Pourquoi la société Turque, Nanografi, n’a-t-elle jamais commercialisé son vaccin Nanografi – au Graphène – en spray nasal, à l’encontre du Sars-CoV-2 inexistant?

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Pourquoi la Turquie a-t-elle donné la préférence, soudainement, au Turkovac – à base de nano-particules d’or de moins de 200 nm?

Pourquoi la société Turque, Nanografi, n’a-t-elle jamais commercialisé son “vaccin” au Graphène?

Historique du Lancement du “vaccin” de Nanografi

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Pourquoi la Turquie a-t-elle donné la préférence, soudainement, au Turkovac – à base de nano-particules d’or de moins de 200 nm?

Le monde médical n’a plus, jamais, entendu parler du premier vaccin Turc de Nanografi – au Graphène et en spray nasal – à l’encontre du Sars-CoV-2 inexistant, depuis l’annonce, en grandes fanfares, du lancement de la phase 1 d’expérimentation – lorsque le ministre de la technologie, Mustafa Varank, inaugura, le 31 mars 2021, l’unité de production de graphène de Nanografi. Pourquoi?

Voir le tweet du 15 février dans lequel le Dr. Ahmet Çağlar Özkete donne des informations, en Turc, sur le vaccin contre le virus du CoqueVide qu’il a mis au point, avec Nanografi, sous forme de spray. [94] C’est dans ce tweet, en effet, qu’Ahmet Çağlar Özkete annonce que le vaccin, de Nanografi-METU, sera prêt pour l’automne 2021. 

Aujourd’hui, il semblerait que le vaccin de Nanografi – au Graphène et en spray nasal – se soit volatilisé à jamais dans les oubliettes de l’Histoire Turque. A ce jour, il est impossible, en effet, de trouver, sur la Toile, en Turc, une quelconque information postérieure à avril 2021. 

Il est à noter que le professeur Dr. Görkem Günbaş, de Middle East Technical University, avait prêté son laboratoire pour lancer ce projet de création vaccinale. Le Dr. Görkem Günbaş est un spécialiste, entre autres, des fullerènes (graphène) et de leur application dans l’électronique organique. [85]

Le concepteur du projet de “vaccin” de Nanografi, le Dr. Ahmet Çağlar Özketen, est un biologiste moléculaire spécialiste du graphène et de l’intégration de la nano-électronique avec l’ADN. Il est directeur de l’unité de biotechnologie de METU Teknokent Nanography et membre senior de l’équipe de développement de nouveaux médicaments au Laboratoire de biochimie avancée pour la découverte et les applications de médicaments au METU – Middle East Technical University. 

La demande de brevet, pour ce “vaccin”, date du 21 mai 2020. Elle est requise par Nanografi Nano Teknoloji et quatre des requérants sont les Dr. Ahmet Çağlar Özketen, Dr. Görkem Günbaş, Alagöz Hüseyi̇n et Dr. Erdem Murat. [105] 

Murat Erdem semble être un spécialiste de l’électronique couplée à la génétique – si l’on en juge par les brevets en lesquels il est mentionné comme demandeur.  [117]

Alagöz Hüseyi̇n est l’un des directeurs de Nanografi et un spécialiste du graphène.  [113] [120]

Cette demande de brevet, en fait, renvoie à une autre (d’application “mondiale”) datant du 14 mai 2021. [106] 

Avec strictement le même libellé: “La présente invention concerne un vaccin destiné à être utilisé dans la lutte contre le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SARS-CoV-2), qui vise l’immunisation par une séquence de protéines ou de protéines qui est formée sur la base d’un domaine de liaison au récepteur (RBD) de la protéine de spicule (S) dans le SARS-CoV-2. La présente invention concerne en outre une formulation pour améliorer l’efficacité du vaccin, une structure de support s’y rapportant, et des procédés donnés à titre d’exemple pour administrer ledit vaccin”

Par contre, ce second brevet afférent n’est plus requis par Nanografi Nano Teknoloji  mais par Turkiye Saglik Enstituleri Baskanligi.

Les demandeurs sont, quasiment, les mêmes. On retrouve les Drs. Ahmet Çağlar Özketen, Görkem Günbaş, Alagöz Hüseyi̇n, Murat Erdem – dont trois spécialistes du graphène.

Selon Google Patents, le Turkiye Saglik Enstituleri Baskanligi n’est titulaire que de deux brevets : celui-là [106] et celui concernant un test PCR. [111]

Cet institut, TUSEB – Turkiye Saglik Enstituleri Baskanligi – est celui qui a commercialisé le “vaccin” dénommé Turkovac. [107]

Dans le libellé de cette demande de brevet, il n’est pas question, officiellement, de graphène mais, par contre, il est extrêmement clair que le “vaccin” Turkovac est bâti sur une structure nano-particulaire d’or – avec des nano-particules de moins de 200 nm. 

Tout comme pour les dérivés de Graphène, il existe une multitude d’études scientifiques, portant sur la toxicité pour l’organisme animal, des nano-particules d’or. D’ailleurs, les nano-particules de graphène sont souvent fonctionnalisées, conjuguées, avec des nano-particules d’or. Une requête, chez PubMed, sur “gold/graphene” renvoie à des milliers d’études. 

Le “vaccin” Turkovac, qui a été utilisé, en multiples doses, pour injecter des dizaines de millions de Turcs est résolument un “vaccin” nano-particulaire, métallique, tel qu’il est stipulé dans la formulation du brevet afférent: il s’agit de nano-particules d’or de moins de 200 nm – de préférence

Il reste que trois principaux responsables de la création du vaccin” Turkovac sont des spécialistes de la famille du Graphène… 

Le Graphène est-il caché au coeur du Turkovac? Avis aux amis Turcs munis d’un microscope!

Pourquoi la société Turque, Nanografi, n’a-t-elle jamais commercialisé son “vaccin” au Graphène?

Est-ce parce que trop de chercheurs souffrirent de crises cardiaques “d’épuisement” – à savoir de Vaccidents cardiaques “par coïncidence” – telle que le relate la presse?

Où est-ce plutôt que la découverte d’oxyde de graphène, en mars 2021, sur des tests PCR, en Slovaquie, a incité les plus curieux à investiguer si le magnétisme de certains injectés CoqueVide/19 ne serait pas du, “par coïncidence”, à du graphène dans les flacons. C’est cette interrogation qui a suscité les premières découvertes, par le professeur Pablo Campra, en Espagne, d’oxyde de graphène et autres nano-structures métalliques – dans les flacons de Moderna, de Pfizer, de Janssen et d’AstraZeneca. 

Il est toujours plaisant de bénéficier d’alternatives. En tout cas, il est aisé d’imaginer que les sociétés de Big Pharma – Moderna, Pfizer, Johnson and Johnson, AstraZeneca, Sinovac, etc – n’ont pas vu d’un bon oeil que leur secret professionnel de fabrication soit trompeté, à grands renforts de presse, alors que le monde commençait à se réveiller à la présence croissante, et exponentielle, des nano-particules dans les applications médicales de toutes sortes. En effet, aujourd’hui, il n’est pas stipulé que des nano-particules métalliques, dont le graphène, entrent dans la composition des injections, dénommées “vaccins”, de ces divers commerçants industriels criminels. 

Ou est-ce, plutôt, qu’une partie de l’équipe originelle – Dr. Ahmet Çağlar Özketen, Dr. Görkem Günbaş et Dr. Erdem Murat – s’est recyclée sur la conception du premier “vaccin” Turc commercialisé, le Turkovac? En l’agrémentant, officiellement, de nano-particules d’or… Sont-elles fonctionnalisées avec du graphène ces nano-particules d’or?

Le Turkovac a obtenu une “autorisation d’urgence”, en décembre 2021. En janvier 2022, le gouvernement Turc a commencé à proposer son Turkovac, en booster, à toutes les personnes déjà injectées avec deux doses de Pfizer.  [112]

Le 21 février 2022, la BBC Turque précisait que le rythme d’injections, avec le Turkovac, serait de 2,5 millions de doses tous les mois. [139] Le 17 février le ministre Koca déclarait « A partir de la semaine prochaine, l’application de Turkovac commencera dans tous les hôpitaux publics, non seulement dans les hôpitaux d’enseignement et de recherche ou de la ville, mais aussi dans les districts. Je pense qu’il sera distribué aux médecins de famille dans deux semaines.»

La BBC Turque  précisait, également, que le Turkovac n’avait pas reçu l’approbation de l’OMS et que les résultats de la phase 3 d’expérimentation n’avaient pas encore été publiés. Une phase 3 d’esbroufe, de toutes façon, car il n’y a jamais eu de pandémie!

De plus, comme le Twitte le professeur Mehmet Ceyhan en mars 2022: « L’étude de phase 3 sur le Turkovac a été arrêtée sans cas. C’est très bien de se faire dire par le comité scientifique qu’il a été développé, qu’il est efficace, qu’il fait faire des mouvements de gymnastique aux anticorps et qu’il est plus efficace que le Sinovac. Mais il faut aussi expliquer que cette étude a été arrêtée.» [129]

Ou est-ce, tout simplement, parce qu’il y a eu un bras de fer entre d’une part, la société Nanografi Ou est-ce, tout simplement, parce qu’il y a eu un bras de fer entre d’une part, la société Nanografi (et Middle East Technical University) et d’autre part, l’institut TUSEB, Turkiye Saglik Enstituleri Baskanligi (et l’université Erciyes) qui est sous l’égide, directement du gouvernement, à savoir du président Erdogan lui-même? A savoir, un bras de fer non pas quant à la composition du premier “vaccin” Turc, contre le CoqueVide/19… mais quant aux honneurs officiels.

En fait, selon la presse Turque, dès juin 2021,  il y a eu un bouleversement dans les stratégies vaccinales du gouvernement.  «L’ordre du jour a soudainement changé et  le nom du vaccin national contre le coronavirus est devenu : TURKOVAC , les choses étaient sérieusement confuses. » [121]

En effet, le nom du vaccin Turc était auparavant “ERUCoV-VAC” et c’est le président Erdogan qui a choisi le nom Turkovar.

Les développeurs, officiels, du Turkovac incluent le Dr. Aykut Özdarendeli – qui détient un brevet portant sur le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo [128]. Il existe une étude intitulée “Development of an Inactivated Vaccine against SARS CoV-2” [126] rédigée par des chercheurs de l’université Erciyes… qui sont, peut-être, aussi, certains développeurs. Cette université Erciyes ne possède aucun brevet lié à des nano-particules ou, même, à des “vaccins”.

Se pourrait-il – afin d’étudier toutes les hypothèses – que le “vaccin” Turkovar n’ait rien à voir avec celui de Nanografi? Se pourrait-il que le “vaccin” Turkovar ne soit protégé par aucun brevet? 

En effet, l’institut  gouvernemental Turc, TUSEB ne possède qu’un brevet sur un “vaccin” – celui de Nanografi – et l’université Erciyes ne possède aucun brevet lié à des  “vaccins”.

Se pourrait-il que le “vaccin” Turkovar ait été conçu par l’institut  gouvernemental Turc, TUSEB, sans faire usage des recherches afférentes au brevet de vaccin nano-particulaire qu’il a récupéré de Nanografi?

Il n’est pas aisé de dépendre de deepl.com pour enquêter en Turquie. Nonobstant, certains articles de la presse Turque ont mis en exergue qu’il y avait quelque chose de trouble, suspect et occulte entourant le “vaccin” Turkovac.

Historique du Lancement du “vaccin” de Nanografi

Nanografi a été fondée par Ahlatcı Holding, en 2011, suite à la requête du ministre Turc de la technologie d’intégrer quatre jeunes chercheurs prometteurs. Nanografi, grâce à l’investissement financier qu’elle a reçu de cette holding, a accéléré ses travaux et ses recherches concernant la production de produits à base de dérivés de la famille du Graphène. La société Nanografi a été fondée pour développer le Graphène Turc – et tous les produits dérivés.

Nanografi est particulièrement spécialisé dans la production d’oxyde de graphène, de graphène, de nano-tubes de carbone, de nano-encres de graphène, etc.

La siège de Nanografi se situe sur le campus de la Middle East Technical University –  METU – à Ankara. Cette université est considérée comme l’une des meilleures de Turquie et d’Europe et accueille un certain nombre de chercheurs dans la sphère du graphène. [87]  [88]

En mars 2021, c’est lors de l’inauguration officielle, et ministérielle, de l’usine de production de graphène (avec une prévision de 100 tonnes par an), de Nanografi, que l’annonce officielle de la phase 1 du vaccin nasal –  à l’encontre du Sars-CoV-2 inexistant – fut faite.  Selon la presse Turque: « Le président du conseil d’administration d’Ahlatcı Holding, Ahmet Ahlatcı, a noté qu’ils avaient mis en production l’installation de graphène, qui a une capacité de production de masse annuelle de 100 tonnes, avec le soutien du ministère de l’Industrie et de la Technologie. Déclarant que les études sur les vaccins administrés par voie nasale, qui donnent des résultats sûrs et efficaces dans la lutte contre le COVID-19, se poursuivent, Ahlatci a déclaré : « Nous visons à produire suffisamment de vaccins pour notre pays cette année »». [95]

 Il s’agissait, en fait, de produire 250 millions de doses de ce “vaccin”, en spray nasal, contre le CoqueVide/19 – à l’année.

C’est, d’ailleurs, lors de cette inauguration, que le ministre de la technologie, Mustafa Varank, a déclaré: «Le graphène est 200 fois plus résistant que l’acier, des centaines de fois plus conducteur que le cuivre et est tout aussi flexible et léger. Il peut être utilisé dans de nombreux domaines industriels différents grâce à ses propriétés de résistance, de flexibilité, de conductivité thermique et électrique. En tant que nanomatériau bidimensionnel d’un seul atome d’épaisseur, il est présenté comme l’un des composants les plus critiques de la nanotechnologie. Grâce au graphène, à des matériaux plus durables, à des batteries rechargeables ultra-rapides, à des avions plus rapides et plus légers, des dispositifs bioniques capables de se connecter aux neurones du corps seront produits. Il sera possible de développer des technologies médicales bioélectroniques qui fournissent un traitement en temps réel en lisant et en modifiant l’électricité du corps. » [95]

Répétons: “Des dispositifs bioniques capables de se connecter aux neurones du corps seront produits et des technologies médicales bioélectroniques qui fournissent un traitement en temps réel en lisant et en modifiant l’électricité du corps”. Tout va bien?

Le concepteur principal de ce “vaccin” nasal, chez Nanografi, est le Dr. Ahmet Çağlar Özketen: c’est un biologiste moléculaire spécialiste du Graphène et spécialiste de l’intégration de la nano-électronique avec l’ADN. Tout va bien? [104] 

Le Dr. Ahmet Çağlar Özketen a, également, créé un kid de test PCR – tout autant frauduleux que les autres – avec “des amis”… et, sûrement, à base d’oxyde de graphène comme tant d’autres senseurs. Voir son brevet. [89]

Ses demandes de brevet pour Nanografi comprennent un processus de fabrication de l’oxyde de graphène [101], un vaccin végétal avec un objectif de fertilisant et de pesticide [83], un nano-système “intelligent” de fertilisation pour l’agro-biotechnologie [84]

En effet, selon un article de la presse Turque, de février 2021 [96], le Dr. Ahmet Çağlar Özketen s’est donné comme objectif “de se concentrer sur l’intégration de l’ADN et de la technologie des puces”. 

A savoir l’intégration de l’ADN et du Graphène qui est la base incontournable des puces du futur… et même, déjà, du présent?

Selon ce même article, l’équipe du Dr. Ahmet Çağlar Özketen était tellement occupée à devancer celle de Ugur Sahin, pour la production d’un vaccin, en 2020, que certains membres ont souffert de crises cardiaques d’épuisement – au bout de 6 mois. L’équipe du Dr. Ahmet Çağlar Özketen comportait, alors, une quarantaine de chercheurs.

Sans plaisanter? A cause du Graphène, peut-être… qu’ils ont inhalé ou ingéré par mégarde? 

Il est précisé, dans un autre article de presse, que ce “vaccin” de Nanografi est réalisé à partir d’une protéine modifiée et “d’adjuvants” dont la formulation est supposée “renforcer le système immunitaire”.

Il suffit d’aller sur PubMed pour découvrir, en effet, une pléthore d’études (corrompues) mettant en exergue la capacité du graphène, de l’oxyde de graphène, etc, de stimuler le système immunitaire… Par exemple, “Stimulation of Innate and Adaptive Immune Cells with Graphene Oxide and Reduced Graphene Oxide Affect Cancer Progression” publié en juillet 2021.

Tout dépend, bien évidemment de ce que l’on entend par “stimuler le système immunitaire”!!! 

Cet article précise, également, que Nanografi mène une étude réussie sur l’ADN, avec le groupe de biotechnologie, depuis environ trois ou quatre ans. [93] 

Donc, une étude réussie portant sur l’ADN et le Graphène?