Sommaire
Présentation du dossier Nano-Réseau d’Implants Corporels en PDF
Identification de structures dans les vaccins c0r0n@v|rus: indices d’auto-assemblage ADN-Origami
L’Oxyde de Graphène et l’absorption électromagnétique de la 5G
Identification de nano-routeurs dans les injections CoqueVide de Pfizer
L’Oxyde de Graphène absorbe, également, la 2G, la 3G, la 4G et la 5G
Des Nano-Antennes Plasmoniques dans les Vaccins CoqueVide de Pfizer?
Des trames géométriques dans le vaccin CoqueVide de Janssen?
Oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol
Neuroinflammations et maladies neurodégénératives causées par l’oxyde de graphène
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Présentation du dossier Nano-Réseau d’Implants Corporels en PDF
Voici un dossier/résumé, de 24 diapositives, présenté sous format PDF pour plus d’aisance d’ouverture.
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Identification de structures dans les vaccins c0r0n@v|rus: indices d’auto-assemblage ADN-Origami
L’un des aspects les plus difficiles à déterminer dans l’identification des modèles de vaccins c0r0n@v|rus est la méthode ou la procédure par laquelle les objets observés (micro/nano-routeurs, micro/nano-rectènes…) ont été formés. Dans la littérature scientifique, on a trouvé une multitude de travaux faisant état de diverses techniques de production, telles que la lithographie électronique, le faisceau d’ions focalisé FIB (Focused Ion Beam) et même des modèles d’ADN synthétique, avec lesquels les circuits QCA des nanorouters seraient définis. Cependant, il n’y avait toujours pas de preuve évidente d’auto-assemblage dans les échantillons de vaccins. Cependant, les soupçons plus que fondés de ce processus ont été confirmés par la vidéo de Ricardo Delgado du 27 décembre 2021, qui montrait le mouvement de milliers de particules dans un échantillon de vaccin Pfizer. Ces particules semblaient coalescer en des structures plus complexes, définissant des motifs géométriques simples, voir l’extrait dans la vidéo suivante 1. aa[113]
Dans la littérature scientifique, ce comportement ou mouvement quasi-dirigé des particules, dans le contexte de la construction de micro- et nano-objets et dispositifs électroniques dans un nano-réseau de communications intracorporelles, était fortement susceptible de correspondre à un processus d’auto-assemblage basé sur l’ADN, la croissance épitaxiale et l’origami. Cette déduction a permis de localiser l’articulation scientifique qui, avec une forte probabilité, pourrait confirmer l’auto-assemblage d’objets complexes, notamment des circuits, des cartes, des routeurs, des capteurs et d’autres composants et dispositifs micro/nano-électroniques. Cette découverte explique comment les composants responsables du phénomène de diffusion des adresses MAC de Bluetooth s’auto-assemblent (Sarlangue, G. ; Devilleger, J. ; Trillaud, P. ; Fouchet, S. ; Taillasson, L. ; Catteau, G. 2021). Cela expliquerait également l’assemblage de nanodispositifs, de nanocapteurs, de nanonoeuds, de micro/nano-interfaces, de micro/nano-routeurs, de micro/nano-antennes, de micro/nano-rectennes, avec lesquels le matériel du réseau de nanocommunications intra-corporel est configuré.
La figure 1 montre les signes d’auto-assemblage observés dans la littérature scientifique et leur correspondance avec les échantillons analysés du vaccin Pfizer. D’un point de vue morphologique, il existe des coïncidences importantes qui nous permettent de déduire et presque de supposer que l’auto-assemblage est une réalité vérifiable.
En raison de la complexité du sujet de l’auto-assemblage, ainsi que de la pertinence des éléments découverts, nous procéderons à son analyse détaillée sous trois rubriques principales : a) auto-assemblage dirigé ; b) auto-assemblage par croissance épitaxiale douce ; c) auto-assemblage en origami.
Auto-assemblage dirigé
L’article de (Kumar, P. 2010) présente la première preuve claire d’un “auto-assemblage dirigé” qui peut être observé dans l’échantillon de vaccin, voir la figure 2 et la vidéo 1. Les nanoparticules observées semblent s’unir pour former de plus grands amas et donc des structures plus complexes qui se déplacent dans la gouttelette de l’échantillon.
Selon (Kumar, P. 2010), l’auto-assemblage dirigé est la clé du développement de dispositifs électroniques, magnétiques et optiques miniaturisés, ce qui correspond aux matériaux dérivés du graphène trouvés dans les échantillons de vaccins. En effet, il est indiqué que «les nanoparticules ont attiré une grande attention en tant que composants de ce type en raison de leurs propriétés uniques qui dépendent de leur taille, notamment le super-paramagnétisme, la chimioluminescence et la catalyse. Pour tirer pleinement parti des capacités potentielles des nanoparticules, nous devons développer de nouvelles méthodes pour les assembler en motifs ou structures utiles. Ces structures auto-assemblées promettent de nouvelles opportunités pour le développement de dispositifs optiques, électroniques, optoélectroniques et magnétiques miniaturisés».
En outre, M. Kumar révèle que la méthode «d’auto-assemblage dirigé» est bien adaptée à la création de dispositifs à l’échelle nanométrique et microéconomique, car elle permet d’utiliser des points quantiques ou des nano-points. Il explique : « Comme la taille ou les fonctions du dispositif deviennent de plus en plus petites, les procédés lithographiques classiques sont limités pour leur production. Des méthodes alternatives doivent être développées pour contourner cette difficulté. Au fur et à mesure que les technologies de fabrication conventionnelles, telles que la lithographie optique, se développent, elles commencent également à se heurter à des limites fondamentales….. En outre, de nouvelles techniques de fabrication sont nécessaires pour contribuer à étendre la durée de vie et le champ d’application des techniques existantes… La technique d’auto-assemblage dirigé peut être utilisée de manière appropriée pour produire des nanostructures fonctionnelles, par exemple des nanofils et un réseau organisé de nano-points (c’est-à-dire des points quantiques)». En d’autres termes, l'”auto-assemblage dirigé” permet aux points quantiques d’un matériau donné (par exemple, les points quantiques de graphène GQD) de s’auto-assembler selon un modèle prédéfini.
Parmi les types possibles d’auto-assemblage guidé ou dirigé, M. Kumar reconnaît «l’assemblage guidé par un modèle où l’on utilise des motifs de surface atomique ; l’assemblage guidé par un champ électromagnétique ou électrique, l’assemblage guidé par un faisceau d’électrons, la lumière et le laser, entre autres ». Il reconnaît en outre que «l’auto-assemblage dirigé est une technique reproductible et robuste avec des perspectives d’avenir pour une utilisation à l’échelle industrielle… ce qui signifie construire des structures bien ordonnées, souvent intrigantes, qui a fait l’objet d’une grande attention pour sa facilité à organiser des matériaux à l’échelle nanométrique en structures ordonnées et à produire des structures complexes à grande échelle». Cela semble crucial dans le contexte des nanocommunications en réseau intra-corporel et des nano/microdispositifs, car des milliers de dispositifs doivent être créés pour fonctionner (Zhang, R. ; Yang, K. ; Abbasi, Q.H. ; Qaraqe, K.A. ; Alomainy, A. 2017 | Galal, A. ; Hesselbach, X. 2018 | Galal, A. ; Hesselbach, X. 2020).
Parmi toutes les formes d’auto-assemblage, la plus probable et la plus cohérente du point de vue morphologique est l’auto-assemblage guidé par des modèles d’ADN biologiques. Parmi ses avantages, Kumar souligne «la fabrication de nanofils car elle résout les problèmes d’intégration (éliminant la nécessité de manipuler les nanofils individuels). Il résout également les problèmes liés au contact pour le transport électrique et magnétique.» Cela correspond au type de nanodispositifs observés, par exemple les micro/nano rectennas et les matériaux dérivés du graphène, les points quantiques en graphène (GQD). En fait, explique Kumar, «l’utilisation de modèles physiques d’ADN entraîne la croissance de nanomatériaux dans une position prédéfinie, ce qui élimine la nécessité d’une manipulation après la croissance et permet d’établir des connexions électriques pour une caractérisation plus poussée», ce qui permet de comprendre comment les formes quadrangulaires observées dans les échantillons de vaccins sont construites et définies, et ressemblent fortement aux circuits imprimés, aux micropuces, aux capteurs et aux circuits intégrés. Il ajoute que «ces modèles donnent lieu à la croissance de nanopoints (points quantiques), de nanofils verticaux, qui peuvent être utilisés de manière contrôlable pour fabriquer des dispositifs FET (transistor à effet de champ), des dispositifs à jonction tunnel magnétique et des dispositifs pour des applications optiques», confirmant qu’avec l’auto-assemblage dirigé, il est possible de créer une nanotechnologie miniaturisée de tout dispositif électronique connu. En d’autres termes, l’auto-assemblage guidé par des modèles d’ADN biologiques peut être utilisé pour fabriquer tous les dispositifs nécessaires à un nanoréseau intra-corporel, et il est possible que ce soit la technique utilisée dans les vaccins, d’après les images observées et les déclarations de la littérature scientifique (Catania, V.). Mineo, A. ; Monteleone, S. ; Patti, D. 2014 | Keren, K. ; Berman, R.S. ; Buchstab, E. ; Sivan, U. ; Braun, E. 2003).
Kumar note également que «les stratégies dirigées par les biomolécules (modèles d’ADN biologiques) se sont révélées très prometteuses pour assembler les nanoparticules en une grande diversité d’architectures, en raison de leur grande efficacité, de leur haute spécificité et de leur programmabilité génétique (McMillan, R.A. ; Paavola, C.D. ; Howard, J. ; Chan, S.L. ; Zaluzec, N.J. ; Trent, J.D. 2002). Il a été démontré que ces matériaux nanoassemblés ont des applications potentielles dans de nouveaux systèmes de détection, tels que les biocapteurs (Taton, T.A. ; Mirkin, C.A. ; Letsinger, R.L. 2000) et les capteurs chimiques (Liu, J. ; Lu, Y. 2003 | Liu, J. ; Lu, Y. 2006), et dans la construction de dispositifs nanoélectroniques (Keren, K. ; Berman, R.S. ; Buchstab, E. ; Sivan, U. ; Braun, E. 2003) [paradoxalement configurés avec des nanotubes de carbone]», ce qui confirme à nouveau qu’il s’agit d’une technique/méthode pratique pour la mise en œuvre des nanotechnologies dans le corps humain.
Auto-assemblage au moyen d’une croissance épitaxiale douce
Si les indications d’auto-assemblage dirigé peuvent être considérées comme des hypothèses bien fondées, «l’auto-assemblage par croissance épitaxiale douce» présente des preuves encore plus solides. La figure 4 montre une équivalence exacte entre la littérature scientifique et les échantillons de vaccins Pfizer analysés par le médecin (Campra, P. 2021). Certains des plus nombreux objets de forme quadrangulaire et pyramidale seraient en fait le résultat d’une technique d’auto-assemblage épitaxial, qui est en fait «l’un des procédés de fabrication des circuits intégrés» (Shen, J. ; Sun, W. ; Liu, D. ; Schaus, T. ; Yin, P. 2021 | Burns, M.A. ; Mastrangelo, C.H. ; Sammarco, T.S. ; Man, F.P. ; Webster, J.R. ; Johnsons, B.N. ; Burke, D.T. 1996 | Esener, S.C. ; Hartmann, D.M. Heller, M.J. ; Cable, J.M. 1998 | Krahne, R. ; Yacoby, A. ; Shtrikman, H. ; Bar-Joseph, I. ; Dadosh, T. ; Sperling, J. 2002 | Chen, Y. ; Pepin, A. 2001). L’épitaxie désigne le dépôt d’une couche de matériau (par exemple, des points quantiques de graphène, de l’oxyde de graphène, un hydrogel, etc.) sur un substrat de nucléation primaire. Cependant, contrairement aux processus de croissance traditionnels, elle est ici obtenue par hybridation de l’ADN. C’est à ce moment-là que (Liu, J. ; Wei, J. ; Yang, Z. 2021) développe l’un des objets de sa recherche.
Selon (Liu, J. ; Wei, J. ; Yang, Z. 2021) l’auto-assemblage de «nanoparticules inorganiques en assemblages de nanoparticules mésoscopiques ou macroscopiques est une stratégie efficace pour fabriquer des dispositifs avancés avec des fonctionnalités émergentes à l’échelle nanométrique. En outre, l’assemblage de nanoparticules sur des substrats peut permettre la fabrication de dispositifs intégrés au substrat, comme la croissance de cristaux atomiques sur un substrat. Les progrès récents en matière d’assemblage de nanoparticules suggèrent que des assemblages ordonnés de nanoparticules pourraient être bien produits sur un substrat sélectionné, ce que l’on appelle la croissance douce épitaxiale.» Cette définition confirme que la fabrication de micro/nano-dispositifs électroniques (circuits intégrés) peut être réalisée par croissance cristalline guidée sur un substrat ou un modèle d’ADN. Cela ressort de l’explication suivante : «L’hybridation de l’ADN a été appliquée pour assembler des nanoparticules en super-réseaux dont les structures cristallines sont étonnamment riches. La structure tridimensionnelle en double hélice de l’ADN (pas fixe, diamètre fixe) s’est avérée plus avantageuse que d’autres matériaux pour guider les nanoparticules dans un assemblage tridimensionnel ordonné (Nykypanchuk, D. ; Maye, M.M. ; Van-Der-Lelie, D. ; Gang, O. 2008). La reconnaissance spécifique entre les paires de bases et la possibilité de contrôler la longueur des brins d’ADN et la séquence des bases en font une arme puissante pour l’assemblage à l’échelle nanométrique. La programmabilité de l’ADN en fait un ligand orienté structure extrêmement intéressant.» Cela confirme que l’auto-assemblage de l’ADN ne peut pas seulement construire des structures en 2D, mais que des structures en 3D peuvent être générées grâce aux liaisons en double hélice de l’ADN, ce qui permet de l’utiliser pour configurer toutes sortes de formes, y compris les formes cubiques et prismatiques vues dans la figure 4.
Parmi les expériences citées par (Liu, J. ; Wei, J. ; Yang, Z. 2021) figure le paragraphe suivant sur l’auto-assemblage épitexial, qui révèle une vaste expérience dans l’expérimentation de constructions cristallines à base d’ADN, avec une tolérance d’erreur (mismatch) de seulement 1%.
«Selon (Lewis, D.J. ; Zornberg, L.Z. ; Carter, D.J. ; Macfarlane, R.J. 2020) et ses collaborateurs ont utilisé cette technique et une combinaison de nanoparticules fonctionnalisées par l’ADN et un substrat fonctionnalisé par un brin d’ADN pour concevoir un processus d’assemblage épitaxial. Ils ont découvert que les formes Winterbottom monocristallines des cristaux de nanoparticules se forment en contrôlant les énergies interfaciales entre les cristaux et le fluide, le substrat et le cristal, et le substrat et le fluide. D’autres exemples montrent que les nanoparticules greffées d’ADN auto-assemblées dans des films colloïdaux bidimensionnels peuvent être appliquées comme substrat pour un assemblage épitaxial doux. Par exemple, selon (Wang, M.X. ; Seo, S.E. ; Gabrys, P.A. ; Fleischman, D. ; Lee, B. ; Kim, Y. ; Mirkin, C.A. 2017), ils ont utilisé des nanoparticules enrobées d’ADN comme blocs de construction plus élastiques et plus malléables pour mieux s’adapter à la disparité des réseaux. D’autres études (Gabrys, P.A. ; Seo, S.E. ; Wang, M.X. ; Oh, E. ; Macfarlane, R.J. ; Mirkin, C.A. 2018) ont montré que les films minces de super-réseau assemblés par des nanoparticules fonctionnalisées par l’ADN peuvent stocker des déformations élastiques lors de la déformation et de la réorganisation, avec des désaccords de réseau allant jusqu’à ± 7,7 %, dépassant considérablement les désaccords de réseau de ± 1 % autorisés par les films minces atomiques. Il est important de noter que ces nanoparticules recouvertes d’ADN subissent une relaxation progressive et cohérente, dissipant la contrainte de manière élastique et irrémédiable par la formation de dislocations ou de lacunes. Il est donc possible de faire croître des films colloïdaux hétéroépitaxiés en contrôlant des équivalents atomiques programmables – mous – nanométriques et des microstructures en utilisant des nanocristaux rigides recouverts de matériaux polymères compressibles mous. » (Liu, J. ; Wei, J. ; Yang, Z. 2021)
Auto-assemblage origami
Enfin, parmi les formes les plus originales d’auto-assemblage figure la “méthode de l’origami”, également liée à l’utilisation de modèles d’ADN. Dans ce cas, on peut trouver des indices dans le travail de (Wang, J. ; Yue, L. ; Li, Z. ; Zhang, J. ; Tian, H. ; Willner, I. 2019) intitulé “Active generation of nano-holes in DNA origami scaffolds for programmed catalysis in nanocavities”. Le motif d’un point ou d’un trou dans une structure quadrangulaire est frappant et caractéristique d’un point de vue morphologique. Ce détail a été trouvé dans les images obtenues par le Dr Campra, ce qui, avec l’objet d’auto-assemblage étudié, nous a permis de déduire qu’il s’agissait d’une autre pièce du puzzle et qu’en réalité, il doit exister des objets plus grands auto-assemblés avec la méthode de l’origami. Les similitudes sont claires et évidentes, voir figure 5, puisque la structure quadrangulaire des objets, la position des nano-trous inscrits dans la surface, ainsi que le nombre ou la quantité de ceux-ci observés dans les échantillons du vaccin Pfizer, coïncident.
Mais avant d’analyser la question des trous dans les objets quadrangulaires, il convient de revoir l’introduction et l’état de l’art fournis par les auteurs dans leur article, car ils permettent de situer les capacités de la technique et de démontrer son lien avec la nanotechnologie utilisée dans les vaccins. En effet, des affirmations surprenantes sont relevées, l’auto-assemblage en origami étant un «assemblage programmé de nanostructures d’ADN bidimensionnelles (2D) et tridimensionnelles (3D), qui représentent une percée majeure dans la nanotechnologie de l’ADN» (Hong, F. ; Zhang, F. ; Liu, Y. ; Yan, H. 2017 | Rothemund, P. W. 2006 | Endo, M. ; Sugiyama, H. 2014), ce qui confirme non seulement les dimensions ou axes possibles de l’auto-assemblage, mais aussi que la méthode de l’origami est compatible avec l’auto-assemblage par croissance épitexiale douce et donc avec l’auto-assemblage dirigé ou guidé. Dans tous les cas, l’utilisation de structures d’ADN synthétique, convenablement configurées, sont les précurseurs nécessaires au développement des structures et objets observés dans les échantillons de vaccins.
En outre, (Wang, J. ; Yue, L. ; Li, Z. ; Zhang, J. ; Tian, H. ; Willner, I. 2019) confirment que la méthode d’auto-assemblage par origami d’ADN permet d’ancrer des composants pour configurer, entre autres dispositifs, des antennes plasmoniques, précédemment identifiées dans les échantillons de vaccins comme faisant partie du nanoréseau centré sur le corps humain. C’est ce qui ressort de la citation textuelle suivante : «en plus de créer des formes ingénieuses de structures d’origami générées par le pliage programmé de l’ADN, les structures d’origami ont été fonctionnalisées avec des brins d’acide nucléique en saillie, ou des brins d’oligonucléotides aux bords modifiés. Les brins saillants ont été utilisés comme sites d’ancrage pour l’organisation de polymères, de protéines et de nanoparticules dans les échafaudages de chaque origami. Des fonctions uniques des nanostructures assemblées sur les échafaudages en origami ont été démontrées, comme le fonctionnement de cascades d’enzymes, la conception d’antennes plasmoniques et l’assemblage de structures chiroplasmoniques.» Cette explication est fondamentale pour comprendre le processus de formation des superstructures, guidées par les motifs de l’ADN, car elles sont liées par les brins saillants des blocs de construction, fonctionnalisés par des nanoparticules (par exemple, des points quantiques de graphène), qui, avec le facteur d’échelle et le supraconducteur du matériau, fournissent des caractéristiques plasmoniques et de hall quantique, impliquant l’auto-assemblage de transistors et de micro/nano-puces de la complexité requise.
Dans leur introduction, (Wang, J. ; Yue, L. ; Li, Z. ; Zhang, J. ; Tian, H. ; Willner, I. 2019) fournissent également des annotations et des citations intéressantes sur les possibilités de la technique de l’origami et la conception de marcheurs ADN dotés de capacités motrices pour initier le mouvement, tourner et s’arrêter, selon des modèles d’interaction moléculaire. En fait, selon (Lund, K. ; Manzo, A.J. ; Dabby, N. ; Michelotti, N. ; Johnson-Buck, A. ; Nangreave, J. ; Yan, H. 2010) ces marcheurs d’ADN sont essentiellement des robots moléculaires guidés par des molécules de substrat (précurseurs) dans un ensemble de structures d’origami d’ADN (modèles). Ceci est confirmé par la citation suivante de Lund, également corroborée par (Omabegho, T. ; Sha, R. ; Seeman, N.C. 2009 | Gu, H. ; Chao, J. ; Xiao, S.J. ; Seeman, N.C. 2010) :
«Faire passer la robotique au niveau de la molécule unique est a priori possible, mais il faut s’attaquer à la capacité limitée des molécules uniques à stocker des informations et des programmes complexes. Une stratégie pour surmonter ce problème consiste à utiliser des systèmes capables de dériver un comportement complexe à partir de l’interaction de robots simples avec leur environnement. Un premier pas dans cette direction a été le développement des marcheurs ADN, qui sont passés du stade de non-autonomie à celui de la capacité à effectuer des mouvements dirigés mais brefs sur des pistes unidimensionnelles. Dans ce travail, nous démontrons que des marcheurs aléatoires, également appelés araignées moléculaires, comprenant une molécule de streptavidine comme corps inerte et trois désoxyribozymes comme pattes catalytiques, présentent un comportement robotique élémentaire lorsqu’ils interagissent avec un environnement précisément défini. Des observations par microscopie à molécule unique confirment que ces marcheurs réalisent un mouvement directionnel en détectant et en modifiant les traces des molécules de substrat disposées dans un paysage bidimensionnel d’origami d’ADN» (Lund, K. ; Manzo, A.J. ; Dabby, N. ; Michelotti, N. ; Johnson-Buck, A. ; Nangreave, J. ; Yan, H. 2010).
Cela pourrait confirmer la présence de molécules et de pièces ayant la capacité de s’auto-assembler, de se déplacer, de s’orienter et de s’auto-organiser pour configurer des dispositifs électroniques complexes, conformes aux modèles et aux gabarits de l’ADN synthétique, que l’on retrouve plus étroitement dans une solution de type vaccin, comme le suggère l’observation de la vidéo 1.
En poursuivant l’analyse de (Wang, J. ; Yue, L. ; Li, Z. ; Zhang, J. ; Tian, H. ; Willner, I. 2019), il est ajouté que «la fonctionnalisation de mosaïques d’origami (de matrices d’ADN) a été appliquée pour concevoir des structures d’origami programmées à plusieurs composants et, en particulier, pour développer des dimères d’origami interchangeables». En d’autres termes, les modèles d’ADN peuvent être définis de telle sorte qu’ils soient constitués de parties spécifiques (particules, protéines, points quantiques, etc.) selon un programme ou un modèle prédéterminé.
Cependant, la technologie de l’origami d’ADN peut couvrir d’autres domaines, comme le montrent les expériences de pointe de Wang et de son équipe, «d’ingénieux systèmes d’origami 3D ont été fabriqués. Par exemple, l’auto-assemblage d’une boîte d’origami, l’assemblage par étapes de structures d’ADN programmables à l’échelle du gigadalton et le déplacement par la lumière de paquets d’origami 3D pour produire des fonctions chiroptiques réversibles ont été démontrés. Diverses applications des nanostructures en origami ont été suggérées, notamment la catalyse programmée, la libération contrôlée de médicaments, le fonctionnement de portes logiques et la détection.» Parmi les applications mentionnées, il convient de mentionner les opérations logiques de déclenchement et de détection, qui sont caractéristiques de la conception des circuits QCA (Quantum Cell Automata) et qui ont déjà été abordées dans l’identification des nanorouters parmi les motifs observés dans les vaccins. Il s’agit d’une preuve supplémentaire que la méthodologie de l’origami ADN est valable pour le développement de dispositifs électroniques basés sur des points quantiques, étant donné la possibilité de contrôler la construction ordonnée des fils et des circuits.
Après avoir terminé l’examen des préambules de l’article de (Wang, J. ; Yue, L. ; Li, Z. ; Zhang, J. ; Tian, H. ; Willner, I. 2019), le discours scientifique se tourne vers l’objet des cavités ou des trous dans les “radeaux d’origami”, qui dans le vaccin sont représentés comme des structures quadrangulaires avec un point inscrit dans leur zone. Comme indiqué, «la plupart de ces structures d’origami fonctionnelles impliquaient soit une modification ascendante des radeaux d’origami, soit la modification du bord des tuiles d’origami, soit le pliage des tuiles en tubes. Cependant, la fonctionnalisation des structures d’origami avec des nanocavités (trous ou barils) qui pourraient servir de confinement ou de canaux pour des transformations chimiques guidées peut être envisagée. À ce jour, de telles cavités ont été fabriquées dans le cadre de l’assemblage passif de tuiles d’origami et ces cavités ont été utilisées pour l’ancrage spécifique d’anticorps, la reconstitution de protéines membranaires et la fonctionnalisation de pores à l’état solide pour le transport sélectif. En outre, des structures d’ADN (pas d’origami) ont été introduites dans les membranes et celles-ci ont agi comme des canaux pour le transport potentiellement stimulé d’espèces de cargaison à travers les membranes. En revanche, la présente étude introduit le concept de fabrication active de nano trous dans des tuiles d’origami. Nous présentons la formation active, guidée par des DNAzymes, de nano trous dans des échafaudages d’origami et le déblocage mécanique moléculaire des nano trous en soulevant les domaines de fenêtre couverts. En appliquant deux DNAzymes différents, nous démontrons la fabrication programmée et activée de nano trous dans des structures origami. De plus, nous utilisons les cavités dans les différents échafaudages d’origami comme des nanoenvironnements confinés pour une catalyse sélective et spécifique. En outre, nous mettons en évidence une conception pour l’ouverture et la fermeture mécanique réversible de la lumière des nano trous, et la catalyse commutable dans les nanocavités». Dans cette explication, qui ne laisse aucun doute quant à l’intentionnalité de la technique de fabrication de l’origami, il y a un détail fondamental qui doit être sérieusement pris en compte. Il s’agit de la capacité des cavités des structures d’origami d’ADN à piéger, immobiliser et fixer des anticorps (Ouyang, X. ; De-Stefano, M. ; Krissanaprasit, A. ; Bank-Kodal, A.L. ; Bech-Rosen, C. ; Liu, T. ; Gothelf, K.V. 2017), initialement destinée à des études sérologiques, mais appliquée à la construction de dispositifs électroniques intracorporels à l’échelle micro/nano, pourrait atteindre l’objectif d’empêcher la phagocytose et l’immobilisation de structures autoformées. Il est également révélé que ces trous jouent un rôle très important dans l’interaction avec d’autres séquences d’origami d’ADN, qui peuvent s’emboîter (comme une pièce de Lego) pour ajouter de nouveaux échafaudages de construction, comme expliqué (Kurokawa, T. ; Kiyonaka, S. ; Nakata, E. ; Endo, M. ; Koyama, S. ; Mori, E. ; Mori, Y. 2018) dans la figure 7.
Une autre application citée par Wang et son équipe pour les trous est de servir de canaux ou de pores à travers la plaque ou la structure en origami d’ADN pour développer des biocapteurs, comme le corroborent (Seifert, A. ; Göpfrich, K. ; Burns, J.R. ; Fertig, N. ; Keyser, U.F. ; Howorka, S. 2015 ; Burns, J.R. ; Seifert, A. ; Fertig, N. ; Howorka, S. 2016). En effet, il est indiqué que “les nanopores traversant la membrane à partir d’ADN plié sont un exemple récent de nanostructures biomimétiques conçues qui peuvent ouvrir la voie à des applications dans les biocapteurs, l’administration de médicaments et la nanofluidique….. Nous établissons que les pores d’ADN présentent deux états de conductance dépendant de la tension. De faibles tensions transmembranaires favorisent un niveau stable de conductance élevée, qui correspond à un pore d’ADN non obstrué. La largeur interne attendue du canal ouvert est confirmée en mesurant le changement de conductance en fonction de la taille du poly (éthylène glycol) (PEG), les PEG plus petits étant supposés entrer dans le pore. Cela correspond non seulement à l’un des composants mentionnés dans la liste des excipients du vaccin Pfizer, mais aussi à la conductance requise pour les composants du nanoréseau orientés vers le corps humain (Yang, J.). ; Ma, M. ; Li, L. ; Zhang, Y. ; Huang, W. ; Dong, X. 2014 | Abbasi, Q. H. ; Yang, K. ; Chopra, N. ; Jornet, J.M. ; Abuali, N.A. ; Qaraqe, K.A. ; Alomainy, A. 2016 | Oukhatar, A. ; Bakhouya, M. ; El Ouadghiri, D. 2021).
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L’Oxyde de Graphène et l’absorption électromagnétique de la 5G
Référence: “Millimeter wave absorbing property of flexible graphene/acrylonitrile-butadiene rubber composite in 5G frequency band”. [37]
Faits
1. Cet article aborde des expérimentations d’absorption des ondes électromagnétiques, des émetteurs 5G, par des matériaux contenant de l’oxyde de graphène réduit. Les auteurs ont étudié les variables de bandes de fréquences, avec divers composites d’oxyde de graphène réduit, en mettant l’accent sur un composé d’oxyde de graphène réduit fonctionnalisé avec du butadiène-acrylonitrile – rGO/NBR – en raison de ses meilleures capacités d’absorption dans un spectre de fréquences compris entre 26,5GHz et 40GHz. Le butadiène-acrylonitrile est, également, dénommé “caoutchouc nitrile” et “perbunan”. Il s’agit d’un copolymère qui se caractérise par sa résistance à la friction, par sa stabilité thermique, par sa résistance à l’acide et par ses propriétés antistatiques. Cependant, ce composé peut être fractionné quand il est soumis à de l’ozone ou à de la lumière ultra-violette.
2. Les investigateurs en concluent que le composé d’oxyde de graphène réduit, fonctionnalisé avec du butadiène-acrylonitrile (rGO/NBR), constitue le matériau optimal de par le fait qu’il se caractérise par le plus petit indice de réflexion des ondes électromagnétiques (les micro-ondes) avec une valeur de -45dB à 35,4 GHz – ce qui permet, quasiment, l’absorption de tout le spectre de la 5G.
3. L’une des conclusions, de cet article, est essentielle dans la mesure où elle affirme: «Pour autant, la capacité d’absorption, de micro-ondes, des divers composés pourrait se moduler en modifiant le temps de réduction et la taille des échantillons – ce qui facilite la personnalisation du matériau optimal d’absorption électromagnétique à des fins spécifiques. De plus, parmi tous les facteurs mentionnés, précédemment, la taille des flocons d’oxyde de graphène réduit, ainsi que leur dispersion, dans du butadiène-acrylonitrile, constituent, sans doute, des facteurs d’importance impactant l’absorption des ondes électromagnétiques. Cela signifie qu’il existe, aujourd’hui, une connaissance très sophistiquée des facteurs qui déterminent l’absorption d’ondes électromagnétiques en fonction des applications et des usages souhaités».
4. D’autre part, les images du matériau rGO/NBR, qui sont présentées dans cet article (Voir les figures 2 et 3) s’avèrent très similaires eu égard à celles obtenues par le Professeur Pablo Campra qui sont présentées dans les figures 4 et 5 – ce qui permet d’affirmer qu’il existe une similarité potentielle.
5. De plus, il a été procédé à la révision de la bibliographie, citée dans l’article, en prêtant une plus grande attention aux références qui évoquent, spécifiquement, l’oxyde de graphène. En toutes ces références, il est important de mettre en exergue l’étude intitulée “Controllable fabrication of mono-dispersed RGO-hematite nanocomposites and their enhanced wave absorption properties” [38] qui porte sur la fabrication modulable de nano-composés d’oxyde de graphène réduit avec de l’hématite en mono-dispersions ainsi que sur leurs propriétés améliorées d’absorption des ondes électromagnétiques. L’objectif, décrit dans le titre, est, en effet, de réaliser des nano-matériaux à base d’oxyde de graphène réduit avec des propriétés d’absorption des ondes électromagnétiques qui soient aisément modulables en fonction des bandes de fréquences. Dans ce cas précis, le nano-matériau est composé d’un cristal d’hématite recouvert d’oxyde de graphène réduit. L’hématite est un oxyde de fer de classe trigonale-hexagonale qui se magnétise lorsqu’il est chauffé ou excité par des micro-ondes. [39]
Conclusions
1. Cet article démontre que l’oxyde de graphène réduit peut absorber, efficacement, les ondes électromagnétiques – en se référant, spécifiquement, aux émissions de la 5G. L’échelle des composés validés, dans ces expérimentations, coïncide avec l’échelle analysée par le Professeur Pablo Campra dans l’échantillon RD1. Il s’avère qu’il prévaut une grande similarité entre les images microscopiques.
2. De par la capacité d’absorption des ondes que possède l’oxyde de graphène réduit, de même que son dérivé l’oxyde de graphène réduit, son inoculation, dans l’organisme humain, laisserait supposer un risque pour la santé. De fait, selon l’étude intitulée “Fast and Simple Reduction of Graphene Oxide in Various Organic Solvents Using Microwave Irradiation”, [40] l’application de micro-ondes sur l’oxyde de graphène provoque la désoxygénation de l’oxyde de graphène – ce qui résulte en une production d’oxyde de graphène réduit et de radicaux libres. Ces radicaux libres entretiennent une relation directe avec l’interruption de l’homéostasie (à savoir le fonctionnement normal) des mitochondries chargées de la respiration cellulaire – ce qui peut engendrer des effets adverses conséquents.
3. La photographie microscopie des échantillons, de cette étude, (voir la figure 7) est très remarquable dans la mesure où ils ressemblent, dans une grande mesure, à ce qui a été obtenu par le Professeur Pablo Campra dans l’analyse de l’échantillon RD1 (voir les figures 4 et 5). La littérature, portant sur la réduction de l’oxyde de graphène par micro-ondes, abonde, en références directes ou indirectes. On peut, à cet égard, mettre en exergue les études intitulées “Microwave reduction of graphene oxide” [41] et “Effective reduction of graphene oxide via a hybrid microwave heating method by using mildly reduced graphene oxide as a susceptor”. [42] En effet, ces deux études confirment, de nouveau, la relation existant entre les micro-ondes, la 5G et l’oxyde de graphène.
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Identification de nano-routeurs dans les injections CoqueVide de Pfizer
Dans la continuation du travail excellent réalisé par le blog C0r0n@ 2 Inspect, je vais, aujourd’hui, entamer la traduction de sa dernière étude qui est intitulée “Identificación de patrones en vacunas de c0r0n@v|rus: nanorouters”. [555] Cette étude est à mettre en corrélation avec tous les articles qui ont été rédigés, dernièrement, sur l’apparition de directions MAC émanant de personnes injectées CoqueVide.
Quoique les censeurs fassent de leur mieux pour éliminer toute information authentique, concernant le génocide vaccinal au graphène, il est indéniable que certains vaccinés/injectés CoqueVide – donc, magnétisés et graphénisés – émettent une direction MAC alpha-numérique.
« Depuis que l’on a découvert de l’oxyde de graphène dans les vaccins du coronavirus, toutes les découvertes et les conclusions réalisées n’ont fait que confirmer sa présence. (Campra, P. 2021). A ce jour, il a été découvert des indices et des preuves, plus que raisonnables, de l’existence de nano-tubes et nano-poulpes de carbone, de sphères creuses mésoporeuses, de nano-robots colloïdaux – à savoir, des objets qui ne devraient pas compter parmi les composants d’un quelconque vaccin et qui ne sont pas déclarés comme en étant des composants. De plus, il a été identifié, et validé, d’autres objets dans les photographies d’échantillons de sang de personnes vaccinées avec les vaccins du coronavirus. Ce sont, concrètement, des micro-nageurs, des nano-antennes de graphène cristallisé et des points quantiques de graphène.
A cette occasion, en analysant l’une des photographies obtenues par le Dr. Campra – correspondant à un échantillon du vaccin Pfizer – il a été découvert, avec une grande probabilité, un nano-routeur ou une partie de ses circuits. Dans la photographie originelle, on peut apercevoir une goutte bien délimitée en laquelle apparaissent des structures cristallines de forme rectangulaire ou cubique. Lorsqu’on l’observe avec attention, des marques s’en détachent, avec une forme régulière, bien délimitée dans certains cas – mais, cependant, restreinte de par l’optique du microscope.
La détermination a été possible en isolant chaque rectangle cristallin et en lui appliquant un format raster, une focalisation et une délimitation des bordures de l’image – afin de mettre, encore plus, en exergue les marques observées. Une fois complété ce processus, il a été dessiné un brouillon avec les lignes et les formes inscrites dans le cristal en créant un profil net de ce qui apparaissait, en réalité, comme un circuit. Il fut très saisissant de rencontrer des lignes parallèles, et perpendiculaires, avec une distribution éloignée des structures fractales – ce qui a permis d’en déduire, automatiquement, la possibilité que cela fût un produit de manufacture. C’est pour cela que j’ai cherché des structures similaires, dans la littérature scientifique, qui possédaient une forme similaire au circuit que je venais de finir de dessiner. Le résultat de cette recherche fut quasi-immédiat lorsque je découvris la structure d’un nano-routeur de points quantiques – tel qu’on peut l’observer dans la figure 2.
Cette découverte possède une importance fondamentale non seulement afin d’élucider la finalité authentique et les composants des vaccins pour le coronavirus mais, également, afin d’expliquer l’existence du phénomène des directions MAC qui sont visibles au travers du système Bluetooth de nombreux téléphones portables». Traduction de l’Espagnol par Xochi.
Contexte de la découverte
Avant de procéder à l’explication de cette découverte, il convient de rappeler le contexte dans lequel il se situe dans le but de garantir sa compréhension et son approfondissement ultérieur.
En premier lieu, il est nécessaire de garder à l’esprit que le graphène et ses dérivés, l’oxyde de graphène, les nano-tubes de carbone, etc, forment partie intégrante des vaccins – ainsi que nous l’avons démontré dans ce blog. Les propriétés du graphène sont exceptionnelles d’un point de vue physique, thermodynamique, électronique, mécanique et magnétique. Ses caractéristiques lui permettent d’être utilisé comme supraconducteur, absorbeur d’ondes électromagnétiques (micro-ondes EM), émetteur, récepteur de signaux, antenne quantique, ce qui rend possible la création d’une électronique avancée à l’échelle nano et micrométrique. À tel point qu’il constitue le nanomatériau fondamental pour le développement de la nano-biomédecine [103], des nano-réseaux de communication [104], des nouvelles thérapies d’administration de médicaments [105], des réseaux de nano-communication [104], des nouvelles thérapies d’administration de médicaments [105] et les traitements du cancer [106] et le traitement neurologique des maladies neurodégénératives [107]. Cependant, en dehors de tous ces avantages, la littérature scientifique est très claire quant aux conséquences sur la santé du corps humain. Il est notoire que le graphène (G), l’oxyde de graphène (GO) et d’autres dérivés tels que les nanotubes de carbone (CNT) sont toxiques sous presque toutes leurs formes, provoquant mutagenèse, mort cellulaire (apoptose), libération de radicaux libres, toxicité pulmonaire, pneumonie bilatérale, génotoxicité ou dommages à l’ADN, inflammation, immunosuppression, atteinte du système nerveux, du système circulatoire, des systèmes endocrinien, reproducteur et urinaire, et peut provoquer une mort anaphylactique et un dysfonctionnement de plusieurs organes, voir les pages “Dommages et toxicité de l’oxyde de graphène” et “Dommages et toxicité des nanotubes de carbone-graphène”.
Deuxièmement, le graphène est un nanomatériau radiomodulable, capable d’absorber les ondes électromagnétiques et de multiplier le rayonnement, agissant comme une nanoantenne, ou répéteur de signaux (Chen, Y. ; Fu, X. ; Liu, L. ; Zhang, Y. ; Cao, L. ; Yuan, D. ; Liu, P. 2019). L’exposition à un rayonnement électromagnétique peut provoquer l’exfoliation du matériau en particules plus petites [108], appelées points quantiques de graphène ou GQD, dont les propriétés et les particularités physiques sont renforcées en raison de leur échelle encore plus petite, grâce à l’effet “Quantum Hall”, puisqu’ils agissent en amplifiant les signaux électromagnétiques [109] (Massicotte, M. Yu, V. ; Whiteway, E. ; Vatnik, D. ; Hilke, M. 2013 | Zhang, X. ; Zhou, Q. ; Yuan, M. ; Liao, B. ; Wu, X. ; Ying, M. 2020), et avec elle la distance d’émission, en particulier dans des environnements tels que le corps humain [110] Les points quantiques de graphène peuvent acquérir diverses morphologies, par exemple hexagonale, triangulaire, circulaire ou polygone irrégulier (Tian, P. ; Tang, L. ; Teng, K.S. ; Lau, S.P. 2018).
Les capacités de supraconduction et de transduction font du graphène l’un des matériaux les plus adaptés à la création de réseaux de nanocommunication sans fil pour l’administration de nanotechnologies dans le corps humain. Cette approche a fait l’objet d’un travail intensif de la part de la communauté scientifique, après avoir trouvé et analysé les protocoles et spécifications disponibles, mais aussi les systèmes de routage des paquets de données que génèreraient les nano-appareils et nano-nœuds à l’intérieur du corps, dans un complexe de systèmes appelé CORONA, dont l’objectif est la transmission efficace des signaux et des données dans le réseau, en optimisant la consommation d’énergie (au minimum possible), et en réduisant également les défaillances dans la transmission des paquets de données (Bouchedjera, I. A. ; Aliouat, Z. ; Louail, L. 2020 | Bouchedjera, I.A. ; Louail, L. ; Aliouat, Z. ; Harous, S. 2020 | Tsioliaridou, A. ; Liaskos, C. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. 2015). Dans ce réseau de nanocommunication, on utilise un signal de type TS-OOK (Time-Spread On-Off Keying), qui permet de transmettre des codes binaires de 0 et 1, en utilisant de courtes impulsions qui consistent à activer et désactiver le signal pendant de très petits intervalles de temps de quelques femtosecondes (Zhang, R. Yang, K. ; Abbasi, Q.H. ; Qaraqe, K.A. ; Alomainy, A. 2017 | Vavouris, A.K. ; Dervisi, F.D. ; Papanikolaou, V.K. ; Karagiannidis, G.K. 2018). En raison de la complexité des nanocommunications dans le corps humain, où les nano-nœuds du réseau sont répartis dans tout le corps, dans de nombreux cas en mouvement, en raison du flux sanguin, et dans d’autres attachés à l’endothélium aux parois artérielles et capillaires ou dans les tissus d’autres organes, les chercheurs ont requis le développement de logiciels pour la simulation de telles conditions, afin de vérifier et de valider les protocoles de nanocommunication qui étaient en cours de développement (Dhoutaut, D. Arrabal, T. ; Dedu, E. 2018).
D’autre part, le réseau de nanocommunication orienté vers le corps humain (Balghusoon, A.O. ; Mahfoudh, S. 2020), a été soigneusement conçu dans ses aspects topologiques, en concevant des composants spécialisés dans l’exécution d’une telle tâche. Par exemple, la nanocommunication électromagnétique est constituée, dans sa couche la plus élémentaire, de nano-nœuds qui sont des dispositifs (vraisemblablement constitués de graphène, de nanotubes de carbone, de GQD, entre autres objets et matériaux) ayant la capacité d’interagir comme des nanocapteurs, des actionneurs piézoélectriques et, dans tous les cas, comme des nano-antennes qui propagent les signaux vers le reste des nano-nœuds. Les nano-nœuds trouvent dans les nano-routeurs (également appelés nanocontrôleurs) l’étape suivante de la topologie. Leur fonction est de recevoir les signaux émis par les nano-nodes, de les traiter et de les envoyer aux nano-interfaces, qui les émettront vers l’extérieur du corps avec la fréquence et la portée nécessaires, car il faut franchir la barrière cutanée sans perdre la clarté du signal, pour qu’il puisse être reçu par un appareil mobile à une distance suffisamment proche (généralement quelques mètres). Cet appareil mobile serait en fait un smartphone ou tout autre appareil disposant d’une connexion Internet, ce qui lui permet d’agir comme une passerelle. La topologie définit également la possibilité que toute l’infrastructure des nano-nœuds, du nano-routeur et de la nano-interface soit unifiée en un seul nano-appareil, appelé pôle ou métamatériau défini par logiciel SDM (Lee, S.J. ; Jung, C. ; Choi, K. ; Kim, S. 2015). Ce modèle simplifie la topologie, mais augmente la taille du dispositif et la complexité de sa construction, conçue en plusieurs couches de graphène. Dans tous les cas, quelle que soit la topologie, les nanorouteurs sont nécessaires pour acheminer et décoder correctement les signaux, pour l’envoi, mais aussi pour la réception, puisqu’ils peuvent être conçus pour un service bidirectionnel, ce qui implique de facto la capacité de recevoir des signaux de commande, d’ordre, opérationnels, interagissant avec les objets du réseau.
Outre la nanocommunication électromagnétique, il existe une nanocommunication moléculaire, évoquée dans l’article sur les nanotubes de carbone et les nouvelles preuves apportées par les échantillons de vaccins. Dans ces deux publications, les implications de ces objets dans le domaine des neurosciences, de la neuromodulation et de la neurostimulation sont analysées, car s’ils se trouvent dans le tissu neuronal (ce qui est très probable, étant donné leur capacité à franchir la barrière hémato-encéphalique), ils peuvent établir des connexions qui relient les synapses neuronales. Cela signifie qu’ils relient les neurones par des raccourcis différents et plus courts que les axones naturels (Fabbro, A. ; Cellot, G. ; Prato, M. ; Ballerini, L. 2011). S’il peut être utilisé dans des traitements expérimentaux pour atténuer les effets des maladies neurodégénératives, il peut également être utilisé pour intervenir directement sur les neurones, la sécrétion de neurotransmetteurs tels que la dopamine, l’activation involontaire de certaines zones du cerveau, leur neurostimulation ou leur modulation par des impulsions électriques générées par les nanotubes de carbone (Suzuki, J. ; Budiman, H. ; Carr, Carr, L. 2011). Budiman, H. ; Carr, T.A. ; DeBlois, J.H. 2013 ; Balasubramaniam, S. ; Boyle, N.T. ; Della-Chiesa, A. ; Walsh, F. ; Mardinoglu, A. ; Botvich, D. ; Prina-Mello, A. 2011), suite à la réception de signaux et d’impulsions électromagnétiques provenant du réseau de nanocommunications (Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. 2010). Il va sans dire ce que cela signifie lorsqu’un signal extérieur, non contrôlé par la personne inoculée, régit la sécrétion des neurotransmetteurs. Par exemple, les nanotubes de carbone logés dans les tissus neuronaux pourraient interférer avec le fonctionnement naturel de la sécrétion de neurotransmetteurs tels que la dopamine, qui est en partie responsable des processus cognitifs, de la socialisation, du système de récompense, du désir, du plaisir, de l’apprentissage conditionné ou de l’inhibition (Beyene, A.G. ; Delevich, K. ; Del Bonis-O’Donnell, J. T. ; Piekarski, D.J. ; Lin, W.C. ; Thomas, A. W. ; Landry, M.P. 2019 | Sun, F. ; Zhou, J. ; Dai, B. ; Qian, T. ; Zeng, J. ; Li, X. ; Li, Y. 2020 | Sun, F. ; Zeng, J. ; Jing, M. ; Zhou, J. ; Feng, J. ; Owen, S. F. ; Li, Y. 2018 | Patriarchi, T. ; Mohebi, A. ; Sun, J. ; Marley, A. ; Liang, R. ; Dong, C. ; Tian, L. 2020 | Patriarchi, T. ; Cho, J.R. ; Merten, K. ; Howe, M.W. ; Marley, A. ; Xiong, W.H. ; Tian, L. 2018). Cela signifie qu’il peut s’immiscer dans les schémas normaux de comportement, les sentiments et les pensées des gens, et même forcer un apprentissage conditionné subliminal, sans que l’individu soit conscient de ce qui se passe. Outre les propriétés susmentionnées, les nanotubes de carbone n’ouvrent pas seulement la porte à l’interaction sans fil dans le cerveau humain, ils peuvent également recevoir des signaux électriques provenant des neurones et les propager jusqu’aux nanorouters, puisqu’ils bénéficient des mêmes propriétés que les nano-antennes et les points quantiques de graphène, comme expliqué dans (Demoustier, S. ; Minoux, E. ; Leoux, E. ; Leoux ; Leoux, E. ; Demoustier, S.). Minoux, E. ; Le Baillif, M. ; Charles, M. ; Ziaei, A. 2008 | Wang, Y. ; Wu, Q. ; Shi, W. ; He, X. ; Sun, X. ; Gui, T. 2008 | Da-Costa, M.R. ; Kibis, O.V. ; Portnoi, M.E. 2009). Cela signifie qu’ils peuvent transmettre et surveiller l’activité neuronale des individus.
Pour que les paquets de données envoyés et reçus par le réseau de nanocommunications atteignent leur destination, il est essentiel que le protocole de communication mette en œuvre d’une manière ou d’une autre l’identification unique des nanodispositifs (par exemple par MAC) et transmette les informations à une adresse IP prédéterminée. En ce sens, le corps humain devient un serveur IoNT (Internet of NanoThings) auquel le modèle de communication client/serveur peut être assimilé. Les mécanismes, les types de commandes ou de requêtes, ainsi que la fréquence exacte et le type de signal faisant fonctionner le réseau de nanocommunications sans fil qui serait installé avec chaque vaccin restent à déterminer, bien que ces informations doivent évidemment être très réservées, étant donné les conséquences possibles du biohacking (Vassiliou, V. 2011) qui pourrait se produire. En fait, le travail de (Al-Turjman, F. 2020) relie les problèmes et les circonstances de la sécurité des réseaux de nanocommunications connectés à la 5G (confidentialité, authentification, vie privée, confiance, intrusions, répudiation) et présente en outre un résumé du fonctionnement de la communication électromagnétique entre les nano-nœuds, les nanocapteurs et les nano-routeurs, en utilisant des antennes et des émetteurs-récepteurs en graphène pour leur liaison avec les serveurs de données, afin de développer des projets de Big-data. Il convient de noter que les risques de piratage du réseau sont très similaires à ceux qui peuvent être perpétrés sur n’importe quel réseau connecté à Internet (attaque par mascarade, localisation, piège à informations, déni de service, détournement de nanodispositif, trou de ver, attaque intermédiaire MITM, malware, spam, sybil, spoofing, attaque par illusion de neurostimulation), ce qui signifie un risque potentiel et supplémentaire très grave pour les personnes inoculées par le matériel d’un réseau de nanocommunications.
C’est dans ce contexte que la découverte des circuits d’un nanorouteur dans les échantillons du vaccin Pfizer, pièce maîtresse de toutes les recherches en cours, confirme l’installation dans le corps des personnes inoculées, sans leur consentement éclairé, d’un matériel qui exécute des processus de collecte et d’interaction échappant totalement à leur contrôle.
Nano-routeurs Automates cellulaires quantiques
Le circuit découvert, voir figure 3, correspond au domaine des automates cellulaires à points quantiques, également appelés QCA (Quantum Cellular Automata), caractérisés par leur échelle nanométrique et leur très faible consommation d’énergie, comme alternative pour le remplacement de la technologie basée sur les transistors. Ceci est défini par le travail de (Sardinha, L.H. ; Costa, A.M. ; Neto, O.P.V. ; Vieira, L.F. ; Vieira, M.A. 2013) à partir duquel le schéma d’un tel circuit a été obtenu. Le nano-routeur auquel les chercheurs font référence se caractérise par un facteur de consommation électrique ultra-faible, une vitesse de traitement élevée (sa fréquence d’horloge fonctionne dans la gamme de 1-2 THz), ce qui correspond aux conditions d’alimentation et aux exigences de transfert de données dans le contexte des réseaux de nanocommunication pour le corps humain décrits par (Pierobon, M. ; Jornet, J.M. ; Akkari, N. ; Almasri, S. ; Akyildiz, I.F. 2014).
Selon les explications données dans les travaux de (Sardinha, L.H. ; Costa, A.M. ; Neto, O.P.V. ; Vieira, L.F. ; Vieira, M.A. 2013), on distingue le concept de point quantique et de cellule de point quantique, voir figure 4. La cellule QCA est constituée de quatre points quantiques dont la polarisation est variable. Il est ainsi possible de distinguer le code binaire de 0 et de 1 en fonction de la charge positive ou négative des points quantiques. Selon les auteurs, “les unités de base des circuits QCA sont des cellules composées de points quantiques. Un point, dans ce contexte, n’est qu’une région où une charge électrique peut ou non se trouver. Une cellule QCA comporte quatre points quantiques situés dans les coins. Chaque cellule possède deux électrons libres et mobiles qui peuvent se déplacer entre les points quantiques. Les tunnels vers l’extérieur de la cellule ne sont pas autorisés en raison d’une barrière de potentiel élevé”. Extrapolée aux points quantiques de graphène, appelés GQD, qui ont été identifiés dans des échantillons de sang (en raison de la fluorescence émise), une cellule QCA aurait besoin de quatre GQD pour se composer, ce qui est parfaitement compatible avec la description donnée par les chercheurs. Ceci est également corroboré par (Wang, Z.F. ; Liu, F. 2011) dans leur travail intitulé “Graphene quantum dots as building blocks for quantum cellular automata”, qui confirme l’utilisation du graphène pour créer de tels circuits.
Lorsque les cellules QCA sont combinées, des fils et des circuits sont créés, avec une grande variété de formes, de schémas et d’applications, comme on peut le voir sur la figure 5, où l’on observe des inverseurs, des croisements et des portes logiques, également abordés par d’autres auteurs comme (Xia, Y. ; Qiu, K. 2008). Cela donne lieu à des structures plus complexes, qui permettent de reproduire les schémas électroniques des transistors, processeurs, émetteurs-récepteurs, multiplexeurs, démultiplexeurs et donc de n’importe quel routeur.
Il est important d’expliquer que les circuits constitués de cellules QCA peuvent fonctionner en plusieurs couches superposées, ce qui permet d’obtenir une structure tridimensionnelle (3D) pour créer une électronique beaucoup plus complexe et comprimée, voir la figure 6.
Pour développer un nanorouteur, selon les chercheurs (Sardinha, L.H. ; Costa, A.M. ; Neto, O.P.V.; Vieira, L.F. ; Vieira, M.A. 2013), plusieurs structures de circuit sont nécessaires, à savoir des croisements de fils (qui forment des portes logiques), des démultiplexeurs (demux) et des convertisseurs parallèle-série, voir la figure X. Les démultiplicateurs sont des dispositifs électroniques capables de recevoir un signal à l’entrée QCA et de l’envoyer à l’une des nombreuses lignes de sortie disponibles, ce qui permet d’acheminer le signal pour un traitement ultérieur. Le convertisseur parallèle-série est un circuit capable de prendre plusieurs ensembles de données sur une entrée, de les transporter sur différents fils QCA et de les transmettre à des moments différents sur les fils de sortie. Il s’agirait du composant même observé dans les échantillons de vaccins, voir figure 7.
Un autre aspect pertinent du travail de (Sardinha, L.H. ; Costa, A.M. ; Neto, O.P.V. ; Vieira, L.F. ; Vieira, M.A. 2013) est la démonstration du fonctionnement du circuit, où l’on observe la réception d’un signal TS-OOK et sa conversion en code binaire, voir figure 8. Une fois le code binaire obtenu, le circuit “demux” est chargé de générer les paquets de données, selon la structure du protocole de communication correspondant.
Tout ce qui est expliqué par (Sardinha, L.H. ; Costa, A.M. ; Neto, O.P.V. ; Vieira, L.F. ; Vieira, M.A. 2013) est également corroboré par (Das, B. ; Das, J.C. ; De, D. ; Paul, A.K. 2017) dans les recherches desquelles on observe des conceptions de circuits QCA pour des démux et des nanorouters, avec des schémas très similaires, à ceux déjà présentés, ce qui confirme la recherche de solutions au problème de la transmission et du traitement simples des signaux et des données à l’échelle nanométrique, afin de rendre efficaces les réseaux de nanocommunication.
Enfin, bien qu’il puisse déjà être déduit de la nature, des caractéristiques et des propriétés des circuits des cellules QCA, le concept de vitesse d’horloge doit être mis en évidence. Il est intéressant de noter, en effet, la capacité de ces composants électroniques à fonctionner de manière quasi autonome, sans avoir besoin d’un processeur dédié. En effet, les fils des cellules QCA peuvent mesurer le temps de transfert des signaux entre les différentes cellules, dans ce que l’on appelle les “zones d’horloge”, voir la figure 9 et les recherches suivantes (Sadeghi, M. ; Navi, K. ; Dolatshahi, M. 2020 | Laajimi, R. ; Niu, M. 2018 | Reis, D.A. ; Torres, F.S. 2016 | Mohammadyan, S. ; Angizi, S. ; Navi, K. (2015). Cet effet permet la transmission de signaux à travers le circuit, mais permet également la création d’une fréquence d’horloge, qui est sa propre vitesse de traitement. Si ce concept est associé à l’utilisation de matériaux supraconducteurs tels que le graphène et plus particulièrement les points quantiques de graphène, il est possible d’atteindre des vitesses de traitement très élevées.
Auto-assemblage de circuits
Bien que cela puisse sembler impossible, l’auto-assemblage de circuits est une possibilité à envisager dans l’hypothèse expliquée ci-dessus. Selon (Huang, J. ; Momenzadeh, M. ; Lombardi, F. 2007) “Les développements récents dans la fabrication de QCA (impliquant des implémentations moléculaires) ont considérablement changé la nature du traitement. Pour les caractéristiques de très petite taille, on s’attend à utiliser l’auto-assemblage ou le dépôt de cellules à grande échelle sur des substrats isolés. Dans ces implémentations, des cellules QCA (chacune composée de deux dipôles) sont déposées sur des pistes parallèles en forme de V. Les cellules QCA sont disposées selon un motif dense et le calcul s’effectue entre les cellules adjacentes. Ces techniques de fabrication sont bien adaptées à une mise en œuvre moléculaire. Cependant, il existe également d’autres méthodes, comme le nanopatterning ADN (Hu, W. ; Sarveswaran, K. ; Lieberman, M. ; Bernstein, G.H. 2005), avec lequel un modèle est créé pour l’alignement de points quantiques de graphène, formant les cellules QCA, générant ainsi le circuit mentionné ci-dessus, voir figure 10.
Selon (Hu, W. ; Sarveswaran, K. ; Lieberman, M. ; Bernstein, G.H. 2005) “Les radeaux d’ADN quadripartites ont été synthétisés avec succès et caractérisés par la méthode d’électrophorèse sur gel dans nos travaux précédents”, ce qui correspond aux travaux de (Sarveswaran, K. 2004). Cela correspond à l’existence très possible d’un gel/hydrogel dans la composition du vaccin, après l’analyse micro-Raman du Dr. (Campra, P. 2021) dans laquelle on a obtenu des pics avec des valeurs proches de 1450, qui pourraient correspondre à du PVA, du PQT-12, de la polyoléfine, du polyacrylamide ou du polypyrrole, tous des composants reconnus dans la littérature scientifique comme des gels et des dérivés. En revanche, il est fait explicitement allusion à la méthode d’électrophorèse, ou ce qui revient au même, au processus de polarisation électrique qui provoque la teslaphorèse, sur les nanotubes de carbone, le graphène, les points quantiques et autres semi-conducteurs, comme décrit (Bornhoeft, L.R. ; Castillo, A.C. ; Smalley, P.R. ; Kittrell, C. ; James, D.K. ; Brinson, B.E. ; Cherukuri, P. 2016) dans leurs recherches. Cela confirmerait que la teslaphorèse joue un rôle clé dans la composition des circuits, parallèlement au modelage de l’ADN. Si cela se confirme, cela signifierait que les circuits pourraient s’auto-assembler en présence de champs électriques ou même à la réception d’ondes électromagnétiques (micro-ondes EM). L’étude de (Pillers, M. ; Goss, V. ; Lieberman, M. 2014) confirme également la construction de nanostructures et de CQA en utilisant dans ce cas le graphène, l’oxyde de graphène (GO), l’électrophorèse et le gel, provoquant un dépôt contrôlé dans les zones indiquées par le motif ADN, reproduisant des résultats similaires à ceux présentés dans l’étude de Hu et Sarveswaran, rendant ainsi possible la création des circuits électroniques déjà mentionnés, voir figure 11.
Nano-émetteurs plasmoniques
Une autre question qui nécessite une explication dans la découverte d’un circuit nanorouter dans l’échantillon de vaccin est son emplacement dans ce qui semble être un cristal de forme quadrangulaire. Alors qu’on pourrait penser qu’il s’agit d’une forme générée de manière aléatoire, l’analyse documentaire révèle et justifie de telles formes qui servent de cadre à ce type de circuit. En réalité, il s’agit d’un “nanoémetteur plasmonique”, c’est-à-dire qu’il correspondrait à une nanoantenne (monocristal) de forme cubique et de taille variable à l’échelle nano-micrométrique, qui peut émettre, recevoir ou répéter des signaux. Ceci est rendu possible par la propriété d’activation plasmonique de sa surface (celle du cube nanoémetteur) qui est localement excitée pour générer un signal oscillatoire, comme expliqué par (Ge, D. ; Marguet, S. ; Issa, A. ; Jradi, S. ; Nguyen, T.H. ; Nahra, M. ; Bachelot, R. 2020), voir figure 12. Ceci est cohérent avec le type de signaux TS-OOK, qui sont transmis par le réseau de nanocommunication intra-corporel, et qui sont une condition préalable pour qu’un nano-routeur dispose d’une méthode pour les capturer. En d’autres termes, le cube cristallin agit comme un émetteur-récepteur pour le nanorouteur, grâce à ses propriétés particulières issues de la physique des plasmons. Cela est corroboré par la consultation de la littérature scientifique sur les nanoréseaux électromagnétiques pour le corps humain (Balghusoon, A.O. ; Mahfoudh, S. 2020), les protocoles MAC appliqués au cas (Jornet, J.M. ; Pujol, J.C. ; Pareta, J.S. 2012), les méthodes de débogage des erreurs dans les signaux (Jornet, J.M. ; Pierobon, M. ; Akyildiz, I.F. 2008) et la modulation des signaux (Jornet, J.M. ; Pierobon, M. ; Akyildiz, I.F. 2008). 2008), ou la modulation d’impulsions femtosecondes dans le badan térahertz pour les nano-réseaux de communication (Jornet, J.M. ; Akyildiz, I.F. 2014), le paramétrage de nano-réseaux pour un fonctionnement perpétuel (Yao, X. W. ; Wang, W.L. ; Yang, S.H. 2015), les performances en matière de modulation des signaux sans fil pour les nano-réseaux (Zarepour, E. ; Hassan, M. ; Chou, C.T. ; Bayat, S. 2015). Dans tous les cas, les nano-émetteurs sont indispensables pour pouvoir recevoir ou diffuser un signal TS-OOK.
Les nano-émetteurs plasmoniques peuvent être de forme cubique, ce qui serait le cas observé dans l’échantillon de vaccin, mais aussi sphérique et discoïdale, et peuvent être auto-assemblés pour former des nanomicrostructures plus grandes (Devaraj, V. ; Lee, J.M. ; Kim, Y.J. ; Jeong, H. ; Oh, J.W. 2021). Les matériaux à partir desquels ce nano-émetteur plasmonique pourrait être produit comprennent l’or, l’argent, les pérovskites et le graphène, voir (Oh, D.K. ; Jeong, H. ; Kim, J. ; Kim, Y. ; Kim, I. ; Ok, J.G. ; Rho, J. 2021 | Hamedi, H. R. ; Paspalakis, E. ; Yannopapas, V. 2021 | Gritsienko, A.V. ; Kurochkin, N.S. ; Lega, P.V. ; Orlov, A.P. ; Ilin, A.S. ; Eliseev, S.P. ; Vitukhnovsky, A.G. 2021 | Pierini, S. 2021), bien qu’il soit probable que de nombreux autres pourraient être utilisés.
Mémoire CAM et TCAM pour MAC et IP
Si l’on considère la présence de nanorouteurs dans les vaccins, l’hypothèse de l’existence d’une ou plusieurs adresses MAC (fixes ou dynamiques), qui pourraient être diffusées par les personnes vaccinées ou par un autre dispositif intermédiaire (par exemple un téléphone portable), pourrait être confirmée. Cette approche est conforme à ce qui a déjà été expliqué et prouvé dans cette publication, mais aussi aux publications scientifiques sur les réseaux de nano-communication pour le corps humain. Selon (Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Cabellos-Aparicio, A. 2017) ces adresses MAC permettent au nano-réseau de transmettre et de recevoir des données, car l’individu possède un identifiant unique qui permet d’accéder au support, c’est-à-dire à l’Internet. De cette manière, le nano-routeur peut recevoir les signaux correspondant aux données des nanocapteurs et des nano-nœuds du nano-réseau pour les transmettre à l’extérieur du corps, à condition qu’il y ait un appareil mobile à proximité, qui sert de passerelle vers Internet. Il est donc possible d’émettre l’hypothèse que les adresses MAC des personnes vaccinées peuvent être observées (au moyen d’applications de suivi des signaux Bluetooth), lorsqu’il y a une certaine forme d’interaction avec le support mobile faisant office de passerelle. Cela ne signifie pas que la communication est permanente, en raison de la nécessité d’économiser et d’optimiser la consommation d’énergie (Mohrehkesh, S. ; Weigle, M.C. 2014 | Mohrehkesh, S. ; Weigle, M.C. ; Das, S.K. 2015), ce qui pourrait expliquer l’intermittence des communications, les périodes de connexion et d’inactivité.
La nouveauté dans le domaine de l’adressage MAC, qui est couplé aux circuits QCA, avec lesquels les nanorouteurs peuvent être développés, est que des circuits de mémoire peuvent également être créés. Les mêmes chercheurs (Sardinha, L.H. ; Silva, D.S. ; Vieira, M.A. ; Vieira, L.F. ; Neto, O.P.V. 2015) ont mis au point un nouveau type de mémoire CAM qui “contrairement à la mémoire vive (RAM), qui renvoie les données stockées à l’adresse donnée, la CAM, elle, reçoit les données stockées à l’adresse donnée. La CAM, en revanche, reçoit des données en entrée et renvoie l’endroit où ces données peuvent être trouvées. La CAM est utile pour de nombreuses applications qui nécessitent des recherches rapides, comme les transformations de Hought, le codage de Huffman, la compression de Lempel-Ziv et les commutateurs de réseau pour faire correspondre les adresses MAC aux adresses IP et vice versa. CAM est plus utile pour créer des tables qui recherchent des correspondances exactes, comme les tables d’adresses MAC. Cette déclaration a été extraite et copiée mot pour mot pour souligner que les circuits QCA sont la réponse au stockage et à la gestion des adresses MAC pour la transmission de données dans les nano-réseaux, ce qui confirmerait que les vaccins sont, entre autres, un moyen d’installer du matériel pour contrôler, moduler et surveiller les gens.
De plus, (Sardinha, L.H. ; Silva, D.S. ; Vieira, M.A. ; Vieira, L.F. ; Neto, O.P.V. 2015) a également développé la mémoire TCAM, qui est un type spécial de mémoire CAM qui serait utile pour “créer des tables pour rechercher des correspondances plus longues, comme les tables de routage IP organisées par préfixes IP. Pour réduire la latence et rendre la communication plus rapide, les routeurs utilisent la TCAM”. Cette déclaration met clairement en évidence son utilisation dans les nano-routeurs afin de pouvoir transmettre les données collectées dans le nano-réseau à un serveur spécifique et ciblé accessible sur Internet. En d’autres termes, les données recueillies par le nano-réseau devraient être stockées/enregistrées dans une base de données dont le destinataire du vaccin ne connaîtrait pas l’existence, dont il n’a pas été informé et dans laquelle on ignore quelles informations sont utilisées.
Les urls afférentes à cet article sont disponibles sur le blog de Mik Andersen.
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L’Oxyde de Graphène absorbe, également, la 2G, la 3G, la 4G et la 5G
Référence. Ameer, S.; Gul, I.H. (2016). “Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers”. Influence de la réduction de l’oxyde de graphène dans le déplacement de la largeur de bande d’absorption des absorbeurs hybrides. [12]
Introduction
1. En raison de l’importance des preuves portant sur l’absorption électromagnétique de l’oxyde de graphène, en ce qui concerne la 5G, il s’avère indispensable d’approfondir cette investigation afin de découvrir si d’autres bandes du spectre électromagnétique pourraient être absorbées.
2. Le spectre électromagnétique est la distribution énergétique des ondes électromagnétiques. Pour ce qui est des études d’absorption, on mesure le “spectre d’absorption” du matériau – à savoir, dans ce cas précis, l’oxyde de graphène. Afin d’étudier le spectre électromagnétique, il est coutumier de diviser en bandes, en segments, qui permettent de classifier les ondes en fonction de leurs fréquences distinctes, selon leurs usages et applications. Une bande de fréquence-radio est une partie de la section de fréquences du spectre radioélectrique qui s’utilise, habituellement, pour les communications par radio: elles sont utilisées afin de faciliter la syntonisation et afin d’éviter les interférences entre l’émetteur et le récepteur des mêmes.
3. Selon les informations diffusées au travers de quelques vecteurs de communications, (Iglesias-Fraga, A. 2020), le spectre radioélectrique de la 5G s’organise respectivement en bandes de 700 MHz (correspondant à 694-790MHz pour la télévision par TDT, une bande inférieure à 1GHz), de 1500 MHz (une 5G dédiée qui correspond à 1427-1530MHz), de 2600 MHz, 2,6GHz y 26GHz (pour des situations ponctuelles non précisées dans l’article).
4. Si l’on consulte le BOE numéro 198, du 21 juillet 2020, pages 54731 a 54762, [13] on peut y trouver une meilleure description du Cuadro Nacional de Atribución de Frecuencias (CNAF) qui est présenté dans la figure 1 – mentionnant les bandes de fréquences qui seront employées par la 5G. Cependant, on peut observer, et prouver, que des situations ponctuelles impliquent la bande de 26GHz. Malheureusement, l’explication est si concise qu’elle ne précise que ce qui suit: “pour des émissions à des fins expérimentales”.
5. Lorsque l’on cherche des informations concernant les applications de la bande de fréquence de 26GHz, on peut découvrir des allusions directes dans le Plan de Recuperación, Transformación y Resiliencia publié le 16 juin 2021. (Gouvernement d’Espagne. 2021). [14] Il y est spécifié que l’attribution des dites bandes aura lieu durant le second semestre de 2022. On peut, également, faire référence au texte suivant:
«Quant à la bande de 26GHZ, en juin 2019, il y eut une consultation publique qui ne montra pas un intérêt spécial de la part des acteurs pour réaliser des déploiements dans cette bande précise. Cependant, la préparation de cette bande est accomplie pour la 5G – dont des rencontres avec des acteurs locaux témoignant d’un intérêt éventuel pour cette bande de fréquences. Ainsi, il existe des stimulations afin que les projets-pilotes intègrent des exemples d’usage de la bande 26GHz. A cet effet, les acteurs peuvent solliciter un usage temporaire du spectre dans la mesure où il existe déjà 1 GHz de disponible pour un usage en 5G. La mise à disposition de la bande de fréquences de 26GHz s’effectuera au travers d’une offre publique et un processus ouvert de concessions, à usage privé, du domaine public radioélectrique en respectant les principes de publicité, de concurrence et de non-discrimination eu égard à toutes les parties intéressées.»
Ce texte est, particulièrement, intéressant de par ses propres contradiction internes. D’une part, il fait référence à la bande de fréquences de 26 GHz, en faisant allusion au peu d’intérêt suscité, mais, d’autre part, son usage est promu pour des projets-pilotes qui ne sont pas définis. De plus, si les objectifs non déterminés sont expérimentaux, on ne peut comprendre leur future offre publique de par le fait qu’ils ne vont pas entrer dans le cadre de l’exploitation commerciale – de par leur caractère “expérimental”.
6. Si l’on continue à rechercher des informations concernant la bande de fréquences de 26 GHz, on découvre l’existence du (Observatorio Nacional 5G. 2020) et de son rapport sur la standardisation et le déploiement de la 5G. On peut observer que les limités de la bande s’établissent entre 24,25 et 27,5 GHz: elles se caractérisent par une grande vitesse de transmission et par un désavantage en ce qui concerne leur couverture limitée de quelques kilomètres. Dans cette publication, selon l’ORECE (Organe des régulateurs Européens des communications électroniques): «On peut escompter qu’il y aura des autorisations générales dans les bandes plus hautes (66-71GHz) et des autorisations individuelles concernant les bandes intermédiaires (26GHz). Tant que les conditions finales d’utilisation n’auront pas été pleinement définies, les mécanisme de marché secondaire du spectre apporteront une plus grande flexibilité afin que les autorisations s’accordent aux nécessités spécifiques de chaque marché associé aux services de la 5G». Cela met en évidence que les bandes intermédiaires de 26GHz seront autorisées de manière plus restreinte. De plus, l’autorisation généraliste, de bandes hautes de 66 à 71GHz, est préoccupante de par les effets d’absorption de l’oxyde de graphène – que nous avons déjà mentionnés antérieurement. On peut observer, également, comment a été réparti le reste des bandes. Voir la figure 2. Tout cela permet de déduire que la révolution réelle du spectre radioélectrique se manifestera lorsque sont vendus aux enchères les fréquences de la bande de 26GHz, de par la quantité disponible sans assignations.
Le texte du rapport cite, pour la première fois, l’un des usages possibles de la bande intermédiaire de 26GHz. Il est explicité de cette manière: «D’un autre côté, de par l’absence d’une industrie déjà suffisamment consolidée, la 5G permettra de développer les services dénommés “Critical Machine-Type Communication (cMTC)” – des communications de type machine – accompagnés de prestations de très haute qualité et de faible latence, qui s’avéreront cruciales pour la digitalisation des secteurs industriels. Nous plaisons, également, pour l’extension des bénéfices évidents, de la technologie 5G, à l’industrie de notre pays. Dans ce cas, la bande de 26GHz constitue la clé. Nous considérons qu’il est bénéfique que l’on continue de réserver l’assignation du spectre de cette bande aux opérateurs de télécommunications en échange de son implication certaine et ambitieuse de proposer des offres à tous les secteurs verticaux au fil de leurs requêtes». Ce paragraphe s’avère intéressant car il établit une corrélation entre la technologie 5G et les communications de type machine. Il s’agit de l’automatisation des usines, du contrôle des équipements à distance, des véhicules autonomes, des processus de fabrication automatisés, de transports intelligents, de réseau électrique intelligent. – de fait, tout ce qui est dénommé “réseau smart” ou “réseau intelligent”.
Faits
1. Si l’on reprend l’analyse de l’article référé, dans l’introduction, Ameer et Gul emploient un nano-matériau absorbant hybride NiFe2O4-rGO. L’oxyde de graphène réduit permet au composé NiFe2O4 de compléter la bande passante d’absorption et de fonctionner avec un meilleur spectre de fréquences. Il en résulte que les propriétés magnéto-diélectriques, du nano-matériau, permettent une «absorption élevée de micro-ondes dans la région de basses fréquences (un mélange de bandes L et S) qui peuvent couvrir toute sa bande passante».
2. Les couches de graphène synthétisées dans le matériau «possèdent un haut contenu d’oxygène (aux environs de 42%) relié avec des couches de carbone individuelles». Cette donnée est, particulièrement, importante lorsque l’on conçoit son interaction avec le corps humain en raison des effets adverses qu’il peut induire de par son oxydation. L’aspect du matériau, sous microscopie, est présenté dans la figure 3.
3. L’article conclut en précisant que le nano-composé de NiFe2O4-rGO peut opérer dans le spectre de 1MHz à 3GHz en s’harmonisant parfaitement avec le spectre électromagnétique de la 5G mais, également, avec le reste des bandes de 2G, 3G et 4G. Les auteurs y font référence de la manière suivante: «Nous avons effectué une spectroscopie magnéto-diélectrique de micro-ondes dans la région de basses fréquences du spectrede 1MHz à 3GHz. Nous avons découvert que les nano-particules et les hybrides parfaits synthétisés étaient hautement absorbants en ce qui concerne les micro-ondes de toutes les bandes du radar L et S (<−10 dB de 1MHz à 3GHz). Cette propriété excellente d’absorption des micro-ondes induite par l’aappariement de couches de graphène met en exergue l’application de ces matériaux avec une bande passante d’absorption qui s’adapte de manière à ce qu’ils puissent être utilisés pour des basses fréquences».
Conclusions
1. On peut constater que les nano-composés à base d’oxyde de graphène, et d’oxyde de graphène réduit, possèdent une capacité d’absorption des ondes électromagnétiques dans quasiment toutes les bandes d’émission. Dans l’étude d’Ameer et de Gu, référencée dans l’introduction, elles se caractérisent par un spectre de 1MHz à 3GHz – ce qui signifie que l’absorption ne se limite pas aux bandes de la 5G mais qu’elle s’applique aussi aux bandes de la 2G, 3G et 4G.
2. Le reste des études mentionnées démontrent que l’oxyde de graphène possède, en propre, des capacités d’absorption électromagnétique indépendamment du composé, ou du nano-matériau, avec lequel il est fonctionnalisé pour son amplification ou potentialisation. Par conséquent, on peut affirmer que l’inoculation d’oxyde de graphène peut provoquer une absorption d’ondes électromagnétiques qui induisent une déstructuration cellulaire en raison de stress oxydatif et de libération de radicaux libres – ce qui génère des effets adverses, et toxiques, dans le corps ainsi que nous l’avons expliqué dans des articles précédents. D’autre part, l’intérêt de la communauté scientifique, pour ce domaine d’investigation, est mis en exergue, car une recherche affinée, sur Google Scholar, avec les expressions “oxyde de graphène réduit”, “absorption”, “bandes de fréquences”, “MHz” et “GHz” donne 884 résultats.
3. En vertu des rapports concernant le spectre radioélectrique et celui, plus particulièrement, de l’Observatoire National 5G, la bande de fréquence de 26GHz s’avère être la clé du développement de la quatrième révolution industrielle, à savoir l’automatisation et l’intégration de l’intelligence artificielle dans tous les secteurs et activités industrielles et productives. Curieusement, a bande de fréquence de 26GHz est citée, explicitement, par (Chen, Y.; Fu, X.; Liu, L.; Zhang, Y.; Cao, L.; Yuan, D.; Liu, P. 2019) [21] dans leur article sur les propriétés d’absorption électromagnétique de la 5G qui s’avère adaptée à la neuro-modulation à distance. Voir l’étude intitulée “Millimeter wave absorbing property of flexible graphene/acrylonitrile-butadiene rubber composite in 5G frequency band”. [25] Il s’agit, donc, d’une capacité virtuelle de neuro-moduler les personnes inoculées avec de l’oxyde de graphène.
Autres Etudes
“Highly efficient microwave absorption properties and broadened absorption bandwidth of MoS2-iron oxide hybrids and MoS2-based reduced graphene oxide hybrids with Hetero-structures” [15]
Matéraux utilisés: Disulfure de molybdène recouvert d’oxyde de graphène réduit. MoS2/rGO.
Fréquences opérationnelles optimales: 4,64 à 18 GHz.
Photographies par microscopie:
“Facile preparation of flower-like MnO2/reduced graphene oxide (RGO) nanocomposite and investigation of its microwave absorption performance”. [16]
Matéraux utilisés: Dioxyde de manganèse recouvert d’oxyde de graphène réduit. MnO2rGO.
Fréquences opérationnelles optimales: 8 à 12 GHz.
Photographies par microscopie:
“Cyanate ester resin filled with graphene nanosheets and RGO-CoFe2O4 educed graphene oxide nanohybrids as a microwave absorber”. [17]
Matéraux utilisés: Cobalt ferreux fusionné avec de l’oxyde de graphène réduit. CoFe2O4rGO
Fréquences opérationnelles optimales: de 8,2 à 12,4 GHz.
Photographies par microscopie:
“Preparation of reduced graphene oxide coated flaky carbonyl iron composites and their excellent microwave absorption properties”. [18]
Matéraux utilisés: Fer carboné squameux recouvert d’oxyde de graphène réduit. FCI/rGO.
Fréquences opérationnelles optimales: de 2 à 18 GHz.
Photographies par microscopie:
“Preparation of reduced graphene oxide/Fe3O4 nanocomposite and its microwave electromagnetic properties”. [19]
Matéraux utilisés: Oxyde de graphène réduit recouvert d’oxyde de fer magnétique. rGO/Fe3O4
Fréquences opérationnelles optimales: 14,3 à 18 GHz.
Photographies par microscopie:
“Fluorinated graphene oxide for enhanced S and X-band microwave absorption” [20]
Matéraux utilisés: Oxyde de graphène, Oxyde de graphène fluorisé, Oxyde de graphène hautement fluorisé. HFGO
Fréquences opérationnelles optimales: Bande S (2GHz à 4GHz); Bande X (8GHz à 12GHz).
Photographies par microscopie:
“Nanotransducers for wireless neuromodulation”. [21]
Matéraux utilisés: Oxyde de graphène ondulé GO-s; Oxyde de graphène plié GO-ms; Oxyde de graphène ondulé en forme de fleur GO-mg; Oxyde de graphène ondulé nitrogéné GO-s-NG; Oxyde de graphène plié nitrogéné GO-ms-NG; Oxyde de graphène ondulé en forme de fleur nitrogénée GO-mg-NG.
Fréquences opérationnelles optimales: 2 GHz.
Photographies par microscopie:
“Preparation of reduced graphene oxide/flake carbonyl iron powders/polyaniline composites and their enhanced microwave absorption properties”. [22]
Matéraux utilisés: Flocons d’oxyde de graphène réduit avec du fer carboné en poudre et de la polyaniline. rGO/F-CIP/PANI.
Fréquences opérationnelles optimales: de 2 à 18 GHz.
Photographies par microscopie:
“Facile synthesis of iron oxides/reduced graphene oxide composites: application for electromagnetic wave absorption at high temperature”. [23]
Matéraux utilisés: Sulfate de fer heptahydraté, Sulfate de fer heptahydraté thermo-combiné avec de l’oxyde de fer réduit. FeSO4 · 7H2O / rGO
Fréquences opérationnelles optimales: de 2 à 18 GHz.
Photographies par microscopie:
“Three-dimensional (3D) reduced graphene oxide (RGO)/zinc oxide (ZnO)/barium ferrite nanocomposites for electromagnetic absorption”. [24]
Matéraux utilisés: Oxyde de graphène réduit combiné avec de l’oxyde de zinc, de la ferrite de baryum en 3D. RGO-ZnO / BaFe12O19.
Fréquences opérationnelles optimales: de 5,8 à 11,52 GHz
Photographies par microscopie:
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Des Nano-Antennes Plasmoniques dans les Vaccins CoqueVide de Pfizer?
Dans la continuation du travail excellent réalisé par le blog C0r0n@ 2 Inspect, je vais, aujourd’hui, présenter la traduction de sa dernière étude qui est intitulée “Identificación de patrones en vacunas de c0r0n@v|rus: nanoantena plasmónic”. [767]
L’analyse des images obtenues par le Professeur Pablo Campra (Campra, P. 2021) continue d’orienter notre attention vers la détection de nano-technologies, de circuits et de chips, eu égard aux dernières découvertes relatives à la présence hautement probable de nano-routeurs. [768] [769] A cette occasion, nous avons découvert une structure récurrente en forme de croix balkanique qui pourrait rappeler des pales triangulaires orientées vers un vortex commun, vers la même confluence. Voir la figure n°1.
En réalité, cette structure correspond à une nano-antenne plasmonique avec une forme de double noeud papillon – ou bien de noeud papillon à quatre ailes – tel que le mentionne la littérature scientifique (Chau, Y.F.C.; Chao, C.T.C.; Rao, J.Y.; Chiang, H.P.; Lim, C.M.; Lim, R.C.; Voo, N.Y. 2016 [770]| Ahmadivand, A.; Sinha, R.; Pala, N. 2015 [772] | Gupta, N.; Dhawan, A. 2018) avec les terminologies “nano-antennes en triangles quad” et “noeud papillon plasmonique”.
La correspondance entre la structure obtenue, l’image observée dans l’échantillon de vaccin et les images extraites de la littérature ne paraissent laisser planer aucun doute quant à la possibilité que l’objet découvert soit une nano-antenne noeud papillon plasmonique – qui est, également, dénommée par ses initiales en Anglais “PBNA Plasmonic Bowtie Nano Antenna” ainsi que l’explique (Chau, Y.F.C.; Chao, C.T.C.; Rao, J.Y.; Chiang, H.P.; Lim, C.M.; Lim, R.C.; Voo, N.Y. 2016) dans leur étude [770].
Selon ces chercheurs: «Les nano-antennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nano-photonique. Récemment, les nano-antennes optiques plasmoniques fabriquées à l’aide de nouvelles nano-particules métalliques, ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface…». On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nano-communications intra-corporelles et qui corroborent, parfaitement, les découvertes antérieures portant sur les nano-routeurs et le domaine des “bio-senseurs”. (Haes, A.J.; Van-Duyne, R.P. 2002). [771]
Cette étude indique, également, que «Les nano-antennes plasmoniques sont, généralement, conçues pour induire des champs électromagnétiques, localisés et élevés, entre l’espace alloué aux applications de détection»… ce qui corrobore, également, ce que nous avons observé dans la mesure où la nano-antenne fut découverte à proximité d’autres objets possédant une structure cristalline rectangulaire – ce qui pourrait pourvoir une couverture électromagnétique locale. Cela pourrait expliquer le fait qu’il existe une forte dispersion de composants qui, sans être réunis au même endroit, pourraient opérer et interagir entre eux. Il pourrait leur être suffisant de se situer dans le même environnement d’un hydrogel afin de pouvoir fonctionner. Exprimé d’une autre manière, il pourrait se développer des dispositifs micro-électroniques composés d’éléments répartis (séparés)… ce qui expliquerait la grande quantité d’objets rectangulaires observés au microscope dans les vaccins. Cela pourrait se concevoir comme un nano/micro-puzzle électronique permettant d’accomplir les fonctions d’interface du réseau de nano-communications por le corps humain. Voir “réseaux de nano-communications intra-corporelles” et “explication de l’introduction sur les nano-routeurs”.
D’autre part, la littérature reconnaît différents types d’antennes plasmoniques noeud-papillon tout en sachant qu’une de leurs caractéristiques les plus pertinentes est le fait que l’antenne présente des cavités creuses – comme on peut l’observer dans la figure n°1. Cela signifie que le processus de fabrication se fonde sur la technique de lithographie par faisceau d’électrons qui permet de composer les dites nano-cavités optiques qui s’avèrent utiles pour l’amélioration du rendement et de l’intensité du champ de l’antenne. (Chau, Y.F.C.; Chao, C.T.C.; Rao, J.Y.; Chiang, H.P.; Lim, C.M.; Lim, R.C.; Voo, N.Y. 2016).
On peut supputer que c’est la même technique de lithographie par faisceau d’électrons qui aurait été employée pour la production et l’assemblage du este des éléments observés dans les images du bouquet photographié par le Professeur Campra. De fait, il existe de multiples références bibliographiques qui font allusion à cette technique, en obtenant des résultats très similaires à ceux observés Hu, W.; Sarveswaran, K.; Lieberman, M.; Bernstein, G.H. 2004 [776] | Hu, W.; Sarveswaran, K.; Lieberman, M.; Bernstein, G.H. 2005 [775] | Kindness, S.J.; Jessop, D.S.; Wei, B.; Wallis, R.; Kamboj, V.S.; Xiao, L.; Degl’Innocenti, R. 2017 [774]). Cette technique est, également, impliquée dans la création de circuits QCA (automates cellulaires à points quantiques) – ainsi que nous l’avons observé dans notre article précédent portant sur les nano-routeurs.
Il existe une autre technique assez remarquable qui a pu être employée pour la production de cette nano-antenne plasmonique: il s’agit du réputé “Focused Ion beam” – à savoir la sonde ionique focalisée qui s’utilise dans la fabrication de circuits quantiques. (Nemcsics, Á. 2017) [773] Il consiste en un usinage de faisceaux d’ions sur une surface déterminée – ce qui permet de générer les cavités déjà mentionnées par (Chau, Y.F.C.; Chao, C.T.C.; Rao, J.Y.; Chiang, H.P.; Lim, C.M.; Lim, R.C.; Voo, N.Y. 2016).
Cette superficie est normalement un méta-matériau semi ou super-conducteur tel que le graphène, le cuivre ou la silice, entre autres. De fait, lorsqu’on effectue une recherche avancée concernant ces concepts, on découvre, dans la littérature scientifique, les exemples suivant appliqués aux antennes plasmoniques noeud-papillon. Voir la figure N°3.
Tous les indices que nous avons mis en lumière, dans ce blog, orientent vers la présence de nano-technologies dans les fioles des vaccins dont la fonction est de créer un réseau de nano-dispositifs et de nano-senseurs connectés, sans fils, qui s’installe à l’intérieur du corps des personnes inoculées.
La découverte de nano-antennes plasmoniques – après avoir découvert ce qui ressemble plus que jamais au circuit d’un nano-routeur – ne parait pas relever du hasard. Cette découverte pourrait confirmer la présence de ces composants fonctionnant comme un réseau de nano-communications intra-corporel connecté sans fil et valider, par là-même, le phénomène d’émission de directions MAC – de par le fait que cela corroborerait l’existence du hardware nécessaire et, par conséquent, l’introduction d’éléments non déclarés.
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Des trames géométriques dans le vaccin CoqueVide de Janssen?
Le blog C0r0n@2 Inspect – en langue Espagnole – vient de publier sa dernière analyse qui porte sur des trames géométriques (rides, fissures, etc) dans le vaccin CoqueVide de Janssen. [489] En voici la traduction par Xochi.
L’une des structures les plus énigmatiques, observées dans les vaccins, fut découverte par le Professeur Campra dans les fioles de Janssen. On peut, ainsi, observer une trame quasi-géométrique de filaments qui pourraient presque correspondre à des formes de courbes fractales et, y compris, à des pétales en couches superposées. Cette structure est beaucoup trop régulière, cependant, pour se manifester de façon aléatoire et ce, d’autant plus que nous avons déjà observé – lors d’une analyse antérieure, portant sur les nano-antennes fractales – que les processus de cristallisation générés par la déshydratation, le séchage, l’application de chaleur, ou des micro-ondes, produisent des structures dendritiques.
Dans le but de résoudre la problématique de l’identification de cette structure particulière, il est nécessaire de procéder en deux phases. D’une part, nous allons étudier les formes linéaires, ou les ramifications principales, de la figure 1a et, d’autre part, nous allons étudier les structures lobulaires – à savoir, les formes pétaloïdes – de la figure 1b, 1c et 1e.
Formes linéaires / ramifications principales
La structure la plus aisée à identifier, dans ces photographies, correspond aux ramifications principales observées dans les fioles du vaccin de Pfizer, en gouttes desséchées. La structure a été identifiée avec les ondulations qui se produisent dans une solution saline sous forme d’hydrogel – tel que le rapporte l’étude de Tatiana Yakhno, en 2008, intitulée “Salt-induced protein phase transitions in drying drops”. [491] Lorsque l’on observe la figure 2, on peut apprécier les similarités entre les deux morphologies, ainsi que les transitions dans la phase de séchage, qui sont identiques en ce qui concerne les points 1, 2 et 3 – mais pas le point 4 ainsi qu’il le sera expliqué subséquemment. La dilatation thermique, induite par le séchage de l’échantillon, provoque son expansion et, par conséquent, l’émergence de diverses régions bien différenciées.
Par exemple, les points 1 de la figure 2 montrent une pellicule uniforme de protéine, ou d’autre substance, qui correspondent dans l’échantillon de vaccin qui se caractérise par sa linéarité diffuse. Dans les points marqués avec le n°2, on peut observer un précipité de la substance, bien qu’il ne se soit pas manifesté par une pellicule uniforme, qui dénote un léger gradient. Il se caractérise, également, en présentant une faible ligne de démarcation. Dans la région 3, on peut observer le dépôt de l’hydrogel. Enfin, dans la région 4, on peut apercevoir des clusters, ou groupes d’hydrogel, proches de la substance de la solution. Dans le cas de la figure 2i de Yakhno (cadre de gauche), il s’agit de chlorure de sodium (NaCl) et d’albumine de sérum bovin. Dans le cas de l’échantillon du vaccin Janssen, analysé par le Professeur Campra, on sait qu’il contient de l’oxyde de graphène, des nano-tubes de carbone [492] et, en très grande probabilité, quelque type d’hydrogel [493] – ainsi que d’autres entités qui restent à identifier. C’est ce qui explique la différence morphologique des clusters de la région 4.
Structures lobulaires / formes pétaloïdes
Les structures observées par le Professeur Campra, dans le vaccin de Janssen, présentent une morphologie lobulaire avec divers degrés de régularité qui apparaissent se conformer à un motif fractal quant à leur agglomération et composition. En réalité, il s’agit, très probablement, d’ondulations provoquées par la déshydratation, le séchage, ou la chaleur, autour d’une fine pellicule de la substance. Cela peut être observé dans le figure 3 lorsque l’on compare les échantillons du vaccin avec les ondulations hiérarchisées de (Jung, W.B.; Cho, K.M.; Lee, W.K.; Odom, T.W.; Jung, H.T. 2018) dans lesquelles les lignes, que dessinent les plis, sont très similaires. Les photographies de l’échantillon de vaccin Janssen, dans la figure 3 a), b) et c), correspondent à des sections des photographies observées dans la figure 1. Les sections ont été agrandies afin de faciliter le processus d’identification.
La régularité et la morphologie des structures d’ondulations, dans les échantillons de la littérature scientifique (Jung, W.B.; Cho, K.M.; Lee, W.K.; Odom, T.W.; Jung, H.T. 2018), sont déterminées par le matériau qui a été utilisé, par la température et par la durée d’application. La modulation de ces divers facteurs induit la formation de diverses phases, ou générations, du froissement et possède, donc, une incidence quant à la courbature, et à l’angle, du tracé de son profil. Etant donné que, dans les échantillons présentés par l’équipe de Jung, ces profils sont déjà colorés, j’ai procédé à leur sélection, découpage et superposition, dans les échantillons du vaccin – et, plus particulièrement, dans la figure 3, à droite – car c’est elle qui caractérise le mieux la structure de l’échantillon dans la mesure où elle présente un nombre de phases de plissements similaire à ce que l’on souhaite comparer. En appliquant cette méthode, on a obtenu les résultats que l’on peut observer dans les figures 4, 5, 6, 7, 8 et 9: les structures, qui y présentent une plus grande similarité, sont les nano-tubes de carbone, le graphène et l’oxyde de graphène. Nonobstant, on observa, également, une similarité partielle dans le cas du disulfure de molybdène ainsi que dans le cas de polymères tels que le polystyrène et la polyoléfine.
En ce qui concerne les nano-tubes de carbone et le graphène, ils présentèrent un degré important de coïncidence dans la superposition – ce qui correspond au matériau découvert dans les vaccins du coronavirus. Cependant, les polymères se détachèrent également – et, concrètement, la polyoléfine. On peut en déduire que les hydrogels peuvent être impliqués dans la formation de ces ondulations, durant le processus de déshydratation et de séchage. Cela confirme la présence de polymères dans les validations par spectroscopie Raman [495] qui ont déjà mis en exergue la présence potentielle d’acétate de polyvinyle, de PQT-12 [496], de polyacrylamide et, même, de polypyrrole qui est utilisé afin de conformer des interfaces neuronales.
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Commentaire de Mik Andersen eu égard à un brevet portant sur l’inclusion de graphène dans les solutions aqueuses et donc les sérums physiolgiques. Il s’agit du brevet n° KR20210028062A
Introduction
Les solutions salines physiologiques sont des solutions de sel dans l’eau, généralement du chlorure de sodium à 0,9 %, qui comprennent d’autres substances telles que le glucose pour favoriser la cicatrisation et la réhydratation intraveineuse, entre autres. Il existe de nombreux types de sérums physiologiques qui combinent d’autres composés favorisant la guérison des patients pour une multitude d’affections cliniques. On peut dire que les solutions salines physiologiques sont couramment, et largement, utilisées dans tout centre médical ou hôpital.
Faits
1. Le brevet sur la solution saline physiologique est très pertinent puisqu’il fait référence à «une solution injectable placée dans les vaisseaux sanguins et les tissus sous-cutanés du corps humain, une solution saline physiologique, une solution de glucose et une solution de Ringer dans le but de guérir les maladies» qui est composée, parmi ses éléments indispensables, de graphène. Ceci est en profonde contradiction avec les effets nocifs, toxiques et indésirables qu’il génère dans le corps humain, comme l’a démontré la littérature antérieure, voir mes dossiers sur la toxicité du graphène, l’oxyde de graphène dans le sang (Palmieri, V. ; Perini, G. ; De Spirito, M. ; Papi, M. 2019), l’interaction de l’oxyde de graphène avec les cellules du cerveau (Rauti, R. ; Lozano, N. ; León, V. ; Scaini, D. ; Musto, M. ; Rago, I. ; Ballerini, L. 2016), l’oxyde de graphène perturbe l’homéostasie mitochondriale (Xiaoli, F. ; Yaqing, Z. ; Ruhui, L. ; Xuan, L. ; Aijie, C. ; Yanli, Z. ; Longquan, S. 2021), la nanotoxicité du graphène et de l’oxyde de graphène (Seabra, A.B. ; Paula, A.J. ; de Lima, R. ; Alves, O. L. ; Durán, N. 2014), la toxicité des nanoparticules de la famille du graphène (Ou, L. ; Song, B. ; Liang, H. ; Liu, J. ; Feng, X. ; Deng, B. ; Shao, L. 2016), parmi d’autres articles qui peuvent être trouvés dans la recherche suivante “graphene toxicity”.
2. D’autre part, l’auteur du brevet affirme que «la solution saline physiologique contenant du graphène dispersé est destinée à être utilisée dans toutes les maladies, y compris la maladie de démence, la maladie de Parkinson, la maladie de Lou Gehrig et la maladie de Huntingto». Cette affirmation est paradoxale et fausse, étant donné que c’est le graphène et ses dérivés, tels que le GO (oxyde de graphène) et le rGO (oxyde de graphène réduit), qui sont responsables de l’apparition de maladies neurodégénératives, comme l’indique (Chen, H.). T. ; Wu, H.Y. ; Shih, C.H. ; Jan, T.R. 2015 | Albarzanji, Z.N. ; Mahmood, T.A. ; Sarhat, E.R. ; Abass, K.S. 2020 | Rizzo, P. ; Dalla-Sega, F.V. ; Fortini, F. ; Marracino, L. ; Rapezzi, C. ; Ferrari, R. 2020).
3. En outre, l’auteur ajoute dans l’abrégé du brevet ce qui suit : «la solution saline physiologique contenant du graphène dispersé, de la présente invention, est destinée à être utilisée comme agent thérapeutique pour des virus tels que le MERS, le SRAS et le corona». Ce point est très révélateur, car il établit un lien entre l’utilisation d’un sérum “toxique” et le fait de savoir qu’il provoque les effets néfastes assimilés aux maladies MERS, SRAS et Coronavirus. En fait, le brevet ne comporte aucune caution, référence ou étude biomédicale à l’appui de ces allégations, ou des avantages pour la santé, qu’il entend revendiquer. C’est également très grave et inquiétant, car cela implique l’approbation d’un brevet qui influence directement la santé publique, sans preuve/test de ses avantages, sans recherche pour justifier les résultats annoncés.
4. La caractérisation du composé indique que «la poudre de graphène ayant une taille de 0,2 nm, ou moins, est dispersée dans un milieu utilisé comme solution d’injection, solution d’injection, solution de Ringer, solution saline physiologique et solution de glucose utilisées dans les hôpitaux conventionnels et utilisées comme agent thérapeutique». Cette déclaration indique clairement que le sérum toxique est conçu pour être injecté par voie intraveineuse, comme le sont les vaccins contre le c0r0n@v|rus. De plus, l’échelle de 0,2 nanomètre correspond à celle analysée par (Campra, P. 2021) dans l’échantillon RD1.
5. L’intentionnalité de l’utilisation est également dénotée dans la déclaration suivante : «La solution de Ringer, dans laquelle la poudre de graphène est dispersée, est injectée dans le corps humain où le virus a pénétré et se propage uniformément dans tout le corps». Cela indique que la diffusion de l’oxyde de graphène est très répandue dans la circulation sanguine, atteignant tous les organes du corps humain, ce qui signifie que l’auteur a une connaissance implicite de la gravité des dommages qu’il peut causer, compte tenu de la vaste littérature scientifique déjà mentionnée sur la toxicité du graphène et de ses dérivés.
6. Le brevet souligne, également, les effets antiviraux en déclarant : «Lorsque le virus et la poudre de graphène se rencontrent, la poudre de graphène et le virus s’attirent et adhèrent l’un à l’autre avec une force nanosive». L’affirmation selon laquelle la poudre de graphène et le virus s’attirent et adhèrent l’un à l’autre comme s’ils avaient des propriétés magnétiques semble très surprenante. Ce point est très pertinent, car il attribue implicitement au virus des propriétés uniques aux métaux lourds, aux ferrites et à d’autres composés contaminants qui peuvent exister dans le corps humain.
7. Pour compléter la section descriptive du brevet, on peut lire ce qui suit : «Si la poudre de graphène adhère au corps et augmente le virus, celui-ci ne fonctionne pas correctement et ne peut pas se multiplier et finit par mourir». Cette déclaration attribue à la poudre de graphène qui adhère au corps la capacité d’interférer avec la réplication du c0r0n@v|rus et de le tuer. Cette affirmation est totalement illogique, irrationnelle et déplacée car elle n’est ni soutenue ni argumentée scientifiquement. Le brevet ne comporte aucune référence pour étayer ce résultat. On pourrait plutôt affirmer que la poudre de graphène adhérant au corps humain pourrait être fatale, c’est-à-dire tout le contraire.
La section des revendications du brevet a été examinée en profondeur car elle contient des points d’intérêt essentiels pour la connaissance et la compréhension de la portée de ce brevet et de ses implications pour la santé publique. Les plus importantes seront mentionnées :
a) «La solution saline physiologique est une solution saline physiologique contenant du graphène dispersé comme milieu aqueux qui peut être consommé par les humains». Il s’agit d’une revendication très pertinente puisque l’application du brevet ne s’étend pas seulement à son utilisation dans le sérum physiologique, mais aussi dans l’eau potable que les gens peuvent boire. Cela semble incroyable mais n’est pas farfelu, puisque le graphène peut se dissoudre dans des solutions aqueuses et dans l’eau potable (Neklyudov, V.V. ; Khafizov, N.R. ; Sedov, I.A. ; Dimiev, A.M. 2017 | León, V. ; González-Domínguez, J.M. ; Fierro, J. L.G. ; Prato, M. ; Vázquez, E. 2016 | Bepete, G. ; Anglaret, E. ; Ortolani, L. ; Morandi, V. ; Huang, K. ; Pénicaud, A. ; Drummond, C. 2017), malgré les difficultés décrites dans la littérature (Dimiev, A.M. ; Alemany, L.B. ; Tour, J.M. 2013).
b) «La poudre de graphène biologique est une solution saline physiologique contenant du graphène dispersé dans un agrégat de poudres ayant une taille de 0,01 nm à 1 nm ou moins». La revendication de brevet réduit encore l’échelle de la poudre de graphène, spécifiquement de 0,2 nm (nanomètres) à une gamme de 0,01-1 nm. Cela signifie qu’il est très soluble dans les solutions aqueuses et potentiellement respirable car il est facilement maintenu en suspension comme l’indiquent (Spitz-Steinberg, R. ; Cruz, M. ; Mahfouz, N.G. ; Qiu, Y. et Hurt, R.H. 2017) qui soulignent également sa propriété toxique.
(c) «la solution saline est composée de 1 gramme de poudre de graphène par litre». Cette allégation indique un ratio typique pour composer une solution saline ou une solution dans l’eau potable. Malheureusement, il ne le précise pas.
(d) «Eau potable contenant de la poudre de biographène dispersée». Le brevet revendique l’utilisation d’eau potable contenant de la poussière de biographène diluée. Cela signifie qu’il pourrait être présent dans n’importe quelle source d’eau potable, mettant ainsi en danger la santé publique.
e) «Solution saline physiologique contenant une dispersion de graphène, caractérisée en ce que l’eau potable sélectionnée contenant de la poudre de biographène dispersée dans celle-ci est atomisée avec un dispositif à haute pression et délivrée aux poumons par un processus respiratoire pour traiter les maladies». Cette allégation est très importante dans la mesure où elle concerne l’eau utilisée dans les humidificateurs/boîtes à eau pour les concentrateurs d’oxygène utilisés dans les hôpitaux. Il est intéressant de noter que ce matériau a été largement utilisé dans les thérapies contre le c0r0n@v|rus dans l’insuffisance respiratoire et la pneumonie bilatérale.
Commentaires
1. Le brevet couvre l’utilisation de l’oxyde de graphène dans les sérums physiologiques, dans l’eau potable et dans les humidificateurs des concentrateurs d’oxygène. Compte tenu de la dangerosité et de la toxicité de l’oxyde de graphène, largement rapportées dans la littérature scientifique, le développement de ce type de sérum pourrait causer des dommages importants à la santé des personnes traitées.
2. De plus, le brevet ne comprend aucune littérature justifiant les effets bénéfiques et anti-c0r0n@v|rus attribués à l’oxyde de graphène GO. En plus d’être non scientifique, cela signifie qu’on a permis la publication d’un brevet sans exiger les contrôles et les études nécessaires pour justifier les propriétés et les avantages de l’invention. Comme cela a été démontré, l’oxyde de graphène GO est responsable des symptômes et des manifestations attribuables au c0r0n@v|rus.
3. La dissolution dans des solutions salines et dans l’eau présente un risque clair et évident d’intoxication pour ceux qui la consomment, étant donné la toxicité et les dommages qu’elle peut causer. Il est fortement recommandé de procéder à des tests intensifs et approfondis de toutes les sources d’eau potable, de solutions salines physiologiques et autres, afin de détecter d’éventuels cas de contamination et d’éviter tout dommage éventuel pour la santé.
4. Ajouté au point précédent, il convient de souligner l’étude approfondie et l’utilisation potentielle de l’oxyde de graphène pour le traitement et la purification de l’eau potable (Chen, X. ; Qiu, M. ; Ding, H. ; Fu, K. ; Fan, Y. 2016 | You, Y. ; Jin, X.H. ; Wen, X.Y. ; Sahajwalla, V. ; Chen, V. ; Bustamante, H. ; Joshi, R.K. 2018 | Sun, X.F. ; Qin, J. ; Xia, P.F. ; Guo, B.B. ; Yang, C.M. ; Song, C. ; Wang, S.G. 2015 | Xu, C. ; Cui, A. ; Xu, Y. ; Fu, X. 2013), qui, avec la dissolution du graphène dans l’eau potable, ne laisse aucun doute sur le fait que si elle est mise en œuvre, elle pourrait affecter des millions de personnes dans le monde. Il est urgent d’agir pour établir la vérité.
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Nuages chimiques issus de l’évaporation / volatilisation / lévitation de solutions de graphène et leur ionisation
Introduction
L’un des phénomènes les plus complexes à démêler, à la fois en raison du secret et du manque de documentation scientifique librement accessible, est la question des “chemtrails” ou traînées chimiques laissées par certains avions. Dans une entrée précédente, nous avons analysé l’article de (Herndon, J.M. ; Hoisington, R.D. ; Whiteside, M. 2020) qui montrait l’existence de nuages chimiques causés par la pulvérisation directe, qui ne répondaient pas au spectre radiométrique de la vapeur d’eau. L’existence “d’injections d’aérosols dans la troposphère et la stratosphère” impliquant des aérogels de silice, avec la possibilité d’inclure des aérogels de graphène, a également été élucidée (Vukajlovic, J. ; Wang, J. ; Forbes, I. ; Šiller, L. 2021), voir l’article sur la géo-ingénierie solaire. Il semble clair qu’indépendamment du motif ou de la finalité de ces actions, l’arrosage du ciel est un fait incontesté, également mis en évidence par des études sur des échantillons d’aérosols (Pöschl, U. 2005 ; Shiraiwa, M. ; Sosedova, Y. ; Rouvière, A. ; Yang, H. ; Zhang, Y. ; Abbatt, J.P. ; Pöschl, U. 2011).
Cette entrée discute de la possibilité que les nuages chimiques observés dans le ciel ne correspondent pas seulement aux chemtrails ou aux pulvérisations des avions. Le phénomène des nuages chimiques pourrait être encore plus complexe qu’il n’y paraît. Il est fort probable qu’il existe des nuages chimiques produits par l’évaporation de l’eau/des engrais/des produits phytosanitaires/des additifs alimentaires et du graphène. Les références essentielles sur l’évaporation accélérée de l’eau sur l’oxyde de graphène, l’évaporation des pesticides dans l’environnement agricole, la lévitation du graphène et les effets de son ionisation sont passées en revue.
Faits concernant l’évaporation de l’eau avec du graphène
Parmi les applications du graphène figurent celles liées à l’eau, tant pour sa filtration que pour sa décontamination (Sun, X.F. ; Qin, J. ; Xia, P.F. ; Guo, B.B. ; Yang, C. M. ; Song, C. ; Wang, S.G. 2015 | Xu, C. ; Cui, A. ; Xu, Y. ; Fu, X. 2013 | Fathizadeh, M. ; Xu, W.L. ; Zhou, F. ; Yoon, Y. ; Yu, M. 2017), ainsi que pour le contrôle de son évaporation. C’est cette dernière application que nous allons analyser dans cette section. En particulier, l’étude de (Wan, R. ; Shi, G. 2017) vise à découvrir la méthode optimale pour obtenir la plus grande évaporation possible de l’eau au contact du graphène. Selon les chercheurs, «l’évaporation de volumes d’eau minuscules, voire nanométriques, sur des surfaces solides revêt une importance fondamentale dans un large éventail de processus biologiques et industriels, tels que la transpiration, le diagnostic médical, la fabrication de puces, le refroidissement par pulvérisation et l’impression à jet d’encre». Parmi ces utilisations et applications, la pulvérisation/brouillardisation est largement utilisée en agriculture, dans le cadre de l’irrigation par “micro-pulvérisation” pour favoriser l’équilibre de la température et de l’humidité des cultures. Selon (Wan, R. ; Shi, G. 2017), ils ont constaté que «l’évaporation de l’eau à l’échelle nanométrique sur des surfaces à motifs hydrophobes-hydrophiles est étonnamment plus rapide que sur toute surface à mouillabilité uniforme, et cette amélioration est liée à la taille du domaine à motifs», le graphène ou l’oxyde de graphène étant le matériau le plus approprié pour servir de catalyseur à ce processus d’évaporation, étant donné sa dispersibilité et sa capacité d’adsorption. Il a également été conclu que «l’évaporation est considérable dans les régions non oxydées» du film de graphène utilisé dans l’expérience. D’autre part, il a également été déclaré que «la diminution de l’épaisseur de l’eau augmente l’influence de la surface solide sur les molécules d’eau les plus externes et prolonge la durée de vie des liaisons hydrogène dans ces molécules d’eau, ce qui rend les molécules d’eau les plus externes plus difficiles à évaporer». Cela signifie que l’évaporation de l’eau varie en fonction de l’intégrité de la structure moléculaire du graphène, ce qui ouvre la porte au contrôle ou à la médiation des processus d’évaporation.
Les travaux de (Huang, Y. ; Lu, J. ; Meng, S. 2018) corroborent ces résultats en affirmant «qu’un revêtement de graphène contrôle l’évaporation de l’eau en supprimant le taux d’évaporation sur les surfaces hydrophiles et en accélérant l’évaporation sur les surfaces hydrophobes». En outre, ils soulignent que «le graphène est -transparent- pour l’évaporation. Lorsqu’une surface hydrophile est recouverte de graphène, la ligne de contact de la goutte d’eau se raccourcit ou s’allonge considérablement en raison de l’ajustement des angles de mouillage. Cela entraîne des changements dans le taux d’évaporation». Ces résultats précisent que l’eau peut s’évaporer en fonction de la structure moléculaire du graphène et de son degré d’oxydation, une observation également confirmée par (Tong, W.L. ; Ong, W.J. ; Chai, S.P. ; Tan, M.K. ; Hung, Y.M. 2015). Ces faits permettent de supposer que le graphène pourrait également se trouver avec la vapeur d’eau en fonction de son poids moléculaire et de sa structure, comme le confirmera l’exposé des faits suivant.
L’évaporation avec le graphène est possible dans des conditions de température et de pression similaires à celles observées avec le c0r0n@v|rus. C’est ce que démontrent les recherches de (Grinchuk, P.S. ; Fisenko, E.I. ; Fisenko, S.P. ; Danilova-Tretiak, S.M. 2020) dans lesquelles ils analysent le taux d’évaporation isotherme des aérosols liquides et la survie des c0r0n@v|rus dans ces conditions. Les observations faites par les chercheurs sont tout à fait uniques, puisqu’ils déclarent que «l’effet observé de la diminution de la concentration de virus viables dans un échantillon aqueux pendant l’évaporation d’un substrat solide dans les expériences confirme notre hypothèse de l’existence du mécanisme physique. Il existe au moins une analogie qualitative, confirmée par différentes données expérimentales. Des déformations significatives d’une feuille d’oxyde de graphène dans une gouttelette d’eau d’un micron en cours d’évaporation ont été constatées expérimentalement. Le graphène est un matériau très résistant, dont le module d’élasticité atteint 1 TPa (Terapascal)». Inconsciemment, les chercheurs ont trouvé des preuves que le virus avait les mêmes propriétés mécaniques que l’oxyde de graphène (Wang, W.N. ; Jiang, Y. ; Biswas, P. 2012 | Frank, I.W. ; Tanenbaum, D.M. ; van-der-Zande, A.M. ; McEuen, P.L. 2007), correspondant qualitativement à sa vitesse d’évaporation et à sa morphologie. Cela peut s’expliquer par le fait que les chercheurs ont très probablement observé une forme d’oxyde de graphène qui avait la même apparence que le c0r0n@v|rus putatif (et non prouvé, non séquencé et non isolé), comme nous l’expliquerons dans le prochain article.
Faits concernant l’évaporation/volatilisation/lavage des pesticides et des engrais
Sachant que l’oxyde de graphène peut s’évaporer lorsqu’il se trouve dans des solutions aqueuses ou liquides, comme décrit ci-dessus, il n’est pas surprenant que son utilisation intensive en agriculture sous forme d’engrais et de produits phytosanitaires puisse conduire en partie à son évaporation, avec la conséquence évidente de nuages chimiques. À cet égard, la contribution de (Peterson, E.M. ; Green, F.B. ; Smith, P.N. 2020) est essentielle pour préciser si des nuages chimiques peuvent se former à partir d’engrais, de produits phytosanitaires et de produits pharmaceutiques vétérinaires destinés à l’élevage. Tout d’abord, dans leur résumé, ils font état de la découverte récente du «transport aérien de produits pharmaceutiques vétérinaires à partir d’opérations d’alimentation du bétail industriel par le biais de particules». Cela confirme qu’une des façons de traiter les bovins est d’utiliser des nuages aérosolisés des médicaments nécessaires à leur traitement (McEachran, A.D. ; Blackwell, B.R. ; Hanson, J.D. ; Wooten, K.J. ; Mayer, G.D. ; Cox, S.B. ; Smith, P.N. 2015).
Cependant, l’objectif de leur recherche est de déterminer «dans quelle mesure les insecticides sont également transportés dans l’environnement par les particules totales en suspension émanant des parcs d’engraissement des bovins. Sur 16 pesticides différents quantifiés dans des échantillons de particules prélevés dans des parcs d’engraissement de bovins, la perméthrine a été détectée avec une fréquence de >67% et à une concentration moyenne de 1211,7 ± 781,0 (SE) ng/m3». Cette déclaration est la preuve que les pesticides et les produits phytosanitaires utilisés dans les exploitations ont été retrouvés dans des nuages chimiques, dans une très forte proportion. À cette déclaration s’ajoute une autre, encore plus importante : «L’imidaclopride a été détecté à une concentration moyenne de 62,8 ± 38,2 (SE) ng/m3, soit l’équivalent des concentrations publiées dans la poussière provenant des activités de plantation de semences traitées». Ce résultat est très important car “l’imidaclopride” (C9H10ClN5O2) est un insecticide néonicotinoïde ou neuroactif fabriqué à partir de nicotine, qui est appliqué par voie foliaire ou racinaire par l’intermédiaire de l’eau d’irrigation. Il est intéressant de noter qu’il existe des brevets pour l’oxyde de graphène avec de “l’imidaclopride”, mais sous le nom de “paichongding”. Cela peut être dû à la transposition de la directive 98/8/CE du Parlement européen et du Conseil du 16 février 1998 concernant la mise sur le marché des produits biocides, qui interdit l’utilisation de l’imidaclopride, de l’abamectine ou de l’avermectine et d’autres composés chimiques, manifestement nocifs pour la santé, sauf dans les serres fermées (en raison de leur volatilité et de leur évaporation). Selon le brevet (CN107581193A. 2016), le “paichongding” est un insecticide composé de chloropyridine, de pyridine et “d’hexahydro imidazoles” ou “Imidazole”, qui est précisément l’un des composants de l'”imidaclopride”, comme on peut le déduire de la fiche d’information sur les substances dangereuses de l’Organisation internationale du travail OIT. Certains brevets concernant l’oxyde de graphène avec l’avermectine, le paichongding, sont énumérés à l’annexe 1 de cette entrée. Pour plus d’informations, consultez le catalogue des brevets sur les engrais et les produits phytosanitaires contenant de l’oxyde de graphène.
Si l’on revient à l’analyse de (Peterson, E.M. ; Green, F.B. ; Smith, P.N. 2020), on constate que «de nombreux parcs d’engraissement établis au cours des 50 dernières années se trouvent dans des zones qui reçoivent relativement peu de précipitations, comme les hautes plaines. Ces régions (plaines des États-Unis, Mexique, Amérique du Sud et nord de l’Australie) sont sujettes à la sécheresse, ce qui aggrave la production de particules et les émissions de pesticides des parcs d’engraissement….. Par conséquent, la dissémination aérienne d’insecticides dans l’environnement local, via les PM (microparticules), est susceptible de se produire dans les parcs d’engraissement du monde entier, quelles que soient les conditions climatiques». Ce scénario pourrait correspondre à celui des plaines et des exploitations agricoles et d’élevage d’Espagne, surtout en période estivale, lorsque les conditions d’humidité et de température sont idéales pour l’évaporation et le soulèvement des particules en suspension.
Il est très instructif de trouver des articles sur les techniques d’immobilisation des engrais visant à éviter les pertes par volatilisation, qui incluent l’oxyde de graphène GO. Dans les travaux de (ul-Islam, S. ; Nisar, S. ; Kmail, A. ; Umar, A. 2018), il est montré que le graphène est utilisé de manière intensive sur les terres agricoles pour fixer tous les types d’engrais (urée et azote) qui se caractérisent par une volatilisation d’environ 40% après 24 heures. D’autres travaux partagent l’analyse du problème (Yuan, W. ; Shen, Y. ; Ma, F. ; Du, C. 2018) en indiquant que les pertes sont dues à trois facteurs «a) la volatilisation sous forme d’ammoniac contribuant à l’effet de serre ; b) le lessivage sous forme de nitrates conduisant à l’eutrophisation du plan d’eau ; c) le ruissellement». Les chercheurs ont donc envisagé la création d’un composite d’oxyde de graphène avec un polymère polyacrylate pour éviter ces problèmes. Comme on le sait, la capacité d’adsorption de l’oxyde de graphène permet la libération contrôlée d’engrais, mais on sait aussi que le rayonnement ultraviolet désintègre la structure moléculaire de l’oxyde de graphène, créant ainsi des points quantiques, ce qui provoque la libération des produits chimiques adsorbés, facilitant ainsi leur évaporation et leur volatilisation et la formation de nuages de particules en suspension par lévitation. Il est intéressant de noter qu’aucune de ces études ne s’est penchée sur ce qui se passe une fois que la totalité de la charge d’engrais est libérée lorsque la lumière frappe l’oxyde de graphène.
Selon (Yanagi, R. ; Takemoto, R. ; Ono, K. ; Ueno, T. 2021) l’oxyde de graphène peut être lévité par la chaleur induite par la lumière du soleil. Cela est particulièrement vrai lorsque le graphène est très poreux, car sa densité est inférieure à celle de l’air. La porosité est une propriété clé des aérogels et des engrais à base d’oxyde de graphène et des composés phytosanitaires afin d’augmenter leur capacité d’adsorption et de libération contrôlée.
Cette recherche a conclu que «l’aérogel fabriqué pour l’expérience pouvait être chauffé instantanément à l’aide d’une lampe halogène en raison de sa grande propriété d’absorption de la lumière et de sa faible capacité thermique. Lorsqu’il est chauffé, il est mis en lévitation par la poussée de l’air environnant, et le comportement de lévitation peut être contrôlé par le cycle marche/arrêt de la source lumineuse. Des recherches sur la lévitation des aérogels de NTC (nanotube de carbone, oxyde de graphène de forme cylindrique-tubulaire) à l’aide de la lumière du soleil sont en cours.» L’aérogel de nanotubes de carbone CNT a été testé avec des densités comprises entre 0,25 et 1mg/cm-3, obtenant une lévitation instantanée avec un taux de chauffage de 17°C/s. Cet effet a été remarqué par (Zhang, T. ; Chang, H. ; Wu, Y. ; Xiao, P. ; Yi, N. ; Lu, Y. ; Chen, Y. 2015) dans leur travail sur la propulsion macroscopique avec la lumière directe sur le graphène en vrac. Il a été constaté que «des macro-objets à base de graphène pourraient être propulsés directement par un laser de niveau watt, et même par la lumière du soleil, jusqu’à une échelle inférieure à un mètre… la propulsion pourrait être encore améliorée en augmentant l’intensité de la lumière et/ou en améliorant la zone d’illumination».
Effets d’ionisation sur le graphène
Les effets de l’ionisation sur le graphène sont complexes, car elle provoque l’effet inverse de l’adsorption, c’est-à-dire la désorption des ions et la génération d’espèces ionisées (radicaux libres). Selon (Kim, Y.K. ; Na, H.K. ; Kwack, S.J. ; Ryoo, S.R. ; Lee, Y. ; Hong, S. ; Min, D.H. 2011), lorsqu’un laser ionisant est appliqué à de l’oxyde de graphène, celui-ci se transforme en oxyde de graphène réduit rGO, pour finalement former des nanotubes de carbone/graphène multiparois, connus sous le nom de MWCNT.
Cet effet de réduction de la GO a également été observé dans l’étude de (Cutroneo, M. ; Havranek, V. ; Mackova, A. ; Malinsky, P. ; Torrisi, L. ; Lorincik, J. ; Stammers, J. 2019) en affirmant «qu’un microfaisceau d’ions est un moyen efficace de désoxygéner les feuilles d’oxyde de graphite et de produire un oxyde de graphène réduit pour améliorer la teneur relative en carbone (rapport C/O, carbone/oxygène) afin d’augmenter la conductivité électrique». Cela fournit une preuve importante que l’oxyde de graphène réduit augmente la conductivité électrique, de sorte que sa présence dans les nuages chimiques ou hybrides avec la vapeur d’eau et d’autres polluants peut augmenter l’activité électrique de l’atmosphère.
Pour compléter le tableau, il est essentiel de citer les travaux de (Wang, Z., Yu, C., Huang, H., Guo, W., Yu, J. et Qiu, J. 2021), qui offrent une vision globale de l’impact des micro-ondes sur la chimie du carbone, notamment à l’échelle nanométrique. Il indique que «les micro-ondes sont des ondes électromagnétiques qui présentent une variation sinusoïdale des champs électriques et magnétiques. La fréquence des micro-ondes est comprise entre 300 MHz et 300 GHz, la fréquence de 2,45 GHz étant la plus fréquemment utilisée». La chaleur conduite par le rayonnement électromagnétique provoque la polarisation et l’excitation des matériaux en carbone, augmentant leur température, ce qui entraîne des effets de désorption, d’exfoliation, de réduction, de dopage, mais surtout «en raison de la forte interaction entre les électrons qui se déplacent presque librement et le champ électrique, l’énergie cinétique de ces électrons augmente et leur permet de sauter rapidement hors de la zone conjuguée à la surface du carbone, ce qui entraîne l’ionisation des espèces gazeuses. avec une émission évidente de lumière dans un temps et un espace limités. Ce phénomène est perçu comme des plasmas d’arc ou de décharge. Et une génération intensive de ces espèces/plasmas ionisés peut avoir un grand potentiel pour les réactions par micro-ondes concernées, en raison des caractéristiques des dimensions à l’échelle microscopique et d’une densité d’énergie élevée unique».
Commentaires
Il est démontré que le graphène pourrait former des nuages chimiques avec d’autres composants (présents dans les engrais, les pesticides, etc.), s’il présente une densité appropriée, un degré élevé de porosité et se trouve dans une solution liquide, susceptible de s’évaporer. Il peut également être emporté par les courants d’air chaud et former des nuages de poussière chimique, avec d’autres matériaux. Sur la base des faits scientifiques, la présence de graphène dans les nuages est hautement probable en raison d’un processus de chauffage et d’évaporation, en particulier en été dans les climats secs.
Si l’on considère qu’il existe des nuages chimiques dans lesquels il peut y avoir une concentration de graphène ou d’oxyde de graphène, non encore quantifiée (en l’absence d’études complémentaires), il est très probable qu’ils auront un impact sur une augmentation de l’activité électrique. Ceci, ajouté à l’effet des ondes électromagnétiques (micro-ondes) et à l’effet multiplicateur et d’absorption électromagnétique de l’oxyde de graphène, conduit à l’ionisation des nuages chimiques, générant un effet de désorption, qui provoque la pluie ou la précipitation dans l’air d’eau, d’engrais, de pesticides, de produits phytosanitaires ou de composés chimiques nucléés en phase aérosol. Il est également affirmé que l’ionisation du graphène génère la libération de radicaux libres et d’espèces ionisées qui pourraient être à l’origine des valeurs de rayonnement exceptionnellement élevées. De toute évidence, les impulsions de rayonnement ionisant semblent être en dehors du schéma naturel du phénomène. Toutefois, il est possible que les impulsions électromagnétiques des radars d’observation météorologiques, militaires et de contrôle du trafic aérien provoquent un effet de rebond sur les particules d’oxyde de graphène magnétisé (et vraisemblablement de magnétite Fe3O4), générant inévitablement une impulsion de rayonnement ionisant. C’est pourquoi il est essentiel d’observer et de mener des recherches sur les aérosols atmosphériques dans toute la péninsule ibérique, ainsi que sur la localisation des impulsions de rayonnement, afin de s’assurer de leur origine et d’écarter d’autres hypothèses.
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Oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol
Référence.
“Evaporation-induced crumpling of graphene oxide nanosheets in aerosolized droplets: confinement force relationship”. Journal of Physical Chemistry, 3(21), pp. 3228-3233. [388]
Faits
L’introduction de l’article fait allusion à l’intérêt de la communauté scientifique pour les nanoplaquettes de graphène 2D en vue de leur application dans l’encapsulation des médicaments, avec la nécessité de développer des méthodes pour tirer le meilleur parti de leurs propriétés. Parmi les défis à relever, on trouve le suivant : «Les difficultés liées à l’utilisation de ces nanoplaquettes en 2D sont liées à leur production de masse. Un problème particulier est la tendance à l’agrégation (ré-empilage) en raison de la forte adhésion entre les feuilles». Ce problème est en partie résolu par la technique décrite dans l’article.
Les auteurs cherchent une solution au «problème du reconditionnement des nano-feuilles d’oxyde de graphène (GO) lors de la production à grande échelle : convertir les nano-feuilles bidimensionnelles (2D) en boules tridimensionnelles (3D) froissées qui présentent d’excellentes propriétés de compression».
On en conclut que plusieurs facteurs permettent d’atteindre l’objectif de reconditionnement de l’oxyde de graphène, comme la vitesse d’évaporation et la concentration du précurseur.
Il est démontré que l’évaporation de nano-feuilles d’oxyde de graphène dans des gouttelettes d’aérosol peut être réalisée. En fait, il est mentionné dans les termes suivants : «la suspension aqueuse de GO a été atomisée en fines gouttelettes. Les particules de GO froissées ont été formées par compression capillaire en raison de l’évaporation rapide des gouttelettes d’aérosol».
Dans l’explication des expériences réalisées, il est expliqué qu’une suspension aqueuse a été préparée comme précurseur pour la synthèse de particules de GO ridées. Ensuite, “le précurseur a été atomisé en gouttelettes de taille micrométrique (2 à 4 μm) à l’aide d’un nébuliseur à six jets Collison (BGI Incorporated), et l’aérosol a été acheminé via de l’azote gazeux vers un réacteur d’alumine maintenu à des températures prédéterminées pour être chauffé pendant plusieurs secondes”. Deux détails importants sont à retenir de ce texte, tout d’abord, il est fait mention d’un instrument appelé “nébuliseur de Collison”, voir figure 1. Ensuite, la taille des gouttelettes d’aérosol varie de 2 à 4 micromètres.
La procédure de nébulisation, détaillée dans la figure 2, est également indiquée.
Le résultat de ce processus de pliage et de brumisation a pu être photographié, obtenant les images suivantes de la figure 3.
Fig.2 : Procédure de nébulisation
Si l’on compare l’image de la figure 3 avec les résultats obtenus par (Campra, P. 2021), on ne peut nier l’évidente similitude de l’oxyde de graphène et de la configuration potentielle pour la diffusion, voir la figure 4 pour l’un des échantillons de leur étude.
Commentaires
La publication mentionnée ci-dessus est une preuve irréfutable des efforts déployés pour rendre l’oxyde de graphène diffusable par aérosol. La taille des gouttelettes est suffisamment petite (2-4 micromètres) pour pouvoir pénétrer dans n’importe quel masque (Sharma, S. ; Pinto, R. ; Saha, A. ; Chaudhuri, S. ; Basu, S. 2021).
Le timing de la recherche, qui remonte à 2012, est très frappant, reflétant l’intérêt de développer des méthodes qui facilitent la diffusion, le repli et, surtout, la production de masse du matériel.
L’oxyde de graphène “GO” peut être préparé sous forme d’aérosol et disséminé par tout vecteur avec des nébuliseurs adaptés, de sorte que n’importe qui pourrait l’inhaler. L’article reconnaît les applications potentielles en biomédecine pour l’administration de médicaments par inhalation, étant donné la capacité de transport du GO, une propriété démontrée dans le brevet CN112220919A discuté dans un article précédent.
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Neuroinflammations et maladies neurodégénératives causées par l’oxyde de graphène
Référence
“A Differential Effect of Graphene Oxide on the Production of Proinflammatory Cytokines by Murine Microglia”. “Un effet différentiel de l’oxyde de graphène sur la production de cytokines pro-inflammatoires par la microglie murine”. Taiwan Veterinary Journal, 41(03), pp. 205-211. [529]
Faits
Les microglies ou cellules microgliales sont des cellules neuro-immunes spécialisées présentes dans les tissus nerveux. Leur fonction est similaire à celle des phagocytes, ils sont donc chargés d’éliminer les substances et les déchets, d’éliminer les tumeurs, les micro-organismes ou les agents invasifs. Lorsqu’ils sont activés par une quelconque lésion du cerveau ou du système nerveux, ils sécrètent les cytokines susmentionnées, connues pour être impliquées dans les formes les plus sévères de c0r0n@v|rus, voir (Albarzanji, Z. N. ; Mahmood, T.A. ; Sarhat, E.R. ; Abass, K.S. 2020 | Rizzo, P. ; Dalla-Sega, F.V. ; Fortini, F. ; Marracino, L. ; Rapezzi, C. ; Ferrari, R. 2020).
L’étude démontre que la microglie murine (un rongeur ressemblant à une souris), traitée avec de l’oxyde de graphène réduit à une dose de (1-25 μg/mL) pendant 24 heures, a produit des cytokines pro-inflammatoires, supprimant au passage la production d’IL-1β (c’est-à-dire l’interleukine). L’interleukine est une cytokine dont la fonction au sein du système immunitaire est de réguler l’activation, la prolifération, la production d’anticorps, ainsi que de marquer les points auxquels ils doivent accomplir leur tâche, entre autres. En d’autres termes, l’oxyde de graphène affecte le fonctionnement normal du système immunitaire, l’inhibant ou l’empêchant de fonctionner correctement.
Il indique également que «la perméabilité lysosomale et l’alcalinité étaient accrues dans les microglies traitées par GO, tandis que l’activité de la cathepsine B et de l’ICE était diminuée. Dans l’ensemble, ces résultats ont démontré que l’exposition au GO affecte de manière différentielle la production de cytokines pro-inflammatoires, ce qui est associé à la modulation de la voie lysosomale de traitement des cytokines». Il y a des détails importants dans cette déclaration. La première est l’augmentation de l’alcalinité de la microglie. Cela n’a rien d’anodin puisque l’augmentation de l’alcalinité des cellules du cerveau ou du système nerveux implique nécessairement un pH faible qui a un impact sur le développement de troubles psychiatriques et neurodégénératifs, comme l’indique l’étude suivante de l’université Johns Hopkins (Prasad, H. ; Rao, R. 2018) qui a été largement relayée par les médias RTVE, EFE. Ceci est directement lié à l’analyse faite dans l’article sur l’oxyde de graphène et sa capacité à franchir la barrière hémato-encéphalique. Ensuite, la cathepsine B (la protéine responsable de la destruction des protéines à l’origine de la plaque amyloïde responsable des symptômes de la maladie d’Alzheimer) et l’ICE (qui est l’enzyme de conversion de l’interleukine IL-1β) ont vu leur activité réduite, affectant ainsi leur bon fonctionnement. En fait, troisièmement, cela a également affecté la modulation de la voie lysosomale, c’est-à-dire la dégradation lysosomale, qui affecte le bon fonctionnement des cellules.
Une revue de la littérature scientifique a permis de trouver des preuves récentes que la neuroinflammation causée par «l’activation de la microglie et des astrocytes peut contribuer à la progression des dommages pathogènes aux neurones de la substantia nigra (SN). De même, le stress oxydatif peut être causé par divers facteurs de stress, tels que des polluants dans l’environnement ou un dysfonctionnement mitochondrial», voir (Dowaidar, M. 2021). Cette affirmation correspond aux observations de l’article discuté dans ce billet, car l’oxyde de graphène provoque l’activation de la microglie. Elle s’inscrit également dans le cadre des travaux de (Prasad, H. ; Rao, R. 2018) en affectant l’acidification des astrocytes ApoE4 (les astrocytes sont des cellules gliales responsables entre autres fonctions du développement du système nerveux central). Elle correspond également à celle évoquée par (Alpert, O. ; Begun, L. ; Garren, P. ; Solhkhah, R. 2020) qui analyse des cas cliniques de dépression liés à la tempête de cytokines chez des patients c0r0n@v|rus.
Commentaires
L’article démontre que l’oxyde de graphène provoque des altérations dans les cellules microgliales du système nerveux central, affectant le fonctionnement du système immunitaire. Cela réduit considérablement la capacité à faire face aux infections et aux maladies, laissant l’animal ou la personne inoculée avec de l’oxyde de graphène dans une situation précaire face à toute éventualité ou risque biologique ou chimique.
Outre les altérations du système immunitaire, on a observé des dommages neurologiques, un stress oxydatif, un dysfonctionnement mitochondrial (dû à l’interruption de son homéostasie) et la réduction des valeurs d’interleukine et d’ICE qui, à leur tour, provoquent une alcalinité de la microglie, directement liée à la réduction du pH qui génère des maladies neurodégénératives.
On peut en conclure que la présence potentielle d’oxyde de graphène dans les vaccins c0r0n@v|rus peut induire une neuroinflammation, le développement de maladies neurodégénératives dues à l’alcalinité et au faible niveau de pH dans le tissu cérébral et des dommages neurologiques permanents.
Bibliographie
Les urls afférentes sont dans l’article original de Mik Andersen. [530]