Ce présent essai, “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, est constitué de trois des chapitres de la première partie, intitulée “Une Pandémie de Protéines Spike ou une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, d’un énorme dossier sur lequel je travaille, depuis avril 2021, et qui s’intitule “Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”. Cette première partie doit faire, environ, 150 pages – en format A4 avec plus de 1100 liens pour l’ensemble du dossier – et c’est pourquoi j’en ai extrait ces trois chapitres pour un lectorat pressé mais, nonobstant, souhaitant découvrir ce qui se trame, ou ce qui se graphénise, dans les injections anti-CoqueVide/19 de la Mafia Pharmacratique – représentée, en France, par les propagandistes, et bonimenteurs, de la PharMacronie.
Le 27 août 2021, j’ai commencé à placer tout ce que je découvre de nouveau, sur tous ces sujets graphénisants, dans une nouvelle page intitulée “Nouvelles des Brigades Anti-Graphène” – à moins que cela n’éclaire ce qui est rédigé dans ce présent essai.
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En lieu du titre “Une Pandémie de Protéines Spike ou une Pandémie d’Oxyde de Graphène?”, j’aurais pu, tout autant pertinemment, l’intituler:
“Le Syndrome de la Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène”.
Ce présent document est évolutif: il s’est enrichi d’une pléthore de pages depuis le 3 août 2021, date de sa publication…. car je le métamorphose tous les jours. Pourquoi? Parce que les pièces du puzzle “Covidien” sont en train de s’auto-assembler rapidement – pour tous ceux qui n’ont pas les yeux grand fermés – grâce à la mutualisation de toutes les investigations.
Grâce à la mutualisation des investigations mais, aussi, grâce à leur transmission car, en cette époque de danger mortel pour l’espèce humaine, il est fondamental que toute transmission d’informations authentiques, et vitales, quant à la survie de l’Anthropos, ne s’arrête pas au seuil de la réception passive mais qu’elle se transmute, de suite, en une nouvelle transmission active, innovante, éveillante, joyeuse et impulsante. C’est pourquoi, je reconnais, à certains cercles et blogs Chrétiens – tels que ceux de Laurent Glauzy, de Guy Boulianne, d’Olivier Demeulenaere – la capacité de percevoir que l’Alerte est, réellement, Biologique et je reconnais, également, leur courage de me publier… alors que l’une de mes missions, auto-proclamées, est de participer à l’implosion, fatale, des trois religions monothéistes – et surtout à l’implosion libératrice du mythe pernicieux et génocidaire de leurs patriarches fondateurs, les vecteurs du Virus Archontique de Yaldabaoth.
Le site Pro Fide Catholica, de Laurent Glauzy, s’est même, très malicieusement, permis de re-titrer mon dossier: “Une Pandémie d’Oxide de graphène? Il existe même une version d’oxyde de graphène dénommée “Goy”. Si Si!”. [1149] Que vont bafouiller les attardés mentaux de la Miviludes? Car cela hume fort la nouvelle campagne “Qui?Qui?”… des Réfractaires Gaulois!
En bref, depuis un certain nombre d’années, l’oxyde de graphène, un toxique, se retrouve dans des “vaccins” injectés ou nasaux, dans des solutions salines (par conséquent, dans des sérums physiologiques), dans des masques faciaux, dans des tests PCR, dans des cosmétiques, dans des médications, dans des bio-senseurs, dans des teintures pour cheveux, dans des amalgames dentaires, dans des fertilisants, dans des pesticides, dans des emballages alimentaires, dans des vêtements pour se prémunir des piqûres de moustiques et, bien sûr, dans toutes les récentes injections expérimentales de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca, etc, etc, ad nauseam, dont la fonction, prétendue, serait de lutter contre une pandémie – inexistante.
Ces injections expérimentales magnétisantes, handicapantes et/ou génocidaires – parce que gavées d’oxyde de graphène – ont été concoctées sur mode “végan”, à savoir sans expérimentations préalables sur des animaux non humains.
Aujourd’hui, en France, en Europe… tout être humain qui n’est pas empli, jusque dans la moelle de son ADN, de Rage, de Colère, de Chagrin – et même de Haine – soit ne prête pas attention, soit n’est pas authentique, soit est totalement lobotomisé/terrorisé, soit fait partie du petit gang de criminels, et de leurs complices, qui sont en cours de tout détruire au prétexte d’une pandémie, strictement, inexistante. J’éprouve tout autant de Rage vis vis à des Transhumanistes eugénistes, qui orchestrent présentement leur dernière campagne génocidaire et biocidaire des Peuples, que vis à vis de cette partie de la population “humaine” qui est tellement lobotomisée, éducastrée, terrorisée, soumise, injectée, empoisonnée, etc, qu’elle en devient une bombe sociale vivante mettant en danger nos corps, nos libertés, nos modes de vie, nos modes de thérapeutique et d’alimentation, nos Vies, nos enfants… afin qu’une poignée de milliardaires s’enrichissent encore plus – en attendant que les populations “vaccinées” se désintègrent, inexorablement, sous la Marque de l’Oxyde de Graphène.
D’autant plus une bombe sociale vivante… lorsque l’activation généralisée du réseau 5G va induire un “tsunami” de problèmes psychiatriques chez tous les injectés – et, plus généralement, chez tous les fortement graphénisés.
Aujourd’hui, pourquoi les criminels vaccinalistes mettent-ils en place des obligations vaccinales, des passeports sanitaires – accompagnés de tout un arsenal de menaces? Très simplement parce que leur objectif est de vacciner 100% de la population. Pourquoi? Parce qu’ils ne pourront pas continuer leurs offensives génocidaires s’il reste un groupe contrôle – à savoir les non-vaccinés – de l’ordre de 30%, de 40% et, même, de 50% dont les membres auront très vite fait de démontrer que ce ne sont que les injectés/graphénisés qui sont magnétisés, qui sont Covidés, qui sont handicapés, qui meurent, etc…
Sur le plan des vecteurs à graphène, les Autorités préfèrent, de loin, les injections pour orchestrer leur Vaccination/Vachination/Machination de Graphénisation des Peuples… car les nano-particules injectées vont se greffer sur les cellules du cerveau en l’espace de quelques heures.
Cela étant dit, il est clair que les Xenosh font feu de tout bois – à l’image de multiples incendies, de par le monde, qui n’ont, strictement, rien à voir avec le Réchauffement Anthropique car ils sont criminels – pour graphéniser les populations par le biais d’une pléthore de vecteurs graphénisants ainsi que je vais l’exposer dans ce présent dossier.
Ceux qui vivent dans des environnements urbains – qui sont, stratégiquement, les premières cibles de la guerre contre l’Humain – doivent se protéger de la graphénisation (et des antennes 5G) en augmentant, considérablement, leur ingestion quotidienne de substances, de plantes, de champignons, de vitamines, anti-oxydantes et anti-inflammatoires – ou, du moins, adaptogènes.
Il est donc essentiel que tous ceux qui refusent les injections graphénisantes soient conscients de la graphénisation, sans cesse croissante, de nombreux secteurs de la vie quotidienne, afin d’éviter d’être graphénisés. Il est, également, important de prêter attention aux épandages aériens (chemtrails) qui constituent les moyens les plus efficaces, depuis des dizaines d’années, pour disséminer des produits chimiques et biocides, divers et variés, tout autant au-dessus d’une culture de soja que d’une culture de coca ou que d’une guérilla Vietnamienne ou que d’une population urbaine Européenne. La cible est différente mais les vecteurs sont les mêmes… ainsi que les conclusions: la modification cellulaire, la destruction cellulaire, la Mort. Les vecteurs sont les mêmes et leur origine, si je puis, remontent à Justus Liebig Möser en passant par Fritz Haber… et l’utilisation subséquente des gaz-moutardes dans les tranchées durant la Première Grande Boucherie Mondiale.
En Marque, En Marque… vers la Grande Hommelette Finale! [201]
Aujourd’hui, le Syndrome de la Couronne, ce n’est pas celui d’un coronavirus inexistant, c’est celui de la couronne de protéines induite par la graphénisation. Le danger, pour la survie des Peuples, n’émane pas de la couronne fantôme des protéines Spike: il émane de la couronne bio-moléculaire personnalisée qui se forme autour des nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain.
En effet, c’est une couronne de protéines qui se forme à l’entour des nano-matériaux lorsqu’ils sont exposés aux fluides biologiques humains (sérum, plasma, fluide cérébro-spinal, etc).
Il faut, d’ailleurs, signaler que la Toile n’offre que deux photographies – putatives et très floues – d’une protéine Spike [1124]. Et encore, si l’on veut bien fermer les yeux sur le fait que les deux photographies proposées, côte à côte, sur le même site de biologie présentent deux échelles différentes de telle sorte qu’un coronavirus mesure, environ, 100 nm, sur la photographie de gauche, tandis que les autres particules de coronavirus, sur la photographie de droite sont mesurées sur une échelle de 1000 nanomètres et se caractérisent par une diversité de taille – bien au-delà de l’amplitude tolérée, et officielle, de 140 nanomètres. [1162] Est-ce pour emballer ou pour graphéniser de suite?
Si cette protéine Spike – soit naturelle, soit chimérisée en laboratoire – était, véritablement, la bombe virale et meurtrière que l’on nous propagande, pourquoi donc Google n’en a-t-il jamais fait une photographie en très haute définition?
Si Google est capable de proposer la carte d’un cerveau humain présentant 50 000 cellules et 130 millions de synapses – d’un poids virtuel d’1,4 pétabyte, à savoir l’équivalent de la capacité de 700 ordinateurs [334] – il doit être possible, techniquement parlant, de photographier un virus de 125 nanomètres… si ce virus constituait, vraiment, LA Pandémie des Pandémies. N’est-ce pas?
Par contre, la photographie d’une Couronne Bio-moléculaire de Graphène, [1123] présentée sur le site du naturopathe Dr. Robert O. Young, ressemble, à s’y méprendre, à toutes ces représentations virtuelles de “protéines Spike” dont la presse corrompue a inondé le public depuis la déclaration de la fausse pandémie.
Aujourd’hui, nous sommes, donc, confrontés au Syndrome de la Couronne Bio-moléculaire de Graphène qui constitue le vecteur – apostolique et universel – choisi, par les Transhumanistes, pour magnétiser et transformer l’Humain en une Antenne d’émission-réception – lorsque cela n’est pas pour le génocider, rapidement. Sous le contrôle musical, donc le joug, de qui pulse cette Antenne? De QUI?
Aujourd’hui, dans l’Europe, anciennement Païenne et Animiste, le Syndrome de la Couronne Nécro-moléculaire de Graphène est en cours de supplanter, quant à la Marque, le Syndrome de la Couronne d’Epines – qui pollue l’Atmosphère d’Europa depuis près de deux mille années – dans le registre de la glorification de la souffrance, de la persécution, de la collusion victime-perpétrateur, du Mépris de la Vie… et du Refus de rendre hommage à la Beauté Naturelle de notre Mère la Terre.
Aujourd’hui, la Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène constitue une première expression, généralisée, du concept de cyborg – à savoir, d’une fusion entre d’une part, le biologique et, d’autre part, le graphène magnétisant… injecté directement dans le corps physique de tous les “vaccinés” – et, plus généralement parlant, dans le corps physique de tous les graphénisés. La Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène est induite par la greffe du graphène sur les cellules – qui est, également, une “griffe”… de par l’étymologie “graphos”. En France, plus particulièrement, cela s’épelle “criffe”… mais c’est un tout autre dossier susceptible de nous entraîner dans les sables mouvants de la mouvance des Qui? Qui?
La Couronne Nécro-moléculaire de Graphène constitue la Marque des bio-terroristes Transhumanistes du Forum Economique Mondial sous la houlette du dément Klaus Schwab.
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SOMMAIRE
Avant-Propos
Révélations des Chercheurs de la Quinta Columna en Espagne. L’Oxyde de Graphène: le Vecteur Génocidaire de l’Offensive Vaccinale?
* Les Découvertes Explosives de la Quinta Columna
* Exposés de Ricardo Delgado
Autres Découvertes des Chercheurs de la Quinta Columna en Espagne
* Protocoles d’Anti-Oxydants pour détruire le Graphène
* Le Dossier de la N-Acétylcystéine
* Quelle Emergence de Tsunamis Cérébraux… accompagnant la Quatrième Vague?
Faits et Méfaits de l’Oxyde de Graphène et d’autres Vecteurs Graphénisants
* The Graphene Flagship Project
* La Saga des Hydrogels aux Nano-matériaux
* Couronne Bio-Moléculaire de l’Oxyde de Graphène
* Toxicité de l’Oxyde de Graphène dans les Masques faciaux
* Magnétofection
* Supra-Conductivité Electrique du Graphène
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Avant-Propos
L’Alerte est cérébrale… mais cela fait quelques millénaires que l’aliénation mentale perdure en raison du virus extra-terrestre monothéiste des religions Abrahamiques fondées sur le sacrifice de l’Enfant sur l’autel de pierre. Les religions constituent l’opium des Peuples comme le disait, si Justement, celui là-même dont les pères rabbiniques les avaient inventées… ces religions. C’est ce même psychopathe – très distancié, socialement, de par sa peau lézardée – qui inventa le Marxisme, la lutte des classes, la dialectique matérialiste, le non-avènement perpétuel du Prolétariat, le collectivisme, etc, etc, ad nauseam, qui sont incarnés, aujourd’hui, par le Santa Klaus du Forum Economique Mondial et par toute sa clique de bio-terroristes Transhumanistes, déments et criminels.
Aujourd’hui, l’Alerte est essentiellement Biologique, donc Existentielle, en ce qui concerne la survie de l’Anthropos. Il s’agit, en vérité, d’un “Démocide” planétaire et universel – à savoir, de la destruction et de l’annihilation programmées de chaque Peuple, en chaque Nation… du moins, chaque Nation officiellement reconnue car c’est un sujet épineux.
Il s’agit, à proprement parler, d’un Anthropocide.
Et il est, extrêmement, urgent d’évoquer la problématique de la survie de l’Anthropos lorsque certains députés – des serpillères politiques – proposent une loi “relative à l’encadrement du survivalisme et à la lutte contre les dérives et menaces associées” – en date de juin 2021. [1080] Alors que les Peuples font, présentement, émerger l’Ere de la Correction, ne pourrait-on pas proposer une réinitialisation intégrale du système corrompu de pseudo démocratie représentative? Quant à la réinitialisation des sénateurs et des députés, il restera à établir leur niveau de responsabilité dans ce plus grand crime jamais intentionné à l’encontre de tous les Peuples de l’Humanité – l’espèce Anthropine.
Selon le Dr. Bryan Ardis – qui oeuvre au sein d’une organisation de médecins US, pour la Vérité sur le CoqueVide/19 – il existerait 11 systèmes, dans le gouvernement des USA, chargés de rapporter les effets secondaires des vaccinations. Une procédure juridique a été intentée [781] – avec le soutien de l’organisation America’s Frontline Doctors, par Thomas Renz, un juriste de l’Alabama, le 19 juillet 2021, à l’encontre du CDC, car une lanceuse d’alerte – statisticienne depuis une vingtaine d’années – vient de déclarer, sous serment, que sa seule organisation a enregistré 45 000 décès dans les trois jours suivant les injections anti-CoqueVide/19. [780] Cette statisticienne travaille au CMS, Center for Medicare and Medicaid Services – qui est dédié aux personnes âgées et aux pauvres. [784] Par conséquent, il s’agit ou bien de personnes âgées, ou bien de pauvres, lorsque l’on parle de 45 000 décès – officiels… sans parler des non-officiels, surtout chez les pauvres.
L’Alerte est, également, cérébrale… mais sur un tout autre niveau. En effet, selon les révélations des chercheurs de la Quinta Columna [636] [637] [917], en Espagne, les injections anti-CoqueVide/19 (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca, de Johnson and Johnson, de Sinovac, etc) contiennent, principalement, de l’oxyde de graphène magnétisant – à 99,5% de la solution filtrée par absorbance ultraviolet en spectroscopie – qui attaque l’intégrité cellulaire du corps physique et qui, également, se greffe sur le cerveau de l’injecté, en tant qu’antenne de réception/transmission, afin de pouvoir, éventuellement, le contrôler à distance par le biais d’une activation émanant du réseau 4+G, 5G, xG.
Big Brother is watching you… but, also, switching you. Just another (gold) brick in their Wall (Street)!
En août 2021, le Dr. Pablo Campra Madrid a présenté, dans un document à part, les photographies de sa première analyse d’injections anti-CoqueVide/19. [1119] Il a, également, publié une autre étude, intitulée “Nanotechnological investigations on Covid-19 Vaccines: Detection of toxic nanoparticles of graphene oxide and heavy metals ” [1118]. Dans cette nouvelle étude, le Dr. Pablo Campra Madrid a analysé le contenu des injections de Moderna, d’AstraZeneca, de Pfizer et de Johnson and Johnson – avec l’aide de diverses technologies: microscopie optique, microscopie électronique à balayage, microscopie électronique à transmission, spectroscopie à dispersion d’énergie, spectrométrie ultraviolet-visible, spectroscopie de fluorescence, résonance magnétique. Le Dr. Pablo Campra Madrid a découvert, dans ces injections, des nano-particules d’oxyde de graphène mais également des nano-particules de silicate d’aluminium, de sélénium, de cadmium, de plomb, de cuivre, de fer, de nickel, de chromium, de bismuth, etc, etc.
Selon les recherches récentes de la Quinta Columna [635], ce ne sont pas, seulement, les injections anti-CoqueVide/19 qui contiennent du graphène: il en serait, de même, du “vaccin anti-grippal” de Sanofi-Pasteur, le “VaxigripTetra”. [634] [720] Il en serait de même, également, pour un certain nombre d’injections obligatoires de la prime enfance ou d’injections anti-méningite mais, également, pour des solutions salines médicales, pour des vaccins nasaux, pour les test PCR – et bien évidemment, pour tous les masques à graphène, comme leur dénomination l’indique.
Les lecteurs parlant Allemand sont invités à consulter une vidéo [1042] [1179], très récente, présentant les découvertes de deux médecins Allemands, Dr. von Bärbel Ghitalla et Dr. Axel Bolland – accompagnés de deux avocats, Holger Fischer et Elmar Becker. Ces médecins expliquent avoir observé le sang de douzaines de leurs patients, injectés CoqueVide/19, et avoir découvert que leurs globules rouges ont perdu leur charge négative, qu’ils sont complètement détruits et qu’ils sont entourés de nano-tubes luminescents à l’éclat métallique. Ces médecins ont, également, observé, au microscope, une fiole de “Vaccin” CoqueVide/19, de Johnson and Johnson, et y ont découvert des nano-structures bizarres en formes de tubes et autres. Il semblerait que cette découverte corrobore celles de la Quinta Columna en Espagne – et celle de ce médecin Anglais, le Dr. van Welbergen, qui a découvert que les globules rouges de ses patients (injectés avec Pfizer ou AstraZeneca) étaient sévèrement endommagés et qu’ils étaient entourés, également, de nano-tubes luminescents. [1043]
Le 9 août 2021, une vidéo a été postée, sur Telegram et YT, du contenu de l’injection de Pfizer qui y démontre, clairement, par microscopie, la présence de réseaux cristallins, de nano-tubes, de luminescence… et de mouvements. [1071] Une autre vidéo a été postée, fin août 2021 – sur CrowdBunker par Ethic Citizen – sur les effets des injections anti-CoqueVide/19 sur le sang tels qu’ils ont été découverts par le Dr Armin Koroknay. [1133]
Le 12 août 2021, un médecin US a publié ses photographies, par microscopie, du contenu de l’injection de Moderna: ce sont des photographies de nano-tubes et de flocons qui confirment, strictement, les découvertes de la Quinta Columna. [1072]
Aux USA, l’équipe du naturopathe, Dr. Robert O. Young, a mis en ligne les résultats de ses recherches portant sur les analyses – au moyen d’une dizaine de techniques de microscopie et de spectroscopie – des “vaccins” de Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Jansen. Ils ont, principalement, découvert de l’oxyde de graphène mais, également, en fonction des divers “vaccins”, du titanium, de l’aluminium, du bismuth, du fer, du sélénium, du chlore, du cadmium, du plomb, de l’azote, du silicium, du vanadium, du cuivre, etc. [1123] [1180]
Dans son article, Robert O. Young présente des photographies, saisissantes: des globules rouges ratatinés autour d’un amas d’oxyde de graphène; un amas de nano-particules d’acier inoxydable avec du carbone, du fer et du nickel maintenus ensemble par un gel d’oxyde de graphène (dans l’injection de Jansen); des nano-particules d’oxyde de graphène de 100 microns…
Et, surtout, une photographie de la Couronne bio-moléculaire de Graphène. [1123] Il s’agit de la très célèbre protéine “Spike” qui n’a rien à voir avec le coronavirus inexistant mais qui a tout à voir avec la couronne de protéines qui se forme au contact de l’oxyde de graphène avec des fluides organiques.
Son équipe a, également, découvert, dans l’injection de Pfizer, des parasites de l’espèce Trypanosoma cruzi.
Il est, d’ailleurs, très alarmant de découvrir qu’il existe des brevets portant sur des solutions salines à base de graphène d’autant plus lorsqu’elles sont commercialisées par Ali Baba sur Aliexpress – afin de servir de base liquide dans la confection de produits médicaux. [779] [796] [1049]
Il existe un brevet portant sur ces solutions salines, à base d’oxyde de graphène, depuis 2012, ainsi que je l’évoque plus avant dans mon exposé.
Des investigations très récentes du groupe Info Vacunas [850] sur Telegram ont permis de découvrir d’autres produits, à usage médical, commercialisés par Graphene Box et Ali Baba.
Par exemple, des solutions aqueuses d’oxyde de graphène (commercialisés par Graphene Box) dont certaines fonctions sont dénommées, très clairement, “pour utilisations biologiques et médicales” – avec les référence GOWS-340009 et rGOWS-340009. [847] [848] Selon les archives du Web, ces produits sont commercialisés depuis, au moins, l’été de 2015. [849]
Par exemple, une poudre d’oxyde de graphène “magnétique” modifié avec de l’oxyde de fer (Fe304) [851]. Ce produit – commercialisé par Jiangsu XFNANO Materials Tech Co.,Ltd (XFNANO) – vient avec un avertissement, à savoir d’opérer avec prudence en relation avec le virus et le coronavirus CoqueVide/19. Ce produit est présenté avec les fonctions suivantes: «Composé d’oxyde de graphène, chargé de nano-particules magnétiques de Fe304, l’oxyde de graphène magnétique possède de nombreuses qualités incluant la capacité de réaction magnétique, des propriétés catalytiques (qui peuvent être utilisées pour la séparation magnétique de molécules), une catalyse biologique enzymatique simulée, la pollution environnementale, la construction de matériaux composés polymères dopés, la construction de nano-vecteurs de médications, le développement de senseurs et de méthodes de détection biologiques, etc.» [851]
Par exemple, une poudre de graphène – commercialisée par Jiangsu XFNANO Materials Tech Co., Ltd (XFNANO) – modifiée avec des acides aminés, qui est présentée pour des utilisations biologiques – tel que l’acheminement de médications dans le corps physique. [853]
Par exemple, du graphène sous forme de nano-tubes de carbone (de 50 nm) dont une des fonctions est l’acheminement de médications dans le corps physique. [854]
Le groupe Info Vacunas a, également, découvert une pléthore de produits à base d’oxyde de graphène chez Alquimex, une entreprise Mexicaine dirigée par Diana Quiroz – une femme démente qui pense qu’elle devrait avoir un prix Nobel pour ses inventions à base de graphène supposées guérir le cancer. Alquimex distribue de l’oxyde de graphène – en poudre, en solution aqueuse, en glycérine, avec du polyéthylène glycol (PEG) – ainsi que diverses nano-particules d’or, d’argent, etc. Alquimex promeut son oxyde de graphène pour des usages industriels mais, aussi, pour la médecine, pour les cosmétiques et pour l’alimentation – tout en conseillant d’éviter tout contact avec les yeux, la peau, la bouche… [1045]
Voilà une autre piste de recherche fascinante, même si peu joyeuse: la graphénisation des patients par le biais de solutions salines – par exemple, des sérums physiologiques – gavés d’oxyde de graphène. C’est une piste de recherche d’autant plus intéressante que ces solutions salines se retrouvent dans une pléthore de vaccins: le VaxigripTetra de Sanofi-Pasteur, le vaccin ARNm de Pfizer, etc, etc.
Il existe, même, d’autres formes de graphène – tels que les nano-tubes de carbone et les fullerènes – qui sont commercialisés par Jiangsu XFNANO Materials, en Chine, et qui possèdent des applications biologiques. Par exemple, chez Ali Baba, une poudre de graphène, sous forme de fullerènes, à usage de cosmétiques – pour humains, vraisemblablement. [852] Il est à noter que tous les produits à base de graphène – commercialisés par Jiangsu XFNANO Materials – viennent avec cet avertissement: à savoir d’opérer avec prudence en relation avec le virus et le coronavirus CoqueVide/19.
La société Jiangsu XFNANO Materials a été créée en 2009. [1018] C’est le plus important distributeur mondial de graphène, d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, de points quantiques de carbone, de disulfure de molybdène, de disulfure de tungstène, de nano-fils d’argent et de filtres moléculaires. La société Jiangsu XFNANO Materials possède plus de 20 000 clients de par le monde. XFNANO peut fournir, annuellement, 50 tonnes de poudre de graphène et 1000 tonnes de dispersion de graphène. Ce sont plus de 3100 études scientifiques – dont 40 dans la Revue Nature – qui ont été réalisées, de par le monde, en ayant recours aux matériaux distribués par XFNANO.
Le groupe Hongwu International distribue, également, du graphène pour des applications médicales et biologiques: par exemple, sous la forme de nano-tubes de carbone [1046], de nano-tubes de carbone fluorescent [1047], de fullerène [1048].
La société Turque, Nanografi – celle-là même qui propose un vaccin nasal anti-CoqueVide/19 à l’oxyde de graphène [687] – distribue une très grande diversité de poudres d’oxyde de graphène, de dispersions aqueuses d’oxyde de graphène, etc, etc, en sus d’un très large spectre de nano-technologies et de nano-particules – pour des applications médicales et biologiques. [1075] [1076]
Pourquoi, donc, Sanofi-Pasteur a-t-il ajouté de l’oxyde de graphène dans son “vaccin anti-grippal” VaxigripTetra, dès 2019 – ou peut-être, en fait, depuis de nombreuses années? Serait-ce la cause de l’hécatombe de grippe de la saison 2017/2018 – qui aurait été la plus mortelle des trente dernières années précédentes?
Serait-ce afin que la PharMacronie puisse prétendre qu’il existât une pandémie coronavirale, au printemps 2020, alors que le spectre, très diversifié, des symptomes attribués au SARS-CoV-2 correspond, exactement, à celui induit par la toxicité du graphène? Pour mémoire, la campagne 2019/2020 de vaccination anti-grippe – avec deux vaccins tétravalents: l’InfluvacTetra (de Mylan/Pfizer) et le VaxigripTetra (de Sanofi Pasteur) – fut lancée avec force dossiers de presse, en octobre 2019, avec comme logo “Cette année encore, la grippe va faire très mal.” Car, franchement, comment les Autorités Sanitaires peuvent-elles prévoir, en octobre, que la saison de grippe va être catastrophique?
Est-ce pour mieux graphéniser le Peuple Français que le gouvernement PharMacronien a mis en place, en octobre 2020, un dispositif de communication de grande envergure pour augmenter la couverture vaccinale, à l’encontre de la grippe, de la campagne 2020/2021, avec deux vaccins tétravalents: l’InfluvacTetra (de Mylan/Pfizer) et le VaxigripTetra (de Sanofi Pasteur)? Et ce, malgré que “la grippe”, ait, officiellement, disparu des écrans – virtuels de la virologie. Est-ce pour cela, également, que Pedro Sánchez, le président du gouvernement Espagnol, a lourdement insisté pour que les Espagnols, en septembre 2020, se fassent vacciner contre la grippe (disparue)… afin de mieux lutter contre le CoqueVide/19?!! [640]
Faut-il préciser que Sanofi-Pasteur déconseille le recours à son autre “vaccin anti-grippal”, le 522 Fluzone, pour toute personne qui aurait – déjà – développé le Syndrome de Guillain-Barré dans les 6 semaines suivant la vaccination anti-grippale antérieure. [638] Le Syndrome de Guillain-Barré constitue l’un des syndromes les plus communs provoqués par les injections anti-CoqueVide/19. A savoir, de par l’oxyde de graphène magnétisant qu’elles contiennent. Est-ce pour mieux participer à la graphénisation des Peuples – par l’introduction d’oxyde de graphène dans les injections – que Sanofi-Pasteur, en retard sur son propre “vaccin” CoqueVide/19, va aider à produire une centaine de millions de doses du poison Pfizer? [961]
Faut-il préciser que Sanofi-Pasteur a acheté, en 2010, la société Française de nécro-technologies, InCell Art, qui est spécialisée dans les nécro-nanotechnologies tels que les nano-vecteurs pour les vaccins – par exemple, sa technologie de “Nanotaxis” qui agrémente ses vaccins “Turnkey”. Question: qui tourne la clé d’activation, des vaccins “Turnkey”, au travers du réseau 4 ou 5G? [639] Qui? QUI?
Faut-il re-préciser que Sanofi-Pasteur a provoqué une hécatombe d’enfants, aux Philippines, avec son vaccin Dengvaxia? Pourquoi? Parce que cette injection contient, également, une bonne dose d’oxyde de graphène? Ou d’autres nano-particules d’aluminium, d’oxyde de tungstène, d’oxyde de fer, d’oxyde de titanium, etc.?
Depuis le printemps 2020, toutes formes de grippes auraient disparu – grâce aux mesures, tellement courageuses même si dictatoriales, prises par les Autorités, consistant à enfermer le Peuple Français (masqué, distancié, testé et vacciné) dans un gigantesque camp de concentration à ciel ouvert. Quant au coronavirus, malgré les mêmes restrictions, il n’aurait pas disparu. Pourquoi? Parce qu’il n’existe pas et que tous les symptomes dits Covidiens – manifestés par des patients dits Covidiens – sont, en fait, des manifestations de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène… qui est présent, partout, dans les masques, dans les test PCR et dans les injections – et même dans les solutions salines [729] depuis, peut-être, 2012. Et bientôt dans la nourriture quotidienne – si l’on en croit les témoignages portant sur de la viande (de poulet et de boeuf) magnétisée aux USA?
Et peut-être aussi dans des chemtrails épandus au-dessus de certaines zones, dans l’est de la France, au moment des “clusters” hospitaliers? Car, un médecin des Iles Canaries, travaillant avec la Quinta Columna, a récemment, découvert de l’oxyde de graphène dans l’eau de pluie. [855]
A ce sujet, voir la vidéo du rabbin Français, David Roth, qui vit à Jérusalem. David Roth n’est pas vacciné mais il est magnétisé/graphénisé et il dénonce l’épandage de chemtrails au-dessus de Jérusalem – et qui, normalement, sur sa chaine vidéo, commente les textes figés. [1014] David va-t-il être accusé de complotisme… et d’anti-waxisme/anti-sémitisme? … car il s’agirait, en fait, de la même mouvance selon Raphaël Enthoven, l’amuseur public, et autres disciples de BHL. Selon ce vacciné de la rationalité, s’exprimant sur le passeport saniterroriste, une contrainte qui n’est pas forcément contraignante peut même s’avérer libératrice. Il serait sympathique de le contraindre à se “réinitialiser”… afin de se libérer.
Et qu’en est-il, aujourd’hui, de la présence d’autres nécro-nanotechnologies magnétisantes – dites de magnétofection – telle que la ferritine dans les vaccins? [559] [560] En 2021, les chercheurs de l’Université de Stanford se sont focalisés sur la fabrication d’un “vaccin” anti-CoqueVide/19… à base de nano-particules de ferritine, à savoir d’oxyde de fer? [1181] [1182] Que vont bafouiller les Décodeurs de l’ImMonde?… qui prétendent qu’il n’existe que de vagues études sur la magnétofection des “vaccins”.
Car on ne nous dit pas tout! Mais si on le cherche, on le trouve… car les Xenosh, grands experts en Mal Social, prennent un très grand plaisir, sadique, à toujours annoncer, bien en avance, tous les méfaits qu’ils vont perpétrer à l’encontre des Peuples. Tel le tsar du CoronaCircus aux USA, Fauci le Gris, qui, le 10 janvier 2017, neuf jours avant l’inauguration du président US Donald Trump, déclara, lors d’une conférence à l’Université Georgetown de Washington – intitulée “Pandemic Preparedness in the Next Administration” [148] – que la prochaine administration US allait faire face à une “épidémie surprise”! «There will be a surprise outbreak». Deux ans à l’avance, dixit Anthony Fauci, le complice de l’eugéniste Bill Gates! [147] [193]
Aujourd’hui, pourquoi les criminels vaccinalistes mettent-ils en place des obligations vaccinales, des passeports sanitaires – accompagnés de tout un arsenal de menaces? Très simplement parce que leur objectif est de vacciner 100% de la population. Pourquoi? Parce qu’ils ne pourront pas continuer leurs offensives génocidaires s’il reste un groupe contrôle – à savoir les non-vaccinés – de l’ordre de 30%, de 40% et, même, de 50% dont les membres auront très vite fait de démontrer que ce ne sont que les injectés/graphénisés qui sont magnétisés, qui sont Covidés, qui sont handicapés, qui meurent, etc. Cela étant dit, il est clair que les Xenosh font feu de tout bois – à l’image de multiples incendies, de par le monde, qui n’ont, strictement, rien à voir avec le Réchauffement Anthropique car ils sont criminels – pour graphéniser les populations par le biais d’une pléthore de vecteurs graphénisants ainsi que je vais l’exposer dans ce présent dossier.
Question: est-ce parce que l’oxyde de graphène est de plus en plus utilisé – dans les vaccins, dans les solutions salines, dans les bio-senseurs, dans les masques faciaux, dans les test PCR, dans les vecteurs nano-technologiques de médications, etc – que l’Industrie entrevoit un accroissement très important, des ventes, entre 2021 et 2026? [859] Cette forte augmentation des ventes est-elle, plus directement, corrélée à l’offensive vaccinaliste globaliste dont l’objectif est de vacciner des milliards d’individus, trois fois et, ensuite, “en rappel”, tous les 6 mois? Sans évoquer la forte augmentation des prix des “vaccins” tous les 6 mois afin que la Mafia Pharmacratique puisse s’adapter aux “Variants” – ou afin que les “Variants” puissent s’adapter aux “vaccins” de la Mafia Pharmacratique… en fonction des stocks restants.
A propos de briques en or – générées par un bric à brac de nano-particules dénommées vaccins – alors que Fauci le Gris, aux USA, et, dans la foulée, le gang bio-terroriste de Jean-François Delfraissy, annoncent, en grandes fanfares, une troisième dose, pour les lobotomisés/graphénisés en deux doses… la FDA a accordé son autorisation finale à l’injection anti-CoqueVide/19 de Pfizer le 23 aout 2021. [1154] Ou ne l’a-t-elle pas, en fait?
Devons-nous, donc, en déduire que les Autorités “sanitaires” vont retirer aux autres injections “expérimentales” (de Moderna, d’AstraZeneca, etc) leur autorisation d’extrême-urgence?… de par l’autorisation légale et officielle, de celle de Pfizer – et, bien sûr, de par l’interdiction, toujours, prévalente de remèdes anti-inflammatoires efficaces à trois sous.
D’ailleurs, un article de François Roby, paru sur Egalité et Réconciliation, [1174] rappelle bien l’entourloupe de la FDA, en octobre 2020, lorsque le chargé de communication a escamoté, prestement, la page 16 de son rapport – à 2:33:40 d’une vidéo de neuf heures. Cette page 16 décline les très nombreux effets adverses de l’injection de Pfizer: la mort, le syndrome de Guillain-Barré, les méningites, l’épilepsie, les myocardites, les péricardites, les fausses couches, les convulsions, les attaques cardiaques, les thromboses, les caillots, etc, etc… qui sont tous les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
Quant à la troisième dose d’injection graphénisante – sur mode grandes fanfares de la PharMacronie – ce n’est que du voeu pieu, en forme d’envoûtement… car les crapules génocidaires, du gouvernement Français, n’ont pas encore les autorisations adéquates, et officielles, en provenance des technocrates, corrompus, de l’Agence Européenne des Médicaments ou en provenance de l’OMS, la succursale de Big Pharma. [1183]
Ce n’est pas de chance, d’ailleurs, pour le gang criminel de Moderna, au Japon, qui vient de se faire intercepter, le 26 août 2021, 1 630 000 milles doses de fioles d’injections anti-CoqueVide/19… pour motif d’impuretés, y flottant allègrement, perçues à l’oeil nu. [1155] Il y a fort à parier qu’un magasinier lambda – du laboratoire Espagnol incriminé, Laboratorios Farmacéuticos Rovi – ait, par mégarde, pour quelques lots, pourvu aux techniciens laborantins de la poudre d’oxyde de graphène au lieu d’une solution aqueuse, transparente, à base d’oxyde de graphène.
D’ailleurs, selon un fonctionnaire Japonais, les inclusions semblent “métalliques” car elles réagissent aux aimants – comme du graphène!
De plus, comble de misère pour les Vaccinalistes Eugénistes, le Professeur Robert Malone, le principal inventeur des vaccins à ARNm, s’implique une fois de plus, dans la danse infernale des couronnes protéiques, en déclarant, à propos de la contamination des injections de Moderna au Japon, qu’il s’agirait peut-être de débris de verre, ou autres – comme à l’accoutumée, précise-t-il – mais que cela permettra de savoir ce qu’il en est de la présence potentielle de graphène dans ces injections. [1173]
Un grand merci à Robert Malone pour son soutien dans la lutte contre les eugénistes criminels et déments… et s’il mentionne le graphène, c’est qu’il a fort bien perçu que des débris de verre ne sont pas, franchement, attirés par un aimant!
D’ailleurs, M. Yuki Ishii, le directeur de la Division Pharmaceutique de la Préfecture de Saitama, qui a découvert ces corps étrangers, le 13 août 2021, dans les fioles de Moderna, a précisé qu’il s’agissait de particules noires de moins d’1 mm. Que pourraient être des particules noires magnétiques flottant dans un vaccin de Moderna? Une sorte de floculât de nano-particules d’oxyde de graphène – se regroupant, inopinément, sous l’effet d’une bande passante qui passait par là?
De plus, comble de misère pour les Vaccinalistes Eugénistes, une étude, du prestigieux Oxford University Clinical Research Group, publiée dans le Lancet, le 10 août 2021, est en train de spolier la soupe, à l’oxyde de graphène, des marchands de poison vaccinal. En effet, les chercheurs de cette université ont découvert que chez le personnel soignant vacciné/injecté, la charge virale du CoqueVide/19 (sans précision de Variant), présente dans leurs narines, était 251 fois supérieure à la charge virale nasale du personnel soignant non-injecté. [1171] [1172]
Cette étude, de nouveau, est à prendre avec un grain de bon sens car le CoqueVide/19 n’a jamais été isolé, caractérisé, photographié, etc. Mais 251 fois la charge virale… c’est un peu décourageant, comme challenge, pour les propagandistes vaccinaux qui prennent leur métier, de menteur-bonimenteur, tellement à coeur.
De plus, comble de misère pour les Vaccinalistes Eugénistes, une étude Israëlienne, publiée dans Nature le 18 août 2021, démontre que l’immunité naturelle, à l’encontre de ce qu’ils appellent les “Cas Delta”, est la première défense naturelle du corps. En effet, selon cette étude – du Kahn Sagol Maccabi Healthcare Center en Israël – les vaccinés/injectés/graphénisés ont 13 fois plus de chances d’être “Contaminés” et 27 fois plus de chances d’avoir des infections symptomatiques. [1175] [1184]
Au vu de ses conclusions, la clique de la PharMacronie ne peut que traiter cette étude Israëlienne d’anti-vaccinaliste, de complotiste – et, donc, d’anti-sémite – même si elle porte sur 2,5 millions et demis d’Israéliens. [1176]
De plus, comble de misère pour les Vaccinalistes Eugénistes, en Angleterre, vers la mi-août 2021, une administration a libéré quelques bribes d’informations “Delta” qui sont loin d’être rassurantes pour les vaccinés/injectés… c’est le moins que l’on puisse dire. Faut-il en rire ou en pleurer? Sur ce registre, entre le 1er février 2021 et le 2 août 2021, les 742 décès attribués au Variant Delta sont vaccinés à 66%, exactement. De plus, ce registre cite 402 décès sur 47 008 “Cas Delta”, chez les vaccinés/injectés, et 253 décès sur 151 054 “Cas Delta”, chez les non injectés.
Il est évident que tout ce qui vient des Autorités est à prendre, avec des pincettes paradigmatiques, surtout lorsque l’on parle de Variants d’un virus invisible et non identifié… parce que non existant. Nonobstant, ces chiffres font désordre si le but est d’injecter/graphéniser la totalité des populations. En effet, selon ces statistiques, il est 5 fois plus létal pour les “Cas Delta” d’être injecté plutôt que non. [1169] [1170]
En bref, toutes ces études révélatrices ne prouvent qu’une chose: les vaccinés/injectés/graphénisés – par les poisons de la Mafia Pharmacratique – se sont engagés dans une dynamique de suicide collectif. Les centaines de milliers de décès, et les millions d’effets adverses et de handicaps, à vie, ne constituent, présentement, que la première vague d’un vaste génocide d’amplitude planétaire.
Cela étant dit, tout cela ferait-il partie du Grand Plan? Celui de la Plandémie. Car si l’on en juge par les titres de certains journaux (Bloomberg, BBC, etc), il semblerait que les donneurs d’ordres commencent à infléchir, légèrement, la courbe. Serait-ce afin de lancer leur prochain joker? Et que sera-t-il? Un confinement Climatique? Un effondrement de l’Internet? Avec ou sans crash financier? Une attaque, sous faux-pavillon, de méchants Extra-Terrestres? Sous la Férule de Yaldabaoth? Avec ou sans Petits Gris déjà graphénisés depuis l’Aube des temps?
Révélations des Chercheurs de la Quinta Columna en Espagne: l’Oxyde de Graphène: le Vecteur Génocidaire de l’Offensive Vaccinale?
Au printemps 2021, c’est un hôpital de Bratislava – anonyme afin de ne pas subir la répression – en Slovaquie, qui a lancé l’alerte sur la nature d’un hydrogel nano-technologique présent dans certains tests PCR… et, peut-être présent, dans tous les tests PCR dans le monde entier. En effet, cet hôpital de Bratislava a publié, en mars 2021, une étude sur les tests PCR mettant en exergue les effets extrêmement délétères qu’ils possèdent sur les tissus humains (en particulier l’épithélium) de par la présence, sur les écouvillons, de lithium et de l’hydrogel nanotechnologique créé par le DARPA, à savoir, créé par le Ministère de la Défense US. [323] [324]
Selon les chercheurs de cet hôpital de Bratislava l’objectif de cet hydrogel nanotechnologique serait de créer des nano-antennes afin de connecter le corps humain à un réseau numérique. [325] [326] [327] [328] [329]
En avril 2021, l’experte Italienne en nano-technologies, la Dr. Antonietta Gatti – qui fut impliquée dans les découvertes de nano-particules dans les vaccins analysés par l’Association Corvelva en 2018 – avait déjà signalé la présence d’impuretés, de fils noirs, dans les cotons des tests PCR. [800]
Fin avril 2021, le Health Rangers, Mike Adams, a publiée une série de photographies, par microscopie, des nano-particules, de diverses couleurs, présentes dans les cotons des tests PCR et dans les masques faciaux. [1073]
Est-ce, en fait, du graphène qu’ils ont, tous, découvert sans en percer la nature?
Cela est plus que vraisemblable. En effet, depuis 2016, au moins, il existe des recherches portant sur des tests PCR avec de l’oxyde de graphène encapsulé dans des PEGs – telles que “Facilitation of PCR with Polyethylene Glycol-Engrafted Graphene Oxide Analogous to Single-strand DNA-binding Protein” [1056]; “Enhancing the specificity of polymerase chain reaction by graphene oxide through surface modification: zwitterionic polymer is superior to other polymers with different charges” [1058]; “Development of a Low-Cost Cotton-Tipped Electrochemical Immunosensor for the Detection of SARS-CoV-2” [1059]; Il existe un brevet, datant de 2016, (n°US 10633698B2) dont l’intitulé est “Composition for PCR containing a polyethylene glycol-engrafted nano-sized graphene oxide” qui a été accordé en avril 2020. [1057]
Il existe une étude, de 2020, intitulée “Effects of graphene oxide on PCR amplification for microbial community survey” qui a mis en exergue que l’insertion d’oxyde de graphène, dans des tests PCR, ne pouvait qu’en augmenter les marges d’erreurs – ce qui est une façon de parler car les tests PCR sont invalides et ne fournissent que des informations erronées. [1464]
Les deux dernières années de la fausse pandémie ont vu surgir des études (et, également, des applications médicales réelles pour, supposément, tester le CoqueVide/19?) portant sur la confection de nano-senseurs à transistors, à effet de champ, à partir de nano-tubes de carbone ou d’oxyde de graphène. [1059] [1060] [1061] [1062]
Des transistors, à effet de champ, à base de graphène, sont proposés dans le catalogue Sigma-Aldrich – qui appartient, aujourd’hui, à la multinationale de la Pharmacratie, Merck sous les références GRFETS20 et GRFETS10. [1066] Ils sont, également, proposés par Alfa Chemistry. [1560]
Est-ce ce même hydrogel nanotechnologique que l’on retrouve dans les injections anti-CoqueVide/19 – ainsi que dans certains types de masques? En effet, toutes les injections ARNm contiennent des nano-particules dont des nano-particules lipidiques pégylées – telles qu’elles sont mentionnées dans les brevets de Moderna ou de Pfizer, par exemple. [820] [821]
Il est plus facile de comprendre, maintenant, pourquoi l’eugéniste Bill Gates insista tant, fin avril 2021, pour que les formulations des vaccins ne soient pas confiées aux pays pauvres. En effet, il déclara – en traduction littérale car Bill Gates s’exprime en mode négligence : «Il n’existe qu’un nombre limité d’usines à vaccins de par le monde et les gens sont très sérieux quant à l’innocuité des vaccins… La chose qui empêche les choses d’avancer, dans ce cas, ce n’est pas la propriété intellectuelle. Ce n’est pas comme s’il y avait quelque oisive usine à vaccins, approuvée officiellement, qui produise des vaccins magiquement inoffensifs…. Il faut faire des expérimentations avec ces choses». [817]
Si tant est que l’on puisse parler de magie en ce qui concerne ces injections, ce serait certainement une magie très perverse… mais il s’agit d’oxyde de graphène. Quant à l’innocuité des injections, il n’est nul besoin de commenter plus les assertions mensongères de Bill Gates – une crapule criminelle qui est l’un des instigateurs principaux de la fausse pandémie Covidienne.
En bref, l’eugéniste Bill Gates préfère que les pays pauvres s’abstiennent de fabriquer les injections anti-CoqueVide/19 – parce que l’oxyde de graphène, dans ces injections, constitue un trade secret, un secret professionnel!
Lorsque l’on examine les fiches techniques (chez MedChemExpress, par exemple) il est clair – ainsi que de nombreux investigateurs l’ont commenté – que les nano-particules lipidiques, du “vaccin expérimental” de Pfizer (BNT162b2), ALC-0315 et ALC-0159, tout autant que la nano-particule SM-102 du “vaccin expérimental” de Moderna, n’ont pas été approuvées pour des utilisations médicales. [818] [822]
Ces nano-particules lipidiques sont toutes aussi expérimentales que les injections anti-CoqueVide/19.
Ces nano-particules lipidiques sont commercialisées par Sinopeg, en Chine. [831] La question est de savoir si elles sont concoctées avec du graphène. Mais, aujourd’hui, il est difficile de prétendre que les injections ARNm contiennent du graphène juste parce que Sinopeg a publié sur son site une étude portant sur des nano-particules lipidiques fonctionnalisées au graphène – ainsi que certains investigateurs ont cru bon de l’affirmer. [819] [823]
Ce qui est certain, par contre, c’est que la fiche technique pour ALC-0315, par exemple, mentionne qu’elle est extraite du brevet “Novel RSV RNA molecules and compositions for vaccination” [824] et qu’il s’agit du composé III-3 – dans la description du dit brevet… et il est assez étonnant de voir comment certaines parties sont rédigées, en particulier en relation avec le composé III-3.
En effet, selon le texte: «La composition [du vaccin] peut inclure, de préférence, l’ARN artificiel de l’invention mélangé avec un ou plusieurs lipides formant ainsi des nano-particules lipides qui sont fondamentalement composées de: au moins, un lipide cationique, tel qu’il est ici défini, et de préférence un lipide de formule III-3 ». Les trois autres lipides sont, ensuite: un lipide neutre, un stéroïde et un lipide PEG (polyéthylène glycol), de préférence pégylé. Selon la définition d’un lipide cationique, présentée dans le brevet, il s’agit de: «tout composé ou polymère chargé positivement qui est positivement chargé sous des conditions physiologiques» (en traduction littérale).
Une question essentielle: si le lipide cationique n’est pas un lipide de formule III-3 (tels que les nano-particules ALC-0315 et ALC-0159 de Sinopeg), qu’est-il donc alors? Un lipide cationique fonctionnalisé avec du graphène?
L’expression de “préférence un lipide de formule III-3” est employée 5 fois dans ce brevet. Est-ce, donc, ce lipide de formule III-3 qui est graphénisé? Car, il existe un certain nombre d’études portant sur des nano-flocons d’oxyde de graphène enrobés de lipides cationiques afin de concocter une nano-particule hautement homogène. Par exemple, l’étude publiée en janvier 2020 et intitulée “Effect of Protein Corona on The Transfection Efficiency of Lipid-Coated Graphene Oxide-Based Cell Transfection Reagents”. [825]
Il existe, même, une étude, [826] impliquant des nano-particules d’oxyde de graphène enrobées de lipide PEG et ensuite chargé d’extraits de semences de Nigella sativa – l’une des plantes maîtresses de la Pharmacopée planétaire. [827]
Au risque de me répéter, précisons que selon les données du document Japonais – relatif à l’injection de Pfizer – récupéré par le Professeur Bridle, [345], les nanoparticules lipidiques, commercialisées par Sinopeg, ALC-0315 et ALC-0159, ont été retrouvées circulant dans tout le système sanguin, puis se sont déposées, en l’espace de quatre heures, en très grandes concentrations, dans les ovaires, la moelle osseuse et les ganglions lymphatiques.
Dans les injections, sont-ce les nano-particules ALC-0315 et ALC-0159 qui sont graphénisantes ou, du moins, ce qui est présenté officiellement comme telles dans les “données”?… et ce n’est pas parce qu’elles sont “données” qu’elles sont authentiques! L’oxyde de graphène serait-il l’élément X qui y serait ajouté à l’insu de tous – sous le couvert d’un type de secret professionnel? Ou serait-ce, tout bonnement, et tout subrepticement, la base de la solution saline qui y est ajoutée?
Concernant ces nano-particules lipidiques pégylées, il est tout autant certain que le polyéthylène glycol est extrêmement toxique. Il existe une pléthore d’études le démontrant depuis moult années. [1082] [1083] De plus, n’est-il pas hilarant de constater que, durant l’été 2021, l’alerte est levée à l’encontre de la haute teneur en oxyde d’éthylène dans certains aliments industriels – telles que les crèmes glacées… [1084] [1086] ou les barres énergétiques de la marque Aptonia chez Décathlon. [1216]
La Dépêche titre même: “Rappels de produits : l’oxyde d’éthylène, ce produit cancérogène qui inquiète”. [1085]
… alors que des nano-polymères sont, communément, proposés composés de nano-particules d’oxyde de graphène et d’oxyde d’éthylène? Pour des fonctions médicales et biologiques? [1087] [1088] [1089] [1090] [1091]
Les Découvertes Explosives de la Quinta Columna
En début juin 2021, ce sont les chercheurs de la Quinta Columna, en Espagne, qui – après avoir étudié pendant plusieurs semaines les phénomènes de magnétisation et de magnétofection – ont découvert que les injections anti-CoqueVide/19 des multinationales de la Pharmacratie contenaient de l’Oxyde de Graphène. Ces chercheurs sont Ricardo Delgado, le Dr. José Luis Sevillano et le Professeur Pablo Campra Madrid de l’Université d’Almeria.
Toutes les cliques de Décodeurs, et autres Fact-Checkers, se sont, récemment, précipités pour inonder la Meute Médiatique de déclarations affirmant qu’il n’y a pas d’oxyde de graphène dans les injections. [908] Ils prétendent, même, que les photographies présentées par la Quinta Columna ne correspondent pas à des photographies de graphène. Les lecteurs peuvent, donc, consulter l’étude, déjà citée – “Millimeter wave absorbing property of flexible graphene/acrylonitrile-butadiene rubber composite in 5G frequency band” – portant sur les relations intimes entre le graphène et la 5G, afin de découvrir que ce sont des photographies similaires qui sont présentées dans cette étude Chinoise. [907] Le dossier, en Espagnol, intitulé “Óxido de grafeno y la absorción electromagnética del 5G”, présente toutes ces photographies, ensemble, pour comparaison. [921]
«Nous avons eu accès à une ampoule non décapsulée de Pfizer envoyée à l’université en mon nom pour analyse et recherche du matériel en question, le graphène. Quelque temps de recherches après, grâce au Dr Pablo Campra Madrid, docteur en chimie, en biologie et membre de l’université d’Alméria, nous avons obtenu ce rapport préliminaire qui mentionnait une preuve solide de la présence de graphène dans l’échantillon et le fait que c’était aussi le principal composant de ce qu’ils nomment à tort “vaccin”. Dès lors cette preuve solide a ensuite été complétée par d’autres techniques, comme la spectroscopie, le microscope électronique, les techniques pour les fréquences électromagnétiques, le microscope optique et la spectroscopie aux rayons ultraviolets, qui coïncide avec le pic de longueur d’onde de l’oxyde de graphène. Nous avons ensuite étudié la toxicité ou la cyto-toxicité du graphène dans le corps.
Prêtez attention à cette découverte : dans le corps, l’oxyde de graphène cause des thromboses, des caillots. Il cause un syndrome post-inflammatoire ou des inflammations systémiques ou sur de multiples organes. Quand l’oxyde de graphène dépasse les taux de glutathion – la réserve naturelle d’antioxydants du corps – il cause des altérations du système immunitaire, son effondrement et une tempête de cytokines. Inhalé, il se répand uniformément dans le tractus alvéolaire [alvéoles pulmonaires] et entraine des pneumonies bilatérales. Inhalé, il cause aussi une inflammation des membranes muqueuses et donc la perte du goût et de l’odorat : l’anosmie. En bref, l’oxyde de graphène se comporte exactement comme le supposé Sars- Cov2 de la version officielle, générant l’exacte symptomatologie d’un covid-19 sévère. Quand il est installé au niveau des neurones il entraine une neuro- dégénération ou en d’autres mots un covid-19 neurologique.» Ricardo Delgado. La Quinta Columna. Traduction d’Apolline. [862]
Le 24 juin 2021, dans son programme/vidéo n°63, la Quinta Columna a présenté les preuves photographiques de la présence de graphène dans une première injection – à savoir celle de Pfizer – dans une vidéo de 3h30. [717] Les lecteurs trouveront ces photos, en très haute définition – 100 et 200 nanomètres – dans les urls suivantes: [718] [719]
Ces photographies se trouvent, également, dans l’étude du Professeur Pablo Campra Madrid qui est intitulée “Graphene Oxide Detection in Aqueous Suspension”. [752] [753]
Les lecteurs intéressés par les vidéos de la Quinta Columna, mais ne parlant pas Espagnol, peuvent consulter le site d’Orwell City qui a traduit, de l’Espagnol en Anglais, certains sections de ces vidéos. [778] Certaines vidéos de la Quinta Columna sont également explicitées, et traduites, sur le blog d’Apolline, le Bistrobarblog. [862]
Selon les révélations des chercheurs de la Quinta Columna [636] [637], les injections ARNm anti-CoqueVide/19 (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca, de Johnson and Johnson, de Sinovac, etc) contiennent, principalement, de l’oxyde de graphène magnétisant – à 99,5% de la solution filtrée par absorbance ultraviolet en spectroscopie – qui attaque l’intégrité cellulaire du corps physique et qui, également, se greffe sur le cerveau de l’injecté, en tant qu’antenne de réception/transmission, afin de pouvoir, éventuellement, le contrôler à distance par le biais d’une activation émanant du réseau xG.
Selon la Quinta Columna, il y aurait, peut-être, aussi, un peu d’ARN, dans ces injections… Quel type d’ARN, d’ailleurs? Sans doute, de l’ARN de foetus Caucasien – tel le MRC-5 – comme à l’accoutumée… because Black Life Matters! [801]
La même découverte d’oxyde de graphène, dans les injections ARNm anti-CoqueVide/19, a été réalisée par l’équipe des Drs. Andreas Kalcker et Eduardo Insignares, dans leurs laboratoires en Espagne. [798] [799] Le Dr. Andreas Kalcker est un très fervent promoteur des thérapies par le dioxyde de chlore.
Dès décembre 2020, des vidéos – forcément férocement censurées, de suite, par Fakebook – évoquaient la présence de nano-particules dans les injections ARNm de la Mafia Pharmacratique.
Selon les recherches récentes de la Quinta Columna [635], ce ne sont pas, seulement, les injections ARNm anti-CoqueVide/19 qui contiennent du graphène: il en serait, de même, du “vaccin anti-grippal” de Sanofi-Pasteur, le “VaxigripTetra” [634] [720] … et il en serait de même, également, pour un certain nombre d’injections obligatoires de la prime enfance… ou d’injections anti-méningite. Et il en serait de même pour les tests PCR.
Il est inutile que les Fast-checkers tentent de prouver qu’il s’agit, de nouveau, de divagations émanant de complotistes. Il n’est que de reporter, par exemple, à l’étude intitulée “Rapid Detection of COVID-19 Causative Virus (SARS-CoV-2) in Human Nasopharyngeal Swab Specimens Using Field-Effect Transistor-Based Biosensor” – qui date d’avril 2020. [764] Ou bien à l’étude intitulée “The Graphene-Based Sensor that Detects COVID in Less than 5 Minutes” – qui date de mai 2021.
Qui plus est, il en serait de même de solutions salines. En effet, les chercheurs de la Quinta Columna ont, récemment, médiatisé la découverte, présentée dans le canal InfoVacunas, au sujet d’un brevet portant sur l’inclusion de graphène dans des solutions salines. Il semblerait que quelque chose ne soit pas clair au sujet de ce brevet portant sur du graphène thérapeutique, car il est présenté sous divers modes en fonction des institutions – dont avec les mentions: “Agent contre le coronavirus” et “Vaccin contre le coronavirus”.
Selon le site de la Commission Européenne, il est présenté sous la dénomination “Physiological Saline Containing Graphene”, avec le N° KR20210028062A et une date d’application du 12 avril 2012. [745]
Selon le site du Gouvernement Espagnol, il est présenté – par deux fois, dans le PDF sur les brevets CoqueVide du premier trimestre 2021 – sous la dénomination “Physiological Saline containing disperses graphene as a therapeutic agent for coronavirus disease such as Mers and Sars”, avec les N° KR20210028062A et N° KR20210028065A et avec un renvoi vers le document Européen et, donc, la date d’application du 12 avril 2012. [746]
Selon le site de Google Patents, il est présenté sous la dénomination “Physiological saline containing graphene dispersion and corona virus vaccine using the same”, avec le N° KR20210028062A et avec la date d’application du 3 septembre 2019. [747]
Selon le site de Google Patents, cette invention de solution saline au graphène permettrait de lutter contre la démence, la Maladie de Parkinson et autres troubles neurologiques. Qui plus est, la nano-poudre de graphène, dans cette solution, aurait la capacité «d’infiltrer chaque organe microscopique de la protéine Spike du coronavirus afin de réduire la fonction du coronavirus, etc, etc». Au sujet de ces brevets, il serait fortement recommandé de s’enquérir de savoir si c’est du lard ou du cochon – comme dirait la chèvre végan de ma voisine. Ou bien si ce sont de faux brevets tel celui découvert – qui porte sur un vaccin CoqueVide au graphène – très récemment, par la Quinta Columna, qui sera évoqué au cours de cet essai.
Précisons que le propriétaire de ces brevets n’est autre que Kim Han Sik – qui possède une multitude de brevets dans le secteur du solaire, des batteries, de l’électro-magnétisme, etc – qui fut condamné à dix années de prison lors du naufrage du ferry Chonghaejin Marine.
Il existe une autre demande de brevet – pour un vaccin au graphène – intitulée “Preparation and application of pachyman nano adjuvant based on graphene oxide and adjuvant/antigen co-delivery vaccine”. Ce brevet Chinois date d’octobre 2020 et il a été requis par la Beijing University of Technology. Son N° est CN112089834A. [769]
Ce vaccin au graphène serait concocté à partir d’un nano-adjuvant de Pachyme – qui est un champignon portant le nom Wolfiporia extensa (anciennement Poria cocos). Ce champignon est très largement utilisé au sein de la Médecine Traditionnelle Chinoise.
Il existe, même, une préparation, prétendument thérapeutique, composée de graphène et d’hypericine – à savoir l’un des principes actifs du Millepertuis, Hypericum perfoliatum – à l’encontre d’un virus attaquant les canards! [772] Il en existe une autre, composée de curcumine à savoir l’un des principes actifs du Curcuma – et de graphène, plus spécifiquement d’oxyde de graphène fonctionnalisé avec une β-cyclodextrine. [773] [774]
Il existe, de plus, différentes études dont l’objectif est de lutter contre la pandémie gravissime d’infections nosocomiales avec l’aide de l’oxyde de graphène [886] [888]. Ainsi cette étude, de 2018, intitulée “Curcumin-loaded graphene oxide flakes as an effective antibacterial system against methicillin-resistant staphylococcus aureus”, qui propose de concocter des flocons d’oxyde de graphène, mélangés avec de la Curcumine, afin de lutter contre les bactéries résistantes aux antibiotiques – qui sont pléthoriques. [887]
Début août 2021, le Canal InfoVacunas a découvert deux nouveaux brevets (de l’Université de Stanford) portant sur l’acheminement de molécules biologiquement actives au sein des cellules par le biais de graphène – sous la forme de nano-tubes. Ces deux brevets datent de 2005 et leur date d’expiration est 2030. Ils sont, en partie, la propriété du gouvernement US. Ils sont intitulés “Hydrophobic nanotubes and nanoparticles as transporters for the delivery of drugs into cells”. Ces brevets sont, également, corrélés à une autre demande de brevet (de 2005) intitulée “Carbon Nanotubes as Transporters for the Delivery of Drugs into Cells”. [863] [864] [865]
Leurs numéros de référence sont: US8246995B2 et US20060275371A1.
Ces brevets décrivent le fonctionnement des présentes injections anti-CoqueVide/19 à l’ARNm: à savoir, comment élaborer une solution aqueuse avec du graphène et trois polymères (hydrophiles et hydrophobes) afin de créer un vecteur d’acheminement de molécules biologiquement actives dans les cellules. Selon leur description officielle: «Les méthodes et les matériaux ont recours, à des nanotubes de carbone – ou d’autres particules hydrophobes, tubes et fils – fonctionnalisés avec un groupe de liaison qui est lié, en covalence, aux nano-tubes, ou, alternativement, à la molécule biologiquement active, telle qu’une protéine. La molécule biologiquement active est libérée, de préférence, par le nano-tube lorsque le complexe a été intégré dans l’endosome».
Concernant ces deux brevets, le Canal InfoVacunas a découvert, également, que les polymères, couplés avec les nano-tubes de carbone – décrits dans ces brevets de 2005 – sont, strictement, les mêmes utilisés, présentement, dans les injections ARNm de Pfizer et de Moderna, tels que le PEG 2000 et le 1,2-distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine.
En fait, il existe des recherches portant sur l’utilisation des nano-technologies dans les vaccins depuis une dizaine d’années – telle que cette étude intitulée “Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine”, de 2014, [1098] ou, encore, “Polymeric nanogels as vaccine delivery systems”, de 2013 [1111] – selon ce que propose le site PubMed du Ministère de la Santé US. [1099]
En juillet 2021, le Canal InfoVacunas a découvert un brevet, Coréen, portant sur la fabrication d’un hydrogel, thermo-réactif, à base de graphène dont l’intitulé est le suivant “Graphene-based hydrogel composition via photothermal reactions for preparing hydrogel and process thereof” et dont la référence est “KR101693497B1”. [1142] En fait, cette demande de brevet est liée une autre demande, avec le même intitulé, mais avec un autre n° de référence “KR20160126208A”. [1145] Chaque demande de brevet est accompagnée par un PDF ne présentant, quasiment, que du texte. [1144] [1146] Le Canal InfoVacunas a découvert, également, un autre PDF, afférent au “KR101693497B1”, qui montre des graphiques de température, des graphiques de fréquences ainsi que de nombreuses photographies: une photographie d’un rat éventré avec un gros morceau de graphène, à l’intérieur de l’abdomen, et des photographies au microscope des diverses solutions aqueuses à base de graphène. [1143] Ces trois PDF présentent des dates différentes: 2014, 2016 et 2017.
A noter que cet hydrogel, à base de graphène, contient, également, un polymère, le poly(N-isopropylacrylamide), qui est réputé très toxique, dans le corps physique, à des températures au-delà de 37°C. [1147]
Le 11 juillet 2021, les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert qu’un brevet portant sur l’utilisation du graphène, dans les vaccins anti-CoqueVide/19, est soudainement apparu sur la Toile. L’intitulé du brevet est le suivant: “Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier”. [600] [601] L’application de ce brevet date du 27 septembre 2020 et le demandeur est le Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology. La publication de ce brevet date du 15 janvier 2021. Selon le résumé de la demande de brevet, cette invention – à savoir un vaccin dont le graphène est le vecteur – appartient «au domaine des nano-matériaux et de la nano-médecine et concerne un vaccin, plus particulièrement le développement d’un nano-vaccin recombinant nucléaire à l’encontre du Covid19».
Il s’agit du brevet CN112220919A requis par le Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology.
Les chercheurs de la Quinta Columna pensaient que ce brevet était un faux car une requête auprès des Archives du Net, en effet, ne fait apparaître cette url que pour le 8 juillet 2021 – et jamais avant. [602] Nonobstant, Dani, du canal Info Vacunas, s’est penché sur cette problématique et a mis en exergue que les PDF, en Chinois – avec quelques infos en Anglais – sont totalement authentiques. Ils sont illustrés de divers diagrammes dont une image d’un rat injecté avec de l’oxyde de graphène. [1196]
On retrouve, d’ailleurs, ce même croquis de rat injecté, avec de l’oxyde de graphène, dans la demande du brevet Chinois intitulé “Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2” – qui date de 2020 [1197] [1198]. Ce brevet est requis, également, par le Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology – et il est possible que ce soit une variation du brevet CN112220919A.
Le Journal France-Soir, en ligne, dans son très intéressant et récent article intitulé “Que faire en cas de décès d’un proche suite à un “vaccin” anti-covid ? Interview de Me Joseph”, a cru bon d’insérer un caveat quant à la déclaration de ce juriste portant sur la présence d’oxyde de graphène dans les injections anti-CoqueVide/19. [748] Ce caveat renvoie à une prétendue page de Décodeurs/Défakers – sous l’égide de l’AFP et sous la plume de Manel Menguelti et Clémence Overeem. Ces défakers, ignares, lamentables et ridicules, citent: «Marcelo Mariscal, vice-doyen de la faculté des sciences chimiques de Córdoba en Argentine, a confirmé à l’AFP en juin que ces substances sont actuellement à l’étude : “Il n’y a que quelques articles dans la littérature où l’oxyde de graphène a été utilisé (…) comme adjuvant potentiel dans les vaccins”». [749]
En fait, ce ne sont pas quelques articles: il en existe une abondance portant sur l’utilisation de l’oxyde de graphène dans les vaccins. En fait, ce ne sont pas quelques articles: il en existe une abondance portant sur l’utilisation de l’oxyde de graphène dans les vaccins. L’oxyde de graphène fut prôné comme adjuvant dans les vaccins dès 2012. [1068]
Il n’est que de se reporter au site PubMed du Ministère de la Santé US. [758] Voici, par exemple, quelques études ad hoc: “Recent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant”, en 2020 [770] ;“Functionalized graphene oxide serves as a novel vaccine nano-adjuvant for robust stimulation of cellular immunity”, en 2016 [771]; “Simultaneous delivery of DNA vaccine and hydrophobic adjuvant using reducible polyethylenimine-functionalized graphene oxide for activation of dendritic cells”, en 2019 [775]; “Graphene Oxide–Polyethylenimine Nanoconstruct as a Gene Delivery Vector and Bioimaging Tool”, en 2011. [776] “Alum-functionalized graphene oxide nanocomplexes for effective anticancer vaccination” [1004]; “Chitosan-Functionalized Graphene Oxide as a Potential Immunoadjuvant” [1005]; “Spontaneous Protein Adsorption on Graphene Oxide Nanosheets Allowing Efficient Intracellular Vaccine Protein Delivery” [1006]; “Exploration of graphene oxide as an intelligent platform for cancer vaccines” [1007]; “Efficient Lymph Node-Targeted Delivery of Personalized Cancer Vaccines with Reactive Oxygen Species-Inducing Reduced Graphene Oxide Nanosheets” [1008]; “Intranasal vaccination with influenza HA/GO-PEI nanoparticles provides immune protection against homo- and heterologous strains” [1009].
En consultant les brevets, chez Google, de la même classe que celui, ci-dessus évoqué – portant sur un nano-vaccin recombinant nucléaire, à base de graphène, à l’encontre du Covid19 – il en existe d’autres portant sur des vaccins au graphène: “Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2” [1197] [1198], “Graphene oxides decorated with carnosine as an adjuvant to modulate innate immune and improve adaptive immunity in vivo” [1199] [1200].
De plus, il existe un très long interview, en Espagnol, d’un biologiste qui explique, en mai 2020, qu’un laboratoire Espagnol travaille à la confection d’une capsule sous-cutanée de polymère de nano-tubes de carbone à inclure dans un vaccin anti-CoqueVide/19. [1168]
Manel Menguelti et Clémence Overeem citent, également: « Diego Peña, chercheur au CiQUS en Espagne (Center for Research in Biological Chemistry and Molecular Materials) a déclaré à l’AFP en juin que le graphène ne peut pas être utilisé pour les vaccins : “Le graphène n’est pas soluble, donc un graphène ne peut pas être injecté avec une solution (…) S’il y avait du graphène, les vaccins auraient des suspensions de couleur sombre”». [749]
Si l’oxyde de graphène n’était pas soluble (et transparent) comment pourrait-il être inclus dans une solution saline ou un vaccin – ainsi que le mentionnent les brevets ci-dessus. De plus, ces brevets ne sont que la cerise sur le très imposant gâteau au graphène. Je renvoie, ainsi, les lecteurs vers une section subséquente, de cet essai, portant sur les hydrogels, transparents, à base de nano-graphène… car le nano-graphène est le matériau transparent idéal pour les nano-hydrogels et tant d’autres ignominieuses nécro-nano-technologies.
D’ailleurs, au paragraphe 11, des affirmations du brevet portant sur l’inclusion de graphène dans des solutions salines, il est mentionné: « une eau de boisson contenant une poudre de graphène dispersée dans le corps humain pour prévenir la maladie» et, au paragraphe 13, il est mentionné: «une eau de boisson contenant une poudre de graphène dispersée dans les poumons avec un instrument de haute-pression.» Sans plaisanter? Des eaux de boisson au graphène?
Sur le site PubMed, du Ministère de la Santé US, la requête avec les termes “solubility” et “graphene” pourvoit 1258 résultats!!!
Selon les deux propagandistes de l’AFP, Manel Menguelti et Clémence Overeem, le contenu exact des vaccins de Pfizer, et tutti quanti, a déjà été publié par les Autorités Sanitaires – donc, par la “Science”, comme dirait Tony Fauci, le Petit Gris. Manel Menguelti et Clémence Overeem seraient, ainsi, enclins à prétendre que les Autorités Sanitaires ne mentent jamais… de par leur caractère “sanitaire”, s’entend. D’ailleurs, Dervila Keane, la porte-parole de Pfizer, a confirmé à l’AFP, le 8 juillet 2021, que «l’oxyde de graphène n’est pas utilisé dans la fabrication du vaccin Covid-19 de Pfizer-BioNTech.»
Pour mémoire, il s’agit bien du même Pfizer condamné à plus de 10 milliards de dollars d’amendes aux USA pour corruption, mensonges, fausses déclarations, etc. Par quelles pirouettes, cacahuètes, Manel Menguelti et Clémence Overeem expliquent -ils l’hécatombe post-vaccinale anti-CoqueVide/19?
Pour mémoire, également. En Chine, l’un des plus gros fabricants de vaccins, Changchun Changsheng Life Sciences, a été récemment condamné à 1,3 milliards de dollars d’amendes parce que ces vaccins contenaient, plus ou moins, n’importe quoi. Business as usual. [797]
Les plus hystériques, en France, ou aux USA, commencent à invectiver les non-vaccinés comme étant la source-même des Variants Delta, Lambda, Bla-Bla, etc. Comme les non-injectés sont très nombreux, et très diversifiés, ce sont des millions de Variants qui vont bientôt émerger. Aux USA, le New-York Times a titré, le 26 juillet 2020: “The Delta Variant Is the Symptom of a Bigger Threat: Vaccine Refusal”. [896]
D’ailleurs, aux USA, le chef du Gang Vaccinaliste, Fauci le Gris, a annoncé, le 4 août 2021, que le Variant Delta était, maintenant, supplanté par le Variant Lambda – dans le Palmarès des Catastrophes Imaginaires. En effet c’est le Variant Lambda qui, aujourd’hui, détient la palme de la dangerosité, de la capacité de dissémination extra-galactique… et de la capacité de “percée vaccinale”.
Selon Fauci le Pandémique, le mythologique Variant Lambda serait originaire du Pérou et selon ses sources strictement scientifiques, il serait le produit d’une mutation aléatoire, du génome de la 56ème mutation du Sars-Cov-2, interceptée, en plein vol dans l’éthérique, par une malédiction Inca qui planait par là…. et qui l’imprégna.
Pour mémoire, Fauci le Gris supervise, annuellement, 6 milliards de subventions pour des objectifs scientifiques – au travers du National Institute of Allergy and Infectious Diseases. Selon certains rapports, la moitié de ces budgets est dévolue à des recherches horribles impliquant des expérimentations avec des animaux – qui sont persécutés. Par exemple, une étude en cours – qui a touché 424 455 dollars [911] de subventions – porte sur un vaccin, à l’encontre de la dénommée filiarose lymphatique, dont les sujets sont 28 chiens de race Beagle qui ont été contaminés, à dessein, auparavant, par des vers parasites du genre filaire. [912]
En parlant de recherches horribles, Judicial Watch a publié un rapport de 252 pages, le 3 aout 2021, prouvant que le gouvernement des USA finance, à hauteur de millions de dollars, des collectes d’organes de “foetus” avortés – le terme foetus étant à prendre dans son sens le plus large car cette collecte d’organes concerne des foetus âgés de 6 semaines à 42 semaines – alors qu’une grossesse dure 40 semaines, environ. C’est sans commentaire afin de ne pas alourdir ce dossier déjà copieux. [918] [919] [920] [960] Ont-ils, également, raison eu égard aux agissements identiques d’un ancien ministre Français en vadrouille au Kosovo?
De toutes manières, soyons réalistes: ce n’est pas l’apanage des injections anti-CoqueVide/19 de contenir des substances extrêmement dangereuses – tel que de l’oxyde de graphène – qui, à priori, ne devraient pas se trouver à l’intérieur d’une fiole de “vaccin”. Signalons, à ce sujet, les traductions [606] [607], de feu le pharmacien anti-vaccinaliste Serge Rader (décédé, en Guadeloupe, en mai 2021, dans des circonstances relativement mystérieuses), des analyses de l’association Italienne, Corvelva, en 2017, concernant un certain nombre de vaccins conventionnels de la Mafia Pharmacratique.
Serge Rader est également l’auteur de l’ouvrage “Vaccins – Oui ou Non ?: Les analyses et les photos au microscope électronique de substances contenues dans les vaccins”.
Selon les conclusions de l’Association Corvelva. Dans le cas du vaccin hexavalent de GSK, “Infanrix Hexa”. Il ne contient aucun des antigènes attendus (de Tétanos, de Diphtérie et de Coqueluche) mais, par contre, il contient 65 contaminants dont 35% strictement inconnus: dont, des antibiotiques (Amoxiciline, Cefroxadine…), des acaricides (Cassythine), des métabolites de la morphine, du carbure de tungstène, du Viagra, des herbicides (Pachyrrhizone), des antiépileptiques (Vigabatrine et Gabapentine), un médicament anti-VIH, de l’Atovaquone, etc, etc… en sus d’une très grande quantité d’ADN foetal. [608] [609] [610]
Selon les conclusions de l’Association Corvelva. Dans le cas du vaccin tétravalent de GSK, “Priorix Tetra”. L’une de leurs conclusions est que la présence d’ADN foetal contaminant est de 300 fois la limite autorisée par l’EMA et confirme les recherches de Theresa Deisher telles qu’elles sont exposées, en Français, dans l’article intitulé “Profusion d’ADN fœtaux dans les vaccins, des conséquences potentiellement incalculables” sur le site de l’AIMSIB : «Pour la énième fois l’AIMSIB se positionne clairement: Les vaccins de qualités déplorables doivent être dénoncés pour disparaître au plus vite, en voici un exemple tout-à-fait concret». [611]
Ce sont tous les “vaccins” qui doivent disparaitre à jamais – et très rapidement.
L’équipe de l’Association Corvelva a résumé ainsi, ses découvertes eu égard à cet autre vaccin criminel: «La souche cellulaire foetale est celle d’un individu mâle. La souche cellulaire se présente de telle sorte à paraître très ancienne – ce qui corrobore les données quant à son origine, à savoir aux années 1960. L’ADN foetal humain, contenu dans ce vaccin, constitue l’entièreté d’un génome humain: cela veut dire que l’ADN génomique, de tous les chromosomes d’un individu humain, sont entièrement présents dans ce vaccin. L’ADN foetal humain, contenu dans ce vaccin, est, clairement, et sans nul doute, anormal: il présente énormément de disparités d’avec un génome humain normal, à savoir celui d’un individu sain. 560 gènes, réputés pour être associés avec des formes de cancers, ont été testés et ont tous été l’objet de modifications. Ce sont des métamorphoses dont les conséquences ne sont pas même connues mais qui affectent, néanmoins, des gènes impliqués dans l’induction de cancers». [321]
C’est ce que l’on appelle en Italie le “Vaccinegate” et il semblerait que Stéphane Foucart, le “Décodeur es vaccins”, du journal l’ImMonde, n’ait pas encore osé en parler dans ses articles de propagande pour handicapés mentaux.
En fait, ce sont deux médecins et chercheurs, experts en nano-technologies – Antonietta Gatti et Stefano Montanari – qui ont supervisé l’analyse de 46 vaccins. Les résultats de leur analyses furent publiées en janvier 2017. [802] [803] [804] [807] En février 2018, ces deux médecins virent leurs ordinateurs et archives confisqués par un raid de la police financière Italienne. [805] [806] Antonietta Gatti et Stefano Montanari sont réputés pour avoir étudié, durant de nombreuses années, les impacts, dans le corps humain, des micro et des nano-particules contenues par les vaccins, divers et avariés, de la Mafia Pharmacratique.
A noter que, lors de cette étude, Antonietta Gatti et Stefano Montanari évoquèrent la formation d’une “couronne de protéine”: «dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une interaction nano-bio se manifeste et une “couronne de protéine” se forme… L’interaction nano-bio induit la formation d’un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et qui peut engendrer des effets délétères – puisqu’il n’est pas reconnu par le corps comme lui appartenant en propre». [807]
Pour en revenir à l’utilisation potentielle du graphène, sous tous aspects, pour lutter contre le prétendu coronavirus SARS-CoV-2, il ne s’agit pas d’une imagination débridée de la part des chercheurs de la Quinta Columna. Par exemple, des chercheurs du CNRS, et de l’Université de Strasbourg, ont réalisé une analyse critique des stratégies les plus prometteuses, fondées sur l’utilisation de matériaux apparentés au graphène, qui ont été rapportées dans la littérature pour lutter contre les pandémies virales comme le CoqueVide/19, selon un article intitulé “Combattre la Covid-19 et les futures pandémies avec le graphène” [970]. Cette perspective a été publiée dans la revue Advanced Materials sous le titre “Graphene: A Disruptive Opportunity for COVID-19 and Future Pandemics?”. [969]
En fait, il existe un certain nombre d’études récentes qui l’envisagent et qui ont été publiées en 2020 et 2021:
- “Could graphene be an effective antiviral platform against SARS-CoV-2?” [759].
- “SARS-CoV-2 RapidPlex: A Graphene-Based Multiplexed Telemedicine Platform for Rapid and Low-Cost COVID-19 Diagnosis and Monitoring”. [760]
- “Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS-CoV-2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity”. [761]
- “New Graphene Chemeo-Phononic Test for SARS-CoV-2 May Challenge PCR Assays”. [762]
- “Could graphene oxide nanosheets be an effective SARS-CoV-2 antiviral in PPE?” [763].
- “Rapid Detection of COVID-19 Causative Virus (SARS-CoV-2) in Human Nasopharyngeal Swab Specimens Using Field-Effect Transistor-Based Biosensor”. [764]
- “Human virus detection with graphene-based materials”. [765]
- “MXene-Graphene Field-Effect Transistor Sensing of Influenza Virus and SARS-CoV-2”. [766]
- “Graphene Sensor for Rapid COVID-19 Detection”. [767]
- “Une encre efficace à 99 % contre la COVID-19 développée en Ontario”. [860]
- “Detection of SARS-CoV-2 Using Antibody–Antigen Interactions with Graphene-Based Nanomechanical Resonator Sensors”. [768]
En octobre 2020, par exemple, la clinique mutualiste d’Ambérieu a publié un article sur les capacités de l’oxyde de graphène de détruire le CoqueVide/19 et sur la fonctionnalisation du graphène sur des matériaux en coton et en polyuréthane. [899] Selon cet article, qui fait référence à une étude Italienne, l’oxyde de graphène ne représente aucun danger dans le corps humain… malgré que des dizaines d’études, depuis une quinzaine d’années, prouvent exactement le contraire. [898]
En juin 2020, un article a été publié, en Italie, qui fait le point sur les nano-particules anti-virales à base d’oxyde de graphène, de points quantiques au carbone et de fullerènes. [944] N’est-il pas fascinant que ces chercheurs promeuvent l’oxyde de graphène, ou autres modes de graphène, afin de lutter, prétendument, contre les symptomes mêmes de l’empoisonnement au graphène? Tout va bien?
Enfin, pour tous ceux qui douteraient de la présence universelle de l’oxyde de graphène, dans de nombreux vecteurs prétendument thérapeutiques, les chercheurs de la Quinta Columna viennent de communiquer sur les découvertes du canal Info Vacunas quant à l’existence de solutions aqueuses, à base d’oxyde de graphène, qui sont commercialisées par Ali Baba sur Aliexpress – afin de servir de base liquide dans la confection de produits médicaux. [779] Info Vacunas a également, découvert de nombreux autres produits à base de poudre d’oxyde de graphène magnétique, de nano-tubes de carbone, de poudre de graphène, etc, qui sont commercialisés par Ali Baba, par Jiangsu XFNANO Materials Tech (XFNANO), par Graphene Box… en provenance directe de Chine – pour une utilisation biologique ou médicale déclarée.
Cela signifie que ces solutions aqueuses, à base de graphène, peuvent être incorporées dans des solutions salines – tels que les sérums physiologiques. Il semblerait, ainsi, que l’offensive génocidaire, à base d’oxyde de graphène, soit, déjà, bien initiée en ce qui concerne le secteur médical.
Il existe, même, une version d’Oxyde de Graphène dénommé “GOY”. Il est ainsi nommé parce que l’Oxyde de Graphène est dopé avec du Yitrium. On vit une époque formidable!
En parlant de Goyim, de bétail que l’on vaccine, de grippes porcines, de grippes aviaires et tutti quanti, c’est un réel soulagement d’appréhender, finalement – avec les preuves, d’un puzzle, qui commencent à s’auto-structurer – ce que je pressentais, depuis belle lurette, à savoir la présence de contaminants dans les vaccins destinés aux milliards d’animaux domestiques, de par le monde. La présence (très probable) d’oxyde de graphène, dans les “vaccins” porcins, par exemple, permet de mieux appréhender les circonstances entourant le massacre de centaines de millions de porcs, en Chine, ces dernières années – que j’ai évoqué, à plusieurs reprises, dans mes essais.
En parlant de Peuples – et de la Biosphère – en voie de Graphénisation. Aujourd’hui on retrouve le graphène dans: les injections, les sérums, les masques faciaux, les tests PCR, les vaccins nasaux, les bio-senseurs, les aliments, les vecteurs de médication, les médications, les cosmétiques, les amalgames dentaires [956] [957], l’épuration des eaux, les fertilisants agricoles, les biocides agricoles, les vêtements pour se prémunir des piqûres de moustiques [971], etc, etc… sans, même, évoquer une multitude d’applications dans l’industrie – et surtout dans l’industrie électronique. Dans les cosmétiques, signalons la présence d’oxyde de graphène dans les teintures pour cheveux – qui sont très proches du cerveau. [1110]
Selon Ricardo Delgado de la Quinta Columna, il existe des centaines de vidéos prouvant la présence de l’oxyde de graphène dans du tabac, dans les cigarettes électroniques, dans du cacao, dans de la camomille, dans des viandes, dans des céréales, dans du thé, dans du lait sans lactose, dans des infusions, etc. Voir le blog Bistrobarblog pour des vidéos. [1218]
Sur le plan agricole, il existe, déjà, depuis quelques années, un bon nombre de brevets, et d’études, portant sur l’insertion d’oxyde de graphène dans les fertilisants et dans les biocides. [922] [923] [926] [927] [928] [929] Ainsi, au printemps 2018, l’Université d’Adélaïde, en Australie, a fait la une du secteur de la Fertilisation Industrielle en annonçant l’efficacité de fertilisants industriels “eco-friendly”, respectueux de l’environnement, parce qu’ils sont vectorisés par de l’oxyde de graphène. [934] [935]
Une étude fut publiée, en 2014, intitulée “Slow-release fertilizer encapsulated by graphene oxide films” [936] ainsi qu’une autre étude, en 2017, intitulée “Cogranulation of Low Rates of Graphene and Graphene Oxide with Macronutrient Fertilizers Remarkably Improves Their Physical Properties” [937] Ainsi que je l’ai évoqué dans une autre section de ce dossier, l’oxyde de graphène est parfois fonctionnalisé avec du chitosan. Il existe, ainsi, une étude, de juin 2019, intitulée “Chitosan and Graphene Oxide Nanocomposites as Coatings for Controlled-Release Fertilizer”. [938] Toutes ces études portent sur des fertilisants encapsulés dans de l’oxyde de graphène – pour une meilleure dissémination et vectorisation.
Il existe, même, un brevet, de 2020, qui est intitulé “Application of graphene aqueous dispersion in farmland water retention, fertilizer retention and bacteriostasis”. Il s’agit, donc, d’une dissémination d’une dispersion aqueuse de graphène dans des rétentions d’eau agricole, dans des cuves de fertilisants… sous un prétexte bactériostatique. [1112]
Une étude, publiée en 2015, a mis en exergue que les nano-tubes de carbone, et autres dérivés de l’oxyde de graphène, génèrent un profond impact sur toutes les communautés bactériennes dans le sol. [1161]
Une étude, publiée en 2020, a mis en exergue que l’oxyde de graphène perturbe, totalement, les communautés bactériennes endophytiques dans le système racinaire du riz. [1017] Une étude, publiée en 2011, a prouvé que l’oxyde de graphène diminue, de manière conséquente, la croissance et l’amplitude de bio-masse de jeunes plants de tomates, d’épinards, de choux et de laitues. [1248]
Sur le plan de la surveillance agricole – et je vais y revenir, abondamment, dans la seconde partie de ce dossier… en particulier à propos de spores chimériques disséminés dans toute la chaine alimentaire – il existe un brevet, dont l’application a été réalisée en 2017 et qui a été publiée en 2019, s’intitulant “Agricultural packaging film containing graphene”. Son N° est le KR20190070071A. [946] L’objectif de cette invention est d’incorporer de l’oxyde de graphène dans les emballages alimentaires afin, prétendument, de ralentir le vieillissement de leur contenu. A signaler, également, que les photographies d’oxyde de graphène, présentées dans une étude corrélée à ce brevet, sont strictement comparables aux photographies mises en exergue par le Professeur Pablo Campra Madrid. [947]
De plus, dès 2010, il existe des études portant sur l’inclusion d’oxyde de graphène dans les emballages alimentaires afin, prétendument, de lutter contre les bactéries pathogènes – telle qu’Escherichia coli. [948] En juin 2021, une étude fut publiée sur un composé, dans les emballages alimentaires, constitué d’oxyde de graphène et de gélatine de poisson. [949] Ce n’est pas une nouveauté car, dès 2013, des études étaient publiées sur des revêtements constitués d’oxyde de graphène et de dopamine polymérisée à base de moule. [950] [951] En fait, il existe une pléthore d’études portant sur la fabrication d’emballages alimentaires avec de l’oxyde de graphène. [953]
De plus, encore, il existe, depuis quelques années, des recherches portant sur l’inclusion de graphène dans les aliments – qui permettrait de les suivre, à la trace, du champ, ou de l’unité de processing, jusqu’aux intestins qui les métabolisent – et potentiellement jusqu’à la station d’épuration ou la fosse septique. Il s’agit d’une mousse de graphène – produite par laser à partir de flocons d’oxyde de graphène – qui peut véhiculer une charge électrique dans des aliments riches en carbone (tels que le pain, les pommes de terre, les noix de coco, etc). Selon les chercheurs, ce processus permettrait d’insérer des implants de graphène, dans les aliments, pouvant être utilisés comme super-condensateurs, comme bio-senseurs ou comme antennes RFID. [1126] [1127] C’est avec cette même mousse de graphène, produite par laser, que l’Université Ben-Gurion, en Israël, a développé des filtres, prétendument, anti-CoqueVide/19. [1128]
Nous sommes, ainsi, confrontés à un nouveau mode de contamination toxique de par les capacités transdermiques de l’oxyde de graphène fonctionnalisé, ou non, avec du chitosan. Il existe, aujourd’hui, plus d’une centaine d’études, sur la Toile, portant sur les capacités transdermiques de l’oxyde de graphène. [952]
Selon certains témoignages qui commencent à émerger, on retrouve, également, de l’oxyde de graphène dans les eaux de ville, au robinet. On ne peut pas, décemment, en accuser les membranes, au graphène, de filtration de l’eau… car le premier contrat commercial vient, juste, d’être signé au Royaume-Uni par G2O Water Technologie, en début août 2021. [913] Par contre, on peut rappeler qu’il existe un brevet, plus avant explicité, portant sur l’inclusion de graphène dans des solutions salines. [747] Il y est mentionné: « une eau de boisson contenant une poudre de graphène dispersée dans le corps humain pour prévenir la maladie» et, au paragraphe 13, il y est mentionné: «une eau de boisson contenant une poudre de graphène dispersée dans les poumons avec un instrument de haute-pression.» Des eaux de boisson au graphène? Que vont dire les Décodeurs de l’ImMonde?
D’ailleurs, en avril 2020, le site phys.org a publié un article intitulé “Physicists produce stable water-based graphene dispersions” [933]. Cet article relate que des chercheurs Suédois, de l’Université d’Umea, ont posé une demande de brevet afin de protéger leur technique consistant à réaliser une dispersion stable d’oxyde de graphène dans l’eau. Ces chercheurs, en effet, ont découvert que des dispersions stables dans l’eau peuvent être préparées en ajoutant de l’oxyde de graphène à des carbones hydrophobes – et que cette stabilité peut perdurer pendant des jours. Dans l’eau de boisson, de même? Ces carbones peuvent être des carbones activés, du graphène ou du graphène activé. Ces chercheurs ont, également, développé une autre technique de dispersion en lui ajoutant des nano-tubes de carbone… et c’est une dispersion graphénisée qui s’avère, de surcroît, bien adaptée à la préparation d’électrodes de super-condensateurs. Doit-on en conclure qu’une eau de boisson graphénisée – à l’oxyde de carbone et aux nano-tubes de carbone – pourrait devenir super-condensatrice?
On retrouve, même, l’oxyde de graphène dans des pansements “connectés” tels qu’ils sont fabriqués par Grapheal à Grenoble – une entreprise graphénisante qui propose, également, un test salivaire CoqueVide/19 “numérique”. Grapheal s’annonce comme “concepteur et fabricant de bio-capteurs numériques embarqués pour le diagnostic médical de terrain et le suivi des patients à distance”. [902] [903] Le pansement connecté est, ainsi, présenté: « Ce pansement intelligent et connecté à base de graphène est extrêmement flexible et s’adapte facilement à toutes les parties du corps. Ses minuscules composants électroniques sans fil dotés d’électrodes très légères et hautement flexibles, transmettent les données vers une application mobile. Grâce à un logiciel de télé-médecine et aux technologies médicales présentes dans le cloud, l’hôpital reçoit les informations qui peuvent ainsi être contrôlées et évaluées par un spécialiste». [904]
Une étude, publiée en juillet 2021, propose même un aérogel composé d’oxyde de graphène et de polyéthylène glycol renforcé avec de l’extrait de pépins de raisin (pour ses proanthocyanidines) afin de soigner des blessures. [1069]
Question: Quid de la graphénisation de la Biosphère? … sans même évoquer l’omniprésence, future, de toutes les formes de graphène dans l’industrie électronique. Quid du recyclage de l’oxyde de graphène présent dans les emballages alimentaires? Quid du recyclage de l’oxyde de graphène présent dans les 52,5 millions d’injections, aux USA, non réclamées par leurs très méfiants destinataires? Quid de la vitesse de dégradation, dans les sols, de l’oxyde de graphène présent dans les fertilisants de synthèse et autres biocides agricoles? Si l’oxyde de graphène se dégrade, dans la Biosphère, aussi lentement que dans le corps humain, il s’agit alors d’une nouvelle contamination considérable de tous les biotopes.
Exposés de Ricardo Delgado
Voici quelques passages traduits, par moi-même, d’un interview de Ricardo Delgado, de la Quinta Columna, le 17 juillet 2021, par le Professeur Chossudovsky du Site Canadien “Global Research”. [721]
Je dois avouer que cela me fait extrêmement plaisir de voir, finalement, le Professeur Chossudovsky – sur son site en Anglais et sur son site miroir, en Français, Mondialisation.ca – et son équipe, sortir de ses réserves et prendre conscience que la pandémie Covidienne constitue une gigantesque arnaque. En effet, je fis de mon mieux pour les alerter, et les réveiller, quant à cette situation, dès le mois de mars 2020…
J’en profite pour préciser que Mondialisation.ca présente d’excellents articles sur la pandémie inexistante (du Professeur Chossudovsky, du Dr. Pascal Sacré, des Drs Delépine, de Peter Koenig, de Jean-Yves Jézéquel, etc). Il présente, également, malheureusement, trop d’articles sur la Protéine Spike… mais, progressivement, il va devenir de plus en plus clair que si le Coronavirus Sars-Cov-2 n’existe pas… c’est parce que la Protéine Spike n’existe pas – en premier lieu.
Il n’est pas cohérent, de la part de certains lanceurs d’alertes ou investigateurs de continuer à jongler avec d’une part, la Protéine Spike, et d’autre part, l’Oxyde de Graphène. C’est ce que j’ai exprimé, il y a quelques jours, auprès de Stew Peters aux USA – l’animateur du show du même nom – un “Patriote Chrétien” très percutant qui a compris beaucoup de choses – à part le fait essentiel que ses croyances constituent le cadeau empoisonné de ceux-là même qu’ils dénoncent.
La menace fantomatique de la “lance” de la Protéine Spike inexistante occulte la capacité d’oxyder – et d’occire – et la menace authentique de la “Marque” qui caractérisent l’Oxyde de Graphène.
«En partant des preuves de l’existence de phénomènes de magnétisation, qui se manifestent chez les personnes injectées, nous avons commencé à éprouver des suspicions et à soulever des hypothèses quant à la nature des nano-matériaux injectés pouvant induire un tel magnétisme capable de transformer les personnes injectées en super-conducteurs et capable de stocker de l’énergie. C’est alors que nous avons découvert le graphène. Ainsi, lorsque nous avons pu mettre la main sur une fiole de vaccin, nous avons demandé à l’Université d’Almeria, au travers de la médiation du Dr. Pablo Campra Madrid, qui possède un doctorat en chimie, de réaliser une analyse du contenu de la fiole. Une semaine plus tard, l’analyse nous est parvenue dotée de la signature virtuelle prouvant l’accréditation du Dr. Pablo Campra Madrid par cette université. Cette analyse met clairement en exergue la présence d’oxyde de graphène dans l’échantillon au travers d’une analyse par microscopie électronique en transmission (TEM) ainsi que par microscopie optique et par des techniques de spectroscopie.
« Bien sûr, à partir de ce moment, nous avons commencé à étudier la toxicité induite par cet oxyde de graphène dans l’organisme. Nous avons pris conscience que l’oxyde de graphène présente, quasiment, le même tableau clinique que la pathologie Covid19 elle-même. En d’autres mots, l’oxyde de graphène induit de la thrombogénicité; c’est un facteur de coagulation; il provoque une thrombopénie (réduction des plaquettes sanguines); il provoque du stress oxydatif lorsque la toxicité s’accroit. Par conséquent, il déclenche une altération du système immunitaire qui le fait s’effondrer, des tempêtes de cytokines, des inflammations des membranes muqueuses par l’inhalation, la perte du goût et de l’odorat. Il s’agit du tableau classique du Covid19. Il est clair que cette vaccination provoque des thrombus. Il est avéré que ces vaccins induisent des coagulations sanguines et des conditions corrélées aux thromboses telles que: ischémie, accident vasculaire cérébral, paraplégie, paralysie des membres, mort soudaine, péricardite, myocardite, etc. Egalement des avortements. Donc, toute cette symptomatique, à savoir tout ce tableau clinique, est induit par l’oxyde de graphène selon les études réalisées sur sa toxicité et cytotoxicité. Nous avons consulté au moins 90 études portant sur la toxicité du graphène qui le corroborent». Ricardo Delgado. La Quinta Columna.
Dans une section suivante de ce dossier, je passe en revue une partie de ces 90 études afin d’expliciter le très haut niveau de toxicité des diverses formes de graphène afin de bien mettre en exergue que le tableau clinique de l’empoisonnement au graphène est le même que celui attribué au Sars-Cov-02.
Selon certains scientifiques – sans doute corrompus par la mafia du Graphene Flagship Project – l’être humain ne peut être que totalement tolérant au graphène. [1081] Pourquoi donc? Selon ces propagandistes, en vertu des lois de l’évolution aveugle, aléatoire et non-intentionnée, l’être humain aurait développé cette tolérance au graphène de par le fait qu’il consomme de la viande carbonisée, cuisinée au feu, depuis l’Aube des Temps. Lorsque la Réinitialisation Authentique – la Grande Correction – sera venue, les propagandistes de la fake science seront traités comme les serpillères politiques et journalistiques criminelles… à savoir invités à se réformer, pour les cas légers, dans des camps de rééducation au Mutualisme. Quant aux cas lourds, très légers de l’éthique, qu’en reste-t-il, vraiment, à recycler?
Pour résumer: le graphène attaque les systèmes circulatoire, endocrinien, nerveux, urinaire, reproductif, respiratoire. C’est un vecteur de destructions cellulaires et de mutations génétiques. Sur le site du Ministère de la Santé US, PubMed, la requête “graphene toxicity” convie 2949 études – depuis 2004. [958]
Une étude, de 2018, intitulée “Reduced fecundity and cellular changes in Acheta domesticus after multigenerational exposure to graphene oxide nanoparticles in food”, a mis en exergue le fait que des grillons (Acheta domesticus) exposés à de l’oxyde de graphène dans leur nourriture – durant tout leur cycle de vie – subissaient une perte conséquente de leur capacité reproductive et une baisse de leur vitalité cellulaire. Les chercheurs en ont conclu qu’il était fort probable que l’oxyde de graphène puisse induire des problèmes de dégénérescence multi-générationnelle. [1010]
« Quant aux masques à graphène. Question: si des millions de masques ont été retirés parce qu’ils contiennent du graphène dangereux qui provoque cancers et fibrose pulmonaire, comment est-il possible qu’il soit injecté dans les veines – et en très grande quantité, comme il le semble dans le rapport préliminaire sur le contenu de la fiole? Ce que nous avons trouvé dans ce rapport, c’est que le graphène constitue précisément le principal ingrédient du vaccin et non pas seulement un adjuvant dont la quantité serait négligeable. Nous affirmons que tous les éléments qui ont été introduits dans la population afin de, supposément, la protéger de cette pathologie sont, strictement, ces éléments mêmes qui la provoquent. Par l’introduction de ce composé chimique et toxique, l’oxyde de graphène».
Dans la section suivante de ce dossier, j’aborde le scandale des masques faciaux à graphène – à savoir le double scandale des masques faciaux à graphène car la Mascarade des Masques, en soi-même, constitue un crime contre l’Humanité. Il s’agit, même, d’un triple scandale eu égard au viol caractérisé des enfants, âgés de deux ans et plus, que constitue l’obligation de porter des masques délétères, et handicapants à vie, à longueur de journée.
Même en cette époque de fin de civilisation, lorsque, parfois, les moeurs sexuelles impliquent le recours à des instruments et ustensiles permettant, supposément, de briser la barrière orgasmique… le masquage/bandage des enfants, petits et grands, en des époques présumées comme “normales”, serait, sans doute, considéré comme du fétichisme sexuel mais, très surement, comme un abus et un viol avérés.
« Nous considérons que les prétendus séquençage et isolation, d’un nouvel agent biologique appelé SARS-CoV-2, n’ont jamais existé. Ce fut un écran de fumée pour occulter la cause réelle de la mortalité, à savoir l’oxyde de graphène introduit par divers vecteurs. Ces vecteurs sont les masques, les tests PCR et, bien sûr, les vaccins qui sont les plus agressifs. En vérité, il n’existe aucune institution globale qui ait réalisé l’isolation la purification et le séquençage d’un nouvel agent biologique appelé SARS-CoV-2. Il ne s’agit que d’un séquençage virtuel dans un ordinateur à l’aide d’algorithmes à partir de trois échantillons de mucosités alvéolaires émanant de trois patients souffrant de pneumonie dans la cité de Wuhan en Chine. Ils se sont contentés d’assembler ces échantillons et ils ont colmaté toutes les sections manquantes avec un algorithme nommé Muscle. [627] Dans la Nature, le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 ne possède aucune existence».
Aujourd’hui, de par le monde, ce sont 90 institutions (Universités, Instituts de recherche, Ministères de la Santé, Centres Nationaux de Contrôle des Maladies…) qui ont été, strictement, incapables de fournir la moindre preuve de l’existence du coronavirus “SARS-COV-2”. [856] [857] [858] C’est ce vide médical et scientifique qui constitue le fondement physique de la “Science” de Tony Fauci le Gris.
Le 17 juin 2021, le CDC (Centers for Disease Control), aux USA, a déclaré que cet organisme gouvernemental, à la botte de Fauci, ne possède aucune documentation prouvant que le “SARS-COV-2” ait été isolé. Le CDC a, également, affirmé ne posséder aucune documentation prouvant l’isolation – donc l’existence – des virus de la polio, du VIH, du MERS, du papillomavirus humain, de la rougeole, etc, etc. On vit une époque formidable! [866] [877]
Il en est de même, par exemple, du ministère de la santé du Canada, qui affirme, lors d’une réponse à une requête d’accès à l’information, ne pas être en possession d’un quelconque document prouvant que le “SARS-COV-2” ait été isolé – à savoir, purifié, caractérisé, photographié, etc. [915]
En Allemagne, Samuel Eckert a offert 230 000 euros à Christian Drosten s’il pouvait, authentiquement, prouver l’existence “SARS-COV-2” [1164] et le journaliste Hans Tolzin a offert 100 000 euros à toute publication scientifique prouvant la contamination de sujets, avec pathologie respiratoire, à partir d’une souche de “SARS-COV-2” [1163]. Au 31 décembre 2020, et à ce jour, ni l’un ni l’autre n’ont obtenu la moindre réponse positive.
« A partir de là, nous avons découvert que la cause réelle est précisément le composé chimique toxique dénommé oxyde de graphène. Quant à l’instrument de diagnostic appelé test PCR, il ne peut pas être utilisé pour la même raison. Il ne peut pas établir un diagnostic ou détecter des prétendues séquences virales de quelque chose qui n’existe pas dans la Nature.
L’oxyde de graphène est présent dans les cotons des tests PCR. Aujourd’hui, Nanografi une société Turque qui développe des vaccins aérosols intranasaux avec des nano-particules d’oxyde de graphène, développe, également, des test PCR avec une nanotechnologie à base de graphène [1074]». Ricardo Delgado. La Quinta Columna.
Nanografi n’est pas le seul laboratoire à développer des processus au graphène… à visée prétendument thérapeutique [687]. AstraZeneca est, également, en train de mettre au point une version en spray intra-nasal de son injection génocidaire à l’encontre du CoqueVide/19. [688] Il n’est point à douter que ce spray nasal sera tout autant gavé d’oxyde de graphène que sa version injectable. Aux USA, le Laboratoire Altimmune est, aussi, dans la course aux “vaccins” intra-nasaux anti-CoqueVide/19. [689]
Se rappelle-t-on que, en juin 2016, Reuters annonçait que les Autorités de la Santé US déconseillaient aux médecins de prescrire le “vaccin” nasal anti-grippe d’AstraZeneca, le FluMist, car elles avaient pu évaluer, durant trois années d’expérimentation, sa stricte inefficacité. [690] Le FluMist est, bien entendu, toujours commercialisé, à grande échelle, et il y a fort à parier que ce “vaccin” nasal anti-grippe soit gavé d’oxyde de graphène – à l’image de celui de son concurrent Sanofi-Pasteur, le “VaxigripTetra”. [634] [635]
En mai 2021, les chercheurs de deux universités en Georgie, aux USA, ont présenté un nouveau vaccin nasal grippal à l’oxyde de graphène. Selon ces chercheurs: «Dans notre étude, nous avons rapporté, pour la première fois, que les nano-matériaux à base d’oxyde de graphène possèdent un fort effet adjuvant en accroissant les réponses immunitaires suite à l’injection de vaccins intra-nasaux à l’hémagglutinine». [642]
En mai 2021, une étude a été publiée intitulée “Intranasal vaccination with influenza HA/GO-PEI nanoparticles provides immune protection against homo- and heterologous strains. Il s’agit de l’invention d’un vaccin nasal, à l’encontre de la grippe, intégrant des flocons d’oxyde de graphène fonctionnalisés avec du polyéthylène glycol. [1009] Les auteurs en concluent que «avec versatilité et flexibilité, la nano-plate-forme d’oxyde de graphène peut être adaptée, aisément, afin d’élaborer des vaccins mucosaux à l’encontre de divers pathogènes respiratoires».
« Lorsqu’il entre en contact avec une cellule vivante – spécifiquement avec l’hydrogène – l’oxyde de graphène possède la caractéristique d’acquérir des propriétés magnétiques. C’est ce que l’on observe, aujourd’hui, avec des millions de vidéos, non seulement des mesures de par l’adhésion d’objets métalliques ou magnétiques (tel que le néodyme ou des aimants de ferrite) mais, également, avec des instruments tels que des teslamètres, des magnétomètres, des multimètres, etc. Le phénomène de magnétisation des personnes injectées est réel, non seulement chez les personnes inoculées, vaccinées ou graphénisées, comme nous commençons à les qualifier, mais également par le biais d’autres voies d’administration. Il existe des gens non vaccinés et qui manifestent une magnétisation car ils ont utilisé les masques depuis très longtemps». Ricardo Delgado. La Quinta Columna.
C’est ce que l’on appelle la magnétofection et nous allons l’aborder dans les prochaines sections.
« Ce qui est important avec l’oxyde de graphène, c’est que comme tous les matériaux – et c’est alors que le magnétisme se manifeste – il possède ce que l’on appelle un spectre d’absorption, un spectre de résonance magnétique, au-delà de laquelle il est rapidement excité et va accroître son niveau de toxicité en raison de l’oxydation rapide de ce matériau. Au moment où cette excitation dépasse certains biomarqueurs du corps, eu égard à notre taux de l’anti-oxydant glutathion, il va induire un effondrement du système immunitaire et des tempêtes de cytokines». Ricardo Delgado. La Quinta Columna.
Pour information: Liliane Held-Khawam a publié, sur son blog, un article très instructif, sur le graphène, intitulé “Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences sur la santé humaine potentiellement désastreuses”. [885]
Voici quelques passages essentiels, traduits par Apolline de Bistrobarblog [862], extraits d’une vidéo de la Quinta Columna du 5 juillet 2021:
«Nous savons que, naturellement, l’oxyde de graphène est éliminé par les taux de glutathion du corps et c’est pourquoi nous soupçonnons qu’il faille une deuxième, une troisième et même une quatrième dose aussi souvent : afin d’avoir votre dose considérable d’oxyde de graphène. En bref, nous parlons d’un empoisonnement massif simultané et graduel de la population mondiale…
Quand nous avons étudié le glutathion, nous avons réalisé que son taux diminue à partir de 30 ans, mais par-dessus tout, il chute considérablement à partir de 65 ans. En fait, le covid-19 pèse lourd sur les gens âgés en terme de mortalité, en dehors de ceux qui ont une faible immunité et d’autres pathologies. Nous réalisons aussi que les enfants ont de fortes réserves de glutathion en raison de leur jeunesse et la maladie covid-19 n’a aucun impact sur les enfants. Le glutathion est particulièrement bas dans la population obèse, l’une des plus affectées par le covid-19. Nous réalisons que le glutathion est en lien avec les taux de vitamine D et les patients malades ont justement de faibles taux de vitamine D. Nous réalisons que les athlètes ont des taux élevés de glutathion endogène, qui est secrété par un exercice intense et les athlètes sont justement à peine affectés par le covid-19. Tout ce que nous avons étudié par la suite ne fait qu’accroître et corroborer l’hypothèse selon laquelle le supposé Sars-Cov2 de la version officielle est précisément de l’oxyde de graphène. Et que tous les éléments de protection ou de supposée protection, qu’on nous a donnés : masques, tests PCR, écouvillons, tests antigéniques et vaccins – faussement dénommés vaccins – sont précisément tous les éléments qui feront que la maladie pourra se développer plus tard». Ricardo Delgado. La Quinta Columna. Traduction d’Apolline. [862]
Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations. Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’Etat assigne toute une population à résidence, en tout début de printemps, avec interdictions de promenades? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D – au fil des semaines croissantes en intensité solaire.
«Pourquoi dis-je ‘plus tard’ ? Quand nous avons étudié le phénomène électromagnétique, nous avons compris que l’oxyde de graphène possède ce qu’on appelle une ‘bande d’absorption électronique’. L’excitation électronique, sa résonance magnétique est précisément dans la troisième bande de fréquence de la technologie 5G, celle qui est présentée en ce moment et qui, souvenez-vous, était avec nous durant la pandémie. Quand tout a vraiment commencé, nous avons eu trois ‘réseaux’ : le premier est celui de l’antenne terrestre 5G qui n’a jamais cessé d’être installée – car seuls les opérateurs d’antenne travaillaient – et qui curieusement ont été installées 8 fois sur 10 près des centres de gériatrie et des maisons de retraite et EHPADs, dans leur proche voisinage, endroits où justement la population est la plus affectée. Un autre ‘réseau’ interne : le graphène, selon le rapport préliminaire sur l’ampoule dans cette université. Et un réseau extérieur, celui utilisé par les satellites pour supposément fournir une couverture 5G.».
En juin 2021, Sebastián Piñera, le président tortionnaire du Chili, a déclaré, lors d’une conférence de présentation de la 5G, dans son pays, que cette technologie allait permettre aux machines d’insérer des pensées et des émotions dans le cerveau humain. [932] Par le biais des antennes d’oxyde de graphène dans le cerveau?
Selon la Quinta Columna, la 5G aurait été créée plus pour dynamiser l’oxyde de graphène dans les injections que pour la téléphonie même. Cela étant dit, plus il y aura de couverture du réseau 5G, plus il y aura de puissants outils virtuels de lobotomisation des foules (et surtout de la jeunesse) qui pourront orchestrer l’accélération exponentielle d’une autre pandémie: une pandémie de réalité virtuelle dévastatrice, pour le cerveau, qui renforce le contrôle des psychismes, déjà, magnétisés à l’oxyde de graphène.
Lorsque l’on étudie les statistiques des décédés Covidiens officiels – tout en sachant que les chiffres sont gonflés, erronés, trafiqués, inventés, etc, etc [973] – afin de visualiser des ratios géographiques, il est effectivement troublant de prendre conscience que la grande majorité des décès prétendument Covidiens, en Afrique, se situe en Afrique du sud qui accueille 55 des 60 antennes 5G qui existent en Afrique – en sus de 21 antennes 5G dans les Iles Canaries. [972] Se référer, également, aux études du Professeur Bartomeu Payeras i Cifre. [979]
«C’est incroyable, nous sommes en train de raconter un film de science-fiction, mais croyez-moi, aujourd’hui la nanoscience, la neuroscience et la biotechnologie ont avancé énormément. Nous n’avons fait qu’une approximation dans le domaine de la science et dans les coulisses de la société civile. Une personne peut-elle être contrôlée ou neuro-contrôlée à distance ? Oui, c’est possible et c’est probablement fait de manière déguisée, ce qui peut expliquer certains comportements anormaux de la population, en particulier ceux qui ont été inoculés ou qui ont reçu des doses d’oxyde de graphène par différentes voies. Comme je l’ai dit, je sais que je décris un film de science-fiction, mais au point où nous en sommes, il peut être difficile de croire vraiment en quelque chose. En ce sens, nous disons que le covid-19 n’est que l’effet collatéral de l’introduction de ce nanocomposé par différents moyens, et nous soupçonnons qu’il a été introduit pendant la campagne anti-grippe de 2019.
Comme je le disais, l’oxyde de graphène possède une bande d’absorption à partir de laquelle il s’oxyde bien plus rapidement quand on appuie sur le petit bouton qui active la couverture de la 5G ou qu’on réalise un test technologique. Pensez-vous que ce soit une coïncidence si Wuhan – où le pangolin et la soupe de chauve-souris sont venus comme des éléments de distraction – soit la première ville au monde avec un essai de technologie 5G fin novembre 2019 et où ont débuté toutes les précédentes vaccinations anti-grippales contenant probablement de l’oxyde de graphène ? Quand il est excité, l’oxyde de graphène multiplie ses fréquences. Avec un signal minimum, il s’oxyde beaucoup plus vite et brise l’équilibre entre les taux de glutathion et la toxicité de l’organisme, générant une pneumonie bilatérale, altérant le comportement du système immunitaire, qui ne peut faire face dès que les neutrophiles [une variété de globules blancs polynucléaires] tentent de le phagocyter comme si c’était un pathogène, comme si c’était le sars-cov2». Ricardo Delgado. La Quinta Columna. Traduction d’Apolline. [862]
Il existe une étude Chinoise, de mai 2018, dont l’intitulé est “Millimeter wave absorbing property of flexible graphene/acrylonitrile-butadiene rubber composite in 5G frequency band”. Cette étude a analysé les capacités d’absorption des ondes millimétriques du graphène dans la bande de fréquence 5G. [883]
Cette étude met en exergue que le composé qu’ils ont analysé – de l’oxyde de graphène réduit avec du butadiène-acrylonitrile ou Perbunan – constitue le matériau idéal car il permet d’absorber la quasi-totalité de la bande de fréquence 5G. De plus, les photographies présentées, dans cette étude, [884] sont strictement identiques à celles présentées par le Docteur Pablo Campra Madrid de l’Université d’Almeria eu égard à la présence d’oxyde de graphène dans l’injection ARNm de Pfizer.
De plus, en début 2020, la découverte d’un nouvel amplificateur à base de graphène fut annoncée qui permettrait de débloquer les fréquences cachées dans le spectre électro-magnétique. Il s’agit des ondes Térahertz dont la fréquence s’étend de 100 GHz à 30 THz (à savoir de 100 à 30 000 milliards d’oscillations par seconde). Ce nouvel amplificateur, connecté à une source d’énergie, est constitué de deux couches de graphène et d’un supraconducteur, à haute température, qui piège leurs électrons, sans masse, entre ces deux couches. [1217]
«Nous avons observé que plus on vaccinait contre la grippe, plus le taux de mortalité du covid-19 était élevé et logiquement nous y avons vu une relation. L’autre relation était les champs électromagnétiques. Ce que nous ne savions pas, c’est qu’il y avait un marquage sur chacun de ces gens pour en faire une population- cible pour une focalisation électromagnétique. Une arme mortelle qui rend maintenant les gens magnétiques et vous comprendrez logiquement que s’ils interagissent avec ces sources de radiations à la fréquence et à la qualité spécifiques, ils déclenchent l’oxydation, brisent l’équilibre d’oxydoréduction des biomarqueurs de l’organisme, et entrainent la maladie covid-19.
Nous le savons de manière on ne peut plus claire et nous avons tous les articles scientifiques qui le prouvent. L’un d’eux est celui-ci (voir photo sur le site Orwell City) :
“Des chercheurs de l’Institut Karolinska, de l’université de Manchester et de l’université de technologie Chalmers ont montré que le système immunitaire de l’homme gère l’oxyde de graphène de manière similaire aux pathogènes, conduisant peut-être à des applications biomédicales plus sûres à l’avenir.” [643]
Ce que vous voyez ici, c’est de l’oxyde de graphène attaqué par des neutrophiles qui sont, disons, des cellules du système immunitaire qui tentent de le phagocyter, de l’engloutir : de le coaguler. C’est pourquoi l’oxyde de graphène génère des caillots et des thromboses.
“L’oxyde de graphène est actuellement étudié pour un usage dans des méthodes de délivrance de divers médicaments et pour d’autres applications médicales et non- médicales. Il est cependant d’une importance cruciale de comprendre comment ces matériaux interagissent avec le corps. L’étude montre que les neutrophiles, le type le plus courant de globules blancs spécialisés dans le combat contre les infections – tout comme un pathogène – libèrent les dénommés pièges neutrophiles extra- cellulaires quand ils rencontrent de l’oxyde de graphène. Ces pièges sont faits d’une “toile d’araignée” d’ADN garnis de protéines qui aident les neutrophiles à détruire les microorganismes tels que les bactéries et les champignons.
Les chercheurs ont découvert que l’oxyde de graphène cause des changements spécifiques dans la composition lipidique de la membrane cellulaire des neutrophiles, amenant la libération des pièges. Ils ont pu montrer aussi qu’un traitement anti-oxydant comme la N-acétylcystéine et le glutathion – ont inversé ce processus.” [643]
C’est pourquoi des traitements au glutathion ont fonctionné et c’est pourquoi des traitements à la N-acétylcystéine, qui est un précurseur du glutathion ont fonctionné aussi. Parce qu’ils fournissent tous deux une armée d’antioxydants pour s’occuper d’une substance toxique, un empoisonnement, introduits dans le corps par différentes voies.
Dans une étude compagne publiée dans Nanoscale, il a été démontré que l’oxyde de graphène est dégradé dans les pièges des neutrophiles, tout à fait comme les bactéries et autres pathogènes. Mises ensemble, ces études montrent que l’oxyde de graphène peut être piégé et dégradé par les neutrophiles tout comme des pathogènes. Je veux vous dire que nous avons publié sur notre site au moins 70 études qui reflètent tout ce que nous disons et présentons ici.
D’un autre côté, on m’a interrogé sur l’efficacité du dioxyde de chlore. Il fonctionne d’une autre façon. Son rôle est d’oxygéner la cellule, il la prépare pour qu’elle ne soit pas facilement détruite par ce toxique. Ce que fait le glutathion, c’est de fournir une armée avec davantage de soldats pour gérer les toxines. Ce que nous avons trouvé, comme je l’ai dit, c’est que la plupart des traitements à la N-acétylcystéine ou au glutathion et même avec d’autres anti-oxydants, comme l’astaxanthine, qui est un puissant anti-oxydant, ont été des traitements très favorables aux patients». Ricardo Delgado. La Quinta Columna. Traduction d’Apolline.
L’oxyde de graphène est, potentiellement, détruit par une enzyme produite par les neutrophiles, la myéloperoxydase – selon les chercheurs du CNRS et du Graphene Flagship Project… qui sont très conscients de sa nocivité. [996]
Quant à l’efficacité du dioxyde de chlore à l’encontre du CoqueVide/19, donc de l’empoisonnement par l’oxyde de graphène, ce n’est sans doute pas une coïncidence si des études mettent en exergue la capacité de l’hypochlorite de sodium de désintégrer l’oxyde de graphène. [1063] [1064] Est-ce pour la même raison que des points quantiques de carbone peuvent être créés en faisant réagir l’oxyde de graphène avec de l’hypochlorite de sodium? [1065]
5. Autres Découvertes des Chercheurs de la Quinta Columna en Espagne
Protocoles d’Anti-Oxydants pour détruire le Graphène
Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle car lorsque le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.
Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été supposément contaminées par le CoqueVide/19. [592] [593] [594] [595] [596] Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis; ou induit par du stress, de l’anxiété et de la dépression provoqués par le virus; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes. [591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement au graphène.
Comme anti-oxydants, et autres substances, permettant de lutter contre la toxicité du graphène, les chercheurs de la Quinta Columna proposent le zinc, le glutathion, la N-acétylcystéine, la mélatonine ainsi que la nicotine.
Une vidéo de Ricardo Delgado, à propos des anti-oxydants permettant de détruire l’oxyde de graphène, est disponible, en traduction Française, chez l’Association Artemisia. [791]
Même si la supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible – car il est détruit, en grande partie, par les sucs digestifs – il reste que l’on trouve cette substance, dans une abondance de plantes alimentaires telles que: asperges, gombos, avocats, épinards, tous types de brassicacées, pastèques, épinards, melons, tomates, piments, carottes, etc. Ainsi que dans une abondance de plantes médicinales: le Chardon Marie, la Nigelle, le Curcuma, la Cannelle, la Cardamome, le Romarin, etc – ainsi que le pycnogénol extrait de l’écorce du Pin maritime. Les algues constituent, également, une source très abondante de glutathion.
Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans son corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement 1 à 1,5% du glutathion corporel total en circulation et, de plus, la cuisson en détruit une bonne partie. Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés: la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés qui en sont les précurseurs.
Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion. Le lait maternel perd 80% de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73% de son glutathion après deux heures de température ambiante.
Il faut, également, préciser que même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins.
Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80%. [490] Par conséquent, si les investigateurs Espagnols ont raison d’affirmer que l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent – telle que Marianne Gazzano, pharmacienne biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris [488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie. [1116]
D’ailleurs, c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. [512]
Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène est d’autant plus intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.
Pour mémoire, voici ce que j’écris, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, “Les Qualités Extrêmement Médicinales et Enthéogéniques des Tabacs”. [590]
Au printemps 2020, des chercheurs Chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux Chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible – à savoir, environ 6%. [659] [660] [661] [662] [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6%) [664] et en France (avec 5%) [665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3% de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [667] – alors que les hôpitaux de New-York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2%. [668]
Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la grippette Covidienne. [669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [713] [714] [715]
En parlant de Tabac, de vaccins, de CoqueVide/19 et de Coviet Suprême… aujourd’hui, GSK propose un nouveau vaccin anti-CoqueVide/19 réalisé en partenariat avec la société nécro-technologique Medicago – qui a lancé la phase 3 de ses essais en mars 2021. [670] Ses techniciens insèrent des séquences génétiques dans des bactéries du sol modifiées génétiquement – à savoir des chimères génétiques de l’espèce Agrobacterium tumefaciens – qui sont inoculées dans les plantes de Nicotiana benthamiana. Voir l’étude, de 2007, intitulée “Replication-independent long-distance trafficking by viral RNAs in Nicotiana benthamiana.”… et tous aux abris! [671]
Au printemps 2020, le directeur de Medicago déclara pouvoir produire, mensuellement, 10 millions de doses vaccinales anti-CoqueVide/19. Medicago se distingue de ses concurrents de par le fait que cette société utilise des plantes de l’espèce de Tabac sauvage, Nicotiana benthamiana, comme bioréacteurs – et non pas des oeufs de poule.
Dans la course au lancement de vaccins anti-CoqueVide/19, Medicago n’est pas le seul partenaire de GSK. En effet, GlaxoSmithKline est, également, en partenariat avec CureVac [672] afin de développer un nouveau vaccin mARN (pouvant gérer de multiples variantes du coronavirus fantôme!!!); en partenariat avec Sanofi [673] afin de développer des vaccins protéiques recombinants, à base de protéines chimérisées; en partenariat avec SK Bioscience [674], et Bill Gates, afin de développer un vaccin protéique recombinant peu onéreux avec nano-particules – le vaccin GBP510 avec l’adjuvant de GSK dénommé AS03, prétendument basé sur le squalène. Quel type de nano-particules? De l’oxyde de graphène? Ou un mélange tel ce polymère, récemment créé, fusionnant du squalène avec du graphène sous forme de nano-tubes de carbone. [675]
Quelles sont les autres substances, et plantes, anti-oxydantes que divers chercheurs, de par le monde, ont validé en tant que thérapeutiques en ce qui concerne le spectre de symptomes induits par le prétendu CoqueVide/19?
Car cela signifie que ce sont des thérapeutiques qui peuvent participer à la détoxication de l’oxyde de graphène – dont le spectre de symptomes induits est, strictement, celui décrit pour la pandémie Covidienne.
Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal – et selon une étude Egyptienne publiée en novembre 2020 – l’hespéridine, un bio-flavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19!! [693] [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la Menthe poivrée.
L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, anti-oxydantes, anti-athérosclérotiques, cardio-protectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, anti-diabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veino-toniques.
La Réglisse serait médicinalement efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes et publiées, en 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée… So Sweet! [695] [696] [697] [698] [699] [701] [702]
Une étude Chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement du prétendu CoqueVide/19 en se faisant passer pour de l’interféron de type 1. [703] So sweet!
La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère médicinalement efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, en 2020, en Chine, et ailleurs. [704] [705] [706] [707]
Le protocole anti-CoqueVide/19 – donc, en vérité, le protocole anti-Graphène – proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend: la curcumine, la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata), une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake, Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les β-glucanes. [707] [708] [709]
En 2020, le gouvernement Chinois a promu six complexes de la Médecine Traditionnelle Chinoise [710] [711] pour lutter contre la Pandémie de Graphène. Le premier complexe est dénommé “Lianhua Qingwen JiaoNang”. En voici la recette car ce complexe médicinal peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou tout problème pulmonaire ou respiratoire. [712]
Le “Lianhua Qingwen JiaoNang” contient: Isatis indigotica, Forsythia suspensa, Lonicera japonica, Rhodiola rosea, Glycyrrhiza glabra, Ephedra sinica, Houttuynia cordata, Dryopteris crassirhizoma, Pogostemon cablin, Rheum officinale, Prunus armeniaca, Mentha haplocalyx et Gypse.
En hommage à la Médecine Traditionnelle Chinoise multi-millénaire, voici le second complexe que le gouvernement Chinois a promu, à l’encontre de la Pandémie de Graphène: il se nomme “Granules de Jinhua Qinggan” et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.
“Jinhua Qinggan” est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée “Maxing Shigan” mentionnée dans le Traité “Shanghan Lun” de Zhang Zhongjing – au 3 ème siècle. “Maxing Shigan” est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca (Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la “Poudre de Yinqiao” mentionnée dans le Traité “Wenbing Tiaobia” de Wu Jutong – en 1798. “Yinqiao” est constitué de Ephedra sinica (Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx, Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).
Il me semble, également, très important de signaler que les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps des animaux ainsi que le sol des jardins et des champs. Les Zéolithes sont, particulièrement, indiquées pour éliminer les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Ces argiles constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres. Il existe plus d’une soixantaine de types de Zéolithes dans la Nature.
Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à leur action thérapeutique: “Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental”. [716]
Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptomes, prétendument Covidiens. Au Mexique, par exemple, le Dr. Pedro Chávez est le président d’une organisation, la Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptomes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore. [686]
En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies – à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
De plus, une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule “Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection” qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95% en 24 heures et de 99% en 72 heures. [1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de carbone dans le corps.
Selon une étude récente, de 2020, intitulée “Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract”, c’est le cas. [1153] L’oxyde nitrique peut participer à la bio-dégradation de l’oxyde de graphène.
On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes – tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa – soient capables de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphéne, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol.
Cf. l’étude, de 2017, intitulée “Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater” portant sur la dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées. [1156]
Le Dossier de la N-Acétylcystéine
En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de compléments alimentaires. [477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine. [478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé, officiellement, [480] la N-Acétylcystéine.
La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique – qui n’existe, donc, pas dans la Nature – de la cystéine. La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux anti-oxydants les plus puissants dans le corps.
Les francophones intéressés par la N-Acétylcystéine peuvent se référer à sa présentation très exhaustive sur le site de Doctonat [489] qui précise la différence d’assimilation entre la supplémentation en N-acétylcystéine et la supplémentation en glutathion: « Il est difficile de faire monter les taux de glutathion dans le corps en simple supplémentation : il est mal absorbé et utilisé lorsqu’il est pris directement. Les données montrent un résultat semblable avec la prise de cystéine… La supplémentation en N-acétylcystéine a montré qu’elle était plus efficace pour produire du glutathion en quantité importante, et surtout utilisable par l’organisme. Elle entraîne la production de cystéine puis de glutathion directement exploitable, y compris par les cellules du cerveau. Une grande disponibilité qui en fait un précurseur de choix pour une activité antioxydante efficace. Pour ne rien gâcher, la NAC est elle-même antioxydante, et propose une belle activité anti-inflammatoire.» (Les mises en gras sont du fait de l’auteur de l’article).
Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US. [479]
Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années – en tant que remède et en tant que complément alimentaire?
Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptomes du dénommé CoqueVide/19 – à la suite de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument “expérimentales”, jusqu’en 2023.
A la mi-aout 2021, les Antilles sont devenues le théâtre d’une immense manipulation médiatique par la PharMacronie. Le larbin de préfet de la Guadeloupe fait dans le catastrophisme alors que selon les pompiers, la situation est complètement normale. La métropole a envoyé du personnel soignant, strictement vacciné, et des avions d’oxygène – alors que les stocks locaux, bons pour cinq années, ont été bloqués par l’ARS. Quant aux stocks d’ivermectine, et d’azithromycine, en Martinique, ils viennent d’être confisqués par la gendarmerie locale, sur ordre de l’Etat, dans toutes les pharmacies de l’ile, et ont été mis sous scellés au CHU de Fort de France – afin que les médecins ne puissent pas prescrire ces remèdes allopathiques qui, rappelons-le, possèdent la capacité de réduire les tempêtes de cytokines provoquées par l’empoisonnement au graphène.
Ce qui se passe dans les Antilles est, très précisément, expliqué par Franck Renda dans une vidéo. [1115] Alors que, normalement, la dengue est active, tous les ans, aux Antilles, de mai à octobre, la PharMacronie a décrété qu’une épidémie exceptionnelle de dengue avait duré 78 semaines, depuis octobre 2019, et qu’elle s’était volatilisée, très exactement, le 21 mai 2021. En conclusion, tous les contaminés aujourd’hui par la dengue, dans les iles, sont considérés comme des cas Covidiens… d’où les mesures dictatoriales de confinement, bla bla bla.
En effet, supposément, il n’existe pas de traitement connu pour les symptomes du CoqueVide/19… alors que les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020.
Fin mai 2021, le Sheba Medical Center, en Israël, a publié une étude (co-signée par 10 scientifiques Israéliens) affirmant que les symptomes du CoqueVide/19 pouvaient être traités avec de l’Ivermectine – pour 1 dollar par jour. [868] [869] Il s’agit, surement, de scientifiques Israéliens complotistes – et, peut-être même, anti-sémites!!!
Au sujet du silence total, par la Meute Médiatique, de l’usage de l’Ivermectine pour annihiler le Variant Delta en Inde. [1079] Ainsi qu’il est mentionné dans certains de mes essais, la première vague de CoqueVide/19, en Inde, n’a jamais existé – pas plus qu’ailleurs. Quant à la dernière vague dénommée Delta, la première question est de savoir si elle correspond à des faits réels car il n’est pas pertinent de brandir des chiffres tels que 4000 décès respiratoires Covidiens, en Inde, par jour, lorsque, quotidiennement, ce sont, déjà, 2700 personnes qui y décèdent de maladies pulmonaires obstructives chroniques. En fait, en Chine, il décède 4250 personnes, quotidiennement, de maladies pulmonaires obstructives chroniques ou de cancers des poumons. Ainsi, à population égale – et à pollution atmosphérique égale – c’est le même nombre de décès quotidiens en Inde. En date d’août 2021, ce sont environ 30% de la population qui sont injectés – avec 9%, environ, de double injections. Cela étant dit, si la vague dénommée Delta possède une quelconque substance, il s’agit, alors, des symptomes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène généré par les injections anti-CoqueVide/19. Ainsi, si l’Ivermectine est efficace à l’encontre de ces symptômes dits Delta, c’est que c’est, également, un anti-inflammatoire et qu’elle supprime les cascades de cytokines induites par l’oxyde de graphène.
Un article récent, de fin août 2021, confirme le fait que la “Vague Delta” est, en grande partie, une vague d’empoisonnement à l’oxyde de graphène… que l’Ivermectine soulage. L’Etat d’Uttar Pradesh a libéralisé l’usage de l’Ivermectine et sa vague Delta n’a été que passagère. L’Etat du Kerala a interdit l’Ivermectine et sa vague Delta perdure à ce jour… avec beaucoup plus de décès. Il faut, également, préciser que l’Etat d’Uttar Pradesh n’est injecté anti-CoqueVide/19 qu’à 4,5% tandis que l’Etat du Kerala l’est à 37%. [1134] [1392]
Rappelons que, le 25 mai 2021, l’Indian Bar Association a porté plainte à l’encontre du Dr. Soumya Swaminathan – la responsable de l’OMS en Inde – qui a tout fait pour faire interdire l’Ivermectine, en Inde, afin que la Mafia Pharmacratique puisse s’enrichir avec ses injections mortifères. [1139] [1148] Dr. Soumya Swaminathan – qui est la fille de l’archi-criminel, Mankombu Sambasivan Swaminathan, l’initiateur de la pseudo Révolution Verte en Asie – risque la peine de mort. A quand des procès identiques pour tous les psychopathes eugénistes qui orchestrent, présentement, le plus grand crime jamais intentionné à l’encontre de l’Humanité entière?
Une première étude a été publiée, en avril 2020, dont l’intitulé est: “N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19”. [484]
Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020: “Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease” [476]; “Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of COVID-19” [485]; “N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019”. [487]
Une autre étude, intitulée “N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review”, fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes: elle est antivirale (pour ceux qui croient aux virus pathogènes); elle est immuno-modulatrice; elle réduit l’émergence des pneumonies; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons. [482]
Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée “The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial”. [483]
Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée “A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome”. [486]
Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques – préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 – afin de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.
« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie bronchopulmonaire aigüe (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons disulphure entre les macromolécules – ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.
Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une activité anti-oxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires, telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel anti-oxydant qui a suscité de l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés». Traduction de Xochi. [484]
Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage “Herbal Antivirals”, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines TNF-α sont les suivantes: Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia), la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum). Sont, également, très bénéfiques les champignons Cordyceps.
Quelle Emergence de Tsunamis Cérébraux… accompagnant la Quatrième Vague?
Lorsqu’un autre petit dictateur en herbe, Gabriel Attal, déclara, le 17 juillet, «Dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral, il n’y a pas d’alternative», [630] je fus fort étonné d’entendre cette expression “tsunami viral”. Ce n’est que le lendemain, en écoutant les chercheurs de la Quinta Columna, que je compris que les donneurs ordres avaient, vraisemblablement, demandé à la Meute Médiatique d’introduire, progressivement, ce mème de “tsunami” dans le discours public – à savoir dans tous les organes de lobotomisation qui tentent, éperdument, de supprimer tout discours public. Pourquoi? Afin de préparer la population à la prochaine vague qui sera un “tsunami cérébral” – à savoir un tsunami de pathologies cérébrales… qui sont déjà actives.
Gabriel Attal a osé affirmer que «c’est le virus qui est liberticide»… en sous-entendant que son maître Macron, grand promoteur des libertés publiques et individuelles, devrait être canonisé. Est-ce de peur que son maître soit carbonisé par les foules en Rage? Attal cherche, manifestement, une promotion rapide dans le gang des psychopathes au service des Xenosh – ou, du moins, au service de leur Crépuscule. En fait, Gabriel Attal a extrêmement raison: c’est le Virus qui est Liberticide, qui est Suprémaciste, qui hait la Vie, qui a horreur du Mutualisme, qui ne rend pas Hommage à la Beauté de la Terre Mère… car il s’agit d’une abomination extra-terrestre. C’est le Virus du syndrome de la couronne, de la suprématie raciale. Ce Virus, par qui est-il, donc, propagé? Par QUI?
C’est le 5 aout qu’Olivier Variant, le ministre en charge de la graphénisation du Peuple, a commencé à surfer sur le mème du “tsunami” covidien. [962]
Ces pathologies – sur mode “tsunami cérébral” – seront imputées à un syndrome/vestige du CoqueVide/19, pour les anciens prétendument contaminés, ou à des Variants du Quantum/19 – résistants aux “vaccins” – pour les nouveaux prétendument contaminés… alors que ces pathologies cérébrales sont, en fait, induites par le graphène dans les masques, les tests PCR, les solutions salines et, surtout, dans les injections.
Nous sommes confrontés, également, à la présence potentielle d’oxyde de graphène, dans les eaux de pluie, en raison de technologie d’épandages aériens – dénommées chemtrails – existant depuis une trentaine d’années. Pour mémoire, le premier brevet sur la “géo-ingénierie” – à savoir la modification atmosphérique, date de 1966 aux USA. [891] Aujourd’hui, l’oxyde de graphène est-il répandu, intentionnellement, dans l’atmosphère – par le biais d’avions spécialisés – dans un but totalement néfaste et génocidaire? Ou bien s’agit-il, déjà, d’une contamination environnementale de par la présence d’oxyde de graphène dans le combustible des avions – afin d’en améliorer la combustion? [924] [925] [954] Ou bien s’agit-il d’épandages aériens d’oxyde de graphène afin de lutter, prétendument, contre le “changement climatique”? [955]
Depuis le début juin, un certain nombre de publications, en langue Espagnole, en Amérique Latine, ont déjà commencé à alerter quant à ce “tsunami cérébral”. Il s’agit d’un tsunami de pathologies d’ordre psychiatrique (psychose, schizophrénie, paranoïa, délires, bipolarité, etc) chez tous ceux qui survivent du coronavirus invisible – à savoir 99,85% de tous les Covidés. [631] [632]
Les chercheurs d’Amérique Latine parlent, en effet, d’une “pandémie neurologique et psychiatrique”. Le Professeur Roberto Amon, de la Universidad de los Andes, au Chili, a récemment évoqué “un tsunami synaptique pour le cerveau et le mental” – en se référant au CoqueVide/19, lors d’une rencontre sud-Américaine… sous l’égide de la division UpJohn de la société Pfizer. Vous avez dit bizarre?
Ces publications se réfèrent, également, à une étude publiée dans le Lancet qui s’intitule “6-month consequences of COVID-19 in patients discharged from hospital: a cohort study” et qui précise qu’un tiers des patients prétendument contaminés par le CoqueVide/19 souffrent de problèmes psychiques – à savoir surtout de l’anxiété mais, aussi, psychose, démence, infarctus cérébral, maladie de Parkinson, etc. [633]
Ce n’est sûrement pas une coïncidence si Agnès Buzyn, aux accointances trop voyantes eu égard, entre autres, à la problématique/non-problématique du laboratoire P4 de Wuhan – ait laissé sa place à un autre mafieux menteur, Olivier Variant, sous guise de neurologue, qui fait office d’entremetteur, de maqueron, pour les milliardaires des sociétés pharmaceutiques.
D’ailleurs, si la fonction essentielle de l’oxyde de graphène est d’attaquer, ou de contrôler le cerveau, on comprend mieux le choix d’un neurologue comme tortionnaire en chef de la dictature sanitaire de la PharMacronie.
Le biologiste Dr. José Luis Sevillano, de la Quinta Columna, a insisté pour mettre en exergue que dans le cas du tsunami synaptique qu’ils annoncent, il ne s’agit pas de pathologies de dégénérescence neuronale mais bien plutôt de perturbations neuronales, de dysfonctionnement neuronal… qui peuvent se terminer par la folie. Selon lui, le dysfonctionnement neuronal est beaucoup plus dangereux que la dégénérescence neuronale car il induit des troubles d’ordre psychiatrique – et donc un impact sur la vie sociale et communautaire.
Il existe un certain nombre d’études, depuis l’été 2020, portant sur les délirium et autres troubles psychiatriques prétendûment corrélés au CoqueVide/19. D’aucuns évoquent, même, un “Neuro-Covid”. [1504] [1505] [1506] [1507]
Pour plus d’information sur ce Tsunami cérébral en Amérique Latine, voir l’article sur Bistrobarblog. Selon Ricardo Delgado: «Nous avons fait aujourd’hui une autre découverte. Au moment précis où se produira le ‘tsunami cérébral’, ces gens auront l’excuse parfaite pour le justifier. Et tsunami cérébral signifie qu’en mettant cette technologie en service, le graphène logé directement dans la tête provoquera ce fameux tsunami qu’ils vont annoncer comme les symptômes d’un nouveau coronavirus, mais qui correspond bien évidemment à la dégénérescence neurologique qu’entraine l’oxyde de graphène dans le corps une fois qu’il est excité et oxydé électroniquement, de manière bien plus rapide grâce à une focalisation électromagnétique perturbatrice. Cette situation est chaotique. Ces gens ont l’intention de créer le chaos. Quand ils appuieront sur le bouton de la 5G, nous aurons le variant Delta ici en Espagne, ou le Delta Plus, qui se réfère aussi aux ondes cérébrales et ils auront l’excuse parfaite pour dire qu’ils peuvent contrôler mentalement la population, parce que ces gens deviendront agressifs ou pratiquement fous, d’accord ? Ce fut l’ ultime conclusion tirée de notre recherche. Ils vont probablement utiliser ce contrôle d’IA avec ces personnes, se servir du réseau satellite de la technologie 5G et du graphène que beaucoup de gens ont maintenant dans leur crâne, pour nous démontrer que le virus est très dangereux et que le seul moyen de le contrôler passe par les vaccins.
C’est pourquoi Sebastian Pinera a signé la loi neuro-droits avec la complicité d’un scientifique espagnol nommé Rafael Yuste, qui a travaillé dans le domaine du neurocontrôle, de la modulation par l’oxyde de graphène à l’aide de la nanoscience, qui est son champ d’expérience. Le premier ministre du Royaume-Uni, Boris Johnson, a aussi parlé de contrôle et d’une interface cerveau-machine en lien avec l’IA. Même notre président Sanchez, en réponse ironique à un groupe parlementaire, a fait référence au fait qu’ils allaient nous injecter un virus chinois et qu’avec la 5G ils allaient tous nous contrôler. Nous comprenons maintenant pourquoi il a parlé, même ironiquement, en ces termes.» Traduction et Soulignements d’Apolline de Bistrobarblog. [1219]
En parlant de Tsunamis – lorsque la Rage va se manifester avec l’Orage – bravo à Olivier Cabanel: “la Quatrième Vague, c’est nous!” Et cette Quatrième Vague doit se métamorphoser en Tsunami purificateur qui va pulvériser le Delta de leurs turpitudes criminelles. [881]
Et toujours à propos de “tsunami cérébral”… que se passe-t-il sur le plan de la sexualité féminine? Des femmes âgées ménopausées et vaccinées recommencent à saigner après la vaccination. Des jeunes femmes deviennent pré-ménopausées après leur injection. En règle générale, les femmes injectées font l’expérience de crampes extrêmement douloureuses, d’hémorragies, de caillots, etc, etc – pendant des mois. [1027]
Rappelons que, à la mi-juin 2021, une étude a été publiée dans le New England Journal of Medicine qui est intitulée “Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons”. Certaines autorités médicales, authentiques, ont mis en exergue que les responsables de cette étude avaient, à dessein, tenté d’aménager, à savoir maquillé les chiffres de conclusion afin d’occulter le fait que 82% des femmes enceintes vaccinées durant les 20 premières semaines de grossesse subirent une fausse couche. [520] [521] [522]
Une étude, publiée en juin 2020, a mis en exergue le fait que les femmes sont beaucoup plus susceptibles de développer des réactions adverses aux remèdes et vaccins allopathiques de par leur équilibre hormonal extrêmement sensible. [1028]
Ainsi, au Royaume-Uni, selon le MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), en date de juillet 2021, ce sont, déjà, 13 000 femmes qui ont rapporté des transformations drastiques de leur cycles menstruel. [1026] La Meute Médiatique a ridiculisé, en permanence, les plaintes de ces femmes vaccinées – en les affublant d’un nouveau syndrome: “anxiétés féminines pré et post-vaccinales induites par une over-dose de complotisme”. [1029]
Le biologiste Dr. José Luis Sevillano, de la Quinta Columna [1036], précise que s’il est vrai que les nano-particules s’accumulent dans les testicules, dans les ovaires, dans les cellules de Sartoli, dans l’utérus, etc, il reste que c’est au niveau du cerveau que l’oxyde de graphène perturbe, intégralement, le système hormonal – en particulier le long de l’axe hypothalamo-pituitaire-adrénalien.
Il existe diverses études portant sur la toxicité de l’oxyde de graphène sur le système de reproduction: “Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system” [1034]; “Effects of Nano-Graphene Oxide on Testis, Epididymis and Fertility of Wistar Rats” [1035]; “Dose-dependent effects of nanoscale graphene oxide on reproduction capability of mammals” [1037]; “Reproductive toxicity of nanoscale graphene oxide in male mice” [1038]; “Metal Oxide Nanoparticles: Evidence of Adverse Effects on the Male Reproductive System” (août 2021) [1039]; “ZnO Nanoparticles Induced Male Reproductive Toxicity Based on the Effects on the Endoplasmic Reticulum Stress Signaling Pathway”. [1040]
José Luis Sevillano pose ensuite la question de la destinée des enfants à naitre lorsque la maman a été graphénisée durant la grossesse – à savoir lorsqu’ils ont survécu dans la matrice maternelle. Vont-ils naître en bonne santé? Vraisemblablement non.
Voir l’étude intitulée “Effects of graphene oxide on the development of offspring mice in lactation period”. [1041]
6. Faits et Méfaits de l’Oxyde de Graphène et d’autres Vecteurs Graphénisants
Le graphène est un matériau bidimensionnel, constitué d’atomes de carbone arrangés en hexagones – sur un seul plan à savoir avec une épaisseur d’un dixième de nanomètre – qui a été isolé et produit synthétiquement, en 2004, à partir du graphite tridimensionnel.
Cela ne s’invente pas. Le terme “graphène” est dérivé du terme “graphite” et du Grec ancien “γράφω/graphô” – qui serait dérivé du PIE “gerbʰ” signifiant “égratigner”. Quant au Grec “graphô”, il signifie égratigner mais, aussi, tracer des signes ou des lignes pour écrire, peindre, graver, inscrire ou bien, encore, attaquer ou assigner en justice. L’oxyde de graphène constitue la marque synthétique de la Marque – par l’antenne magnétisante.
En Marque, En Marque… vers la Grande Hommelette Finale!
Le graphène est symbolisé par trois hexagones [732], à savoir 666, à savoir le nombre 18 qui est le nombre de la Bête, le nombre de la Mère Animale Planétaire. Pourquoi trois hexagones? L’invention de ce matériau synthétique, en 2004, à base de carbone, est une attaque directe, de simulation, à l’encontre de la Mère – et de sa création. Ce n’est pas la Bête, la Mère Animale Planétaire, qui “marque” les animaux humains – car tous lui sont connectés par l’Etincelle de Vie… qu’ils en soient conscients ou non. Ce sont les Xenosh qui veulent “marquer” les animaux humains, les Peuples de la Terre, d’une antenne de graphène qui en fera d’eux des cyborgs connectés au réseau informatique. N’est-ce pas ce qu’a annoncé le dément bio-terroriste, et Transhumaniste, Klaus Schwab?… qui prend ses rêves, et nos cauchemars, pour des réalités: «Ce à quoi la quatrième révolution industrielle va conduire, c’est à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique». [224]
De plus, le graphène étant considéré comme 100 fois plus rapide que le silicium, il va remplacer ce dernier comme matériau de base de la réalité virtuelle, des technologies de l’information (qui sont censurantes, le plus souvent) et de l’intelligence dite “artificielle” – car il n’existe aucune intelligence authentique dans l’intelligence artificielle, juste une prétention. En fait, et en vérité, l’Intelligence Artificielle – en abrégé IA – devrait être dénommée, adéquatement, “l’Intelligence Archontique”. [1055] Le graphène va, ainsi, se transformer en vecteur du Grand Jeu Archontique – dont l’objectif fondamental est de vider la planète de sa présence humaine par l’intermédiaire de ses proxies, les Xenosh et leurs complices.
Mais nous sommes en Correction… et le Temps est venu de la Révélation de la tromperie Archontique… et de son implosion imminente et Apocalyptique. La Chasse aux Prédateurs est Ouverte.
J’invite le lectorat, intéressé par le sujet des Archontes, et du Virus Archontique, à visiter mon site Magie Tantrique Gaïenne – en particulier les quelques essais de John Lash plus particulièrement dévolus à ce sujet très tourné en dérision par qui de Juste. Le sujet des Archontes – donc le sujet de la Prédation – constitue le coeur du sujet, à savoir le sujet des sujets. [1051] [1052] [1053] [1054] [1055] Attention, ce site, présentant toutes mes traductions de l’oeuvre de John Lash, est très déconseillé aux Monothéistes, aux néo-Darwinistes, aux Sionistes et aux néo-Sionistes de toutes purulences.
Le graphène est ainsi présenté dans une étude, de 2018, intitulée “Preparation, Properties, and Applications of Graphene-Based Hydrogels” et publiée dans la revue Frontiers in Chemistry [568]: «En tant que nouveau nano-matériau à base de carbone, le graphène présente des avantages uniques en améliorant de manière significative les propriétés de combinaison des hydrogels polymères traditionnels. Les propriétés spécifiques du graphène – telles qu’une conductivité électrique élevée, une conductivité thermique élevée et d’excellentes propriétés mécaniques – ont fait du graphène non seulement un gélifiant pour s’auto-assembler en hydrogels à base de graphène (GBH) avec des performances électromécaniques extraordinaires, mais aussi une charge à mélanger avec de petites molécules et des macromolécules pour la préparation d’hydrogels à base de graphène multifonctionnels».
Le graphène est un nouveau nanomatériau avec une structure stricte de couches bidimensionnelles (Geim, 2009 ; Shi et al., 2018). Avec d’excellentes propriétés mécaniques, électriques et thermiques élevées, le graphène est le matériau de remplissage idéal pour les nano-composites à base de polymères (Li et Kaner, 2008). L’hydrogel est le polymère réticulé et ramifié modéré avec des structures de réseau tridimensionnelles (Yuk et al., 2017). L’hydrogel a la capacité d’absorber de grandes quantités d’eau, de gonfler rapidement, d’être mou, d’avoir de l’élastine et d’être biologiquement compatible (Smith et al., 2010 ; Qiu et Park, 2012). Le graphène a montré des avantages uniques en améliorant de manière significative les propriétés de combinaison des hydrogels polymères traditionnels (Xu et al., 2010a ; Kostarelos et Novoselov, 2014). Le graphène, dans les hydrogels, joue deux rôles: en tant que gélifiant pour s’auto-assembler dans les hydrogels, et en tant que charge, matériau de remplissage, pour se mélanger avec de petites molécules et des macromolécules pour la préparation d’hydrogels multifonctionnels – qui sont collectivement appelés hydrogels à base de graphène. (Wang et al., 2016 ; Zhao et al., 2017)».
Il existe de multiples manière de produire du graphène. Par exemple, il existe une méthode bon marché, et “verte” selon ses propagandistes, depuis 2014, de produire des dispersions aqueuses de graphène, à partir du graphite, au travers d’un processus de sonication dans de l’albumine de sérum bovin – pour des applications bio-médicales. Il suffisait d’y penser. [1096] Il existe, par exemple, une autre méthode “verte” de synthèse de solutions aqueuses de graphène – pour des applications bio-médicales – en ayant recours, pour le réduire, à de la bio-masse bactérienne, à savoir celle du Bacillus marisflavi, une bactérie de la Mer Jaune en Corée. On n’arrête pas le Progrès! Cette étude/projet s’intitule “Green synthesis of graphene and its cytotoxic effects in human breast cancer cells”. Si le graphène détruit, supposément, un cancer du sein, n’est-ce pas, tout simplement, parce qu’il détruit, en même temps, l’intégralité de l’organisme humain? [1097]
Le graphène est, éminemment, toxique et cela se sait depuis, quasiment, sa création synthétique, en 2004. Il existe une pléthore d’études qui, rappelons-le, déclinent, sous tous aspects, la toxicité, dans le corps animal, et dans la Biosphère, des diverses formes de graphène. “Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms” [1092]; “Graphene Oxide and Reduced Graphene Oxide Exhibit Cardiotoxicity Through the Regulation of Lipid Peroxidation, Oxidative Stress, and Mitochondrial Dysfunction” [1093]; “Graphene oxide touches blood: in vivo interactions of bio-coronated 2D materials” [1094]; “Nanotoxicity of graphene and graphene oxide” [1095]; etc.
En fonction de ses diverses connotations originelles, puis-je m’avancer à considérer que le graphène – en tant que vecteur pathologique et génocidaire dans les “vaccins” mais, également, dans les masques et dans les tests PCR – a pour premier objectif fondamental de marquer, d’inscrire tous les injectés/inoculés en les connectant aux réseaux de surveillance, et de contrôle, cybernétiques?
Puis-je, également, m’avancer à déclarer que le graphène a pour second objectif fondamental d’assigner les injectés/inoculés devant la Justice des Xenosh afin de les attaquer, de les mutiler, de les handicaper et de les génocider? La Justice des Xenosh est une autre dénomination pour leur Tikun Olam, à savoir la dépopulation programmée de la planète des Goyims et la mise en esclavage des survivants. D’ailleurs, ceux qui siègent au coeur criminel et dément des Xenosh se proclament Tzaddik – ce qui, dans leur langue, signifie “les Justes”, “les Parfaits”.
L’inoculation signifie, étymologiquement, une greffe. Il s’agit bien de cela: le graphène se greffe sur les cellules humaines – pour les déchiqueter.
En parlant de génocide universel, nous renvoyons les lecteurs à deux articles du journaliste d’investigation, Guy Boulianne, à propos des prévisions écrites de l’organisme connu sous le nom de Deagel – une organisation de renseignement pour le gouvernement US. Le premier article fut publié le 25 décembre 2019 (un mois avant que l’OMS lance sa fausse alerte) et il s’intitule “L’organisme Deagel prévoit la dépopulation mondiale massive de 50 à 80% d’ici 2025”. [1032] Dans le second article, Guy Boulianne explique que Deagel, le 20 avril 2021, a supprimé ses prévisions de son site internet – afin d’afficher un profil plus bas. [1033] Selon les prévisions de Daegel – qui prédisait un effondrement majeur des pays Occidentaux – la population des USA serait réduite à 100 millions d’habitants en 2025, celle de la France à 39 millions, celle de l’Allemagne à 28 millions, celle du Royaume Uni à 15 millions, etc.
En fait, tout cela est expliqué, brièvement, mais clairement, par l’océanographe Jacques Piccard dès 1972 [1044]: à savoir une réduction drastique de la population mondiale, de l’ordre des 2/3, selon les estimations des ordinateurs du Club de Rome… dont le Forum Economique Mondial constitue, sans doute, l’excroissance actuelle la plus démente et létale. Il est, d’ailleurs, très vraisemblable que les ordinateurs de 1972 n’aient absolument rien pu prévoir du tout – pas plus que les présents ordinateurs des criminels du GIEC ne peuvent prédire quoi que ce soit quant à la problématique de l’Atmosphère Vivante. Tout cela est un théâtre grandiose orchestré par un petit gang de psychopathes eugénistes. Et qui sont-ils? Qui? QUI? Pouvons-nous les nommer?
Graphene Flagship Project
La Commission Européenne a mis en place, en 2013, un programme intitulé “The Graphene Flagship Project”. Ce consortium est constitué d’environ 170 groupes de recherches industriels et académiques. [532] Il est supposé investiguer, également, les effets potentiels de tous les matériaux à base de graphène sur la santé des humains et sur l’intégrité de la Biosphère.
Le Graphene Flagship Project est hybridé avec le Human Brain Project. [897] Cette fusion des démences constitue une préfiguration de ce que les criminels Transhumanistes programment pour les Goyim: une fusion de la biologie et de l’électronique… et surtout, une bonne dose d’oxyde de graphène greffé sur le cerveau – en guise d’Antenne magnétisante, de transmission-réception, branchée sur le Réseau. [555]
Le Graphene Flagship Project est sous l’égide de la Chalmers University of Technology, en Suède, en partenariat étroit avec la Multinationale de la Pharmacratie, AstraZeneca/Syngenta/ChemChina. Ce consortium travaille, très activement, sur le développement de multiples nanoparticules lipides – qui constituent le principal vecteur pour convoyer de l’ARNm au coeur des cellules. Selon le chercheur Michael Munson, d’AstraZeneca: «Nous avons développé un processus automatique afin de tester et de contrôler de grandes quantités de nanoparticules lipides, simultanément, qui, nous l’espérons, vont favoriser le développement de nouvelles médications». [533] [534]
Certains des directeurs du Graphene Flagship Project sont, également, des dirigeants de chez AstraZeneca/Syngenta/ChemChina – mais ce n’est, sûrement, qu’une coïncidence à usage de complotisme!
Voici comment cette nouvelle technologie est explicitée dans un article boursier de juin 2021: «Les technologies fondées sur l’ARNm sont présentement explorées en raison de leur potentiel de favoriser le traitement de maladies chroniques, de diverses manières, telles que d’encoder pour des protéines thérapeutiques et, potentiellement, d’être adaptées à des tissus spécifiques, par exemple afin de remplacer des protéines incorrectes ou de réguler des dysfonctions cellulaires sources de pathologies. Mais il existe différents défis majeurs associés avec cette nouvelle technologie. Tout d’abord, les cellules doivent être “obligées” d’accepter les molécules d’ARNm. L’une des méthodes les plus avancées, pour ce faire, est de comprimer l’ARN dans une gouttelette connue sous le nom de nanoparticule lipide. Les nanoparticules lipides pénètrent dans les cellules au moyen d’un compartiment membranaire, appelé un endosome, qui transporte son contenu vers les lysosomes de la cellule, à savoir les stations de dégradation. Les nanoparticules lipides, contenant l’ARNm, doivent sortir de l’endosome à un moment précis, afin d’accéder au cytoplasme de la cellule où les protéines sont produites, avant que l’endosome n’atteigne la station de dégradation. Sinon l’ARNm sera détruit et ne sera plus fonctionnel. Cette phase vitale est dénommée “évasion endosomale” et son timing correct constitue le facteur le plus décisif pour le succès des thérapeutiques à base d’ARNm.
Cette nouvelle étude [533] décrit une méthode que les chercheurs ont développée afin de contrôler et d’analyser le mouvement des nanoparticules lipides au travers de la cellule en ayant recours à des marqueurs fluorescents détectables. En sus de pouvoir être capable de percevoir si la particule lipide a bien été intégrée par la cellule, et si l’ARNm réceptionné est bien capable de produire la protéine encodée, les chercheurs ont, également, développé un marqueur afin de suivre, en temps réel, quand et où l’évasion endosomale s’est manifesté, et à quelle amplitude. Ce marqueur est constitué d’une version fluorescente de la protéine Galectine-9 que l’on peut voir s’accumuler lorsque l’ARNm sort de l’endosome». [534] Traduction de Xochi.
Se reporter à l’article, de janvier 2019, “Le graphène : pour une meilleure interface cerveau-ordinateur”. [906]
En mai 2021, la Chalmers University of Technology a, également, publié une nouvelle étude intitulée “A Novel Graphene Quantum Dot-Based mRNA Delivery Platform”. [535] Ces chercheurs ont, ainsi, créé un nouveau système de vectorisation de l’ARNm qui est constitué de “points quantiques de graphène” – dénommés également “quantum dots” ou “boites quantiques”. Selon une définition conventionnelle, “les boites quantiques semi-conductrices sont des inclusions nanométriques tridimensionnelles d’un matériau de faible gap dans un autre matériau (la matrice) de gap plus élevé”. Les chercheurs de la Chalmers University ont fonctionnalisé leur nouvelle invention, de points quantiques de graphène, à l’aide de polyéthylèneimine – qui possède, également, des effets toxiques. [536]
Pour mémoire, c’est cette même technologie de points quantiques qui a été récemment inventée pour délivrer des vaccins – et constituer un port-folio vaccinal invisible. [537] [539]. C’est, rappelons-le, Robert Langer, du MIT, le co-fondateur de la société Moderna, qui a collaboré avec son grand ami eugéniste, Bill Gates, pour développer une nouvelle technologie de vaccinations avec tatous lisibles – par la caméra d’un téléphone portable. Une autre de leurs inventions communes est l’insertion, dans le corps humain, d’une puce électronique, contrôlable à distance, libérant des substances contraceptives. [538]
Selon le site Polymedia: « Dès 2014, des chercheurs de l’Université de Warwick (Angleterre) ont développé une méthode pour contrôler la croissance, à l’échelle d’un atome, de cristaux métalliques. Appelée nano-crystallométrie, elle permet la création de nano-objets à fort potentiel en nanoscience. En utilisant une matrice dopée de graphène pour ralentir et piéger des atomes d’osmium (un métal précieux), des chercheurs britanniques de l’Université de Warwick ont réussi à contrôler et à quantifier la croissance de nano-cristaux ». [540] [541]
Question: quelle est la nature des points quantiques, et de leur entourage, constituant l’encre invisible de cette nouvelle invention vaccinale? Les chercheurs du MIT évoquent des nano-cristaux qui perdureraient durant 5 années dans le corps humain – à savoir des points quantiques à base de cuivre. Et de graphène, également? Les points quantiques font 4 nm (nanomètres) de diamètre et sont encapsulés dans des nanoparticules “biocompatibles” de 20 µm de diamètre qui leur permettent de rester en place sous la peau, à la suite de l’injection. [542] Serait-ce, tout simplement, du graphène composant ces nanoparticules “biocompatibles” de 20 µm?
Au printemps 2021, le Graphene Flagship Project a publié une étude intitulée “Graphene sensors read low-frequency neural waves associated with distinct brain states”. Il s’agit d’une étude portant sur l’invention d’un implant biocompatible, basé sur du graphène, qui, en toute sécurité, mesure et prédit les états du cerveau. [579]
La Saga des Hydrogels aux Nano-matériaux
C’est la société Profusa – en partenariat avec la Silicon Valley et le Ministère de la Défense US – qui, en mars 2018, déclarait, en titre, sans ambages: «Les senseurs corporels injectables conviant votre chimie personnelle, vers votre téléphone mobile, sont proches de la réalité». [523] Profusa précisait, plus avant, «que ces bio-senseurs minuscules font un avec le corps physique… et transmettent des données vers votre téléphone, et vers le Cloud, pour une utilisation personnelle et médicale». Les bio-senseurs de Profusa ressemblent à des petits vers de 3 mm de longueur et de 500 microns de diamètre.
Du temps où les religions monothéistes se partageaient exclusivement le gâteau de la dissonance cognitive et de la perversion, c’était Dieu – sous tous ces Variants extra-terrestres: le Père, Yaldabaoth, Yahvé, Jehovah, Saklas, Allah – qui surveillait tout du haut des cieux sur son trône de nuages… Aujourd’hui, les Autorités psychopathes et criminelles surveillent l’entièreté de la planète à partir du Cloud – le Nuage qui tout embrouille… car “l’utilisation personnelle et médicale” gît sous le contrôle d’Etat.
On présuppose que l’hydrogel utilisé par Profusa dans ses bio-senseurs est du graphène car il est stipulé que c’est un polymère… sans plus d’explications. En effet, l’article de Defense One déclare que: «Le senseur possède deux parties. L’un est un filament d’hydrogel de 3 mm de longueur constitué d’un matériau dont le réseau de chaines de polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et dans d’autres implants. Inséré sous la peau avec une seringue, le filament inclut une molécule spécifiquement conçue qui envoie un signal fluorescent en dehors du corps lorsque le corps commence à lutter contre une infection. L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de lumière au travers de la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer vers le docteur, vers un site internet, etc. C’est tel un laboratoire d’analyses sanguines sur la peau qui recueille les réactions du corps vis à vis d’une maladie avant la présence d’autres symptomes, telle que la toux».
C’est le Darpa, du Ministère de la Défense US, qui a mis en place, en 2010, un programme de recherches (de 100 millions de dollars) dont l’objectif est de promouvoir la création de vaccins innovateurs. Cette campagne du DARPA se dénomme “Blue Angel”, l’Ange Bleu… Depuis mars 2020, la page a disparu de leur site internet – pour archivage – et n’est plus disponible dans WayBackMachine. Sans commentaires.
Quant à la Multinationale de la Pharmacratie, Merck, au travers de sa filiale Innervia Bioelectronics, elle vient de signer un partenariat, en juillet 2021, avec la start-up de Barcelone, Inbrain Neuroelectronics – qui est, en partie, financé par de l’argent public.
Inbrain, de son petit nom, a levé 17 millions de dollars en mars 2021. Cette société se présente comme travaillant sur le développement d’une interface intelligente graphène-cerveau, à savoir la création de dispositifs médicaux dédiés au développement d’une interface graphène-cerveau intelligente pour traiter un certain nombre de pathologies.
Quel est le but de ce partenariat? Il est «d’élaborer une nouvelle approche des thérapies bioélectroniques. L’objectif commun est d’utiliser le graphène afin de cibler de multiples pathologies chroniques par le biais de la stimulation neuronale sélective… L’accord, aujourd’hui, avec Innervia Bioelectronics, confère à Merck l’accès à une technologie unique qui accroit l’efficacité énergétique dans les neuro-stimulateurs et qui, par conséquent, pourrait devenir un vecteur efficace pour le traitement digitalisé personnalisé de patients souffrant de maladies sévères et chroniques telles que des pathologies d’inflammations.». [628] [629] En bref:
Le graphène constitue un vecteur de stimulation/modulation neuronale sélective, pour le traitement digitalisé personnalisé de patients. Cette neuro-modulation est effectuée par WiFi en utilisant les champs électro-magnétiques.
Nous sommes, aujourd’hui, confrontés à une ultime bataille entre les Peuples de l’Humanité, à savoir l’Anthropos, d’une part, et les Xenosh déments et criminels qui sont complètement virosés par un Virus extra-terrestre, d’autre part.
Comme il n’est que peu de temps pour réinventer l’eau tiède – car l’Alerte est Biologique – je vais citer quelques passages d’un texte anonyme, intitulé “Talking Points for Graphene Hydrogel Quantum Dot Application and Mechanisms”, qui a été publié, en mai 2021, sur le site de la journaliste d’investigation, Celeste Solum [548] – et dont certains passages sont des citations et des commentaires afférents à deux études: l’une, qui est citée ci-dessus, est intitulée “Preparation, Properties, and Applications of Graphene-Based Hydrogels” [568] tandis que l’autre est intitulée 3D Graphene Scaffolds for Skeletal Muscle Regeneration: Future Perspectives” [569]. La traduction, en Français, de ce texte est anonyme: “Points de discussion sur l’application et les mécanismes des points quantiques de l’hydrogel de graphène”. [570]
Il existe une pléthore d’autres études, très récentes, sur la fabrication d’hydrogels à base d’oxyde de graphène: “Graphene oxide-incorporated hydrogels for biomedical applications” (mai 2020) [1019]; “Alginate Bioconjugate and Graphene Oxide in Multifunctional Hydrogels for Versatile Biomedical Applications” (2021) [1020]; “Graphene Oxide Loaded Hydrogel for Enhanced Wound Healing in Diabetic Patients” (2019) [1021]; “Sustained release of tulobuterol from graphene oxide laden hydrogel to manage asthma” (2020) [1022]; “A rose bengal/graphene oxide/PVA hybrid hydrogel with enhanced mechanical properties and light-triggered antibacterial activity for wound treatment” (2020) [1023] “Lidocaine-loaded reduced graphene oxide hydrogel for prolongation of effects of local anesthesia: In vitro and in vivo analyses” (2021) [1024]. Etc, etc.
La société XFNANO commercialise, bien évidemment, des hydrogels au graphène (Références 102914 et 102915). [1025]
« Tout d’abord, nous devons aborder un sujet qui prête à confusion. L’hydrogel et les points quantiques. Laissez-moi vous expliquer. Le comportement des points quantiques en solution et leur interaction avec d’autres surfaces revêt une grande importance pour les applications biologiques, telles que des écrans optiques, un marquage animal, des colorants anti-contrefaçon et des peintures (essentiellement le brevetage d’un être humain qui possède la marque de son propriétaire), la détection chimique et le marquage fluorescent. Cependant, des points quantiques non modifiés ont tendance à être hydrophobes, ce qui empêche leur utilisation dans des applications stables et durables à base d’eau tels que le corps humain. Une fois solubilisés par encapsulation dans une micelle intérieure hydrophobe ou dans une micelle extérieure hydrophile, les points quantiques peuvent être introduits avec succès dans un milieu aqueux (d’où le milieu gélatineux), dans lequel ils forment un réseau d’hydrogel étendu. Sous cette forme, les points quantiques peuvent être utilisés dans plusieurs applications qui bénéficient de leurs propriétés uniques. C’est ainsi que les points quantiques fonctionnent, main dans la main, que ce soit dans un vaccin ou dans une application sensorielle distincte. Les points quantiques et l’hydrogel peuvent tous deux contenir du graphène. Au fil du temps, la plupart d’entre eux incluront cette substance.
… Les personnes qui autorisent l’hydrogel à pénétrer dans leur corps hybrident ce dernier et le transforment en robot biologique. L’hydrogel de remplissage agit comme une colle à l’intérieur de votre corps pour le mettre en réseau avec l’intelligence artificielle, comme une interface informatique réduite à un nœud dans l’Internet des objets… Votre corps devient un polymère vivant, une substance qui a une structure moléculaire constituée principalement ou entièrement d’un grand nombre de matériaux organiques synthétiques utilisés comme plastiques et résines qui finiront par remplacer votre ADN, votre sang, vos cellules, vos tissus et vos organes au fur et à mesure de l’auto-assemblage des nanoparticules d’hydrogel. Considérez cela comme une invasion invisible vous transformant d’un être humain en une entité synthétique…. Cela signifie que l’hydrogel va remplir toutes les fissures et les crevasses de votre corps. Il n’y aura aucune zone cachée ou sûre qu’il n’envahisse pas… Votre corps ne rejettera pas cette invasion car il ne la considère pas comme un ennemi, hostile à votre humanité. Au fur et à mesure qu’il absorbera l’eau de votre corps, vous dépérirez et deviendrez malade jusqu’à ce que, comme un élastique étiré au maximum, vous vous cassiez, physiquement, mentalement et spirituellement… Le graphène possède également des qualités magiques et conductrices qui font de votre corps ou de votre esprit un récepteur pour tout message que les contrôleurs veulent intégrer… Les scientifiques et les chercheurs utilisent le gélateur auto-assemblable pour créer un échafaudage synthétique à l’intérieur de votre corps. Tandis que le gélateur remplace vos parties humaines par des parties artificielles prédisposées à un ordre “collectif” ou fasciste mondial… Lorsque l’hydrogel est absorbé dans le corps, il modifie non seulement le corps humain mais aussi l’interaction avec d’autres formes de vie telles que les bactéries, les virus et les champignons. »
A la lecture de la seconde étude présentée dans ce texte, il est clair que le graphène est le matériau idéal, pour les Transhumanistes, quant à sa capacité de façonner des échafaudages en 3D dans le corps humain: «Au cours de la dernière décennie, le graphène et ses dérivés ont été explorés en tant que nouveaux biomatériaux afin d’élaborer des échafaudages dont la fonction est de réparer les muscles du squelette. Cette étude passe en revue les matériaux 3D à base de graphène, qui sont actuellement utilisés pour générer des structures complexes et qui sont capables non seulement de guider l’alignement et la fusion des cellules mais aussi de stimuler la contraction musculaire grâce à leur conductivité électrique. Le graphène est un allotrope du carbone qui possède en effet des propriétés mécaniques, électriques et de surface uniques et qui a été fonctionnalisé pour interagir avec un large éventail de polymères synthétiques et naturels ressemblant aux tissus natifs des muscles squelettaux. De manière essentielle, le graphène peut stimuler la différenciation des cellules souches et a été étudié pour la régénération des tissus cardiaques, neuronaux, osseux, cutanés, adipeux et cartilagineux. Cela laisse présager de futures recherches sur les implants multifonctionnels en graphène». [569]
Je conseille, ainsi, à tous les lecteurs motivés, la lecture de l’intégralité de ce document. Caveat: il existe quelques approximations, ou erreurs, de traduction mais qui ne semblent pas essentielles. Par exemple, dans la phrase «Votre corps développe en fait un enfer dur à l’intérieur et à l’extérieur. Cela vient de l’additif chitosan de l’hydrogel… En outre, l’hydrogel sème le trouble dans votre cerveau en incorporant une protéine polydopamine qui est un revêtement polyvalent pouvant être utilisé pour recouvrir la surface de presque tous les matériaux d’une couche conforme d’épaisseur réglable», le terme “enfer” (hell) doit être remplacé par “enveloppe” (shell) en raison d’une faute de typo.
En tout cas, on apprend, de ce texte, que du chitosan est, potentiellement, ajouté à certains types de nano-hydrogel. Quelle découverte intéressante! Il existe, effectivement, un certain nombre d’études portant sur le recours au chitosan comme adjuvant dans les hydrogels. [571] [572] [573] [574] Il existe également, une pléthore d’études [757] portant sur l’utilisation du graphène en tant qu’adjuvant de vaccin, ou en tant que vecteur thérapeutique, en l’optimisant, et en le stabilisant, avec du chitosan. [750] [751] [754] [755] [756]
Le chitosan est dérivé de la chitine qui compose l’exosquelette des arthropodes ou l’endosquelette des céphalopodes – ou encore la paroi des champignons. Cette information relative au chitosan, en tant qu’additif à l’hydrogel de graphène, me semble extrêmement essentielle car Philip Callahan – un entomologiste génial qui a beaucoup travaillé sur le paramagnétisme des sols en tant que facteur de fertilité de l’agriculture [549] [550] – s’est extrêmement intéressé à la chitine en tant que vecteur de communication chez les insectes. En particulier dans son ouvrage “Tuning in to Nature: Solar Energy, Infrared Radiation and the Insect Communication System”, il expose sa théorie selon laquelle les squelettes des insectes sont telles des antennes à guide d’ondes diélectriques revêtues de thermoélectret. Son oeuvre biophysique constitue, entre autres, en une étude des bioélectroniques moléculaires dans le monde des insectes.
Philip Callahan est l’un de mes héros et je possède l’intégralité de ses ouvrages dans ma bibliothèque de plusieurs milliers d’ouvrages. Philip Callahan est l’un des scientifiques les plus authentiques du siècle passé: c’est pour cela qu’il fut méprisé par la secte des néo-darwinistes. L’une des questions, de Philip Callahan, qui mettait tous les agronomes de l’agro-chimie dans des états d’hystérie incontrôlables était de savoir pourquoi les insectes ne détruisaient jamais des plantes en bonne santé et croissant sur des sols sains et non brûlés par la chimie.
Au risque de passer pour un excentrique – mais avec le CoqueVide/19 et la dictature sanitaire, ne sommes-nous pas plongés dans l’enfer de l’ex-centricité? – puis-je, également, eu égard à la fonction de la chitine dans la Biosphère, évoquer les recherches de feu l’entomologiste Viktor Stepanovich Grebennikov (1927 – 2001)? Ce savant, déclaré dément par les scientifiques conventionnels, dépourvus de la moindre imagination, affirma avoir inventé une plate-forme anti-gravité [551] en s’inspirant de certaines caractéristiques physiques de certains insectes, à savoir celles corrélées à la chitine et à la structuration en nid d’abeilles – à savoir de formes hexagonales… tout comme les hexagones carbonés du graphène. Quelles coïncidences! [551] [552] [553] [554]
Quitte à sortir des sentiers battus, j’invite, également, les lecteurs souhaitant s’éduquer – et comprendre ce qui se passe lorsque l’oxyde de graphène détruit le champ électro-magnétique naturel de l’humain – à consulter tous les travaux relatifs aux bio-photons, à savoir les recherches d’une pléthore de scientifiques dont Alexander Gurwitsch, Fritz-Albert Popp, etc. [966]
Une étude, publiée en mars 2020 et intitulée “Recent Advances on Magnetic Sensitive Hydrogels in Tissue Engineering”, annonce la couleur – sans discriminations: «Les hydrogels ont été introduits, dans le secteur bio-médical appliqué, afin de pourvoir un échafaudage modulable pour l’adhésion, la migration et/ou la différentiation cellulaires. De plus, ils pourraient être conçus en tant que plate-forme pour la libération contrôlée de cytokines et de médications dans la manipulation de tissus et dans l’administration de médications… Récemment, un hydrogel magnétiquement réactif, telle une sorte d’hydrogel intelligent, a été introduit dans les applications biomédicales pour améliorer les activités biologiques des cellules, des tissus ou des organes. Ce fait est principalement attribué à sa réactivité magnétique au champ magnétique externe et à l’obtention de structures fonctionnelles pour réguler à distance les propriétés physiques, biochimiques et mécaniques du milieu entourant les cellules, les tissus ou les organes… Les hydrogels magnétiques sont confectionnés à partir de matériaux composés qui se caractérisent par une biocompatabilité, une biodégradibilité et une réactivité magnétique». Traduction et Soulignements de Xochi. [812]
Il s’agit, bel et bien, d’un hydrogel intelligent qui va se greffer sur les cellules neuronales – les graphéniser – afin d’en faire des Antennes émettrices-réceptrices… contrôlables, par les Contrôleurs auto-proclamés, sur mode “remote”… car c’est un mode beaucoup plus confortable, et beaucoup moins risqué, pour leur intégrité physique.
Dans le cas de cette étude, ce ne sont pas les nano-particules d’oxyde de graphène qui sont mentionnées mais des nano-particules d’oxyde de fer. Il existe également des études sur des “hydrogels intelligents” contenant des nano-particules de magnétite. [832]
A propos de nano-particules d’oxyde de fer, l’Université de Nantong, en Chine, vient de publier – en juillet 2021, dans Nano Letters – le résultat de ses recherches portant sur l’introduction, par voie intra-veineuse, de nano-particules d’oxyde de fer magnétique dans le corps mâle – afin de le stériliser, à savoir afin de prévenir toute possibilité de fertilité reproductive. Ces nano-particules d’oxyde de fer magnétique étaient de diverses tailles et de deux sortes: soit enrobées de polyéthylène glycol, soit enrobées d’acide citrique. La stérilisation la plus complète fut achevée avec des nano-particules d’oxyde de fer magnétique enrobées d’acide citrique et de 100 nm de taille.
Qui plus est, afin que l’opération contraceptive soit couronnée de succès, il faut que les nano-particules d’oxyde de fer magnétique soient conviées vers les testicules, par le biais “d’aimants”, et il faut qu’elles soient chauffés à une température de 40°C. Et par quel moyen les nano-particules d’oxyde de fer magnétique sont-elles chauffées… dans les testicules? Par l’application d’un champ magnétique dont le niveau de puissance permet d’induire, chez les souris du moins, une stérilité de deux mois… car les nano-particules d’oxyde de fer magnétique seraient biodégradables. Ainsi que le précise un article de presse, d’autres expérimentations ont appliqué une chaleur et une température plus intenses – avec douleurs et brulures subséquentes – induisant une plus longue période de stérilité. [980] [981] [982]
On apprend, également, dans cette étude «qu’un hydrogel magnétique composé préparé à partir d’une combinaison de chitosan auto-guérissant/hydrogel d’alginate et de microsphères de gélatine magnétique pourraient être utilisées en tant que plate-forme adéquate dans la manipulation de tissus et dans l’administration de médications». [813]
Est-ce bien clair que tout cela se situe dans le cadre d’une connexion au réseau 4 ou 5G?
Couronne Bio-Moléculaire de l’Oxyde de Graphène
A la lecture de ces très nombreuses études scientifiques sur le graphène et sur les hydrogels à base de graphène on découvre, avec stupéfaction, que le mème de la couronne émerge de nouveau… mais pas en lien avec le coronavirus, le virus à couronne du CoqueVide/19 – invisible parce que non existant – mais, bien plutôt, avec l’hydrogel à base de graphène.
En effet, il existe un certain nombre d’études qui décrivent la couronne bio-moléculaire personnalisée entourant les nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain. Ainsi, des études intitulées “Converting the personalized biomolecular corona of graphene oxide nanoflakes into a high-throughput diagnostic test for early cancer detection” [575], “Personalized Graphene Oxide-Protein Corona in the Human Plasma of Pancreatic Cancer Patients” [576], “A protein corona-enabled blood test for early cancer detection” [577], “Tailoring the component of protein corona via simple chemistry” [578], etc.
Il s’agit d’une couronne de protéines qui se forme à l’entour des nano-matériaux lorsqu’ils sont exposés aux fluides biologiques humains (sang, sérum, plasma, fluide cérébro-spinal, fluides intestinaux et gastriques, etc). Le terme “couronne de protéine” a été introduit, en 2007, par Tommy Cedervall et son équipe dans une étude intitulée “Understanding the nanoparticle-protein corona using methods to quantify exchange rates and affinities of proteins for nanoparticles”. [1220]
En juin 2015, la revue European Journal of Nanomedicine a publié une étude très importante sur la nano-toxicité des nano-particules, à savoir sur l’impact de la couronne moléculaire eu égard à la toxicité des nano-particules: “The bio-corona and its impact on nanomaterial toxicity”. [1221] La même équipe a, ensuite, publié une seconde étude, en 2016, sur les mêmes thèmes, “The concept of bio-corona in modulating the toxicity of engineered nanomaterials”. [1222]
Selon deux études publiée en 2014, les flocons d’oxyde de graphène pourraient spontanément changer de structure, en présence d’un champ électro-magnétique extérieur, en prenant la forme de gouttes cristallines liquides. [644] [645]
A noter que, lors de leur analyse de 46 vaccins, en 2017, Antonietta Gatti et Stefano Montanari évoquèrent la formation d’une “couronne de protéine”: «dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une interaction nano-bio se manifeste et une “couronne de protéine” se forme… L’interaction nano-bio induit la formation d’un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et qui peut engendre des effets délétères – puisqu’il n’est pas reconnu par le corps comme lui appartenant en propre». [807]
L’une des études, de 2018, intitulée “Biological recognition of graphene nanoflakes” [1117], présente des explications très claires sur la nature de cette couronne bio-moléculaire.
«L’étude systématique des interactions biologico-nanoparticulaires requiert une capacité, reproductible, de dispersion des particules dans des fluides adéquats tout autant que des développements subséquents quant à l’identification de détails structurels biologiquement pertinents à l’interface entre les nano-matériaux et la biologie. Dans cette recherche, nous développons une dispersion aqueuse, biocompatible, stable et durable, de nano-flocons de graphène, en quelques couches, dans le médium d’exposition biologique dans lequel elle sera étudiée. Nous abordons, également, l’étude de l’orientation et de la fonctionnalité des protéines-clés d’intérêt, dans la couronne bio-moléculaire, qui sont supposés moduler la plus grande partie des premières interactions biologiques. Les preuves sont nombreuses selon lesquelles les couronnes bio-moléculaire de nano-flocons de graphène sont abondantes en apolipoprotéines A-I et nous sommes capables de cartographier des épitopes fonctionnels spécifiques, situés dans la portion du terminal C, qui sont connus pour moduler la connexion des lipoprotéines de haute densité (HDL) aux sites de liaison dans les récepteurs qui sont abondants dans le foie. Cela pourrait suggérer un mode de connecter les propriétés des nano-matériaux aux objectifs biologiques.
En évaluant l’interaction entre le graphène et les cellules, on pourrait s’attendre à des interactions distinctes en raison de la diversité des formes, des tailles, des fonctionnalisations de surface tout autant que des présentations de surface à la machinerie de processus cellulaires. La problématique de la présentation de nano-surfaces n’est pas unique au graphène mais, dans son cas, les défis sont plus conséquents que pour la plupart des systèmes. Ainsi, nous croyons, maintenant, qu’en contact avec des médiums biologiques, la surface nue de la nano-particule induit la formation d’une couche de molécules, aux échanges relativement lents, qui sont dérivés de l’environnement – à savoir tout simplement modelés par du plasma ou du sérum animal. C’est ce que l’on a appelé la “couronne bio-moléculaire”. Nous sommes de plus en plus conscients du fait qu’au-delà de la forme, ce sont les motifs de reconnaissance bio-moléculaire, conférés par cette couche, qui induisent les tout premiers impacts (dans les études d’interactions cellulaires in-vitro, dans les réactions immunologiques et dans la bio-distribution). Il est certain que la capacité récente de “lire”, ou de cartographier, ces aspects de la couronne bio-moléculaire de graphène accentue le rôle que les protéines jouent dans la plupart des phases originelles des interactions biologiques. La nature de la surface de graphène est telle que ces problématiques sont d’autant plus sérieuses qu’il est difficile d’éliminer les dispersants de première exposition (exfoliation) une fois qu’ils ont formé une telle couche d’adsorption. Nonobstant, dans des conditions normales, il faut s’attendre à ce que l’identité biologique (induite par la surface) soit déterminée par le premier dispersant rencontré (ou par le premier scénario d’exposition).»Traduction de Xochi. [1117]
Il est à noter que les apolipoprotéines impactent les plaquettes sanguines, les thrombocytes, afin de stimuler la production de monoxyde d’azote afin d’atténuer l’agrégation plaquettaire. [1151]
Il est à noter, également, qu’il existe une étude, de 2016, portant sur l’invention de cystéine fonctionnalisée avec du graphène afin de produire de l’oxyde nitrique, à partir de donneurs endogènes ou exogènes, et réduire, ainsi, l’agrégation plaquettaire. [1152]
Ainsi que déjà évoqué. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule “Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection” qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95% en 24 heures et de 99% en 72 heures. [1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si l’oxyde nitrique permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.
Selon une étude récente, de 2020, intitulée “Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract”, c’est le cas. [1153] L’oxyde nitrique peut participer à la bio-dégradation de l’oxyde de graphène.
Une autre étude, de 2018, intitulée “Graphene oxide touches blood: in vivo interactions of bio-coronated 2D materials” [1125] porte sur la couronne bio-moléculaire de graphène et sur son potentiel de toxicité dans le corps humain. Les auteurs décrivent le voyage de l’oxyde de graphène à la suite de son injection dans le flux sanguin: à savoir, à partir des interactions initiales avec les protéines du plasma jusqu’à la formation de la couronne bio-moléculaire et jusqu’à sa bio-distribution.
«La destinée, in vivo, des nano-particules est, généralement, influencée par plusieurs facteurs incluant la route d’administration, la chimie de la nano-particule et l’environnement physiologique. De nombreuses caractéristiques physico-chimiques – incluant la taille latérale, la forme, la dose, la durée d’exposition, le nombre de couches, la composition chimique, la charge de surface, la stabilité, la pureté et la fonctionnalité de surface – peuvent influencer la destinée de ces nano-particules à la suite de l’injection, lorsqu’elles sont exposées au riche milieu des protéines sanguines. Les protéines du flux sanguin induisent des métamorphoses immédiates et drastiques dans ‘‘l’identité’’ biologique des nano-particules. Il en résulte le développement d’une nouvelle interface qui est constituée d’une coquille dynamique de macro-molécules sanguines. Cette interface, de par l’enrichissement protéique, est généralement dénommée ‘‘couronne de protéines’’ ou ‘‘couronne bio-moléculaire’’. C’est cette couronne bio-moléculaire qui détermine les interactions avec les cellules – assimilation et excrétion – et affecte, par conséquent, la bio-distribution et la vectorisation vers les sites-cibles intentionnés.
La couronne bio-moléculaire de l’oxyde de graphène est, encore, très peu explorée et peu de recherches ont pris en considération l’influence de cette coquille sur les interactions in vitro et in vivo. Dans notre étude, nous allons, tout d’abord, évoquer les caractéristiques de surface de l’oxyde de graphène ainsi que leurs connexions avec les acides aminés et la liaison des protéines sanguines. Nous discuterons, ensuite, du composé oxyde de graphène/couronne bio-moléculaire et comment la couronne bio-moléculaire peut influencer les interactions avec les cellules sanguines. Enfin, nous allons mettre en lumière les problématiques de bio-distribution et de biosécurité tout autant que les défis futurs corrélés au développement de systèmes pharmaceutiques, à base de graphène, injectés par voie intraveineuse. La compréhension de ces aspects fait partie de l’amélioration des processus futurs d’oxyde de graphène biocompatible et injectable.» Traduction et Soulignements de Xochi. [1125]
Pour rappel, à l’intention de tous les Décodeurs, Fact/Checkers et autres Reichstadt, au service de la Secte Covidienne. Cette étude portant sur la toxicité potentielle, de la couronne bio-moléculaire d’oxyde de graphène, fut publiée dès octobre 2018. Son intention est clairement libellée – du moins pour motifs de financement.
Il s’agit du développement de systèmes pharmaceutiques, à base de graphène bio-compatible, injectés par voie intraveineuse. Il s’agit de la création de vaccins à base de graphène “bio-compatible”. N’est-ce pas? Que vont bafouiller les Décodeurs de l’ImMonde ou les ignares Défakers de l’AFP? Vont-ils modifier la signification du terme “biocompatible”… car, au vu du génocide intentionné, il s’agirait, bien plutôt, de nécro-compatibilité!
Une autre étude, de 2019, intitulée “Interaction of graphene oxide with cell culture medium: Evaluating the fetal bovine serum protein corona formation towards in vitro nanotoxicity assessment and nanobiointeractions” [1159]. Cette étude évoque le nombre de protéines découvertes sur une couronne bio-moléculaire d’oxyde de graphène mise en contact avec du sérum foetal bovin… dans le but de déterminer son niveau de nano-toxicité.
Nous sommes confrontés à un gigantesque cauchemar qui pourrait être directement inspiré des sciences-fictions les plus pessimistes, et des sociétés les plus dystopiques, des grands maîtres de cet Art: Philip K. Dick, John Brunner, Franck Herbert, etc.
Justement, en parlant de dystopie, Rudy Reichstadt [1131] – qui se prend pour le Dénonciateur à la botte de celui qui se prend pour un Jupiter ras la motte – fait office de sous-marin pour la secte de la Miviludes… qui va, très prochainement, avoir beaucoup d’espionnage sur la planche avec la nouvelle offensive anti-autoritaire, et anti-dystopique, des “Qui?Qui?”. A noter que la Miviludes est, parfaitement, disséquée dans un article proposé sur le site d’Egalité et Réconciliation. [1136] A propos, non, je n’ai jamais rencontré Alain Soral, le dissident (sous certains aspects)… mais je ne manquerai pas d’en requérir un entretien lorsqu’il sera ministre de la Conciliation sous la prochaine République – afin de participer à son éducation.
Aujourd’hui, le Syndrome de la Couronne, ce n’est pas celui d’un coronavirus inexistant, c’est celui de la couronne de protéines induite par la graphénisation. Le danger, pour la survie des Peuples, n’émane pas de la couronne fantôme des protéines Spike: il émane de la couronne bio-moléculaire personnalisée qui se forme autour des nanoflocons d’oxyde de graphène envahissant le corps humain.
Il faut, d’ailleurs, signaler que la Toile n’offre que deux photographies – putatives et très floues – d’une protéine Spike [1124].
Et encore, si l’on veut bien fermer les yeux sur le fait que les deux photographies proposées, côte à côte, sur le même site de biologie présentent deux échelles différentes de telle sorte qu’un coronavirus mesure, environ, 100 nm, sur la photographie de gauche, tandis que les autres particules de coronavirus, sur la photographie de droite sont mesurées sur une échelle de 1000 nanomètres et se caractérisent par une diversité de taille – bien au-delà de l’amplitude tolérée, et officielle, de 140 nanomètres. [1162] Est-ce pour emballer ou pour graphéniser de suite?
Si cette protéine Spike – soit naturelle, soit chimérisée en laboratoire – était, véritablement, la bombe virale et meurtrière que l’on nous propagande, pourquoi donc Google n’en a-t-il jamais fait une photographie en très haute définition?
Si Google est capable de proposer la carte d’un cerveau humain présentant 50 000 cellules et 130 millions de synapses – d’un poids virtuel d’1,4 pétabyte, à savoir l’équivalent de la capacité de 700 ordinateurs [334] – il doit être possible, techniquement parlant, de photographier un virus de 125 nanomètres… si ce virus constituait, vraiment, LA Pandémie des Pandémies. N’est-ce pas?
Par contre, la photographie d’une Couronne Bio-moléculaire de Graphène, [1123] présentée sur le site du naturopathe Dr. Robert O. Young, ressemble, à s’y méprendre, à toutes ces représentations virtuelles de “protéines Spike” dont la presse corrompue a inondé le public depuis la déclaration de la fausse pandémie.
Aujourd’hui, nous sommes, donc, confrontés au Syndrome de la Couronne Bio-moléculaire de Graphène qui constitue le vecteur – apostolique et universel – choisi, par les Transhumanistes, pour magnétiser et transformer l’Humain en une Antenne d’émission-réception – lorsque cela n’est pas pour le génocider, rapidement. Sous le contrôle musical, donc le joug, de qui pulse cette Antenne? De QUI?
Aujourd’hui, dans l’Europe, anciennement Païenne et Animiste, le Syndrome de la Couronne Bio-moléculaire de Graphène est en cours de supplanter, quant à la Marque, le Syndrome de la Couronne d’Epines – qui pollue l’Atmosphère d’Europa depuis près de deux mille années – dans le registre de la glorification de la souffrance, de la persécution, de la collusion victime-perpétrateur, du Mépris de la Vie… et du Refus de rendre hommage à la Beauté Naturelle de notre Mère la Terre.
Aujourd’hui, la Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène constitue une première expression, généralisée, du concept de cyborg – à savoir, d’une fusion entre d’une part, le biologique et, d’autre part, le graphène magnétisant… injecté directement dans le corps physique de tous les “vaccinés” – et, plus généralement parlant, dans le corps physique de tous les graphénisés. La Couronne Nécro-moléculaire d’Oxyde de Graphène est induite par la greffe du graphène sur les cellules – qui est, également, une “griffe”… de par l’étymologie “graphos”. En France, plus particulièrement, cela s’épelle “criffe”… mais c’est un tout autre dossier susceptible de nous entraîner dans les sables mouvants de la mouvance des Qui? Qui?
La Couronne Nécro-moléculaire de Graphène constitue la Marque des bio-terroristes Transhumanistes du Forum Economique Mondial sous la houlette du dément Klaus Schwab.
Toxicité de l’Oxyde de Graphène dans les Masques faciaux
Depuis quelques années, [419] il existe un certain nombre d’études pharmacologiques mettant en exergue la toxicité de l’oxyde de graphène pour les humains mais, également, pour l’intégralité de l’environnement – et plus particulièrement dans les nappes phréatiques et dans les eaux de surface [418]. Une étude de 2013, de l’Université Brown de Rhode Island, a porté sur sa toxicité à l’encontre des cellules humaines et a mis en valeur que le graphène perçaient les membranes cellulaires des poumons, de l’épiderme, etc. [417] Une étude de 2019 a porté sur sa toxicité à l’encontre des cellules rénales embryonnaires humaines [416]. En fait, ce sont des dizaines d’études qui ont mis en exergue sa forte toxicité chez l’humain: destruction physique, stress oxydatif, mutations de l’ADN, réactions inflammatoires, apoptosis, autophagie, nécrose, destruction de la spermatogenèse, etc, etc. [420] [421] [422] [423] [424] [425] [440] [441] [525] [526]
L’une des très récentes études portant sur la toxicité de l’oxyde de graphène, et son impact délétère sur les poumons, date de mars 2020 et elle est intitulée “Repeated exposure to aerosolized graphene oxide mediates autophagy inhibition and inflammation in a three-dimensional human airway model”. [442]
En début juin 2021, Santé Publique France demandait aux hôpitaux de ne plus utiliser 17 millions de masques FFP2 distribués aux soignants – le reste d’une soixantaine de millions. Ces masques contenant une abondance de graphène… furent vendus à la France par le Chinois Shandong Shengquan New Materials. [426] [429] Cette société est une filiale de Jinan Shengquan Group Co., Ltd qui est spécialisé dans la fabrication de batteries au titanate de lithium et autres modules et électrodes – à savoir aux antipodes de ce que l’on pourrait considérer comme le secteur de la santé. Précisons que les masques faciaux, au graphène, fabriqués par Shandong Shengquan, ont été distribués dans le monde entier – à raison de 8 millions par jour, à savoir près de 4 milliards depuis mars 2019. Shandong Shengquan a déposé une demande de brevet pour ses masques à graphène en 2015. [527] En juin 2020, les masques à graphène de Shandong Shengquan furent évalués par le CDC (Centers for Disease Control) aux USA… et autorisés. [528]
Le Canada en avait fait, de même, en avril 2021, [429] avec 116 millions de masques FFP2, [434] [524] fabriqués par Shandong Shengquan, qui furent principalement distribués aux enfants des écoles – dont de très nombreux souffrirent de problèmes respiratoires et d’irritations.
Il s’agit d’une mesure délibérée pour persécuter les enfants Canadiens scolarisés… un peu plus que les autres masqués.
Aujourd’hui, les masques au graphène sont encore commercialisés, très chers, au Royaume-Uni: par exemple, par la société Graphene Masks… qui précise que ses fournisseurs sont Chinois! Selon Graphene Masks, leurs masques créent un “champ de force” parce que «les réseaux de graphène constituent un vaste déploiement de nano-lames. Les microbes, tels que les virus et les bactéries, sont environ 1000 fois plus grands que les molécules de graphène. Cela signifie que lorsque ces microbes entrent en contact avec le graphène, ce dernier agit telle une lame déchiquetant et tuant les microbes. Le graphène n’est pas sélectif dans sa destruction des microbes». [436]
Manifestement, le graphène n’est pas sélectif, non plus, dans le corps humain: ses nano-lames détruisent tout sur leur passage – ainsi que le précise, très clairement, une étude, publiée en juillet 2013, qui est intitulée “Graphene microsheets enter cells through spontaneous membrane penetration at edge asperities and corner sites”. [867]
Ils sont, également, distribués par la société Italienne Directa Plus [443]. D’ailleurs, le 13 juillet 2021 – le jour-même où le Canada a décidé d’autoriser, de nouveau, les masques au graphène du Chinois Shandong Shengquan [647] – Directa Plus a annoncé que «de nouvelles recherches, publiées dans le journal iScience, valident le recours, à ses nano-matériaux à base de graphène, dans ses masques faciaux». [655]
L’étude évoquée qui serait publiée dans le journal iScience est, à ce jour, introuvable. Qu’importe, tout cela est de l’esbroufe… et Directa Plus a touché 100 000 euros de la Commission Européenne, en février 2021, afin de développer des masques faciaux au graphène. [656]
Aujourd’hui, les masques au graphène sont commercialisés par Flextrapower [657] ainsi que par Graphene-X, à Hong-Kong, et ce d’autant plus que l’Université de Hong-Kong a publié une étude sur l’efficacité des masques à graphène pour détruire deux espèces de coronavirus – carrément. [437] [438] Ils sont, également, commercialisés en Inde par Amazon. [439]
Pour rappel sur la mascarade des masques. Aux USA, la société 3M avait déclaré produire deux milliards de masques pour l’année en 2020. Quant à la Chine, dès fin février 2020, sa production quotidienne de masques faciaux (de toutes catégories, avec graphène ou sans graphène) était passée de 10 à 150 millions.
Aujourd’hui, les masques au graphène sont commercialisés, aux USA, par les sociétés MamaMoor [529], Medicevo [530] et NQX [531] – avec la bénédiction de la FDA (Food and Drug Administration).
Le Guardian G-Volt- qui utilise le graphène et “une charge électrique” – est distribué par LIGC Applications – une société Israélienne à la pointe des nano-nécro-technologies de filtrage par graphène. Cette toute nouvelle société Israélienne (créée en 2019) fabrique, également, des serviettes hygiéniques, des textiles sanitaires, des bandages à blessures, etc – à base de graphène. [777]
Selon Santé Canada: les études disponibles «révèlent que l’inhalation de particules de graphène pourrait causer une toxicité pulmonaire précoce chez les animaux»!!! Par conséquent, c’est une très mauvaise nouvelle pour l’entreprise Canadienne Zen Graphene Solutions qui, en partenariat avec l’entreprise Trebor Rx, étaient en attente d’un brevet sur un masque facial enrobé de graphène [433] – au prétexte vertueux que le graphène serait extrêmement bactéricide [444], fongicide et virucide. Ces deux sociétés avaient reçu l’approbation du gouvernement Canadien un mois avant, en mars 2021. [435]
Il semblerait, donc, que les “experts” conseillant les “gouvernements” de la France et du Canada viennent, juste, de découvrir les études sur la toxicologie du graphène… qui sont pléthore et publiques depuis une douzaine d’années. En France, selon l’ANSM, son avis favorable – malgré la toxicité avérée!! – fut donné parce qu’il existait une pénurie de masques qui étaient devenus obligatoires en avril 2020… un mois après avoir été strictement déconseillés par les mêmes experts scientifiques corrompus et les mêmes politiciens véreux.
Il s’agit d’une mesure délibérée pour persécuter les soignants Français… un peu plus que les autres masqués.
Dans la même série d’histoires d’horreurs sur le “génocide par masques faciaux” – et pour le Devoir de Mémoire, à l’automne 2020, les masques distribués aux enseignants furent retirés de la circulation car ils contenaient de la zéolithe d’argent sous forme de nano-particules. [430] La zéolithe d’argent est excessivement toxique… et cela fait des années que cela se sait. [431] [432] Il s’agit d’une mesure délibérée pour persécuter les enseignants Français… un peu plus que les autres masqués.
Cette récente découverte, par les Autorités, des méfaits du graphène est d’autant plus une excuse lamentable qu’en 2015 le CNRS publiait un article intitulé “Le graphène est-il toxique?” On peut y lire: «Qu’en est-il du graphène ? Pour tenter de répondre à cette question, les neuf partenaires institutionnels du groupe de travail de Flagship Graphene vont procéder à partir de maintenant à des batteries de tests in vitro afin d’évaluer les effets sur l’activité des cellules immunitaires et neuronales en présence d’une plus ou moins grande quantité de ce nanomatériau. À terme, ils envisagent des études sur l’animal. « À ce stade préliminaire, poursuit le chercheur, nous n’avons pas observé de risques pathogènes alarmants comparables à ceux posés, en leurs temps, par les nanotubes de carbone. Bien sûr, il est encore trop tôt pour conclure. Par précaution, on peut envisager de limiter les risques en l’intégrant à d’autres matériaux pour éviter sa dissipation dans l’air.» [580]
« Cyrill Bussy, de l’université de Manchester, précise qu’« aucune nécrose ou apoptose et donc toxicité du matériau à des doses raisonnables n’a été constatée ». En revanche, précise-t-il : « Lorsque le graphène oxydé, utilisé dans notre expérience, dépasse une certaine taille, on observe, au bout d’un moment, une réaction de type inflammatoire des cellules épithéliales». [580]
L’article continue: « Pour en savoir plus, lui et ses collègues vont maintenant passer à des modèles plus réalistes en menant les mêmes expériences en présence ou en absence de protéines – des macromolécules biologiques naturellement omniprésentes dans l’organisme – ou en initiant d’autres, in vivo, sur la souris. Objectif de ces dernières : établir l’incidence du graphène sur les maladies pulmonaires telles que des infections bactériennes. Le champ d’investigation du groupe de Cyrill Bussy ne s’arrête pas à ces seuls organes de la respiration. Il conduit aussi des études sur le cerveau. Réalisée dans le cadre du Nanomedicine Lab dans le but d’évaluer l’innocuité du graphène en vue de son éventuelle utilisation en nano-médecine, l’une d’entre elles a ainsi consisté à comparer in vivo le potentiel inflammatoire et toxique du matériau avec celui de liposomes et de nanotubes de carbone. Là encore, aucun impact alarmant n’a pour l’instant été constaté ni parmi les neurones ni parmi les cellules gliales. Seul un effet transitoire d’inflammation « à faible dose » a été mis en évidence pour l’un des types de cette dernière famille cellulaire. Enfin, l’un de ses étudiants en thèse travaille également sur la possibilité de biodégradation in vivo du graphène oxydé et sur les conséquences biologiques éventuelles de ce catabolisme». [580]
Rappelons que cet article date de 2015. Il existait, déjà, à cette époque une foultitude d’études prouvant la toxicité du graphène… et il semblerait que le CNRS ne s’en affolait pas pour autant. De plus, depuis 2015, il en existe une foultitude d’autres et on peut se demander pourquoi, dans cette situation de toxicité avérée, les masques à graphène aient été autorisés par les Autorités. D’ailleurs, je ne me demande pas pourquoi puisque j’en connais la raison: le Génocide des Peuples.
C’est donc pour continuer à Génocider les Peuples que, le 13 juillet 2021, le Ministère de la Santé du Canada – encouragé par les divagations publiques du psychopathe Macron le 12 juillet – a de nouveau permis à la vente les masques au graphène de Shandong Shengquan. [647]
Magnétofection
Depuis plusieurs mois, ce sont des dizaines de milliers – en fait, des millions – de vidéos qui ont émergé sur l’internet pour démontrer l’électromagnétisation d’un très grand nombre de vaccinés/injectés par les poisons anti-pandémiques de la Mafia Pharmacratique (au site de l’injection, dans la majorité des cas) mais pas systématiquement.
Le 23 mars 2021, une enseignante du Chili, Claudia Pacheco, a demandé à sa juriste d’exiger des explications auprès des Autorités car, à la suite de son inoculation par une injection du “vaccin” anti-CoqueVide/19 du Chinois Sinovac, elle était capable de faire adhérer deux IPhones à son épaule. [681]
Fin mai 2021, une personne injectée par le poison d’AstraZeneca, a signalé que son téléphone portable, son automobile, son téléviseur, etc, tentaient, en permanence, de se connecter, par Bluetooth, à lui-même en émettant le message: “Connexion à AstraZeneca_ChAdOx1-S”. [682] ChAdOx1 est le nom du vecteur (prétendument dérivé de chimpanzé) utilisé dans certains “vaccins” d’AstraZeneca. [683]
Fin mai 2021, le même cas de connectivité, par Bluetooth, a été signalé par une femme âgée en Argentine, qui venait de se faire injecter le “vaccin” anti-CoqueVide/19 Russe, le Sputnik. [684]
Faut-il repréciser que le journal The Lancet a publié une étude, en décembre 2020, intitulée “Safety and efficacy of the ChAdOx1 nCoV-19 vaccine (AZD1222) against SARS-CoV-2: an interim analysis of four randomised controlled trials in Brazil, South Africa, and the UK” [691]. Cette étude – en partie financée par la Fondation Bill Gates et par AstraZeneca – affirme que le vaccin d’AstraZeneca est, strictement, inoffensif. Aujourd’hui, combien de centaines de milliers de morts, et combien de millions d’handicaps à vie, ont été induits, de par le monde entier, par ce poison “vaccinal” d’AstraZeneca?
Par exemple. Une association du Luxembourg a enquêté auprès d’un petit échantillon de 30 vaccinés et de 30 non-vaccinés afin de vérifier si, réellement, les injectés manifestaient des effets d’électro-magnétisation ou de projection de champ électrique. Ces effets ne furent vérifiés chez aucun des 30 non-vaccinés. Par contre, ils furent vérifiés chez 29 des 30 vaccinés dont 22 étaient électro-magnétiques sur une seule épaule et 7 l’étaient sur les deux épaules. Pourquoi? Parce, tout simplement, les 22 n’avaient subi qu’une seule injection tandis que les 7 en avaient subi deux. Les injections étaient celles de Pfizer, d’Astra Zeneca, de Moderna et de Johnson & Johnson. En outre, deux des 29 personnes électro-magnétisées émettaient un champ électrique très anormal. [498] [875]
Par exemple. La seconde étude, toujours au Luxembourg, dénommée “Opération Secret 16”, est présentée sur le site de Guy Boulianne. [983] Les résultats sont tels qu’il suit. Dans le groupe non vacciné CoqueVide/19, 2 des 30 personnes ont eu une adhérence de la pièce. Dans le groupe vacciné CoqueVide/19, 35 des 75 personnes ont démontré une aimantation de la pièce, au site d’injection, et 10 ont démontré une aimantation bilatérale. Il est important de souligner que les premiers injectés Pfizer n’aimantaient pas contrairement aux injectés Pfizer récents. Cette observation donne raison aux chercheurs de la Quinta Columna qui ont affirmé qu’il serait nécessaire d’injecter les masses tous les x mois afin de maintenir un bon niveau d’oxyde de graphène magnétique dans le corps.
Un canal de news en Inde a cru bon d’illustrer son propos – à savoir d’invalider la réalité du magnétisme de certains injectés – en présentant de très nombreuses séquences très explicites… quant à la magnétisation des injectés. Attention: cette vidéo [943] peut contenir des images choquantes pour un certain nombre de personnes sensibles. En effet, nombre d’injectés CoqueVide/19, lorsqu’ils se savent magnétisés, ont, très souvent, besoin de conseil psychologique… surtout lorsqu’un chapelet d’objets métalliques leur reste collé à divers sites du front. Est-ce pour mieux attaquer le chakra frontal et le chakra coronal – le chakra de la Couronne – que l’oxyde de graphène est ajouté aux injections? Il est aisé d’imaginer que oui – entre autres attaques génocidaires et/ou magnétisantes.
En France, le CHU de Rouen (Hôpital Charles Nicolle) a confirmé un fort effet magnétique observé chez une patiente qui fut vaccinée le 27 Mai 2021. Est-ce normal docteur? [965]
En France, en Charente, le médecin cardiologue, le Dr Julien Devilleger, a fait la une de la presse locale car il est convaincu que la magnétofection induite par les injections anti-CoqueVide/19 est une réalité indéniable. [1121] [1122]
En début juillet, le site Mondialisation du Canada a mis en ligne un article de Theara TruthNews intitulé “Des «vaccins» au nanoGraphène, super magnétiques, pour l’Intelligence artificielle et l’Internet des corps”, avec cette introduction: «Le site Factuel de l’AFP [556] a tenté de nier les faits du magnétisme malgré les nombreuses recherches scientifiques sur cette question. L’AFP souligne entre autres que l’experte scientifique « Pour appuyer ses propos, Jane Ruby montre des captures d’écran de documents d’une société allemande, Chemicell, et assure, en la citant, que « les réactifs de magnétofection sont développés, conçus et prévus, pour la recherche », et ne doivent pas être utilisés « pour tout médicament destiné à l’homme »… L’AFP cite d’autres experts qui nient le phénomène dont ceux de la mégasociété pharmaceutique Pfizer qui vend son vaccin partout dans le monde. Faut-il faire confiance à une société poursuivie en justice [557] (“fraudulent marketing”, etc.) ?» [555]
«La magnétofection est une méthode de transfection qui utilise des champs magnétiques pour concentrer les particules contenant l’acide nucléique dans les cellules cibles. Le principe de la magnétofection est d’associer des acides nucléiques à des nanoparticules magnétiques cationiques: ces complexes moléculaires sont ensuite concentrés et transportés dans des cellules exposées à un champ magnétique approprié». [677] [678] [679] Selon la définition de Fakypedia.
Il s’agit de magnétofection, à savoir d’un mode de transfection qui utilise des champs magnétiques pour concentrer les particules contenant l’acide nucléique dans les cellules cibles, à savoir pour les transfecter. [559] Cette nouvelle méthode utilise une protéine magnétisée pour activer les cellules du cerveau de manière rapide, réversible et non invasive. Ces recherches ont été présentées, en 2016, par la Revue Nature Neuroscience ainsi que par le journal The Guardian. [558] L’article de ce dernier mentionne d’autres études démontrant que les protéines des cellules nerveuses, lorsqu’elles sont activées par la chaleur ou par la pression mécanique, peuvent être génétiquement manipulées afin de devenir sensibles aux ondes radios [559] et aux champs magnétiques [560] – en les attachant à une protéine stockant le fer appelée ferritine, ou à des particules paramagnétiques inorganiques.
Selon ces recherches, les biologistes peuvent activer, ou désactiver, les neurones de tout animal vivant – y compris, et surtout, humain – à volonté et sans aucuns implants en chimérisant les neurones, des manants, afin de les rendre très accueillants eu égard aux bienveillantes injonctions émanant d’ondes radios ou de champs magnétiques sous le contrôle des Autorités.
Avez-vous cette vidéo Russe montrant de la poudre d’oxyde de graphène activée, en mouvements, par un téléphone mobile? [1077]
Des recherches récentes, sur le cerveau de rats, ont porté sur la création de senseurs (d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle) constitués de protéines magnétisées qui se lient à la dopamine, et sur la stimulation électrique de l’hypothalamus afin d’induire la production de dopamine, afin d’analyser comment la dopamine, libérée dans le striatum des rats, influençait la fonction neuronale à la fois localement et dans d’autres régions du cerveau. Cette étude a mis en exergue que l’accroissement de la production de dopamine n’augmentait pas l’activité des neurones mais bien plutôt leur durée d’activité. [563]
Connaissez-vous cette vidéo, publiée en 2019, et intitulée “Bigger than Snowden. Neuro Weapons. Directed Energy Weapons. Mind Control. Targeted Individuals”? [835] Elle présente divers lanceurs d’alertes : Edward Snowden, Barry Trower, William Biney. C’est dans cette vidéo qu’est présenté un bref extrait d’une autre vidéo “Militarized Neuroweapons Presentation” [836] (de plus de deux heures) impliquant le Dr. James Giordano, un expert en armes neurologiques au DARPA qui déclare, en toute franchise, à une audience de militaires, qu’il peut perturber l’activité mentale d’un individu sur divers plans – à savoir interférer avec son psychisme – et qu’il peut orchestrer de telles perturbations neuronales à tous les niveaux du tissu social.
Ainsi que nous l’avons signalé, en début d’essai, si les chercheurs de la Quinta Columna ont raison, le “vaccin anti-grippal” de Sanofi-Pasteur, le “VaxigripTetra”. [634] [635] contiendrait du graphène. En fait, il s’avère que des enfants, en Amérique latine, qui ont été vaccinés étant nourrisson, font preuve, également, de nombreuses années plus tard, de magnétisation à l’endroit de l’injection. [680]
C’est, également, ce qu’a dénoncé le médecin Mexicain, Dr. Pedro Chávez, dont un certain nombre de patients exhibent le phénomène de magnétisation à la suite des injections anti-CoqueVide/19 mais, aussi, à la suite des injections anti-grippales de l’année passée. Dr. Pedro Chávez a témoigné que ses patients magnétisés ont été injectés avec des poisons émanant tout autant de Pfizer, d’AstraZeneca, de Sinovac et de CanSino. [685]
Selon le biologiste José Luis Sevillano de la Quinta Columna, heureusement que le graphène se manifeste par des phénomènes de magnétisation… car, sinon, il eut été très difficile de découvrir l’élément génocidaire dans les injections, dans les masques, dans les test PCR, etc. José Luis Sevillano précise que l’oxyde de graphène ne devient magnétique, dans le corps physique, que lorsqu’il entre en contact avec des cellules vivantes ou lorsqu’il est activé par une source extérieure – par exemple, par des signaux émanant du réseau 4G ou 5G. [833] José Luis pose, également, la question de savoir si l’affinité de l’oxyde de graphène pour les poumons, le cerveau et le coeur peut s’expliquer par la température de ces organes ou par le champ électro-magnétique qu’ils manifestent.
Suite aux révélations de la Quinta Columna, de nombreux investigateurs, de par le monde, ont commencé à se munir d’aimants pour vérifier tous ces phénomènes de magnétofection. Par exemple, un client Espagnol a découvert qu’un complexe de multi-vitamines, et de minéraux, du Laboratoire Pharmaton-Sanofi, était totalement magnétique. Il a réussi à contacter la ligne téléphonique de pharmacovigilance du Laboratoire Pharmaton-Sanofi et à communiquer avec la responsable, Silvia Tintoré Vidal. Depuis son appel téléphonique, et sa requête précise quant au phénomène magnétique, cette ligne téléphonique de pharmacovigilance, de Pharmaton-Sanofi, a été discontinuée. Le profil LinkedIn de Silvia Tintoré Vidal a disparu de la Toile [1140] et il ne reste rien d’elle, sur la Toile, à part une présentation sur la biologie synthétique et sur des micro-satellites. [1141]
Le Canal Télégramme d’Info-Vacunas a posté de nombreuses vidéos de remèdes totalement magnétisés.
Concomitant à ce phénomène de magnétofection, il se manifeste, également, un phénomène de luminescence lorsque le site de l’injection est éclairé d’une lumière ultra-violette. Selon Ricardo Delgado, la fiole de Pfizer donne un pic à 340 nm – qui est le pic des radiations ultra-violettes. Il en déduit qu’il existe un contenu photo-luminescent, à l’intérieur de la fiole de Pfizer, possédant les mêmes caractéristiques que le graphène. [808]
Il existe de nombreuses vidéos, sur la Toile, prouvant ce phénomène de photoluminescence, qui émanent de personnes fraichement injectées avec l’un des poisons très toxiques – sur mode vaccin ARNm – de Pfizer, Moderna et compagnies.
Il existe une foultitude d’études portant sur la photo-luminescence spécifique du graphène. [811] Par exemple, une étude, de septembre 2020, a mis en exergue que l’oxyde de graphène mélangé avec du 2-{Bis[2-(pyridin-2-yl)ethyl]amino}ethan-1-ol – un éthanol de formule C16H21N3O – faisait preuve d’une excellente photo-luminescence en présence de zirconium dans une solution aqueuse. [809] [810]
Par exemple, une étude intitulée “Photoluminescence properties of graphene versus other carbon nanomaterials”, qui déclare: «Dans cette étude, nous examinons les caractéristiques des émissions observées de photoluminescence dans des matériaux à base de graphène. Nous associons les caractéristiques structurales, dans les matériaux au graphène sous-jacents, avec les propriétés émettrices comme une façon de les classer sous deux rubriques fondamentales: d’une part, des émissions qui émanent de bandes d’énergie interdites créées, ou induites, dans une plaque d’une seule épaisseur de graphène et, d’autre part, des émissions qui sont associées avec des défauts dans des plaques d’une seule épaisseur, et/ou de plusieurs épaisseurs, de graphène. Nous mettons en exergue les similarités et les différences entre les propriétés de photoluminescence observées des matériaux à base de graphène et celles observées dans d’autres nano-matériaux de carbone incluant les points quantiques et les nano-tubes de carbone à la surface passivée. Nous en analysons, ensuite, les implications mécanistes». [810]
Supra-Conductivité Electrique du Graphène
En octobre 2017, l’Académie Chinoise d’Agriculture a publié un article, intitulé “Porous Graphene Microflowers for High-Performance Microwave Absorption”. qui met en exergue le fait que, selon la structure tridimensionnelle conférée au graphène, il possède telle ou telle bande d’absorption.
«Le graphène a fait preuve de grandes potentialités en ce qui concerne l’absorption par micro-ondes de par sa grande surface, de sa faible densité, de sa conductivité électrique modulable et de sa bonne stabilité chimique. Afin de pouvoir developper les pleines potentialités d’absorption par micro-onde du graphène, sa microstructure doit être, précisément, évaluée. Pour cette étude, nous avons préparé des Microfleurs de graphène (Gmfs) possédant une structure hautement poreuse pour servir de matériau de charge en vue d’une très grande capacité d’absorption par micro-onde. La largeur efficace de bande d’absorption (avec perte de réflexion de ≤ −10 dB) atteint 5,59 GHz tandis que le minima de perte de réflexion peut atteindre -42.9 dB – témoignant d’une augmentation conséquente en comparaison de la structure du graphène empilé». [1050]
La bande d’absorption de 5,59 GHz correspond à la bande de la 5G.
Cette étude Chinoise met en exergue le fait que, selon la structure tridimensionnelle conférée au graphène, il possède telle ou telle bande d’absorption. Le caractère fondamental du graphène est sa conductivité électrique modulable: en fonction du signal d’ondes, il devient plus ou moins conducteur. Cela signifie que lorsque le graphène est activé, par la fréquence adéquate, il commence à s’exciter, à devenir plus conducteur… et c’est alors qu’il commence à s’oxyder et à devenir destructeur.
Selon José Luis Sevillano, il est très plausible que les injectés/graphénisés, par l’oxyde de graphène dans les injections, développent plus rapidement des myocardites, des thromboses, des péricardites, etc, etc, dans les grandes villes – qui constituent de véritables fours à micro-ondes en raison de la 4G … et bientôt, ou déjà, à cause de la 5G – ou à proximité d’antennes ou à proximité de champs électro-magnétiques.
C’est pourquoi, aussi, les chercheurs de la Quinta Columna mettent en garde tous les injectés/graphénisés de ne pas subir d’examens médicaux par imagerie par résonance magnétique à cause de risques avérés d’excitation de l’oxyde de graphène dans leurs corps. [834]
Xochi. Le 2 août de l’An 03 des Gilets Jaunes et de l’An 01 du Peuple Français en Révolution