Los Cantos de Xochi. Le Temple de Yaldabaoth a brûlé!

Notre Dame Orgasmique qui Jouit en Terre! Baisez pour nous!

Avant-Propos: C’est une amie inconnue, Muriel, admiratrice de la verve de veines d’arrogations de John Lamb Lash, qui m’a soufflé le titre de ce Canto – car les Muses s’amusent au sein des fractures turbulentes et chaotiques dont les Dakinis, déridées et débridées, enrident et enthousiasment l’Atmosphère Vivante de notre Mère, la Terre. Le Temple de Yaldabaoth a brûlé! Il est sage de préciser pour tous les non-éduqués – en fait, la quasi-majorité des Peuples de par l’inconscience collective archi-contaminée par un chapelet de Pestes Sionistes et autres Dissonances Cognitives – que Yaldabaoth est une autre dénomination pour Yahvé, alias Jéhovah, alias Samaël l’Aveugle, alias le Seigneur des Clones, alias Dieu le Père.

La cathédrale de Paris dédiée à Marie – une invention tardive des Pervers du Vatican – est un Temple consacré à Yaldabaoth car la Juive Vierge Marie, non Maculée, est la Mère du Dieu Tribal, dément et sanguinaire, des Hébreux: à savoir Yaldabaoth. C’est dans le canon endoctrinaire, de l’Eglise Catholique et Catastrophique, au service des canons génocidaires de leurs Grandes Boucheries de Libération – du corps physique. L’origine de cet édifice de pierres, de chênes et de voûtes – dont la finalité est de pétrifier, d’enchaîner et d’envoûter la psyché humaine au travers de ses divers vecteurs hallucinatoires: orgues, vitraux, etc – remonte à Abraham. C’est sur le “Sacrifice de l’Enfant” que sont fondées les trois religions monothéistes que sont le Judaïsme, l’Islam et le Christianisme. Prétendre le contraire serait sombrer dans un NégaSionisme des plus pernicieux. N’en déplaise aux hordes de Chrystériques qui encombrent et contaminent, de leurs hallucinations collectives et morbides, l’espace public – tout autant que la Biosphère Gaïenne. 

Quant aux délires qui animent mes Cantos, dans le sens originel du concept de “de/lirium”, à savoir de “sortir des sillons” – et surtout des Sillons de Sion – ils sont souvent accompagnés de néologismes de mon innovation, ou de celle de John Lamb Lash: un don des inspirations, des respirations et autres conspirations des Muses et Dakinis Gaïennes.

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