Los Cantos de Xochi: Au Plaisir de la Correction de notre ADN Gaïen

Au grand plaisir de l’Education des Peuples

et de la Correction de notre ADN Païen:

Au grand plaisir de l’Education des Peuples et de la Correction de notre ADN Païen qui ne fut pas imaginé, originellement, pour être Sionisé: l’intégralité de mes essais, et de mes traductions, est libre de droits sur la Toile. J’invite tous les révolutionnaires sincères, et non psychopathes, à les disséminer à leur bon gré et à leur bonne humeur. Xochi

**************************

Mon site “Magie Tantrique Gaïenne” constitue mon oeuvre la plus transgressive : c’est l’équivalent d’une vingtaine de gros ouvrages de traductions de toute l’oeuvre écrite, et en partie orale, de John Lash – entreprise dès 2006. Je conseille à tous ceux qui voudraient me chercher des mites, et autres poux “Anti-Sionistes”, sur la tête de ma Mère, de plonger la leur, s’ils en ont le courage, dans ce bain de transgression. Cela ne risque en rien de les contaminer, spirituellement parlant, car les Psychopathes ont développé une immunité spéciale à l’encontre de tout ce qui n’est pas mensonges – et, surtout, à l’encontre de l’Authenticité Organique de la Vie. Continuer la lecture

Los Cantos de Xochi: A chacun Ses Mythes et Ses Mites Anti-Sémites!

Caveat. Je souhaite mentionner pour tous ceux qui auraient des doutes – quant au fonctionnement harmonieux de mes connexions synaptiques – qu’effectivement, je suis tombé dans le Tonneau des Druides – ou de toute autre Tradition Indigène de Quête de Vision – ainsi que dans le Chaudron de Kerridwen. Toutes ces Traditions rendent hommage aux Plantes Médicinales, et à toutes les autres substances visionnaires de la Biosphère Gaïenne, qui font chanter les neurones et qui font, parfois, éclater les seuils de filtration au point de pouvoir y accueillir les Lumières de la Sagesse du Serpent. Il est fort intéressant, à ce propos, que le terme “Délire” vienne, étymologiquement, du Latin “Delirium” qui signifie, littéralement, “Sortir des Sillons”.

Je suis le sujet d’une Imagination qui me fait léviter, sans que je ne puisse l’éviter, afin de m’éviter que je ne m’Imagine à Sion. En effet, je jouis, depuis tout jeune, de la protection des Fées Celtiques, Sidhe et autres Tuatha Dé Danann, m’accompagnant, depuis mon berceau d’antan, en Bretagne persécutée par le monothéisme. Je jouis, également et par conséquence, d’une exacerbation pressante de cette capacité, innée à l’animal humain, de pouvoir – en toutes intuitions, inspirations et imaginations orgasmiques – se libérer des sillons et, surtout, de pouvoir se libérer de l’envoûtement émotionnel et mental, sur mode de paradigme linéaire, des Sillons de Sion. Et j’en remercie la Terre Mère car il n’est que Temps que la Sagesse du Serpent Mythique s’infiltre, en toutes insinuosités, dans les Sillons de Sion, pour les miner, les désagréger et les faire imploser – avec ou sans Protocoles. Pour le Mutualisme. Pour la Paix. Pour la Vie.

**************************

En avant-propos, je souhaite préciser, également, qu’il n’est pas dans mes habitudes de m’épancher sur des épisodes de ma vie qui n’intéressent, à priori, que moi-même – ou que nous-mêmes, dirais-je, car comme tout un chacun devrait le faire, je tente, quotidiennement, de me soigner ma nature contaminée, par la culture génocidaire Sioniste – car même s’il est aisé de se libérer des virus Sionistes mentaux, il l’est moins de se décontaminer du génocide ambiant à la mode Fukushima. L’une de ces corrections fondamentales, et quotidiennes, consiste, déjà, par conséquent, à éradiquer, de notre ADN humain, tous ces engramnes et autres virus Sionistes qui y ont été imprégnés par l’Etat, la Religion, la Culture, l’Edu-Castration, les Langues, les Organisations Internationales, etc. Continuer la lecture

La Tête de Dragon Turc et autres Dracocephalum: des Panacées dans la Pharmacopée Familiale

Le Souffle Médicinal de la Tête de Dragon Turc

Le Dracocephalum moldavica, ou Dracocephalum moldavicum, est une espèce de la Famille des Lamiacées originaire du coeur de l’Asie et très naturalisée en Europe de l’est et du centre. Le genre Dracocephalum – du Grec “Drakon” et “Kephale” pour “tête de dragon”comprend environ 70 espèces. Cette espèce est également appelée, en Français, le “Dracocéphale de Moldavie”.

Lorsque l’on accueille, dans son jardin, le Dracocéphale de Moldavie, c’est pour la vie, et pour la Vie, car cette Panacée de la Médecine des Nomades Ouïghour se bouture à merveille et se resème aisément. Et, d’ailleurs, tant aisément, de par sa nature nomade, qu’on se demande pourquoi les cerveaux fêlés de la Police des plantes invasives – au service de la Pharmacratie – ne l’ont pas encore dénoncée auprès des Autorités incompétentes.

Les semenciers de France, qui commercialisent des graines de Dracocephalum moldavicum, sont-ils vraiment conscients qu’ils distribuent une espèce extrêmement médicinale interdite par la Pharmacratie et, qui plus est, invasive? Continuer la lecture

Le Ginseng des Pauvres et autres Codonopsis: des plantes médicinales, aphrodisiaques et magiques

Les Codonopsis font partie de la Famille des Campanulacées. Le genre Codonopsis contient une cinquantaine d’espèces qui sont toutes originaires de l’Asie de l’est – du Kamchatka à Taiwan. Ce sont des espèces vivaces et tubéreuses.

Codonopsis vient des termes Grecs “Kodon”, pour cloche, et “Opsis”, pour semblable.

Les principales espèces utilisées traditionnellement – en cuisine et, surtout, dans les Médecines Chinoise et Tibétaine – sont Codonopsis pilosula et Codonopsis lancelolata. Dans certaines régions de Chine, ces deux principales espèces sont remplacées par Codonopsis tubulosa, Codonopsis clematidea et Codonopsis subglobosa. Continuer la lecture

Les Belles de Nuit, et autres Mirabilis: des Merveilles de la Pharmacopée et de la Magiacopée Familiales

La Belle de Nuit, ou Merveille du Pérou – Mirabilis jalapa – est originaire d’Amérique Latine et fait partie de la Famille des Nyctaginacées. Le genre Mirabilis comprend une soixantaine d’espèces tempérées et tropicales – dont une moitié est sise en Amérique du nord. Il n’en existe qu’une seule espèce en Asie, Mirabilis himalaica, qui se serait séparée de ses espèces soeurs des Amériques vers le début du Pléistocène – il y a deux millions d’années, et des poussières – afin d’aller conter fleurette dans les Himalayas, au Tibet et dans la province Chinoise de Sichuan. Continuer la lecture

Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales

Le genre Dianthus, dans la Famille des Caryophyllacées, comprend environ 320 espèces originaires d’Europe et d’Asie, principalement. Quant à l’Afrique sub-saharienne, ce sont une vingtaine d’espèces qui en sont originaires dont 16 en Afrique du sud. Une seule espèce est originaire d’Amérique du Nord, Dianthus repens en Alaska. De nouvelles espèces sont découvertes presque chaque année.

Continuer la lecture

Diversité d’Artemisia pour la Pharmacopée Familiale

Cet essai offrira, au fil de leur écriture, de courtes présentations de certaines espèces médicinales dans le genre Artemisia.

Artemisia scoparia

Dans la Pharmacopée Chinoise, Artemisia scoparia est appelée Yin Chen Hao. La source écrite la plus ancienne, de son utilisation médicinale, se trouve dans le traité médical “Shen Nong Ben Cao Jing” – qui date du second siècle. Artemisia scoparia est associée avec les Méridiens du Foie, de l’Estomac, de la Rate/Pancréas et de la Vésicule Biliaire. C’est l’un des remèdes les plus antiques pour lutter contre les jaunisses. Elle est utilisée pour traiter la cirrhose du foie, les hépatites virales et la cholcystite ainsi que des problèmes dermatologiques (en particulier les champignons de main et de pied) et des fièvres.  Elle favorise la sécrétion de la bile et la régénération des cellules du foie. Le dosage quotidien prescrit est de 10 à 30 grammes. Continuer la lecture

L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale

L’Artemisia annua : un anti-microbien systémique

Stephen Harrod Buhner – l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont “Herbal Antibiotics”  – nous invite à intégrer l’Artemisia annua, dans notre pharmacopée familiale, en tant qu’anti-microbien systémique. En raison de la complexification et de la planétarisation des pathologies, d’une part, et en raison de l’effondrement du système immunitaire humain, d’autre part, Stephen nous invite, de plus, à considérer toute plante active, à l’encontre du parasite de la Malaria, comme un potentiel anti-microbien systémique dans notre vie quotidienne. C’est le cas, par exemple, de Bidens pilosa, de la Famille des Astéracées, ou de Sida cordifolia, de la Famille des Malvacées – une plante résiliente que nous espérons présenter en semences, très prochainement, chez Kokopelli. Continuer la lecture