La Fraude du Covid 19 et la Guerre à l’encontre de l’Humanité

Voilà un début de traduction du rapport dont j’ai annoncé la publication, dans mes Nouvelles du 16 novembre. Ce rapport dynamite, sur la fraude du CoqueVide/19 fut, en effet, publié, le 11 novembre 2021, par deux médecins de Nouvelle-Zélande, les Drs Mark Bailey et John Bevan-Smith. Il s’intitule “The Covid 19 Fraud and War on Humanity”…

… car il s’agit, effectivement, d’une guerre lancée à l’encontre de tous les Peuples de l’Humanité.

A noter que la rédactrice de ce rapport est la Dr. Samantha Bailey, l’une des auteurs de l’ouvrage-bombe “Virus Mania” qui, récemment, a été traduit en Français. [458] Voir son canal sur Odysée. [545]

A la suite de la publication, en Français, de l’interview de la Dr. Valentina Kiseleva, c’est le second rapport, en l’espace de quelques jours, qui pulvérise le mythe pernicieux de l’existence du Sars-cov-2! 

Je compléterai ce texte au fur et à mesure de sa traduction mais je publie, déjà, cette partie technique sur l’origine fabuleuse, ex nihilo, du Sars-CoV-2… car l’urgence est extrême de prouver que tous ceux qui déblatèrent au sujet d’une pandémie de protéines Spike sont des menteurs.

Ce rapport, en Anglais, est disponible sur le site web de ces deux médecins [452]. De plus, la première partie est lue et accessible sur BitChute. [453]


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Les Quatre Piliers de la Fraude du Covid 19

Le premier pilier: l’isolement

La théorie portant sur les virus, comme étant la cause de pathologies, remonte aux années 1800. Depuis lors, les virologues ont passé la première moitié, du 20 ème siècle, à tenter d’extraire, ces virus putatifs, directement à partir d’hôtes vivants. Leurs échecs répétés les ont amenés à changer de tactique, dans les années 50, afin de pouvoir conserver quelque once de crédibilité. Les virologues se devaient de présenter des biscuits à leurs financeurs potentiels – dont l’industrie pharmaceutique, en expansion, qui rongeait son frein en attendant de développer des vaccins et des médications anti-microbiennes.

En 1954, des scientifiques rapportèrent qu’ils avaient découvert la preuve de l’existence du virus de la rougeole en se fondant sur l’observation selon laquelle un échantillon, extrait d’un patient avec la rougeole, avait détruit des cellules dans une éprouvette. Ces manifestations sont connues sous le nom “d’effets cytopathiques” –  ou “effets cytopathogéniques”. Les auteurs admirent [22] que «bien qu’il n’existe aucune preuve permettant de conclure que les facteurs in vivo [chez un être humain] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro, [dans l’éprouvette], l’apparition de ces phénomènes… pourrait être corrélée avec le virus de la rougeole». [23]

L’émergence des effets cytopathogéniques constitue le fondement des affirmations frauduleuses, de la virologie moderne, en ce qui concerne l’isolement et la pathogénicité des virus. Ainsi, un échantillon (par exemple, un prélèvement nasal) est extrait d’un patient et mélangé avec des cellules dans une éprouvette. Lorsque les cellules meurent, il est alors déclaré qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne souhaitent pas que vous sachiez, c’est que ces mêmes émergences peuvent être générées sans ajouter, dans l’éprouvette de prétendus échantillons de virus. En d’autres mots, c’est le processus même d’affamement de la cellule et de l’ajout de diverses substances toxiques – tels que des antibiotiques et des fongicides – qui induit les lignées cellulaires, déjà anormales, à réagir et à mourir: aucun virus n’est requis pour cela. (Parfois, des photographies d’infections “simulées” sont présentées mais, cependant, les détails concernant ces expérimentations brillent par leur absence).

Il existe, bien sûr, des images de ce qui est prétendu être le virus qui provoque tous nos problèmes. Nonobstant, les images colorées, en 3D, ne sont rien de plus que des images générées par ordinateur représentant le rendu de l’artiste. [24] Elles ont été utilisées, par les médias, de par le monde, pour convaincre, l’imagination des gens, du fait qu’un microbe minuscule, qui ressemble à une mine sous-marine, pourrait les percuter et les couler, à n’importe quel moment. Quant aux photographies, par microscopie électronique, présentées dans des publications scientifiques, elles ne font que montrer des nano-particules, dans et autour des cultures de cellules, tel que cela a été décrit dans les expérimentations de laboratoire ci-dessus. Elles sont supposées démontrer l’existence du virus Sars-CoV-2 en se fondant sur des déclarations arbitraires. En théorie, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une pathologie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés-clés n’a été démontrée par une quelconque expérimentation virologique décrivant les prétendus isolement et pathogénicité.

Depuis des décennies, les virologues ont tenté de les démontrer, sans aucun succès, et, plutôt que d’admettre qu’il existe un problème avec l’intégralité de la théorie virale, ils modifient, tout simplement, la signification du terme. C’est une situation scandaleuse. Le monde est, présentement, pris en otage parce que les virologues ne peuvent pas, réellement, isoler les virus: ils le prétendent, juste, et ils ne semblent pas  être gênés par le fait que l’offensive actuelle, à l’encontre de l’Humanité, soit fondée sur cette fraude scientifique – tellement évidente.

L’affirmation selon laquelle le virus a été isolé, et selon laquelle il constitue l’agent étiologique (causal) du Covid-19, constitue la première fraude fondamentale. Sans l’acceptation de cette affirmation (jamais démontrée à ce jour), le Covid-19 imploserait – à l’image de la “pandémie du siècle” de Bill Gates. En d’autres mots, l’escroquerie de l’isolement est fondée sur la violation d’une signification acceptée, dans le but de tromper, alors que, dans la réalité des faits, un “isolat” du Covid-19, à ce jour, ne constitue rien de plus qu’un voeu pieux. Cette escroquerie met en branle un discours circulaire vicieux pour lequel il n’existe pas d’échappatoire: les prémisses de l’existence sont établies par le mensonge et, par le biais de son imposition absolue, l’existence du virus est “confirmée” sur mode répétitif et de façon concluante. La virologie prospère sur cette insistance car, sans elle, il n’existerait ni virus, ni virologie, ni de “tests” PCR “positifs”… et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus, au profit de Big Pharma – qui va les combattre avec des “vaccins” miraculeux. Cela explique, également, pourquoi tous les concepts, qui vont à l’encontre de cette narration, sont censurés par le gouvernement et par les médias conventionnels et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les gens, qu’elles sont supposées protéger, en les forçant à accepter cette escroquerie virologique qui constitue le fondement de l’élaboration de toute cette charade. Aujourd’hui, l’intégralité de l’artillerie de l’Etat est dédiée à cette cause.

 

Fan Wu et al. [26]

Plutôt que d’avoir recours à la méthode largement utilisée par les virologues – afin de prétendre à un isolement et à une pathogénicité – au travers de l’induction d’effets cytopathogéniques, Fan Wu et al., les premiers inventeurs du génome du Sars-CoV-2, envoyèrent l’échantillon extrait du fluide pulmonaire du patient directement à deux plates-formes d’assemblée afin de chercher, ex nihilo, de courts fragments génétiques, à savoir des “reads” ou “lectures”. [27] Il est important de souligner que les échantillons envoyés, à but de séquençage, n’étaient pas des virus isolés, physiquement, mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même en sus d’innombrables microbes – dont, même, des microbes provenant de l’air que le patient a respiré sur son chemin vers l’hôpital.

Note de Xochi. L’étude de Fan Wu et al. est intitulée “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”. Elle a été publiée, dans la revue Nature, le 3 février 2020.

Plus de 56,5 millions de “lectures” furent produits à partir de cette “soupe” génétique et ils furent assemblés afin de créer 384 096 contigs (de longues séquences génétiques) sur Megahit et 1,32 million de contigs sur Trinity. [28] Sans doute en raison d’une inclination à prouver le bobard selon lequel il existerait «une possibilité permanente de transmission animale provoquant de sévères pathologies chez l’humain», Fan Wu et al. choisirent la séquence la plus longue (30 474 nucléotides) qui, affirmèrent-ils, possédait une identité, à 89,1%, avec le génome du coronavirus, in silico, inventé en 2018: le SL-CoVZC45. [29] Ainsi donc, un “génome” – qui était aussi proche génétiquement de l’homme qu’un chat domestique d’Abyssinie – devint la matrice, le patron, utilisée comme structure fondamentale, pour la méthode de tests RT-PCR qui, supposément, est capable de détecter un virus dont l’existence n’a jamais été démontrée. [30]

Subséquemment, il fut décidé que le génome avait besoin d’un copier/coller – sans doute pour le rendre encore plus similaire aux 29 802 nucléotides du modèle SL-CoVZC45 de chauve-souris. Ainsi, donc, dans la version subséquente, sur GenBank, il fut réduit à 29 802 nucléotides. [31] Cependant, les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième, et dernier, modèle fut concocté caractérisé par une séquence terminale intégralement différente présentant 23 bases adénine consécutives qui, d’un seul coup, paraissaient plus similaires au modèle de chauve-souris présentant 26 bases adénine consécutives dans sa portion terminale. [32] Il n’est pas précisé comment les virologues surent quel “génome” choisir alors que toutes les options n’étaient que des constructions hypothétiques émanant d’un ordinateur. Il devint, ainsi, rapidement apparent que l’anti-science de la virologie, et la perversion du terme “isolement”, sont non seulement délirantes mais, également, hautement trompeuses et qu’elles ne constituent le fondement de rien du tout – et surtout pas de la santé et du bien-être de populations entières.

Une année plus tard, le Dr. Wu Zunyou – le chef expert épidémiologiste du Centre de Contrôle des Maladies, en Chine – lors d’un interview avec Janis Mackey Frayer, allait affirmer que l’isolement n’eut jamais lieu. Il affirma «qu’ils n’avaient jamais isolé le virus». Il rajouta: «C’est bien le sujet [de la raison pour laquelle aucune donnée ne fut partagée]. Je ne pense pas que cela vient de ce que nous pensions originellement». [33]

Cette fraude fondamentale fut récompensée par des subventions, en 2020, totalisant 900 000 dollars US qui émanaient de la Fondation Bill et Melinda Gates et qui furent données aux deux institutions avec lesquelles 14 des 19 co-auteurs étaient affiliés. L’Université de Fudan reçut une subvention, sous INV-006277, de 300 000 dollars, avec comme objectif de “soutenir l’étude épidémiologique et d’identifier les risques élevés de l’infection COVID-19 qui contribueront à une stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et à un développement de produits”. Quant au CDC Chinois, il reçut une subvention, sous  INV-005832, de 600 000 dollars, avec comme objectif de “soutenir l’évaluation et la réaction d’urgences et préparer la Chine pour la pandémie potentielle afin non seulement d’aider à contrôler et à contenir la maladie mais, également, afin de contribuer à l’expérience Chinoise de santé globale”. [34]

 

Peng Zhou et al.

On retrouve les mêmes méthodes non-scientifiques, et les mêmes fausses affirmations d’isolement, dans l’étude de Peng Zhou et al. Reçue par la revue Nature 13 jours après celle de Fan Wu et al., mais publiée, en ligne, dans le même volume, le même jour, le 3 février 2020. [35] Ces auteurs affirment, de même, qu’ils ont réussi à isoler ce qu’ils appellent le “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des effets cytopathogéniques qu’ils ont observés dans les trois lignées cellulaires. [36] Cependant, il s’agit de proxies illégitimes concernant l’infection postulée d’un hôte ou d’un animal sain (à savoir non malade). Les trois lignées cellulaires employées étaient: des cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert Africain; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocyte humain dérivée d’une tumeur du foie en 1982 – qui fut, subséquemment, cultivée; et des cellules HeLa dérivées d’une femelle humaine en 1951, qui souffrait de carcinome du col de l’utérus – qui furent, subséquemment, cultivées. [37]

Note de Xochi. L’étude de Peng Zhou et al. est intitulée “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”. Elle a été publiée, dans la revue Nature, le 3 février 2020.

Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte en bonne santé avec lequel tester pour la pathogénicité: elles sont, donc, privilégiées afin de générer les effets recherchés – à savoir les effets cytopathogéniques et l’émergence de vésicules extra-cellulaires. A ces lignées cellulaires, furent rajoutés, entre autres substances, des sels inorganiques, du sérum foetal bovin (afin d’alimenter les cellules), ainsi qu’un éventail de substances cytotoxiques tels que l’amphotéricine B (un acide organique aux propriétés antifongiques), la trypsine (qui hydrolyse les protéines), la pénicilline (un antibiotique), la streptomycine (un antibiotique), le glutaraldéhyde (un désinfectant qui produit des exosomes à partir des cultures cellulaires qui ne peuvent pas être différenciés des courts filaments provenant du fluide pulmonaire de l’hôte), du tétroxyde d’osmium (un agent d’oxydation extrêmement toxique) et de la résine epoxy (afin de créer un substrat solide pour un découpage ultra-fin) [38]. Bizarrement, en se fondant sur le fait que de l’ARN, de provenance inconnue, faisait partie de la culture en laquelle de nombreuses cellules périrent – de par leur affamement et le stress induit par l’ajout de substances cytotoxiques – les auteurs affirmèrent qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, le “2019-nCoV BetaCov”, et non pas le cocktail d’ingrédients cytotoxiques qui avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. ne respectèrent aucun des postulats permettant d’isoler le virus ou de confirmer qu’il constitue l’agent causal d’une quelconque pathologie. Le supposé virus ne fut pas même physiquement isolé, et purifié à dessein de caractérisation biochimique et, par conséquent, il resta entièrement théorique. Cela ne représentait, apparemment, aucun problème pour la Fondation Bill and Melinda Gates, le fondation qui offrit, à l’Académie Chinoise des Sciences – avec laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés – une subvention de 359 820 dollars pour la recherche sur le Covid avec le n°NV-006377. Le propos de cette étude était : “To support developing assays platform of drug screening and subunit vaccines of coronavirus, which will contribute to product innovation of COVID-19 pandemic control” [39] – à savoir de préparer des remèdes et des vaccins afin d’établir un contrôle pandémique.

 

Na Zhu et al.

Cette étude a été publiée, dans le New England Journal of Medicine, le 20 février 2020, par Na Zhu et al. Ils y décrivent leur investigation d’échantillons du tractus respiratoire inférieur, dont le fluide de lavage broncho-alvéolaire, qui furent collectés de quatre patients, souffrant d’une pneumonie d’origine inconnue, qui avaient tous visité le marché de Huanan à Wuhan très peu de temps avant leur examen clinique. [40]

Note de Xochi. L’étude de Na Zhu et a. est intitulée “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”. Elle a été publiée, dans EPub, le 20 janvier 2020 et, dans la revue New England Journal of Medecine, le 20 février 2020.

Malgré qu’ils aient affirmé avoir isolé le virus, il s’avère évident que les auteurs ne parlent pas “d’isolement” dans le sens accepté du terme. Il s’agit, en fait, de la signification antonymique qui lui fut substituée par la virologie tout autant que de la substitution de cellules d’un hôte sain, par celles d’un hôte malade, afin d’établir une causalité entre un supposé virus et la pathologie du patient. [41]

Dans ce cas, le surnageant de culture centrifugé, provenant du patient BALF, «fut inoculé sur des cellules humaines épithéliales… extraites d’un patient qui subissait une opération chirurgicale pour un cancer du poumon» – alors qu’elles étaient, prétendument, exemptes de pathogénicité. [42] En tout cas, des cellules cancéreuses ne pouvaient être que présentes, dans les cultures cellulaires, et comme elles sont enclines à le faire, de telles cellules produisent une abondance d’exosomes qui sont visibles en microscopie  électronique en transmission. [43]

Au contraire de Fan Wu et al., et de Peng Zhou et al., cette équipe a, réellement, présenté des photographies de ce qu’ils décrivirent comme étant des “particles du 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié. [44] Il est, tout simplement, impossible d’établir, à partir des images proposées, que ces particules soient des virus – à savoir des virus pathogènes infectieux et générant des pathologies – ou qu’elles contenaient le génome du prétendu Sars-CoV-2.

Nonobstant, en dépit de cette double arnaque, qui hante la virologie, les virologues s’accrochent, encore, à leurs croyances et à leurs emplois. Car, ainsi que le soulignent Na Zhu et al.: «Bien que notre étude ne se fonde pas sur les postulats de Koch, notre analyse pourvoit la preuve de l’incrimination du coronavirus 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan». [45] Le fondement de cette assertion semble s’en remettre au placement, par les auteurs, de flèches sur les vésicules extra-cellulaires, de composition inconnue, et à leur désignation sous la dénomination “2019-nCoV”.

Une composition inconnue, et un incrimination, suffisaient amplement à la Fondation Bill and Melinda Gates qui offrit, au National Institute for Viral Disease Control and Prevention, avec lequel 13 des 18 auteurs étaient affiliés, une subvention de 71 700 dollars, en 2020, sous le N° INV-019121 avec comme objectif : “to support China CDC to evaluate the quality of COVID-19 serological diagnostic reagents in China and provide evidence for scientific use of reagents in clinical diagnosis and epidemiological survey”. [46]

Photographie par Na Zhu et al. de la prétendue protéine Spike. Il est à noter qu’aucune échelle n’est mentionnée. S’agit-il, en fait, d’une couronne moléculaire de nano-particule?

 

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. produisirent leur propre marque de nationalisme d’antipode sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” [47] lorsqu’ils réalisèrent un rapport concernant un homme âgé de 58 ans, de Wuhan, qui “ne sentait pas bien” lorsqu’il arriva à Melbourne le 19 janvier 2020.

Note de Xochi. L’étude de Leon Caly et al. est intitulée “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”. Elle a été publiée, dans EPub le 1er varil 2020 et, dans le Medical Journal of Australia, en juin 2020.

Alors qu’ils affirmèrent que les cellules Vero « montraient des vésicules, liées par une membrane, contenant des particules de coronavirus», Caly et al. furent totalement incapables de trouver des “virions” avec la prétendue protéine spike. Ils ajoutèrent, donc, plus de trypsine au médium de la culture cellulaire et avant qu’ils puissent proférer trois mots, la trypsine – dont la fonction est de digérer les protéines – avait gobé la couche supérieure protéique d’un “virion” sphérique de 100 nm afin de révéler «la bordure coronale caractéristique des protéines spike» qui, ajoutèrent-ils, sans la moindre trace d’ironie, «améliora, immédiatement, la connaissance de la morphologie des virions». [48]

En d’autres mots, lorsqu’il s’avéra que les exosomes ne ressemblaient à leur virus putatif, ils leur apportèrent un peu d’encouragement sur mode trypsine. Les prétendus virions ne furent jamais purifiés de sorte que leur composition biochimique ne put être établie: le “génome” proposé fut, en fait, concocté en générant “approximativement 30 millions de reads” à partir de la culture du mélange de tissus. [49]

Photographie par Leon Caly et al. de la prétendue protéine Spike.

Tout comme pour toutes les autres études de ce gabarit, aucune explication ne fut proposée quant au fait de savoir comment ces particules sont connues pour générer des pathologies et quant à l’existence même de ces particules au sein du corps humain. Répétons qu’on ne peut les caractériser que comme des vésicules extra-cellulaires de signification inconnue, générées, en éprouvette, par des cellules anormales de rein de singe. La problématique supplémentaire de déterminer si les images, en micrographie électronique, de tissus préparés in vitro, ressemblent, même, aux images provenant de cellules vivantes, dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est nul besoin d’en dire plus quant à la démence de cette étude et quant aux absurdités virologiques qui la fondent… si ce n’est pour ajouter que le ministère de la santé de Nouvelle-Zélande affirme qu’il s’agit d’un exemple «du virus étant isolé et cultivé dans une enceinte de laboratoire.» [50]

Note de Xochi. Je renvoie les lecteurs vers mes Nouvelles du 1er novembre intitulées “Au sujet des couronnes nécro-moléculaires” proposant des photographies de couronne nécro-moculaire et, également, de bions tels que les avaient dénommés le très grand génie Wilhelm Reich. Cf., également, mon article intitulé “La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène”.

Pour rappel, voici deux photographies représentant des couronnes nécro-moléculaires de nano-particules d’argent.

 

Le second pilier: le séquençage génomique

La tragédie mondiale, en cours, a été, en grande partie, provoquée par la corruption de la science – à savoir l’étude systématique de la nature, et du comportement de l’univers physique et matériel, fondée sur l’observation, l’expérimentation et la mesure –  en scientisme, «l’application, sans discrimination, des méthodes scientifiques à des champs inappropriés d’étude». [51] C’est devenu un système sécularisé de croyances – qui s’en remet, quant à son autorité, sur sa propre performativité et sur le présupposé d’une pré-existence phénoménologique – par lequel des hypothèses et des assomptions sont considérées comme concluantes et des abstractions sont considérées comme réelles.

Le second pilier de la Fraude du Covid 19 est le séquençage génomique.

Les virologues prétendent qu’ils ont élucidé l’intégralité de la structure génétique des virus, tel que le “Sars-CoV-2”, et qu’ils l’ont transférée dans les banques de données ainsi que Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly, et leurs équipes, l’ont réalisé, en début 2020 – et ainsi que tant d’autres depuis. Ils prétendent, encore et encore, qu’ils possèdent un “isolat” du virus… mais cette déclaration a été effectuée après qu’ils eussent “construit” son génome à partir d’une soupe contenant des fragments génétiques d’origine inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al., malgré qu’il n’existât aucune chauve-souris à la vente à l’intérieur du marché de produits de la mer de Wuhan, où le patient travaillait, et malgré que les inventeurs fussent incapables de confirmer un réservoir, ou hôte, intermédiaire pour leur virus, ils choisirent, néanmoins, un autre coronavirus de chauve-souris, in silico, comme la matrice permettant de créer le WH-Human 1 – à savoir, le Sars-CoV-2. [52]

Note de Xochi. Selon Fakypedia. “In silico” est un néologisme d’inspiration latine désignant une recherche ou un essai effectué au moyen de calculs complexes informatisés ou de modèles informatiques.

Sans aucun doute, cela fait partie intégrante du besoin impérieux d’une validation scientifique par la virologie dans sa quête de l’Eldorado des chauve-souris, en lesquelles, selon son imagination, gisent tous les trésors de coronavirus du monde. [53] Entre temps, cette virologie continue d’inventer des virus afin que Big Pharma continue de s’enrichir.

Le processus que la virologie utilise, afin de prétendre réaliser un “isolat”, peut être résumé comme suit. A partir de la “soupe” biologique extraite des poumons du patient, ou des tests nasaux – contenant toutes sortes de matières provenant du sujet humain, des microbes innombrables, de la flore commensale, ainsi que des contaminants potentiels – des plates-formes d’assemblée, de novo, se mettent à la recherche de courts fragments génétiques. Après avoir découvert des millions de fragments uniques, dans cette soupe, ces programmes informatiques assemblent un “génome” (une longue séquence)  fondé sur les paramètres qui y sont intégrés. Au fil de la concoction, il s’avère nécessaire de pratiquer un peu de “copier-coller” et si certaines pièces sont “manquantes”, d’autres matrices, toutes préparées, peuvent y être ajoutées afin de remplir les vides. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires – de conception humaine – ne peuvent aucunement proposer une réponse “oui” ou “non” à la question de son existence physique dans la Nature notamment parce que tout “génome” de coronavirus, utilisé comme matrice dans sa production, ne constituera qu’un simple proposition. En effet, cette méthodologie ne peut conférer aucune connexion vérifiable avec l’univers physique, ou matériel: le nouveau membre, du genre Coronavirus, n’est, tout simplement, qu’un autre produit émanant des processus auto-référentiels de la virologie.

Voici une analogie de ce type de processus. Vous trouvez un millions de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez, alors, de les arranger en phrases entières et, éventuellement, en une histoire complète. Lorsque certaines séquences ne conviennent pas, vous les éliminez; lorsque certaines séquences sont manquantes, alors vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment allez vous déterminer qu’il s’agissait d’une histoire existante et non pas d’une histoire que vous venez juste d’inventer? Et pourquoi n’existerait-il pas dix histoires plus courtes… ou pas d’histoire du tout? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire sans y avoir accès, à l’intégralité, avant de commencer. Et c’est là que git le mensonge de la virologie: les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des portions aléatoires, d’un matériau biologique, et affirment, ensuite, que cela constitue la preuve de l’existence d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous, qui analysons attentivement leurs expérimentations, peuvent déceler le problème: il n’existe aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que le public ne sait pas, c’est qu’aucun virus, dénommé “Sars-CoV-2”, n’a jamais été, réellement, isolé et purifié en tant que structure complète et unique. Ce qui se manifeste  est, tout simplement, du séquençage à l’arrache d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques d’origine inconnue. Par conséquent, il n’existe, strictement, aucune preuve, pas même la plus vague, que le “génome”, in silico, résultant existe dans la nature ou ait quoi que ce soit à voir avec un virus. Cependant, de par ce séquençage à l’arrache, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte car son statut fallacieux est garanti, rétroactivement, au travers de l’acte de dénotation: le fait de le nommer prouve son existence antérieure et sa pathogénicité.

C’est un scandale éthique, et scientifique, qu’un génome hypothétique et conceptuel, inventé par une telle anti-science, constitue le fondement de cet assaut à l’encontre de l’Humanité. C’est cette fausse science qui a détruit le monde en fournissant une opportunité aux politiciens d’assumer le rôle de dictateurs de la seringue. C’est le caractère insidieux du crime de la virologie: une version généralisée de l’affirmation mensongère de l’isolement confère aux politiciens la “permission” d’orchestrer un viol d’Etat à l’encontre de tous les employés gouvernementaux et d’étendre leur programme systématique de viol corporel au secteur privé – les dernières victimes étant les travailleurs du secteur hospitalier et de la distribution commerciale. [54] Pour le reste, le crime s’immisce dans notre conscience sous couvert de devoir, et de bienveillance. Il en résulte que nombreuses personnes, de notre entourage, acceptent dans leurs corps les contenus inconnus de fioles – que le gouvernement ne s’est pas même donné, apparemment, la peine d’analyser – produites par un fabricant dont le record spectaculaire de fraude médicale criminelle. Ces contenus, de plus, introduisent, à notre insu, des vecteurs génétiques, dont les effets, dans notre corps, ne sont que très peu établis – et ce, pour le bien commun de protéger la société à l’encontre d’une infection mortelle qui n’existe pas. [55]

Comment une démocratie contemporaine a pu succomber à un tel non-sens ridicule, mais mortel, est au-delà de l’objectif de cet essai. Il n’est que de préciser que ce gouvernement de Nouvelle-Zélande ne constitue pas “votre unique source de vérité” mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’ils utilise comme couverture pour ses crimes, commis en toute lâcheté, à l’encontre de l’Humanité, ses actes de terreur, et de démocide, et les perturbations et le carnage socio-économiques généralisés qu’il continue d’infliger sur les peuples  – en dupliquant les circonstances antérieures à l’établissement des régimes totalitaires du 20ème siècle.

Traduction par Xochi

 

Notes:

[22] John F Enders and William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients 22 with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (received 16 May 1954), 277-286.

[23] Ibid., 287

[24] https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images

[25] Stefan Lanka, “The Virus Misconception”, WISSEnSCHAFFTPLUS magazin, 01/2020, 4.

[26] https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd

[27] Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 27 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3

[28] Ibid. Megahit and Trinity are the names of two de novo assembly platforms.

[29] Ibid., 265-6, Methods page.

[30] Joan Pontius et al., “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 30 (2007), 1680.

[31] Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank 31 MN908947.2, GenBank (14 Jan 20): https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank: MG772933. 1 GenBank (29 Sept 2020): https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933 14 Published 11 November 2021

[32] Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, 32 GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20): https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3

[33] Interview by Janis Mackey-Frayer of Dr Wu Zunyou, “Wuhan Now Year Later”, NBC Nightly News Broadcast 33 (Full) – January 23rd, 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50: https://www.youtube.com/watch? v=TjjA-8JXzYI

[34] Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https:// www.gatesfoundation.org/-/media/files/- 34 bmgf-grants.csv

[35] Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 35 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/ s41586-020-2012-7.pdf

[36] Ibid., 272.

[37] Ibid., Reporting Summary, unnumbered second page.

[38] Ibid., “Methods” unnumbered first page.

[39] Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https:// www.gatesfoundation.org/-/media/files/- 34 bmgf-grants.csv

[40] Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of 40 Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.

[41] Ibid., 728, 730-31.

[42] Ibid., 728.

[43] Ibid., 731.

[44] Ibid.

[45] Ibid., 733. Emphasis added.

[46]   Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https:// www.gatesfoundation.org/-/media/files/- 34 bmgf-grants.csv

[47] Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient 47 diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459: https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569

[48] Ibid., 461-62.

[49] Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement? 49 doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf

[50] Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA 50 letter Ref: H202008345, Ministry of Health.

[51] Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 51 1348.

[52] Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9

[53] David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.

[54] Rahul Battharai, Covid 19 Delta outbreak: Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality” 54 NZ Herald (26 Oct 21): https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcomevaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/

[55] “Justice Department Announces Largest Health Care Fraud Settlement in Its History”, The United States 55 Department of Justice (2 Sep 09), 2: https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largesthealth-care-fraud-settlement-its-history