dans le cerveau par la circulation sanguine et de franchir facilement la barrière hémato-encéphalique (BHE), ce qui lui permet d’adhérer aux tissus et aux cellules du cerveau, même si la taille des feuilles d’oxyde de graphène réduit (rGO) a un grand diamètre moyen de 23,5 nanomètres. La possibilité de travailler avec des feuilles de rGO de taille relativement importante faciliterait la production de masse du matériau, ce qui pourrait réduire les coûts de fabrication.

La distribution du rGO dans le cerveau est très large, et non concentrée sur un point particulier. L’article ne traite pas du temps d’élimination du composé, ni de sa dégradation et, en tout état de cause, les aspects toxicologiques n’ont pas été pris en compte. Cela souligne l’intérêt scientifique actuel pour le développement de méthodes invasives dans le cerveau, justifié par la recherche de traitements contre la neurodégénérescence et les maladies neurologiques. Toutefois, l’omission des études de toxicité est particulièrement frappante, car la littérature antérieure à la publication de l’article mettait déjà en garde contre les dommages et les conséquences pour les cellules du cerveau au contact de l’oxyde de graphène et de ses dérivés, voir (Zhang, Y. ; Ali, S.F. ; Dervishi, E. ; Xu, Y. ; Li, Z. ; Casciano, D. ; Biris, A.S. 2010). Par la suite, l’investigateur principal de l’article mentionné dans cette entrée, Mendonça, M.C.P., avec d’autres collègues, a publié une enquête sur le revêtement de l’oxyde de graphène réduit pour améliorer sa tolérance, sans obtenir de résultats positifs, arrivant à la conclusion qu’il induit de toute façon une toxicité (Mendonça, M. C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Batista, Â.G. ; Nyúl-Tóth, Á. ; da Cruz-Hofling, M.A. 2016ab).

Il faut considérer que l’oxyde de graphène GO et ses dérivés, comme le rGO, sont des nanomatériaux toxiques et dangereux pour toute personne ou animal, qui peuvent entraîner des effets indésirables importants, notamment sur le cerveau (Rauti, R. ; Lozano, N. ; León, V. ; Scaini, D. ; Musto, M. ; Rago, I. ; Ballerini, L. 2016), voir l’analyse et les commentaires à ce sujet dans l’entrée sur l’interaction de l’oxyde de graphène avec les cellules du cerveau.

Avec tous les faits rapportés, il n’y a aucune raison de justifier l’utilisation de techniques expérimentales sur le corps humain, pas même la vaccination avec le GO et ses dérivés, à cause du c0r0n@v|rus, car elle peut avoir des conséquences imprévisibles sur la santé des personnes, voire mortelles.

Bibliographie

Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [403]

Réponses de Mik Andersen aux questions des internautes au sujet du graphène et des nano-technologies dans les injections CoqueVide

Question. Votre découverte nous permet-elle de savoir si ceux qui ont été inoculés avec ces substances peuvent transmettre quelque chose à des personnes non inoculées? Aujourd’hui, nous voyons dans les écoles que des enfants vaccinés tombent malades et semblent transmettre la maladie. Merci beaucoup.

Réponse.  Pour autant que l’on sache, il ne devrait pas y avoir de contagion, puisque le composé inoculé est fondamentalement inorganique, c’est du graphène, de l’hydrogel.  Il ne semble pas y avoir de virus ou d’élément vivant, du moins d’après les analyses et les études microscopiques. Ce qui se passe, c’est que l’injection altère le système immunitaire et provoque les problèmes de toxicité déjà expliqués dans le blog, ainsi que la capacité d’absorber les radiations EM, ce qui se traduit également par des émissions pour les personnes qui les entourent… Il faut penser que, dans une certaine mesure, les personnes inoculées deviennent de petites antennes, connectées à une grille de réseaux EM. Cela pourrait causer des problèmes de sensibilité aux EM chez les personnes non vaccinées. Les micro-ondes EM affectent également la santé des personnes non vaccinées, provoquant parfois des symptômes semblables à ceux de la grippe ou du rhume.

Question. Bonjour, comment fonctionne le processus d’auto-assemblage, c’est-à-dire comment les “pièces” s’assemblent-elles pour former des puces, des nano-routeurs et des nano-antennes ? Je comprends que l’ADN a cette fonction mais pas comment il la remplit, merci.

Réponse. Merci beaucoup pour votre question. C’est très intéressant. Nous sommes encore en train d’étudier comment cela fonctionne, mais en résumé, d’après ce que nous savons jusqu’à présent, il existe plusieurs formes d’auto-assemblage, ce qui demande encore du temps pour discerner exactement de laquelle il s’agit. 

Par exemple, l’auto-assemblage épitexial repose sur le dépôt d’un matériau (hydrogel, graphène…) sur une matrice d’ADN artificielle. Imaginez un gabarit avec une structure prédéfinie, sur lequel le matériau est collé, formant des rainures – qui seront les fils des circuits, voire la carte PCB ou les différentes couches de l’appareil.

Un autre cas est l’auto-assemblage dirigé, où des chaînes d’ADN artificielles adsorbent ou ajoutent du graphène et d’autres matériaux (hydrogel par exemple) pour former progressivement la structure prédéfinie avec le facteur de forme donné. Ainsi, il est construit en pièces qui s’assemblent comme s’il s’agissait d’un Lego.

Question. Serait-il possible d’identifier la ou les fréquences sur lesquelles un nano-réseau se développe ? Regroupez-les par segments et ils ont sûrement une norme (Thz ?). Si nous pouvions disposer d’une telle référence et faire résonner ces composants avec un tel niveau de surexcitation, serait-il possible de désactiver les nanorobots ?

Réponse. Bonjour Gus, merci beaucoup pour votre question, en principe on sait qu’il s’agit d’une gamme THz, mais aussi GHz. Le problème est qu’il existe une certaine variabilité de la fourchette selon certains articles scientifiques ou autres. C’est là que nous avons besoin d’ingénieurs électroniciens, et de chercheurs spécialisés dans ce domaine particulier, capables de réaliser des expériences in vivo avec des volontaires vaccinés. 

Quant à la surexcitation, c’est une possibilité mais elle est complexe et sensible pour la santé des personnes, car ce sont des fréquences qui peuvent causer des dommages chez les personnes inoculées. Les chercheurs travaillent dans ce sens.

Ils tentent également d’établir des liens avec les nano-réseaux afin de déterminer le mécanisme exact de demande-réponse, les commandes, les paramètres et les données avec lesquels il fonctionne. Certains chercheurs font des progrès, mais ils sont lents. C’est tout nouveau pour nous.

Question. Bonjour, je voudrais savoir s’il existe des preuves scientifiques que les personnes vaccinées propagent la protéine Spike ou d’autres choses ?

Réponse. Bonjour Miguel Ángel, merci pour votre question. En principe, nous pouvons être rassurés, car pour l’instant nous n’avons aucune preuve que la protéine Spike existe, ou du moins elle n’a pas été trouvée au microscope. Il est arrivé, comme pour le coronavirus lui-même, que les autorités sanitaires répondent qu’elles n’ont aucune preuve de séquençage, d’isolement et de purification. La seule chose qui puisse se produire est que nous recevons des doses de rayonnements non ionisants par différentes voies. Les personnes inoculées avec du graphène absorbent les radiations électromagnétiques et peuvent également en émettre, ce qui signifie que si vous êtes à proximité, vous pouvez recevoir, dans une certaine mesure, cette influence EM.

Question. Grâce à l’ingénierie bio-informationnelle, vous pouvez en fait donner, produire des maladies chez les humains par le biais de codes (est-ce ce qu’ils veulent dire quand ils parlent de versions de virus générées par ordinateur?) radiotransmis et capturés par les nanotechnologies dans le corps (décrites par Carlos Delgado) lorsqu’ils sont activés par des CEM spécifiques. 

Vous pouvez également récupérer des informations pour étudier plus avant la variabilité individuelle de la susceptibilité à travers le monde.

L’information provenant du corps est envoyée grâce à GO qui potentialise le message pour atteindre votre téléphone puis l’antenne la plus proche.

Il faut 26GHz pour obtenir le plus haut niveau de réponse de GO ?

Réponse. Bonjour Rachel, merci beaucoup pour vos questions. Si cela ne vous dérange pas, je vais répondre en anglais pour ne pas faire d’erreur… 

En ce qui concerne la première question, je pense avoir compris que la bio-informatique a été appliquée pour concevoir une construction ou un modèle de virus (virtuel, qui n’existe pas) pour justifier l’existence du Coronavirus, étant donné que les autorités sanitaires n’ont pas séquencé, isolé, purifié, le virus. En d’autres termes, ce que nous avons, c’est une conception ou un prototype qui n’existe pas dans la réalité. Par conséquent, tout ce qui a été fait, à partir de la version officielle, est fondé sur un modèle qui n’est pas réel. Je pense que c’est ce que Ricardo voulait dire. En fait, il existe un logiciel avec lequel on peut concevoir (comme un architecte le ferait avec les plans d’une maison) la structure des virus, leurs molécules et leurs composants, même leur ADN et leur ARN. 

Quant à la question de la variabilité individuelle ou globale, je ne comprends pas si vous faites référence au virus et à la séquence. Si c’est le cas, il y a un site web où on peut y accéder, mais comme je l’ai déjà dit, ce n’est pas une construction réelle, c’est une construction virtuelle inventée pour l’occasion, comme l’ont indiqué les autorités sanitaires dans leurs réponses sur le séquençage réel et la culture du virus.

Quant à la question de l’information sur le corps envoyée au GO. Ce que nous savons des images microscopiques, c’est qu’il y a des composants d’un réseau de nano-communications. Il s’agit d’un matériel de dispositifs électroniques à l’échelle micro-nano qui est capable d’enregistrer des données physiologiques et neuronales de personnes inoculées, selon la littérature scientifique. Les informations sont composées d’impulsions binaires, selon le modèle TS-OOK, et organisées en code binaire pour être retransmises à l’extérieur du corps. Dans ce contexte, les dispositifs électroniques peuvent être constitués d’oxyde de graphène ou de graphène ainsi que d’hydrogel. L’antenne la plus proche à l’extérieur du corps est un téléphone portable, ce qui est conforme au modèle de nano-réseau de la littérature scientifique.

En ce qui concerne le 26GHz, il faut dire que c’est la fréquence à laquelle les nano-réseaux ou le matériel inoculé dans le corps fonctionnent le mieux, selon la littérature scientifique – ce qui est cohérent avec les plans de mise à niveau du réseau 5G, comme nous le découvrons et l’observons.

Question. J’aimerais savoir s’il existe des travaux qui expliquent le mécanisme d’administration de la bonne quantité de matériaux et de leurs modèles d’ADN correspondants à chaque dose, ou s’il en existe d’autres, quels sont les processus ou mécanismes de sélection et d’élimination des matériaux excédentaires, tant au niveau des modèles que des matériaux ?

Réponse. Je crains qu’il ne soit pas facile de trouver les travaux que vous recherchez, mais nous savons, grâce à la littérature, que dans une solution homogène et bien répartie, on peut injecter suffisamment pour former les structures et le matériel nécessaires. Il n’est pas surprenant que l’inoculation répétée aide à atteindre cet objectif. Notez que dans une goutte de vaccin, il peut y avoir des milliers de transistors graphène/hydrogel (qui sont les cubes que nous avons vus sur les images).

Question. Comment mesurez-vous la quantité de graphène dans chaque inoculum? Est-il possible de se connecter au nanoréseau d’un inoculé et d’avoir un retour d’information ou un contrôle sur celui-ci ?

Réponse. Bonjour Wmr4u, merci pour votre question. Il est difficile de savoir comment. Je ne suis pas dans le domaine de l’analyse clinique, même si cela peut sembler être le cas. Cependant, il pourrait être mesuré ou calculé en moyenne à partir d’une analyse de sang. Bien que ce ne soit pas précis non plus, puisque nous savons que l’hydrogel de graphène peut adhérer à la paroi de l’endothélium et des vaisseaux sanguins, il y aurait donc une partie qui ne circule pas dans la circulation sanguine. 

Quant à la deuxième question… malheureusement, nous n’avons pas encore pu nous connecter. Nous y travaillons. Il semble bien que certaines données aient été interceptées via le téléphone portable (qui fait office de passerelle dans le nano-réseau en communication avec l’individu inoculé). Cependant, je suis à peu près sûr que le feedback et le contact sont possibles, et même qu’il existe des commandes ou des stimuli spécifiques pour agir sur le nanoréseau. Nous l’étudions et d’autres chercheurs et spécialistes du domaine doivent se joindre à nos travaux. 

Question. Bonjour avant tout, merci pour votre travail ! Mes questions sont les suivantes. J’ai pu suivre certaines adresses MAC de personnes vaccinées et, bien que je n’en sois pas sûr à 100×100, j’ai eu l’impression qu’elles variaient, quelque chose comme des IP dynamiques, est-ce possible ?

Ces derniers jours, deux de ces personnes ont cessé de donner cette adresse MAC, ou du moins dans l’espace physique où elles se trouvaient, mon téléphone portable n’a pas pu les reconnaître comme d’habitude. Est-il possible que l’organisme de ces personnes ait dégradé un ou plusieurs des composants responsables de l’émission de l’adresse MAC ?

Réponse. Bonjour Siscu, oui en effet, ce sont des MACs dynamiques. Selon la littérature, les MACs du nano-réseau sont dynamiques et peuvent varier. Cela est dû à plusieurs facteurs, comme ils l’expliquent : a) Pour l’économie d’énergie, ce qui implique qu’une adresse MAC est utilisée pendant un certain temps, mais pas constamment ou tout le temps, ce qui implique des périodes de fluctuation, en fonction du moment où il est nécessaire de transmettre ou de recevoir des données ; b) Selon les articles examinés, il peut y avoir un nombre indéterminé de nano-routeurs qui seraient chargés de transmettre les données. Chaque nano-routeur aurait une liste limitée de MAC, ce qui donne un éventail assez large de possibilités ; c) On suppose qu’il existe de petits modules RAM QCA qui servent à stocker les adresses MAC et IP, ce qui confirme les autres déclarations de la littérature scientifique sur les MAC dynamiques et leur utilisation séquentielle/aléatoire. 

Quant à la deuxième question, nous entrons dans le domaine de la spéculation. Il peut s’agir d’une ou plusieurs des causes suivantes : a) Manque d’alimentation. Lorsque l’énergie manque dans le nano-réseau, elle n’est pas émise ; b) Le nano-réseau a reçu une opération quelconque qui limite ou réduit son activité ; c) Le corps dégrade le nano-réseau ; e) Le nano-réseau peut avoir été reprogrammé pour fonctionner avec un téléphone mobile particulier et n’est plus visible pour les autres téléphones (bien que cela semble tiré par les cheveux, il est possible, afin de mieux couvrir le phénomène bluetooth, qu’il s’agisse d’un ajustement a posteriori) ; f) Le nano-réseau peut avoir été reprogrammé pour fonctionner avec un téléphone mobile particulier et n’est plus visible pour les autres téléphones (bien que cela semble tiré par les cheveux, il est possible, afin de mieux couvrir le phénomène bluetooth, qu’il s’agisse d’un ajustement a posteriori).

Question. Je vous remercie pour tout ce que vous faites pour découvrir la vérité. Je voudrais vous demander si vous ou quelqu’un de votre connaissance étudie s’il y a une technologie (technologique ou transgénique) dans les fioles qui peut modifier (ou interagir avec son propre ADN), de sorte qu’en plus du transhumanisme technologique, elle est aussi transgénique. Autre question : les nano-antennes peuvent-elles être activées par le graphène et chargées par le champ électrique normal du corps ou par l’environnement de fond sans qu’il soit nécessaire d’utiliser la RF ?

Réponse. Bonjour Cristina, malheureusement je ne connais personne qui ait réalisé l’étude que vous indiquez. Ce que nous savons de la littérature scientifique, c’est que s’il s’agit d’un vaccin à ARNm, il doit utiliser la technologie CRISPR et cela implique la modification génétique de l’ADN ou ce qui revient au même du génome humain… si vous regardez l’article suivant des créateurs du vaccin Pfizer https://link.springer.com/article/10.1007/s40588-021-00162-y et une interview qu’ils ont donnée, publiée dans le magazine Time https://time.com/5927342/mrna-covid-vaccine/ ils indiquent qu’ils utilisent la technique CRISPR-cas13 et que nous savons que c’est une technique de modification génétique.

En d’autres termes, il se pourrait que le vaccin puisse également servir à la modification génétique des êtres humains, en l’absence de spécialistes du secteur effectuant leur expérimentation et leur analyse du vaccin sous ces aspects. 

S’il est vrai, sur la base du premier rapport technique de Campra, que l’ARNm doit être présent dans une faible proportion, des chercheurs indépendants doivent mener des études plus approfondies pour clarifier cette question.

Ce qui est clair, c’est que le graphène, l’hydrogel et d’autres matériaux sont présents, ce qui explique la quasi-totalité des effets observés, ce qui devrait suffire à mettre fin à la campagne de vaccination et à clarifier les responsabilités.

Quant à la question des nano-antennes, il est fort probable qu’elles soient constituées de graphène et d’hydrogel. Cela signifie que le graphène est le matériau constitutif. Elles n’ont pas besoin d’être activés, elles fonctionnent immédiatement après l’auto-assemblage lorsqu’il y a un champ électromagnétique ou micro-ondes EM. Il n’en faut pas beaucoup plus.

Question. Est-il possible pour les personnes vaccinées de se connecter à une IA ?

Réponse. Merci Miguel Ángel. La vérité, c’est qu’à l’heure actuelle, c’est un peu outrancier comme déclaration. Je m’explique car peut-être n’est-elle pas exprimée de manière adéquate. Le nano-réseau qui est installé avec les inoculations transmet des données et très probablement, aussi, reçoit des données ou des injonctions qui permettent la neuro-modulation/stimulation, entre autres choses. La question est de savoir ce qu’il advient des données qui sont transmises par le nano-réseau. Selon la littérature scientifique, les données biomédicales de l’individu, et son activité neuronale/cérébrale, seraient transmises via un téléphone mobile proche de lui servant de passerelle et acheminées à leur tour vers un serveur distant qui compilerait toutes les informations dans une grande base de données. 

Cette base de données sert de Big-data, à des fins multiples… par exemple, votre identification, traduisant les stimuli des neurotransmetteurs de votre cerveau en sentiments, comportements, pensées. Ce qui semble relever de la science-fiction est possible grâce à l’apprentissage automatique et c’est là qu’intervient l’IA. L’IA est nécessaire pour interpréter les données collectées (qui sont super-massives). L’IA dispose d’une base de données d’exemples, où certains modèles de données signifient une émotion, une pensée, un mot, une idée, une action… etc. En d’autres termes, l’IA n’est pas si intelligente, elle se nourrit de modèles et d’algorithmes mathématiques (descente de gradient) qui comparent les nouveaux ensembles de données des personnes inoculées, pour classer leur pensée. Je donnerai une explication plus détaillée dans de futurs articles de blog, mais j’espère avoir clarifié la situation.

Question. Les virus sont-ils des morceaux d’ADN, d’arn ou de protéines? Et si oui, comment peuvent-ils être transmis ?

Réponse. Je ne suis pas un spécialiste dans ce domaine, mais d’après ce que j’ai lu et sur la base de la littérature scientifique, il semble qu’il existe des virus à ADN et des virus à ARN, il y a plusieurs types de virus, du moins selon les systèmes de classification utilisés en médecine. Quoi qu’il en soit, le problème abordé ici n’est pas la transmission de virus, mais le problème du graphène dans les vaccins et, heureusement, il ne se propage pas. Si la question porte sur le problème de la protéine Spike, je pense que vous pouvez également être assuré que, bien que certains articles scientifiques y fassent référence, il s’agit de la théorie officielle, celle-là même qui assure l’existence d’un Coronavirus qui n’a pas encore été isolé, purifié ou cultivé….. Nous n’avons aucune preuve de l’existence du Spike. Par contre, le graphène et la micro-nano technologie ont été découverts au microscope.

Question. J’ai vu qu’il était mentionné que, bien que le graphène se dégrade en 3 mois environ, une grande partie de celui-ci a en fait été ASSIMILÉE dans le corps, étant cumulée et non complètement éliminée. Qu’en pensez-vous ?

Réponse. Merci Lynck. Cette question soulève plusieurs problèmes. Il est possible qu’une partie se dégrade (il existe une littérature scientifique qui le suggère), mais il ne faut pas oublier qu’outre le graphène, le vaccin contient d’autres composants, notamment un hydrogel. L’hydrogel peut avoir l’effet anti-dégradation du graphène, qui l’empêche d’être phagocyté, dégradé et éliminé par le système immunitaire de l’organisme. Il existe une littérature sur le PEG et d’autres hydrogels qui possèdent cette fonction. En outre, l’hydrogel peut adhérer aux tissus de notre corps, à l’endothélium, aux parois des vaisseaux sanguins, ce qui facilite l’adhésion du matériau. Je pense qu’il est plus complexe qu’on ne le pensait au départ et que son retrait est assez problématique…

Question. Bonjour, tout d’abord je tiens à vous féliciter car vous êtes l’information la plus pertinente que j’ai pu trouver pour comprendre toute cette histoire chinoise que nous vivons depuis deux ans. Ma question :

Quinta Columna a enquêté sur l’origine possible de l’effet magnétique des inoculants, un effet que mon père, pédiatre, et son praticien ont prouvé, en partant de l’idée qu’il pouvait être causé par des nanoparticules de ferritine, bien que finalement ce soit le graphène. D’après ce que j’ai lu, il n’était pas déraisonnable de le penser. Je pense qu’il existe une littérature scientifique expliquant son utilisation dans la neuromodulation.

Il est possible que ces nanoparticules de ferritine aient déjà été utilisées pour neuromoduler les Nord-Coréens et les Chinois afin de parvenir à la paix sociale ???? Le cas des premiers est particulièrement suspect car ils ont pleuré leur leader bien-aimé et leur comportement est inhumain…, nous savons déjà que la guerre froide était un théâtre et que le transfert technologique entre les deux camps a eu lieu…, et la Chine et la Corée n’ont été rien d’autre qu’une répétition sociale de ce qui est à venir….. Il se pourrait que nous soyons face à quelque chose qui a déjà été plus que prouvé et que l’élimination du sens critique, de la libre pensée et de l’agressivité lévantiste des êtres humains pourrait être très simple en stimulant le cerveau à une certaine fréquence. ? Salutations.

Réponse. Bonjour Javier. Merci pour votre question. Quant à savoir s’il s’agit de la ferritine… je n’en suis pas sûr, des analyses complémentaires sont peut-être nécessaires. Mais le graphène décomposé en points quantiques génère des champs électromagnétiques pertinents. Si l’on tient compte du fait qu’il existe également des rectènes… https://corona2inspect.blogspot.com/2022/01/backup-rectenas.html, il semble évident qu’il s’agit de la cause la plus probable de l’effet magnétique. 

Pour ce qui est de la Chine et de la Corée du Nord, si c’est la technique qu’ils ont utilisée pour parvenir à la paix sociale… Je ne sais pas. Mais cela ne serait pas surprenant. Ce n’est pas pour rien que l’expérience de Wuhan est là… Ce ne serait pas hors de question… mais nous ne pouvons pas l’affirmer. En tant que scientifique, je préfère me concentrer sur ce que nous avons sous la main, ce que nous pouvons voir et analyser. Bien sûr, il semble clair et nécessaire que le public exige l’arrêt immédiat des plans d’inoculation et demande des analyses, des explications et des comptes.

En ce qui concerne l’agressivité et la liberté par rapport à la neuromodulation, oui (théoriquement) il serait possible de modifier le comportement des gens ou du moins de l’influencer en utilisant les nano-réseaux et les matériaux qui ont été observés dans les images prises sur les échantillons de vaccins, selon ce qui a été lu dans la littérature scientifique.

Question. Bonjour, merci pour l’invitation. Profitant de ce grand espace, je voudrais poser la question suivante : Quel est le composant des vaccins qui conduit à la génération de cancers soudains en phase terminale, ou est-ce seulement l’oxyde de graphène qui a déjà été prouvé dans les études scientifiques que vous avez menées ?C’est parce que j’ai vu le cas de plusieurs personnes atteintes de cancers soudains et/ou de rumeurs au cours des 3 derniers mois.

Réponse. Bonjour Edwin, merci beaucoup pour votre question. Pour autant que nous le sachions, d’après les travaux de Campra, il s’agit d’oxyde de graphène, de graphène, mais il y a aussi des indications d’aluminium, de brome, de silicium, et peut-être d’autres matériaux. Les travaux se sont concentrés sur le graphène, car c’est le matériau qui pourrait effectivement provoquer les principales phénoménologies. Mais il n’est pas exclu qu’il y ait d’autres matériaux. C’est pourquoi il est si important que de plus en plus de scientifiques et de chercheurs se joignent à l’analyse des flacons et que le public exige l’arrêt immédiat de l’inoculation, demande des explications, des responsabilités et davantage d’analyses pour clarifier la vérité jusqu’à ses conséquences ultimes. 

Donc, oui, il pourrait y avoir d’autres matériaux qui pourraient causer le cancer en plus de l’oxyde de graphène, ou du graphène. Veuillez noter que la liste des dommages de l’oxyde de graphène (https://corona2inspect.blogspot.com/p/toxicidad-del-oxido-de-grafeno-en-el.html) et la liste des dommages des nanotubes de carbone, également observés dans les échantillons de vaccins (https://corona2inspect.blogspot.com/p/danos-y-toxicidad-de-los-nanotubos-de.html)… Cytotoxicité, mutagenèse (cancer), inflammation et immunosuppression, mort cellulaire, dommages et altérations de l’ADN (génotoxicité), libération de radicaux libres, toxicité pulmonaire, dommages aux systèmes reproducteur et urinaire…

Question. J’ai lu que c’est ce que disent les laboratoires. Mais on ne peut pas du tout croire ces gens. Il y a encore beaucoup de recherches à faire sur ces questions et il y a peu de volonté et de soutien pour ceux qui en sont atteints. Donc nous devons attendre.

Réponse. Une recherche indépendante est en effet nécessaire. Pour commencer, il faut expliquer et fournir les preuves extraordinaires de la culture et de l’isolement réels (et non fictifs ou simulés par ordinateur) du SRAS-CoV-2. Cela n’a pas été fait et les autorités sanitaires (plus de 140, dont l’Espagne) ne reconnaissent pas le véritable séquençage, l’isolat, la culture ou le laboratoire qui pourrait en être l’auteur. Pour cette seule raison, tout devrait être arrêté. Il n’est pas acceptable d’aller de l’avant avec un processus d’inoculation d’un “vaccin” expérimental pour prévenir un supposé virus qui n’a pas été identifié, sauf par le biais d’une construction virtuelle-digitale-simulée – mais non réelle. Tout le reste coule de source. S’il n’y a pas d’isolement et de séquençage du virus, quel est l’intérêt des PCR ? Le fait est que tout cela sert à inoculer des “vaccins” dont la composition n’a pas été déclarée. C’est tout sauf démocratique et transparent et c’est une violation de la sécurité et de la santé des gens, de toute la population.

Question. J’ai plusieurs questions : 1. pour la neuromodulation et l’irradiation aiguë : a) peut-on le faire à distance (300-500m) ou faut-il être plus près ? B) Peut-on le faire avec la technologie 4G ou 4G+ ou uniquement avec la 5G ?

Réponse. Bonjour Isa Bella. Merci pour votre question. La neuromodulation et les irradiations peuvent être effectuées à la distance indiquée, même à 1000 mètres. Notez que les antennes 5G sont placées à des distances inférieures à 2 km pour obtenir une bonne couverture. D’après ce que j’ai lu sur les réseaux 5G, l’un des défauts est que pour assurer une bonne couverture avec les bandes THz, les antennes doivent être placées à des distances plus courtes. En d’autres termes, ils offrent plus de largeur de bande et de vitesse, mais la distance de transmission est plus courte. Pourtant, 2 km est une distance plus que suffisante. En ce qui concerne la question de la 4G. Oui, vous pouvez, gardez à l’esprit que le graphène inoculé a la capacité d’absorber le rayonnement micro-ondes EM de toutes les bandes 2G, 3G, 4G. Ce qui se passe, c’est que sa capacité d’émission et de réception est quelque peu diminuée, mais qu’il est possible de lui envoyer des signaux et que le phénomène MAC-bluetooth peut être observé dans les réseaux 4G et 4G+.

Question. Bonjour à tous ! Je voulais connaître ce courant d’opinion qui dit que le fait d’être en contact avec des vaccinés émet une radiation qui produit des symptômes tels que des maux de tête, des malaises…etc.

Réponse. Bonjour Jaco, merci pour votre question, je pense qu’elle a été répondue plus tôt. Selon ce qui a été observé dans les images prises sur les échantillons de vaccins, il y a du graphène / oxyde de graphène dans ces vaccins, qui est un matériau avec des propriétés supraconductrices spéciales et l’absorption de rayonnement électromagnétique (micro-ondes). Ainsi, une personne inoculée avec ce matériau devient un récepteur de rayonnement, mais aussi un émetteur, ce qui pourrait expliquer les symptômes que vous indiquez.

Question. Comment puis-je prouver à ma famille et à mes amis qu’aucun virus n’a été isolé à Wuhan en cultivant des cellules saines et que les postulats de Koch n’ont pas été respectés (sans leur faire lire l’intégralité de l’article scientifique de Wuhan et sans me fier aux vidéos de non-scientifiques qui l’expliquent) ?

Réponse. Bonjour Abel, merci beaucoup pour votre question. C’est difficile, car ils ont déjà généré un enchevêtrement d’informations (une jungle) qu’il est difficile de démêler. Pourtant, il existe des moyens simples de l’analyser… Si vous regardez l’image suivante du site de l’OMS, il y a un lien vers la séquence génétique supposée du virus… Si vous accédez au lien, il vous mènera à l’image suivante qui est le portail où une image avec la séquence supposée du virus est montrée. La séquence du virus est basée sur seulement 3 articles scientifiques. Si vous les analysez, aucune ne s’intitule “séquençage sars-cov-2”, elles parlent de thérapies potentielles, d’un virus respiratoire en Chine et du transcriptome du virus, selon un logiciel de simulation avec lequel le virus est composé (virtuellement ou simulé). C’est tout ce qu’il y a à faire. Maintenant, laissez-les comparer le graphique de la 2e et 3e image avec celui d’une séquence réelle d’un virus, d’une 4e et d’une 5e image. Vous remarquerez qu’il y a une petite différence dans la complexité du séquençage…

Question. Quelle est la fonction des codes Mac dans les inoculés si l’oxyde de graphène finit par les tuer ? Ou bien jouent-ils à la sélection naturelle et ceux qui survivent peuvent être contrôlés à distance ? Quelles sont les caractéristiques des mac-codes des inoculés par rapport à ceux d’autres appareils électroniques ?

Merci pour votre travail.

Réponse. Bonjour Liliana, merci pour votre question. Les adresses MAC observées par Bluetooth ne posent pas de problème pour la santé, mais elles posent un problème pour la vie privée et la liberté des individus, car elles montrent que la personne a été marquée, identifiée… L’oxyde de graphène et les matériaux qui composent les nano-réseaux, avec lesquels les gens ont été inoculés, constituent un autre problème. Comme il est toxique, il peut causer des dommages à des degrés divers en fonction de multiples facteurs (santé, niveaux de glutathion, problèmes antérieurs).

En ce qui concerne la question de la sélection naturelle… c’est du domaine de la spéculation, mais oui, on pourrait penser que celui qui survit aura été sélectionné pour passer à autre chose… Si l’on considère que le nano-réseau permet un contrôle neuro-physiologique important des personnes, je suppose que ce serait une caractéristique souhaitable pour tout gouvernement dans le monde… (Je suppose, étant donné les déclarations eugénistes de certains champions du mondialisme dévoyé, tels que Gates, et. al…). 

Quant aux adresses MAC par rapport à d’autres adresses MAC d’autres dispositifs, il a été observé que certaines se réfèrent au dispositif électronique, par exemple TV, Smartphone, Smart Watch, Routeur, Cartes, etc… et d’autres ne sont liées à aucun dispositif connu. Voir les recherches de l’équipe française.

Question. Merci beaucoup pour l’excellent travail que vous faites. Quelques questions pour la FAQ. À quoi a servi la nanotechnologie trouvée dans les injections dans les recherches disponibles et à quoi pensez-vous qu’ils vont l’utiliser (pour pouvoir contrôler l’esprit des personnes vaccinées comme ils l’ont fait avec les souris, etc.)? Pour les personnes à qui l’on a injecté le poison, selon les études scientifiques publiées, quel est le meilleur moyen d’éliminer l’oxyde de graphène de l’organisme et de détruire la nanotechnologie qu’on leur a implantée sans leur consentement ? Encore une fois, merci beaucoup. N’oubliez pas que vous sauvez des vies !

Réponse. Bonjour Josep, merci beaucoup pour vos questions. Je les trouve très pertinentes. 

1) Selon la littérature scientifique, la nanotechnologie observée dans les échantillons des flacons de vaccin serait utilisée pour surveiller les paramètres physiologiques-neuronaux des personnes, c’est-à-dire leur état de santé et leur pensée ou activité cérébrale – le tout lié non seulement à l’obtention de données, mais aussi à la neurostimulation et à la neuromodulation. Elle est également liée à la régulation sans fil de la sécrétion de neurotransmetteurs, qui affecte des aspects plus avancés du contrôle, par exemple les émotions, les sentiments, l’apprentissage, le conditionnement, etc. Si l’on envisage d’utiliser cette technologie avec des techniques de big data et d’IA, il est probable que l’on disposera, déjà, de modèles de données permettant de comparer et de déduire l’état ou la situation du psychisme des gens. En ce sens, il existe des technologies d’information d’apprentissage automatique et des algorithmes tels que la descente de gradient qui aident à résoudre ce problème. En d’autres termes, l’être humain se métamorphose en un produit d’information, qui sert à contrôler, diriger et influencer son propre comportement, affectant tous les aspects de sa vie. En d’autres termes, cela signifie une perte potentielle des libertés et du libre arbitre. 

2) C’est une bonne question, elle est encore étudiée dans ce sens, il n’y a pas de réponse claire. Il existe des études scientifiques qui décrivent une élimination naturelle du graphène. Cependant, nous devons garder à l’esprit qu’il existe d’autres matériaux et composants. Il n’y a pas que le graphène. Dans cette optique, on suppose et on spécule qu’une partie est retirée, mais qu’il existe une autre partie qui pourrait adhérer à la paroi de l’endothélium et des vaisseaux sanguins sous l’influence de l’hydrogel qui est également étudié. L’hydrogel a pour fonction de protéger le matériau graphène, entre autres, en facilitant son auto-assemblage, son adhérence au tissu, et en empêchant sa phagocytose et son élimination par le système immunitaire (tout ceci est indiqué dans la littérature scientifique). Nous devons donc supposer que tout n’est pas éliminé. La période de dégradation est peut-être plus longue que 6 mois pour les composants qui adhèrent à nos tissus. Il est également vrai qu’il existe des articles scientifiques traitant de l’élimination de ces composants qui sont à l’étude, mais il n’y a toujours pas de résultat ou de solution claire à ce problème. Nous recommandons une alimentation saine, un mode de vie sain, la consommation de produits naturels, l’éloignement des radiations…

Question. Comment les nanorobots de l’inoculation peuvent-ils coexister et interagir avec les différents organes du corps humain et le cerveau ? Peuvent-ils être éliminés d’une quelconque manière ou sont-ils présents à vie dans l’organisme une fois inoculés ?

Réponse. Bonjour Isa Bella, merci pour vos questions. Il y a déjà été répondu. Je vais essayer d’être bref. Tout d’abord, plutôt que des nano-bots, bien qu’ils puissent être considérés comme tels, il s’agit de nano-nœuds ou de composants d’un nano-réseau. Des nageurs, des micro/nano-antennes, des micro/nano-rectennes, ce qui pourrait être des micro/nano-routeurs, des nanotubes de carbone à paroi simple et multiple, des microsphères mésoporeuses, des structures plasmoniques rectangulaires et quadrangulaires… ont été identifiés. Ce qui a été découvert et ce qui reste à découvrir est très complexe et très vaste. Chacun a sa fonction, une fois qu’il est inoculé dans le corps. Ce que nous savons, c’est qu’ils servent de capteurs biométriques, biomédicaux et neuronaux de la psyché de l’individu concerné. Les informations obtenues par ces dispositifs sont envoyées de l’intérieur du corps vers l’extérieur dans une architecture complexe de réseaux, avec lesquels les données sont transmises en TS-OOK / binaire, mais peuvent également être reçues. Ces nanoréseaux permettent la surveillance, le neurocontrôle, la neuromodulation, la neurostimulation et peuvent même affecter les organes cibles auxquels ces composants sont fixés.

En ce qui concerne la deuxième question, une partie du matériau peut être enlevée, mais nous pensons qu’elle ne peut pas l’être entièrement, car elle adhère aux parois de l’endothélium et des vaisseaux sanguins en raison de l’effet de l’hydrogel qui a également été trouvé à côté du graphène.

Question. Les inoculés sont-ils une source de “puissance” ou de données sur le fonctionnement du cerveau, ses connexions à un superordinateur quantique qui peut interagir avec eux?

Réponse. Je ne le crois pas. Je pense que cela vient plutôt d’une vision sensationnaliste du problème actuel. Bien que, comme tout le reste, il y ait une part de vérité. Je pense avoir répondu aux questions précédentes, mais je vais résumer. L’IA et les Big-data ont une utilité et une application dans les grands serveurs où sont stockées les informations et les données des personnes inoculées, à travers leurs nano-réseaux. Il existe des programmes d’apprentissage automatique qui peuvent utiliser des algorithmes mathématiques et statistiques pour comparer les informations obtenues avec les données du big data afin de déduire le comportement, les pensées, les sentiments, les mots et les idées de chaque personne. Il est possible de savoir que l’activation de certaines parties du cerveau correspond (par les données assimilées dans le big-data DB) que dans un certain pourcentage des occasions il se réfère à X concept, pensée, ou idée. Ce processus peut être mis à l’échelle pour scanner et surveiller les personnes. Cependant, si cela se produit, cela se produit ou se produit sur un serveur distant. C’est ce que l’on appelle, si j’ai bien compris, la connexion à l’IA, qui a en fait pour tâche distincte de déduire et de faciliter l’interprétation des données recueillies par le nanoréseau.

Question. Cela signifie que les traitements qu’ils suivent pour le covid dans les hôpitaux sont nocifs, alors comment agir et où aller si cette pathologie devait se produire ? Mon ami ne voulait donc pas aller à l’hôpital. Merci beaucoup.

Réponse. Je n’ai pas dit que les traitements sont nocifs, peut-être y a-t-il d’autres personnes plus autorisées que moi à le dire. Dans ma réponse, j’ai dit que la solution saline physiologique contient du graphène. Si vous recevez une solution saline physiologique, par exemple, à l’hôpital, elle peut contenir du graphène, qui peut provoquer l’effet d’empoisonnement. Cela peut également se produire avec d’autres médicaments, comme les anesthésiques. C’est pourquoi il est si important d’exiger des autorités que cette affaire fasse l’objet d’une enquête, que des chercheurs et des scientifiques indépendants enquêtent sur cette affaire jusqu’au bout et jusqu’aux conséquences finales. Je n’ai pas de réponses pour vous dire où aller… Je peux seulement dire qu’avec les informations que nous avons, nous devons être méfiants et exiger des réponses des autorités, et surtout nous devons être prudents et faire attention.

Question. Au sujet du communiqué de Biologistas por la verdad.

Réponse. L’une des premières choses à faire en science est d’enseigner comment distinguer les connaissances scientifiques des connaissances non scientifiques. Pour ce faire, le plus important est de comparer les informations provenant de sources scientifiques fiables, et pas seulement une ou deux. Des dizaines d’articles scientifiques sont analysés et contrastés. Et à partir de la lecture et de l’analyse de tous ces articles, toutes les conclusions, méthodes et résultats les plus pertinents et importants par rapport à l’objet de l’étude sont cités, raisonnés, analysés et critiqués. Tout ce qui est lu et analysé est cité afin de justifier les déclarations faites et émises dans la recherche. Tout travail scientifique qui n’inclut pas ou ne prend pas en compte ces considérations ne peut être considéré comme une information fiable.

En plus de ce qui précède, les affirmations d’un chercheur doivent être étayées par des arguments et des fondements qui peuvent être confrontés à la littérature scientifique. Si tel n’est pas le cas, elle ne peut être considérée comme une connaissance scientifique fiable. C’est pourquoi je tiens à signaler aux lecteurs de ce petit groupe qu’ils doivent se méfier de toute information qui ne comporte pas d’appareil critique, de bibliographie, de citations, de références, d’analyse contrastive et d’argumentation claire. Corona2Inspect, contrairement à d’autres sources, fournit des informations scientifiques selon la méthode scientifique et conformément à la phase documentaire de l’information. Les informations présentées par le blog https://web.archive.org/web/*/https://corona2inspect.blogspot.com/ (désormais censuré pour empêcher tout débat et toute diffusion scientifique) ne peuvent être comparées aux opinions de groupes ou d’individus qui ne fournissent pas de travaux comparables. 

C’est important lorsqu’il s’agit de développer l’esprit critique et de savoir discerner les informations pertinentes, proches de la vérité, de la désinformation qui vise à intoxiquer et à déformer les faits. N’oubliez pas que la situation actuelle de censure et de persécution du message contraire à la version officielle est une guerre de l’information. Rappelez-vous que dans les guerres, la première chose à mourir est la vérité. S’il vous plaît, essayons d’être cohérents, sérieux et de réfléchir à l’information, ne contribuons pas à nous intoxiquer avec des informations non fondées, des protéines Spike non prouvées dans les flacons de vaccins, avec des théories d’hydroxyde de graphène qui se réfèrent en fait à de l’oxyde de graphène, et d’autres affirmations dépourvues du travail documentaire, de l’analyse, de l’appareil critique, des preuves, de la reproductibilité, de l’exhaustivité et de l’examen appropriés dans la littérature scientifique.

Note de Xochi: depuis des mois, en Espagne, l’organisation de l’opposition contrôlée “Biologistas por la Vida” a tout fait pour détruire la réputation de la Quinta Columna et d’InfoVacunas – à savoir, en niant effrontément que les injections CoqueVide puissent contenir des nano-particules et, en particulier, l’oxyde de graphène. Pourquoi? Cui bono?

Le principal défaut de l’article est qu’il prend pour acquis la composition du vaccin de Pfizer et le séquençage du virus, sans considérer qu’il s’agit d’une construction virtuelle simulée et non d’un séquençage réel du virus. L’article ne fournit aucune preuve ou expérimentation de l’existence de la protéine Spike et aucune preuve ou expérimentation par laquelle les auteurs l’ont séquencée. Les auteurs ne fournissent pas, non plus, de preuves microscopiques de la présence de la protéine Spike – c’est-à-dire d’images microscopiques pouvant être étudiées ou analysées. Toute l’argumentation de l’article repose sur une comparaison du brin d’ARNm censé se trouver dans les vaccins (et pas nécessairement dans les vaccins actuels, mais dans les premières versions), par rapport au codage de la protéine Spike. Pour proférer les affirmations qui sont faites, la culture et le séquençage réels du virus devraient être effectués et les preuves pertinentes devraient être fournies. De même, il convient de fournir des preuves de l’existence de la protéine Spike, et non des constructions virtuelles ou simulées. Aucun chercheur n’a la possibilité de vérifier la véracité de ce qui est affirmé, dans le document, ou de reproduire les analyses et les expériences qui mènent aux conclusions présupposées. Une section méthodologique doit être fournie, expliquant étape par étape comment les tests, qui démontrent la présence de la protéine Spike et son séquençage, ont été obtenus. Compte tenu du fait que le Ministère de la Santé ne dispose pas de “culture du SRAS-CoV-2” et “ne dispose pas d’un registre des laboratoires ayant une capacité de culture et d’isolement pour les tests”, il s’avère fondamental que l’existence du virus, et de la protéine Spike, soit d’abord démontrée de manière adéquate en fournissant des preuves graphiques et des méthodologies pouvant être soumises aux principes de reproductibilité et de falsifiabilité. Tant que ces conditions fondamentales ne seront pas remplies, les déclarations au sujet de la protéine Spike, et du SRAS-CoV-2, ne pourront être maintenues. 

Tout au contraire, la présence de graphène dans les vaccins a été dûment accréditée, justifiée et démontrée, sur la base d’images obtenues par microscopie, confrontées à la littérature scientifique et à des échantillons de matériel acquis spécifiquement pour la comparaison, vérifiés par la technique Micro-Raman. Par conséquent, les résultats obtenus par l’expérimentation directe des vaccins sont reproductibles, et vérifiables, par tout autre chercheur, ayant été confirmés par divers chercheurs et groupes en Allemagne, en France, au Chili, etc. Le Dr. Campra a présenté la documentation, les images, les vidéos et la méthodologie claire de son expérimentation dès le premier instant, sans réserves ni préjugés, exposant de manière transparente les preuves scientifiques de son analyse. 

En résumé, Corona2Inspect ne peut pas considérer la théorie présentée dans le rapport des Biologistes pour la Vérité – à savoir “Biologistas por la Verdad”, en Espagne – comme valide tant qu’ils n’auront pas présenté une preuve irréfutable de la présence du virus et de la protéine Spike dans les vaccins, en fournissant une méthodologie reproductible selon la méthode scientifique et des preuves graphiques de microscopie, de culture et d’isolement, non pas par l’intermédiaire de tiers/tiers intéressés (les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes), mais par des moyens techniques et un personnel réellement indépendant. Sinon, toute conclusion tirée de ces prémisses ne peut être considérée comme valide.

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Injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère : géo-ingénierie solaire et rôle des aérogels

Référence. 

“Diamond-doped silica aerogel for solar geoengineering”. Août 2021.  [384]

Comme le précise Mik Andersen, dans cet essai d’août 2021: Il semble y avoir un lien entre la gestion de la pandémie COVID-19 et les urgences climatiques. La géo-ingénierie solaire sera-t-elle la prochaine pandémie à l’ordre du jour mondial ?

Introduction

Après avoir analysé la capacité d’adsorption du CO2 de l’oxyde de graphène, ses implications pour la nucléation de la glace dans l’atmosphère et sa dispersion plus que probable dans les gaz d’échappement des avions, il est clair que les effets de condensation provoqués par les turbines à réaction génèrent de la vapeur d’eau, un ensemencement des nuages et plus que probablement une contamination par des résidus de suie et d’oxyde de graphène, ce qui expliquerait la présence d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie. Les recherches se poursuivent pour découvrir le lien entre l’oxyde de graphène et l’injection d’aérosols dans l’atmosphère. Sachant que l’oxyde de graphène “GO” a des propriétés d’adsorption du CO2, il semblerait logique de le disséminer dans l’atmosphère pour faire face à sa réduction et en même temps générer des nuages avec lesquels provoquer un refroidissement de la température et par la suite des précipitations et l’obtention de ressources en eau. En bref, il s’agit du contrôle du climat, ou géo-ingénierie climatique. Pour cette raison, une recherche de la littérature scientifique sur les techniques de géo-ingénierie utilisant le graphène “G” ou l’oxyde de graphène “GO” a été lancée. 

Une recherche générale sur le web conduit à une nouvelle très frappante, passée inaperçue depuis plusieurs années. Il s’agit du projet “hypothétique” de géo-ingénierie pour lutter contre le changement climatique (Berardelli, J. 2018). Plus précisément, il fait écho à l’article scientifique de (Smith, W. ; Wagner, G. 2018) qui propose «Une flotte de 100 avions effectuant 4 000 missions autour du monde par an pourrait aider à sauver le monde du changement climatique….. Avions pulvérisant de minuscules particules de sulfate dans la basse stratosphère à environ 60 000 pieds. L’idée est de contribuer à protéger la Terre d’une quantité suffisante de lumière solaire pour aider à maintenir les températures à un niveau bas. L’étude des coûts est l’un des objectifs de l’article, qui précise d’ailleurs que “les chercheurs ont examiné dans quelle mesure il serait pratique et coûteux de lancer un hypothétique projet de géo-ingénierie solaire dans 15 ans». C’est à ce moment-là que l’on utilise le terme de “géo-ingénierie solaire”, qui est une intervention climatique par le biais de la libération de nanoparticules dans l’atmosphère pour réduire l’incidence du rayonnement solaire, en évitant l’effet de réfraction solaire, cité par le projet SCoPEX financé par Bill Gates (Figueroa, A. 2021 | Neslen, A. 2017). C’est un paradoxe, car le rejet de nanoparticules dans l’atmosphère pour lutter contre le réchauffement climatique, en plus d’être une intervention directe dans les processus climatiques naturels, peut entraîner des effets secondaires imprévisibles. En fait, (Moreno-Cruz, J.B. ; Keith, D.W. 2013) affirment que «l’incertitude concernant le SRM (Solar Radiation Management) est élevée et les décideurs doivent décider s’ils doivent ou non s’engager dans des recherches qui peuvent réduire cette incertitude». En d’autres termes, les chercheurs ne connaissent pas les effets de la géo-ingénierie solaire, mais ils soulignent qu’il s’agit d’une solution rapide et bon marché pour compenser le changement climatique, comme le laissent entendre les mots suivants : «La gestion du rayonnement solaire (SRM) présente deux caractéristiques qui la rendent utile pour gérer le risque climatique : elle est rapide et bon marché….. Nous introduisons le SRM dans un modèle économique simple du changement climatique conçu pour explorer l’interaction entre l’incertitude de la réponse du climat au CO2 et les risques du SRM face à l’inertie du cycle du carbone…» et nous terminons par la conclusion suivante «Le SRM est précieux pour gérer le risque climatique, non pas en raison de son faible coût, mais parce qu’il peut être mis en œuvre rapidement si nous constatons que les impacts climatiques sont élevés, une urgence climatique». Cela suggère que les chercheurs proposent des recherches et des tests de géo-ingénierie solaire en dépit de l’ignorance des effets néfastes qu’ils peuvent provoquer, en se basant sur des estimations de coûts/avantages, sans preuve scientifique. Curieusement, sept ans plus tard, certains problèmes commencent à être découverts, comme la possibilité que «la géo-ingénierie solaire provoque un refroidissement excessif» (Abatayo, A.L. ; Bosetti, V. ; Casari, M. ; Ghidoni, R. ; Tavoni, M. 2020), de sorte que l’utilisation de cette technologie, selon les auteurs, «permet aux pays d’influencer unilatéralement la température mondiale. La géo-ingénierie solaire pourrait déclencher des interventions conflictuelles de la part de pays qui préfèrent des températures différentes ; la théorie économique suggère que les pays qui souhaitent un climat plus frais l’imposent aux autres. D’autres pays pourraient réagir par des interventions de contre-ingénierie». Il est intéressant de noter que de nombreux auteurs considèrent comme acquise la possibilité de déduire le climat par le biais de la géo-ingénierie solaire et déplacent le débat vers le domaine géopolitique, la “gouvernance mondiale”, voir (McLaren, D. Corry, O. 2021 | Reynolds, J.L. 2019 | Jinnah, S. ; Nicholson, S. ; Flegal, J. 2018 | Bunn, M. 2019 | Lloyd, I.D. ; Oppenheimer, M. 2014).

Faits

Les chercheurs (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021) supposent dans leur résumé que l’injection d’aérosols dans la stratosphère est développée pour réduire l’incidence du rayonnement solaire. À cet égard, on utilise des aérosols sulfatés, qui présentent l’inconvénient de dégrader la couche d’ozone et d’agir comme des sources d’absorption du rayonnement infrarouge IR. Cette affirmation est la suivante : «Bien que l’injection d’aérosols dans la stratosphère soit l’une des techniques de géo-ingénierie solaire les plus prometteuses, les aérosols sulfatés, qui sont suggérés pour une telle application, présentent des inconvénients importants tels que l’absorption des IR et la dégradation de l’ozone. Il est nécessaire de mettre au point de nouveaux matériaux pour une telle application qui présentent une diffusion ascendante importante, avec une absorption non IR pour permettre un effet de refroidissement». Cette explication suppose également que la géo-ingénierie solaire a également pour objectif de réduire la température ou de produire un effet de refroidissement, de sorte que cette méthodologie s’inscrit clairement dans le contexte de la lutte contre le changement climatique.

Fig.1. Schéma de géo-ingénierie pour réfléchir le rayonnement solaire avec un aérogel de silice, substituable par un aérogel d’oxyde de graphène (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021).

Le composé qu’ils proposent pour les projets d’injection d’aérosols est l’aérogel de silice hautement poreux (une propriété qu’il partage également avec l’oxyde de graphène, voir l’entrée sur l’adsorption et l’absorption du CO2), qui lui permet d’accueillir des nanoparticules de diamant. Cela confère au matériau une capacité de réflexion diffuse, pour réduire ou réfléchir le rayonnement solaire. En outre, les auteurs reconnaissent que d’autres aérogels pourraient être utilisés pour de tels effets, notamment les aérogels de graphène. Cette affirmation est formulée comme suit : «Des structures composées d’aérogels de silice avec différentes nanostructures de carbone sous forme de nanotubes, de nanofibres et de graphène ont également été développées (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018). En outre, les aérosols PM2,5 (particules inférieures à 2,5 μm) sont considérés comme nocifs pour l’homme lors de la respiration. Toutefois, il est suggéré que les particules d’aérosol se situent dans une fourchette de taille de ~ 0,1-1 μm afin de minimiser les risques pour la santé.» Ceci est très intéressant, puisque les auteurs sont conscients des risques pour la santé et recommandent néanmoins une taille de l’ordre de 0,1-1 μm, qui est en fait facilement inhalée et dépasse la barrière de tout masque (Sharma, S. ; Pinto, R. ; Saha, A. ; Chaudhuri, S. ; Basu, S. 2021). 

L’utilisation de l’oxyde de graphène comme élément constitutif de l’aérogel de silice mérite d’être explorée plus en détail. Les auteurs citent l’article de (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018) qui traite d’autres nanomatériaux dérivés du carbone possibles, notamment «les nanotubes de carbone, les nanofibres de carbone, le graphène et les aérogels de carbone». Le rapport de plus de 70 pages comporte une section traitant spécifiquement du graphène et de l’aérogel d’oxyde de graphène, indiquant que «l’utilisation de l’oxyde de graphène (GO) est justifiée par le fait que, contrairement au graphène de surface nu, il possède un grand nombre de groupes contenant de l’oxygène (groupes époxyde et hydroxyle, par exemple), qui améliorent la solubilité du graphène dans les solvants et l’interaction avec le réseau de silice». Cela signifie que l’oxyde de graphène est un matériau approprié pour la production d’aérogel pour la géo-ingénierie solaire. En effet (Lamy-Mendes, A. ; Silva, R.F. ; Durães, L. 2018), dans leurs conclusions indiquent que «Bien que les aérogels de silice aient des propriétés exceptionnelles, telles qu’une faible densité apparente et conductivité thermique, et une surface spécifique élevée, un effort a été fait au cours de la dernière décennie pour obtenir des matériaux avec des caractéristiques distinctives par rapport aux aérogels de silice natifs. Plusieurs stratégies de modification des aérogels ont déjà été étudiées, l’ajout de particules, de polymères ou de fibres étant quelques-uns des additifs possibles pour fournir et/ou améliorer différentes propriétés des aérogels de silice. Comme indiqué dans cette revue, une nouvelle approche a été développée pour la modification de ces aérogels par l’insertion de nanostructures de carbone, comme les nanotubes de carbone, les nanofibres de carbone, le graphène et les aérogels de carbone». Cela prouve que l’oxyde de graphène peut être utilisé pour injecter des aérosols dans l’atmosphère à des fins de géo-ingénierie solaire. Cette affirmation est également partagée par (Qu, Z.B. ; Feng, W.J. ; Wang, Y. ; Romanenko, F. ; Kotov, N.A. 2020) lorsqu’on considère que les nanoplaquettes de graphène, nommées par les auteurs “GQD” (Graphene Quantum Dots), peuvent être utilisées dans la géoingénierie solaire. Cela est probablement dû aussi aux propriétés de réflexion optique de l’oxyde de graphène dans les cristaux photoniques de silice (Lee, C.H. ; Yu, J. ; Wang, Y. ; Tang, A.Y.L. ; Kan, C.W. ; Xin, J.H. 2018), selon le matériau aérogel auquel ils se réfèrent (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021).

Aérogels d’oxyde de graphène et de Fe3O4

Avant d’entamer cette partie de l’analyse, il convient de rappeler que l’oxyde de fer Fe3O4, également connu sous le nom de magnétite, est l’un des matériaux les plus fréquemment associés à l’oxyde de graphène, compte tenu de sa polyvalence d’utilisation. Par exemple, ses propriétés d’absorption électromagnétique (Ma, E. ; Li, J. ; Zhao, N. ; Liu, E. ; He, C. ; Shi, C. 2013) ; les nanoparticules superparamagnétiques d’oxyde de graphène-Fe3O4 pour l’administration de médicaments et de biocides, d’engrais et de pesticides (Yang, X. ; Zhang, X. ; Ma, Y. ; Huang, Y. ; Wang, Y. ; Chen, Y. 2009 | CN112079672A. 2020) ; l’administration de vaccins à ADN pour les traitements expérimentaux du cancer et les thérapies géniques (Shah, M.A.A. ; He, N. ; Li, Z. ; Ali, Z. ; Zhang, L. 2014 | Hoseini-Ghahfarokhi, M. ; Mirkiani, S. ; Mozaffari, N. ; Sadatlu, M.A.A. ; Ghasemi, A. ; Abbaspour, S. ; Karimi, M. 2020) ; autres traitements du cancer basés sur les thérapies à base de platine (Yang, Y.F. ; Meng, F.Y. ; Li, X.H. ; Wu, N.N. ; Deng, Y.H. ; Wei, L.Y. ; Zeng, X.P. 2019) ; thérapies du cancer basées sur les nanoparticules magnétiques (Zhang, H. ; Liu, X. L. ; Zhang, Y.F. ; Gao, F. ; Li, G.L. ; He, Y. ; Fan, H.M. 2018) ; Extraction d’ibuprofène, de phénol, de bisphénol A, de méthyl-parabène et de propyl-parabène du sang (Yuvali, D. ; Narin, I. ; Soylak, M. ; Yilmaz, E. 2020 | Abdolmohammad-Zadeh, H. ; Zamani, A. ; Shamsi, Z. 2020) ; la neuromodulation et les traitements des maladies neurodégénératives et des troubles psychiatriques (Owonubi, S.J. ; Aderibigbe, B.A. ; Fasiku, V.O. ; Mukwevho, E. ; Sadiku, E.R. 2019) et bien d’autres qui peuvent être trouvés dans la littérature scientifique, voir “Fe3O4-oxyde de graphène” ou “oxyde de graphène”, “Fe3O4”.

Les nanocomposites magnétiques de Fe3O4 avec de l’oxyde de graphène GO sont connus au moins depuis 2010, lorsqu’ils ont été cités comme un biomarqueur possible pour la détection du cancer (Swami, M. 2010). Sa méthode de préparation a été présentée dans l’article de (Cao, L.L. ; Yin, S.M. ; Liang, Y.B. ; Zhu, J.M. ; Fang, C. ; Chen, Z.C. 2015), découvrant ses propriétés magnétiques, sa capacité à générer des champs magnétiques, son potentiel zêta et sa capacité à franchir la barrière hémato-encéphalique. Outre une grande stabilité sur une large gamme de pH, ils indiquent également la possibilité de séparer le Fe3O4 de l’oxyde de graphène en appliquant un champ magnétique externe. Ces propriétés pourraient expliquer le phénomène magnétique des vaccins c0r0n@v|rus vraisemblablement composés d’oxyde de graphène et de magnétite, voir l’étude de (Campra, P. 2021). 

Pour approfondir le sujet des aérogels, il convient tout d’abord de définir le concept. Un aérogel est un matériau ultraléger/poreux à base de gel, dont les propriétés l’empêchent de s’effondrer, et dont la densité est légèrement supérieure à celle de l’air. Deuxièmement, on peut affirmer qu’il existe des aérogels d’oxyde de graphène et de Fe3O4, comme le mentionne l’étude de (Kopuklu, B.B. ; Tasdemir, A. ; Gursel, S.A. ; Yurum, A. 2021). Dans ce cas, la recherche adapte son utilisation pour le développement de batteries aux performances supérieures à la technologie lithium-ion. Des aérogels d’oxyde de graphène et de magnétite Fe3O4, sont également développés en tant qu’actionneurs magnétiques, par revêtement avec de la polydopamine (Scheibe, B. ; Mrówczyński, R. ; Michalak, N. ; Załęski, K. ; Matczak, M. ; Kempiński, M. ; Stobiecki, F. 2018). La polydopamine, également appelée PDA, est un polymère obtenu par oxydation de la dopamine, couramment utilisé dans “diverses applications en biologie, biomédecine, membranes, catalyse, matériaux et purification de l’eau”, selon (Liebscher, J. 2019). Ce détail est très intéressant car il ne s’agit pas seulement d’un composé chimique, mais aussi d’un neurotransmetteur fondamental pour le bon fonctionnement du cerveau humain et en particulier du système nerveux central, du système de récompense (désir, plaisir, conditionnement), de la dépendance et de la socialisation. Il faut rappeler que l’absence de dopamine peut provoquer des maladies et des troubles psychiatriques, comme la dépression (Moghaddam, B. 2002) et même des troubles neurodégénératifs (David, R. ; Koulibaly, M. ; Benoit, M. ; Garcia, R. ; Caci, H. ; Darcourt, J. ; Robert, P. 2008). 

Commentaires

Il est démontré que l’injection d’aérosols/aérogels d’oxyde de graphène dans l’atmosphère à des fins de géo-ingénierie solaire et climatique est possible. Comme l’expriment les chercheurs dans l’article (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021), l’injection d’aérosols est développée et expérimentée depuis des années, comme le démontre (Cao, L. 2019 | Zhao, L. ; Yang, Y. ; Cheng, W. ; Ji, D. ; Moore, J. C. 2017 | Dykema, J.A. ; Keith, D.W. ; Anderson, J.G. ; Weisenstein, D. 2014 | Keith, D. ; Dykema, J.A. ; Keutsch, F.N. 2017). Avec tous ces éléments, on peut affirmer que le phénomène des chemtrails existe et peut effectivement être assimilé à des projets de géo-ingénierie solaire et climatique. Selon les informations scientifiques analysées, la libération dans l’atmosphère d’oxyde de graphène ou de ses dérivés sous forme d’aérosols est dangereuse car : a) elle est une source de pollution qui affecte l’atmosphère, la terre, les océans et les mers, l’agriculture, les aliments, les sources d’eau, les animaux et les personnes qui finissent par respirer l’air pollué. b) provoquer des effets néfastes et des dommages qui peuvent être fatals pour la santé des personnes. c) altérer le climat et provoquer des effets de déshydratation dans l’atmosphère, la perte d’ozone (Weisenstein, D.K. ; Keith, D.W. ; Dykema, J.A. 2015), et des effets collatéraux qui n’ont pas encore été publiés, parce qu’ils ne sont pas connus ou ne veulent pas être reconnus au niveau scientifique. 

L’injection d’aérosols dans le cadre du processus de géo-ingénierie solaire pourrait être mise en œuvre à l’échelle mondiale, sans avoir été consultée par la population, sans le débat en bonne et due forme et sans l’analyse scientifique ouverte que mérite une question aussi pertinente que la modification effective du climat. En ce sens (Parker, A. ; Irvine, P.J. 2018) expliquent que si l’expérimentation de la géo-ingénierie solaire avait commencé, il n’y aurait pas moyen de revenir en arrière, car les conséquences de l’interruption entraîneraient des risques plus importants. Dans leur résumé, ils s’expriment ainsi : «Si la géo-ingénierie solaire était mise en œuvre… puis soudainement arrêtée, il y aurait une augmentation rapide et dommageable des températures. Cet effet est souvent appelé “choc de terminaison” et constitue un concept influent». Les auteurs indiquent clairement qu’en fonction de la méthodologie et du modèle de géo-ingénierie solaire, ainsi que du nombre de pays impliqués, les effets du changement climatique peuvent être atténués, notamment les catastrophes climatiques. Cependant, ils n’analysent pas si la géo-ingénierie solaire elle-même peut être la cause de telles catastrophes. D’autres auteurs insistent sur les problèmes climatiques et les disparités qu’elle provoque (Kravitz, B. ; MacMartin, D.G. ; Robock, A. ; Rasch, P.J. ; Ricke, K.L. ; Cole, J.N. ; Yoon, J.H. 2014), affirmant dans leurs conclusions «qu’il existe de nombreux autres effets qui pourraient être intégrés dans les évaluations des disparités régionales de la géo-ingénierie solaire. Il s’agit notamment d’autres effets climatiques, tels que des changements dans l’occurrence d’événements extrêmes….. Toutefois, l’injection d’aérosols sulfatés stratosphériques peut accroître l’appauvrissement de la couche d’ozone et avoir d’autres effets dynamiques, qui pourraient à leur tour affecter les régimes locaux de température et de précipitations, qui diffèrent des effets de la géo-ingénierie de l’ombrage solaire partiel. Nous reconnaissons que la santé des plantes terrestres ne dépend pas seulement des précipitations et des changements de température ; les évaluations futures des changements hydrologiques dus à la géo-ingénierie pourraient également intégrer des changements dans l’évaporation, l’humidité du sol et le ruissellement». 

Après tout ce qui a été expliqué et analysé, il ne semble faire aucun doute que la géo-ingénierie solaire, sa modélisation, son application, ses méthodes de prédiction et de prévision, ainsi que l’injection d’aérosols dans l’atmosphère/stratosphère à des hauteurs qui pourraient varier entre 7 et 18 km, sont en cours d’expérimentation. En fait, selon l’étude de (Horton, J.B. ; Keith, D.W. ; Honegger, M. 2016) sur les implications de l’accord de Paris pour la réduction du CO2 et la géo-ingénierie solaire, «le SRM est un complément à l’atténuation des émissions» et ajoute que «l’analyse du SRM (Solar Radiation Management) remontant à plusieurs décennies a toujours montré qu’il pouvait réduire les températures de surface, ce qui a conduit à une grande incertitude quant à sa capacité à ralentir le changement climatique au niveau régional, et ses effets sur les changements d’autres variables importantes telles que les précipitations, l’élévation du niveau de la mer et les événements extrêmes». Quant aux possibilités de le faire, il indique «qu’il semble que certaines formes de MRS pourraient être mises en œuvre à très faible coût (moins de 0,1 % du PIB mondial) en utilisant les technologies existantes», sans préciser ni clarifier quelles sont ces formes. L’article est particulièrement pertinent pour comprendre le cadre géopolitique de la géo-ingénierie solaire et de l’injection d’aérosols d’oxyde de graphène dans l’atmosphère depuis 2016, un tournant à partir duquel un certain accord (non divulgué) sur l’utilisation des technologies SRM pourrait avoir été atteint. L’utilisation des MRS est connue (au moins expérimentalement) grâce aux articles publiés sur ses effets, voir (Malik, A. ; Nowack, P.J. ; Haigh, J.D. ; Cao, L. ; Atique, L. ; Plancherel, Y. 2019 | Kim, D.H. ; Shin, H.J. ; Chung, I.U. 2020).

Compte tenu des possibilités et des aspects géopolitiques du contrôle du climat, la géo-ingénierie solaire peut être considérée comme une arme, comme le suggère (Bunn, M. 2019). Il semble donc évident que la lutte contre le changement climatique n’est peut-être pas ce qu’elle semble être, mais plutôt une guerre voilée entre blocs politiques, des demi-vérités scientifiques, de la désinformation et de l’opacité pour établir une gouvernance mondiale qui n’est pas élue démocratiquement et dont la légitimité est nulle et non avenue. En fait, le contrôle du climat soulève des questions dérangeantes : qui décide ou impose le climat au monde ? Par quelle éthique veulent-ils changer le climat ? Par quel droit veulent-ils changer le climat ? Avec quelles conséquences, à quel prix, pour quoi faire ? (McLaren, D.P. 2018) sont autant de questions pertinentes qu’il convient de se poser. Jouer avec ce que l’on ne comprend pas peut souvent avoir des conséquences imprévisibles et presque toujours terribles. Enfin, pour compléter la réflexion, il convient de commenter brièvement l’article de (Buck, H. ; Geden, O. ; Sugiyama, M. ; Corry, O. 2020) dans lequel ils présentent la réponse à l’urgence COVID-19 comme un exemple de mise en œuvre de la géo-ingénierie solaire, afin de justifier l’injection d’aérosol stratosphérique. Ce faisant, ils citent cinq leçons à tirer : «a) Des mesures étroites semblent faciles à utiliser, mais peuvent créer de nouveaux problèmes. b) La gouvernance mondiale est fragmentée ou absente. c) Les technologies des médias créent de nouvelles volatilités pour la science et la politique. d) Les politiciens peuvent agir pour le plaisir d’agir, ou pire. e) Gagner du temps seul avec un plan en main». Ces erreurs semblent être celles qu’ils ne s’attendent pas à commettre lors du prochain défi pandémique, ce qui, selon les auteurs, justifie une recherche anticipative, exprimée dans les termes suivants, cités ci-dessous : «COVID-19 a été un test de résistance pour les interactions entre la science, les médias et la politique aux niveaux national et mondial, et a révélé des dynamiques complexes et potentiellement dommageables dans les liens entre ces sphères. La réponse à la pandémie met davantage en évidence la nécessité non seulement d’une gouvernance anticipative, mais aussi d’une recherche anticipative transdisciplinaire avant une urgence réelle». Il semble y avoir un lien entre la gestion de la pandémie COVID-19 et les urgences climatiques. La géo-ingénierie solaire sera-t-elle la prochaine pandémie à l’ordre du jour mondial ?

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Le système de routage CORONA pour les nano-réseaux

En poursuivant l’investigation des réseaux de nanocommunication, dont le matériel a été identifié dans les échantillons de sang de personnes vaccinées (Andersen, M. 2021a | 2021b | 2021c), ainsi que le logiciel de simulation de leur communication TS-OOK, le système de routage des paquets de données, dont le nom “CORONA” (Coordinate and Routing System for Nanonetworks) ne devrait plus être une surprise, a été découvert. Le système de routage CORONA (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015) est complété par son étude d’efficacité énergétique EECORONA (Bouchedjera, I.A. ; Aliouat, Z. ; Louail, L. 2020) et la topologie du nanoréseau basée sur des grappes ou des groupes de nanonodes émetteurs, ce qui force le routage distribué DCCORONA (Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. 2020).

Références

Bouchedjera, I.A. ; Aliouat, Z. ; Louail, L. (2020). EECORONA : Système de coordination et de routage à haut rendement énergétique pour les nanoréseaux = EECORONA. [316]

Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. (2020). DCCORONA : Système de routage et de coordination basé sur des grappes distribuées pour les nano-réseaux. [317]

Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. (2015). CORONA : un système de coordonnées et de routage pour les nano-réseaux.  [318]

Acheminement des paquets de données CORONA

Les travaux de (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015) sur un système de coordonnées et de routage pour les nanoréseaux (CORONA) est fondamental pour comprendre la méthodologie de transmission des données entre les nanonodes, vraisemblablement installés dans le corps, via des vaccins c0r0n@v|rus, après avoir trouvé des preuves de la présence de points quantiques GQD en graphène, de nanoantennes fractales en graphène et de nano-ribbons-nageurs en graphène hydrogel, ainsi que la topologie de réseaux de nanocommunication dans lesquels ces éléments sont identifiés et appariés. Le modèle de routage (CORONA) nécessite la configuration de nanonœuds placés dans une position fixe, comme une ancre, pour simuler leur géolocalisation relative, au moyen de la trigonométrie et de la simple mesure de leurs distances. Cela permet de diriger l’émission des données. Selon les chercheurs, «le système peut être mis en œuvre de manière dynamique dans un nano-réseau. Les nœuds établis comme points d’ancrage fixes mesurent leur distance les uns par rapport aux autres ainsi que le nombre de sauts jusqu’à ce qu’ils soient connectés. Dans la phase opérationnelle, le routage utilise le sous-ensemble approprié d’ancres, requis par l’expéditeur du paquet, pour transmettre les données. Cela nécessite une configuration minimale et uniquement des calculs simples, basés sur des nombres entiers, ce qui impose des exigences limitées pour un fonctionnement fiable. Une fois mis en œuvre, il fonctionne efficacement, ce qui se traduit par un très faible taux de retransmission et de perte de paquets, ce qui favorise l’efficacité énergétique et le multiplexage moyen». Cette explication corrobore tout ce qui a été dit dans l’entrée sur les réseaux de nanocommunication sans fil dans le corps humain, car les capacités de calcul des nanonodes sont très limitées, dans de nombreux cas, tous les nanonodes (les points quantiques GQD en graphène) n’ont pas une position fixe (étant donné qu’ils se trouvent dans le système circulatoire). Lorsqu’une de ces nanonodes se fixe sur un tissu du corps, elle agit comme une ancre, qui sert à trianguler la position des autres nanonodes et ancres, facilitant ainsi la communication et l’acheminement des paquets de données. Le positionnement de ces ancres favorise la diversification des signaux, un processus appelé multiplexage, qui augmente la capacité de transmission, ce qui s’inscrit dans le cadre du logiciel de simulation de nano-réseaux évoqué dans un précédent billet.

Dans l’introduction du système CORONA, les chercheurs (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015) notent que l’objectif de leur méthode de routage est la communication des nanomachines, faisant explicitement allusion au graphène : «les nanomachines sont des nœuds entièrement autonomes qui peuvent effectuer des opérations simples et communiquer sur de courtes distances. Actuellement, des antennes miniatures à base de graphène sont introduites (Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. 2010) qui donnent aux nanomachines la possibilité d’atteindre des taux de transmission élevés sur de très courtes distances lorsqu’elles fonctionnent dans le spectre de fonctionnement plus prometteur de la bande térahertz. Ces réseaux devraient être largement déployés dans divers domaines, tels que la biomédecine, l’industrie, l’environnement et l’armée». Cela signifie que les nanoantennes en graphène étaient déjà connues pour être utilisées à ces fins en 2015, ce qui corrobore à nouveau les faits et les preuves avérés. 

Fig.1. La case de gauche montre les nanonoeuds fixes qui servent d’ancrage pour faciliter l’adressage et l’acheminement des paquets de données. L’image de droite montre une limitation possible de l’acheminement des ancres de parement dans certaines zones du nanoréseau. (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015)

L’un des défis auxquels les chercheurs sont confrontés est de «maintenir la simplicité sans compromettre la connectivité et la durée de vie du nanoréseau» en concevant un modèle de routage pour des «métamatériaux définis par logiciel (SDM) dont les propriétés électromagnétiques sont programmables pour assurer l’adressage et le routage». Cette affirmation est essentielle pour comprendre que, outre les éléments déjà découverts dans les échantillons de sang des personnes vaccinées, d’autres éléments peuvent être trouvés sous la forme de transistors imprimés en graphène 2D, préprogrammés pour la nanocommunication, déjà mentionnée dans la topologie des réseaux non hiérarchiques, selon le schéma de (Abadal, S. Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Cabellos-Aparicio, A. 2017 | Lee, S.J. ; Jung, C. ; Choi, K. ; Kim, S. 2015). Cette technologie est fondamentale, car elle «génère des propriétés électromagnétiques stables et fiables, tout en jetant les bases de la sécurité SDM et des mécanismes d’autorisation d’accès». Cela signifie que, comme tout autre réseau, il nécessite le développement de protocoles d’authentification et de sécurité pour éviter les intrusions et le piratage. 

Cependant, paradoxalement, l’une des révélations les plus importantes de cette recherche (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015), n’est pas le système de routage, mais le matériel de traitement et de calcul, c’est-à-dire le CPU. En fait, il est explicitement indiqué dans le paragraphe suivant : «Dans l’environnement extrêmement contraint des nanoréseaux, nous supposons que le nano-CPU est capable d’effectuer uniquement des calculs entiers simples et, en outre, qu’aucune information sur l’état du voisinage (nanonœuds voisins) n’est échangée. Fondamentalement, un paquet de réponse est distribué en utilisant uniquement les informations d’adresse de l’expéditeur/du destinataire dans le message, évitant ainsi sa transmission au réseau. Les adresses sont composées d’un ensemble de quatre valeurs d’attributs de localisation, qui caractérisent l’étendue locale de la zone à laquelle appartient le nœud spécifique. Selon le processus d’adressage proposé, chaque nœud définit localement sa propre adresse, au lieu d’être pré-assigné. Dans les grands nanoréseaux, cette approche devrait permettre de réduire considérablement la douleur de l’adressage». Il semble évident que les nanoréseaux installés dans le corps humain ont des exigences matérielles de base. D’après la littérature examinée jusqu’à présent, au cours de cette recherche, on connaissait l’existence de nano-antennes, de nano-transistors, de nano-émetteurs, de nanocapteurs, de nageurs, de nano-rubans de graphène, de points quantiques de graphène, de nano-routeurs, mais aucune référence explicite à l’UC. C’est la première fois qu’il est découvert, lié à des nano-réseaux avec des composants en graphène, dans le contexte du routage des données. Ce point est d’une importance fondamentale, car il suggère que pour faire fonctionner les nanoréseaux, il faut une nano-CPU qui, bien que limitée, est capable d’articuler/synchroniser les paquets de demandes et de réponses des nanonœuds dans leur communication interne. Il faut donc s’attendre à la présence de nanopuces capables d’agir comme des nano-CPU dans le contenu des vaccins c0r0n@v|rus, dont la technologie est (SDM). 

Fig.2. Le taux de paquets de données transmis avec succès dans le modèle CORONA est le plus élevé, comparé aux autres méthodes de routage. (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015)

Plus loin dans la section de corroboration, il convient de noter que l’état de l’art de l’article de (Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015), confirme que leur modèle de routage est «la communication sans fil basée sur les ondes électromagnétiques (EM)», que «la communication électromagnétique dans la bande terahertz (0,1-10,0 THz) est l’approche la plus prometteuse … pour laquelle il est proposé de développer une antenne à l’échelle nanométrique, qui maintient sa fréquence de fonctionnement dans ce spectre de fonctionnement, réalisé en utilisant le nouveau matériau extraordinaire appelé graphène» en supposant que «la portée de communication d’un seul nœud peut être encore augmentée en utilisant la fenêtre 0,1 – 0,54 THz». À tout cela, il est également corroboré que le protocole TS-OOK est adapté à la nanocommunication électromagnétique: «un protocole MAC basé sur le handshake, à savoir PHLAME, est proposé en plus du RD TS-OOK», ce qui confirme une fois de plus la présence de protocoles de contrôle d’accès au support MAC (Jornet, J.M. ; Pujol, J.C. ; Pareta, J.S. 2012). En effet, elle confirme le phénomène des adresses MAC des personnes vaccinées, localisées via Bluetooth, dans les téléphones mobiles. 

Par la suite, le modèle CORONA a été complété par un schéma de routage multi-sauts basé sur des grappes distribuées, rebaptisé DCCORONA (Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. 2020) «avec auto-routage pour les nano-réseaux homogènes denses. En général, tous les schémas de routage par grappes existants dans les réseaux traditionnels ou les nano-réseaux présentent les mêmes phases principales : (i) établissement de la grappe et (ii) maintenance de la grappe.». Cela simplifie encore la communication, la rendant plus efficace et plus rapide, car les paquets peuvent être transmis à des ancres plus éloignées, en évitant les étapes intermédiaires. Plus précisément, il est transmis à l’une des ancres définies dans le cluster. 

Fig.3. Structure des paquets de données dans le modèle DCCORONA. (Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. 2020)
Fig.4. La case de gauche montre l’algorithme d’élection des clusters et celle de droite le processus de routage DCCORONA. (Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. 2020)

Un nouvel élément, le nano-CPU / les nano-oscillateurs

Le développement des nanotransistors en graphène est connu, en raison de leurs propriétés électromagnétiques particulières, analysées dans l’entrée sur la spintronique et largement documentées, voir (Tredicucci, A. ; Vitiello, M.S. ; Polini, M. ; Pellegrini, V. 2014 | Murphy, T.E. ; Jadidi, M.M. ; Mittendorff, M. ; Sushkov, A.B. ; Drew, H.D. ; Fuhrer, M.S. 2018). Ces faits, ainsi que la nouvelle perspective offerte par les articles sur les nanoréseaux, semblent indiquer l’existence de puces de type nano-CPU (SDM), basées sur le graphène, afin de synchroniser les communications des nanonœuds du réseau. L’une des caractéristiques les plus marquantes des processeurs, même à l’échelle nanométrique, est leur fréquence d’horloge, mesurée en Hz, c’est-à-dire en cycles ou oscillations par seconde. On peut donc affirmer qu’une nano-CPU nécessite au moins un oscillateur capable de définir le modèle, le rythme ou la synchronisation du nano-réseau, en fonction de la fréquence de son oscillation. C’est ce qui ressort de l’analyse de l’article de (Guerriero, E. ; Polloni, L. ; Bianchi, M. ; Behnam, A. ; Carrion, E. ; Rizzi, L.G. ; Sordan, R. 2013) sur les oscillateurs annulaires intégrés en graphène, dont la vitesse atteint 1,28 GHz en fonctionnement à température ambiante. Bien que le prototype d’oscillateur soit hors d’échelle dans le contexte du nano-réseau, il représente un modèle qui aurait pu être reproduit à des échelles inférieures, étant donné sa simplicité, voir la figure 5. 





Fig.5. Schéma du circuit de l’oscillateur intégré en anneau de graphène monocouche en anneau de graphène monocouche RO. (Guerriero, E. ; Polloni, L. ; Bianchi, M. ; Behnam, A. ; Carrion, E. ; Rizzi, L.G. ; Sordan, R. 2013)

La miniaturisation des transistors et des oscillateurs en graphène est une constante depuis lors, qui a été mise en évidence dans des publications scientifiques uniques, comme celle de (Neumaier, D. ; Zirath, H. 2015) commandée par le “Graphene Flagship Work Package”, dans l’éditorial de la revue “2D Materials” avec le titre “High-frequency graphene transistors : can a beauty become a source of revenue ?”, dans les buts suivants duquel il était cité «dans tous les cas, il est de la plus haute importance que la couche de graphène soit uniforme sous le transistor, qui est typiquement de 10-100 nm de long et de quelques μm de large». En effet, plus tard (Xu, K. ; Chen, D. ; Yang, F. ; Wang, Z. ; Yin, L. ; Wang, F. ; He, J. 2017), a présenté des modèles d’architecture sub-10 nanomètres pour des transistors à effet de champ en matériau 2D, dont le graphène, en appliquant des techniques de miniaturisation. Un autre exemple de mise à l’échelle est celui de (Patel, K.A. ; Grady, R.W. ; Smithe, K.K. ; Pop, E. ; Sordan, R. 2019) dont les travaux sur les nano-transistors avec des nanotubes de carbone, atteignent une taille de 22 – 60nm. Des mesures similaires sont trouvées pour les oscillateurs CMOS graphène-Si par (Gilardi, C. ; Pedrinazzi, P. ; Patel, K.A. ; Anzi, L. ; Luo, B. ; Booth, T.J. ; Sordan, R. 2019). La plupart des études sur les nanotransistors et les oscillateurs en anneau utilisent du graphène ou des nanotubes de carbone (graphène), ce qui pourrait donner quelques indices sur leur aspect réel au microscope, avec une forme régulière (semblable à celle de la figure 5) ou un tissage filamentaire. D’autre part, l’idée de la présence de nano-oscillateurs, de nano-CPUs ou de nano-transistors est compatible avec l’accord en fréquence des micro-ondes, comme on peut le voir dans les travaux de (Bhoomeeswaran, H. ; Sabareesan, P. 2021).

Nano-oscillateurs in-vivo

L’une des rares références qui aborde l’interaction in-vivo des nano-oscillateurs dans un système biologique est la thèse de doctorat de (Ramaswamy, B. 2016) sur la délivrance de médicaments via des nanocarriers dirigés électromagnétiquement. Le chapitre 5 démontre la capacité des nanocarriers à neurostimuler les neurones d’écrevisses via des micro-ondes. Selon l’auteur, «cette capacité à déclencher des nano-oscillateurs à l’aide de signaux bioélectriques a un potentiel dans les applications de biodétection in-vivo dans le cerveau, le cœur et d’autres applications électrophysiologiques». Cela implique la capacité d’agir comme un stimulateur cardiaque, ou de servir de traitement pour les maladies neurodégénératives ou les troubles psychologiques et psychiatriques. Pour revenir à l’expérience de (Ramaswamy, B. 2016), un «nano-oscillateur à couple de transfert de spin de 0,85 GHz pour un champ magnétique externe dans le plan de 0,1 T» a été utilisé. Des neurones d’écrevisses ont été stimulés à 5Hz, observant les courants neuronaux en réponse, vérifiant ainsi la relation de cause à effet. En outre, il est affirmé que «en utilisant un champ magnétique externe approprié, les nano-oscillateurs peuvent être utilisés pour redresser sélectivement une fréquence spécifique qui est généralement leur fréquence de fonctionnement dans ce champ. Un tel mode de fonctionnement peut être utilisé pour des applications potentielles dans la récolte d’énergie sans fil et pour la stimulation électrique sans fil de cellules telles que les neurones». 

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Le spectre Raman 1450 dans les flacons de vaccin c0r0n@v|rus. Une revue de la littérature scientifique

Le rapport technique présenté par le Dr. (Campra, P. 2021) le 2 novembre 2021 montre une analyse exhaustive par spectroscopie Raman, dans le but d’identifier les matériaux et les objets observés dans les vaccins c0r0n@v|rus. La méthodologie utilisée est sans faille et le degré de complexité est très élevé, compte tenu des difficultés et des obstacles à sa réalisation, tels que le manque de moyens, de personnel et de ressources adéquats, ainsi que le manque de soutien des autorités sanitaires et gouvernementales. Malgré ces problèmes, le Dr Campra a réussi à caractériser et à détecter 28 objets compatibles avec le graphène sur les 110 observés dans les flacons de vaccins Pfizer, Moderna et Jansen, ce qui représente un succès dans le travail d’identification, mais aussi un problème d’une ampleur inimaginable pour la population et la santé publique en général, tant en raison des conséquences de l’inoculation de ces matières toxiques (encore inconnues à moyen et long terme), qu’en raison de tout ce qui est encore inconnu en termes de composants, de leurs véritables applications et intentions (qui commencent déjà à être spéculées et avancées comme hypothèses de travail). 

Afin d’aider la recherche initiée par le Dr. Campra, C0r0n@2Inspect a effectué une recherche d’expert pour l’un des spectres observés dans les tests obtenus sur les objets dans les flacons de vaccin. Plus précisément, il s’agit du pic de ~1450 cm-1 et de ses valeurs voisines, qui apparaissent fréquemment avec le graphène dans de nombreux échantillons analysés. Chacun d’entre eux est examiné ci-dessous.

Hydrogel PVA (Alcool polyvinylique – Alcool polyvinylique)

Le PVA, connu sous le nom d’alcool polyvinylique, est l’un des matériaux qui a présenté une valeur de pic coïncidant avec les échantillons observés, voir figure 1. Il est également apparu récemment dans une identification graphique des motifs dans les vaccins c0r0n@v|rus, sous la forme de bulles ou de colloïdes avec lesquels on peut composer des nageurs colloïdaux anisotropes à rotor (plus communément appelés nano- vers autopropulsés). L’hydrogel de PVA présente des propriétés particulières qui en font un matériau biocompatible, car il est capable d’imiter les tissus du corps humain, et peut donc être utilisé comme substitut de tissus mous (Jiang, S. ; Liu, S. ; Feng, W. 2011). Il peut également être utilisé pour le remplacement du cartilage (Stammen, J.A. ; Williams, S. ; Ku, D.N. ; Guldberg, R.E. 2001), la fabrication de cornées artificielles (Wang, J. ; Gao, C. ; Zhang, Y. ; Wan, Y. 2010), et même la cicatrisation des plaies (Fan, L. ; Yang, H. ; Yang, J. ; Peng, M. ; Hu, J. 2016). Cependant, lorsque l’hydrogel de PVA est combiné avec du graphène ou des nanotubes de carbone, l’intentionnalité des applications est différente. Par exemple, dans les travaux de (Shi, Y. ; Xiong, D. ; Li, J. ; Wang, K. ; Wang, N. 2017) la cible du PVA est la réparation de l’oxyde de graphène réduit rGO, lorsqu’il est irradié par des rayons gamma γ ou par une dégradation qui génère la libération de radicaux libres, ce qui augmente la résistance du matériau. 

Fig.1. Valeur de crête du PVA isolé et en combinaison avec l’oxyde de graphène réduit. (Shi, Y. ; Xiong, D. ; Li, J. ; Wang, K. ; Wang, N. 2017)

Cette résistance est importante si le graphène ou les nanotubes de carbone et leurs dérivés doivent être utilisés dans le cadre d’applications neuronales. Il est prouvé que l’utilisation du graphène avec des hydrogels améliore la biocompatibilité du graphène, qui s’adapte au tissu neuronal et aux astrocytes de l’hippocampe (Martín, C. ; Merino, S. ; González-Domínguez, J.M. ; Rauti, R. ; Ballerini, L. ; Prato, M. ; Vázquez, E. 2017). Ces applications sont corroborées dans des travaux tels que celui de (Zeinali, K. ; Khorasani, M.T. ; Rashidi, A. ; Daliri-Joupari, M. 2021) concernant la régénération des tissus nerveux, à l’aide de solutions d’aérogel de PVA et d’oxyde de graphène, ce qui conduit les chercheurs à utiliser ces matériaux dans l’ingénierie des tissus neuronaux. La preuve en est le développement de neurones sensoriels artificiels, comme le démontrent (Wan, C. ; Cai, P. ; Guo, X. ; Wang, M. ; Matsuhisa, N. ; Yang, L. ; Chen, X. 2020) où un type de neurone artificiel est fabriqué et caractérisé avec des nanotubes de carbone (également identifiés dans les échantillons de vaccins) et un hydrogel d’alcool polyvinylique comme matériaux clés, qui sert de câble ionique transmettant les stimuli électriques «comme l’axone d’un nerf afférent, transportant les informations des deux canaux sensoriels». Il est ainsi possible de composer des transistors synaptiques activés par des électrolytes qui imitent la plasticité synaptique des principes neurologiques de l’apprentissage et de la mémoire. Dans cette ligne de recherche, il convient de souligner le travail de revue de (He, Y. ; Zhu, L. ; Zhu, Y. ; Chen, C. ; Jiang, S. ; Liu, R. ; Wan, Q. 2021) visant le développement et l’évolution des dispositifs neuromorphiques émergents basés sur des transistors, où le PVA est le matériau essentiel pour configurer l’électrolyte protonique du transistor neuromorphique et le graphène comme matériau supraconducteur pour permettre la transmission de stimuli grâce à ses propriétés supraconductrices. La conductivité ionique des hydrogels, et en particulier du PVA, semble permettre une large couverture des applications bioélectroniques qui ne seraient pas possibles autrement. C’est ce qui ressort des travaux de (Jia, M. ; Rolandi, M. 2020). Selon les analyses, la capacité de surveiller, de contrôler ou d’intervenir dans les processus biologiques, et notamment la stimulation et l’enregistrement neuronaux et cardiaques, dépend entre autres des matériaux carbonés tels que les nanotubes de carbone (CNT) et le graphène dopé avec d’autres polymères conducteurs, dont notamment l’hydrogel PVA. On évoque également la possibilité qu’ils puissent agir comme des transporteurs pour la libération de médicaments et de biomolécules, dans des zones localisées du cerveau, en fonction de la réception de signaux électriques ou de l’activation de certaines régions cérébrales. 

Fig.2. Schéma de la conductivité des hydrogels dans le tissu neuronal. (Jia, M. ; Rolandi, M. 2020)

En outre, il est affirmé que les hydrogels peuvent agir comme des conducteurs électriques, augmentant l’activité électrique des tissus neuronaux et leur interconnexion. Ces faits, associés à la capacité du matériau à franchir la barrière hémato-encéphalique (BHE), nous permettent de déduire qu’il existe une réelle possibilité que les matériaux présents dans les flacons de vaccin se logent dans les tissus neuronaux, ouvrant la porte à la possibilité d’une neuromodulation et d’une neurostimulation sans fil, comme expliqué dans les billets précédents sur l’interface neuronale et les réseaux de communication des nanotechnologies dans le corps humain. Bien que l’article de (Jia, M. ; Rolandi, M. 2020) ne mentionne pas l’hydrogel PVA dans les applications cardiaques, il le mentionne en relation avec un autre hydrogel, le méthacrylate de gélatine (GelMA) avec des nanotubes de carbone, qui agit «comme des patchs cardiaques fonctionnels, montrant des taux de battements synchrones spontanés trois fois plus élevés et un seuil d’excitation 85% plus bas par rapport à ceux cultivés dans des hydrogels GelMA vierges». Ce résultat est très pertinent, car il démontre que les hydrogels jouent un rôle important dans la modulation du muscle cardiaque. Étant donné que la présence de ces matériaux a été détectée dans les vaccins c0r0n@v|rus et en vertu de l’observation d’une augmentation des cas de maladies cardiaques (voir annexe 1), il est concevable qu’il puisse exister une relation de cause à effet, directement liée à l’inoculation et au dépôt par voie artérielle dans le système circulatoire. 

Une revue de la littérature montre que l’hydrogel de PVA est également compétent pour servir d’électrodes biocompatibles avec les tissus vivants, en raison des propriétés susmentionnées et du fait qu’il possède une rigidité «comparable à celle du tissu cérébral, ce qui réduit considérablement le désalignement mécanique à l’interface neuronale» (Liu, S. ; Zhao, Y. ; Hao, W. ; Zhang, X.D. ; Ming, D. 2020). Cette affirmation est associée à la considération qu’elle «améliore la qualité des signaux de surveillance du cerveau”. C’est un moyen efficace d’optimiser les interfaces neuronales» qui restent stables à long terme (Oribe, S. ; Yoshida, S. ; Kusama, S. ; Osawa, S.I. ; Nakagawa, A. ; Iwasaki, M. ; Nishizawa, M. 2019). De même, les fibres à base de graphène et les structures à base de nanotubes de carbone sont recouvertes par l’hydrogel, ce qui leur permet d’être introduites dans le tissu cérébral et de s’y installer correctement sans réaction immunitaire entraînant un rejet. De même, les travaux de (Adorinni, S. ; Rozhin, P. ; Marchesan, S. 2021) associent également les hydrogels aux nanotubes de carbone et au graphène dans des applications de reconnexion neuronale, où les nanotubes de carbone (CNT) servent d’échafaudage structurel pour relier l’activité électrique du tissu, à la manière de fils conducteurs.

Gel de polyacrylamide (Polyacrylamide)

Un autre candidat possible pour la valeur du pic de 1450 cm-1 est le gel/gel de polyacrylamide, couramment utilisé pour la dosimétrie des radiations en imagerie par résonance magnétique (Baldock, C. ; Rintoul, L. ; Keevil, S.F. ; Pope, J.M. ; George, G.A. 1998). Les valeurs Raman sont visibles sur la figure 3.

Fig.3. Tableau des valeurs Raman liées au polyacrylamide et leur représentation spectrographique. (Baldock, C. ; Rintoul, L. ; Keevil, S.F. ; Pope, J.M. ; George, G.A. 1998)

Il est intéressant de noter que le gel de polyacrylamide figurait déjà dans un article précédemment examiné sur les interactions in-vivo de l’oxyde de graphène dans le sang, qui concluait aux effets toxiques et aux pathologies qu’il pouvait provoquer dans les poumons, le sang, le foie et les reins, seulement 7 jours après l’inoculation, voir (Palmieri, V. ; Perini, G. ; De-Spirito, M. ; Papi, M. 2019). Dans cette publication, il est également ajouté que l’oxyde de graphène “GO-polyacrylamide” (GO-PAM), parmi d’autres combinaisons d’hydrogels, est un puissant agent d’adsorption des protéines, avec une efficacité légèrement supérieure à 90%, générant une “couronne biomoléculaire”, qui provoque l’inhibition de l’hémolyse et donc de la thrombose, voir figure 4. Le GO-PAM déclenche également la libération de cytokines lors de son interaction avec les macrophages, ce qui est connu sous le nom de “tempête de cytokines”. Ceci est corroboré par (Zhang, X. ; Wei, C. ; Li, Y. ; Li, Y. ; Chen, G. ; He, Y. ; Yu, D. 2020) qui décrit la capacité possible des nanofeuilles d’oxyde de graphène à régénérer le tissu osseux, bien qu’avec un risque élevé de cytotoxicité, dépendant de la dose induite. 

Fig.4. Schéma des effets des flocons de graphène GO-PAM mentionnés dans la publication de (Palmieri, V. ; Perini, G. ; De-Spirito, M. ; Papi, M. 2019).

Paradoxalement, le disulfure de molybdène synthétisé avec du polyacrylamide (CPAM/MoS2) s’est révélé être un composé efficace pour l’élimination de l’oxyde de graphène des solutions aqueuses, comme l’ont indiqué (Wang, J. ; Zhu, M. ; Chen, Z. ; Chen, Y. ; Hayat, T. ; Alsaedi, A. ; Wang, X. 2019) dans leurs travaux scientifiques. Cet effet a été obtenu par l’effet d’attraction électrostatique et la capture (absorption) des liaisons hydrogène de l’oxyde de graphène “GO”. Il convient de noter que les auteurs de l’étude mentionnent l’oxyde de graphène comme une “pollution à gérer”, répondant ainsi à la nécessité de développer des méthodes de décontamination dans divers domaines tels que la biomédecine et la pollution environnementale. Ils précisent «qu’il est prouvé que le GO est le matériau à base de graphène le plus toxique et qu’il peut nuire à divers organismes, y compris les bactéries, les animaux et les humains», ce qui ne laisse aucun doute sur sa dangerosité.

Les hydrogels d’oxyde de graphène/polyacrylamide (PAM/GO) ont de multiples applications telles que la différenciation neuronale (Zhao, Y. ; Wang, Y. ; Niu, C. ; Zhang, L. ; Li, G. ; Yang, Y. 2018), l’ingénierie tissulaire (Liu, X. ; Miller, A.L. ; Waletzki, B.E. ; Lu, L. 2018), et surtout, le développement d’interfaces gliales en graphène (Fabbri, R. ; Saracino, E. ; Treossi, E. ; Zamboni, R. ; Palermo, V. ; Benfenati, V. 2021). Cette dernière étude est la preuve scientifique que le polyacrylamide associé à l’oxyde de graphène peut être utilisé pour créer une passerelle vers la synapse neuronale, permettant la neuromodulation et la neurostimulation. Il est démontré que le PAM/GO et d’autres dérivés de l’oxyde de graphène “GO” peuvent être utilisés pour traiter l’épilepsie, la maladie d’Alzheimer et même la maladie de Parkinson, en raison de leurs caractéristiques radio-modulables, agissant comme des électrodes pour la glie neuronale. Toutefois, cette affirmation est contredite par des études antérieures expliquant l’effet toxique de l’oxyde de graphène, qui est capable de provoquer des maladies neurodégénératives (Chen, H.T. ; Wu, H.Y. ; Shih, C.H. Jan, T.R. 2015 | Dowaidar, M. 2021 | Alpert, O. ; Begun, L. ; Garren, P. ; Solhkhah, R. 2020), qui se définit comme une excuse pour justifier la recherche et la poursuite d’autres objectifs plus ambitieux. En effet, les déclarations suivantes sont faites dans la section des conclusions :«nous fournissons des preuves qui soulignent l’importance fondamentale d’une investigation ciblée des signaux moléculaires et des processus physiologiques qui sous-tendent la fonctionnalité des cellules et des réseaux gliaux. De nouveaux dispositifs permettant de contrôler et de moduler la signalisation gliale pourraient avoir un potentiel important dans l’étude et le traitement des maladies neurodégénératives affectant le SNC, le SNP ou les fonctions sensorielles telles que la vision et l’équilibre. Nous suggérons, à l’aide de résultats récents, que l’interfaçage des nanomatériaux de graphène avec les cellules gliales pourrait être la stratégie optimale pour obtenir une combinaison de sélectivité, de résolution, de flexibilité mécanique et de biocompatibilité à exploiter avec succès dans l’ingénierie des interfaces gliales à l’échelle nanométrique….. L’ingénierie gliale et les interfaces gliales basées sur le graphène peuvent être utiles pour découvrir le domaine inexploré du rôle des cellules gliales dans les circuits cérébraux et sensoriels. En approfondissant nos connaissances sur la fonction de la signalisation calcique, des canaux ioniques et des aquaporines, nous pouvons acquérir une compréhension plus large de la fonctionnalité gliale afin de tenter de déclencher et de contrôler leurs mécanismes et leurs propriétés fonctionnelles dans le fonctionnement et le dysfonctionnement du cerveau. Cependant, l’ingénierie gliale et les interfaces gliales basées sur le graphène peuvent générer une nouvelle classe d’interfaces cerveau-machine bidirectionnelles pour le diagnostic et la thérapie de conditions neuropathologiques cliniquement intraitables. Par conséquent, les interfaces gliales à base de graphène peuvent représenter une nouvelle approche bioélectronique. » Il s’agit d’une preuve supplémentaire de l’intérêt porté à l’utilisation des nanomatériaux et des hydrogels de graphène pour la neuromodulation, la neurostimulation et la surveillance des zones du cerveau, avec la justification d’un traitement thérapeutique, ce qui a déjà laissé la porte ouverte à d’autres utilisations moins nobles et légales, telles que l’interférence neuronale, chez des personnes inoculées avec des hydrogels d’oxyde de graphène/PVA/PAM. 

À titre de précision pour les nouveaux lecteurs, l’oxyde de graphène est un nanomatériau capable d’absorber les ondes électromagnétiques (micro-ondes) et de les propager à travers le corps humain (lorsqu’il est inoculé), transmettant ainsi des signaux de type TS-OOK qui configurent des paquets de données encapsulant des données collectées par des biocapteurs en graphène, des points quantiques en graphène, des nanotransistors en graphène, des SDM en graphène, etc. Étant donné les propriétés du graphène et des nanotubes de carbone à franchir la barrière hémato-encéphalique, le nanomatériau peut être logé dans le tissu cérébral, recouvrant les neurones, la glie et les astrocytes, favorisant leur interconnexion, mais ajoutant également une couche d’interaction (appelée ici interface gliale) avec laquelle les signaux électromagnétiques (micro-ondes) peuvent être reçus et propagés par le reste des composants du graphène (formant un réseau de nano-communications). Cela permet au cerveau des personnes inoculées d’être sensible à la neurostimulation sans fil, à la neuromodulation, à la surveillance, interférant dans son fonctionnement naturel, provoquant la perte indéfectible de la liberté et du libre arbitre, étant soumis à des stimuli externes qui lui sont étrangers et qu’il ne peut contrôler. Par conséquent, l’excuse/objectif du traitement thérapeutique, défendu par (Fabbri, R. ; Saracino, E. ; Treossi, E. ; Zamboni, R. ; Palermo, V. ; Benfenati, V. 2021) devient un danger extraordinaire pour la liberté et la santé de l’humanité, dans un contexte de campagnes de vaccination contre le c0r0n@v|rus, dans lequel la présence de ces matériaux dans les vaccins a été confirmée de manière irréfutable (Campra, P. 2021) et éventuellement tous types de composés injectables, car il est breveté pour la production de sérums physiologiques tels qu’étudiés dans le brevet (KR20210028062A. 2020). 

Polymère PQT-12

Le spectre de 1457 du polymère PQT-12 est très proche de la valeur de 1450 recherchée dans la revue de la littérature scientifique. Cela peut être constaté dans les études de spectroscopie Raman de (Pandey, R.K. ; Singh, A.K. ; Prakash, R. 2014 | Pandey, R.K. ; Singh, A.K. ; Upadhyay, C. ; Prakash, R. 2014), comme on peut le voir dans les figures 5 et 6. Il est intéressant de noter que ces références présentent le PQT-12 comme un polymère qui facilite l’auto-ordre moléculaire (c’est-à-dire l’auto-assemblage) et améliore les performances des dispositifs électroniques organiques.

Fig.5. Spectres Raman normalisés des films PQT-12 analysés. (Pandey, R.K. ; Singh, A.K. ; Prakash, R. 2014)
Fig.6. Spectres Raman de films multicouches PQT-12. (Pandey, R.K. ; Singh, A.K. ; Upadhyay, C. ; Prakash, R. 2014)

En outre, le polymère PQT-12 est associé au graphène et aux pérovskites halogénures (structure cristalline de divers matériaux, caractérisée par sa magnétorésistance, sa supraconductivité et son coût de production inférieur à celui du silicium), pour former des dispositifs synaptiques (memristors, mémoires résistives, photoconducteurs, transistors et mémoires flash photoniques) destinés à interagir avec le complexe neuronal, de sorte que la plasticité synaptique et le processus d’apprentissage puissent être “émulés”, comme expliqué par (Chen, S. Huang, J. 2020) dans leurs recherches. En fait, ils affirment dans leurs conclusions que «par rapport à d’autres matériaux, les pérovskites halogénures (HP) ont des propriétés électriques et optiques uniques, notamment la migration des ions, les effets de piégeage des charges causés par les défauts intrinsèques, une excellente efficacité d’absorption de la lumière, une grande mobilité des charges et une longue durée de vie des charges, ce qui garantit une modulation à plusieurs niveaux du poids synaptique, des synapses artificielles basées sur les HP et présente un grand potentiel pour le développement ultérieur de l’informatique neuromorphique. Avec le développement rapide des dispositifs électriques à base de HP, tels que les memristors, au cours des dernières décennies, des dispositifs synaptiques de stimulation électrique à base de HP ont été mis en œuvre avec succès, ce qui favorise le développement de synapses artificielles à base de HP vers une modulation hybride optique-électrique plus complexe». En d’autres termes, le polymère PQT-12, associé au graphène et aux pérovskites halogénures à l’échelle nanométrique, permet de configurer l’électronique nécessaire à la création de synapses artificielles pour émuler les processus biologiques de pensée et de raisonnement du cerveau humain, ce qui est également corroboré dans les travaux de (Dai, S. ; Zhao, Y. ; Wang, Y. ; Zhang, J. ; Fang, L. ; Jin, S. ; Huang, J. 2019). Cependant, il est juste de souligner que ces études ne fournissent pas une application in-vivo, se concentrant sur l’aspect d’émulation électronique des synapses neuronales. Cependant, le PQT-12 est également combiné au graphène, formant des hydrogels dont on cherche à améliorer la biocompatibilité, la réduction de la dégradation et la capacité conductrice. L’article de (Chakraborty, P. ; Das, S. ; Nandi, A. K. 2019) y fait référence, ainsi que la citation des hydrogels de PVA et de graphène, entre autres. 

N-N Diméthylacrylamide (N-N Diméthylacrylamide)

Le N-N Diméthylacrylamide a un spectre de 1453, également très proche de la cible de 1450, comme on peut le voir sur la figure 7, selon les données enregistrées dans (ChemicalBook. 2017). Cependant, les références bibliographiques associées au graphène sont peu nombreuses, contrairement aux autres matériaux déjà cités. 

Fig.7. Spectre Raman du N-N Diméthylacrylamide. (ChemicalBook. 2017)

Parmi les études les plus notables sur le N-N Diméthylacrylamide, le graphène et les applications biomédicales, il convient de mentionner celle de (Weng, L. ; Gouldstone, A. ; Wu, Y. ; Chen, W. 2008) concernant l’ingénierie tissulaire, où l’objectif est de créer un matériau photoréticulé et résistant, combiné aux hyaluronanes, afin d’obtenir des hydrogels non toxiques qui aident à la production de tissus d’organes, de valves cardiaques et même de tissus osseux (Wu, Y. ; Zhang, X. ; Zhao, Q. ; Tan, B. ; Chen, X. ; Liao, J. 2020). L’acquisition de meilleures propriétés mécaniques dans l’hydrogel est obtenue par l’ajout de graphène, et de chitosan comme suggéré par (Sun, X. ; Shi, J. ; Xu, X. ; Cao, S. 2013). Le N-N Diméthylacrylamide a également été utilisé comme revêtement pour les particules de magnétite (Fe3O4) afin de réduire leurs effets toxiques et mutagènes dans des cultures de cellules stromales/fibroblastes humaines et de souris, avec des résultats négatifs.  

Acide N-diméthylamino benzoïque (Acide N-diméthylamino benzoïque)

L’acide N-diméthylamino benzoïque apparaît avec un spectre de 1450 dans la littérature scientifique, comme le montre la figure 8, correspondant aux travaux de (Choe, J.G. ; Kim, Y.H. ; Yun, M.J. ; Lee, S.J. ; Kim, G. ; Jeong, S.C. 2001) sur le transfert de charge intramoléculaire de solutions aqueuses de cyclodextrine d’acide diméthyl aminobenzoïque. Cependant, il n’y a pratiquement aucun article lié au graphène ou à d’autres matériaux connus présents dans les vaccins c0r0n@v|rus, du moins jusqu’à présent. Cependant, des relations avec les pérovskites ont été obtenues, comme le mentionnent les travaux de (Bonabi-Naghadeh, S. ; Luo, B. ; Abdelmageed, G. ; Pu, Y.C. ; Zhang, C. ; Zhang, J.Z. 2018), ce qui permet de déduire l’hypothèse qu’il pourrait être utilisé dans la production de dispositifs électroniques. 

Fig.8. Espectro Raman del N-Ácido Dimetil Aminobenzoico. (Choe, J.G.; Kim, Y.H.; Yun, M.J.; Lee, S.J.; Kim, G.; Jeong, S.C. 2001)

CH2-CH3

Les groupes éthylène-méthylène CH2-CH3 présentent également des spectres Raman à 1450 cm-1 selon les références suivantes (Lykina, A.A. ; Artemyev, D.N. ; Bratchenko, I.A. ; Khristoforova, Y.A. ; Myakinin, O. Kuzmina, T. ; Zakharov, V. 2017 | Khalid, M. ; Bora, T. ; Al-Ghaithi, A. ; Thukral, S. ; Dutta, J. 2018 | Darvin, M.E. ; Choe, C.S. ; Schleusener, J. ; Lademann, J. 2019) et leurs spectrogrammes, voir figure 9. Ces correspondances se produisent dans le contexte du tissu osseux humain, des protéines sanguines et des tissus musculo-squelettiques, ce qui rend peu probable que le CH2-CH3 soit la matière présente dans le spectre 1450 observé dans les vaccins. 

Fig.9. Spectre Raman du groupe CH2-CH3. (Darvin, M.E. ; Choe, C.S. ; Schleusener, J. ; Lademann, J. 2019)

ANNEXE 1. Affections cardiaques et vasculaires induites par les vaccins selon l’EMA

Le nombre de maladies cardiovasculaires enregistrées quotidiennement n’a cessé d’augmenter, avec une hausse significative ces derniers mois, parallèlement à l’augmentation du taux et de la fréquence de la vaccination dans la population. C’est ce qui ressort des données officielles enregistrées par l’Agence européenne des médicaments (EMA), de sorte qu’une corrélation de cause à effet peut être établie entre le vaccin et les graves dommages qu’il provoque. Cette annexe présente les données relatives aux vaccins Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Jansen. Des liens sont également fournis vers la source officielle (base de données de l’EMA) où l’on peut consulter les cas, les effets indésirables et même les décès, qui ont été (officiellement) causés par les vaccins, dans les pays de l’Union européenne. 

Fig.10. Nombre de cas (quotidiens et cumulatifs) d’accidents cardiovasculaires causés par le vaccin Pfizer, tels qu’enregistrés par l’EMA au cours de l’année 2021. (Moyenne de 209 cas par jour. 63 061 cas au total). Source : EMA. Graphique : Élaboration propre. [Consulté le 2021/11/03].
Fig.11. Nombre de cas (quotidien et cumulé) d’accidents cardiovasculaires causés par le vaccin Moderna, tels qu’enregistrés par l’EMA sur l’année 2021. (Moyenne de 68 cas par jour. 19 071 cas au total). Source : EMA. Graphique : Élaboration propre. [Consulté le 2021/11/03].
Fig.12. Nombre de cas (quotidiens et cumulatifs) d’événements cardiovasculaires causés par le vaccin d’AstraZeneca, tels qu’enregistrés par l’EMA au cours de l’année 2021. (Moyenne de 149 cas par jour. Compte total 41 907 cas) Source : EMA. Graphique : Élaboration propre. [Consulté le 2021/11/03].
Fig.13. Nombre de cas (quotidiens et cumulatifs) d’accidents cardiovasculaires causés par le vaccin Jansen, tels qu’enregistrés par l’EMA au cours de l’année 2021 (moyenne de 21 cas par jour. Nombre total de 4 232 cas). Source : EMA. Graphique : Élaboration propre. [Consulté le 2021/11/03].

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Identification de motifs dans le sang de personnes vaccinées : graphène cristallisé

Dans l’entrée précédente, nous avons pu identifier ce qui était très probablement un nanorobot en forme de ruban légèrement enroulé, également connu sous le nom de microngeurs (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017), présent dans la microscopie réalisée par une équipe allemande de chercheurs indépendants, qui a été montrée dans le documentaire de (Tim Truth. 2021a) et dans le programme 119 du cinquième colloque. Pané, S. 2017), présente dans la microscopie réalisée par une équipe allemande de chercheurs indépendants, qui a été présentée dans le documentaire de (Tim Truth. 2021a) et dans le programme 119 de la Cinquième Colonne (Delgado, R. ; Sevillano, J.L. 2021). Cette percée est très pertinente car il s’agit de la première preuve graphique de la présence de nanorobots dans le sang de personnes auxquelles on a inoculé le vaccin c0r0n@v|rus. Cependant, d’autres images ont été exposées dans le documentaire, qui doivent être vérifiées afin de comprendre et surtout de clarifier la vérité sur les composés des vaccins et, surtout, d’obtenir des certitudes sur leurs fonctions possibles et réelles dans le corps humain. Maintenant que la présence d’oxyde de graphène est connue dans le rapport du médecin (Campra, P. 2021), il reste à découvrir de nombreux détails liés à l’interaction des vaccins c0r0n@v|rus dans le sang. C’est le cas pour cette entrée. 

C0r0n@2Inspect fait un effort important pour identifier et trouver les modèles vus dans les images d’échantillons de sang de personnes vaccinées, qui parviennent à transcender et à être vérifiés par les chercheurs et les scientifiques. Par conséquent, en s’appuyant une fois de plus sur les échantillons prélevés par l’équipe allemande (composée de chercheurs, d’avocats et de médecins indépendants, à savoir Axel Bolland, Bärbel Ghitalla, Holger Fischer et Elmar Becker) dans le film documentaire de (Tim Truth. 2021a), on trouve l’image suivante, voir figure 1. 

Fig.1. Image d’un échantillon de sang obtenu par l’équipe de médecins allemands, voir le programme de (Tim Truth. 2021a).

Si vous regardez attentivement l’image, vous constatez la présence de lignes droites et de motifs géométriques, qui ne correspondent à aucun échantillon de sang vu précédemment, comme l’a reconnu le Dr Bärbel Ghitalla. Ceci est très suspect, car le sang ne présente généralement pas cette disposition géométrique, ce qui fait suspecter la présence d’un élément ou d’un matériau à l’origine de cette disposition. Eh bien, après avoir passé en revue la littérature scientifique, ce motif géométrique a été trouvé dans l’oxyde de graphène, de sorte qu’il est maintenant absolument irréfutable. Plus précisément, il s’agit du phénomène de cristallisation de l’oxyde de graphène dans le sang, qui produit une structure géométrique ou fractale. L’image correspond donc à un échantillon de graphène cristallisé dans le sang. Cette affirmation est fondée et justifiée par la documentation scientifique suivante :

Dans une première approche de l’image du graphène cristallisé de la figure 1, il convient de citer (Geng, D. ; Wu, B. ; Guo, Y. ; Luo, B. ; Xue, Y. ; Chen, J. ; Liu, Y. 2013) et leur étude sur la gravure fractale du graphène. Dans ce travail, les formes et les motifs que le graphène acquiert lorsqu’il est contrôlé thermodynamiquement sur une plaque de cuivre sont analysés. Comme le montre la figure 2, la forme géométrique du graphène pendant la cristallisation est très similaire à un flocon de neige, avec une ramification en forme d’étoile. 

Fig.2. Processus de cristallisation du graphène sur une plaque de cuivre. (Geng, D. ; Wu, B. ; Guo, Y. ; Luo, B. ; Xue, Y. ; Chen, J. ; Liu, Y. 2013)

La figure 1 ne montre qu’une partie d’une telle étoile, qui correspond parfaitement au motif du graphène. Ceci peut être facilement vérifié en superposant les deux images, qui donnent une correspondance presque exacte, voir figure 3. 

Fig.3. La superposition de la figure 2D sur la figure 1 montre la coïncidence dans le schéma de cristallisation de l’oxyde de graphène.

Une autre preuve du modèle du graphène cristallisé se trouve dans les recherches de (Amsharov, K. ; Sharapa, D.I. ; Vasilyev, O.A. ; Oliver, M. ; Hauke, F. ; Goerling, A. ; Hirsch, A. 2020) sur la fonctionnalisation du graphène de type fractal. Selon les auteurs, «dans ce travail, nous présentons une étude systématique de la régiosélectivité et de la thématique de l’hydrogénation/alkylation radicalaire du graphène». Il s’agit de l’expansion fractale des régions fonctionnalisées du graphène dans le cadre d’un «processus séquentiel de liaison covalente des radicaux hydrogène et méthyle aux bords», ce qui permet d’obtenir un zig-zag aux bords de la structure, comme le montrent les figures 4 et 5.

Fig.4. Croissance fractale du graphène fonctionnalisé dans la recherche par (Amsharov, K. ; Sharapa, D.I. ; Vasilyev, O.A. ; Oliver, M. ; Hauke, F. ; Goerling, A. ; Hirsch, A. 2020).
Fig.5. Différents modèles de cristallisation du graphène expérimentés par (Amsharov, K. ; Sharapa, D.I. ; Vasilyev, O.A. ; Oliver, M. ; Hauke, F. ; Goerling, A. ; Hirsch, A. 2020).

Selon les chercheurs, le niveau d’hydrogénation, de dihydrogénation et d’addition de radicaux affecte les bords que le graphène acquiert, augmentant ou réduisant la symétrie du fractal. Cette affirmation est la suivante : «la régiochimie de l’hydrogénation/alkylation réductrice du graphène peut être rationalisée comme un processus d’addition radicalaire….. Cela nous permet de développer un modèle général pour les ajouts multiples et de prédire le schéma d’ajout complexe du graphène fonctionnalisé par réduction».

La lecture des travaux de Fang, J., Wang, D., DeVault, C.T., Chung, T.F., Chen, Y.P., Boltasseva, A. et Kildishev, A.V. (2017) sur les photodétecteurs en graphène à surface améliorée fractale est une preuve qui correspond parfaitement au schéma de la figure 1 et à la température à laquelle on trouve du graphène dans le sang. Les chercheurs reconnaissent que «le graphène s’est révélé être un matériau de photodétection prometteur en raison de son absorption optique à bande ultra-large, de sa compatibilité avec la technologie CMOS (complementary metal oxide semiconductor) et de l’accordabilité dynamique de ses propriétés optiques et électriques». Ils ajoutent que «nous proposons une métasurface fractale similaire à un flocon de neige doré pour réaliser un renforcement plasmonique à large bande et insensible à la polarisation dans le photodétecteur en graphène». Nous obtenons expérimentalement une photovoltation améliorée de la métasurface fractale qui est d’un ordre de grandeur supérieur à celle générée sur un simple bord or-graphène et une telle augmentation de la photovoltation est maintenue dans tout le spectre visible.” Ces déclarations sont très importantes, car elles valident le modèle observé dans les figures 1, 2, 3, 4 et 5 en précisant la forme de la fractale comme un flocon de neige hautement dendritique auquel sont attribuées des caractéristiques plasmoniques (propriétés optiques du plasmon du graphène) à haute tension. Cela signifie que les radiations Cherenkov peuvent être transformées en ces plasmons de graphène de GHz à THz, provoquant des rayonnements ionisants en raison de leur effet multiplicatif (Zhao, T. ; Hu, M. ; Zhong, R. ; Gong, S. ; Zhang, C. ; Liu, S. 2017). 

Fig.6. Construction du flocon de neige fractal structuré en quatre niveaux et de la distribution uniforme du champ électrique dans le quadrant (c). La longueur d’onde d’excitation du plasmon du graphène est de 530 nm.

Comment ces structures cristallisées de graphène sont-elles créées ?

Il existe plusieurs facteurs susceptibles d’agir sur la forme et l’assemblage du graphène et sur sa cristallisation. Premièrement, l’hydrogénation, comme déjà mentionné dans les travaux de (Amsharov, K. ; Sharapa, D.I. ; Vasilyev, O.A. ; Oliver, M. ; Hauke, F. ; Goerling, A. ; Hirsch, A. 2020). Deuxièmement, une température et des conditions thermodynamiques appropriées, comme en témoignent les recherches de (Zhang, G. ; Weeks, B. ; Gee, R. ; Maiti, A. 2009) sur la croissance fractale dans les films organiques de nitrocellulose, citées par (Zhang, X. Hikal, W.M. ; Zhang, Y. ; Bhattacharia, S.K. ; Li, L. ; Panditrao, S. ; Weeks, B.L. 2013) dans leurs travaux sur l’initiation ou l’activation des nanocomposites nitrocellulose/oxyde de graphène par laser ou lumière infrarouge (NIR Near Infrared). Selon les chercheurs, «la température de l’environnement influence le taux de croissance des branches. Pour quantifier l’effet de la température, nous avons mesuré le taux de croissance des branches pendant le recuit. A 30°C, le taux de croissance s’avère être de 0,15(±0,03)μm/s. Le taux de croissance augmente presque linéairement et présente un maximum intéressant à 45°C, avant de tomber essentiellement à zéro à 60°C. Un chauffage supplémentaire a conduit à un rétrécissement des structures dendritiques avec une disparition complète à 85°C». Cela confirme sans aucun doute que l’oxyde de graphène peut développer des structures dendritiques fractales à la température habituelle du corps humain, vraisemblablement à une vitesse quasi-optimale, ce qui confirme l’existence de structures de graphène cristallisées dans le sang, ce qui pourrait expliquer une grande partie des phénomènes thrombotiques et indésirables liés à l’oxyde de graphène. 

Fig.7. Test de croissance fractale dendritique avec modulation thermique. (Zhang, G. ; Weeks, B. ; Gee, R. ; Maiti, A. 2009)

Une autre explication de la croissance des structures de graphène cristallisé est la technique CVD (dépôt chimique en phase vapeur), qui, bien qu’improbable dans le cas de l’analyse de sang discutée ici, mérite d’être mentionnée. Selon (Massicotte, M. ; Yu, V. ; Whiteway, E. ; Vatnik, D. ; Hilke, M. 2013 | Zhang, X. ; Zhou, Q. ; Yuan, M. ; Liao, B. ; Wu, X. ; Ying, M. 2020) ils proposent une technique CVD qui aboutit à des cristaux hexagonaux en forme de flocon de neige “hautement dendritiques”, qu’ils ont nommés “glafocons ou graphlocons”. Selon eux, l’objectif de la recherche est de parvenir à une méthode optimale pour la formation de dendrites dans le graphène fractal, afin de garantir l’effet Hall quantique (QHE). Selon les auteurs, «des transistors à effet de champ (FET) ont été fabriqués dans des graphlocons à base de SiO2/Si (graphène) et des mobilités à effet de champ allant jusqu’à 6300cm2 V-1s-1 ont été mesurées à 4K. Ces dispositifs ont également montré des caractéristiques d’effet Hall quantique (QHE) bien développées malgré leurs bords dendritiques». En d’autres termes, on recherche des fractales de graphène présentant une ramification importante pour assurer l’effet Hall quantique dans les “transistors à effet de champ”. L’effet Hall quantique est le phénomène observé dans les systèmes bidimensionnels tels que le graphène ou l’oxyde de graphène 2D (Wang, L. ; Gao, Y. ; Wen, B. ; Han, Z. ; Taniguchi, T. ; Watanabe, K. ; Dean, C.R. 2015), les électrons, lorsqu’ils sont soumis à de forts champs magnétiques, développant des valeurs de conductivité semblables à celles des semi-conducteurs. Ce point est très pertinent, car il est reconnu par plusieurs projets de recherche financés par l’UE (CORDIS. EU. 2015a | 2015b) comme un élément essentiel pour la création d’ordinateurs quantiques, ce qui démontre l’intérêt de la communauté scientifique et politique européenne pour le développement de la technologie du graphène avec effet Hall quantique. Il s’agit donc d’une propriété très recherchée pour améliorer les propriétés optiques des antennes afin d’augmenter leur capacité de bande passante pour l’envoi et la réception de données, comme le revendique un groupe de chercheurs de l’université de Berkeley (Bahari, B. ; Hsu, L. ; Pan, S.H. ; Preece, D. ; Ndao, A. ; El-Amili, A. ; Kanté, B. 2021) qui a démontré comment l’effet Hall quantique sur un plan 2D «soumis à un champ magnétique perpendiculaire permet la génération directe et intégrée de faisceaux cohérents de moment angulaire orbital de grands nombres quantiques à partir de la lumière voyageant sur des orbites circulaires fuyantes à l’interface entre deux structures photoniques topologiquement différentes. Nos travaux donnent un accès direct au nombre infini d’éléments de base du moment angulaire orbital et permettront donc de créer des sources de lumière quantique multiplexées pour des applications d’imagerie et de communication.» En d’autres termes, l’utilisation de topologies fractales de graphène avec des bords dendritiques, comme celle observée dans l’échantillon de sang de la figure 1, constitue potentiellement une antenne capable de transmettre et de recevoir des données, des informations ou des communications. Si l’on ajoute à ces faits les preuves que l’oxyde de graphène est un matériau absorbant les ondes électromagnétiques, y compris la 5G (Chen, Y. ; Fu, X. ; Liu, L. ; Zhang, Y. ; Cao, L. ; Yuan, D. ; Liu, P. 2019), il ne fait guère de doute qu’il a un effet direct sur les personnes. 

Pourquoi ? Pour quoi faire ?

Comme le reconnaissent les travaux de (Nourbakhsh, M. ; Zareian-Jahromi, E. ; Basiri, R. 2019), le graphène fractal est un matériau idéal pour absorber et confiner les ondes électromagnétiques (EM) térahertz, de plus «L’absorbance et la largeur de bande de la structure sont presque indépendantes de la modification de l’angle d’incidence θ jusqu’à 60° et 30° pour les polarisations TM (Transverse Magnetic) et TE (Transverse Electric), respectivement». Cela soulève une propriété très importante, car quel que soit l’angle auquel la fractale de graphène est située, elle sera en mesure de recevoir l’onde électromagnétique. Si les fractales de graphène sont dans le sang, il semble logique de penser qu’elles ne seront pas toujours au même angle ou à la même position, ce qui nécessite que le graphène cristallisé et dendritique soit capable de recevoir le signal. Elle ajoute : «La structure obtenue produit une absorbance à large bande de plus de 0,9 entre 0,88 et 8,12 THz. La fréquence centrale des spectres d’absorption est de 4,5 THz et on obtient une largeur de bande relative de 161%». Cela va de nouveau dans le sens des études déjà analysées sur l’absorption des ondes électromagnétiques dans le spectre 5G.

Fig.8. Fractale de base en forme de flocon de neige développant une absorbance à large bande. (Nourbakhsh, M. ; Zareian-Jahromi, E. ; Basiri, R. 2019)

À partir de tous ces faits, on peut confirmer une fois de plus que l’objectif que la création de ces nanocristaux de graphène fractalisé peut poursuivre est la création de nanoantennes pour la réception et l’émission de données et, dans le pire des cas, pour la multiplication des rayonnements, comme déjà expliqué, ou bien tous ces effets sont recherchés, selon la commodité et les besoins. Par exemple, selon les travaux de (Moghadasi, M.N. ; Sadeghzadeh, R.A. ; Toolabi, M. ; Jahangiri, P. ; Zarrabi, F.B. 2016) les nanoantennes en graphène sous forme fractale seraient utilisées pour «des applications en médecine et en spectroscopie… aboutissant à une modélisation finale qui a la caractéristique de double bande à 46 et 86 THz, et qui est mise en œuvre pour la détection biomédicale dans les applications de l’infrarouge moyen». Bien que la bande interdite puisse être très élevée, elle peut être encore plus élevée s’il s’agit d’une nanoantenne fractale en graphène de type Sierpinski, comme l’explique (Boretti, A. ; Rosa, L. ; Blackledge, J. ; Castelletto, S. 2020) dans leur article, car elle peut atteindre des fréquences de 215 THz à 8,34 dB. Ils sont également d’accord avec les autres auteurs, affirmant que «des nano-antennes fractales extrêmement petites et à très haute fréquence basées sur le graphène, un cristal de carbone bidimensionnel d’un atome d’épaisseur, peuvent améliorer les communications sans fil pour les applications commerciales et militaires. Les nano-antennes basées sur les polaritons plasmoniques de surface permettent de convertir la lumière de l’espace libre en volumes sub-longueur d’onde, établissant une forme de communication par la propagation d’électrons libres dans des réseaux de dispositifs nanométriques. Cette approche peut avoir un impact majeur pour de nombreuses applications, notamment les capteurs biochimiques, les métasurfaces reconfigurables, les dispositifs optoélectroniques compacts, la surveillance avancée de la santé, les systèmes d’administration de médicaments et les réseaux sans fil de nanocapteurs pour la prévention des attaques biologiques et chimiques. Le contrôle dynamique et les propriétés reconfigurables de ces antennes sont également très souhaitables pour les applications susmentionnées. En raison de ses propriétés électroniques uniques, le graphène a récemment été identifié comme une plateforme prometteuse pour construire des nano-antennes plasmoniques actives intégrées pour une large gamme de longueurs d’onde dans l’infrarouge moyen.» Il s’agit d’un large éventail d’utilisations, y compris l’administration de médicaments et la surveillance de la santé, étant entendu que l’échelle, permet son introduction dans le corps humain comme observé dans l’échantillon de sang de la figure 1. Cette capacité des antennes fractales se traduit par un débit de données sans fil d’environ 1012 bits par seconde, comme indiqué (Blackledge, J.M. ; Boretti, A. ; Rosa, L. ; Castelletto, S. 2021). Il est également indiqué «qu’une antenne en graphène fractal est une antenne accordable à haute fréquence pour les radiocommunications dans le spectre THz… elle offre la possibilité de révolutionner les communications, au moins en champ proche (de l’ordre de quelques mètres) pour les systèmes à faible puissance….. L’approche permettant de générer des sources THz à l’aide de graphène est également explorée en se basant sur le pompage de lasers infrarouges pour induire un photocourant THz….». 

Fig.9. Schéma de l’activation infrarouge du graphène et de son champ d’émission électromagnétique (EM) à THz. Notez que la forme de l’antenne est une fractale de graphène 2D. (Blackledge, J.M. ; Boretti, A. ; Rosa, L. ; Castelletto, S. 2021)

Cela démontre que les fractales de graphène sont radio-accordables dans le spectre 5G, et donc parfaitement modulables dans le cadre des communications sans fil, comme le soulignent à juste titre les auteurs de l’article. 

Une fois qu’il est clair que les cristaux de graphène de forme fractale sont de facto des antennes qui agissent en fonction des champs et des ondes électromagnétiques, multipliant considérablement la largeur de bande et la fréquence, il reste une pièce très importante à intégrer. C’est la neuromodulation. Selon l’article de (Park, H. ; Zhang, S. ; Steinman, A. ; Chen, Z. ; Lee, H. 2019), les microélectrodes fractales les plus adaptées à la neurostimulation pour prévenir la cytotoxicité causée par la dissolution électrochimique du platine dans le cerveau sont recouvertes de graphène. Les auteurs déclarent : «Bien que le Pt (platine) soit généralement considéré comme un matériau sûr et inerte, il est connu pour subir une dissolution électrochimique irréversible pendant la neurostimulation. Les sous-produits de ces réactions électrochimiques irréversibles sont connus pour être cytotoxiques et peuvent endommager le substrat neural environnant. Avec la diminution de la taille des microélectrodes pour des interfaces neuronales plus avancées à haute densité, il est nécessaire de disposer d’électrodes neurostimulatrices plus fiables, sûres et performantes. Dans ce travail, nous démontrons qu’une monocouche de graphène peut supprimer de manière significative la dissolution du Pt tout en maintenant une excellente fonctionnalité électrochimique. Nous avons microfabriqué des microélectrodes de Pt nues et recouvertes de graphène avec des conceptions circulaires et fractales et mesuré leur taux de dissolution du Pt en utilisant la spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif.» 

Fig.10. Microélectrodes de platine recouvertes de graphène. (Park, H. ; Zhang, S. ; Steinman, A. ; Chen, Z. ; Lee, H. 2019)

Cela signifie qu’il est possible de combiner les meilleures propriétés du graphène et du platine et de les réunir dans une électrode, qui est en fait la nanoantenne en forme de fractale expliquée ci-dessus. Toutefois, si des doutes subsistent quant à la possibilité de créer des électrodes à l’échelle nanométrique pour le suivi neurologique, nous vous recommandons de lire les références suivantes (Marinesco, S. 2021 | Garcia-Cortadella, R. ; Schafer, N. ; Cisneros-Fernandez, J. ; Ré, L. ; Illa, X. ; Schwesig, G. ; Guimerà-Brunet, A. 2020 | Wang, M. ; Mi, G. ; Shi, D. ; Bassous, N. ; Hickey, D. ; Webster, T.J. 2018). Les faits révèlent que les fractales de graphène cristallisé conviennent même comme électrodes pour le suivi de l’activité cérébrale et donc pour la neurostimulation, en utilisant des ondes électromagnétiques EM et même par rayonnement à très haute fréquence, comme cela a été démontré. 

Commentaires

Il semble démontré que l’image de l’échantillon de sang capturé par l’équipe de recherche allemande (mentionnée ci-dessus) dans la figure 1, correspond à un phénomène de cristallisation fractale du graphène, causé par l’hydrogénation et des conditions thermodynamiques favorables, bien que d’autres causes ou méthodes ne soient pas exclues et doivent encore être localisées.

Selon la littérature scientifique examinée, les fractales de graphène se révèlent être d’excellentes antennes à l’échelle nanométrique pour les communications sans fil utilisant des fréquences élevées atteignant la gamme des GHz et des THz, très probablement grâce à l’effet Cherenkov. Il a également été démontré que les dendrites ou les branches de la fractale multiplient la capacité d’absorption des ondes électromagnétiques, produisant l’effet Hall quantique, de sorte que ces structures peuvent agir comme des antennes, des transistors, des émetteurs, des récepteurs, des électrodes, des commutateurs et des inverseurs.

La chaîne de redécouvertes et de preuves présentée ici, selon la littérature scientifique, met davantage en évidence l’intentionnalité, les objectifs, les stratégies et les buts des campagnes d’inoculation. Il est irréfutable que les personnes inoculées pourraient avoir ces composés dans tout leur corps, être au mieux neuromodulées, ou subir des dommages irréversibles suite à l’effet multiplicatif des fractales de graphène face aux rayonnements électromagnétiques (EM).

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L’oxyde de graphène influence la nucléation de la glace dans l’atmosphère

Référence.

Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. (2020). Heterogeneous ice nucleation by graphene nanoparticles. Nucléation hétérogène de la glace par les nanoparticules de graphène. Rapports scientifiques, 10(1), pp. 1-9. [304]

Faits

Cette étude a examiné comment les “nanoparticules de graphène-oxyde de graphène”, appelées “GGON”, peuvent servir de base à la nucléation de la glace. C’est la formation de cristaux de glace. Les chercheurs ont observé que les nanoparticules GGON d’une taille comprise entre 160 et 180 nanomètres favorisaient la formation de cristaux de glace à des températures variables comprises entre -20 et -10 degrés Celsius dans une chambre à brouillard qui simule les conditions de nuages d’aérosols dans l’atmosphère terrestre. 

Fig.1. Microscopie de feuilles de graphène-oxyde de graphène utilisées dans l’étude de (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020).

Selon l’article, «plus de 50 % des précipitations terrestres proviennent de la phase de glace et les particules qui peuvent servir de noyaux de glace (IN) sont essentielles dans la microphysique des nuages et les précipitations. En outre, l’homme tente aujourd’hui de modifier les nuages pour augmenter ses ressources en eau, et dans ce contexte, les aérosols artificiels sont souhaités pour contribuer à la microphysique des nuages dans l’ensemencement des nuages. Par conséquent, les interactions entre les aérosols et les nuages et, par conséquent, leurs effets sur le temps, le climat et le changement climatique font partie des questions environnementales mondiales importantes». Cela confirme que l’ensemencement des nuages et leur modification par les aérosols sont courants pour maximiser les précipitations et ainsi modifier le climat. 

Le processus de formation des cristaux de glace dans l’atmosphère est parfaitement détaillé : «la nucléation de la glace hétérogène nécessite généralement une AP (particule d’aérosol) insoluble pour servir de IN (noyau de glace) qui initie la phase de glace par dépôt direct de vapeur d’eau, par congélation à travers des milieux aqueux et par contact, immersion ou condensation d’AP spécifiques». Dans ce cas, l’élément agissant en tant que particule d’aérosol AP est les nanoparticules de graphène-oxyde de graphène “GGON”.

Fig.2. Formation de cristaux de glace à partir de nanoparticules GGON dans la rangée a). Iodure d’argent “Agl” dans la ligne (b) et poudre de kaolinite dans la ligne (c). (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020)

Les chercheurs soulignent que l’oxyde de graphène sous forme de GGON présente des caractéristiques idéales pour la nucléation de la glace, en raison de ses structures bidimensionnelles et de ses propriétés thermiques et mécaniques, comme l’a démontré leur expérience, avec de meilleurs résultats que d’autres matériaux couramment utilisés pour l’ensemencement des nuages, à savoir “l’iodure d’argent” et “la poudre de kaolinite”. Selon les auteurs, «bien que le graphène G soit hydrophobe, l’oxyde de graphène GO est hydrophile, et l’existence de ces deux propriétés côte à côte fournit un contexte favorable à la nucléation de la glace». Un autre facteur favorisant la nucléation de la glace est l’absence ou la faible quantité de carbone organique dans le matériau, qui influence positivement la cristallisation.

D’autres études confirment les résultats décrits ici. Par exemple (Xue, H. ; Lu, Y. ; Geng, H. ; Dong, B. ; Wu, S. ; Fan, Q. ; Wang, J. 2019) affirme que la densité des “groupes hydroxyle”, également connus sous le nom de HOPG (Highly oriented pyrolytic graphite), y compris le graphène, augmente l’activité de nucléation de la glace. Ils font également des déclarations très pertinentes sur l’importance de la formation de la glace dans l’atmosphère : «la formation de cristaux de glace est cruciale dans la science de l’atmosphère ; par exemple, les cristaux de glace fournissent un support pour l’échange de molécules et de particules atmosphériques dans l’écosystème ; les cristaux de glace agissent également comme un hôte réactif qui affecte la concentration d’ozone dans la stratosphère». En outre, «les feuilles de graphène moins oxydées peuvent nucléer la glace plus efficacement», ce qui est également confirmé par (Häusler, T. ; Gebhardt, P. ; Iglesias, D. ; Rameshan, C. ; Marchesan, S. ; Eder, D. ; Grothe, H. 2018 | Whale, T.F. ; Rosillo-López, M. ; Murray, B.J. ; Salzmann, C.G. 2015).

Commentaires

La nucléation de la glace dans l’atmosphère est une constante de la recherche climatique, afin de contrôler les précipitations, les températures et finalement les ressources en eau, de plus en plus nécessaires. L’iodure d’argent et la kaolinite cèdent la place à l’utilisation de nanomatériaux 2D tels que l’oxyde de graphène, qui sont plus productifs dans la formation de nanocristaux de glace. Les essais réalisés par (Joghataei, M. ; Ostovari, F. ; Atabakhsh, S. ; Tobeiha, N. 2020) dans une chambre à brouillard simulant les conditions des aérosols dans l’atmosphère à -20°C sont similaires à celles que l’on pourrait trouver dans la troposphère à environ 7-8 km d’altitude. À l’altitude à laquelle les avions commerciaux volent habituellement, soit environ 10 km (à la limite entre la troposphère et la tropopause), la température peut atteindre -60°C. Ces détails sont importants car, selon (Knopf, D.A. ; Alpert, P.A. ; Wang, B. 2018), «les cristaux de glace formés dans la haute troposphère et la basse stratosphère (UT haute troposphère / LS basse stratosphère) peuvent se déposer, entraînant l’élimination de l’eau et provoquant la déshydratation de l’UT haute troposphère. Cela a des conséquences sur la répartition de la vapeur d’eau et donc sur le bilan radiatif, étant donné que la vapeur d’eau est le gaz à effet de serre le plus puissant. Les particules de glace dans la tropopause contrôlent le transport de l’eau dans la basse stratosphère LS, ce qui affecte la composition chimique de la stratosphère. Les surfaces des cristaux de glace peuvent servir de surfaces hétérogènes pour les réactions d’appauvrissement de l’ozone et agir comme des puits pour HNO3 (acide nitrique). Malgré la reconnaissance de l’importance de la formation de glace atmosphérique, nos connaissances prévisionnelles restent insuffisantes pour sa représentation dans les modèles climatiques». En d’autres termes, s’il est vrai que l’oxyde de graphène GO a été injecté à une altitude de 7-10 km (haute troposphère et tropopause), à laquelle les avions commerciaux volent souvent, il génère non seulement la nucléation de la glace, mais provoque également la destruction de l’ozone et la déshydratation de la haute troposphère. En plus de ces problèmes sérieux, il y a aussi la toxicité bien connue et les effets indésirables du graphène sur le corps, qui ont été mis en garde dans tous les articles de ce blog. 

Par conséquent, s’il est vrai que la pulvérisation d’oxyde de graphène dans la troposphère existe, elle pourrait poursuivre plusieurs objectifs : a) la formation et l’ensemencement des nuages ; b) les précipitations et la récolte de l’eau ; c) la modification du temps/géoingénierie. En effet, dans leur étude, les auteurs (Liang, H. ; Möhler, O. ; Griffiths, S. ; Zou, L. 2019) tirent la conclusion suivante : «En observant la nucléation de la glace dans des composites PrGO-SN (oxyde de graphène poreux et dioxyde de silice) sous E-SEM (microscope électronique à balayage), nous avons constaté que le composite PrGO-SN poreux présentait le début de la nucléation de la glace à une température plus élevée (-8°C), ainsi qu’une croissance rapide et continue des cristaux de glace. Ces résultats permettent de mieux comprendre les facteurs qui influent sur le processus de nucléation hétérogène de la glace et éclairent la conception et la fabrication de matériaux poreux efficaces de nucléation de la glace pour de nombreuses applications pratiques, telles que l’amélioration de la pluie et la formation de nuages par des opérations d’ensemencement. Les travaux futurs impliqueront l’expérience de la chambre à brouillard comme moyen d’évaluer la performance de ce nouveau matériau dans l’ensemencement des nuages froids pour l’amélioration de la pluie et de comparer son efficacité de nucléation de la glace avec les matériaux d’ensemencement traditionnels.» Cela montre clairement qu’il y a l’intention, et la volonté, d’améliorer les précipitations grâce à la méthode de nucléation de la glace par l’oxyde de graphène GO et même de les mesurer avec des drones spécialement préparés (Bieber, P. ; Seifried, T.M. ; Burkart, J. ; Gratzl, J. ; Kasper-Giebl, A. ; Schmale, D.G. ; Grothe, H. 2020). Il n’est donc pas surprenant que des analyses indépendantes montrent que l’on trouve des nanocouches d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie. 

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Brevets portant sur l’inclusion de graphène dans les engrais et les produits phytosanitaires : Partie 1. Pseudomonas aeruginosa

Référence

Losic, D.; Kabiri, S.; McLaughlin, M.; Tran, D.; Andelkovic, I. (2021). Brevet eWO2018107212A1. “Graphene for fertilizer applications”. 2017.  [308]

Introduction

Pour en revenir à la recherche sur l’oxyde de graphène dans l’agriculture, nous analysons à cette occasion les brevets liés à l’oxyde de graphène, notamment ceux qui concernent les engrais, les produits phytosanitaires, les pesticides et les biocides. Il faut tenir compte du fait que l’oxyde de graphène est absorbé par les racines des plantes et disséminé par leurs tiges, leurs feuilles et leurs fruits, comme l’indiquent les travaux de (Wang, X. ; Pei, Y. ; Lu, M. ; Lu, X. ; Du, X. 2015). Bien que nous ayons été avertis dans tous les articles de ce blog, il ne faut pas oublier l’effet néfaste de l’oxyde de graphène et de ses dérivés sur la santé. Notez que l’oxyde de graphène GO est responsable des effets néfastes et toxiques sur le corps humain, des maladies neurodégénératives, de la destruction des cellules, de la thrombose, de la tempête de cytokines, entre autres effets du c0r0n@v|rus. 

Faits

Le brevet, déposé par des chercheurs de l’université d’Adélaïde, décrit une nouvelle gamme d’engrais à libération lente, basée sur un vecteur graphène ou oxyde de graphène GO, qui peut contenir les nutriments à libérer dans le sol où sont cultivées les plantes. Ces nutriments peuvent être le cuivre (Cu), le zinc (Zn), bien qu’il soit possible de s’adapter à d’autres composés tels que le fer (Fe), le manganèse (Mn), le bore (B), le cobalt (Co), le chlore (Cl), le chrome (Cr), le nickel (Ni) ou le nitrate de potassium, un cas analysé dans une entrée précédente, comme l’indique (Zhang, M. ; Gao, B. ; Chen, J. ; Li, Y. ; Creamer, A.E. ; Chen, H. 2014). Le principal avantage décrit par rapport à d’autres engrais tels que le sulfate de zinc (ZnSO4) et le sulfate de cuivre (CuSO4) est le meilleur dosage dans la libération des micronutriments, ce qui entraîne de meilleures performances de croissance des cultures. 

La justification à l’origine du brevet indique qu’en raison de la perte de micronutriments, de la production intensive, de l’adsorption des nutriments dans les argiles et de leur lessivage dans les couches plus profondes, l’efficacité des engrais est considérablement réduite. En ce sens, la libération progressive des engrais permet de ne pas perdre les micronutriments, en s’adaptant aux temps d’assimilation des plantes. En effet, il est indiqué que «Théoriquement, les avantages des SRF incluent la correction durable de la carence minérale et la réduction de la fréquence de la fertilisation requise, ce qui minimise par conséquent les coûts associés et la pollution environnementale». Ceci est paradoxal et contradictoire avec ce que l’on sait de la toxicité de l’oxyde de graphène.

La section des revendications protège la méthodologie de création d’engrais à partir de «…sulfate d’aluminium, sel d’acide aminé, chlorure d’ammonium, molybdate d’ammonium, nitrate d’ammonium, phosphate d’ammonium, phosphate-sulfate d’ammonium, sulfate d’ammonium, sulfate d’ammonium”. borax, acide borique, nitrate d’ammonium de calcium, silicate de calcium, chlorure de calcium, cyanamide de calcium, nitrate de calcium, acétate de cuivre, nitrate de cuivre, oxalate de cuivre, oxyde de cuivre, sulfate de cuivre, phosphate diammonique, fer-éthylènediamine-N, N-bis , acide éthylènediamine-tétraacétique, soufre élémentaire, sulfate ferrique, phosphate d’ammonium ferreux, sulfate d’ammonium ferreux, sulfate ferreux, gypse, acide humique, polyphosphate d’ammonium ferreux, chélates de fer, sulfate de fer, chaux, sulfate de magnésium, chlorure de manganèse, oxyde de manganèse, sulfate de manganèse, phosphate monoammonique (MAP), phosphate monopotassique, polyhalite, bromure de potassium, chlorure de potassium (MOP), nitrate de potassium, polyphosphate de potassium, sulfate de potassium, chlorure de sodium, métasilicate de sodium, molybdate de sodium, nitrate de sodium, sulfate de potassium (SOP), sulfate de potasse-magnésie (SOP-M), superphosphate, triple superphosphate, urée, urée-formaldéhyde, oxyde de zinc, sulfate de zinc, carbonate de zinc, phosphate de zinc et chélates de zinc ainsi que des combinaisons d’un ou plusieurs de ces sels. oxyde de zinc, sulfate de zinc, carbonate de zinc, phosphate de zinc et chélates de zinc et combinaisons d’un ou plusieurs de ces sels, oxyde de zinc, sulfate de zinc, carbonate de zinc, phosphate de zinc et chélates de zinc», sous forme de sel, de macronutriment ou de micronutriment combiné à de l’oxyde de graphène granulaire.

Autres Brevets

Le brevet (CN108991005A. 林荣铨. 2018) développe des applications phytosanitaires pour l’oxyde de graphène combiné en symbiose avec des “Pseudomonas”, pour le traitement du germe “Phytophthora” dans les cultures. Ceci est particulièrement pertinent car le pseudomonas, et en particulier le “Pseudomonas aeruginosa” était présent chez les patients atteints de c0r0n@v|rus et de syndrome de détresse respiratoire. Par exemple, le cas présenté par (Valenzuela-Molina, L.C. ; Arrambí-Díaz, C. ; Morales-Barraza, J.A. ; Ramírez-Campaña, J.C. 2020) a montré que le patient présentait des pseudomonas aeruginosa dans des proportions supérieures à 100 000 UFC (unités formant colonies). Le cas clinique a été résolu par un traitement à base de chloroquine, d’azithromycine et d’oseltamivir pendant quatre jours. Ceci est en accord avec les bons résultats obtenus avec la chloroquine et l’hydroxychloroquine pour les patients atteints de c0r0n@v|rus, voir (Chacón-Acevedo, K. ; Pinzón, C. ; Barrera, A. ; Low-Padilla, E. ; Yomayusa-González, N. 2020 | Pimentel, J. ; Andersson, N. 2020 | Mayayo-Vicente, S. ; Salvanés, F.R. ; Gallego-Arenas, A. ; Sánchez-Gómez, L.M. ; Ruiz-López, M. ; García, B.S. ; Novella-Arribas, B. 2020 | Ferner, R.E. ; Aronson, J.K. 2020 | Meo, S.A. ; Klonoff, D.C. ; Akram, J. 2020 | Sahraei, Z. ; Shabani, M. ; Shokouhi, S. ; Saffaei, A. 2020). Cependant, le cas du pseudomonas aeruginosa avec c0r0n@v|rus n’est pas un cas isolé. Une recherche plus exhaustive révèle qu’en 2020, il existe plus de 7 000 articles scientifiques faisant état de “co-infections” de “Pseudomonas aeruginosa” avec c0r0n@v|rus, voir (Qu, J. ; Cai, Z. ; Liu, Y. ; Duan, X. ; Han, S. ; Liu, J. ; Yang, L. 2021 | Perez, L.R.R., Carniel, E. ; Narvaez, G.A. 2021 | Hughes, S. ; Troise, O. ; Donaldson, H. ; Mughal, N. ; Moore, L.S. 2020 | Rawson, T.M. ; Moore, L.S. ; Zhu, N. ; Ranganathan, N. ; Skolimowska, K. ; Gilchrist, M. ; Holmes, A. 2020 | Lansbury, L. ; Lim, B. ; Baskaran, V. ; Lim, W.S. 2020). Ceci démontre donc qu’il existe une corrélation entre les produits phytopharmaceutiques à base d’oxyde de graphène avec les champignons pseudomonas (indiqués dans le brevet) et les symptômes et infections décrits dans la littérature scientifique des patients c0r0n@v|rus. Cependant, les résultats concernant “Pseudomonas aeruginosa” et l’oxyde de graphène GO ne s’arrêtent pas là. Une étude concernant Oxidative stress-mediated antibacterial activity of graphene oxide and reduced graphene oxide on Pseudomonas aeruginosa”a été trouvée datant de 2012, voir (Gurunathan, S. ; Han, J.W. ; Dayem, A.A. ; Eppakayala, V. ; Kim, J.H. 2012), étudiant la capacité du graphène et de l’oxyde de graphène à combattre Pseudomonas aeruginosa. Cette étude conclut que le graphène et l’oxyde de graphène peuvent réduire la croissance cellulaire des bactéries Pseudomonas aeruginosa par la génération de ROS (espèces réactives de l’oxygène) dans le processus de leur réduction en “rGO” ou, en d’autres termes, la libération de radicaux libres par l’oxydation de l’oxyde de graphène. Cependant, cette étude s’oppose à celle de (Fraud, S. ; Poole, K. 2011) dans lequel ils déclarent ce qui suit : «Alors que les ROS sont connus pour endommager l’ADN et ont donc le potentiel d’être mutagènes, la fréquence accrue de la résistance observée pour les pseudomonas aeruginosa traités au peroxyde ne peut pas être expliquée par la mutagenèse promue par les ROS, car son effet est perdu dans les souches dépourvues de PA5471» (Le gène PA5471 est le gène de réponse antimicrobienne/antibiotique). «L’observation, également, que la surexpression de PA5471 en l’absence de peroxyde fournit une augmentation similaire de la fréquence de la résistance aux aminoglycosides, plaide pour que les ROS augmentent la fréquence de la résistance en conséquence de leur impact positif sur l’expression de PA5471». Cela montrerait que les bactéries pseudomonas aeruginosa, lorsqu’elles sont exposées aux ROS de l’oxyde de graphène GO, provoqueraient un effet opposé à celui initialement observé (biobactéricide), générant une résistance, en raison «d’une pression sélective pour les mutations qui affectent finalement la sensibilité aux aminoglycosides, peut-être par le biais de leurs influences sur l’expression de gènes supplémentaires chez Pseudomonas aeruginosa». Cela expliquerait également pourquoi l’oxyde de graphène agit en symbiose avec le Pseudomonas aeruginosa en 2018 (lorsque le brevet a été publié) et non en 2012 (lorsque son interaction avec l’oxyde de graphène a été étudiée). En d’autres termes, un effet de résistance pourrait être produit en raison de la réduction de l’oxyde de graphène GO. 

Commentaires

Le développement important de brevets sur les engrais et les produits phytosanitaires, dans lesquels l’oxyde de graphène est utilisé comme vecteur matériel, qui est assimilé dans les cultures, à la fois pour favoriser la croissance des plantes, augmenter les rendements des cultures, ainsi que pour prévenir les parasites, les champignons et les maladies, semble avéré. Les preuves sont accablantes et incontestables, comme cela sera présenté dans les publications ultérieures, voir les parties 2, 3 et 4. [À paraître]

S’il est confirmé que les engrais et les produits phytosanitaires utilisés sur les cultures contiennent de l’oxyde de graphène, il existe alors une nouvelle voie de contamination par laquelle la population pourrait être empoisonnée.

Il est clair que les produits phytosanitaires à base d’oxyde de graphène et de pseudomonas pour lutter contre le germe phytophthora dans les cultures (CN108991005A. 2018), pourraient être liés à des co-infections de c0r0n@v|rus. Cela correspond parfaitement au tableau clinique (problèmes respiratoires, pneumonies bilatérales, syndromes respiratoires et même avec un stress oxydatif), aux effets des bactéries et à leur combinaison avec l’oxyde de graphène “GO”. Il n’est pas surprenant que le médicament typique pour combattre ce type d’infection pulmonaire soit la chloroquine et l’hydroxychloroquine, comme l’indique la littérature scientifique. 

Hypothèses

Il est possible que l’oxyde de graphène GO, qui est éminemment toxique et nocif pour la santé, ne soit pas le seul facteur influençant le c0r0n@v|rus, puisque le pseudomonas aeruginosa a été retrouvé en co-infection dans un grand nombre de cas rapportés dans la littérature scientifique. Cela suggère une corrélation claire entre c0r0n@v|rus, oxyde de graphène et Pseudomonas aeruginosa

Les recherches sur l’oxyde de graphène et la Pseudomonas aeruginosa remontent au moins à 2012, et le brevet sur les produits phytosanitaires utilisant la symbiose entre l’oxyde de graphène et les bactéries précitées date de 2018. Il ne serait donc pas impossible de penser que pseudomonas aeruginosa ait pu développer une résistance à l’oxyde de graphène, au point de coexister en symbiose et d’affecter gravement la santé des gens, par le biais d’aliments, de légumes, de céréales, etc. contaminés. Cela expliquerait la virulence avec laquelle Pseudomonas aeruginosa a développé une résistance à l’oxyde de graphène. Cela expliquerait la virulence avec laquelle il affecte et la difficulté à l’éliminer, même avec les antibiotiques disponibles. La théorie de la résistance au graphène est justifiée par les nombreuses recherches visant à trouver des agents antibactériens capables d’éliminer ou de limiter la croissance de Pseudomonas aeruginosa, voir (Karaky, N. ; Kirby, A. ; McBain, A.J., A.J.). McBain, A.J. ; Butler, J.A. ; El-Mohtadi, M. ; Banks, C.E. ; Whitehead, K.A. 2020 ; Nadres, E.T. ; Fan, J. ; Rodrigues, D.F. 2016 ; JankauskaitĿ, V. ; VitkauskienĿ, A. ; Lazauskas, A. ; Baltrusaitis, J. ; ProsyĿevas, I. ; AndruleviĿius, M. 2016). Il est également possible que la bactérie Pseudomonas aeruginosa ait été génétiquement modifiée pour résister à l’oxyde de graphène, ce qui expliquerait pourquoi elle pourrait fonctionner en symbiose, comme l’indique le brevet (CN108991005A. 林荣铨. 2018).

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Brevets portant sur l’inclusion de graphène dans les engrais et les produits phytosanitaires : Partie 2

Introduction

Dans la continuité de l’examen des brevets sur les engrais et les produits phytosanitaires (partie 1), cette entrée présente de nouvelles preuves et méthodologies pour la fabrication et la production de ce type de produits à usage agricole. 

Il convient de noter que «l’oxyde de graphène est absorbé par les racines des plantes et diffusé par leurs tiges, leurs feuilles et leurs fruits, comme l’indiquent les travaux de (Wang, X. ; Pei, Y. ; Lu, M. ; Lu, X. ; Du, X. 2015). Bien que nous ayons été avertis dans tous les articles de ce blog, il ne faut pas oublier l’effet néfaste de l’oxyde de graphène et de ses dérivés sur la santé. Notez que l’oxyde de graphène GO est responsable des effets néfastes et toxiques sur le corps humain, des maladies neurodégénératives, de la destruction des cellules, de la thrombose, de la tempête de cytokines, entre autres effets du c0r0n@v|rus.»

Autres Brevets

Brevet KR20210040597A. 2019

Il s’agit d’une “composition d’amélioration des cultures comprenant des nanoplaquettes d’oxyde de graphène”. Plus précisément, elle vise à «accélérer la croissance des plantes et à minimiser la pollution de l’environnement». À cette fin, les auteurs proposent l’utilisation de nanofeuilles d’oxyde de graphène qui peuvent être injectées dans la tige de la culture ou directement dans le sol occupé par les racines des plantes. La composition d’oxyde de graphène sera contenue dans une solution comprise entre 500 et 15 000 μg/ml. Les cultures testées sont le blé, la laitue, la tomate, l’aubergine, l’épinard, le céleri, la pastèque, la fraise, le melon, la mangue, la banane et l’orange. 

Selon leur justification, «l’utilisation excessive de produits chimiques a favorisé l’émergence d’une tolérance génétique chez les plantes et les cultures, et l’accumulation de ces produits dans le sol et l’eau peut entraîner une grave contamination de l’environnement». Ceci est paradoxal si l’on considère que l’oxyde de graphène est un polluant, toxique, nocif pour la santé.

Il est également reconnu dans le texte d’introduction que l’utilisation de nanomatériaux dans les cultures, comme l’oxyde de graphène, permet de résoudre plusieurs problèmes, par exemple «il a été démontré que les nanotubes de carbone peuvent pénétrer les parois cellulaires des plantes, atteignant leur ADN… étant une plateforme efficace pour délivrer des molécules favorisant la croissance… seule une petite quantité de nanomatériaux est nécessaire». Cela vient confirmer que l’oxyde de graphène peut déduire dans l’ADN des plantes, mais aussi des personnes, voir (Zhang, H. ; Huang, H. ; Lin, Z. ; Su, X. 2014 | Liu, Y. Luo, Y. ; Wu, J. ; Wang, Y. ; Yang, X. ; Yang, R. ; Zhang, N. 2013 | Di-Santo, R. ; Digiacomo, L. ; Palchetti, S. ; Palmieri, V. ; Perini, G. ; Pozzi, D. ; Caracciolo, G. 2019).

Brevet CN106747954A. 2017

Un engrais qui est appliqué directement sur les feuilles (foliaire), contenant du graphène en poudre, de l’engrais pour les cultures et des nutriments, est décrit. Le rapport pondéral entre l’engrais et le graphène est de 10:1 à 0,01:99,9. Selon les auteurs, ce composé permet d’activer la croissance des plantes et d’augmenter leur production. 

L’engrais à base de graphène peut être azoté, phosphaté, potassique, oligo-éléments, acides aminés, etc. 

Le graphène utilisé pour fabriquer la composition décrite dans le brevet provient de la section chinoise Suzhou Nano Technique & Nano Bionic Research Inst.

Le brevet fait référence à diverses recettes d’engrais, dont un exemple : “Poudre de construction tridimensionnelle 30% de graphène, (engrais de culture) acide glutamique 0,5%, Nafusaku 0,1%, produits de condensation alkyl phénol polyéthénoxy éther formaldéhyde sulfate 5%, agent mouillant T 2%, (engrais de culture) sulfate de potassium 8%, (engrais de culture) nitrate de magnésium 1%, (engrais de culture) nitrate de calcium 2%, (engrais de culture) phosphate diammonique (DAP) 17%, fournitures de diatomite 100%”.

Brevet  CN108925577A. 2018

Un agent antibactérien contenant de l’oxyde de graphène pour prévenir la pourriture des plantes “phytophthora” est décrit. À cette fin, le composé biocide utilise l’oxyde de graphène et une bactérie antagoniste du “phytophthora”, qui est le “Bacillus atrophaeus”. Il s’agit d’une espèce bactérienne utilisée en biomédecine et dans les procédures de bioconfinement et de décontamination (Szabo, J.G. ; Rice, E.W. ; Bishop, P.L. 2007). Il convient de mentionner que le “Bacillus atrophaeus” a été utilisé dans diverses expériences et tests pour simuler les processus de décontamination des c0r0n@v|rus, de manière intéressante en utilisant l’oxyde de graphène, voir (Shah, K. W. ; Huseien, G.F. 2020 | Balasubramaniam, B. ; Prateek ; Ranjan, S. ; Saraf, M. ; Kar, P. ; Singh, S.P. ; Gupta, R.K. 2020 | Kchaou, M. ; Abuhasel, K. ; Khadr, M. ; Hosni, F. ; Alquraish, M. 2020).

La préparation de l’agent antibactérien est basée sur une solution de 3 à 20 grammes d’oxyde de graphène par litre et un rapport de 100:1 de bacillus atrophaeus. Il a été testé et recommandé sur les cultures de concombres, de soja, de poivrons et de litchis.

Brevet CN112293419A. 2021

Pesticide contenant de l’oxyde de graphène préparé selon la recette suivante : «le composant A est le chlorfénapyr : 5-10% ; le composant B est l’indoxacarbe, ou l’emamectine benzoate, ou le méthoxyfénozide, ou le chlorantraniliprole : 0,5-10% ; composant synergique oxyde de graphène GO : 10-20% ; émulsifiant alkyl sulfate de sodium : 2-5% ; dispersant polyoxyéthylène éther : 1-5% ; agent antigel éthylène glycol ou propylène glycol : 1% -5% ; conservateur benzoate de sodium : 0. 2 % – 0,5 % ; agent épaississant : silicate de magnésium et d’aluminium : 0,2 – 0,5 % ; agent antimousse : silicium organique : 1 – 3 % ; eau désionisée en complément».

Les auteurs ajoutent également que «l’invention vise à fournir une composition pesticide contenant de l’oxyde de graphène, qui améliore efficacement l’effet de contrôle des pesticides sur les nuisibles, réduit la quantité de pesticides utilisés et assure la sécurité alimentaire en n’augmentant pas la quantité et les temps d’utilisation des pesticides. Il présente également une faible toxicité pour l’homme et le bétail et est respectueux de l’environnement». 

Brevet CN108782610A. 2018

Brevet très similaire au CN108925577A, puisqu’il pose le même objectif d’éliminer ou de réduire la croissance du pseudofongique phytophthora pseudohongo sur les racines des cultures. Cependant, dans ce cas, l’oxyde de graphène est combiné avec le champignon antagoniste “Penicillium purpurogenum”, un champignon pathogène aérobie utilisé dans l’industrie pour faciliter la libération des sucres dans les processus de fermentation, ou comme agent de blanchiment biologique dans l’industrie du papier. 

Brevet CN111149798A. 2020

“Nano-pesticide d’oxyde de graphène à base d’eau pour prévenir et contrôler les maladies fongiques des cultures”.

«Le bactéricide contenu dans le nanopesticide à base d’eau adhère à la surface de l’oxyde de graphène par effet de conjugaison pi-pi, effet de liaison hydrogène et effet d’adsorption électrostatique, les cellules fongiques sont endommagées par l’oxyde de graphène, puis le médicament est libéré avec précision.»

L’introduction de l’invention explique que «l’oxyde de graphène est un dérivé du graphène et possède une surface riche en groupes fonctionnels contenant de l’oxygène, de sorte que l’oxyde de graphène présente une bonne solubilité et une bonne stabilité dans l’eau. Parallèlement, l’oxyde de graphène a également la capacité de charger un médicament avec une structure en anneau de benzène par accumulation pi-pi, effet hydrophobe et effet de liaison hydrogène, de sorte que l’oxyde de graphène est largement appliqué dans le domaine de la médecine biologique. La feuille de bord de la tranche bidimensionnelle de nanomatériau d’oxyde de graphène est appelée un nano-tronc et peut couper les membranes cellulaires des cellules bactériennes». Ce résultat est très intéressant, car il décrit l’effet des nanoplaquettes d’oxyde de graphène capables de couper la membrane cellulaire avec leurs bords, car elles agissent comme un nano-scalpel. Ils poursuivent en notant que «le métabolisme normal des cellules bactériennes peut être affecté par un mécanisme de stress oxydatif, conduisant à la mort cellulaire. De plus, lorsqu’une grande quantité de nanofeuilles d’oxyde de graphène est adsorbée à la surface des cellules bactériennes, les bactéries peuvent être complètement enveloppées, de sorte que les bactéries sont physiquement isolées du milieu environnant et que les micro-organismes meurent lentement», reconnaissant ainsi que l’oxyde de graphène provoque effectivement un stress oxydatif (espèces réactives de l’oxygène ROS) et la libération de radicaux libres. Cet effet a déjà été décrit parmi les graves dommages causés par l’oxyde de graphène dans le corps humain, voir (Pelin, M. ; Fusco, L. ; Martín, C. ; Sosa, S. ; Frontiñán-Rubio, J. ; González-Domínguez, J. ; Sosa, S. ; Frontiñán-Rubio, J. ; González-Domínguez, J.). ; González-Domínguez, J.M. ; Tubaro, A. 2018 | Russier, J. ; Treossi, E. ; Scarsi, A. ; Perrozzi, F. ; Dumortier, H. ; Ottaviano, L. ; Bianco, A. 2013 | Liao, K.H. ; Lin, Y.S. ; Macosko, C.W. ; Haynes, C.L. 2011).

En ce qui concerne la préparation du nanopesticide, le brevet définit 9 recettes différentes. Un exemple de préparation est le suivant : Dissolution de l’oxyde de graphène variant entre 0,5-1 gramme par litre d’eau. Ajout du bactéricide souhaité dissous dans du diméthysulfoxyde NN diméthylformamide à une concentration de 1,25:1 – 3,75:1. Le nanopesticide a été testé principalement sur des cultures de riz.

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Nanopulpes de carbone ou formes de vie synthétique?

La crainte de la découverte d’éléments étrangers dans les vaccins c0r0n@v|rus suscite l’intérêt de nombreux chercheurs, dont certains ont la possibilité et les moyens d’obtenir de nouvelles preuves confirmant leur existence. En particulier, le Dr Franc Zalewski (docteur en géologie) a récemment donné une conférence présentant ce qui a été décrit dans C0r0n@2Inspect et dans la littérature scientifique comme une nanopulpe de carbone. Le docteur appelle cet élément étrange “la chose”. L’image MEB qu’il présente comme preuve, voir figure 1 et vidéo 1, consiste en un sphéroïde à partir duquel plusieurs bras (tentacules, flagelles ou filaments) se développent. Le sphéroïde est identifié par Zalewski comme une tête. La composition de l’objet est principalement constituée de carbone et d’aluminium (bien que le brome soit également mentionné). Il explique ensuite les proportions de l’objet, avec un diamètre de 20 μm à la tête et des bras d’une longueur totalement disproportionnée de quelques millimètres (2,5 mm). Il est également mentionné que les bras ou les tentacules ont des couleurs différentes, peut-être en raison de la composition du matériau à partir duquel ils ont poussé. Dans la figure 2, on peut les voir comme des filaments extra-longs. 

Fig.1. Images du même type de corps étranger trouvé dans les vaccins par le Dr Franc Zalewski, le Dr Carrie Madej et le Dr Campra pour la Cinquième Colonne.
Fig.2. Détail des filaments observés par le Dr Franc Zalewski, où la tête à partir de laquelle ils poussent n’est pas visible. L’image est comparée à celles disponibles dans la littérature scientifique sur les nanotubes de carbone, qui montrent qu’ils peuvent atteindre les dimensions extra-longues citées par Zalewski.

D’autre part, dans la conférence, il fait allusion au fait que “l’organisme supposé” est né d’œufs. Cela n’a pas été prouvé, puisque Zalewski lui-même admet qu’il ne les a pas trouvés. Il fait toutefois allusion au fait qu’elles se développent dans un environnement fertile offrant des conditions propices à la croissance et à l’éclosion, c’est-à-dire une abondance de matériaux carbonés (graphène) et d’autres métaux. De plus, il explique que pendant 4 jours, les bras du corps étranger ont poussé dans une chambre de pulvérisation, où il aurait déclaré «la température est élevée, de sorte que le graphène est pulvérisé, l’arc électrique brûle». Enfin, l’exposition se termine par la présentation d’une troisième preuve graphique dans laquelle est présentée une “sorte de griffe” de carbone, dans laquelle se terminent les bras de l’objet/organisme, comme le montre la figure 3. 

Fig.3. Image d’une “griffe” obtenue par le Dr. Zalewski, très similaire, bien que d’un point de vue différent, au panache du rapport du Scientific Club, sur lequel a travaillé le Dr.

Évaluation

La description et les images fournies par le Dr Zalewski ne permettent pas de conclure que le corps étranger observé est une forme de vie synthétique à base de carbone et/ou d’aluminium. Il n’existe aucune preuve vidéo de son évolution et de son développement. En revanche, il est vrai que Zalewski fournit toutes les clés qui permettent de développer les nanopulpes de carbone, comme nous allons l’expliquer dans les points suivants :

  1. Pour que les bras de la nanopulpe de carbone se développent, deux éléments sont nécessaires, d’une part le graphène ou le carbone, et d’autre part un matériau de nucléation catalytique, qui peut être le nickel (Ni) ou un autre tel que l’aluminium (Al), comme indiqué dans la recherche suivante (Lobo, L.S. 2017 | Ermakova, M.A. ; Ermakov, D.Y., Chuvilin, A.L. ; Kuvshinov, G.G. 2001 | 居艳 ; 李凤仪 ; 魏任重 ; 饶日川. 2004 | Wei, R. ; Li, F. ; Ju, Y. 2005 | Austing, D.G. ; Finnie, P. ; Lefebvre, J. 2004). L’aluminium est donc un matériau compatible avec la nucléation des nanotubes de carbone, ce qui explique la composition trouvée par Zalewski. En fait, selon (Pham-Huu, C. ; Vieira, R. ; Louis, B. ; Carvalho, A. ; Amadou, J. ; Dintzer, T. ; Ledoux, M.J. 2006 | Emmenegger, C. ; Bonard, J.M. ; Mauron, P. ; Sudan, P. ; Lepora, A. ; Grobety, B. ; Schlapbach, L. 2003) déclare que «Apparemment, le diamètre des CNF (Carbon Nanofibers) ne dépend pas du diamètre initial de la particule de catalyseur, mais seulement de la modification structurelle de la particule de nickel de départ pendant le processus de croissance.  Expliquer le diamètre homogène (c’est-à-dire 10-40 nm) des nanotubes de carbone multiparois cultivés à partir d’une couche initiale continue d’oxyde de fer déposée sur un substrat d’aluminium plat par revêtement par centrifugation. Une fragmentation continue des particules du catalyseur s’est produite au cours de la synthèse, conduisant à la formation de centres actifs plus petits par la formation d’un carbure métastable suivie de sa décomposition en particules de carbone et de fer».
Fig.4. échantillons de la littérature scientifique dans lesquels des nanotubes de carbone ont été cultivés à partir de divers catalyseurs à l’aluminium. Ils ont également été cultivés de différentes manières et dans des conditions environnementales et de température différentes, bien que dans tous les cas, ils aient réagi plus rapidement à la chaleur.

2. La tête du corps étranger, un sphéroïde, à partir duquel les bras se développent est en fait la particule sphéroïde nécessaire à la nucléation et à la croissance des bras de nanopulpe de carbone, comme l’a rapporté le Dr. (Lobo, L.S. 2017) dans son travail, dont le matériau est le carbone et le catalyseur le métal, voir figure 5. Selon la structure carbone-graphène de la surface sphéroïde, différentes géométries peuvent se développer à partir desquelles les bras observés émergent, ce qui explique pourquoi dans le cas de Zalewski, 3 ont émergé, mais dans le cas de Madej 4 ont été vus, et dans le cas de l’image de la Cinquième Colonne un total de 8, voir figure 1. Ce phénomène est décrit par (Lobo, L.S. 2017) comme suit «ici nous avons choisi de relier la forme du sphéroïde à une référence à un cube imaginaire pour aider à comprendre le nombre de ses facettes et sa géométrie. Avec cette géométrie en tête, lorsque la nucléation et la croissance ont lieu sur un ensemble particulier de facettes, le comportement observé peut être mieux compris. Y a-t-il une croissance préférentielle sur 6, 8 ou 12 pattes ? Ce sera une clé pour confirmer l’orientation cristalline dominante favorisée pour la nucléation.» Le processus de croissance des nanotubes de carbone est expliqué dans l’entrée sur les nanopulpes de carbone. 

Fig.5 Schéma de la croissance d’une pieuvre de carbone à partir d’une particule sphéroïde de carbure de nickel. (Lobo, L.S. 2017)

3. Selon Zalewski, la croissance la plus développée des filaments ou des bras, s’est produite lorsque l’échantillon a été introduit dans «une chambre de pulvérisation, où la température est élevée, de sorte que le graphène est pulvérisé, l’arc électrique brûle», ce qui coïncide avec les conditions de croissance des pieuvres de carbone, à des températures modérément élevées, comme l’indique la littérature scientifique (Lobo, L. S. 2017 | Saavedra, M. S. 2014 | Dasgupta, K. ; Joshi, J.B. ; Paul, B. ; Sen, D. ; Banerjee, S. 2013). En plus de cette méthode de croissance, la croissance de nanofibres/nanotubes de carbone par micro-ondes a également été rapportée (Mubarak, N.M. ; Abdullah, E.C. ; Sahu, J.N. ; Jayakumar, N.S. ; Ganesan, P. 2015) dans leur étude. 

4. La longueur des nanotubes de carbone est variable, ce qui coïncide avec la description donnée par Zalewski, qui est compatible avec les nanopulpes de carbone et la formation de leurs bras (nanotubes de carbone), comme le montre la figure 2. Selon (Lobo, L.S. 2017), la longueur dépend de la quantité de graphène environnant dans la solution et du catalyseur utilisé pour effectuer leur croissance.

5. Enfin, il convient de mentionner la question des “griffes de carbone” mentionnées par Zalewski, que l’on peut observer sur la figure 3. Cependant, l’image fournie comme preuve ne montre que l’objet, indépendamment des bras ou des tentacules, et il n’est donc pas possible de prouver qu’il y est attaché. L’image fournie comme preuve est très similaire à celle partagée dans le rapport de “The Scientists Club” auquel le Dr Campra a participé, sous le titre “NANOTECHNOLOGICAL INVESTIGATIONS ON COVID-19 VACCINES : Detection of toxic nanoparticles of graphene oxide and heavy metals”. La forme pointue, qui ressemble à un couteau ou à un stylo, pourrait être un défaut du matériau ou, comme ils l’appellent dans le travail de (Shudin, N.H. ; Aziz, M. ; Othman, M.H.D. ; Tanemura, M. ; Yusop, M.Z.M. 2021), un catalyseur, ou une partie de celui-ci, qui se brise sans croissance des nanotubes de carbone, ce qui expliquerait la forme pointue, voir figure 6b. Cependant, cet objet est encore en cours d’identification et il est trop tôt pour donner une identification fiable à ce stade. 

Fig.6. illustration schématique du mécanisme de croissance (a) catalyseur non réagi, (b) rupture du catalyseur sans croissance des CNT et croissance des CNT avec (c – f) faible P CH4 et (c′ – f ′) fort P CH4. (Shudin, N.H. ; Aziz, M. ; Othman, M.H.D. ; Tanemura, M. ; Yusop, M.Z.M. 2021)

Commentaires

En résumé, par logique, en considérant tous les aspects exposés dans la section d’évaluation, il semble que la supposée forme de vie synthétique pourrait être plutôt une pieuvre en carbone, avec des particularités spécifiques de croissance et de physionomie, données par les matériaux de composition, la température et les conditions dans lesquelles elle a été analysée. Tous les paramètres de croissance, la morphologie, les matériaux, l’échelle et les dimensions sont conformes à ceux trouvés dans la littérature scientifique. Cependant, aucun organisme synthétique, vivant ou mobile, présentant la morphologie ci-dessus n’a encore été trouvé dans la littérature scientifique. 

Bien que les preuves conduisent à la mise en évidence de nanopulpes de carbone, et donc du résultat de la fabrication et de l’ingénierie humaine, sans vie, matérialisée par un phénomène de croissance inorganique, on ne peut exclure que dans le vaccin il n’y ait pas d’autres éléments qui répondent aux principes des organismes artificiels et présentent au moins une vie apparente propre. En fait, il existe des preuves d’un corps étranger qui présente un mouvement et une autonomie apparente, qui sera identifié dans l’une des prochaines entrées de ce blog. 

En ce qui concerne le travail effectué par le Dr Zalewski, nous lui sommes reconnaissants de son effort pour offrir au monde une analyse microscopique du vaccin, pour le partager, pour sensibiliser et pour le faire connaître avec le souci qui caractérise toute personne de science. Quel que soit le type d’objet en question, il semble évident que ces éléments, objets et matériaux, qui semblent clairement avoir été fabriqués intentionnellement par les fabricants, ne devraient pas être trouvés.

Les nanopulpes de graphène sont des éléments importants pour former le matériel neuronal nécessaire à la neuromodulation/neurostimulation sans fil par ondes électromagnétiques (EM micro-ondes), car ils permettent de relier les tissus cérébraux, les neurones, la glie, les astrocytes, etc., en augmentant les synapses, mais aussi les synapses des neurones, de la glie et des astrocytes, en augmentant la synapse, mais aussi en permettant de l’impacter, grâce à la capacité supraconductrice, comme expliqué dans l’entrée sur les nanopulpes et les nanotubes, les réseaux de nanocommunication pour les nanotechnologies dans le corps humain et le système de routage CORONA pour les nanoréseaux. 

Bibliographie

Les urls afférentes à cet article peuvent être consultées sur le blog de Mik Andersen. [239]

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L’oxyde de graphène en agriculture, à l’origine du coronavirus ?

Référence Zhang, M.; Gao, B.; Chen, J.; Li, Y.; Creamer, A.E. ; Chen, H. (2014). “Slow-release fertilizer encapsulated by graphene oxide films”. [269] Engrais à libération lente encapsulés par des films d’oxyde de graphène. 

Faits

1. La recherche montre que le nitrate de potassium KNO3 encapsulé dans des films d’oxyde de graphène GO permet une libération lente, adaptée à la croissance et à la production des cultures. Le KNO3 se lie aux films d’oxyde de graphène GO, formant des granules d’engrais qui se décomposent dans l’eau après 8 heures.

2. Selon les réflexions des auteurs, ils déclarent : «Nous pensons que cette nouvelle technologie d’enrobage pourrait être très prometteuse pour le développement d’engrais à libération contrôlée, sans danger pour l’environnement, destinés à la production végétale». C’est complètement faux, étant donné que l’oxyde de graphène GO est responsable de causer des effets très nocifs, toxiques, néfastes sur le corps humain, des maladies neurodégénératives, la destruction des cellules, la thrombose, la tempête de cytokines, entre autres effets du c0r0n@v|rus, déjà décrits dans ce blog.

3. Le raisonnement qui sous-tend leur recherche est également très intéressant, puisqu’ils affirment que «pour maintenir le rendement des cultures, il faut appliquer des engrais sur les sols afin de fournir aux plantes les nutriments essentiels. Des estimations prudentes montrent que 30 à 50 % des rendements des cultures sont attribués aux engrais commerciaux naturels ou synthétiques. L’agriculture moderne devenant de plus en plus dépendante des ressources en engrais non renouvelables, les minéraux connexes sont susceptibles de produire une qualité moindre à des prix plus élevés à l’avenir. Certains des éléments nutritifs contenus dans ces engrais non renouvelables ne sont pas assimilés par les plantes et s’infiltrent donc dans les eaux souterraines ou de surface, provoquant une eutrophisation et constituant un risque majeur pour l’écosystème. Afin d’améliorer la qualité des engrais et de protéger l’environnement et l’écosystème, de plus en plus de recherches ont été menées pour développer de nouvelles technologies permettant de délivrer les nutriments aux plantes de manière lente ou contrôlée dans l’eau ou le sol». 

4. En revanche, les auteurs semblent tout à fait d’accord pour dire que l’oxyde de graphène ne présente pas de risque pour l’homme, ce qui est justifié par la méthode de fabrication, comme ils l’affirment dans le paragraphe suivant : «Bien qu’il y ait également des préoccupations concernant l’impact environnemental potentiel de la production à grande échelle de graphène ou d’oxyde de graphène (GO) par des méthodes traditionnelles d’oxydation et de réduction, les progrès récents des technologies permettent de les préparer par des méthodes respectueuses de l’environnement, qui ne nécessitent pas de matières premières toxiques et d’agents d’oxydation/réduction. Par exemple, il a été démontré que les oxydes de graphène peuvent être produits à grande échelle par exfoliation électrochimique de noyaux de crayons dans des électrolytes aqueux sans avoir recours à des agents chimiques toxiques». L’article ne mentionne absolument pas les effets néfastes sur la santé humaine que pourrait avoir la consommation de légumes et de plantes contenant de l’oxyde de graphène, ou l’absorption d’oxyde de graphène par les plantes et donc les implications très graves pour le consommateur. Cela montre l’intérêt scientifique d’améliorer les rendements et les profits dans l’agriculture au détriment de la santé et de la sécurité publiques. On en trouve un autre exemple dans l’étude de (Gao, M. ; Xu, Y. ; Chang, X. ; Dong, Y. ; Song, Z. 2020) sur les effets bénéfiques de l’oxyde de graphène dans la culture des laitues, qui empêche l’absorption du cadmium. Si l’on ne peut nier que l’oxyde de graphène limite l’absorption de certains métaux lourds, il s’agit de la substitution d’un matériau toxique par un autre, et cela ne résout donc pas l’objectif de la recherche, qui serait de le rendre sûr pour la consommation humaine. En ce qui concerne l’absorption du cadmium par le blé et le riz, les études de (Gao, M. ; Song, Z. 2019) et (He, Y. ; Qian, L. ; Zhou, K. ; Hu, R. ; Huang, M. ; Wang, M. ; Zhu, H. (2019) montrent clairement l’intérêt de réduire les niveaux de ce contaminant. Cependant, les résultats n’ont pas été ceux escomptés, car l’oxyde de graphène GO a affecté la croissance des racines des plantules de blé, amplifiant sa phytotoxicité (dommages aux plantes). En fait, (Gao, M. ; Song, Z. 2019) affirme que «les racines sont des organes d’absorption et métaboliques importants dans les plantes cultivées ; leur statut de croissance et leur force métabolique affectent directement la croissance des plantes. Nos résultats indiquent que le GO augmente la toxicité du cadmium dans les racines des semis de blé et inhibe la division cellulaire, entraînant une diminution de la longueur totale des racines, de la surface totale des racines, du diamètre moyen des racines et du nombre de poils racinaires. En outre, le cadmium a induit une diminution significative de la teneur en protéines de la carcasse et une augmentation marquée des cytochromes dans les racines en présence de GO, par rapport au traitement de contrôle, ou aux traitements avec Cd ou GO seuls. Les images TEM ont montré que le GO a pénétré dans les tissus des racines du blé et a ensuite été transféré dans les feuilles». Cette affirmation est cruciale, car elle prouve clairement que l’oxyde de graphène présent dans le sol des cultures est transféré aux racines, aux feuilles et donc aux fruits et aux comestibles qu’elles sont censées produire. C’est la preuve que l’oxyde de graphène peut contaminer les sols, les cultures et les aliments, ce qui est une raison plus que suffisante pour mettre un terme à son adoption. En revanche, les travaux de (He, Y. ; Qian, L. ; Zhou, K. ; Hu, R. ; Huang, M. ; Wang, M. ; Zhu, H. 2019) reconnaît le potentiel de l’oxyde de graphène pour la croissance des plantes, mais aussi la question du renforcement de la toxicité dans des sols préalablement contaminés par des métaux lourds, étant donné que l’oxyde de graphène GO est capable de les adsorber, comme l’ont démontré (Wang, X. ; Pei, Y. ; Lu, M. ; Lu, X. ; Du, X. (2015) et avec elle, l’assimilation des nutriments absorbés par les plantes. 

5. Pour en revenir à la critique de l’article de (Zhang, M. ; Gao, B. ; Chen, J. ; Li, Y. ; Creamer, A.E. ; Chen, H. 2014), la citation suivante «a développé une méthode simple, efficace et évolutive pour déposer chimiquement des nanoparticules de Fe3O4 sur GO. Cet hybride peut être chargé avec le médicament anticancéreux DXR avec une capacité de charge élevée». Cette nomination est d’une importance capitale pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle montre que les chercheurs se sont inspirés des techniques qui utilisent les nanoparticules de Fe3O4 (magnétite) et l’oxyde de graphène pour contrôler l’administration de médicaments et de biocides (Yang, X. ; Zhang, X. ; Ma, Y. ; Huang, Y. ; Wang, Y. ; Chen, Y. 2009). De plus, parce qu’ils ont pris comme référence l’étude de (Zu, S.Z. ; Han, B.H. 2009) pour la formation de nano-feuilles et de copolymères de graphène en hydrogel supromoléculaire. Il s’appuie également sur les travaux de (Yang, X. ; Wang, Y. ; Huang, X. ; Ma, Y. ; Huang, Y. ; Yang, R. ; Chen, Y. 2011 | Liu, Z. ; Robinson, J.T. ; Sun, X. ; Dai, H. 2008) qui établissent un lien direct entre l’utilisation de l’oxyde de graphène en solution aqueuse et le traitement du cancer. Et ce n’est pas tout, puisque les nanoparticules de Fe3O4 (magnétite) avec l’oxyde de graphène GO ont des propriétés électromagnétiques micro-ondes qui fonctionnent à des fréquences compatibles avec la 5G, voir (Ma, E. ; Li, J. ; Zhao, N. ; Liu, E. ; He, C. ; Shi, C. 2013), également cité dans l’entrée “L’oxyde de graphène absorbe aussi la 2G, la 3G, la 4G et la 5G”. En outre, les nanoparticules Fe3O4/GO sont utilisées dans l’administration de vaccins ADN pour des traitements expérimentaux du cancer (Shah, M.A.A. ; He, N. ; Li, Z. ; Ali, Z. ; Zhang, L. 2014), en raison de leur échelle nanométrique et de leur capacité à transporter des antigènes et des reformulations génétiques par des techniques CRISPR, comme l’ont démontré (Abbott, T. R. ; Dhamdhere, G. ; Liu, Y. ; Lin, X. ; Goudy, L. ; Zeng, L. ; Qi, L.S. 2020 | Ding, R. ; Long, J. ; Yuan, M. ; Jin, Y. ; Yang, H. ; Chen, M. ; Duan, G. 2021 | Teng, M. ; Yao, Y. ; Nair, V. ; Luo, J. 2021), qui feront l’objet d’un rapport dans les prochaines entrées. Il est donc clair que l’oxyde de graphène GO combiné au Fe3O4 est testé depuis longtemps dans le secteur agricole et dans les vaccins contre le cancer par modification génétique de l’ADN, et est bien connu pour ses propriétés électromagnétiques. 

6. Les granulés d’engrais enrobés d’oxyde de graphène (KNO3/GO) ont un procédé de fabrication particulier. Tout d’abord, une concentration de nano-feuilles d’oxyde de graphène (figure 1a-haut-gauche) est prélevée, séchée et combinée avec des granulés de KNO3 dans un four à 90°C pendant 6 heures. Les nano-feuilles d’oxyde de graphène GO recouvrent alors les granules pour former des boulettes (figure 1a, en haut à droite). Il convient de mentionner la forte ressemblance des images avec la microscopie obtenue dans le travail de (Campra, P. 2021), voir Détection d’oxyde de graphène dans une suspension aqueuse (Comirnaty™ RD1 = Pfizer Vaccine).

Commentaires

L’oxyde de graphène pourrait être utilisé dans les engrais agricoles, étant donné ses capacités de libération lente des composés fertilisants. Si c’est vrai, cela signifierait une contamination du sol et probablement des cultures et de toute la chaîne alimentaire.

Il semble souhaitable que tous les engrais utilisés en agriculture soient testés pour détecter la présence d’oxyde de graphène et que l’utilisation de ces produits soit interdite, car ils pourraient contaminer les cultures.

S’il est confirmé que les champs sont contaminés par des engrais et des pesticides à base d’oxyde de graphène, cela signifierait qu’une partie importante des terres ne pourrait pas être utilisée pendant un certain temps (encore indéterminé, inconnu), jusqu’à ce que la contamination soit atténuée. Mais cela signifierait également que l’oxyde de graphène se retrouverait dans la nappe phréatique, de sorte que les puits d’eau utilisés pour l’irrigation et la boisson pourraient également être affectés. Toutes les sources d’eau doivent être analysées et les enquêtes nécessaires doivent être menées pour s’assurer que les champs, les sources et les eaux souterraines ne sont pas contaminés par l’oxyde de graphène et sont sans danger. Dans cette section, il convient également de réfléchir au fait que la perte de terres arables, ainsi que de réserves d’eau, peut entraîner l’augmentation nécessaire des prix des denrées alimentaires et des biens de base et essentiels, tels que l’eau. 

Il montre que l’oxyde de graphène a été largement utilisé dans la recherche, dans toutes les applications et utilisations possibles (agriculture, médecine, électronique, ingénierie, etc.), en concentrant l’attention et les efforts sur l’obtention de bénéfices et de meilleures performances, sans prêter attention à la biosécurité et à la toxicité potentielle, qui avaient déjà été mises en garde depuis de nombreuses années dans la littérature scientifique.

L’article fournit des indices très importants reliant l’oxyde de graphène aux vaccins ADN contre le cancer et la magnétite Fe3O4 qui correspond aux cadres magnétiques des personnes affectées par les c0r0n@v|rus et les radiations électromagnétiques 5G, ainsi que la relation avec les hydrogels et l’oxyde de graphène dans les solutions aqueuses. En fait, il est très probable que le contenu en oxyde de graphène détecté dans les vaccins c0r0n@v|rus par (Campra, P. 2021) puisse contenir de la magnétite Fe3O4. 

Bibliographie

Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [270]

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L’oxyde de graphène et la stimulation du cerveau par des ondes électromagnétiques capables d’impacter le mental humain

Référence

Li, X. ; Xiong, H. ; Rommelfanger, N. ; Xu, X. ; Youn, J. ; Slesinger, P.A. ; Qin, Z. (2021). Nanotransducteurs pour la neuromodulation sans fil Matter, 4(5), pp. 1484-1510. [294]

Introduction

Avant de commencer l’analyse de l’article, il est utile de clarifier le concept de “transducteur”. Un transducteur est un dispositif capable de convertir un signal en énergie ou l’énergie transmise en signal. Il convient de noter qu’il existe différents types de transducteurs, les “capteurs” et les “actionneurs”. Les actionneurs reçoivent des informations qu’ils traduisent en énergie, par exemple des impulsions électriques, des variations de tension, etc. Un capteur convertit l’énergie en un signal ou une information. Par exemple, un microphone est un transducteur qui transforme les vibrations de la voix ou du son en énergie électrique en fonction des variations de tension. 

D’autre part, le concept de “neuromodulation” fait référence à la technique neuroscientifique de stimulation nerveuse du cerveau pour le traitement de pathologies et de blessures. Elle est généralement réalisée au moyen d’impulsions électromagnétiques, d’implants de biopuces, d’électrodes traditionnelles et flexibles, d’ultrasons, etc. 

En réunissant ces deux concepts, nous pouvons comprendre l’objet de l’article. Il s’agit de l’étude de nouvelles méthodes d’interaction avec le cerveau au moyen de transducteurs à l’échelle nanométrique, sans fil, utilisant des ondes électromagnétiques. 

Faits

1. Dans leur résumé, les chercheurs reconnaissent les avancées des «nanotransducteurs pour moduler et interagir avec le système nerveux». Ils abordent donc «la transmission et le traitement des signaux au sein du système nerveux central», car «les nanomatériaux sont apparus comme une classe unique d’interfaces neuronales en raison de leur petite taille, du couplage et de la conversion à distance de différentes modalités énergétiques, de diverses méthodes d’administration et de réponses immunitaires chroniques atténuées». Ils ajoutent que les nouveaux nanotransducteurs «peuvent interagir avec le système neuronal sans fils physiques» par des moyens sans fil non invasifs tels que les ultrasons, les champs électromagnétiques, la température et les déclencheurs électrochimiques. 

2. L’article n’est pas disponible en texte intégral, même sur le site populaire Sci-Hub. Toutefois, la présence du mot clé “oxyde de graphène” dans le corps du texte et dans certaines des figures et illustrations incluses a été vérifiée. Nous avons également examiné la bibliographie, qui permet de clarifier dans une large mesure la question traitée ici, à savoir «les implications de l’oxyde de graphène dans la stimulation du cerveau par des ondes électromagnétiques et leur capacité à déduire la pensée» et, en outre, si les transducteurs en oxyde de graphène sont possibles à l’échelle précise exprimée dans l’échantillon de (Campra, P. 2021). 

3. Les illustrations de la référence correspondant à cette entrée sont examinées ci-dessous (Li, X. ; Xiong, H. ; Rommelfanger, N. ; Xu, X. ; Youn, J. ; Slesinger, P.A. ; Qin, Z. 2021). Nous commençons par la figure 1. C’est le schéma de la neuromodulation cérébrale. Notez que pour agir sur le cerveau, il faut des nanotransducteurs, qui sont décrits dans l’article à l’échelle nanométrique. D’autre part, l’interface du cerveau pour la réception des signaux et des stimuli sont les neurones, les astrocytes et la microglie (abordés dans un post précédent). Pour agir sur cette interface, une sorte d’énergie ou de signal doit être appliquée aux cellules du cerveau. Sur la figure, on peut parfaitement voir plusieurs types d’action, électromagnétique, thermique, ultrasonique, bien que, comme on le verra dans la suite, il existe d’autres méthodes. 

Fig.1. Schéma pour la neuromodulation du cerveau

La figure 2 montre comment les transducteurs agissent sur différentes formes d’énergie (photoélectrique, magnétique et ultrasonique) et comment les transducteurs les convertissent en signaux que les cellules du cerveau peuvent interpréter, par exemple un signal thermique, de tension, chimique, photonique ou mécanico-sensoriel. Il est très intéressant de noter que le signal électrique, mécanique et thermique dépend de la capacité de la membrane avec laquelle le transducteur est en contact. Il est intéressant de noter que cette question est directement abordée dans les travaux de (Rauti, R. ; Lozano, N. ; León, V. ; Scaini, D. ; Musto, M. ; Rago, I. ; Ballerini, L. 2016) intitulé “Graphene oxide nanosheets remodel synaptic function in cultured brain networks” où la capacitance de la membrane des cellules neuronales hippocampiques en présence d’oxyde de graphène réduit “rGO”, traité comme “sGO” (Small Graphene Oxide), peut être vérifiée dans le tableau 1. Cela prouve que l’oxyde de graphène a été étudié dans sa capacité et sa résistance d’entrée pour agir comme un transducteur pour les cellules du cerveau.

Fig.2. Évolution des transducteurs et de leurs possibilités d’application
Tableau 1. Propriétés de la membrane passive neuronale après exposition au GR et au s-GO (rGO)

Une analyse plus approfondie de la figure 2b montre l’évolution des transducteurs de 1970 à aujourd’hui. Le nombre de méthodes de transduction développées depuis 2007 est stupéfiant. Afin de déterminer lesquels sont les plus pertinents, nous examinerons ceux qui sont directement liés à l’oxyde de graphène “GO” dans la littérature scientifique, en respectant l’échelle observée dans l’étude de (Campra, P. 2021) :

a) Optogénétique – La méthodologie de transduction qui utilise la génétique et l’optogénétique pour activer et désactiver les cellules du cerveau à l’aide d’impulsions lumineuses. L’étude de l’université de Stanford (Montgomery, K.L. ; Yeh, A.J. ; Ho, J.S. ; Tsao, V. ; Iyer, S.M. ; Grosenick, L. ; Poon, A.S. 2015), qui a eu un fort impact sur la communauté scientifique pour le contrôle sans fil des rats de laboratoire, a été médiatisée. En fait, cette découverte a été le début de la mise en œuvre de cette technologie, avec le nanomatériau d’oxyde de graphène réduit “rGO”, comme on peut le voir dans (Huang, W. C. ; Chi, H.S. ; Lee, Y.C. ; Lo, Y.C. ; Liu, T.C. ; Chiang, M.Y. ; Chen, S.Y. 2019 | Bolotsky, A. ; Butler, D. ; Dong, C. ; Gerace, K. ; Glavin, N.R. ; Muratore, C. ; Ebrahimi, A. 2019)

b) Modulation thermique – Méthode de transduction qui utilise la chaleur pour déclencher l’activation ou la désactivation des cellules du cerveau. Dans la figure 5b, les auteurs y font référence en tant que “transducteurs optothermiques”. Il est intéressant de noter que des études sur la modulation thermique avec le graphène sont «la faisabilité du graphène à 1 couche (1 atome d’épaisseur) comme modulateur thermique». Selon eux, en agissant avec des ondes électromagnétiques EM, un décalage de fréquence des phonons dans une feuille de graphène est induit, générant des différentiels de température aux extrémités des feuilles de graphène, voir figure 3. Les phonons sont des quasi-particules qui vibrent dans le réseau atomique d’un solide, dans ce cas le graphène (Lin, S. ; Buehler, M.J. 2014). En effet, les expériences de (Kunal, K. ; Aluru, N.R. 2013) sur la perte médiée par les phonons dans un nanocristal de graphène ont montré qu’avec une fréquence de forçage électromagnétique Q de 40 GHz, il est possible de mettre à l’échelle la température des phonons dans une telle feuille. Cela a des implications importantes, car cela signifie accepter, affirmer et corroborer que les fréquences électromagnétiques de la technologie 5G entre 25,5 et 40 GHz, absorbées par les nanoparticules d’oxyde de graphène (Chen, Y. Fu, X. ; Liu, L. ; Zhang, Y. ; Cao, L. ; Yuan, D. ; Liu, P. 2019), peuvent moduler leur température et moduler ainsi les cellules du cerveau, pour le contrôle et l’interaction, voir aussi “L’oxyde de graphène et l’absorption électromagnétique de la 5G”. Les faits constatés concernant la fréquence de 40 GHz sont également décrits par (Graef, H. ; Wilmart, Q. ; Rosticher, M. ; Mele, D. ; Banszerus, L. ; Stampfer, C. ; Plaçais, B. 2019) qui déclarent «Tous les échantillons sont intégrés dans un guide d’ondes coplanaire à trois ports pour une caractérisation en courant continu (DC), quasi continu (mesures de blocage à 10 kHz) et en radiofréquence (RF) à 40 GHz pour une caractérisation à température variable».

Fig.3. Modulateur thermique en graphène

La figure 4a montre l’échelle nanométrique à laquelle les différents acteurs de l’étude peuvent être comparés. La taille des nanotransducteurs est particulièrement intéressante. L’oxyde de graphène a une échelle de 10 nm, ce qui lui permet d’adhérer aux canaux membranaires qui permettent un mouvement passif des ions. La figure 4b montre les méthodes d’administration des nanotransducteurs. Les plus évidentes sont la voie intranasale (qui concerne les écouvillons pour les tests PCR pour le c0r0n@v|rus) et la voie intraveineuse (qui est directement liée à l’administration des vaccins contre le c0r0n@v|rus).

Fig.4. L’échelle des nanotransducteurs et leur administration dans le corps humain.

La figure 5 montre les schémas de modulation et les éléments ou facteurs impliqués dans la transduction. Les paragraphes a et b de la figure 5 sont particulièrement remarquables, car ils montrent comment l’électromagnétisme et la modulation des bornes affectent directement l’émission de signaux permettant de contrôler le fonctionnement des neurones et, très probablement, l’humeur et le comportement. Le graphène est représenté sur la figure 5B sous la forme d’une structure hexagonale en 2D. 

Fig.5. Types de modulation, leurs nanotransducteurs, signaux, stimuli et charges.

La figure 6 montre quelques détails importants concernant les stimuli envoyés aux nanotransducteurs situés dans le cerveau. Si vous regardez la figure 6b, le signal électromagnétique, selon les auteurs, pourrait atteindre une pénétration de 3,5 mm (vraisemblablement de la pia mater (une des couches qui recouvre et protège le cerveau). Cependant, comme cela a déjà été prouvé dans la littérature scientifique (Mendonça, M.C.P. ; Soares, E.S. ; de Jesus, M.B. ; Ceragioli, H.J. ; Ferreira, M.S. ; Catharino, R.R. ; da Cruz-Höfling, M.A. 2015) et dans les entrées précédentes, l’oxyde de graphène peut pénétrer dans tout le cerveau, étant donné son échelle qui traverse la barrière hémato-encéphalique. 

Fig.6. Méthodes de modulation du cerveau

D’autres détails importants sont l’allusion à la chaleur, aux forces magnétiques (déjà expliquées ci-dessus) et aux ROS (espèces réactives de l’oxygène, qui sont des radicaux libres, des ions oxygène et des peroxydes) responsables de l’oxydation et du déséquilibre REDOX, déjà expliqué dans l’entrée sur le rôle de l’oxyde de graphène sur l’homéostasie mitochondriale. Il convient également de mentionner les réactions par lumière ultraviolette et par ultrasons, qui sont également représentées dans la figure 7.

Fig.7. Chaleur, forces magnétiques et ROS

4. En ce qui concerne les références citées par l’article analysé dans cette entrée, il convient de souligner une grande richesse de la littérature (plus de 140 ouvrages consultés). En raison de leur longueur, les plus pertinents ont été sélectionnés pour être examinés en raison de leur relation avec l’oxyde de graphène et la neuromodulation thermique ou électromagnétique EM, ainsi que les neurotransmetteurs qui peuvent influencer la pensée, le comportement et le fonctionnement des synapses du cerveau d’une personne. Dans cette section, il y a 5 références concernant la régulation/modulation de la dopamine, voir (Beyene, A.G. ; Delevich, K. ; Del Bonis-O’Donnell, J.T. ; Piekarski, D.J. ; Lin, W.C. ; Thomas, A. W. ; Landry, M.P. 2019 | Sun, F. ; Zhou, J. ; Dai, B. ; Qian, T. ; Zeng, J. ; Li, X. ; Li, Y. 2020 | Sun, F. ; Zeng, J. ; Jing, M. ; Zhou, J. ; Feng, J. ; Owen, S.F. ; Li, Y. 2018 | Patriarchi, T. ; Mohebi, A. ; Sun, J. Marley, A. ; Liang, R. ; Dong, C. ; Tian, L. 2020 | Patriarchi, T. ; Cho, J.R. ; Merten, K. ; Howe, M.W. ; Marley, A. ; Xiong, W.H. ; Tian, L. 2018). La dopamine est un neurotransmetteur qui permet la communication entre les neurones et est considérée comme responsable des sentiments de plaisir, de relaxation, de bonheur et est étroitement liée à la dépendance, à l’impulsivité des personnes, ainsi qu’à la dépendance et aux sentiments de récompense (Koob, G.F. 1992). Ce résultat est très important, car il signifie qu’avec une très forte probabilité, les nanotransducteurs d’oxyde de graphène pourraient moduler la production de dopamine. En fait, il a été démontré que l’oxyde de graphène est capable d’adsorber la dopamine, voir la figure 8 et la référence de (Ren, H. ; Kulkarni, D.D. ; Kodiyath, R. ; Xu, W. ; Choi, I. ; Tsukruk, V.V. 2014). Ils ont découvert qu’en fonction de la température d’application, la nanostructure de graphène pouvait adsorber la rhodamine 6G et la dopamine, permettant ainsi le développement de biocapteurs. Cela correspond parfaitement au fonctionnement des nanotransducteurs modulés thermiquement, expliqué ci-dessus. Par conséquent, la capacité du nanotransducteur d’oxyde de graphène à réguler la dopamine émise par le cerveau en fonction de la neuromodulation électromagnétique 5G semble réalisable. Tout cela signifie qu’une personne inoculée avec de l’oxyde de graphène disposerait de nanotransducteurs capables de pénétrer la barrière hémato-encéphalique BBB et d’agir sur les signaux émis par les ondes électromagnétiques pour en déduire des mécanismes comportementaux conditionnels similaires à ceux décrits dans l’expérience de Pavlov, voir (Bitterman, M.E. 2006).

Fig.8. Adsorption de la dopamine sur des nanoplaquettes d’oxyde de graphène GO.

5. En ce qui concerne les références citées par les auteurs sur le graphène, il convient de mentionner le travail de (Rastogi, S.K. ; Garg, R. ; Scopelliti, M.G. ; Pinto, B.I. ; Hartung, J.E. ; Kim, S. ; Cohen-Karni, T. 2020) qui traite de la modulation optique à distance “non génétique” de l’activité neuronale au moyen de nanostructures de graphène flou. Ce travail expérimente avec le NT-3DFG ou Nanowire-Templated-3D Fuzzy Graphene (NT-3DFG) qui sont des nanostructures modélisées en 3D de graphène flou, qui en termes simples sont des structures de graphène superposées, voir figure 9a. On peut également voir comment la figure 9d est très similaire à l’échantillon RD1 analysé par (Campra, P. 2021).

Fig.9. Préparation du matériel NT-3DFG dans le cadre A

La figure 10 montre comment le nanomatériau NT-3DFG agit comme une interface neuronale, ou “nanotransducteur”, qui prend en charge des impulsions laser de durée réduite, de l’ordre de 2 à 5 ms.

Fig.10. NT-3DFG agissant sur le neurone

6. Enfin, l’article de (Hernández-Morales, M. ; Shang, T. ; Chen, J. ; Han, V. ; Liu, C. 2020) fournit des indices fondamentaux pour comprendre comment les ondes de radiofréquence «activent les canaux marqués à la ferritine par une voie biochimique», ce qui augmente les niveaux de fer libre. Cela pourrait expliquer les effets magnétiques des vaccins c0r0n@v|rus. Les auteurs affirment également que «le fer libre produit des espèces réactives de l’oxygène et oxyde les lipides membranaires», ce qui renforce l’idée d’un déséquilibre REDOX, évoqué plus haut.

Commentaires

1. De tous ces faits, on peut affirmer que l’oxyde de graphène peut agir comme un nanotransducteur contrôlé par des ondes électromagnétiques compatibles avec la 5G, pour déduire le comportement neuronal, en modifiant le fonctionnement de la microglie, de la dopamine et d’autres neurotransmetteurs.

2. La neuromodulation à distance sans fil peut influencer les mécanismes de conditionnement, de bonheur, de récompense, d’addiction et de dépendance, régulés par la dopamine, par le biais de la modulation thermique, selon les principes discutés et évoqués ci-dessus. 

3. Par conséquent, les personnes inoculées avec de l’oxyde de graphène portent de facto des nanotransducteurs qui, avec une très forte probabilité, traversent la barrière hémato-encéphalique et se déposent dans les cellules neuronales (ceci est dû aux caractéristiques chimiques et morphologiques du matériau utilisé). Une fois déposé dans les cellules, l’oxyde de graphène peut provoquer des dommages, des effets indésirables et être activé pour la neuromodulation des ondes électromagnétiques.

4. On peut en conclure que le contrôle neuronal/cérébral/mental avec de l’oxyde de graphène inoculé via des vaccins c0r0n@v|rus par modulation d’ondes électromagnétiques est parfaitement réalisable.

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Identification de motifs dans le sang des personnes vaccinées : les micro-nageurs

Récemment, un court documentaire sur les discussions des résultats des tests sanguins des personnes vaccinées (Tim Truth. 2021a) a été diffusé dans l’émission 119 de la Cinquième Colonne (Delgado, R. ; Sevillano, J.L. 2021). Après un examen attentif, C0r0n@2Inspect est arrivé à la conclusion qu’il existe des coïncidences, ou du moins l’identification de plusieurs motifs avec la nanotechnologie, qui pourraient être orientés vers l’assemblage de dispositifs spintroniques avec du graphène ou de l’oxyde de graphène, ou la diffusion de médicaments, ou la mise en œuvre d’interfaces ou de capteurs d’activation à distance, ou d’autres applications qui sont encore à l’étude. 

Plus précisément, la figure 1 montre un filament ondulé et plié ayant la forme d’un ruban légèrement enroulé. 

Fig.1. Filament à reflet métallique au microscope trouvé dans des analyses de sang de personnes vaccinées, selon la source (Tim Truth. 2021a).

Eh bien, cette forme a été vue dans l’article de (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017) sur les nanorobots à entraînement magnétique. Il s’agit plus précisément de nanorobots nageurs en forme de rubans souples constitués d’hydrogels sensibles aux stimuli (voir figures 2 et 3). 

Fig.2. Nanorobots hélicoïdaux contrôlés par des nanoparticules magnétiques alignées incorporées dans l’hydrogel (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017).

Si vous regardez la figure 2 (a) sur le côté droit, vous pouvez voir que la forme du nanorobot est presque identique à celle de la figure 1. Vous pouvez également voir sur la figure 2 (c) comment l’épaisseur du ruban pourrait varier en fonction de la conception du flagelle du nanorobot. Sur la figure 3, on peut voir un agrandissement des détails mentionnés sur la figure 2. 

Fig.3. Gros plan des motifs trouvés dans l’article, qui correspondent à ceux trouvés dans l’échantillon de sang (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017).

Selon les chercheurs de l’article dans lequel ce schéma a été trouvé (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017), pour rendre accessible l’utilisation des nanorobots en biomédecine, il faut des «matériaux mous sensibles aux stimuli», qui pourraient être déclenchés par un champ électromagnétique. Ils ajoutent que «l’utilisation de ces matériaux offre la possibilité de relier la locomotion et les fonctionnalités des nageurs à petite échelle à des conditions environnementales spécifiques», comme le milieu aqueux que l’on pourrait trouver dans la circulation sanguine, où une concordance de motifs a été trouvée. Ils ajoutent également l’exemple de (Huang, H.W. ; Sakar, M.S. ; Petruska, A.J. ; Pané, S. ; Nelson, B.J. 2016) qu’ils expliquent comme suit «décrit une approche différente pour fabriquer des structures souples reconfigurables telles que des hélices et des têtes tubulaires avec des queues hélicoïdales par photolithographie (voir figure 2 et 3). Le pliage des monocouches ou des bicouches d’hydrogel pourrait être commodément prédéterminé en alignant les particules magnétiques pendant la séquence de fabrication. L’alignement des nanoparticules magnétiques a non seulement dirigé le pliage des structures d’hydrogel et permis leur repliement par chauffage NIR, mais a également déterminé l’axe de magnétisation facile de la structure». Certains éléments de cette explication cadrent parfaitement avec l’existence de l’oxyde de graphène dans les vaccins c0r0n@v|rus. En fait, les nanoparticules magnétiques qui peuvent diriger le pliage du nanorobot peuvent être faites d’oxyde de graphène, puisque c’est le seul matériau qui réagit au chauffage NIR (Near Infrared), comme le justifient les travaux suivants (Khan, M. S. ; Abdelhamid, H.N. ; Wu, H.F. 2015 | Liu, W. ; Zhang, X. ; Zhou, L. ; Shang, L. ; Su, Z. 2019 | Robinson, J.T. ; Tabakman, S.M. ; Liang, Y. ; Wang, H. ; Sanchez-Casalongue, H. ; Vinh, D. ; Dai, H. 2011 | Ji, M. ; Jiang, N. ; Chang, J. ; Sun, J. 2014). En continuant à examiner les travaux de (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017) ajoutent une explication à la forme du nanorobot et à son interaction avec l’infrarouge : «sous une exposition au proche infrarouge (NIR), des micromachines molles avec une tête bicouche tubulaire et un flagelle hélicoïdal monocouche pourraient changer leur morphologie, passant d’une forme longue et mince à une forme rabougrie. La forme longue et élancée consistait en une tête tubulaire bicouche avec une queue monocouche, tandis que la morphologie trapue correspondait à un tube plié avec les flagelles enroulés autour de l’extrémité de la tête. Alors que les deux structures pouvaient agir comme des tire-bouchons sous des champs tournants, la forme longue et élancée présentait des vitesses d’avancement plus élevées que la forme courte et rabougrie.» Il est intéressant de noter que la forme mince et allongée est celle représentée sur la figure 1. De plus, les chercheurs ajoutent que ce type de «micromachines molles est prometteur pour des applications spécifiques d’administration de médicaments», ce qui suggère que c’est très probablement ce qui a été observé dans le documentaire diffusé dans (Tim Truth. 2021a) et l’émission 119 de (Delgado, R. ; Sevillano, J.L. 2021).

Sont également cités les travaux de (Fusco, S. ; Huang, H.W. ; Peyer, K.E. ; Peters, C. ; Häberli, M. ; Ulbers, A. ; Pané, S.). 2015) sur les microrobots pour les applications médicales, qui fait spécifiquement allusion au développement de ces dispositifs et au «changement de forme dynamique des bicouches d’hydrogel sur leurs performances pour la navigation dans l’orifice du corps et la libération de médicaments à la demande» et surtout «Les microrobots tubulaires sont fabriqués en couplant un nanocomposite d’hydrogel thermosensible avec une couche de poly(éthylène glycol diacrylate) (PEGDA), pour réaliser un pliage spontané et réversible à partir d’une structure rectangulaire plate. Des nanoparticules d’oxyde de graphène (GO) ou d’oxyde de fer superparamagnétique enrobées de silice sont dispersées dans la matrice d’hydrogel thermosensible pour fournir une sensibilité à la lumière proche infrarouge (NIR) ou une activation magnétique, respectivement.» Cela coïncide avec et confirme l’oxyde de graphène dans les vaccins, l’utilisation du poly(éthylène glycol), connu sous le nom de PEG, pour le revêtement, l’activation infrarouge et les champs électromagnétiques (probablement les ondes électromagnétiques 5G entre autres). Enfin, il est ajouté que «Ces concepts sont finalement appliqués aux microrobots hélicoïdaux pour montrer une manière possible d’obtenir un comportement autonome», ce qui justifie et assure qu’il s’applique aux microrobots ayant la forme de ruban hélicoïdal déjà mentionnée. L’article explique en détail le processus de fabrication de l’oxyde de graphène GO utilisé dans les prototypes, ainsi que les bicouches d’hydrogel et la caractérisation des nanoparticules magnétiques Fe2O3 (très proches de la formulation Fe3O4). En outre, il convient de mentionner l’expérience d’administration de médicaments réalisée dans laquelle «des microtubes photosensibles dans le proche infrarouge à base de GO ont été fabriqués de manière similaire au microrobot magnétique. Après une lyophilisation complète, ils ont été laissés gonflés dans une solution de colorant vert brillant (BG) pour imiter un processus de chargement de médicament à petite échelle hydrophile. La lumière NIR a été utilisée pour induire à distance un effondrement de la matrice ou un changement de forme, et l’effet sur la cinétique de libération a été enregistré et comparé pour les deux systèmes.» Outre la preuve de la libération ou de la délivrance du médicament, le processus de pliage du ruban a également été étudié avec une plage de température comprise entre 20° et 45° qui serait compatible avec la température du corps humain. En fonction de la température, la bande d’hydrogel se pliera différemment, comme le montre la figure 5. 

Fig.5. Plegado dependiente de la temperatura de una cinta de hidrogel magnético. (Fusco, S.; Huang, H.W.; Peyer, K.E.; Peters, C.; Häberli, M.; Ulbers, A.; Pané, S. 2015)

Commentaires

Il semble y avoir un chevauchement important dans le profil observé du sang des personnes vaccinées, comme indiqué dans (Tim Truth. 2021a) avec les microrobots à ruban d’hydrogel magnétique (Chen, X.Z. ; Hoop, M. ; Mushtaq, F. ; Siringil, E. ; Hu, C. ; Nelson, B.J. ; Pané, S. 2017 | | | Fusco, S. ; Huang, H.W. ; Peyer, K.E. ; Peters, C. ; Häberli, M. ; Ulbers, A. ; Pané, S. 2015 | | Huang, H.W. ; Sakar, M.S. ; Petruska, A.J. ; Pané, S. ; Nelson, B.J. 2016). Ces éléments nous permettent de déduire que les vaccins c0r0n@v|rus administrés pourraient, avec une forte probabilité, contenir ce type de nanotechnologie.

Les robots nageurs (ou microrobots à ruban d’hydrogel magnétique) s’adaptent avec tous les détails connus de l’oxyde de graphène, du magnétisme et de l’infrarouge pour l’activation, le contrôle et le guidage, dans les fluides corporels du corps humain, en particulier la circulation sanguine. Outre le mouvement autonome et le changement de forme en fonction de la température, ils peuvent être utilisés pour l’administration automatique de médicaments. Il ne serait donc pas surprenant que l’augmentation de la température corporelle, en réaction à l’inoculation du vaccin, déclenche l’activation et la libération des médicaments qu’ils pourraient hypothétiquement transporter.

Cependant, il est également possible que ces mécanismes soient médiés sans fil par des ondes électromagnétiques, ce qui permettrait de diriger ces dispositifs vers des cibles dans le corps de l’hôte. Bien que l’hydrogel de PEGDA du nageur évite les problèmes de cytotoxicité bien connus de l’oxyde de graphène, cela ne se produit que pendant un certain temps (12 semaines), jusqu’à ce qu’il se désagrège (Browning, M.B. ; Cereceres, S.N. ; Luong, P.T. ; Cosgriff-Hernandez, E.M. 2014) et entre en contact avec le sang et les cellules du corps. Dans le pire des cas, une durée de seulement 4 jours a été mesurée. Cela pourrait également fournir des indices pour détecter la toxicité après l’inoculation de vaccins.