Première Partie. Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019
Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie
La Grippe Espagnole de 1918/1920 fut une Pneumonie Bactérienne
Les Mensonges d’Etat sont Récusés par les Etudes Récentes Emanant du Paradigme Officiel
Cet essai est, strictement, consacré aux thèmes de la psychose et de la non-existence du coronavirus Covid/19 à l’instar de la non-existence du virus du Sida/VIH et à l’instar de la non-existence du virus H1N1 de 1918. Accrochez-vous au bastingage car la mer médiatique va devenir houleuse!! Au vu de l’accélération de la Dictature en Marche – à savoir de l’orchestration de l’enfermement de la population Française et de la suppression de toutes ses libertés – je mets en ligne la première partie de ce dossier dont la finalité est de mettre en lumière que ce n’est pas le CovID/2019 qui crée une narration…
Tout au contraire, c’est une “narration” qui crée le CovID/2019 et qui amène, tout naturellement, à une autre “narration”, celle de l’Agenda ID/2020 mis en place, dès 2017, par la Fondation Bill Gates, par la Fondation Rockefeller, par Microsoft, par le Forum de Davos et surtout par GAVI – the Vaccine Alliance, à savoir toute la mafia pharmacratique et vaccinaliste. L’objectif déclaré de l’Agenda ID/2020 est une campagne de vaccination universelle assortie d’un puçage électronique. Elle est déjà mise en application, cette année, au Bangladesh, la première nation cobaye de cette entreprise génocidaire et criminelle.
Réveillez-vous et Révoltez-vous!
Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie
Aujourd’hui, la problématique fondamentale à exposer est la suivante. “La Grippe Espagnole” de 1918/1920 fut, en fait, une pneumonie bactérienne initiée par une campagne expérimentale de vaccination antiméningococcique au Kansas, durant le printemps 1918 – à l’actif de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale.
J’invite, ainsi, tous les internautes, les journalistes, les citoyens et même les “intellectuels et philosophes” (si tant est que ce vocable ait encore un sens au vu de tous ceux qui sont à genoux devant une poignée de dictateurs et de tortionnaires) à enquêter dans les régions les plus touchées par des pathologies respiratoires afin de déterminer s’il pourrait exister une corrélation avérée avec des campagnes de vaccination massive à l’encontre de la méningite (ou même, en fait, du papillomavirus) – telle que celle de 2017 portant sur 30 000 volontaires en Bourgogne. [45]
Alors qu’en Italie, la population de la province de Bergame, en Lombardie, est la plus impactée, en ce moment, par des pathologies respiratoires dramatiques… n’est-il pas très avisé de chercher des corrélations, trop évidentes, entre ces pathologies pulmonaires et la récente campagne de vaccination antiméningococcique (gratuite), de janvier 2020, dont toute la population de cette région a été le sujet suite à une épidémie de méningite à méningocoques… impactant 6 personnes – dont deux décédèrent – en décembre 2019?
Le 18 mars 2020, le journal Libération titrait “Covid-19 : «A Bergame, nous faisons un enterrement toutes les trente minutes»”. [44] Est-ce une coïncidence que Bergame fut, aussi, l’épicentre d’une vaccination antiméningococcique massive – juste deux mois auparavant?
Sommes-nous dans la même situation “d’infections bactériennes” que lors de la pandémie de 1918/1920 qui décima 65 millions de personnes, sur la planète et, avant tout, des personnes ultra-vaccinées et ultra-médicamentées? Voir les explications ci-dessous.
Est-ce pour cela que le Professeur Didier Raoult – totalement ostracisé et tourné en ridicule par les Autorités – insiste tant sur l’usage de l’Hydroxychloroquine et de la Chloroquine? En effet, même si ce médicament allopathique, la Chloroquine, utilisé depuis plus de 70 ans, s’est avéré de moins en moins efficace en tant qu’antipaludique – de par les résistances développées par le parasite Plasmodium falciparum [63] [64] – de nombreuses études pharmacologiques ont mis en exergue ses capacités anti-bactériennes, du moins in vitro. Par exemple, à l’encontre de la bactérie Legionella pneumophila responsable de la légionellose; à l’encontre de la bactérie Coxiella burnetii responsable de la Fièvre Q ; à l’encontre de la bactérie Tropheryma whipplei responsable de la maladie de Whipple, etc – ainsi que le Professeur Didier Raoult le met en exergue dans son étude de 2007 intitulée “Recycling of chloroquine and its hydroxyl analogue to face bacterial, fungal and viral infections in the 21st century.” [46] Les dizaines d’études, sur lesquelles le Professeur Didier Raoult a travaillé, sont disponibles sur le site du NCBI aux USA. [47]
Il est évident, bien sûr, que ces remèdes allopathiques, très toxiques, induisent des effets secondaires délétères avérés. [56] [65] Par exemple, la Chloroquine, au contraire de l’Hydroxychloroquine, est excessivement dangereuse pour les quelques centaines de millions de personnes mâles qui souffrent d’une carence en glucose-6-phosphate déshydrogénase: la Chloroquine, chez ces mâles, peut provoquer une anémie hémolytique qui, dans les cas les plus sévères, entraine une dysfonction létale du système rénal. Cette déficience génétique concerne plus particulièrement les mâles de descendance Méditerranéenne et Africaine.
Il n’est, ainsi, pas dans mes habitudes de promouvoir un anti-paludique de synthèse, lorsque tant de Plantes Médicinales Maîtresses sont beaucoup plus efficaces, mais vue la situation de détresse respiratoire, chez certaines parties de la population très âgées, très vaccinées ou très psychosées, et vu le non-accès à ces Plantes Médicinales Maîtresses [48], il est sûrement très sage de rester à l’écoute de ce que le Professeur Didier Raoult préconise, en attendant mieux – même si le paradigme officiel, et conventionnel, dont se réclame ce professeur repose, en grande partie, sur une hallucination collective. D’autant plus que ce professeur s’oppose, strictement, à tout confinement d’urgence de la population et d’autant plus que l’épouvantable psychose, orchestrée par la Dictature d’Etat, crée l’inflammation ou l’amplifie. [9]
D’ailleurs, le très suspect Dr Christian Perronne – chef de service en infectiologie à Garches, vaccinolâtre invétéré (premier signataire pour les 11 vaccins obligatoires) et fanatique des antibiotiques pour le traitement de Lyme – vient de révéler que tout le stock de Chloroquine de la Pharmacie Centrale a été pillé. [57] A quel jeu joue donc le Dr Christian Perronne? Qui sont les pilleurs?
Que se passe-t-il réellement en Macronie déliquescente? Qui accuse le Professeur Didier Raoult d’être un gourou – alors qu’il se présente, strictement, comme un pragmatiste? Pourquoi les Décodeurs du Décodex de l’ImMonde ont-ils catégorisé les vidéos de cette éminence mondiale de la pharmacologie dans leur rubrique, tout autant immonde, de Fake-news? Vont-ils en finir avec le Professeur Didier Raoult comme avec tant d’autres chercheurs authentiques: à savoir l’incarcération, pure et simple – pour non-obéissance aux diktats de l’Etat – ou un suicide avec une balle dans le dos? Ou tout cela n’est-il que du théâtre grotesque, à savoir une vaste supercherie orchestrée par des déments criminels experts en manipulation sociale – et très experts en Mal Social?
Que se passe-t-il réellement, au sein du Grand Théâtre Guignolesque de la Macronie très déliquescente lorsque des membres de la Tribu Levy s’épanchent, du moins officiellement, en guerre intestine? En effet, l’infâme BH Levy a pris, récemment, la défense du Professeur Raoult quant à l’offensive orchestrée, depuis des années, par le couple criminel et vaccinaliste Agnès Buzyn/Yves Levy.
Pendant ce temps, Novartis/Syngenta/ChinaChem, l’une des multinationales les plus biocidaires de la sphère Agro-Pharmacratique – rachetée par l’Etat Chinois en 2017 – la main sur le coeur, propose 130 millions de doses de Chloloroquine… [62] Pour faire oublier que leur agriculture hautement chimique et toxique tue des milliers de personnes par jour?
Dans l’un de ses récents interviews, Didier Raoult avoue qu’en ce qui concerne les patients qu’il traite, actuellement, atteints d’infections respiratoires: «il y en a 50 % dont on ne sait pas ce qu’ils ont, c’est notre grande ignorance.» [58] D’où la question fondamentale suivante: la moitié des patients pour lesquels le diagnostic est inconnu, ont-ils été “testés” positifs, négatifs ou neutres?
S’agit-il, donc – essentiellement, purement et simplement – d’un virus psychotique généré par une narration d’Etat tout autant psychotique? Avec, en prime, l’arnaque des Tests de positivité/négativité… très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult. Quels Tests???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas….
S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose?
************************
Le 17 janvier, le conseiller pour le bien-être de la région de Lombardie, Giulio Gallera, déclarait: «Plus de 33 500 personnes ont été vaccinées en quelques semaines contre le Meningoque C, avec des pics de 70% de l’objectif attendu. Par conséquent, la première phase du plan d’action régional pourrait se terminer, avec la fin des activités de la plupart des 14 cliniques extraordinaires… Nous ne laisserons pas tomber notre garde et, à partir du lundi 20 janvier, il sera toujours possible de se faire vacciner gratuitement par les médecins généralistes et les pédiatres de libre choix dans leurs cabinets. De plus, les vaccinations programmées se poursuivront dans les écoles et les entreprises qui ont montré leur volonté de les accueillir selon le calendrier déjà défini».
Voici le communiqué officiel de la région de Lombardie: «En ce qui concerne les cas de méningite (méningococcie invasive C) survenus ces derniers jours dans la région du Bas-Sebino, région de Lombardie, les agences de protection de la santé (ATS) de Bergame et de Brescia en accord avec le ministère de la santé et l’Istituto Superiore di Sanità, ont décidé d’élargir l’offre de vaccination gratuite par une action de vaccination extraordinaire tant dans les communes principalement concernées (Villongo, Credaro, Sarnico, Predore, Paratico) que dans les communes voisines (Adrara San Martino, Adrara San Rocco, Castelli Calepio, Foresto Sparso, Gandosso, Grumello del Monte, Parzanica, Tavernola Bergamasca, Viadanica, Vigolo, Iseo, Capriolo.) ». [42]
En effet, une “ceinture de sécurité extraordinaire” fut lancée par la Région Lombardie, à partir du 24 décembre 2019, avec une offre de vaccination gratuite à l’encontre de la méningite. [40] Elle couvrait plus particulièrement la Province de Bergame – la région de Basso Sebino et de Grumello.
La quasi-totalité de cette population fut vaccinée, en janvier 2020, à l’encontre de la méningite suite à une épidémie de Méningite C, qui sévit durant plusieurs mois… et qui toucha 6 personnes dont deux décédèrent!! Tout va bien?
Selon les données provenant des conseillers de la Région Lombardie, la quasi-totalité de la région de Basso Sebino et de Grumello fut vaccinée. Qui plus est, certains médecins prescrivaient des antibiotiques aux personnes les plus effrayées – dont certaines, même, commencèrent à porter des masques de protection dès le début janvier 2020 – de par le fait que la vaccination antiméningococcique “ne prend effet” qu’au bout de quelques semaines. [41] Il semblerait, également, que cette campagne de vaccination antiméningococcique C était concomitante de vaccinations à l’encontre du papillomavirus.
Il est à noter qu’une étude de 2007, publiée par Elsevier, mettait en exergue la non-nécessité d’une vaccination universelle antiméningococcique en Lombardie – de par l’impact quasiment inexistant de cette pathologie dans cette région de l’Italie qui accueille 20% de sa population globale. [38]
En janvier 2020, la campagne systématique de vaccination antiméningococcique, en Lombardie, fut étayée, très amplement, par la “peur des Migrants” – à savoir par la peur de cette gigantesque Invasion de Migrants Africains programmée par les Banksters de l’Europe afin de détruire ce qu’il reste du tissu social de nombreux pays Européens.
Le 9 janvier 2020, l’Institut Supérieur de Santé de Rome (Istituto Superiore di Sanità) déclarait: «L’attention doit donc rester élevée, tant dans le cas spécifique de l’épidémie de Bergame que dans le cas de cas isolés qui pourraient survenir. Pour soutenir le suivi et la gestion des cas et des flambées, la coordination nationale du système de surveillance des maladies bactériennes invasives de Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae et Haemophilus influenzae et de la méningite bactérienne est active au sein du service des maladies infectieuses de l’ISS. De plus, grâce aux travaux du Laboratoire national de référence pour le méningocoque, l’ISS soutient le diagnostic et le séquençage génomique d’échantillons et les initiatives de santé publique dont la stratégie de vaccination». [39]
Pour mémoire. Neisseria meningitidis, ou Méningocoque, est une bactérie induisant des méningites. Haemophilus influenzae, autrefois appelée Bacille de Pfeiffer, est une bactérie présente dans plus de la moitié de la population – considérée comme porteuse saine. Elle profite de l’affaiblissement de l’organisme humain pour générer des pathologies telles que: otite, sinusite, méningite, bronchite, pneumopathie, septicémie… Streptococcus pneumoniae, ou pneumocoque, est une bactérie induisant plusieurs types d’infections: otite, sinusite, méningite, bronchite, pneumopathie, septicémie… Il en existe de nombreuses souches qui sont devenues totalement résistantes aux antibiotiques.
Lorsque l’on consulte la fiche Vidal pour le vaccin Méningitec, par exemple, cela fait frissonner. En fait, ce vaccin, comme tous les vaccins antiméningococciques – et, en fait, comme tous les vaccins – est hautement dangereux et j’invite les lecteurs à consulter la page du site Initiative Citoyenne concernant ces vaccins antiméningococciques génocidaires. [43]
La région autonome de Sardaigne a publié une étude en 2019 sur le thème de la vaccination antiméningococcique. [34] De plus, il est à noter qu’une étude de septembre 2018 intitulée “Do Tuscan people adhere to meningococcal C vaccination during an emergency campaign?” s’interrogeait quant à l’acceptation, par la population de Toscane, d’une vaccination antiméningococcique suite à une “épidémie”, en 2015, générant 52 cas d’infection. Lors de cette campagne, les personnes de plus de 55 ans d’âge furent informées que la médecine conventionnelle ne pouvait assurer aucune certitude de protection conférée par ce type de vaccins. Pour la tranche d’âge de 11 à 45 ans, ce sont 64 998 personnes qui furent vaccinées à Florence et en Toscane – à savoir une couverture de 21%. [37]
Le but affiché était également de réduire l’incidence de la méningite, en vaccinant en priorité les plus jeunes, et les adolescents, afin de développer le concept très prisé, et complètement débile, “d’immunité de troupeau”. La tranche d’âge de 11 à 20 ans fut, ainsi, couverte à 47%. C’est en 2005 que la vaccination à l’encontre de la méningite C fut introduite, en Italie, pour les nourrisson âgés de douze mois. [36]
De plus, on entend, dernièrement, des témoignages provenant d’Italie quant à la découverte, par des médecins de Lombardie, de formes bizarres de pneumonie nécessitant des analyses spéciales de scanner et autres – et datant d’octobre, novembre et décembre 2019. C’est ce qu’affirme, par exemple, le Professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologique de Milan. [60] Ne pourrait-on pas suspecter que ces nouvelles formes de pneumonie non habituelles soient, également, générées par la campagne de vaccination anti-méningite qui était, déjà, bien en cours durant l’automne 2019? [61] A savoir, bien avant cette campagne de vaccination systématique qui eut lieu durant les deux premières semaines de janvier 2020 dans la région de Bergama – et dont furent victimes 35 000 personnes (et selon d’autres sources locales, environ 45 000 personnes).
En Italie, selon les statistiques officielles du Ministère Italien de la Santé, ce sont 2 400 000 personnes, dans ce pays, qui souffrent de Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique – et de 20 à 40 % développent pleinement cette pathologie. Selon le Professeur Yoram Lass, ancien ministre de la Santé en Israël, «L’Italie est réputée pour son énorme morbidité en ce qui concerne les problèmes respiratoires, plus que trois plus que dans les autres pays Européens… De plus, chaque année, en Italie, ce sont 17 000 Italiens qui décèdent de la grippe».
Le Professeur Yoram Lass est, présentement, très critiqué, en Israël, pour avoir osé affirmer que le coronavirus est un virus avec des relations publiques, que la presse est hystérique et qu’il est criminel de confiner les gens car il y aura plus de décès par dépression que par coronavirose. [66]
En Italie, de plus, la Lombardie et le nord du pays se caractérisent par une population très âgée, par une population de très gros fumeurs de tabac (à savoir de cigarettes chimiques toxiques) et par une extrême pollution atmosphérique.
Selon les photographies satellitaires, c’est l’Italie du nord qui constitue la région la plus polluée d’Europe. Certains chercheurs ont, d’ailleurs, fait remarquer que le pic de cas, souffrant de détresse respiratoire, à Wuhan, en janvier 2020, fut concomittant d’une vague d’extrême pollution. [68] Wuhan fut le théâtre de mouvements de protestations, durant l’été 2019, à l’encontre de cette extrême pollution caractérisant la capitale de la province d’Hubei. [69]
Rappelons, de nouveau, que la moyenne d’âge des décès, attribués à la coronavirose, en Italie, est de 79,5 ans: à savoir quasiment 90% des décédés ont plus de 70 ans et 10 % des décédés ont plus de 90 ans. Faut-il rappeler, de plus, que ce sont environ 633 000 décès qui ont été enregistrés en Italie, en 2018, à savoir 1735 par jour – de causes diverses et variées.
Selon le 20 ème Congrès, de l’automne 2019, de l’AIPO (Association Italienne des pneumologues hospitaliers), les maladies respiratoires constituent, ainsi, en Italie, la troisième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et le cancer. Plus de 11 000 personnes décèdent, dans ce pays, par exemple, de bronco-pneumonie, chaque année.
Se rappelle-t-on qu’en janvier 2018, suite à une mauvaise grippe, les hôpitaux de Lombardie étaient en panique à cause du manque de places disponibles dans les services de réanimation? Cette problématique sévissait, alors, dans les hôpitaux de Policlinico, San Raffaele, San Gerardo de Monza et San Matteo de Pavie. Il n’était, alors, pas question de Covid… N’est-ce pas? [71]
Selon des statistiques officielles, portant sur l’année 2014 et concernant l’Italie, ce sont 20 234 personnes qui sont décédées de maladies des voies respiratoires et ce sont 33 386 personnes qui sont décédées de tumeurs et cancers de la trachée, des poumons et des bronches. Ce sont, ainsi, 54 000 personnes qui sont décédées de maladies respiratoires, en Italie, en 2014 – à savoir 147 par jour. [67] Pour une population de 60 millions.
Ce chiffre est à rapprocher de celui, commenté plus bas, de 37 144 personnes décédées, en 2015, de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques, dans la province d’Hubei, en Chine, une province de 70 millions d’habitants. A savoir 102 personnes par jour.
Ce chiffre est à rapprocher, également, du nombre oficiel de personnes décédées en Espagne, de maladies pulmonaires, à savoir, 46 812 personnes, en 2016, pour une population de 47 millions d’habitants. [70] A savoir 128 personnes par jour.
En France, selon les chiffres apportés par l’Inserm, ce sont environ 17 000 personnes qui meurent chaque année de bronchopneumopathie chronique obstructive – à savoir 47 décès par jour. En 2013, environ 145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée (associée ou non à un traitement par ventilation) – à savoir 400 personnes par jour. Pour une population de 67 millions d’habitants.
De plus, en France, selon les statistiques officielles, ce sont environ 31 000 personnes qui décèdent du cancer des poumons, tous les ans – à savoir 85 décès par jour. Question: combien de ces personnes atteintes d’un cancer terminal des poumons sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de réanimation oxygénée? De plus, rappelons que ce sont 150 000 personnes qui décèdent annuellement de cancers en France – et les cancers ne sont pas tombés du ciel.
La Grippe Espagnole de 1918/1920 fut une Pneumonie Bactérienne
Le 4 mars 1918, le caporal Albert Gitchell de l’Armée US rapporta qu’une centaine de soldats du Camp Funston à Fort Riley, au Kansas, souffraient de symptômes de type grippal. Ce sont ces militaires qui constituèrent, ainsi, la première vague des victimes de ce qui fut appelé subséquemment, par les Autorités, la “Grippe Espagnole”. Cette épidémie se répandit rapidement dans d’autres camps militaires, et prisons, et puis, ensuite, sur les champs de bataille de la Première Grande Boucherie Mondiale – car ce furent 84 000 soldats US qui débarquèrent en Europe, en mars 1918, suivis de 118 000 soldats US, en avril 1918. La “Grippe Espagnole” tua 675 000 personnes aux USA et jusqu’à 65 millions de personnes, de par le monde, selon les estimations les plus élevées.
La “Grippe Espagnole” ne fut jamais une grippe virale mais une pneumonie bactérienne induite par une campagne de vaccinations expérimentales.
En effet, du 21 janvier au 4 juin 1918, les soldats du Camp Funston, au Kansas, constituèrent les sujets expérimentaux, les cobayes, d’une nouvelle vaccination, à l’encontre de la méningite bactérienne, issue de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York, et concoctée par le Lieutenant Peter K. Olitsky. Le rapport expliquant, dans le détail, les diverses procédures de vaccination est intitulé “A report on antimeningitis vaccination and observations on agglutinins in the blood of chronic meningococcus carriers” et il date du 20 juin 1918.
Selon ce rapport – rédigé par l’eugéniste Frederick Gates – ce sont la quasi totalité des soldats du 342 ème Régiment d’Artillerie de Terre qui se portèrent volontaires pour cette vaccination suite à un seul cas de méningite, dans ce régiment, en Octobre/Novembre 1917. Ce rapport fait, ainsi, état de plus de 5000 soldats utilisés comme cobayes. Cette campagne expérimentale de vaccinations comprenait trois injections de 2000 millions, de 4000 millions et de 4000 à 8000 millions de méningocoques à quelques semaines d’intervalle. [19] [20]
Avec Frederick Gates, nous avons le tout début du “Vaccine Gates” dont le présent et principal coupable est l’archi criminel Bill Gates, l’ancien président de Microsoft qui vient de démissionner de son poste à l’instar de centaines de chefs d’entreprises, de par le monde, qui ont “pressenti”… que le CoqueVide/19 allait frapper.
Frederick Gates rédigea également une autre étude, en juin 1918, intitulée “Antibody Production after Partial Adrenalectomy in Guinea Pigs”. [21] Cette étude faisait suite à deux autres du même genre: une, de 1907, intitulée “Serum Treatment of Epidemic Cerebro-Spinal Meningitis”, de Simon Flexner et Joblings, [22] et une, de 1916, intitulée “A Method for the Rapid Preparation of Antimeningitis Serum”, de Amos et Wellstein. [23]
Simon Flexner fut le premier directeur du Rockefeller Institute for Medical Research – de 1901 à 1935. [28] Il travaillait plus spécifiquement sur les vaccins anti-polio. C’est son frère Abraham Flexner qui fut l’auteur de l’infâme “Flexner Report” qui fit fermer la moitié des écoles de médecine aux USA.
A savoir : c’est Abraham Flexner qui fit fermer toutes les écoles médicales, aux USA, qui enseignaient l’homéopathie – afin de promouvoir la Pharmacratie Industrielle, l’allopathie et ses vaccins toxiques.
A cette époque, Karl Landsteiner travaillait également sur la poliomyélite et c’est à l’Institut Pasteur de Paris qu’il effectua ses expérimentations criminelles sur les singes de cet Institut Pasteur – tout autant criminel. [25]
Le Rockefeller Institute for Medical Research fut créé, en 1901, par John D. Rockefeller. Son directeur était William Welch, un eugéniste, un membre de la Fraternité Skull and Bones de l’Université Yales et un directeur de l’Eugenics Record Office Records – ainsi qu’il est stipulé dans cette étude, de 2018, intitulée “The power of heredity and the relevance of eugenic history”. [26]
Voici la contribution essentielle de la Doctoresse Eleanor McBean qui fut témoin de cette tragédie sanitaire en 1918. C’est un extrait de son ouvrage “Swine flu Exposed” de 1977 et la traduction est celle de Pierre Marie au Québec. [24]
«J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918. Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.
La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres qu’on ne peut contaminer le corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade.
Quand l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les entreprises étaient fermés et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient fait vacciner étaient terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La ville était devenue une ville fantôme. Comme notre famille (qui n’avait pas accepté les vaccinations) semblait être une des rares familles à ne pas avoir attrapé la grippe, mes parents couraient de maison en maison pour s’occuper des malades, vu qu’il était impossible de trouver un médecin. Si c’étaient les germes, les bactéries, les virus ou les bacilles qui devaient en fait provoquer la maladie, ils auraient eu cent fois l’occasion de s’attaquer à mes parents qui passaient plusieurs heures par jour dans les chambres de malades. Pourtant mes parents ne contractèrent jamais la grippe et ne rapportèrent à la maison aucun germe qui aurait pu s’attaquer aux enfants. Aucun membre de notre famille ne fut atteint par la grippe ; il n’y eut même pas le moindre rhume alors que l’hiver était rude et la neige épaisse.
On a dit que l’épidémie de grippe de 1918 avait tué 20.000.000 de personnes dans le monde. Mais en fait ce furent les médecins qui occasionnèrent cette hécatombe avec leurs traitements grossiers et meurtriers. C’est une terrible accusation, mais elle n’en demeure pas moins vraie, s’il faut en juger par les succès obtenus par les médecins n’utilisant pas les médicaments.
Alors que pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33%, les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, MacFadde’s Health-Restorium, obtenaient pratiquement 100% de guérisons avec des méthodes naturelles simples comme les cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très bien étudiés comprenant essentiellement de la nourriture naturelle. Un médecin que nous avons connu n’a pas perdu un seul patient de la grippe en huit ans…
Si les médecins classiques avaient été aussi éclairés que les thérapeutes utilisant les méthodes naturelles, on n’aurait sûrement jamais parlé de 20.000.000 morts suite au traitement médical officiel de la grippe.
Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept fois plus que chez les civils non vaccinés. Ces soldats souffraient en fait des maladies contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui, en 1912, était rentré des territoires d’outre mer m’avait confié que les hôpitaux militaires étaient remplis de cas de paralysie infantile et il se demandait comment il était possible que des adultes puissent contracter une maladie d’enfance. Nous savons maintenant que la paralysie est une suite classique d’un empoisonnement vaccinal. Chez nous la paralysie n’est apparue qu’après la campagne de vaccination massive de 1918.»
Les passages soulignés sont de mon fait afin de mettre en exergue le fait que cette pandémie de pneumonie bactérienne se manifestait selon de multiples formes pathologiques et qu’elle ne frappait presqu’exclusivement que les personnes vaccinées ou médicamentées sous des formes allopathiques.
« La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population.
Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. »
Durant cette Première Grande Boucherie Mondiale, l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York distribua son sérum toxique et criminel anti-méningite en France, en Italie, en Angleterre, en Belgique et en d’autres pays… ce qui amplifia d’autant plus la “pandémie” en Europe.
C’est en 1920 que Chas. M. Higgins publia son ouvrage de 250 pages intitulé “Horrors of Vaccination Illustrated and Exposed”. [27] C’est un témoignage poignant de l’horreur des vaccinations génocidaires de l’époque. Pensez-vous que la situation ait évolué, depuis un siècle, quant à l’amplitude de l’Horreur Vaccinale?
De plus, ainsi qu’Eleanor McBean le mentionne lorsqu’elle évoque les distributions de très hautes doses de médicaments de toutes sortes – dont les populations furent les cobayes – il est fort probable qu’une partie des décès, lors de la pandémie de 1918/1920, puisse être attribuable à l’usage inconsidéré de l’aspirine. Ou du moins, il est fort probable que l’aspirine ait été un facteur extrêmement aggravant ainsi qu’il est stipulé dans cette étude de 2009 intitulée “Salicylates and pandemic influenza mortality, 1918-1919 pharmacology, pathology, and historic evidence.” [51]
Je remercie Yves Rasir de m’avoir envoyé cette info relative à l’usage de l’aspirine en 1918/1920. Yves est éditeur en Belgique, d’ouvrages en Français, dont des ouvrages dans la ligne de la Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer, de Stephan Lanka, de Robert Guinée, etc. [52] Ces ouvrages constituent le fondement indispensable d’un nouveau paradigme thérapeutique… Cf. son interview du Docteur Claude Sabbah sur les liens entre la Médecine de Ryke Hamer et la Biologie Totale des Etres Vivants. [53]
Je remercie, de plus, le blog Bistrobar qui m’a transféré des articles rédigés dans la lignée de cette même Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer et commentant le non-existant Covid/2019. Cocher sur les liens. [54] [55]
C’est bien souvent la “narration mentale” qui crée la pathologie… et non pas le contraire.
La nature de pneumonie bactérienne, de cette pandémie, a été mise en exergue par diverses études dont celle, de 2008, intitulée “Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918–19 Influenza Pandemic” et publiée par des chercheurs vaccinalistes de l’Armée Australienne.
« Les décès, durant la pandémie de grippe de 1918/1919 ont été attribués à une souche hyper-virulente de grippe. C’est ainsi que les préparatifs, pour la prochaine pandémie, se focalisent presqu’exclusivement sur une prévention vaccinale et des traitement antiviraux en cas d’infection par une nouvelle souche de grippe. Cependant, nous partons de l’hypothèse que les infections, générées par cette souche pandémique, induisirent des pathologies très limitées (rarement mortelles) qui ont permis à des souches colonisatrices de bactéries de générer des pneumonies hautement mortelles. Cette hypothèse d’infection séquentielle est confirmée par les caractéristiques de la pandémie de 1918/1919, par les opinions des experts de l’époque, et par notre connaissance actuelle en ce qui concerne les effets pathophysiologiques des virus de grippe et de leur interaction avec des bactéries respiratoires. Cette hypothèse suggère des opportunités pour la prévention et le traitement durant la prochaine pandémie (à savoir impliquant des vaccins bactériens et des traitements anti-microbiens), plus particulièrement si un vaccin spécifique à une souche pandémique n’est pas encore disponible ou n’est pas accessible à des populations isolées, trop importantes, sur le plan de la démographie, ou médicalement oubliées». [29]
Cette même année 2008 a vu la publication d’une autre étude dressant les mêmes conclusions. Cette étude intitulée “Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness” fut publiée par l’équipe, très vaccinaliste, de Jeffery K. Taubenberger.
Ainsi qu’un lecteur attentif, et attentionné, m’en informe: Taubenberger signifie le “Berger des Pigeons”… à savoir, de nouveau, un bon Pasteur vaccinaliste! Réveillez-vous et révoltez-vous!
« Malgré la disponibilité de données publiées sur les quatre pandémies qui se sont manifestées durant les 120 dernières années, il n’existe que peu d’information récente quant aux causes de décès associées avec les pandémies de grippes. Nous avons, ainsi, examiné les données pertinentes corrélées à la pandémie de grippe la plus récente qui s’est manifestée avant l’usage d’antibiotiques, à savoir la pandémie de la “Grippe Espagnole”. Nous avons examiné des fragments de tissus pulmonaires obtenus à partir de 58 autopsies (de cadavres) et nous avons révisé les données pathologiques et bactériologiques fournies par 109 séries d’autopsies publiées décrivant 8398 investigations d’autopsie individuelle.
La majorité des décès survenus durant la pandémie de grippe de 1918/1919 résultèrent, très probablement, d’une pneumonie bactérienne secondaire provoquée par des bactéries communes du système respiratoire supérieur. Des données moins substantielles – émanant des pandémies subséquentes de 1957 et de 1968 – confirment ces découvertes. Si une pandémie grippale sévère s’avère être principalement un problème de co-pathogénèse virale-bactérienne, la préparation vis à vis de pandémies nécessite d’aller au-delà de la seule cause virale (à savoir de promouvoir des vaccins our la grippe et des remèdes antiviraux). La prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement des pneumonies bactériennes secondaires, tout autant que le stockage de vaccins bactériens et d’antibiotiques, devraient constituer les plus hautes priorités en vue d’une préparation à la pandémie». [30]
Ces chercheurs découvrirent des streptocoques, ou des pneumocoques, dans 98,2% des fragments de tissus pulmonaires examinés – mettant, ainsi, en exergue la nature strictement bactérienne de cette hécatombe.
Prétendre que la souche virale n’était en rien dangereuse et émettre l’hypothèse d’une infection séquentielle de type pneumonie bactérienne… n’est que de la poudre aux yeux. La pneumonie bactérienne constituait l’infection première et le virus H1N1 de la “Grippe Espagnole” n’a jamais existé.
Si l’on résume la version officielle. Selon le rapport ci-dessus cité, l’eugéniste Frédérick Gates – l’un des principaux instigateurs de la création de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale et, même, de la Fondation Rockefeller – des milliers de soldats eurent plusieurs injections, dosées au petit bonheur la malchance, d’un vaccin expérimental à l’encontre de la méningite bactérienne. Ces soldats développèrent, alors, des symptomes qui “simulaient” une méningite et Frédérick Gates, avec grand aplomb, affirma qu’il ne s’agissait pas d’une méningite réelle – juste d’une simulation. C’est cette simulation de méningite qui fut l’initiatrice de la pandémie de 1918/1920.
Ce fut le début de la grande arnaque, de la grande supercherie, de l’hallucination collective dénommée “Pandémie de Grippe Espagnole de 1918/1920” – un avant-goût de la seconde arnaque du siècle dénommée pandémie Covid/2019 sévissant en 2020, juste 100 années après la fin de la dite “Grippe Espagnole”. Tout va bien?
Selon Jeffery K. Taubenberger, l’un des auteurs de la précédent étude, toutes les pandémies grippales récentes seraient issues de mutations de la “pandémie virale” (de type H1N1) de 1918-1920: à savoir la souche de Grippe Asiatique H2N2 (1957-1958), la souche de la Grippe de Hong-Kong H3N2 (1968-1969), la fausse pandémie de Grippe Porcine H1N1 (2009-2010), etc, ad nauseam.
Jeffery K. Taubenberger a, même, été financé par la Fondation Gates et le DARPA (du Ministère de la Défense US) pour reconstruire génomiquement la souche du virus de la “Grippe Espagnole” – qui était une pneumonie bactérienne… Son étude est intitulée “Reconstruction of the 1918 Influenza Virus: Unexpected Rewards from the Past”. [31]
La grande supercherie de Jeffery K. Taubenberger constitue à prétendre, encore et toujours, que l’origine de la “Grippe Espagnole” se trouve dans une méchante souche de grippe aviaire qui, par malchance, a justement agressé des milliers de soldats, au Kansas, qui venaient, juste, de se porter volontaires pour être les cobayes d’une expérimentation vaccinale à l’encontre de la méningite bactérienne.
Ou était-ce alors une grippe aviaire qui aurait méchamment agressé un troupeau de porcs au préalable – car les souches de “grippes aviaires” ne sont pas réputées sauter sur les humains aussi facilement. C’est effectivement une fâcheuse coïncidence que la seule mutation, aux USA, de cette souche H1N1, se soit développée justement dans la région de Fort Riley, au Kansas, où étaient cantonnés des milliers de soldats fraichement vaccinés… et sur le départ vers l’Europe afin de participer à la Première Grande Boucherie Internationale (la Seconde Boucherie Franco-Allemande suivant la première de 1870/1871). Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser de suite?
Selon cette histoire à dormir debout, cette souche H1N1 humaine fut ensuite transmise aux porcs vers 1918 qui l’ont gardée, bien au chaud et très précieusement, pendant 90 ans, sous la forme d’une souche virale porcine différenciée – à savoir différenciée de la souche humaine H1N1 virale pandémique primitive de 1918.
Je n’ai plus le courage de traduire de l’anglais les divagations génétiques de ces scientifiques criminels eu égard à des virus qui n’ont jamais existé, qui n’ont jamais été isolés et qui constituent de la pure science-fiction. Voir l’ouvrage d’Eleanor McBean intitulé “Swine Flue Expose” [49]
Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque pseudo-scientifique [31] c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes, ont pour objectif final et exclusif de développer une vaccination anti-grippale universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de grippes passées, présentes et à venir.
Ce n’est pas la peine de chercher des photographies de virus pathogènes “isolés” sur internet. Il n’existe que des modélisations en 3D, des rendus artistiques dotés d’une myriade de couleurs psychédéliques. Les virus pathogènes possèdent-ils, donc, une existence existentielle réelle, au fait? Ou ne sont-ils alors que de pures constructions de laboratoires?
Les seules photos que l’on trouve sur internet – ainsi que Stephan Lanka l’a amplement prouvé – des virus pathogènes de la polio, de la rougeole, de la variole, de l’herpès, de l’hépatite A, de la grippe A, du Sida/HIV, de l’Ebola… ne sont que des rendus artistiques, à l’intérieur de cellules, d’une prétendue charge virale. [32]
Les Mensonges d’Etat sont Récusés par les Etudes Récentes Emanant du Paradigme Officiel
Caveat. Dans cette partie de mon article, je reprends des études très récentes émanant de la “partie adverse”, si je puis dire, à savoir émanant de scientifiques qui ne remettent pas en cause l’hallucination collective eu égard à l’existence d’un Covid/2019 – mais qui remettent en cause, nonobstant, les mensonges de la Macronie et de tous les Etats, de par le monde, car cette opération psychologique spéciale, de type 9/11, possède aujourd’hui une envergure planétaire.
Le 19 mars 2020, la Revue Nature a publié une étude intitulée “Estimating clinical severity of COVID-19 from the transmission dynamics in Wuhan, China”. Nous y apprenons, qu’au 29 février 2020, ce sont 2838 personnes qui sont décédées de problèmes respiratoires libellés sous la dénomination “Covid/19”, à Wuhan même – et depuis, la mi-décembre 2019. [17] Cette étude stipule, de plus, que le taux de mortalité, eu égard au nombre de “cas dénommés positifs” serait, donc, de 1,4% – et de 0,6% pour les moins de 30 ans et de 5,1% pour les plus de 59 ans.
Si je puis réitérer ce que j’ai déjà relaté dans mon dernier essai. Pour la province de Hubei, la plus touchée – supposément – par le Covid/19, ce sont 37 144 personnes qui sont décédées, en 2015, de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques. Cela correspond à 102 personnes par jour – donc, 25 personnes, par jour, à Wuhan même, dans la mesure où le quart de la population de la province d’Hubei y est concentré. [16]
Cela veut dire qu’en temps normal – à savoir, hors psychose générée par l’Etat Chinois – ce sont 1875 personnes qui meurent , à Wuhan même, (en deux mois et demis) de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques. Ces statistiques ne prennent pas en compte l’accroissement naturel annuel de la démographie Chinoise, à savoir 0,37 %. Ce chiffre met en valeur que le différentiel, d’environ 1000 personnes, doit être imputé, premièrement, à la Psychose d’Etat et, secondement, aux pathologies sévères, dont souffraient les décédés, auparavant – ainsi que l’étude Italienne du 18 mars 2020 le met en exergue.
Devons-nous en conclure que l’épopée de Covid/19, dans “l’épicentre” de Wuhan fut une construction de l’Etat Chinois? Très certainement.
En effet, l’Institut Supérieur de Santé de Rome, le 18 mars, a publié sa première évaluation – présentée sous la plume des journalistes de Bloomberg, Tommaso Ebhardt, Chiara Remondini et Marco Bertacche – de l’état de santé de tous les Italiens prétendument décédés du Covid/19. Cet Institut a examiné les bilans médicaux de 18% des 2500 décédés en Italie. Près de la moitié des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins trois pathologies majeures. Un quart des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins une ou deux pathologies majeures. Plus de 75% d’entre elles souffraient d’hypertension artérielle et un tiers souffraient de pathologies cardiaques. La moyenne d’âge des décès est de 79 ans. Les quelques “victimes” en-dessous de 40 ans souffraient, déjà, de pathologies très sévères. [7] [8] En conclusion, 99% des personnes décédées souffraient, auparavant, de très lourdes pathologies. Pour la traduction en français sur le site Turbulence: [50]
Tous ceux qui annoncent que 70 % des Français – ou des Allemands ou de la population mondiale – vont contracter ce virus sont des criminels, tout autant que ceux qui annoncent, triomphalement, qu’une seconde vague va frapper la tranche d’âge de 30 à 50 ans.
Selon les données publiées, le 18 mars 2020, par l’Institut Supérieur de Santé de Rome, 98% des décès “attribués” au Covid/2019 se situent dans la tranche d’âge de 60 à 90 ans et 87% se situent dans la tranche d’âge de 70 à 90 ans. [59] Selon le Professeur Ricciardi, cet Institut considère que seulement 12% des certificats de décès attribués au Covid/2019 ont un lien direct avec le “coronavirus”….
Le 5 mars 2020, la London School of Hygiene and Tropical Medicine, a publié une étude qui met en exergue la dichotomie entre, d’une part, les discours officiels quant à la coronavirose covid/19 et, d’autre part, les bilans réels, et non trafiqués, qui ont été publiés eu égard aux individus testés positifs, et décédés, qui furent séquestrés pendant un mois entier sur le navire de plaisance Diamond Princess: à savoir 7 décès sur 3711 passagers et un pourcentage très bas de positifs symptomatiques ou asymptomatiques. [10] [11]
Cette étude est totalement, et strictement, en phase avec les déclarations récentes du Professeur Didier Raoult. Qui sont les réels propagateurs de fakenews et de psychose assassine?
Le Professeur Didier Raoult est une éminence mondiale de la virologie et de la bactériologie – s’il en est. C’est même un vaccinaliste, même si modéré. On peut difficilement l’accuser de “conspirationnisme”!! Il fait partie du haut-comité scientifique – créé par la Macronie, ex nihilo – et précise: « J’y dis ce que je pense, mais ce n’est pas traduit en acte. On appelle cela, des conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J’y suis comme un extra-terrestre».
Le Professeur Didier Raoult accuse les Décodeurs du Monde et Fakebook d’avoir catalogué ses vidéos en fake-news. Il précise, dans un interview du 16 mars 2020, publié chez Marianne que: «La dangerosité, je ne sais pas ce que cela veut dire. Elle dépend de l’échantillon qu’on observe. On peut regarder en Corée du Sud où l’on a fait ce que je préconise depuis le début, à savoir détecter et traiter, ou dans la plus grande folie réalisée au Japon en coinçant des personnes âgées sur un bateau de croisière, un modèle expérimental équivalent à mettre ensemble vingt souris dont quatre infectées pour regarder combien seront contaminées.» [12]
Pour ricocher sur son commentaire quant à la pseudo-dangerosité du phénomène dénommé Covid/19, la Revue Nature Medecine a publié, le 17 mars 2020, une étude Australienne intitulée “Breadth of concomitant immune responses prior to patient recovery: a case report of non-severe COVID-19” [13] mettant en exergue la capacité du corps physique de combattre le dénommé Covid/19, d’éliminer l’infection en l’espace de quelques jours, de recouvrer une bonne santé… tout comme dans les situations les plus classiques de grippe annuelle. Un résumé de cette étude est présenté sur le site de l’Université de Melbourne. [14] Selon le Professeur Kedzierska: «Nous avons démontré que même si le COVID/19 est généré par un nouveau virus, une réaction immunitaire robuste, dans un spectre de divers types de cellules, chez toute personne en bonne santé, était concomitante d’un recouvrement clinique similaire à ce que l’on peut percevoir avec la grippe.» Selon cette étude, plus de 80% des cas de Covid/19 sont bénins à modérés.
Dossier à Suivre. Je suis à l’écoute de tous commentaires et contributions: xochi@magie-tantrique-gaienne.com
Xochi le 22 mars de l’An 02 des Gilets Jaunes.