Les Qualités Médicinales des Dahlias

Le genre Dahlia, de la Famille des Astéracées – et de la Tribu des Heliantheae – comprend une quarantaine d’espèces [23] qui sont originaires du Mexique et de Méso-Amérique ainsi que, pour quelques espèces, du nord de l’Amérique latine. Les Dahlias croissent, généralement, à des altitudes comprises entre 1500 et 3700 mètres.

En 1963, le Dahlia fut intronisé comme la fleur officielle du Mexique.

Les Dahlias furent introduits en Europe, vers 1788/1789, lorsque le botaniste Antonio José Cavanilles (1745-1804), de Madrid, reçut des semences de Dahlia envoyées par le Jardin Botanique de Mexico. Cavanilles nomma ces espèces Dahlia en hommage à son ami Anders Dahl (1751-1789), un botaniste Suédois élève de Carl von Linné.

A partir de ces semences, Antonio José Cavanilles cultiva et nomma trois espèces de Dahlia: une variété à fleurs doubles qu’il nomma Dahlia pinnata (en 1791) et deux autres variétés à fleurs simples qu’il nomma Dahlia rosea et Dahlia coccinea (en 1796). Continuer la lecture

Les Qualités Médicinales et Tinctoriales des Résédas

Les Résédas font partie de la Famille des Résédacées. Le genre Reseda comprend une soixantaine d’espèces reconnues. En France, les espèces les plus répandues sont le Réséda des Teinturiers (Reseda luteola), le Réséda sauvage ou Réséda jaune (Reseda lutea), le Réséda blanc (Reseda alba), le Réséda odorant (Reseda odorata), le Réséda glauque (Reseda glaucum) et le Réséda raiponce (Reseda phyteuma).

Le terme “reseda” est issu du latin “re/sedare” signifiant “calmer, apaiser”. Cette même racine Latine a donné “sédatif” – mais, aussi, “dissident” dans le sens de refuser de s’asseoir, refuser de se calmer… lorsque la rage qui monte est trop intense. Et l’époque est à la Rage.

Henri Cazin, en 1868, dans son “Traité Pratique et Raisonné des Plantes Médicinales Indigènes” évoque des utilisations traditionnelles des Résédas: Continuer la lecture

Les Qualités Médicinales, Narcotiques et Aphrodisiaques du Pavot Somnifère

Avant-Propos d’Actualité

« Dix fois dans la journée, tu dois te surmonter: c’est la preuve d’une bonne fatigue et c’est le Pavot de l’âme».

 Friedrich Nietzsche. Ainsi parlait Zarathustra.

La très bonne nouvelle du jour… et c’est un petit Pavot de l’âme de voir que les pavés commencent à pleuvoir sur les parvis des parvenus. En effet, un collectif d’associations de patients et de syndicats de médecins vient de se surmonter [111] afin de partir en chasse: leur objectif est la dissolution du Conseil de l’Ordre des Médecins. C’est absolument enthousiasmant – et cela fait une quarantaine d’années que je dénonce cette organisation pseudo-médicale mafieuse, “inutile et nocive”, à la solde de la Pharmacratie génocidaire.

D’ailleurs, une autre très bonne nouvelle: une dizaine de pays, principalement  Européens, viennent juste d’interdire la distribution du vaccin d’AstraZeneca pour cause de caillots sanguins intempestifs et létaux. [113]  [114] Nonobstant, les experts scientifiques Français indépendants (et, néanmoins, rémunérés par les multinationales de la Pharmacratie) savent beaucoup mieux et, le même jour, Olivier Véran [115], le ministre du Massacre Sanitaire, a affirmé vouloir continuer à vacciner avec cette arme de guerre Chinoise…

… car le vaccin d’AstraZeneca est Chinois – à savoir, la propriété du Comité Central du Parti Communiste. En effet, AstraZeneca et Novartis (une fusion des deux grands pollueurs Ciba-Geigy et Sandoz) ont fusionné, en 1999, pour créer Syngenta – l’une des multinationales les plus biocidaires de la planète, sur le plan de l’agriculture chimique, de la pharmacie génocidaire… et de l’éradication brutale et meurtrière, par des milices, des paysans pauvres en Amérique latine. Syngenta, en 2016, a été racheté par ChemChina  – par l’Etat Chinois – pour 43 milliards de dollars.

Il est vrai que le vaccin d’AstraZeneca est, également, dénommé le vaccin “Oxford/AstraZeneca” du nom de l’Université Oxford, en Angleterre, qui a collaboré à sa fabrication. En effet, la Chine est très impliquée (un doux euphémisme) dans le système éducatif (ou supposé tel) et universitaire du Royaume-Uni. A tel point, qu’en 2019, l’Université d’Oxford a annoncé qu’elle stoppait toute réception de subventions financières de la part du géant Chinois des télécommunications, Huawei. [119]

La Chasse aux Prédateurs est Ouverte! Continuer la lecture